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Une mer jalousée. Contribution à l'histoire de la souveraineté (Méditerranée, XVIIe siècle)

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Histoire internationale

Une mer jalousée. Contribution à l'histoire de la souveraineté (Méditerranée, XVIIe siècle)

Comment disait-on le droit sur les mers à l'époque moderne ? Par quels dispositifs les pouvoirs politiques dotés d'une façade maritime tentaient-ils de faire respecter un pouvoir de "juridiction", entendu comme un "droit de dire le droit", sur un espace liquide particulier ? Ces questions sur la liberté, la communauté et l'empire des mers ont donné lieu à une grande controverse juridique livrée à l'échelle du globe. Une mer jalousée propose d'en faire l'histoire à partir de l'observatoire méditerranéen. De la mer Adriatique aux mers du Levant, du golfe du Lion aux littoraux nord-africains, l'enquête décline à différentes échelles, depuis les bureaux des juristes jusqu'aux ponts des navires, un large éventail de conceptions concurrentes des limites maritimes et des eaux "territoriales". Ce faisant, l'ouvrage revient, au carrefour de l'histoire, du droit et de la philosophie, sur des notions juridiques cardinales de la pensée politique moderne, telles que la "propriété", "l'occupation", la "possession" et la "souveraineté". Guillaume Calafat les inscrit dans une généalogie de longue durée embrassant l'histoire antique et médiévale, les textes du droit romain et leurs commentaires médiévaux, les lois byzantines comme la normativité musulmane. Une mer jalousée s'appuie ainsi sur une centaine de textes imprimés à propos de la domination des mers, en les croisant avec des libellés manuscrits, des atlas, des cartes, des traités, des gravures, afin de brosser le portrait d'une mer au statut disputé et incertain.

04/2019

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Histoire internationale

La mer des califes. Une histoire de la Méditerranée musulmane (VIIe-XIIe siècle)

Fernand Braudel reconnut l'Islam comme l'une des grandes civilisations méditerranéennes, mais comme un acteur de second plan durant les siècles de croissance des échanges en Méditerranée. Dans son sillage, l'ensemble des histoires de la Méditerranée médiévale accordent une place subalterne aux marins de l'Islam, généralement relégués au rang de pirates. Cet ouvrage propose une histoire totalement renouvelée de l'espace méditerranéen. La production écrite des Arabes, extrêmement prolifique durant toute la période médiévale, et la documentation archéologique en pleine croissance permettent de réévaluer le rôle des musulmans dans l'histoire de la Méditerranée, dont tant de sites portent encore la trace. On découvre alors que les califes et les oulémas ne se sont pas détournés de l'espace maritime, bien au contraire. Dix ans après le début de la conquête des régions méditerranéennes, les musulmans investissent la Méditerranée. Des marins, guerriers et marchands, ne cessent de la sillonner tandis qu'elle est abondamment décrite par les géographes, cartographes et encyclopédistes. Territoire du jihad des califes par excellence, elle n'a cessé de faire l'objet d'une attention soutenue de la part de l'Islam médiéval.

01/2015

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Histoire de France

Les Chemins de la mer. Saint-Tropez : petit port méditerranéen (XVIIe-XVIIIe siècles)

