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Soixante-dix-sept ans

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Science-fiction

Soixante-dix-sept ans

"L'usage de l'intelligence artificielle ne se limite pas aux applications domestiques ou personnelles. Elle se manifeste partout, dans la rue, au travail, dans les lieux culturels, en voyage..." En 2084, le monde est dirigé par l'intelligence artificielle. De la politique à la vie privée, rien n'échappe à son contrôle. Mais lorsque Evariste, expert en neurosciences, apprend que les causes de la mort d'une biologiste renommée ne seraient pas naturelles, toute sa confiance dans le système est ébranlée. Quel secret dérangeant avait-elle découvert ? Quel danger, et pour qui ? Accompagné d'Emma, l'enquêteur se lance alors dans une course effrénée pour découvrir les machinations de cette cyber-société. L'Homme parviendra-t-il à vaincre la machine ? Un thriller glaçant qui nous plonge au coeur de la controverse sur l'intelligence artificielle de troisième génération.

06/2020

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Littérature française

Dix-sept ans

"Lina n'était jamais vraiment là. Tout se passait dans son regard. J'en connaissais les nuances, les reflets, les défaites. Une ombre passait dans ses yeux, une ombre dure qui fanait son visage. Elle était là mais elle était loin. Je ne comprenais pas ces sautes d'humeur, ces sautes d'amour". Un dimanche de décembre, une femme livre à ses trois fils le secret qui l'étouffe. En révélant une souffrance insoupçonnée, cette mère niée par les siens depuis l'adolescence se révèle dans toute son humanité et son obstination à vivre libre, bien qu'à jamais blessée. Une trentaine d'années après Rochelle, Eric Fottorino apporte la pièce manquante de sa quête identitaire. A travers le portrait solaire et douloureux d'une mère inconnue, l'auteur de Korsakov et de L'homme qui m'aimait tout bas donne ici le plus personnel de ses romans.

08/2018

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Littérature française

Dix-sept ans

Un roman court et émouvant sur l'avortement pour célébrer les 40 ans de la loi Veil. Un sujet évoqué avec pudeur, légèreté, dans un récit personnel, parfaitement universel. Notoriété de l'auteur qui se dévoile pour la première fois.

01/2015

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Littérature érotique et sentim

A dix-sept ans

Quand Madison Lansford et Shannon Fletcher se rencontrent, elles ont 10 ans. La première, fille d'une riche famille, et la seconde, fille de leur cuisinière, deviennent rapidement inséparables. Elles grandissent main dans la main, franchissant les grandes étapes des apprentissages de la vie ensemble... jusqu'à celui de l'amour. Cependant, tout leur rappelle sans cesse qu'elles ne viennent pas du même monde. C'est ce qui les séparera, définitivement croyaient-elles, à l'âge où l'on commence sa vie d'adulte. Car lorsque bien des années plus tard, elles se retrouvent après avoir suivi des chemins très différents, les souvenirs de leur ancienne intimité affleurent, les déstabilisent, les hantent. Se laisseront-elles submerger ?

03/2016

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Littérature française

Cent soixante-dix

Dans le Paris du Second Empire, une jeunesse dorée égrène les dernières années de son insouciance. Dans ce contexte, Jean-Baptiste - un étudiant florentin - découvre que ses sentiments le conduisent à aimer d'autres hommes. Il rencontre le poète Lautréamont. Alors qu'il tâtonne et qu'il se berce d'illusions, la littérature distille ce qu'elle a de plus sombre pour gangrener ses chimères. Des cafés mondains aux cloaques infects, plus rien ne freine désormais l'élan de ce qui ne peut qu'advenir. Et le Mal prend soudain forme humaine. Daniel-Alexandre Bez signe un roman haletant où les plus grandes références littéraires servent un discours sans concession. Il nous promène avec brio dans le Paris haussmannien dont il semble connaître les moindres recoins. Habile à doser la tension narrative, il construit patiemment sa trame, efficace et redoutable".

07/2017

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Littérature française

Soixante dix-sept. Un Kaputnick peut en cacher un autre

Eté 2015. Augustin Triboulet se retrouve immergé dans un monde sportif et généreux. Cela tombe bien, ses amis comptent sur lui.

