Les discussions à l'Assemblée nationale, autour de la loi Vente à distance de livres, ont eu lieu ce matin, avec, comme cela été attendu, un renvoi au Sénat, pour une seconde lecture. La ministre, Aurélie Filippetti, est venue présenter aux députés les raisons pour lesquelles il fallait gagner du temps. Mais dans l'hémicycle, il s'est au moins trouvé une personne pour douter sérieusement des arguments avancés par le ministère de la Culture. C'est heureux.