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Stalingrad

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Histoire internationale

Stalingrad

La bataille de Stalingrad, qui commença le 23 août 1942, fut sans doute le tournant psychologique de la Seconde Guerre mondiale. Parce que la grande ville industrielle sur la Volga portait son nom, et parce qu'une victoire allemande aurait loupé la Russie en deux, Staline décréta : "Pas un pas en arrière ! " , et veilla à ce que le NKVD fasse respecter sa consigne à la lettre. S'ensuivirent quatre mois de guerre urbaine impitoyable qui se terminèrent par l'encerclement et la reddition de la 6e Armée de la Wehrmacht. Cette bataille et ses retombées coûtèrent la vie à 500 000 hommes de part et d'autre et firent le double de blessés, sans compter les victimes civiles, innombrables. Stalingrad est le livre référence sur le sujet. Parfaitement documenté et enrichi des témoignages de nombreux survivants, il fait vivre au lecteur cette "mère de toutes les batailles" au plus près de l'action, du "Wolfschanze" de Hitler en Prusse-Orientale aux lignes de front, qui bougeaient sans arrêt et qu'on se disputait à la grenade, au lance-flammes et au corps à corps. Stalingrad a été publié pour la première fois en français en 1999. Cette "édition des 20 ans" intègre nombre d'ajouts et de corrections apportés au texte par l'auteur au fil des années, ainsi qu'un avant-propos inédit, écrit spécialement pour la réédition française, fourmillant d'anecdotes et racontant notamment comment il put avoir accès à des archives russes inaccessibles avant la Perestroïka, et qui furent mises sous embargo par le Kremlin peu après la publication du livre.

11/2019

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Histoire internationale

Stalingrad

Stalingrad reste à bien des égards la reine des batailles. Par la durée et l'intensité des combats, le nombre d'hommes engagés et perdus, l'importance des enjeux stratégiques et l'exceptionnelle valeur symbolique de son dénouement, cet affrontement homérique de deux dictatures entre Don et Volga constitue un tournant décisif dans l'évolution de la guerre en Europe, à un moment où son issue était encore incertaine. C'est une suite de hasards, de rapports de forces et d'erreurs de calcul qui a provoqué la concentration progressive de deux immenses armées le long des rives de la Volga, autour d'une ville dont la valeur militaire était des plus réduites ; c'est aussi l'entêtement de deux dictateurs et la discipline de fer qu'ils ont fait régner parmi leurs troupes qui ont prolongé pendant cinq mois une confrontation unique par son ampleur et sa férocité. La détermination des chefs, le poids de la terreur et l'extraordinaire capacité de résistance des hommes ont façonné cet abcès de fixation dévastateur qui, une fois résorbé, marquera définitivement les limites de l'avance allemande en URSS. Le témoignage des combattants, les clichés pris dans chaque camp et les nombreuses cartes permettront de suivre les péripéties de la bataille, au triple niveau des chefs suprêmes, des commandants d'armées et des soldats sur le terrain.

10/2013

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Poches Littérature internation

Stalingrad

Novembre 1942, l'Armée rouge contre-attaque au nord et au sud de Stalingrad, enfermant dans un étau la VIe armée allemande. Le 2 février 1943, le maréchal von Paulus capitule avec 90 000 rescapés réduits par le froid, la faim, les blessures et le typhus à l'état de cadavres vivants. Theodor Plievier, témoin indirect – il recueillit les témoignages des prisonniers allemands – décrit la bataille-charnière de la Seconde Guerre mondiale où fut atteint le sommet de la souffrance et de l'horreur. Chef-d'oeuvre de la littérature de guerre, Stalingrad allie le sens de l'épopée le plus hallucinant aux dons psychologiques les plus aigus.

