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Vésperas

Extraits

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Littérature étrangère

Vésperas

Vésperas parle de la finitude et de l'éternité à partir d'un thème : la mort de certaines des romancières parmi les plus brillantes de la littérature mondiale, Dorothy Parker, Virginia Woolf, Clarisse Lispector, Colette, Katherine Mansfield, Sylvia Plath, Zelda Fitzgerald, Ana Cristina César, Julia da Costa. Il s'agit de neuf textes décrivant des moments extrêmes, où, utilisant la littérature comme thème et source d'inspiration, l'auteur s'emploie avec finesse à dissoudre les limites entre fiction et biographie.

04/2005

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Poésie

Soupçon vespéral

"J'écris parce que je ne peux pas. Voilà où se terre la première semence de l'encre". Regard intransigeant sur soi, Soupçon vespéral est une recherche, celle de ce qui tient à l'intérieur de soi, à l'ombre du masque et du visage. C'est cette querelle intérieure qui entame le livre, une réflexion qui s'entame la nuit et s'y approfondit au crépuscule d'une aube après l'enlisement nocturne. C'est le fruit de ces embruns, de ces morceaux effleurés qui vous est offert.

06/2022

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Poésie

Vénéfices

Vénéfices est d'un vert émeraude tirant sur le violet vespéral. Vénéfices est une pharmacopée de plantes vénéneuses et alliées, un souhait prononcé dans une forêt ensorcelée. Vénéfices est aussi une tache de lumière sur une route terre de sienne brûlée, quand dans la nuit on croise des louves-chamanes et des prêtresses de feu aux yeux de panthères. Vénéfices est l'histoire d'une transformation à la rencontre des différentes magies qui irriguent nos veines, bleue, verte, rouge ou noire, de nos divinités intérieures, celles qui inspirent, celles qui coupent et celles qui accouchent. Vénéfices est le chemin d'une maïeutique de soi.

10/2023

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Littérature française (poches)

Les violons parfois

Le décor de la comédie a été peint par Balzac. C'est un salon de province cossu de Poitiers, dont les fenêtres donnent sur la place d'Armes. Parfois, les violons s'accordent au loin pour le concert vespéral. Dans ce salon, fouettés d'un peu d'alcool, Charlotte et Antoine pratiquent l'oisiveté et la conversation. Leur amour n'est qu'un souvenir. Leur aisance matérielle est précaire. La mort d'un oncle et l'irruption d'un jeune héritier inattendu viennent bousculer ce fragile équilibre et cette fausse douceur de vivre. Léopold est assez joli garçon. Il est léger, rêveur, désintéressé. L'erreur serait de prendre pour un crétin ce innocent qui ne demande qu'à aimer...

04/1989

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Romans policiers

Scato le parfait

"Scato Martini est un homme "parfait" de 23 ans, au langage châtié. Il revient en urgence dans sa ville natale où des assassinats et des enlèvements mettent sa famille en danger. A l'aide du commissaire Vespera, le jeune homme entreprend de retrouver les coupables. Ce retour va le contraindre à renouer avec Matteo un père détesté, adepte d'argot et de jurons, un père qui néologise à tout-va, qui fait fi des conjugaisons, qui triture les mots, les intervertit, les recycle. Ce charabia désopilant va hérisser la précision lexicale du héros qui finit par admettre que le sabir paternel lui stimule les neurones, mais ce père est madré, un peu manipulateur, se joue sans vergogne de ses interlocuteurs et Scato réalise qu'il est loin d'être bête. Doit-il l'exclure des suspects ? "

06/2021

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Littérature étrangère

Chroniques d'un trimardeur japonais en Amérique

"Mes souvenirs s'envolent : New York dans le crépuscule pluvieux, Detroit sous la neige, le fin fond du Kentucky aux mille fleurs d'automne, les trottoirs de Montréal, Canada, auxquels va si bien la lune, les averses de Memphis dans le Tennessee, le soleil estival à son zénith dardant ses rayons sur Lima et l'embrasement vespéral des forêts de Toledo, ou encore le brouillard de Pontiac, mais surtout la vie dans une pension de Chicago aux étés si courts -" Humoristiques et avant-gardistes, ironiques et mélancoliques, les récits qui composent les Chroniques d'un trimardeur japonais en Amérique, rédigés à partir de 1925, un an après le retour de leur auteur des Etats-Unis, offrent aux lecteurs une autre image de l'Amérique de la prohibition, à travers les yeux d'un jeune Japonais facétieux confronté aux difficultés rencontrées au fil des jours et partagées avec ses compagnons de route.