08/2018

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Biographies

Nous avions dix-sept ans

Clermont-Ferrand, 1990. Lui, c'est Christophe, bien que le temps vienne de lui sculpter dix-sept ans sur les épaules, il reste encore des choses à polir. Plus guitariste que lycéen, il vit bien au milieu du clan de sa bohème, chacun se reconnaissant dans la paresse de l'autre. Viendra pourtant le moment de quitter les habitudes du bistrot, l'odeur de l'expresso sur les vestes, et d'attraper son Bac en plein vol, puisqu'on atteint la cible toujours à la dernière seconde. D'une main, dire adieu au cercle privé de Godefroy de Bouillon, de l'autre, ouvrir les volets de son été. Là-bas, ce sont les portes de Castelsarrasin qui vont lui ouvrir l'appétit de l'oisiveté, si précieuse dans son assiette, qu'il va même en partager l'abondance avec Fifi l'ami d'enfance. Au fur et à mesure que leurs journées s'étirent et n'en finissent pas, toute la petite musique intérieure va s'en trouver peu à peu, intimement bien désaccordée. Jusqu'à elle, celle qu'on n'attendait pas, blonde comme un blé, de l'azur plein la pupille. Vanessa, c'est d'abord un prénom, et très vite la couleur des sentiments. Le trouble d'une vie face à la moitié de cet homme qu'il n'est pas encore. Et cela, quelles que soient les fièvres dont l'amour se régale, qu'il ait décidé de vous soutenir le regard ou pas, qu'il vous supplie de résister autant que lui céder du terrain. Des questions qui vont dormir debout, se planter dans les yeux, comme des chansons de Jean-Jacques Goldman. L'enfant chocolatine publié en 2021 a grandi. Christophe Vallar revient avec un nouvel ouvrage dans lequel il nous entraîne sur le fleuve de ses 17 ans. De sa fin d'année au lycée de Clermont-Ferrand jusqu'à ce train en partance pour Castelsarrasin, il ne suffira pourtant que d'une rencontre, d'un seul visage, pour s'emmêler l'âme et le corps avec les choses de l'amour. En sortir indemne, ce sera impossible. Revenir en étant la moitié d'un homme, probablement.

01/2023

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Littérature française

Dix-sept ans & onze mois

Davidy, jeune poète et penseur amateur, se confie une dernière fois sur son vécu, sa situation actuelle et sa philosophie de vie. Malgré les abandons et les idées suicidaires, il réussit à se relever grâce à Antoinette, une vieille dame qui l'accueille chez elle et le traite comme son propre fils. Progressivement, son être ne vit plus parmi les autres, et Davidy meurt socialement, contre son gré. La jalousie et le sentiment d'injustice blessent son ego démesuré, ce qui le conduit dans un océan de haine, où ses démons deviennent ses amis les plus fidèles. La déchéance est envoûtante, mais aussi fatale, puisque Davidy en suffoque et s'y noie petit à petit. Son enfer intérieur l'assassine et le dévore. Dans la nuit du 26 décembre, l'adolescent s'enfonce et sombre dans les profondeurs de ses plaies béantes... Né à Toulouse et résidant en Guyane, Adryen MONTET est un étudiant de dix-neuf ans qui aspire à devenir professeur des écoles. Ce premier ouvrage, un roman sombre, est le premier qu'il écrit et publie.

01/2023

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Musique, danse

Soixante-dix ans de café-concert. 1848-1918

Héritier des goguettes, ces débits de boisson où l'on chantait en choeur, le café-concert a célébré 1848 à sa façon. Tandis qu'une Révolution annonce la Deuxième République, dans de nombreux cafés une révolution s'organise en instaurant une conception de la chanson qui a toujours cours aujourd'hui. En peu de temps, elle devient un produit, et le chanteur, le compositeur, le parolier, ont des statuts de professionnels. Du Bon roi Dagobert à Ne pleure pas Jeannette, les rengaines n'ont pas manqué mais c'est avec le café-concert que la chanson dite populaire est née, illustrée pendant soixante-dix ans par des Thérésa et des Aristide Bruant, des Yvette Guilbert et des Félix Mayol. Très vite, les enseignes se multiplient, aussi bien dans les quartiers ouvriers que dans les quartiers bourgeois, chacun ayant son répertoire et son décor. Le Caf'Conc' devient une sorte d'industrie, avec ses directeurs, ses artistes, la vente des partitions, la création de produits dérivés, le débit des consommations, leurs prix et leur succès - la popularité de la bière doit beaucoup aux cafés-concerts. Ils ont en même temps d'autres effets, comme l'apparition des idoles et de leurs fans. En donnant, avec des chansons aux sujets sociaux et politiques, une nouvelle et large audience à la critique du Pouvoir, le café-concert n'est pas sans influence sur la vie de la cité, ce qui entraîne un regain de la censure. Par son succès et son extension en province, il a aussi son rôle dans l'économie par les milliers d'emplois qu'il génère. A l'orée du XXe siècle, suivant la mode anglaise, le café-concert cède sa renommée, ses vedettes et ses lieux au music-hall. Né avec une Révolution, il connaît sa fin avec celle d'une guerre. 1848-1918. Soixante-dix ans d'une carrière qui fait de la chanson plus qu'une chansonnette.