ST-TROPEZ, " pittoresque port de pêche ", " aimable port de cabotage ". Sain Trop', " fille de la mer " et station balnéaire internationale... Les clichés et les réalités sont connus qui écrasent un passé maritime réduit aux labels de cité " corsaire " ou " du bailli ". Pourtant Saint-Tropez, petit port d'un complexe portuaire centré sur Marseille a connu de la fin du XVIIe siècle au début du siècle, un temps de croissance de l'espace urbain et de la population en réponse au dynamisme de la vie maritime. Plus de la moitié de la population active masculine est alors composée de marins soumis au service des classes sur les vaisseaux du roi. A côté d'une petite pêche côtière aux techniques traditionnelles qui ne mobilise qu'un nombre réduit de travailleurs, des fermiers exploitent des pêcheries fixes ou madragues pour la capture des thons, source de revenus et objets de longs conflits. Toutefois Saint-Tropez est avant tout un port d'armement qui dispose d'une flotte marchande importante - la troisième en nombre et en tonnage de la France méditerranéenne au XVIIIe siècle -, variée et en constant renouvellement, issue de chantier locaux ou voisins. Ces bâtiments de mer sont mis au service d'un petit cabotage pour approvisionner la cité relativement isolée et distribuer les ressources de terroirs voisins (bois. vin, châtaignes, liège). Les navettes, lignes et circuits établis entre le Languedoc, la Provence, la rivière génoise et la Toscane dessinent les contours de cet espace marchand et rendent compte d'un grouillement le long des rives méditerranéennes. Cependant, si le cabotage de proximité anime le mouvement portuaire, les expéditions vers le Levant demeurent fondamentales. La caravane maritime, forme de tramping dans le bassin oriental de la Méditerranée et vers l'Afrique du nord donne les impulsions majeures à la vie de la cité, jusqu'à définir le XVIIIe siècle tropézien. Dans ce type de navigation. où se mêlent transport et négoce, les capitaines colporteurs ou " vagabonds des mers " à l'instar du modèle génois. sont les pivots d'entreprises originales. Ces capitaines aventuriers. qui pratiquent la cueillette dans les eaux ottomanes sont au coeur d'organisations marchandes qui apporter aux sociétés des petits ports d'armement la flexibilité indispensable pour se glisser dans les interstices laissés libres par Marseille. Le cas de Saint-Tropez tend à montre combien un petit port peut être un observatoire et le miroir des mutations des sociétés littorales et des économies maritimes considérées sur le temps long.

05/2010

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Ouvrages généraux et thématiqu

Une mer pour les réunir tous. Etudes sur l'histoire de la Méditerranée (IXe-XVIIe siècle) offertes à Bernard Doumerc

Les 23 études d'histoire réunies dans ce volume donnent à voir la diversité des mondes méditerranéens au Moyen Age avec une attention particulière pour Venise et sa zone d'influence. Depuis le début de sa carrière, Venise a été pour Bernard Doumerc un poste d'observation d'où scruter une Méditerranée dont il n'a cessé d'explorer la diversité. Sans négliger les grands mouvements et les grandes figures de l'histoire, son regard a souvent porté vers des espaces et des groupes humains que l'historiographie française ne met que trop rarement en valeur. Désireux de lui rendre hommage au moment où il faisait valoir ses droits à la retraite, les jeunes chercheurs qu'il a formés à l'université de Toulouse et ses collègues ont conçu cet ouvrage comme une mosaïque d'études qui prolongent ses propres réflexions (sur les sociétés urbaines, les circulations marchandes, les conflits interconfessionnels) en embrassant la totalité de l'espace méditerranéen, de la mer Noire au premier Atlantique.

01/2024

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Encyclopédies de poche

La Méditerranée au XIIe siècle

Le XIIe siècle voit l'expansion militaire et commerciale de l'Occident latin en Méditerranée, au détriment du monde byzantin et du monde musulman. Par-delà les guerres, l'économie et la culture occidentales s'enrichissent au contact de l'Orient, dans la Sicile normande, dans l'Espagne de la Reconquête et dans l'Orient des croisades. Ce livre propose donc un tableau des trois grandes civilisations du monde méditerranéen au XIIe siècle et de leurs influences réciproques.

10/1997

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Histoire internationale

Venise et la mer. XIIe-XVIIIe siècle

A trop admirer aujourd'hui Venise pour son site, pour ses palais et ses églises, pour ses peintres, ses musiciens et ses écrivains, on risque de négliger l'extraordinaire puissance économique, politique et géopolitique que la première et la plus belle des villes marchandes du monde a très longtemps représentée. Si l'on situe au XIVe siècle l'apogée de la thalassocratie qu'elle a créée, la Méditerranée a dû compter avec elle dès le XIIe siècle jusqu'à l'approche de la chute finale à la fin du XVIIIe siècle : l'Adriatique et la mer Ionienne évidemment, les Balkans, le Levant, le Pont (mer Noire), et même la Méditerranée occidentale, une bonne partie des grandes îles (Chypre, Crète), mais aussi l'Europe alpine et la péninsule italienne en totalité ! Sa fortune et sa gloire, cette ville incomparable les doit bien sûr au commerce, ici évoqué avec une précision et une force d'évocation exceptionnelles, et sous ses aspects innombrables de la construction des bateaux au financement des voyages, des marchandises transportées (épices, sel, coton, sucre...) aux contrats de travail des matelots et des rameurs, des tarifs douaniers, de la fiscalité et du crédit aux questions monétaires, de la formation et de la perpétuation d'une noblesse marchande aux compétitions politiques et aux entreprises guerrières, c'est la mer qui fait la vie de la Sérénissime.