05/2019

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Critique littéraire

La Vraie Nature des ombres

Ce sont des fictions, des fables, des randonnées, des apologues, des tableaux, des rêveries, des souvenirs, des propos rapportés. On y croise des personnages qui portent des noms connus : Giotto, Novalis, Jouve, Duchamp, Robert Walser, Proust, Kantor, Darwin, Emmanuel Hocquard, Copernic, Roger Laporte, Wittgenstein, Borgès, Leiris, Broch, Hokusaï et son poulet, Roger Caillois, Saenredam, Yves Klein, André Hardellet, Oblomov, Elias Canetti, Pierre Klossowski, Fontana, Bram van Velde, Jacques Roubaud, Cioran, Roger Lewinter, Boswell, Claude Royet-journoud, Steinberg et son chat, Yves Bonnefoy, Paul Auster, Jens Peter Jacobsen, Saint-Simon, Jacques Dupin et son singe Boubou, joseph Roth, Holbein, Linné, Edmond Jabès, Robert Musil, Mario Merz et son visiteur vespéral, Samuel Beckett, Hiroshige, Sandro Penna, Mondrian, Audubon, Pierre Morhange, Leibniz, et d'autres qui sont anonymes. Il y a aussi un flamant rose, un hérisson, des grenouilles, un ourson bien léché, un chameau du genre à passer par le chas d'une aiguille et quelques échiquiers.

05/2000

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Littérature française

Fuyu. Les cinq saisons du senseî

Un soir de mi-janvier, avec juste ce qu'il faut de brume aux naseaux pour s'apercevoir qu'on respire. Un petit footing vespéral pépère, et paf, tout d'un soudain, tout bascule dans l'horreur. Je passe en quelques minutes de l'honorable statut de directeur d'un petit centre culturel français, à celui moins enviable mais fortement médiatisé d'ennemi public numéro 1. Moi, en tueur de donzelles, ça va pas la tête, non ? A la vitesse de la lumière, ma cervelle enclenche le turbo, et mon Q.I à trois gros chiffres met au point un plan génial, mais flûte de bique, le fameux grain de sable si cher à tout bon scénariste, m'oblige à improviser un plan B. Ca semble marcher, mais voilà que surgissent les yakuza (la maffia japonaise), qui me font une invitation bien difficile à refuser. Et pour simplifier les choses, Kobé nous gratifie d'un séisme hollywoodien. Finalement, tout va rentrer dans l'ordre, avec pour moi, en petit plus toute une bande de nouveaux copains, du côté des uniformes et des borsalino. Je vous laisse faire le tri.

06/2017

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12 ans et +

Gardiens des cités perdues Tome 7 : Réminiscences

Vous rêvez de visiter l'atlantide ou la mythique cité de Shangri-La ? Suivez le guide ! Sophie ne sait plus quelle stratégie adopter. Ses amis eux-mêmes semblent avoir perdu la foi : leur retentissante victoire en Atlantide aurait dû marquer un tournant décisif dans le combat contre les Invisibles, et pourtant la lutte paraît au point mort. Toujours prêtes à déstabiliser le monde des elfes, Vespéra et Lady Gisela ont disparu dans la nature. Quant à Fintan, prisonnier du Conseil, il refuse obstinément de révéler quoi que ce soit de leurs sombres plans. Pour couronner le tout, les jeunes recrues du Cygne Noir reçoivent un véritable coup de massue à l'énoncé du verdict du procès d'Alvar, toujours amnésique. Mais quand Sophie et Fitz, victimes d'une nouvelle attaque, échappent de justesse à la mort, ils n'ont plus guère le choix. S'ils veulent garder une chance de l'emporter face à ces ennemis sans pitié, il leur faut dès à présent changer radicalement de tactique pour adopter celle de leurs adversaires – quitte à trahir leur nature et leurs plus intimes convictions... Dans ce septième tome de Gardiens des Cités perdues, Shannon Messenger fait sortir de l'ombre, avec un délice évident, les secrets les plus inquiétants du monde des elfes... Sophie Foster n'a pas fini de vous réserver des surprises !

11/2018

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Ouvrages généraux

Une méditation sur l'Europe

Très populaire en Allemagne, José Ortega y Gasset est invité au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en 1949, à prononcer une conférence à l'université libre de Berlin sur l'Europe. C'est tout l'objet de cette " méditation " transformée aussitôt en livre et qui est traduit ici pour la première fois en français. Ortega invite ses auditeurs à ne pas céder au découragement. En dépit du cataclysme que vient de subir l'Europe, le moment de l'après-guerre est celui d'un crépuscule matinal et non pas vespéral. Voici comment il conçoit sa méditation : " [L'Europe] existe antérieurement aux nations qui sont aujourd'hui si clairement profilées. Ce qui, oui, sera nécessaire, ce sera de donner à cette réalité si vétuste une nouvelle forme. Loin d'être un simple programme politique pour un avenir immédiat, l'unité européenne est le seul principe méthodique qui permette de comprendre le passé de l'Occident. " L'avenir de l'Europe est alors envisagé par Ortega à la lumière des événements qui ont marqué l'entre-deux guerres : à ses yeux, les nations qui la composent sont arrivées à un instant où, dit-il " elles ne peuvent se sauver que si elles parviennent à se dépasser elles-mêmes en tant que nations, c'est-à-dire si l'on parvient à actualiser en elles l'opinion qui veut que la nationalité comme forme la plus parfaite de vie collective est un anachronisme : privé de tout avenir fécond, il est, en somme, historiquement impossible. " Ortega y Gasset délivre ici un message d'optimisme dans une Europe encore livrée aux ruines. Son message n'en a que plus d'écho aujourd'hui.

09/2023