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Principia Rhetorica. Une théorie générale de l'argumentation

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Philosophie

Principia Rhetorica. Une théorie générale de l'argumentation

La rhétorique connaît aujourd'hui un incroyable renouveau. De la séduction à la publicité, de la vie politique aux sciences humaines, elle se retrouve partout. Comment faire la synthèse de toutes ces orientations ? L'ambition de ces Principia Rhetorica est précisément d'offrir une théorie générale de l'argumentation qui tienne compte de toutes les approches existantes. Le fondement adopté est le questionnement, car on discute de questions qui sont plus ou moins problématiques, comme on négocie des points de vue qui s'opposent, incarnant des alternatives entre lesquelles il va bien falloir choisir. Cette conception, qui systématise la force et l'impact du problématique, est entièrement nouvelle en rhétorique. Ses hypothèses sont minimales, et sa fécondité vérifiée dans des publications savantes antérieures. Elle permet d'articuler aussi bien la théorie littéraire que l'argumentation utilisée dans la vie de tous les jours, au tribunal ou dans les médias. Cet ouvrage développe également de nombreuses analyses qui nous replongent dans la rhétorique des temps passés ou plus récents, à la rencontre de Platon, d'Aristote, de Cicéron, de Vico, de Fontanier, de Perelman, de Burke ou de Habermas. Michel Meyer nous offre ainsi une synthèse inégalée sur la rhétorique, la première depuis celle de Perelman parue il y a maintenant un demi-siècle.

11/2010

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Littérature étrangère

Théorie générale de l'oubli

Luanda, 1975. À la veille de l'Indépendance, Ludovica, agoraphobe et terrorisée par l'évolution des événements, se retranche dans son appartement en construisant un mur qui en dissimule la porte et la met à l'abri du reste du monde. Ayant transformé sa terrasse en potager elle va vivre là presque trente ans, coupée de tout, avec son chien Fantôme et un cadavre. Ludo a vraiment existé et mené la vie que raconte le roman. En entrelaçant cette histoire avec les aventures tumultueuses des autres personnages, voisins ou entraperçus dans la rue, tous plus ou moins impliqués dans le marasme de la guerre civile, Agualusa souligne avec une ironie subtile les extraordinaires coïncidences de la vie et crée un roman brillant et enchanteur.

02/2014

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Esotérisme

THEORIE GENERALE DE L'HOROSCOPE

Il s'agit ici d'un ouvrage exceptionnel d'Astrologie. En effet, l'auteur nous y dévoile les bases de l'Astrologie Cyclique des Mages. Il nous enseigne, que les Mages se servaient d'une étoile d'or à sept pointes, pour connaître la planète qui gouverne une année donnée. Dans l'Astrologie de Pierre Christian, les 78 symboles se divisent en cinq séries : 1) Les 22 Arcanes du soixante Mage. 2) Les 14 Arcanes du Sceptre. 3) Les 14 Arcanes de la Coupe. 4) Les 14 Arcanes du Glaive. 5) Les 14 Arcanes du Sicle. Ce livre comblera tous les astrologues, confirmés ou débutants, car rédigé dans un style clair et accessible à tous.

11/1999

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Histoire et Philosophiesophie

Théorie générale des systèmes

Le nouveau paradigme systémique initié par la théorie générale des systèmes est à l'origine de la nouvelle conception de l'univers selon laquelle matière et esprit sont perçus comme des éléments indissociables d'un vaste processus d'évolution non linéaire. La théorie générale des systèmes est aujourd'hui devenue une source d'inspiration fondamentale pour toute approche non réductionniste et non mécaniciste de l'ensemble des phénomènes du vivant. La réédition de ce classique de l'histoire des idées scientifiques permet de mesurer l'ampleur de la révolution scientifique dont L.V. Bertalanffy jeta les bases voici près de cinquante ans.