10/2006

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Histoire de France

Le monde méditerranéen du VIIe au XIIIe siècle

Du VIIe au XIIIe siècle, le monde méditerranéen est le théâtre des affrontements militaires, politiques et religieux des civilisations chrétiennes occidentale et byzantine, musulmane et juive. Mais ce monde profite de leur complémentarité, et sa culture et son économie s'enrichissent à ces contacts. Les traits événementiels sont toujours à rappeler. Il convient également de réfléchir sur les textes, laissés par les Catalans, les Italiens, les Musulmans, les Croisés et les frères pourchasseurs d'hérésies, tous témoins de ces mondes.

06/2000

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Sciences historiques

La culture des apparences. Une histoire du vêtement (XVIIe-XVIIIe siècle)

Comment les Français et les Françaises s'habillaient-ils aux XVIIe et XVIIIe siècles, à Paris et en province, en ville et à la campagne ? Comment choisissaient-ils les tissus et les couleurs de leurs vêtements, leurs modèles et leurs formes ? Beaucoup plus qu'aujourd'hui, les manières de se vêtir sous l'Ancien Régime traduisent l'influence des codes sociaux, des impératifs moraux et religieux dans la vie quotidienne. Les conventions vestimentaires soulignent la hiérarchie des apparences : chacun doit paraître ce qu'il est. Mais chacun peut aussi paraître ce qu'il veut, et dès le XVIIe siècle, le jeu des modes, la montée de la civilisation urbaine entraînent l'effritement des signes vestimentaires. Signe distinctif, le vêtement est objet de nécessité. De la production des tissus à la confection des vêtements et à leur entretien, toute une économie se met en place, à la fois cause et conséquence des transformations de l'habillement. L'étude des techniques de fabrication et des circuits de diffusion _ achat, vol, imitation _ montre l'ingéniosité des libertés humaines et l'effet du changement dans une société stable, voire bloquée. Paris devient le centre d'un vaste commerce des habits de luxe. Le vêtement est encore objet de désir. Le tissu est un langage et ses agencements, le jeu des dévoilements et de dissimulation d'une robe, les ampleurs et les resserrements d'un costume illustrent l'évolution des moeurs, de la pudeur, de l'hygiène, de l'imaginaire. Le vêtement, comme le livre, diffuse et multiplie des informations sans cesse croissantes et tous, peu à peu, apprennent à le maîtriser. Ainsi se joue avant la Révolution une transformation capitale pour les sociétés occidentales. L'histoire des apparences enregistre tous les conflits politiques, religieux, sociaux de l'ancien monde, permettant de comprendre les logiques de l'avenir, celles des sociétés de consommation. Daniel Roche est professeur à l'Université de Paris I et directeur d'études à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur les Lumières et sur l'histoire de la société, notamment Le Peuple de Paris et Les Républicains des Lettres.

09/1989

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Histoire de France

La France industrielle aux XVIe, XVIIe, XVIIIe siècles

Tous les éléments que nous croyons typiques de la " révolution industrielle " sont en place sous l'Ancien Régime : populations ouvrières, villes industrielles, division du travail, concentration de la main-d'œuvre et des ateliers, vastes usines, maladies professionnelles, ouvriers spécialisés, grèves, machines, logement ouvrier, travail des enfants, misère ouvrière, polllution... La France paysanne de 1789 serait-elle un mythe ?