02/2014

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Histoire internationale

Dix-sept ans dans le couloir de la mort

Richard Michael Rossi a été reconnu coupable de meurtre en 1983. " Défendu " par un avocat commis d'office, il a été condamné à la peine capitale par la Cour de l'Arizona. Depuis dix-sept ans dans le couloir de la mort, il attend la date de son exécution. Son témoignage, documenté, précis, sobre mais percutant, dresse un tableau complet des conditions de vie matérielles et psychologiques imposées aux condamnés à mort dans les prisons de haute sécurité américaines. Richard Michael Rossi nous livre également ses réflexions sur des sujets difficiles : dans quelles conditions la justice se rend-elle aux Etats-Unis ? de quel droit contraint-on les condamnés aux travaux forcés ? la répression et la vengeance sont-ils un moyen d'assainir la société ? peut-on appeler " volontaires " les prisonniers qui, dans un tel environnement, craquent et, abandonnant leurs recours en justice, demandent " volontairement " à être exécutés ? Enfin, peu de gens savent comment se déroulent exactement les exécutions et les souffrances trop souvent infligées par ces " châtiments cruels et dégradants ". " Pour décrire cet abîme pénitentiaire où la superpuissance du monde, la plus grande démocratie précipite les condamnés à mort produits en chaîne par un système judiciaire aliéné, il fallait un témoin. Pas un romancier de génie. Simplement une voix qui nous dise comment on traite des hommes au cœur de l'Amérique profonde, dans les cellules des quartiers de la mort. C'est elle qui résonne dans ce livre. Il y a des ouvrages qui nous entraînent avec eux dans une sorte de gouffre toujours plus profond, toujours plus noir. Ainsi en est-il de ce récit-là. Voici un livre à mettre entre toutes les mains " (Robert Badinter).

05/2001

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Actualité et médias

Il venait d'avoir dix-sept ans

Elle est professeur de théâtre, il est son élève. Elle a un mari, trois enfants adolescents, une vie apparemment rangée de bourgeoise de province. Elle aime les grands auteurs, il veut devenir écrivain. Elle aime les mini-jupes, il aime ses jambes. Elle le trouve brillant, il veut l'épouser. Elle s'appelle Brigitte et lui Emmanuel Mai 2017. Elle a maintenant 64 ans et lui 39. Elle tient la main du plus jeune président de la République que la France ait connu. Il dit qu'il ne serait jamais arrivé là sans elle. J'avais envie de comprendre comment une femme issue de la petite bourgeoisie de province, élevée chez les soeurs, a eu l'incroyable audace d'affronter sa famille et la morale populaire pour vivre une deuxième vie avec un homme de vigt-quatre ans de moins qu'elle. Comme je l'avais fait pour Penelope, je me suis approchée au plus près de l'histoire de Brigitte (une fille du baby-boom elle aussi) pour savoir ce qu'elle dit d'une époque, ce qu'elle dit de nous, les Françaises. Pour cela, j'ai marché sur les pas de Brigitte à Amiens, au Touquet, en Alsace et à Paris, j'y ai rencontré des dizaines de témoins et je me suis replongée dans l'époque de la jeunesse de Brigitte, celle qu'Emmanuel n'a pas connu : l'après-guerre, le Général, les 45 Tours, mai 68, les Trente Glorieuses...

05/2019

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Histoire de France

Leïla. Avoir dix-sept ans dans un camp de harkis

On ne dira jamais assez la souffrance des harkis. On ne parlera jamais assez de l'exclusion, de l'ostracisme et du mépris qu'ils endurèrent et qu'ils endurent encore. Dalila Kerchouche a vécu cette douleur, dans sa chair et dans son âme, et. a assisté, impuissante et révoltée, aux humiliations faites à ces milliers d'hommes et de femmes qui ont tout donné à la France. Auteur d'un premier livre remarqué, Mon père, ce harki, elle a choisi aujourd'hui la fiction pour raconter, à travers l'histoire de Leïla, fille de harki, la révolte, l'apprentissage de la liberté, la découverte de l'amour et la reconquête de la dignité.