02/2017

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Histoire de France

Stalingrad, 1942

Comment la bataille de Stalingrad est-elle devenue une bataille mythique ? Pourquoi a-t-elle été le tournant de la Seconde Guerre mondiale ? Alexander Werth analyse en détail les différentes phases des opérations militaires, depuis l'offensive allemande sur Stalingrad de l'été 1942, jusqu'à la contre-offensive victorieuse de l'armée soviétique lancée le 19 novembre 1942. Il montre ainsi l'enchevêtrement inextricable de l'attaque défensive russe dans ce qui reste de la ville de Stalingrad, menée en même temps que la préparation de leur contre-offensive visant à briser l'encerclement des forces allemandes. Il revient avec passion sur les techniques des combats de rue et leurs particularités. Grâce à sa position privilégiée de correspondant de guerre pour la BBC, Alexander Werth a exploité un nombre impressionnant de sources, d'articles de presse et de témoignages avec des acteurs-clés comme les généraux Talanski ou Tchouïkov. L'un des très rares journalistes à pouvoir se rendre à Stalingrad dès le lendemain de la capitulation allemande, il rend compte de la situation sur place et de l'agonie de la VIe armée allemande ; soixante-dix ans après, ce témoignage n'a rien perdu de sa force.

01/2013

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Photographie

Stalingrad - Volgograd

Au cours de cinq voyages à Volgograd entre 2008 et 2010, Maurice Schobinger a réalisé un témoignage photographique poignant de la ville martyre. Ces images sont classées en quatre chapitres : Portraits et témoins, Mémoire d'une ville, Octobre Rouge, Transports, portraits et décors. L'ouvrage est enrichi par la publication intégrale du journal de Serafima Fedorovna Voronina, tenu entre le 10 septembre 1942 et le 25 octobre de la même année. La voix d'une maîtresse d'école, simple civile prise au piège de la guerre. Une voix qui finira étouffée sous les bombardements. L'ensemble forme un subtil mélange entre hommage, mémoire et renaissance d'une ville.

10/2010

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BD tout public

Ostfront. Stalingrad

" A Stalingrad, les gonds du destin ont tourné ", dira Churchill. Le destin de trois hommes sur le front de l'est entre 1942 et 1943... L'oberleutnant Tomas von Vilshofen, jeune lieutenant qui reçoit son premier commandement à Stalingrad, l'unteroffizier Max Dinger, vétéran de la campagne de Pologne et de France, et l'unterfeldwebel Sepp Steiner appartenant à un bataillon disciplinaire. Trois regards sur ce front de l'Est, l'autre front, l'autre guerre... totale. Ostfront c'est aussi une ville : Stalingrad et les six mois d'une bataille impitoyable pour sa conquête.

05/2011

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Histoire de France

39 lettres de Stalingrad

Les 39 lettres que transportait le dernier avion envolé de l'enfer de Stalingrad sont de 39 auteurs bien différents, de par leur caractère et de par leur culture ; il n'empêche que leur recueil pourrait s'intituler "l'homme face à la peur" . Les unes sont naïves, les autres implacables. Sur toutes plane la mort, fatale, inexorable, et leur lecture est une des plus terribles qu'il soit donné de faire. Témoignage plus que document, elles constituent le plus effrayant réquisitoire contre la guerre, et c'est pourquoi il faut que tous les lisent. Ce livre, petit par le nombre de ses pages, est aussi incommensurable que le désespoir. Ecrit au sein même de la destruction, il est inoubliable.

12/2010

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Histoire de France

La bataille de Stalingrad

A la fin du printemps 1941, non satisfait d'occuper la majorité de l'Europe centrale et occidentale, Adolf Hitler se tourne vers l'Est. Persuadé d'en finir très vite, le Fuhrer se targue de pouvoir réaliser le Lebensraum, "l'espace vital" germanique, auquel il aspire. L'Allemagne nazie part donc en guerre contre l'URSS de Joseph Staline. Mais atteindre la ligne Volga- Arkhangelsk, à 2 500 kilomètres à l'est de Berlin, implique d'enlever au passage Leningrad, Moscou, Kiev, Kharkov, ainsi qu'une autre ville, Stalingrad, qui va devenir en 1942 le tombeau de milliers de soldats. La bataille de Stalingrad, ce fut Verdun en pire. L'horreur sans nom. L'homme traité comme moins qu'une bête, jeté en appât aux chars, aux mitrailleuses, aux canons. Ainsi le voulaient les deux destructeurs d'humanité du XXe siècle, nazisme et communisme, qui s'opposaient. L'existence humaine ne comptait plus, il fallait vaincre.