07/1993

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Sciences historiques

La violence, une histoire sociale. France, XVIe-XVIIIe siècles

Des hommes qui vengent leur père, leur frère ou leur soeur, des maris qui tuent en flagrant délit d'adultère, des pères qui mutilent l'enfant menaçant l'honneur de la famille... À partir des lettres de rémission, une source méconnue, bruissante des affrontements de violence et de sang qui traversent et perturbent les relations interpersonnelles, ce livre porte sur l'homicide vécu au quotidien, du siècle de la Renaissance à celui des Lumières : il en définit les composantes, il en esquisse l'évolution et ambitionne de proposer une explication globale en offrant un modèle de compréhension et d'intelligibilité de la société de l'époque moderne. L'évolution n'a pas été linéaire : la violence s'exacerbe au XVIe siècle, notamment dans le cas du duel, puis décline, jusqu'à atteindre un point bas dès le début du XIXe siècle. A la théorie du procès de civilisation, chère au sociologue Norbert Elias, maints aspects des affrontements du siècle de la Renaissance et des guerres de Religion ne se conforment pas. Aussi, la première originalité de cet ouvrage est-elle d'emprunter son paradigme explicatif à Emile Durkheim : la violence diminue parce que déclinent les causes qui y portent, c'est-à-dire l'attachement à des groupes, et d'abord aux groupes de parenté, ainsi qu'aux communautés confessionnelles au temps de la déchirure religieuse et des " guerriers de Dieu ". Ce livre permet de comprendre le poids des devoirs issus des liens du sang, encore très forts au XVIe siècle : à la fois une solidarité impérieuse et une obligation intransigeante de défense de son honneur, un honneur conçu comme collectif et absolu. L'attention accordée aux femmes est toujours très forte : épouses, soeurs et filles occupent, au coeur de ces conflits de violence, une position centrale. Une autre originalité de l'ouvrage est de calculer des taux d'homicide : taux très élevés dans le cas du duel, puis déjà bas dans la société rurale du XVIIIe siècle. Il montre enfin l'affaiblissement des liens de parenté, corrélé au resserrement du lien conjugal, ainsi que la relativisation et l'individualisation de l'honneur, portées par le désir de plus en plus impérieux d'un épanouissement individuel. L'aspiration au bonheur serait-elle le meilleur remède à la violence ?

02/2011

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Généralités

La Grande Mer. Une histoire de la Méditerranée et des Méditerranéens

"Le plus grand historien vivant de la Méditerranée" Andrew Roberts "Une réalisation grandiose" Sunday Times "Une étude mémorable" Sunday Telegraph Pendant quelque trois mille ans, le bassin méditerranéen a été un foyer de civilisation de premier ordre. Il a exercé une influence majeure sur les affaires du monde. David Abulafia retrace ici l'histoire d'une mer à hauteur d'homme, de la guerre de Troie à la piraterie, des batailles navales entre Carthage et Rome à la diaspora juive des mondes hellénistiques, de la montée de l'Islam aux Grands Tours du XIXe siècle jusqu'au tourisme de masse du XXe siècle. Plutôt que d'imposer une unité artificielle à l'activité foisonnante qui se déroule à la surface de la "Grande Mer" , David Abulafia insiste sur sa diversité, qu'elle soit ethnique, linguistique, religieuse ou politique. Au coeur de sa thèse se trouve l'idée que la prospérité de cités maritimes telles qu'Alexandrie, Trieste, Salonique, Venise et beaucoup d'autres, a reposé pour une large part sur leur capacité à accueillir peuples, religions et identités et à leur permettre de coexister : la Méditerranée a incarné pendant des millénaires ce lieu exceptionnel où religions, économies et systèmes politiques se sont rencontrés, affrontés, influencés et finalement assimilés. David Abulafia combine la recherche historique la plus exigeante avec le style enlevé du conteur. Son histoire de très longue durée a été unanimement saluée comme une splendide réussite.

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Généralités

La Grande Mer. Une histoire de la Méditerranée et des Méditerranéens

Pendant quelque trois mille ans, le bassin méditerranéen a été un foyer de civilisation de premier ordre. Il a exercé une influence majeure sur les affaires du monde. David Abulafia retrace ici l'histoire d'une mer à hauteur d'homme, de la guerre de Troie à la piraterie, des batailles navales entre Carthage et Rome à la diaspora juive des mondes hellénistiques, de la montée de l'Islam aux Grands Tours du XIXe siècle jusqu'au tourisme de masse du XXe siècle. Plutôt que d'imposer une unité artificielle à l'activité foisonnante qui se déroule à la surface de la " Grande Mer ", David Abulafia insiste sur sa diversité, qu'elle soit ethnique, linguistique, religieuse ou politique. Au cour de sa thèse se trouve l'idée que la prospérité de cités maritimes telles qu'Alexandrie,Trieste, Salonique, Venise et beaucoup d'autres, a reposé pour une large part sur leur capacité à accueillir peuples, religions et identités et à leur permettre de coexister : la Méditerranée a incarné pendant des millénaires ce lieu exceptionnel où religions, économies et systèmes politiques se sont rencontrés, affrontés, influencés et finalement assimilés. David Abulafia combine la recherche historique la plus exigeante avec le style enlevé du conteur. Son histoire de très longue durée a été unanimement saluée comme une splendide réussite.