10/2006

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Littérature étrangère

SOIXANTE-DIX S'EFFACE. Tome 1

"S'il existait une "école du regard", Ernst Jünger en serait le maître. Mais c'est déjà trop dire, car rien n'est plus étranger à sa nature que de légiférer ou de se poser en modèle littéraire. La seule société d'initiés dont il se réclame est celle, limitée et subtile, des entomologistes. Pour le reste, ce qui domine chez lui en cette oeuvre tardive, c'est l'ouverture au monde, aux cultures, aux êtres et aux livres. La richesse de sa méditation n'est pas moins grande que lorsqu'elle était portée par l'expérience de la guerre et des grandes catastrophes historiques. L'explosion de la nature printanière, une promenade à Venise, la lettre d'un ami suffisent à la nourrir. Eros et Thanatos sont toujours présents ; mais à travers l'écriture transparente du grand âge, la mort s'est comme apprivoisée. Défiant le temps qui s'écoule de plus en plus vite, le journal affirme jour après jour la permanence créatrice du geste de l'écrivain." Julien Hervier.

04/1984

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Littérature française

Quatre-vingt-dix-sept

«Parfois, Alèv aurait voulu ne jamais cesser de nager, Tendre les bras, les écarter, repousser l'onde, repousser son chagrin, nager encore et encore. Rester en apnée, ne plus jamais remonter. Filer sous l'eau, à travers le bassin, à travers la terre, l'argile, la craie, rejoindre les ruisseaux, les fleuves, les mers, les océans. Nager jusqu'à l'épuisement, jusqu'au bout du monde, jusqu'au bout des temps. Jusqu'au bout d'elle-même. Oui, ne plus remonter...» Istanbul, place Taksim. Comme un écho lointain des printemps arabes, la jeunesse s'embrase. Dans tout le pays, des voix s'élèvent, brutalement étouffées par le pouvoir. Gueugnon, Saône-et-Loire. A quoi ressemble la nouvelle patrie d'Hassan, père un mois sur douze ? Erzincan, Anatolie. Deux reporters interrogent la mémoire d'une paisible préfecture de province... Que de secrets à percer ! Tant roman de l'éveil politique et amoureux que chronique familiale, Quatre-vingt-dix-sept retrace l'histoire d'Alev, jeune alévie dont la parentèle garde les stigmates d'un massacre presque oublié.

03/2015

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littérature ukrainienne

Nous sommes sortis fumer pour dix-sept ans

Mikhaïl Elizarov compose un roman en 13 chapitres pour décrire la vie d'un jeune Ukrainien, narrateur du livre, qui voyage à travers l'ex-espace soviétique et en Europe et devient témoin de vies d'autres gens, y participant parfois malgré lui. Le jeune narrateur rencontre la douleur de la désoviétisation et la perte de ses ancrages. L'émergence de ce nouveau monde se transforme sous sa plume fine et poétique en une mosaïque émouvante depersonnages et de situations satiriques, parfois absurdes, en créant une réalité quasi surréaliste, en s'approchant en cela de Boulgakov. C'est là toute la tragédie pour le personnage (ou pour l'auteur lui-même ? ) qui a passé dix-sept ans dans un pays... Qui est-il ? Un écrivain populaire, un amoureux trompé ou un petit garçon tabassé derrière les garages ? Dix-sept ans d'une jeunesse passée, dix-sept ans dans une autre réalité, dix-sept ans pour fumer une cigarette.

03/2024

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Cinéma

Sam Peckinpah. Un réalisateur dans le système hollywoodien des années soixante et soixante-dix

Avec quatorze films réalisés après une importante carrière à la télévision, Sam Peckinpah a tenu une place importante dans le cinéma américain de ces trente dernières années. Coups de feu dans la sierra, La horde sauvage, Pat Garrett et Billy le Kid éclatèrent dans l'univers trop tranquille du western. Et si Chiens de paille déchaîna les passions, Croix de fer fut salué avec raison par Orson Welles lui-même comme un chef-d'oeuvre du film de guerre. Marginal, réfractaire à l'idéologie hollywoodienne, Peckinpah appartient clairement à cette tradition de revendication et de dissidence qui fait de beaucoup de romanciers et de cinéastes américains des " rebelles " dressés contre l'injustice et les mythes mensongers de la civilisation américaine. L'oeuvre de Peckinpah procède d'une sensibilité où coexistent la clairvoyance et la passion, le romantisme et l'ironie. Le monde qu'il peint est à l'image de ses contradictions. Le bien v mime le mal l'ambiguïté est la règle.