10/2012

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Droit

Théorie générale des normes

Hans KELSEN, le plus célèbre philosophe du droit issu du rang des juristes, est surtout connu pour avoir fondé une école juridique (l'Ecole de Vienne) qui radicalise la doctrine du positivisme juridique. Il a défendu, sa vie durant, une conception normativiste du droit et la thèse d'une stricte séparation entre le droit et la science du droit. Si l'on connaît bien en France son ouvrage programmatique sur la Théorie pure du droit, dans sa deuxième édition traduite par Charles Eisenmann, on sait au moins que cette seconde édition, publiée en 1960, n'est pas l'expression définitive de sa pensée. La traduction de la Théorie générale des normes, qui est un ouvrage posthume et inachevé, donne au lecteur français l'occasion de découvrir cette pensée dans ses derniers développements qui rompent en partie avec ceux de l'œuvre précédente. Le Maître viennois y poursuit l'analyse de la norme juridique, entamée dans la Théorie pure du droit, mais il l'approfondit sur certains points et l'infléchit sur d'autres. Il introduit ainsi de nouvelles réflexions sur la signification de la norme et sur ses fonctions, sur l'application et l'interprétation de la norme et également sur le rapport entre la norme et le langage, insistant notamment sur la distinction entre la norme et l'énoncé sur la norme. Par ailleurs, il considère la religion et le droit comme deux ordres normatifs similaires, ce qui le conduit à proposer une théorie vraiment " générale " des normes et non pas seulement une théorie juridique des normes. Il avance une nouvelle interprétation de la norme fondamentale en recourant à l'idée de fiction juridique. Enfin, dans la dernière partie du livre, Kelsen donne le dernier état de sa pensée sur le problème majeur de l'application de la logique au droit. Rompant avec son logicisme antérieur, il nie l'existence d'une logique spécifique au droit et conteste l'application de la logique syllogistique au processus d'application du droit, renouant ainsi avec un volontarisme juridique qu'il avait rejeté au début de son œuvre. Dans cet ouvrage, sous couvert de bâtir une théorie générale des normes, Kelsen construit une théorie de l'interprétation des normes. Il propose donc une herméneutique juridique originale qui intéressera tous ceux qui étudient les sciences normatives (juristes, mais aussi théologiens et spécialistes de l'éthique). Il engage un dialogue avec les représentants anglo-américains de la philosophie du droit, de l'éthique ou de la logique, et il renoue le dialogue avec les auteurs influents à Vienne au début du siècle.

08/1996

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Sociologie

Niklas Luhmann. Une théorie générale de la société

Le présent ouvrage met en lumière l'ampleur du projet du sociologue et juriste allemand Niklas Luhmann (1927-1998), dont la théorie générale de la société défie la sociologie et la philosophie occidentales modernes. Le volume entend donner des repères et des clés de compréhension pour mieux "situer" Luhmann au sein des sciences sociales et de la philosophie, en particulier de la philosophie du droit, en montrant comment sa pensée, réputée "inclassable" , s'inscrit néanmoins dans les champs de recherche de ces disciplines, prend parti dans des débats théoriques et s'inspire, tout en s'en démarquant, d'autres courants de sciences sociales et de philosophie qu'elle discute. Luhmann sociologue, Luhmann juriste, Luhmann philosophe du présent - tels sont les trois angles d'attaque principaux réunissant les différents textes du volume. C'est tout d'abord la discussion qu'assume la théorie de Luhmann avec les fondateurs des sciences sociales qui est restituée et analysée : Emile Durkheim, grâce à une traduction inédite de la préface de Luhmann à La division du travail social, puis Max Weber et Georg Simmel. Dans un deuxième temps, l'actualité de la théorie du droit de Luhmann est soulignée par des contributions s'intéressant à sa position sur la théorie juridique elle-même, sur les droits, sur la justice ou encore sur la question de l'indétermination en droit. Enfin, le lecteur ou la lectrice découvriront des questions philosophiques contemporaines majeures qu'a traitées le philosophe tout au long de son oeuvre : l'idée d'une société mondiale, le rapport entre société et nature, la possibilité (ou l'impossibilité) de mener une critique sociale.