03/2024

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Histoire internationale

L'Histoire à parts égales. Récits d'une rencontre, Orient-Occident (XVIe-XVIIe siècle)

S'il n'a jamais été autant question "d'histoire-monde", c'est souvent la même histoire du monde qui s'écrit : celle de l'Europe et de son "expansion" en Afrique, en Asie et aux Amériques. Comme si les sociétés extra-européennes se trouvaient toujours réduites à leur rapport à l'Europe. Pour Romain Bertrand, il n'est d'autre remède à cet européocentrisme obstiné qu'une histoire à parts égales, tramée avec des sources qui ne soient pas seulement celles des Européens. C'est ce qu'il propose dans ce texte, en offrant le récit détaillé des premiers contacts entre Hollandais, Malais et Javanais au tournant du XVIIe siècle.

09/2014

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Histoire des femmes

Les femmes et l'histoire familiale. XVIe-XVIIe siècle

Réunissant les écrits de Renée Burlamacchi et de Jeanne du Laurens, cet ouvrage propose de rares images de la vie familiale et une perspective personnelle sur l'expérience féminine pendant les troubles civils et religieux de la seconde moitié du xvie siècle. L'introduction présente la vie de ces mémorialistes.

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Genres et mouvements

Les femmes et l'histoire familiale (XVIe-XVIIe siècle)

Réunissant les écrits de Renée Burlamacchi et de Jeanne du Laurens, cet ouvrage propose de rares images de la vie familiale et une perspective personnelle sur l'expérience féminine pendant les troubles civils et religieux de la seconde moitié du xvie siècle. L'introduction présente la vie de ces mémorialistes.

01/2008

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Beaux arts

Histoire générale des arts appliqués à l'industrie, Ve-XVIIIe siècle. Tome 6. Les tapisseries, XIIe-XVIe siècle

Histoire générale des arts appliqués à l'industrie du Ve à la fin du XVIIIe siècle. 6, Les tapisseries du XIIe à la fin du XVIe siècle / par Jules Guiffrey Date de l'édition originale : 1911 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2020

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Littérature étrangère

Catalogue d'estampes des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles

Catalogue d'estampes des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles... / [expert] Loys Delteil Date de l'édition originale : 1908 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2020

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Atlas

Atlas des guerres. Epoque moderne XVIe, XVIIe, XVIIIe siècles

Marignan, Lépante, Vauban, Pierre le Grand, Bonaparte... Ces noms résonnent dans l'histoire de la guerre moderne et ont traversé les époques : les XVI?, XVII?, XVIII? siècles restent les grands siècles de l'innovation dans le domaine de la guerre. La guerre moderne déferle sur terre et sur mer. Aucun lieu du globe n'est épargné. Les Européens, dans leur expansionnisme colonial, se confrontent d'abord aux populations locales. Puis ces champs de bataille deviennent des lieux de conflits entre les nations occidentales elles-mêmes, donnant à la guerre une dimension mondiale.Les révolutions scientifiques et techniques, les réformes tactiques et stratégiques vont servir empires et royaumes et favorisent le développement de nouvelles façons de combattre : poudre noire et canon, artillerie de campagne, guerre de course, création d'une administration étatique structurée...Toutes ces transformations, représentées par plus de 230 cartes et documents, s'inscrivent dans un contexte de mutations politiques, financières, sociales et culturelles fondamentales qui feront basculer l'Europe et le monde dans la modernité.

02/2023

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Autres

Libertinage et philosophie à l'époque classique (XVIe-XVIIIe siècle) N° 18/2021 : L'usage de la métaphysique chez les matérialistes des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles

Contributeurs : Delphine Bellis, Emmanuel Boussuge, Elodie Cassan, Guillaume Coissard, Claire Fauvergue, Angela Ferraro, Nicole Gengoux, Pierre Girard, Giulio Gisondi, Philippe Hamou, Mogens Laerke, Antony McKenna, Gianluca Mori, Alain Mothu, Francesco Paolo Raimondi, Mitia Rioux-Beaulne, Marco Storni, Manuel Tizziani, Charles Wolfe et Falk Wunderlich.

