Penguin et Random House viennent de publier des chiffres qui montrent, pour chacun, leur implication dans l'avenir de la planète. Uhne constante dans cette industrie que Green Press avait signalée dans un rapport encourageant.
Pour marquer le premier anniversaire de cette création, l'éditeur témoigne qu'il a passé à 16 % sa consommation de papier recyclé pour 2007, ce qui permettrait, selon ses chiffres de sauver 309.058 arbres. Selon ses estimations, 88 % de son impact carbonique provient du papier, et qu'en limitant cet usage, il a réussi à épargner à la planète les rejets représentant environ 2970.
L'économie d'énergie est aussi au programme, en diminuant la température de ses locaux de New York, avec l'utilisation d'ampoules à économie d'énergie, et en utilisant un approvisionnement électrique issu d'éoliennes. Une économie de 264.000 kilowatts-heures, au cours des six derniers mois.
La diminution de son empreinte carbone est la priorité pour les prochains mois, puisque son indice à augmenté de 52 % l'an dernier. Du fait de nouveaux clients et de son activité de distribution, explique-t-on.
Le Pingouin veut sauver les arbres pour sa banquise
De son côté, l'éditeur a annoncé son soutien pour une campagne majeure lancée par The Nature Conservancy nommée Plantez un milliard d'arbres. À compter d'hier et jusqu'à août, l'éditeur va inciter les gens à offrir 1 dollar pour planter des arbres. « », explique Maureen Donnelly, vice-présidente et directrice de la publicité chez Penguin Classics.
À travers une campagne de publicité dans des journaux, comme le New York Times Book Review, mais également des aménagements d'espaces chez des revendeurs, on assure la promotion de cette initiative. Une trentaine de librairies ont placardé l'affiche de l'éditeur, selon Maureen, indiquant que Powells.com et Amazon participeront à travers leurs boutiques en ligne.