05/2023

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Sociologie

Esquisse d’une théorie générale de la magie

La magie est depuis longtemps objet de spéculations. La magie comprenant des agents, des actes et des représentations : nous appelons magicien l'individu qui accomplit des actes magiques, même quand il n'est pas un professionnel ; nous appelons représentations magiques les idées et les croyances qui correspondent aux actes magiques ; quand aux actes, par rapport auxquels nous définissons les autres éléments de la magie, nous les appelons rites magiques. Il importe dès maintenant de distinguer ces actes des pratiques sociales avec lesquelles ils pourraient être confondus. Les rites magiques et la magie tout entière sont, en premier lieu, des faits de tradition. Des actes qui ne se répètent pas ne sont pas magiques. Des actes à l'efficacité desquels tout un groupe ne croit pas, ne sont pas magiques. La forme des rites est éminemment transmissible et elle est sanctionnée par l'opinion. D'où il suit que des actes strictement individuels, com¬me les pratiques superstitieuses particulières des joueurs, ne peuvent être appelés magiques. Les pratiques traditionnelles avec lesquelles les actes magiques peuvent être confondus sont : les actes juridiques, les techniques, les rites religieux. On a rattaché à la magie le système de l'obligation juridique, pour la raison que, de part et d'autre, il y a des mots et des gestes qui obligent et qui lient, des formes solennelles. Mais si, souvent, les actes juridiques ont un caractère rituel, si le contrat, les serments, l'ordalie, sont par certains côtés sacramentaires, c'est qu'ils sont mélangés à des rites, sans être tels par eux-mêmes. Dans la mesure où ils ont une efficacité particulière, où ils font plus que d'établir des relations contractuelles entre des êtres, ils ne sont pas juridiques, mais magiques ou religieux. Les actes rituels, au contraire, sont, par essence, capables de produire autre chose que des conventions ; ils sont éminemment efficaces ; ils sont créateurs ; ils font. Les rites magiques sont même plus particulièrement conçus comme tels ; à tel point qu'ils ont souvent tiré leur nom de ce caractère effectif : dans l'Inde, le mot qui correspond le mieux au mot rite est celui de karman, acte ; l'envoûtement est même le factum, krlyâ par excellence ; le mot allemand de Zauber a le même sens étymologique ; d'autres langues encore emploient pour désigner la magie des mots dont la racine signifie faire...

02/2023

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Philosophie

Principia Moralia

Y a-t-il une seule et unique morale dont on puisse se prévaloir aujourd'hui ? Les réflexions philosophiques sur la morale se sont toujours combattues, remplacées, démenties au fil du temps, tout en étant chacune valable. Le stoïcisme, la morale de la vertu, le recours à la loi morale, l'utilitarisme sont autant de courants qui irriguent encore notre façon de penser. Mais laquelle de ces "visions" choisir ? Et pourquoi choisir celle-là plutôt qu'une autre ? Michel Meyer opère ici un retournement de la pensée traditionnelle sur l'éthique. C'est parce que l'homme est un problème pour l'homme qu'il y a des réponses qu'on appelle la morale. Michel Meyer ne part plus des sujets éthiques (Moi, l'Autre) comme référents moraux, mais de la distance, plus ou moins grande, entre les individus. C'est la variation de cette distance qui influence nos choix quant au bien et au mal, à ce que l'on recherche ou à ce que l'on veut fuir ou éviter, et qui fera qu'on sera tantôt stoïcien, tantôt utilitariste ou kantien. Le positionnement des sujets les uns par rapport aux autres conduit à agir de telle ou telle manière, donc à adopter tel ou tel type de conduite morale et à juger ce qui est bien ou mal de façon différente. Le problème moral, c'est l'Autre comme problème, auquel il convient de répondre selon la distance qui nous sépare, nous divise ou nous rapproche, et auquel on répond toujours d'ailleurs, parce qu'il constitue une menace, un appel à l'aide, ou encore la nécessité de coopérer. Sans chercher à édicter de nouvelles règles ou de nouveaux préceptes, Michel Meyer replace les grandes théories morales, comme celles d'Aristote, de Kant, de Mill ou encore de Hume, dans un espace philosophique virtuel qui est leur espace de validité. Avec le concept de distance entre les êtres, il nous offre ainsi une approche nouvelle et synthétique de la morale.

01/2013

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Droit fiscal

Leçons de théorie générale de l'impôt

Des leçons détaillées, des repères incontournables et des compléments pour gagner des points. Des sujets corrigés, classiques ou difficiles, pour s'entraîner avant l'examen ou le concours. Un questionnaire de 100 QCM pour faire le point sur ses connaissances. Des sélections de lecture pour aller plus loin. Un index des notions.