10/2021

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Beaux arts

Catalogue de livres anciens à figures, XVe, XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles

Catalogue de livres anciens à figures (XVe, XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles) dont un grand nombre à figures sur bois... Date de l'édition originale : 1892 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2021

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Beaux arts

Estampes, écoles anciennes des XVIe et XVIIe siècles, portraits français du XVIIe siècle. écoles française et anglaise du XVIIIe siècle

Estampes, écoles anciennes des XVIe et XVIIe siècles, portraits français du XVIIe siècle... , écoles française et anglaise du XVIIIe siècle... / [expert] Loys Delteil Date de l'édition originale : 1901 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

11/2020

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Beaux arts

Catalogue d'une collection d'étoffes des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles

Catalogue d'une collection de belles étoffes des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles / [expert] Charles Mannheim Date de l'édition originale : 1874 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2021

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Littérature française

Histoire politique et sociale de Briançon - XVIIe-XVIIIe siècles

Découvrez l'histoire du Briançonnais, ancien territoire du Saint Empire Romain Germanique, comme vous ne l'aviez jamais entendue ! Le 29 mai 1343, le bailliage de Briançon achète à son seigneur, le dauphin Humbert II, la liberté de ses habitants et son autonomie organisationnelle. Lorsqu'en 1349, le Dauphiné intègre le royaume de France, les privilèges briançonnais demeurent préservés et ils le resteront durant tout l'Ancien Régime. Le tiers état devient rapidement le seul ordre qui existe à Briançon. Des classes qui le composent s'affrontent alors pour accéder au sommet de l'échelle sociale et pour s'emparer du pouvoir politique local. Ces luttes intestines culminent aux XVIIe et XVIIIe siècles. Les briançonnais portent leurs discordes devant le parlement de Grenoble et les judiciarisent à l'extrême. Les procès induisent une médiatisation des conflits devant une instance supérieure et, s'ils ouvrent la voie de la violence verbale, ils ferment totalement celle de la violence physique. Aucune émeute ne trouble Briançon qui demeure paisible. Même à leur paroxysme, les antagonismes gardent un certain degré de civilité. Lorsque débute la Révolution française dans le Dauphiné, les briançonnais se démarquent par leur refus d'adhérer aux valeurs nouvelles. Ils veulent conserver le régime particulier qui a réglé sous l'Ancien Régime leur vie politique et sociale. Parce que durant quatre siècles et demi, un petit territoire de France situé aux confins du royaume était qualifié par ses habitants de petite république. L'histoire politique et sociale de Briançon vue à travers le prisme des conflits montre que les procès sont le produit d'une histoire et façonnent une histoire. Un ouvrage historique d'une grande richesse se lisant comme une chronique de la vie politique et sociale de Briançon. Marie-Claude Revol est née le 9 juin 1955. Docteur en droit, elle est retraitée de la magistrature judiciaire. Histoire politique et sociale de Briançon XVIIe-XVIIIe siècle est son deuxième ouvrage aux Editions Persée.

11/2021

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Histoire de France

L'Ancien Régime (XVIe-XVIIe siècle)

Les XVIe et XVIIe siècles occupent une place particulière dans l’historiographie. Pour les uns, ils marquent la rupture avec l’obscurantisme médiéval et le cheminement vers le progrès ; pour les autres, ils sont une époque troublée, enserrée entre les guerres de religion et les coûteuses conquêtes du Roi Soleil. Les faits sont tout à la fois plus complexes et plus simples : les guerres d’Italie permettent à la France de développer une culture rayonnante, mais lui font passer à côté de la conquête océanique ; les esprits se libèrent du carcan idéologique du dogme, mais l’unité éclate et les guerres de religion sont sanglantes ; Louis XIV rayonne en Europe, mais son peuple ne connaît pas la paix.