10/1997

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Critique littéraire

On est sérieux quand on a dix-sept ans

Yvon Le Men entre dans l'Histoire en septembre 1970. C'est l'époque où fleurissent les groupuscules : AJS, LCR, HR, NAF, GP, JEB, RR, VLR... Il a dix-sept ans. Il milite. Il veut changer la vie des autres, même contre leur gré, et rencontre son premier " prolo ", Marcel. Il aura d'autres amis, d'autres camarades, Louis, Jean-Yves, Christophe, un fils de grands bourgeois, Thierry, d'une famille de résistants. Il connaît aussi son premier amour, éperdu et tragique, et écrit ses premiers vers, qui mêlent fusil, guitare ou fleur rouge. En vacances, chez son parrain, il écoute la langue de bois de Raclio-Tirana. En attendant le Grand Soir, il sirote l'apéritif. Bientôt, il se mêle au monde des poètes, Jean Malrieu, Xavier Grall, Eugène Guillevic, salue Nazim Hikmet ou Louis Guilloux, sans les connaître. Il devient un PBCA (Poète Breton Contemporain d'Aujourd'hui), un barde, un chantre, qui dit ses poèmes face au public. On est sérieux quand on a dix-sept ans boucle la trilogie commencée avec Le petit tailleur de shorts (Flammarion, 1996) et La clé de la chapelle est au café d'en face (Flammarion, 1997). Du poème à la prose, c'est déjà le trajet d'une vie, les souvenirs d'un inspiré.

03/1999

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Littérature française

Dix-sept ans suivi de La Tendresse du crawl

"C'est arrivé d'un seul coup, et voilà que j'entre dans un monde différent, où il n'est plus question de devoirs à faire, de films à voir, de copines à inviter ou à éviter, mais de vie et de mort, de ma vie, de mon avenir, de ma liberté, de ce qui se passe dans mon corps, qui peut être la vie ou rien et dont je suis responsable". Dans Dix-sept ans, la romancière se découvre enceinte alors qu'elle a l'âge des premières amours et du bac. Elle décide de ne pas garder l'enfant, mais l'épreuve de l'avortement transforme la jeune fille désinvolte qu'elle était et la fait passer dans l'âge adulte. Dans La Tendresse du crawl, une femme raconte son histoire d'amour douce et douloureuse avec Gabriel, un homme qui l'assure de la sincérité de son amour mais dont le comportement incertain laisse planer un doute sur la solidité de leur relation. Ce livre a le courage d'oser une parole vécue et honnête. Le Figaro littéraire. Un beau texte aussi concis que juste, non dépourvu d'autodérision, qui raconte l'accession à une forme de liberté intérieure. Le Monde des livres. Préface inédite de l'autrice.

05/2022

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Photographie

Information, document, oeuvre. Parcours de la photographie en Italie dans les années soixante et soixante-dix

Quel poids l'expérience des avant-gardes a-t-elle eu sur le développement de la photographie contemporaine italienne ? Quel rôle les institutions, le marché et la critique d'art ont-ils joué dans son essor ? Ce livre nous fait découvrir une période foisonnante d'échanges qui ont marqué la relation entre art et photographie en Italie. Arte povera, reportage d'art et représentation du patrimoine, anthropologie visuelle, architecture et urbanisme sont les coordonnées culturelles de la scène artistique et photographique italienne entre les années soixante et le début des années quatre-vingt. Le texte interroge la transformation de la notion d'oeuvre et celle de son miroir fidèle, la photographie documentant l'art qui, au fil des années, a vu son statut changé en devenant instrument critique et oeuvre elle-même. En Italie, cette photographie donna lieu à une extraordinaire floraison iconographique, malgré un manque paradoxal de reconnaissance de la part des institutions et des marchands d'images. Cet ouvrage présente le travail de Piero Manzoni, Giulio Paolini et des artistes de l'arte povera (Jannis Kounellis, Giuseppe Penone, Michelangelo Pistoletto, Pino Pascali, Emilio Prini) ainsi que les recherches d'Ugo Mulas, Franco Vaccari, Morio Cresci, Cesare Tacchi, Luigi Ghirri, Germano Olivotto, Paolo Monti et bien d'autres, en soulignant les échanges avec la scène pop et conceptuelle américaine. L'analyse porte également sur les contributions des acteurs du milieu artistique : des critiques (Germano Celant, Achille Bonito Oliva, Arturo Carlo Quintavalle, Daniela Palazzoli, Filiberto Menna), un opérateur vidéo (Gerry Schum), des galeristes (Plinio De Martiis et Fabio Sargentini), autant de figures exemplaires d'un panorama complexe qui témoigne d'une nouvelle vision de l'art, de son espace d'exposition et de sa représentation dans les catalogues, les livres et les revues.