07/2021

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Littérature française

Théorie générale de la stratégie

Cet essai a pour ambition de donner une nouvelle définition étendue de la stratégie puis de développer quelques théorèmes et principes fondamentaux qui en découlent.

12/2012

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Philosophie

Théorie générale de la connaissance

Publiée pour la première fois en 1918 - puis en 1925 dans la version définitive ici traduite -, la Théorie générale de la connaissance est l'ouvrage majeur du philosophe allemand Moritz Schlick (1882-1936), arrivé à Vienne en 1922 pour occuper la chaire qui avait été auparavant celle de Mach et de Boltzmann, et fondateur du Cercle de Vienne. Issue d'une réflexion sur les bouleversements scientifiques du début du xxe siècle, et en particulier sur la théorie de la relativité, dont il a été l'un des tout premiers à prendre la mesure, la philosophie de la connaissance de Schlick prend ses distances tant avec l'idée kantienne de principes synthétiques a priori imprimant leurs formes à la réalité qu'avec le positivisme et l'empirisme traditionnel, incapables, à ses yeux, de rendre compte de théories dont les constructions conceptuelles ne peuvent plus être considérées comme de simples résumés d'observations empiriques. Au fil d'une confrontation avec les diverses philosophies de la connaissance, classiques ou contemporaines, de Descartes à Husserl, en passant par le néokantisme et Bergson, Schlick défend ainsi un réalisme critique qui récuse aussi bien l'idéalisme transcendantal kantien que les " pensées de l'immanence " de Mach ou de Russell, et développe une position originale sur des questions comme celles de la nature de la connaissance, du rapport entre la logique et la psychologie ou de l'âme et du corps. Le livre exercera une grande influence sur les discussions philosophiques des années 1920 et 1930. Il constitue une contribution décisive au débat contemporain en philosophie de la connaissance.

10/2009

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Droit

Théorie contre arbitraire. Éléments pour une théorie des théories juridiques

L'histoire à épisodes des théories juridiques, une galerie de portraits, des schémas montrent que l'espoir est permis.

04/1987

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Sociologie

Théorie générale du risque

Parler du risque est mal vu : le mot effraie, il gêne les politiques, les bureaucrates.Et pourtant le risque est partout présent le corps social est menacé par de multiples risques connus et inconnus, dont on a peine à faire l'inventaire. Une théorie générale du risque est-elle possible ? Elle peut aider l'action, expliquer la nécessité de fixer quelques règles communes. Quels sont les fondements d'une théorie du risque ? Comment perçoit-on le risque connu et inconnu ? Comment peut-on évaluer, gérer, réduire un risque. Faut-il enseigner le risque ? Jacques Bouyssou s'efforce de répondre à ces questions difficiles, qui sont même par quelques côtés inquiétantes, subversives. Une théorie générale du risque est nécessaire aux hommes politiques, aux administrateurs, aux responsables sociaux : chacun doit, dans son domaine, inventorier, évaluer, gérer les risques, et ne pas se laisser surprendre par l'événement : mais on croit connaître le risque, et, en fait, on agit en aveugle.

02/1997

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Droit constitutionnel

Droit constitutionnel. Théorie générale

Ce manuel est destiné aux étudiants de première année de licence en droit ou d'AES et aux élèves des Instituts d'études politiques ainsi qu'aux candidats aux concours de la fonction publique. Souvent défini comme procédant de la norme fondamentale appelée Constitution mais aussi, plus classiquement, comme " l'ensemble des règles et institutions grâce auxquelles s'établit, s'exerce et se transmet le pouvoir politique dans l'Etat " (Marcel Prélot), le droit constitutionnel régit les autorités politiques suprêmes et règle les relations établies entre gouvernants et gouvernés. Circonscrit à l'étude de la théorie générale du droit constitutionnel, cet ouvrage, à partir de l'expérience française, traite dans une première partie du cadre général de l'organisation du pouvoir politique : l'Etat constitutionnel. Dans une seconde partie, il envisage les voies et moyens qui sont, de nos jours, considérés comme la condition nécessaire - bien que non suffisante - d'un gouvernement légitime combinant limitation du pouvoir des gouvernants et participation au pouvoir des gouvernés. Pas plus que les précédentes, et bien qu'enrichie et complétée, cette troisième édition ne prétend pas à l'exhaustivité, mais elle n'entend pas davantage exclure la discussion de certaines idées reçues ou dans l'air du temps : celles, notamment, qui, accouchées par la modernité tardive, sont devenues le catéchisme des postmodernes. Michel Clapié, agrégé de droit public, est professeur à l'Université de Montpellier. Il a publié chez le même éditeur Droit constitutionnel - La Ve république (2022) et il est l'auteur d'un Manuel d'institutions européennes (Flammarion, coll. " Champs-Université ", 3e éd. 2010). Il enseigne le droit constitutionnel, les relations internationales - en privilégiant une approche historique et géopolitique - et le droit des institutions européennes à la Faculté de droit et de science politique de Montpellier.