08/2013

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Théâtre

Une brève histoire de la Méditerranée

La Méditerranée est un infini de temps, d'espaces et de récits. Racontée à l'échelle d'un homme, elle déborde. Le K est né sur une île des Cyclades. Jeté à l'eau par l'éruption volcanique sous laquelle son monde s'écrase, il parcourt l'espace maritime. Il apprend à naviguer, tombe amoureux d'une murène, voit la mer se vider d'elle-même, réchappe de la peste, se convertit au christianisme, retrouve sa soeur, la prête sur gage, rêve de construire un canal pour raccourcir la route des Indes, repeuple un harem délaissé, traverse les guerres balkaniques, écume les stations balnéaires, s'interrompt face aux migrants.
A chacune de ses noyades, il dresse la typologie de la faune poissonneuse. Petit homme dans un espace trop grand pour lui, il rencontre, au fil des lieux et des siècles, des rivages possibles. Le K est un homme de Méditerranée, il exagère la mer, il rit pour l'apprivoiser, pour l'inviter sur les plateaux de théâtre.

11/2016

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Sciences historiques

Histoire de la nuit. XVIIIe - XVIIIe siècle

Dans l'Europe des Temps modernes, la nuit, c'est une absence de lumière qui a (très) partiellement partie liée avec l'horloge biologique. En effet, c'est surtout en s'ajustant à nos rythmes internes que le jour s'apparente à la veille et la nuit au sommeil. Et c'est pourtant elle qui resta longtemps la mesure du temps quotidien, de la Scandinavie à la péninsule italienne. Simultanément, cette noirceur des paysages se peuple de présences innombrables, s'investit de lieux mythiques, se remplit de croyances et d'imaginaires, induit une autre manière d'être au monde, une autre façon d'appréhender le sensible, proche ou lointain. Absence-présence, tel quel, ce couple constitue l'une des contradictions qui surgissent lorsque l'on tente d'appréhender la nuit. Espace et temps, la nuit l'est tout ensemble. Certains l'assimilent à une frontière, voire à une " dernière frontière " à conquérir. Notion éminemment spatiale qui renvoie à la fois à cette volonté humaine de remplir la totalité d'un environnement et à des perceptions inconnues de l'espace qu'impose l'effacement de la lumière. La nuit induit encore un système de représentations et de pratiques qui peuvent aussi bien s'affronter que se soutenir. Ainsi les visions négatives de la dangereuse et angoissante " nocturnité " conduisent-elles à la prise de mesures successives pour assurer l'ordre urbain. En tout cas, la relation complexe et la confrontation de ces deux éléments font de la nuit un objet en construction permanente, loin d'une image où les rôles seraient définitivement édictés entre l'action diurne et le repos nocturne. Ainsi, la nuit n'est sûrement pas l'envers du jour. Elle est un autre temps qui possède des particularités essentielles non transposables.

03/2009

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Histoire de France

La police des Lumières. XVIIe-XVIIIe siècle

Les forces de police entretiennent une histoire d'amour et de haine avec les populations qu'elles doivent servir et encadrer. Portées aux nues lorsqu'elles protègent, elles sont en partie rejetées lorsqu'elles contraignent. Cette dualité ne date pas d'hier ; pour mieux la comprendre, Nicolas Vidoni propose un essai sur la naissance et le développement des "politiques policières" pratiquées par les agents de la lieutenance de police de Paris entre 1667 et 1789. Forte de sa "capacité à agir" dans et sur l'espace urbain, la lieutenance a en effet réussi à s'imposer comme un des acteurs majeurs dans la ville d'Ancien Régime. Comprendre la police exercée par cette dernière revient ainsi à envisager une expérience forgée au contact de la capitale et sa population et qui remodèle finalement l'Etat royal. Cette histoire est enfin d'une grande modernité, puisque si les termes ont changé, la question du rapport entre police et population dans la cité reste d'une brûlante actualité. Mais au-delà de cette dimension politique - entendue au sens large - de la lieutenance, c'est bien son action pratique, donc le coeur de son activité, qui est le sujet de ce livre.

