Astruc, un patronyme familier qui évoque les cafés existentialistes, Sartre et Vian, la Nouvelle Vague, le cinéma : Une vie, La proie pour l’ombre, L’éducation sentimentale… La notoriété d’Alexandre a éclipsé celle de son père Marcel. Journaliste renommé dans les années 30 pour ses articles dans La Gazette du Bon Ton et le Jardin des Modes, Marcel Astruc publie au lendemain de la crise de 29, Trois mois payés aux Editions du Tambourin. L’ouvrage a été réédité en 2009 aux Editions du Dilettante.