07/2023

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Philosophie du droit

Théorie générale du droit

Cet ouvrage propose de construire progressivement une théorie générale du droit sur des fondements clairement assumés (positivistes et empiristes), en justifiant à la fois les bases épistémologique, les intérêts pratiques et cognitifs, et les limites de cette approche. Avec une approche rigoureuse et argumentée, pour ne pas être un recueil de simplifications, cette deuxième édition se veut utilisable comme référence didactique. L'ouvrage s'adresse en premier lieu à un public universitaire et juriste ; mais les questions envisagées sont susceptibles de concerner un public plus large (praticiens du droit, étudiants en sciences sociales, citoyen).

03/2022

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Droit des sûretés

Essai d'une théorie générale des sûretés réelles

La sûreté réelle vise à renforcer la confiance du prêteur : elle lui assure que, s'il n'est pas remboursé spontanément par l'emprunteur, il pourra facilement être payé en exerçant des droits spéciaux sur l'un des biens de son cocontractant. Deux techniques ayant pour but de favoriser cette confiance coexistent actuellement : l'exclusivité, qui permet à un créancier unique de se faire rembourser, et la préférence, qui débouche sur un classement des différents créanciers, chacun étant payé en fonction de son rang. Elles sont donc incompatibles, et la présente étude entend défendre la préférence, seule à même d'aboutir à une conciliation des intérêts des personnes en présence et de favoriser le développement du crédit. Prix de thèse de l'Université Paris-Panthéon-Assas

06/2023

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Histoire et Philosophiesophie

Les Principia de Newton

Philosophe, mathématicien, physicien, alchimiste, astronome et théologien anglais, Isaac Newton est l'un des plus grands génies de tous les temps. Ses Principia, Principes mathématiques de la philosophie naturelle, bouleversèrent aussi bien la science moderne que notre rapport au monde. En rompant définitivement avec la physique aristotélicienne et en soumettant à la loi de la gravitation universelle l'ensemble des phénomènes terrestres et célestes, Newton parvint, dans cet ouvrage sans précédent, à unifier la physique. Michel Blay éclaire l'oeuvre de Newton, considérée comme le point d'aboutissement des travaux du XVIIe siècle et le point de départ de la mécanique rationnelle moderne.

09/2017

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Droits de l'homme

Essai d'une théorie générale de l'autodétermination de la personne humaine

L'autodétermination de la personne humaine est une thématique dans l'air du temps. Après s'être interrogé sur les bornes de sa liberté, sur la légitimité morale de ses actions, l'être humain du XXIe siècle se veut autodéterminé, libre de choisir sa destinée. Le développement des techniques de pénétration du corps humain a contribué à élargir les facultés d'autodétermination. Guérison, transformation, mutation, amélioration, autant de possibilités offertes à l'individu qui ont dû être appréhendées par le système juridique, non sans difficulté. Le présent ouvrage propose une théorie générale permettant d'étudier ces phénomènes dans leur globalité et d'améliorer leur encadrement.