01/2012

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BD tout public

Stalingrad Khronika Tome 1

Hiver 1942. Sur les rives de la Volga, la ville de Stalingrad voit s'affronter les forces du IIIe Reich et celles de l'armée soviétique ; l'enjeu est décisif pour la suite de la Seconde Guerre mondiale. Dans ce contexte où la vie humaine pèse peu de poids face à la symbolique de la victoire, une équipe de cinéastes russes est chargée de réaliser un film de propagande. Caméra au poing, Kazimir, Yaroslav, Simon et Igor, quatre hommes aux idéaux contradictoires, arpentent les ruines de la cité martyre, rougie par feu et le sang. Au-delà du réalisme documentaire d'une grande fresque historique, Sylvain Ricard et Franck Bourgeron brossent un récit d'aventure âpre et flamboyant où la complexité des relations humaines le dispute à la violence élémentaire de la guerre.

08/2011

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Littérature française

La Rose de Stalingrad

Le 22 juin 1941, les Nazis envahissent l'Union soviétique, Lily a 19 ans. Belle, blonde, les yeux clairs en amande, elle a un caractère effronté et une passion pour l'aviation. Un mélange qui rend fous les hommes. Avec détermination, la jeune Moscovite veut se battre pour sa patrie. Elle sera pilote de chasse ! Car pour la première fois au monde, un pays va créer trois régiments d'aviation entièrement féminins. Lily répond à l'appel, inconsciente et joyeuse et se retrouve dans un régiment d'hommes. Sur le plus dangereux, le plus dramatique des fronts : celui de Stalingrad. Trois millions de morts en six mois. C'est là que la jeune fille deviendra femme, qu'elle rencontrera l'horreur, la peur et la folie des hommes. Mais découvrira aussi, avec toute la fougue de sa jeunesse, l'amour fou. Un amour, qui comme la bataille, appartient à l'Histoire. Histoire lumineuse dans un monde de ténèbres. Ce roman-document est l'histoire authentique de Lily Litvak, La Rose de Stalingrad, comme l'a surnommée la presse soviétique de l'époque, qui, chaque fois qu'elle abattait un avion nazi, faisait peindre une rose blanche sur le nez de son chasseur. Si aujourd'hui vous voyagez en Ukraine, faites un détour par Krasny Luch. Vous y découvrirez le mémorial érigé en l'honneur d'une des plus belles et plus attachantes héroïnes du second conflit mondial.

05/2005

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Romans historiques

Eclairs lointains. Percée à Stalingrad

Ecrit pendant sa détention par un officier allemand prisonnier des Soviétiques, Eclairs lointains retrace l'enfer du "chaudron" de Stalingrad vu à hauteur d'homme - à la hauteur de tous ces soldats, officiers et sous-officiers d'emblée voués à l'anéantissement. Car l'ennemi, ce n'est pas seulement les terribles orgues de Staline, c'est aussi le froid, la faim, la décrépitude physique, la démoralisation, la perte de tout sentiment humain. Gerlach réussit ce tour de force d'être à la fois dans l'histoire immédiate, celle de la politique nazie et de ses conséquences désastreuses, et dans l'histoire de l'humanité : son objectif est bel et bien de dire que les hommes ne sont pas là pour s'entre-tuer. Et il le fait avec un talent de romancier tout à fait exceptionnel. De son expérience de première main et des récits de ses compagnons de captivité, il tire une "fiction" âpre, bouleversante de crudité, de rudesse et de tendresse mêlées, étonnamment sensible aux beautés d'une nature exposée aux ravages des armes.

08/2017

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Histoire internationale

La bataille de Stalingrad (1942-1943)

La bataille de Stalingrad s'étend sur environ six mois, dont trois d'offensive allemande, puis trois de siège par les troupes russes. Elle s'achève par la capitulation de la 6e armée allemande du général Paulus, en février 1943. C'est la première défaite majeure de l'armée allemande, avec un retentissement dans le monde entier. A partir de cette date, le cours de la Seconde Guerre mondiale change complètement, car l'initiative change de côté : plus jamais l'armée allemande ne sera capable de repartir à l'offensive, pas plus à l'Est qu'en Afrique du Nord, puis à l'Ouest.