04/2018

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Histoire internationale

Censures et raisons d'Etat. Une histoire de la modernité politique (XVIe-XVIIe siècle)

Dès sa naissance, la raison d’Etat eut à voir avec la censure ; la congrégation de l’Index était chargée d’établir la liste des livres prohibés. Bien que celle-ci ait interdit en 1596 la publication et la lecture de tout livre sur ce sujet, on vit alors se multiplier les ouvrages révélant au public les secrets du pouvoir, que ce soit pour en faire la théorie, en justifier ou en critiquer les pratiques. Naquit alors un genre littéraire, dont les auteurs pouvaient être des gouvernants, comme Richelieu, des opposants, comme Machiavel, voire à la fois des familiers du pouvoir et des opposants, comme Gabriel Naudé. Travaillant l’ambigüité d’une notion à la fois interdite et proclamée, le livre de Laurie Catteeuw cherche dans le lien qui unit raison d’Etat et censure l’une des raisons d’être de la politique moderne. Son enquête, partant d’œuvres emblématiques, comme celle de Machiavel, condamnée dès le premier Index, met en lumière la construction de la notion dans l’Europe moderne. Née de la mise en cause de la raison d’Église, durant les guerres de Religion et de l’affirmation de l’autorité politique, la raison d’État se révèle sur la place publique une notion aux visages multiples et aux définitions volontiers contradictoires. L’une d’elles définie en référence au modèle du census romain, intègre au dénombrement des citoyens le contrôle de leurs moeurs ; une autre renvoie à l’exercice d’un jugement critique en matière politique ; la dernière, censure d’Église ou censure d’État, alors en voie de formation, vise la condamnation de certains ouvrages, et l’exercice d’un contrôle officiel des publications. Par son ambigüité et la variété de ses applications, la raison d’État fut un puissant outil dans le processus de constitution d’une opinion publique. L’enquête de Laurie Catteeuw va à l’encontre des idées reçues et montre que la raison d’État ne fut pas seulement l’instrument du pouvoir absolu ; à sa naissance participèrent aussi les opposants à ses pouvoirs, libertins et auteurs de libelles diffamatoires.

01/2013

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Haute-savoie

E Capoë : Rumilly aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles

" E Capoë ! ", "Eh quand même ! ". Telle aurait été la protestation naïve décochée par les Rumilliens aux troupes de Louis XIII qui demandent la reddition de la ville en mai 1630 et qui résonne comme un défi. Mais la légende dorée n'est pas le seul héritage des Temps modernes. Du XVIe au XVIII° siècle, la petite cité de Rumilly apparaît comme une ville de transition particulièrement dynamique, située à l'intersection des aires d'influence de Chambéry, d'Annecy et de Genève. Sa position sur un axe de grand trafic et les aménités de son territoire proche profitent à ses marchés et favorisent toute une gamme d'activités. Bastion de la Contre-Réforme, Rumilly devient une ville sonnante et accueille plusieurs ordres religieux dont les bâtiments modifient le facies de la localité. Dans un cadre qui demeure encore médiéval, même si l'époque voit tomber le lourd carcan des murailles, s'anime une société plurielle, avec ses solidarités et ses conflits. Cet ouvrage propose un tableau d'ensemble de la vie à Rumilly sous l'Ancien Régime à partir de nombreuses et diverses sources d'archives. Sont évoqués le paysage urbain, l'organisation municipale, les structures démographiques et sociales, les aspects religieux et intellectuels, les humeurs des habitants et les diverses facettes de l'existence quotidienne.

02/2022

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Histoire internationale

Privauté, gouvernement et souveraineté. Castille, XIIIe-XIVe siècle

Avant le temps des ministres-favoris de l'époque baroque, les rois de l'Europe médiévale ont compté dans leur proximité sur l'assistance de personnages souvent vus comme leur préfiguration. Appelé "privauté" (privanza), ce phénomène a pour fondement le choix de l'amitié contre la parenté. Ainsi, pour se libérer de ses parents et de ses barons, qui entendent exercer une emprise sur sa royauté, le roi lance ses privados. Néanmoins, si ceux-ci oeuvrent donc à une expulsion, ils organisent dans le même temps une participation alternative et plus large au gouvernement du roi. Dans la Castille de la fin du Moyen Age, ce phénomène se distingue par une continuité particulièrement propice pour interroger sons sens historique : réalisé sur le terrain idéologique à partir du milieu du XIIIe siècle et devenu stratégique à partir du début du XIVe siècle, le choix de la privauté est à la base d'un régime politique marqué par la distinction entre gouvernement et souveraineté. Cet essai envisage à nouveaux frais ce moment fondateur de l'expérience médiévale du pouvoir d'Etat.

02/2020