07/2023

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Droit fiscal

L'impôt dans une économie mondialisée. Contribution à une théorie générale de l'impôt

Historiquement l'impôt et l' Etat sont consubstantiels . Aujourd'hui l'impôt et le monde sont consubstantiels. Nous sommes dans une situation paradoxale. Lever l'impôt est une prérogative de souveraineté nationale mais celui -ci est pensé ailleurs qu'au sein de l' Etat nation. L'essentiel des problématiques fiscales est aujourd'hui traité par l'OCDE. Depuis 2008, nous assistons à la réécriture du droit fiscal international. Le plan base erosion and profit shifting (BEPS) et l'outil inclusif, la convention multilatérale, s'efforcent de prévenir l'érosion des bases d'imposition et le transfert de bénéfices. L'OCDE met à la disposition, sans rien imposer, des standards internationaux en adaptant certaines notions, l'établissement stable, les dispositifs hybrides, l'utilisation abusive des conventions fiscales notamment, à la mondialisation et au développement des échanges. Le tout s'inscrit dans une exigence renforcée de transparence. Ces recommandations, que l'on assimile à la soft law, sont reprises par les directives et des règlements de l'Union européenne, qui peine à faire émerger une politique fiscale communautaire, sauf en matière de TVA pour laquelle on s'achemine vers un régime définitif. Si la concurrence doit être libre et non faussée, dans l'espace du marché intérieur, les moyens pour y parvenir ne sont pas pleinement satisfaisants. Les Etats intègrent les standards internationaux, les transformant en droit interne. Le droit fiscal communautaire finit par trouver sa traduction dans le droit des Etats membres. Nous assistons au rétrécissement du droit fiscal national, ce qui ne nous interdit pas de continuer à veiller au respect des principes constitutionnels et à la légalité. En participant au forum mondial de l'OCDE et aux instances communautaires les Etats peuvent espérer se faire entendre par d'habiles compromis que le Parlement viendra valider à l'occasion du vote d'une loi de finances. L'impôt est pensé par et dans une organisation internationale, l'OCDE, qui a fait de la soft law un moyen d'action très efficace car, les standards internationaux sont repris par les organisations régionales, dont l'Union européenne, et les Etats. Elle est la seule à proposer une théorie générale de l'impôt dans une économie mondialisée.

09/2021

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Psychologie, psychanalyse

DISSENSIONS ET CONSENSUS. Une théorie générale des décisions collectives

Comment les individus parviennent-ils à prendre une décision en commun ? En réduisant les conflits par une solution de compromis qui les met d'accord, répondaient les spécialistes. Mais les recherches des vingt dernières années ont établi que la participation de chacun à la discussion approfondie des problèmes aboutis à une évolution et une polarisation des choix, donc à un changement des opinions ou des jugements, voire des normes du groupe. Ce livre inscrit l'étude de la décision dans celle de la communication et met en évidence le rôle fécond qu'y jouent les dissensions. Le consensus visé n'a pas pour fonction de les supprimer, mais de les exprimer, afin que les individus s'y reconnaissent et s'y engagent. La théorie de l'implication collective qui explique ces processus a été confirmée par un grand nombre d'expériences en Europe et en Amérique. Son intérêt pratique est incontestable.

01/1992

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Droit

Théorie générale du contrat administratif

Il faut relire Péquignot ! Il y a, en droit des contrats administratifs, un avant et un après Péquignot. En recherchant à fonder une "théorie générale" de ces contrats, le jeune auteur s'oppose, subtilement mais radicalement, à toute la doctrine antérieure, de Perriquet à Jèze, qui ne concevait que des "contrats administratifs nommés", comme les marchés, les concessions ou les louages d'ouvrage. La radicalité de la démarche de Péquignot le conduit également à remettre en cause le rôle central de la notion de service public ou les rapports ambigus entre contrat et acte administratif. Comme le montre le professeur Laurent Richer dans son essentielle et éclairante présentation, il faut aujourd'hui relire Péquignot non seulement pour cette rupture épistémologique mais aussi pour la manière dont il a ensemencé la théorie contemporaine des contrats administratifs, de la théorie des pouvoirs administratifs à celle de la transparence. La nouvelle publication de cette oeuvre majeure, si difficilement accessible, constitue un événement éditorial majeur dans l'univers du droit public. Mais c'est surtout l'occasion de ne plus s'arrêter à un nom ou une citation mais de replacer cette pensée plus ambitieuse et singulière qu'on ne l'a souvent dit au centre de la doctrine nouvelle du droit des contrats administratifs. ISBN : 978-2-84539-051-5 Prix : 65 5 la mémoire du 9

09/2019

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Histoire et Philosophiesophie