05/2018

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Romans historiques

Moscou Stalingrad koursk D-Day Berlin

Yuri Barashkov est professeur à l'Université fédérale du Nord (Arctique). Né à Arkhangelsk, Russie, il a été de 1989 à 1991 député du peuple d'Union soviétique. Architecte de formation, il a pour passion l'histoire, et a publié plusieurs ouvrages sur la Seconde Guerre mondiale, parmi lesquels Dora, La Seconde Guerre mondiale de l'oncle Anton, ainsi que Les Convois arctiques dans l'esprit de Glenn Miller. Je me suis rendu sur les plages du Débarquement, en Normandie. J'ai vu les sites historiques, les cimetières, les monuments, les musées, et sur chacun des sites, devant chacun des monuments, les drapeaux sur les mâts. Les drapeaux de tous les alliés de la Seconde Guerre mondiale, sauf celui de l'Union soviétique, comme si celle-ci n'avait pas participé au conflit. Or, si le D-Day a pu avoir lieu, et s'il a été couronné de succès, c'est en grande partie parce qu'il y avait eu auparavant les batailles de Moscou, de Stalingrad et de Koursk, que les divisions d'élite de la Wehrmacht y avaient été anéanties. Et parce qu'en juin 1944 beaucoup d'unités allemandes étaient encore mobilisées sur le front de l'Est. Soixante-quinze ans se sont écoulés depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Et les jeunes générations la connaissent aujourd'hui d'abord par les nombreux monuments qu'elle a engendrés, sans savoir toujours quels événements ils commémorent. Ce livre évoque les principaux épisodes du conflit, et tente de comprendre leurs enjeux. Et c'est le point de vue d'un homme âgé de 80 ans à présent, que la guerre a touché de manière "collatérale". En 1941-1945, Russie, Etats-Unis, France et Grande-Bretagne étaient alliés, et la victoire sur le fascisme a été une victoire collective. Notre Victoire. Puissent célébrations et commémorations être dans un proche avenir l'occasion de renouveler enfin cette alliance ! ... Yuri Barashkov

08/2019

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questions militaires

Stalingrad. Le tournant de la guerre

Récit de la bataille de Stalingrad, première défaite majeure de l'armée d'Hitler. Stalingrad reste à bien des égards la reine des batailles : par la durée et l'intensité des combats, le nombre d'hommes engagés et perdus, l'importance des enjeux stratégiques et l'exceptionnelle valeur symbolique de son dénouement, l'affrontement homérique de deux dictatures entre Don et Volga représente un tournant unique dans l'évolution de la guerre en Europe. C'est une suite de hasards, de rapports de forces et d'erreurs de calcul qui a provoqué la concentration progressive des immenses armées le long des rives de la Volga, autour d'une ville dont la valeur militaire était des plus réduites ; c'est aussi l'entêtement de deux dictateurs et la discipline de fer qu'ils ont fait régner parmi leurs troupes qui ont prolongé pendant cinq mois une confrontation unique par son ampleur et sa férocité. Quatre-vingts ans plus tard très exactement, il est passionnant d'en suivre les péripéties au triple niveau des chefs suprêmes, des commandants d'armées et des soldats sur le terrain. Le témoignage des combattants, les clichés pris dans les deux camps et les nombreuses cartes permettent de prendre la mesure de ce duel de titans aux confins de l'Europe et de l'Asie qui décide du sort de la guerre.