10/2015

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Animaux, nature

La chasse... ma vie. Soixante-dix ans de souvenirs et de passion

A quatre-vingts ans, l'auteur a encore bon pied bon oeil pour nous faire partager des souvenirs qui ont émaillé une vie riche d'émotions et d'aventures, toutes orientées vers la Chasse, les Chiens, la Nature. Robert Del Pia appelle cela son testament. Le lecteur l'acceptera volontiers d'autant que, dans sa tête, fourmille encore multitude de projets de livres futurs. Ecrire, est pour lui une véritable passion. Ecrivain, collaborateur de grandes revues spécialisées durant plusieurs années, chroniqueur, conteur, romancier, poète, lauréat de l'Institut Académique de Paris, Académicien de Provence, élevé à la distinction d'Ecrivain Honoris Causa Primus pour sa valeur littéraire, Robert Del Pia passe avec bonheur d'un genre à un autre ! Officier dans l'Ordre National du Mérite Agricole au seul titre de la Chasse et des Chiens, sur le terrain l'auteur a démontré par le passé ses qualités de conducteur de chien d'arrêt, de dresseur, ayant consacré de nombreux Champions de Travail, avec en point d'orgue deux titres de Champion du Monde de Chasse au Chien d'Arrêt en Equipe de France ! C'est, enfin, un chasseur à désigner en exemple à tous les jeunes et moins jeunes, pour son éthique absolue, sa courtoisie légendaire, son charisme immense… Respecté, estimé de ses pairs en toutes occasions, il est l'image absolue du chasseur modèle dont on voudrait qu'il y en ait de nombreux autres comme lui ! Dans La chasse… ma vie, Robert Del Pia évoque ses émotions de soixante-dix ans de souvenirs et de passion ; des instants précieux, amusants, drôles, inattendus, parfois dramatiques mais passionnants. Une écriture sobre, palpitante, imagée, pleine de sensibilité et de poésie : un grand livre de conteur !

12/2016

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Poésie

La face nord de Juliau. Dix-sept, dix-huit

Nicolas Pesquès entreprend la rédaction de La face nord de Juliau en 1980, devant la colline ardéchoise qui lui donne son titre. D'abord accueilli par André Dimanche, ce long work in progress est publié depuis 2013 dans la collection Poésie/Flammarion. Au fond, La face nord part de ce qui est là pour y revenir. D'un paysage vu, et qui à la fin le sera à nouveau. Lu : vu de lecture. En sorte que cela demeure une stricte histoire de langage, quand bien même ce qui est là en serait dénué. D'un monde sans nous, sans langue, nous aboutissons à un monde pour nous. Rien ne manque. Nous essayons d'éliminer les lubies mais pas les fantasmes, les fictions mais pas les désirs. Ce qui veut à la fin se produire : des effets de colline, le désir de ces effets, une envie de vivre sur terre avec la question de la langue, la stupeur de cette question. Des sensations de paysage qui relèvent de la lecture, de corps neutre à corps engouffré, jusqu'au jaune de nuit. Coeur de langue.

10/2020

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Littérature étrangère

Sept ans

Alexander et Sonia forment un couple parfait. Tous deux sont jeunes, beaux et partagent une passion commune pour l'architecture. Guidés par l'ambition de Sonia, ils s'installent à Munich et ouvrent un cabinet qui connaît un succès rapide. Cette union, idyllique en apparence, se trouve bouleversée par la rencontre d'Alex avec Iwona, une Polonaise sans papiers, peu cultivée, peu attirante. Rien ne devrait les réunir mais Alex est irrésistiblement attiré par cette femme dont la seule qualité est d'être l'exact opposé de Sonia. Une fascination inexplicable, incontrôlable, qui bouleverse le cours de sa vie et celui de son couple de manière inattendue lorsqu'il doit effectuer un choix paradoxal. Revisitant avec originalité le schéma classique du trio amoureux, Peter Stamm restitue comme nul autre les tiraillements liés aux contradictions sentimentales et aux aspirations divergentes de la vie.

02/2010

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Poésie

Dix poèmes. + six

Three Stories and Ten Poems est le premier ouvrage d'Hemingway, publié à Paris en 1923 par les Editions Contact. Les dix poèmes qui le composent méritaient une relecture en ce qu'ils comportent en germe les premiers romans de l'auteur, Le soleil se lève aussi et L'adieu aux armes. La guerre, Paris, l'Amérique traversent ces poèmes concis, précis, ironiques et audacieux. Dans les poèmes suivants, nous redécouvrons un jeune auteur de 17 ans et celui qui, à la suite de sa première publication, travaille à trouver la plus grande efficacité dans l'art narratif. Dans cet ensemble, on perçoit l'influence conjointe d'Ezra Pound et de Gertrude Stein, mais surtout une voix singulière s'affirme. Retraduire ces poèmes s'imposait, en rétablir les choix strophiques et prosodiques, afin de reconsidérer l'utilisation du vers par l'écrivain américain. Ces poèmes ne sont pas inédits. On les retrouve dans 88 poèmes publiés par Gallimard, éditions qui reprend les Collected Poems américains. Ainsi les Ten Poems n'y sont pas regroupés, le choix éditorial étant la stricte observance de la chronologie. Ils le sont dans le volume I de la Pléiade, mais à une place qui n'est pas sans être discutable, ainsi que le sont les traductions.