Le secret de l'Occident. Vers une théorie générale du progrès scientifique

Pourquoi la Grèce antique, puis l'Europe moderne ont-elles été les matrices de deux " miracles " scientifiques et culturels sans équivalent dans le monde ? À quelles circonstances, à quelles qualités spécifiques l'Occident doit-il d'être l'" inventeur " de la modernité? Fruit de plusieurs années de recherche, Le Secret de l'Occident met en lumière les raisons politiques et économiques du progrès, en fournissant une explication globale et cohérente de ce qu'il est convenu d'appeler le développement. Dans un souci d'universalité, l'auteur applique sa grille d'analyse à l'Islam, à l'Inde et à la Chine, parvenant à interpréter les périodes d'avancée et de recul de ces diverses civilisations. Il montre enfin qu'au-delà des apparences, les ressorts de l'innovation restent inchangés à l'ère d'Internet et de la " mondialisation libérale ". Ouvrage d'érudition et de référence, Le Secret de l'Occident est également un précieux outil de travail. Il nous aide à repenser radicalement la relation qui lie l'Occident au reste du monde.

09/2008

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Argumentation rhétorique

L'argumentation. Colloque de Cerisy

Cet ouvrage regroupe les conférences plénières du Colloque de Cerisy consacré à l'argumentation. Les grandes orientations disciplinaires où l'argumentation joue un rôle essentiel sont abordées par des grands spécialistes du domaine venus de différents horizons géographiques. Il s'agit là de la première grande synthèse de ce qui se passe en théorie de l'argumentation aujourd'hui au travers des différente écoles de pensée.

04/2022

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Economie

Keynes. Les enjeux de la Théorie générale

Récemment encore, le nom de Keynes était associé aux déficits publics, à l'inflation, au laxisme des politiques budgétaires et au poids excessif de l'Etat dans l'économie. Avec la réapparition de la crise économique, il n'est plus question que du retour de Keynes. Les détracteurs d'hier sont soudain devenus les plus grands admirateurs ! Et chacun cherche à puiser dans l'oeuvre de Keynes, et notamment dans la Théorie générale, tous les antidotes possibles. D'où l'intérêt du présent ouvrage qui est à la fois une introduction à la Théorie générale, mais aussi une présentation raisonnée et argumentée des enjeux de la pensée keynésienne. Placée sous le signe du pragmatisme, son oeuvre contient des principes radicalement neufs qui fondent toujours un message économique propre aux questions du XXle siècle. Refonte du titre L'Economie keynésienne. Un projet radical (« Cirta », Nathan, 1993), le présent ouvrage s'adresse aux étudiants de classes préparatoires, de sciences économiques et des IEP, ainsi qu'à tous ceux qui s'intéressent à la théorie économique, ses débats, ses applications politiques.

09/2009

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Philosophie du droit

Argumentation juridique

L'argumentation est au coeur du raisonnement juridique et structure de façon profonde et durable toutes les professions du droit. Le précédent, les définitions, l'interprétation, l'harmonisation des textes, l'exploitation de l'implicite par l'analogie, les fictions ou encore la recherche de l'esprit des textes et de leurs finalités sociales et économiques font partie des outils quotidiens de la pratique du droit. Ce manuel est autant une initiation à l'argumentation juridique qu'une façon de réfléchir sur celle-ci en fin de cursus. Il permettra aux étudiants de comprendre la logique du droit au-delà de la distinction du droit privé et du droit public en leur montrant ce que "penser en juriste" veut dire. L'ouvrage apportera aussi une aide aux professionnels plus aguerris en leur permettant de trouver des pistes pour réfuter certains types d'arguments, avoir conscience des limites de ceux qu'ils utilisent et prendre de la hauteur au-delà des détails techniques.

01/2023

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Droit

Les promesses de payer. Essai de théorie générale

Les promesses de payer sont des contrats par lesquels on s'engage envers un créancier à payer ce qui lui est dû. De tels actes sont courants. On les retrouve dans des opérations juridiques aussi variées que le cautionnement, la promesse d'exécuter une obligation naturelle, la souscription d'un billet à ordre, l'acceptation d'une lettre de change, la délégation, l'engagement du codébiteur solidaire non intéressé à la dette, l'aval, le constitut, la garantie autonome, le crédit documentaire irrévocable, etc. La présente thèse entend, au-delà des spécificités des opérations dans lesquelles "les" promesses de payer s'insèrent, saisir "la" promesse de payer et dégager les principaux éléments de son droit commun.