01/2023

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Première guerre mondiale

Les Roumains dans la campagne de Stalingrad

A l'été 1942, la Roumanie, engagée dans une guerre de coalition avec l'Allemagne depuis 1941, remet en lice l'essentiel de ses forces - ; deux armées - ; pour une nouvelle campagne contre l'Union soviétique. En prêtant main-forte à l'armée d'Hitler qui s'enfonce dans les profondeurs russes, vers le Don, la Volga et Stalingrad, elle espère régler une fois pour toutes le sort de l'Armée rouge. Cet engagement massif fait de la Roumanie l'alliée du Reich la plus active sur le front de l'Est : sa 3e armée doit flanc-garder la 6. Armée allemande du général Paulus sur le Don, à l'ouest de Stalingrad ; sa 4e armée doit faire de même dans la steppe des Kalmouks, au sud de la ville. Mais le déclenchement par les Soviétiques de l'opération " Uranus ", le 19 novembre 1942, met un terme à l'avancée victorieuse des Roumains, la victoire russe de Stalingrad provoquant leur reflux. Si la bataille mythique de Stalingrad fait toujours l'objet d'une abondante littérature, le rôle des Roumains dans cette campagne reste, dans le détail, largement méconnu. C'est en se fondant sur les archives roumaines et les travaux de grands historiens étrangers que l'auteur a reconstitué, pour la première fois en français, cette tragique épopée, véritable " Golgotha de l'Est ". Motifs politiques, potentiel économique, buts de guerre, opérations militaires, relations entre Roumains et Allemands... cette étude rigoureuse, qui permet de suivre l'évolution des deux armées au jour, apporte, à tous les niveaux, des révélations surprenantes qui permettent d'aborder la guerre à l'Est sous un angle complètement nouveau.

11/2021

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Histoire de France

Vaincre ou mourir à Stalingrad. 31 janvier 1943

Tournant de la Seconde Guerre mondiale, le choc de Stalingrad a coûté la vie à près de deux millions d'hommes. Sacrifice immense pour l'Union soviétique comme pour la Wehrmacht, c'est dans "la ville de Staline", au cours de l'hiver 1942-1943, que le IIIe Reich d'Hitler a perdu la guerre. William Craig a reconstitué les grandes étapes de cette bataille charnière. C'est d'abord, pendant le chaud mois d'août 1942, la fracassante offensive des armées allemandes. Puis vient la lutte pour la ville elle-même, rue par rue, immeuble par immeuble. C'est ensuite la destruction de la Vie armée de von Paulus, réputée invincible ; et enfin, le terrible tableau de la captivité des soldats allemands dans les camps de Sibérie...

06/2012

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12 ans et +

Roslend Tome 2 : Trisanglad. La bataille de Stalingrad

1942. La guerre fait rage aux portes de Stalingrad. Lucan, le jeune héros de Roslend, accompagné de son amie Catriona, est chargé par Churchill d'une nouvelle mission qui le conduira à Staline lui-même. Mais dans l'autre monde, le dangereux Brac Marquel, chef des armées ennemies, le traque sans relâche. La tâche de Lucan s'annonce plus que jamais périlleuse et ardue... L'aventure continue dans un monde plein de dangers, entre combats épiques et sentiments naissants. Poursuivez l'aventure de Roslend pour une plongée époustouflante au coeur de la Seconde Guerre mondiale.

11/2017

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XXe siècle

Station Stalingrad suivi de La fin d'un long hiver

Les anciens stratèges proscrivaient de combattre dans une ville, mais le XXe siècle qui inventa la guerre sans limites s'y adonna. Le duel mortel qui opposa l'Allemagne nazie et l'URSS a connu deux batailles urbaines particulièrement dramatiques, Stalingrad et Berlin, toiles de fond de ces 2 récits. Station Stalingrad nous fait suivre un cadet soviétique qui participa à la défense de la ville à travers son journal intime. Il éprouvera en quelques mois, au cours de cette accélération de l'histoire où il sera emporté, beaucoup des expériences qui jalonnent une vie : l'horreur et la blessure, mais aussi l'amitié et l'amour. La fin d'un Long Hiver décrit la chute de Berlin à travers la rencontre de deux êtres que tout devait opposer, un officier soviétique et une jeune fille allemande. Nous accompagnons le soldat des bords de l'Oder jusqu'au Reichstag au cours de l'ultime offensive de Joukov. Il croisera son âme soeur à quelques rues du parlement où il sera atteint en contribuant à sa prise. Bertrand Picard tente de saisir un sens à l'histoire chaotique des 2 guerres mondiales en observant des protagonistes obscurs qui traversent les événements en s'efforçant d'y survivre.