02/2019

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Littérature étrangère

Dix-sept secondes hors du ring

New York, 1923 : l'Argentin Luis Angel Firpo, dit le Taureau sauvage des pampas, envoie hors du ring l'Américain Jack Dempsey, détenteur du titre de champion du monde des poids lourds. A Buenos Aires, le match est retransmis à la radio et la victoire de Firpo proclamée. Mais l'arbitre ne comptabilise pas les secondes de la chute. Dempsey remonte sur le ring et met le challenger KO. Le Taureau sauvage des pampas n'aura été champion du monde que dix-sept secondes, entrant ainsi dans la légende. Trelew, Patagonie, 1973 : pour fêter les cinquante ans du journal local, le journaliste sportif choisit de faire revivre ce combat mythique. Celui de la section culturelle décide de relater la première exécution de la Symphonie n°1 de Gustav Mahler au théâtre Collin de Buenos Aires, sous la baguette de Richard Strauss. Entre ces deux grands événements de ce 14 septembre 1923 vient se glisser un fait divers, un pendu dans une chambre d'hôtel, meurtre ou suicide jamais élucidé. La musique classique, le sport et le crime s'associent alors pour reconstruire le passé sous la forme d'une hallucinante histoire policière et d'un débat acharné autour de la culture populaire et du rôle des médias.

02/2007

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Réalistes, contemporains

Dix ans

En une centaine de planches en noir et blanc absolument magnifiques, l'autrice Caroline Lamarche et l'illustrateur Paul Mahoux nous racontent les batailles quotidiennes d'une jeune femme atteinte de la mucoviscidose, qui vit intensément chaque jour alors qu'à sa naissance on avait annoncé à ses parents qu'elle ne vivrait pas dix ans. Un récit profond et touchant, qui tisse une réflexion subtile sur la vie et le futur du vivant en général.

05/2023

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Littérature étrangère

Soixante-dix s'efface. Tome 3, Journal 1981-1985

S'il existait une " école du regard ", Ernst Jünger en serait le maître. Mais c'est déjà trop dire, car rien n'est plus étranger à sa nature que de légiférer ou de se poser en modèle littéraire. La seule société d'initiés dont il se réclame est celle, limitée et subtile, des entomologistes. Pour le reste, ce qui domine chez lui en cette œuvre tardive, c'est l'ouverture du monde, aux cultures, aux êtres et aux livres. La richesse de sa méditation n'est pas moins grande que lorsqu'elle était portée par l'expérience de la guerre et des grandes catastrophes historiques. L'explosion de la nature printanière, une promenade à Venise, la lettre d'un ami suffisent à la nourrir. Eros et Thanatos sont toujours présents ; mais à travers l'écriture transparente du grand âge, la mort s'est comme apprivoisée. Défiant le temps qui s'écoule de plus en plus vite, le journal affirme jour après jour la permanence créatrice du geste de l'écrivain.

11/1996

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Littérature étrangère

Soixante-dix s'efface. Tome 4, Journal 1986-1990

«S'il existait une «école du regard», Ernst Jünger en serait le maître. Mais c'est déjà trop dire, car rien n'est plus étranger à sa nature que de légiférer ou de se poser en modèle littéraire. La seule société d'initiés dont il se réclame est celle, limitée et subtile, des entomologistes. Pour le reste, ce qui domine chez lui en cette ouvre tardive, c'est l'ouverture au monde, aux cultures, aux êtres et aux livres. La richesse de sa méditation n'est pas moins grande que lorsqu'elle était portée par l'expérience de la guerre et des grandes catastrophes historiques. L'explosion de la nature printanière, une promenade à Venise, la lettre d'un ami suffisent à la nourrir. Éros et Thanatos sont toujours présents ; mais à travers l'écriture transparente du grand âge, la mort s'est comme apprivoisée. Défiant le temps qui s'écoule de plus en plus vite, le journal affirme jour après jour la permanence créatrice du geste de l'écrivain.» Julien Hervier.