07/2019

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Philosophie du droit

L'argumentation juridique. 5e édition

L'ouvrage a pour objectif de présenter l'ensemble des types d'arguments présents dans le monde du droit, ne se limitant donc pas au droit français : le syllogisme judiciaire, la définition juridique, la présomption, les arguments a contrario, a fortiori, etc. Chacun de ces arguments est remis dans son contexte historique et philosophique, analysé et illustré. L'approche est critique, il ne s'agit pas de résumer les apports des théoriciens mais de mettre en perspective l'ensemble de leurs travaux, afin de se concentrer sur la présentation des arguments. L'ouvrage sera utile tant à l'étudiant en droit qu'au praticien expérimenté de l'argumentation juridique. Un glossaire rend son maniement plus facile.

11/2021

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Critique littéraire

Maîtriser l'argumentation. 2e édition

L'argumentation se trouve au cœur du fonctionnement de notre société, et ce à trois niveaux : politique, médiatique et professionnel.  À chacun de savoir défendre et imposer son point de vue lors des réunions, séminaires, etc. Destiné au étudiants des premiers cycles universitaires (licence, DUT, BTS, CPGE) afin qu'ils soient mieux préparés aux examens, concours, mais aussi à leur insertion professionnelle, ce manuel s'adresse également aux adultes en formation continue et aux enseignants de lycée et collège.Bernard Meyer est professeur de lettres à l’IUT de Rouen Mont-Saint-Aignan.Sommaire :1. Se familiariser avec la notion d’argumentation 2.Traquer les idées 3.Organiser une réflexion cohérente 4. Développer des arguments 5. Être convaincant 6. Construire son autonomie et s’évaluer

07/2011

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Littérature française

Une théorie de l'attachement

Sur un malentendu, un homme revenu de tout et en quête de rien court le risque d'être attaché à une jeune femme menteuse. Cet homme est rapporteur, c'est-à-dire qu'il fait régulièrement à une assemblée dont le rôle et le pouvoir ne nous sont pas plus précisés qu'à lui des rapports sur ce qu'il voit et entend dans la société, dans la vie, plus largement. On pourrait dire aussi qu'il «établit» des rapports en mettant en contact par sa simple présence et son attitude détachée de «conducteur» indifférent, apparemment neutre, des ordres ou des niveaux de réalité différents. Mais ce retrait va bientôt être bousculé par la rencontre d'une énigmatique jeune femme qu'il met sans cesse, semble-t-il, en position de mentir et qui le sort de sa réserve, le fait tomber dans ce qu'il évitait soigneusement, c'est-à-dire la dilution, les regroupements frileux, les solitudes perdues, les tentatives de raccroc, les crochets mentaux. Ce livre est l'histoire d'une déstabilisation et d'une désagrégation, tout simplement, peut-être, celle de l'irruption de la vie et de son désordre.

04/2002

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Poésie

Une théorie de l’amour

"Je sais bien que, s'agissant de poésie, qui veut mal de mort à la froideur du concept et à l'esprit de système, ce titre "Une théorie de l'amour", semble contrevenir au bon sens. Je tiens cependant que c'est trop rapidement en juger. La vérité est qu'aujourd'hui plus que jamais sans doute, la pensée du monde, de la vie et de ses circonstances, otage des machinologues en tout genre, s'asservit pour notre malheur à la souveraineté d'une abstraction qui s'épargne les démentis du réel. Seule objecte à mes yeux à cette emprise délétère ce que la poésie depuis toujours fomente : une compréhension des choses non surplombante mais impliquée, sensuelle assurément, qui a aussi pour moyen la main et le pied. La pensée dans le poème a du corps enfin, et c'est le corps du monde, et c'est le corps de chacun. En quoi elle s'accroît d'un souffle, d'un rythme, d'un dynamisme, pulsations du sang et du vent. Le poème réchauffe le concept et soumet la pensée au vivant contrordre que recèle la liberté native du réel. Mouvement perpétuel, mort du dogme. Il est temps de repenser poétiquement la vie". Jean-Pierre Siméon

11/2021