11/2021

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ouvrages généraux

Russie en guerre t2. De Stalingrad à Berlin 1943-1945

Le second tome de La Russie en guerre s'ouvre sur les premières lueurs de la victoire. Après la bataille de Stalingrad s'engage une fantastique campagne militaire qui conduira les troupes soviétiques jusqu'à la victoire fi nale à Berlin. Apre triomphe, toutefois : les pertes humaines sur les champs de bataille sont terribles, les Léningradois ont enduré un long blocus et, à Maidanek, c'est l'atrocité du génocide qui est découvert. Autant de souffrances qui constituent l'expérience de guerre vécue par toute une nation, militaires et civils confondus.

10/2022

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Littérature étrangère

Dans les tranchées de Stalingrad. La ville natale, carnets d'un badaud

Le livre rassemble trois titres majeurs de l'oeuvre de Viktor Nekrassov. Tout d'abord Dans les tranchées de Stalingrad, son premier roman, pour l'écriture duquel il s'est très largement inspiré de sa propre expérience de guerre, est la chronique de la vie quotidienne des soldats et d'un bataillon durant la Seconde Guerre mondiale. Cette oeuvre est récompensée par le prix Stalineen 1946, malgré le fait que le récit ne correspond pas à la description de l'héroïsme de guerre, de rigueur à cette époque. En effet, le thème principal du livre est l'exécution d'un ordre absurde qui coûte la vie à la moitié d'un régiment et met surtout l'accent sur l'amitié entre les combattants. Mais l'approbation de Staline lui-même met fin à la polémique qu'avait suscité la parution de l'oeuvre, jugée "pacifiste". Ce texte n'est pas seulement un récit de guerre, l'engagement de l'auteur ainsi que son style sobre et élégant, en font une oeuvre universelle qui rencontre immédiatement un grand succès. Un film intitulé Les Soldats et réalisé par Alexandre Ivanov en 1956 en est tiré. Avec son deuxième roman paru en 1954, La Ville natale, Viktor Nekrassov s'éloigne du réalisme soviétique. Il relate l'histoire d'un soldat qui s'oppose à une campagne injuste contre un professeur de l'institut où il étudie. Le livre déclenche lui aussi une véritable polémique, notamment car la plupart des figures de dirigeants sont des personnages négatifs. Mais il est tout de suite apprécié pour la vérité des situations et des caractères. Carnets d'un badaud, enfin, est un récit autobiographique et de mémoire couvrant un demi-siècle – des années 1930 à 1980. L'écrivain revendique désormais être un "badaud", "c'est-à-dire un homme qui pour rien au monde ne renoncerait à un spectacle intéressant". Les "spectacles intéressants" qu'il observe, au cours de son périple, de Kiev à Paris en passant par la Suisse ou le Japon, sont autant d'occasions de se remémorer des souvenirs, de laisser libre cours à ses réflexions et d'imaginer des associations, parfois étonnantes, comme si n'existaient ni les années écoulées, ni les distances géographiques. La force de Nekrassov, son charme, c'est d'associer, d'une phrase à l'autre des entités a priori absolument opposées. Dans un monde divisé, il réunit, il associe. Ce monologue empreint de nostalgie a été écrit au cours de sa période d'émigration forcée, il y décrit parfois avec désapprobation et regret, parfois avec moquerie, mais sans malice, sa réalité quotidienne, car l'émigration est au coeur de sa vie, mais aussi de son oeuvre. L'écrivain s'interroge sur le sens et les raisons d'un phénomène qui est d'abord, pour lui, une donnée historique, avant de devenir une expérience personnelle. Nekrassov estime même que "le plus grand crime", commis en URSS en soixante-sept ans, a peut-être été "le projet, conçu et concrétisé de façon diabolique, qui consistait à séparer les gens".

06/2019

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Littérature française

Souvenirs d’un soldat belge dans l’armée rouge

Je relate les souvenirs d'un soldat belge qui a combattu vaillamment le 10 mai 1940 dans les Ardennes belges. Communiste pur et dur, il répondra à l'appel de Staline en 1942 pour rejoindre l'Armée rouge en pleine débâcle lors de la bataille de Stalingrad. Photographe amateur avant-guerre, il sera repéré par ses supérieurs russes et aura la tâche de filmer la guerre de tous les jours. Nombre de ses films et photographies feront le tour du monde. Il connaîtra les horreurs de la guerre sur le front russe, mais aussi les rencontres amoureuses. Il participera aux principales batailles du front de l'est de Stalingrad à Berlin. Il sera décoré et deviendra un officier supérieur de l'Armée rouge.