06/2002

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Littérature étrangère

Soixante-dix s'efface. Tome 5, Journal 1991-1996

«S'il existait une «école du regard», Ernst Jünger en serait le maître. Mais c'est déjà trop dire, car rien n'est plus étranger à sa nature que de légiférer ou de se poser en modèle littéraire. La seule société d'initiés dont il se réclame est celle, limitée et subtile, des entomologistes. Pour le reste, ce qui domine chez lui en cette ouvre tardive, c'est l'ouverture au monde, aux cultures, aux êtres et aux livres. La richesse de sa méditation n'est pas moins grande que lorsqu'elle était portée par l'expérience de la guerre et des grandes catastrophes historiques. L'explosion de la nature printanière, une promenade à Venise, la lettre d'un ami suffisent à la nourrir. Eros et Thanatos sont toujours présents ; mais à travers l'écriture transparente du grand âge, la mort s'est comme apprivoisée. Défiant le temps qui s'écoule de plus en plus vite, le journal affirme jour après jour la permanence créatrice du geste de l'écrivain.» Julien Hervier.

06/2004

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Histoire des idées politiques

Soixante-dix jours en Russie & autres textes (1921-1924)

Angel Pestana (1886-1937), militant célèbre de la Confédération Nationale du Travail, a connu, en Espagne, un parcours sinueux jusqu'à sa mort en 1937. La postérité n'a pas épargné sa mémoire car, créateur du "parti syndical", il fut à ce titre exclu de la centrale syndicale. Pourtant peu de gens qu'il faut à l'origine d'une décision essentielle prise par la CNT : rompre avec l'internationale Communiste et l'Internationale Syndicale Rouge créées par les Bolcheviks. En effet, la CNT, en 1919, décidée à clarifier ses positions sur la révolution bolchevique, mandate trois délégués au IIe Congrès de l'Internationale Communiste à Moscou. Les circonstances feront que seul A. Pestana parviendra à destination. Directeur de Solidoridad obrera, militant ouvrier syndicaliste notoire, très engagé dans la CNT depuis sa création, Angel Pestana est alors un membre très actif et très reconnu de l'organisation. Après bien des vicissitudes - la Russie bolchevique, en pleine guerre civile est aussi en butte au blocus des Alliés - il arrive à Petrogard puis à Moscou où il participe, de juillet à août 1920, aux séances de l'Internationale Communiste et aux balbutiements de l'Internationale Syndicale Rouge. A la fin du congrès, il revient vers l'Europe mais il est arrêté à Milan, transféré à Genève puis à Barcelone où il reste en prison jusqu'en avril 1922. C'est dans ces circonstances qu'il rédige trois documents. Informe de mi estancia en la URSS, publié pour la première fois sous le titre Memoria que al comité de la Confederacion National del Trabajo presenta, de su gestion en el segundo Congreso de la III International, el delegado Angel Pestana (Madrid, Nueva Senda, 1922), et Consideraciones y jucios aceca de la Tercera Internacional (publié à Valence en 1936). Plus tard Pestana rassemblera ses impressions de voyage en URSS, dans deux petits livres, publiés en 1924-1925, Sesenta dias en Rusia : lo que yo vi et Setenta dias en Rusia : lo que yo pienso. L'ensemble de ces textes eut un impact considérable puisqu'à leur lecture, lors de la conférence de la CNT, tenue à Saragosse en juin 1922, la centrale syndicale décide de rompre avec l'IC et ISR. L'année suivante, au Congrès de Berlin, elle adhéra à l'Association Internationale des Travailleurs. Ce sont les traductions de ces trois textes fondamentaux d'Angel Pestana que nous publions. Ils montrent, à travers les yeux du militant anarcho-syndicaliste, l'état de la Russie, la bolchevisation du territoire, mais aussi la diversité et la progressive bureaucratisation des débats de l'IC.

02/2021

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Littérature française

On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans

Reprenant les mots de Rimbaud, Max Memmi titre un ouvrage plein de verve, de poésie qui nous narre les péripéties d'un personnage, amoureux devant l'éternel, boutonnier de son métier. Des portraits se succèdent, pittoresques : le général face à la cité méprisante ; la laide belle-mère ; Rose, si jolie, avec qui il a dû faire un mariage de convenance avant qu'une énorme dilatation ne lui donne l'aspect d'un pachyderme. Il y aussi son père, craintif de sa mère, résignée et fermée. Les belles terres du Lot font partie de l'aventure : Mechmont, Montamel, Saint-Denis-Catus, Gigouzac et ses 221 habitants, village du narrateur. Voyez sa maison : toits, tour aux pigeons, grande cour pavée d'énormes pierres polies, grange, écurie, puits, margelle en ferraille. Gardons-nous d'oublier Ballot, l'âne picard, roux, doux, placide ou pleurnicheur, Nénette la vache laitière hollandaise au regard langoureux et aux pies énormes. De sa plume alerte, le romancier dresse un univers chamarré et tendre.

10/2017