02/2022

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Théâtre

L'Avant-scène théâtre N° 1425, 15 juin 2017 : Ramona. Suivi de Stalingrad et de Le Diamant du maréchal de Fantie

Dans une gare d'URSS naît une histoire d'amour impossible entre une pimpante locomotive au coeur tendre, Ramona, et une solide locomotive, Ermon, que les caprices des aiguillages semblent séparer. La pièce est créée au Festival d'Avignon du 11 au 17 juillet 2017 à la Maison Jean Vilar dans une mise en scène de Rezo Gabriadze.

07/2017

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Histoire de France

LA GRANDE HISTOIRE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE : DES PREMIERES VICTOIRES DU JAPON A STALINGRAD ET EL-ALAMEIN. Décembre 1941 / Novembre 1942

En ces dernières années du XXe siècle, d'immenses bouleversements viennent de se dérouler sous nos yeux : la réunification de l'Allemagne, l'effondrement du communisme dans l'ancien empire soviétique, la conquête de l'indépendance des pays qui lui étaient assujettis, principalement en Europe de l'Est. A ces événements majeurs s'en ajoutent d'autres : les conséquences multiples de la décolonisation, l'importance croissante du Tiers-Monde, l'expansionnisme économique japonais, les crises et les déchirements successifs du Proche-Orient, les conflits meurtriers opposant les différentes ethnies rivales de l'ancienne Yougoslavie. Or, toutes ces réalités découlent d'une même et unique origine : la Seconde Guerre mondiale. C'est pourquoi Pierre Montagon, convaincu que l'histoire de ce gigantesque conflit éclaire plus que jamais le présent et notre proche avenir, s'attache aujourd'hui à faire revivre, année par année, sur tous les théâtres d'opération du monde, les engagements militaires et politiques qui aboutirent en 1945 à l'écrasement définitif des forces de l'Axe. De l'émergence du nazisme à l'Armistice de 1940, de la bataille d'Angleterre à l'invasion de la Russie, de Pearl Harbor à El-Alamein, de Stalingrad au débarquement de Normandie, de Guadalcanal à Hiroshima, voici la fresque monumentale de ces années terribles reconstituées chronologiquement dans leur contexte politique et géographique. Une somme historique impressionnante, scrupuleusement documentée, proposant pour la première fois, dans une suite de volumes exhaustifs, une vision globale et approfondie de six années de guerre qui n'en finissent pas d'influer sur le cours de l'Histoire.

09/1993

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Littérature française

Un amour aveugle et muet. Une passion française et russe

Le Français Pierre, la Russe Assia sont épris de l'oeuvre de Vassili Grossman. De Saint-Pétersbourg, ils partent sur ses traces à Moscou. Ses récits de la bataille de Stalingrad les fascinent. Et plus encore les destins broyés sous les dictatures de Staline et Hitler. Car Assia est petite-fille d'un général, héros de Stalingrad ; et Pierre a eu une grand-mère résistante aux Glières. Ce passé en vient à les diviser.

Leur attirance, leur amour en est affecté. Mais voilà que Grossman les réunit à nouveau, en ouvrant des perspectives à leur vie chaotique autant qu'à leur monde désorienté de 2022. En effet, face aux excès de domination, Grossman n'espérait plus que des actes personnels de bonté. De cette bonté, Assia et Pierre en seront vivifiés et bientôt victimes, dans cette Russie ne cessant d'opposer l'individu et le pouvoir.

11/2021

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Littérature française

Jardin d'enfance

Métro Stalingrad : 100 haïku, ni plus ni moins. 50 haïku urbains, pour capturer la beauté de lieux improbables du dix-neuvième arrondissement de Paris. 50 haïku borains, pour une balade dans le Borinage, vieille région industrielle proche de Mons, en Belgique. D'un territoire à l'autre, de secrètes correspondances...

09/2014

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Sciences historiques

Les grandes batailles de l'histoire

Cet ouvrage présente les plus célèbres batailles survenues à travers le monde au cours des siècles, mais aussi les plus décisives par leurs conséquences militaires, politiques voire religieuses. Il permet de comprendre ces périodes charnières de l'Histoire et de mieux en connaître les acteurs. Salamine, Alésia, Bouvines, Austerlitz, Sedan, Stalingrad...

10/2012

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Sciences historiques

Sun Tzu ou l'art de gagner des batailles. Saratoga, Waterloo, Gettysburg, La Marne, La bataille de France, Stalingrad, La Normandie, La Corée

Rédigé il y a 2 400 ans par un sage chinois nommé Sun Tzu, L'Art de la guerre figure aujourd'hui parmi les grands classiques de l'histoire militaire. Dans un style concis et imagé, ce petit livre rassemble un certain nombre de recommandations sur la manière de conduire une guerre. S'il a profondément influencé l'art militaire oriental, s'il a notamment aidé Mao à forger son concept de guérilla, il est resté longtemps méconnu des Occidentaux auxquels il aurait pourtant évité bien des déboires. Spécialiste mondialement reconnu, Bevin Alexander se propose ici de montrer, exemples à l'appui, comment les chefs qui ont appliqué - sans le savoir - les principes, maximes et conseils de Sun Tzu ont presque toujours remporté la victoire, et comment ceux qui y ont contrevenu ont, sans la moindre exception, connu l'échec. Sagesse ancienne et batailles modernes : de la guerre d'Indépendance américaine à Gettysburg, du débarquement de Normandie à la guerre de Corée, en passant par Waterloo, la Marne et les Ardennes, la démonstration, solidement documentée et argumentée, est implacable. De ces pages pleines de bruit et de fureur, mais non dépourvues d'humour, où s'accumulent des erreurs qui furent si coûteuses en vies humaines, n'en émergent pas moins, Sun Tzu aidant, quelques figures (Jackson, Manstein, Patton, sans oublier Napoléon, jusqu'à Waterloo), qui viennent opportunément démentir l'affirmation de Valéry selon laquelle la guerre est une chose trop sérieuse pour la confier à des militaires.

09/2012

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Littérature russe

Pour une juste cause

Peut-on saisir ce chaos où se mêlaient les espoirs, peurs, amours, regrets, affections de ces milliers d'êtres si différents, pères de famille et jeunes gens, citadins et paysans originaires de Sibérie, des champs d'Ukraine et de Kouban, des villes et des bourgs ouvriers ? 1942. L'avancée fulgurante des troupes de Hitler en URSS a changé le cours de la guerre. Tout porte à croire que les forces fascistes vont sortir victorieuses du conflit. De fait, Stalingrad est un enjeu stratégique et le lieu d'un combat décisif. Au coeur de la ville, les habitants, dont la famille Chapochnikov, se préparent à en devenir les acteurs et les témoins. Ce moment fatidique de l'Histoire est le point de départ de ce roman, premier volet d'un diptyque magistral consacré, avec Vie et Destin, à la bataille de Stalingrad, chef-d'oeuvre de la littérature du XXe siècle et hymne à la liberté des peuples. Cette édition restitue les passages censurés par les instances soviétiques et est enrichie de matériel (cartes, chronologie, liste de personnages).

02/2023

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BD jeunesse

Les enfants de la Résistance Tome 6 : Désobéir !

A Stalingrad, le 2 février 1943, l'Allemagne nazie venait de perdre une bataille décisive. Pour la première fois en Europe, les Allemands reculaient ! Un espoir ! Chez nous, tous les français entre 20 et 22 ans étaient envoyés en Allemagne pour le Service du travail obligatoire. Beaucoup voulaient y échapper. Est-ce que notre réseau, le Lynx, allait pouvoir les protéger et encourager les autres à désobéir ?

01/2020

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Documentaires jeunesse

Seconde Guerre mondiale

Entre 1939 et 1945, toute la planète s'embrase, faisant de la Seconde Guerre mondiale le conflit le plus vaste que l'humanité a connu jusqu'à aujourd'hui. De la montée du nazisme en Allemagne à la bataille de Stalingrad, en passant par les grandes batailles du Pacifique, Quelle Histoire retrace l'histoire de ce conflit majeur du XXe siècle en dix tableaux illustrés.

05/2015