Recherche

Pour en finir avec les mafias. Sexe, drogue et clandestins : si on légalisait

Extraits

ActuaLitté

Actualité et médias

Pour en finir avec les mafias. Sexe, drogue et clandestins : si on légalisait

Est-il possible d'éliminer le crime organisé et les trafics associés, drogue, prostitution, clandestins ? Pour répondre à cette question, il faut avoir exploré toutes les pistes. La légalisation de ces marchés interdits en est une. L'Etat propose une offre légale qui se substitue à celle des réseaux mafieux. Les prix doivent être suffisamment bas pour pousser les trafiquants hors du marché. On se trouve alors face à un dilemme : éliminer les trafics et la criminalité associée ou contenir les consommations de substances ou services incriminés. Dans cet essai, Emmanuelle Auriol étudie les marchés interdits de la drogue, de la prostitution et des clandestins. Elle propose des solutions innovantes : légalisation, sanctions contre les clients, ventes de visas, combinées à des mesures répressives fortes. Ces politiques, si elles étaient mises en place, limiteraient considérablement les activités criminelles.

05/2016

ActuaLitté

Sociologie

Pour en finir avec le conflit des sexes

La question du genre masculin/féminin ne cesse de diviser. Entre passions et incompréhensions, il demeure difficile de comprendre les rapports entre les hommes et les femmes, en dépit des évolutions culturelles et sociétales modernes. Nous avions cru pouvoir enfin enterrer la hache de guerre, que c'était fini, mais aux détours d'une réflexion amicale, d'une relation amoureuse ou d'un de ces micro-événements qui maillent notre quotidien, nous sommes renvoyés dans les rôles assignés à notre sexe d'appartenance. Et si les frontières s'étaient juste déplacées ? Les Martiens et les Vénusiennes restent en haut de l'affiche et hantent les têtes de gondoles tandis que les universitaires tentent péniblement de faire entendre sur la scène médiatique leur docte musique composée sur l'infinie variation des relations entre les sexes. Pourquoi sommes-nous quotidiennement confrontés à un affrontement inopérant entre sexes et genre ? Pourquoi en dépit des indéniables avancées juridiques et politiques des gouvernements successifs, des prises de conscience de la société civile, de la multiplication des discours de vulgarisation, avons-nous le sentiment de ne jamais en avoir fini avec les rigidités, les conflits ou les normes archaïques qui régissent les rapports femmes-hommes ? Tenter autre chose ! Vivre une féconde altérité ? Fred et Camille, les acteurs modernes de ce livre, jouent librement avec les conventions et identités de sexe. Ils sont complexes, homme ou femme, parfois l'un et l'autre. Ils enquêtent sur les différentes scènes sociales (couple, espace public, politique, médias, culture...), braconnent sur les terres inhospitalières de l'appartenance sexuée, débusquent les espaces de conflits en arpentant les lieux communs, s'essaient au métissage du genre. Leur ambition ? Offrir le plaisir d'un débat libre, constructif, dédramatisé.

01/2011

ActuaLitté

Encyclopédies de poche

Mafia, mafias

L'Italie et sa mafia, ou l'Italie et ses mafias ? Cosa Nostra, la sicilienne, ne règne plus seule sur la Péninsule. Elle a subi de plein fouet la répression apis les féroces attentats des années 1992-1993, qui valurent la vie des juges Falcone et Borsellino. Cosa Nostra est désormais concurrencée par d'autres mafias qui, s'inspirant de son exemple, se sont affirmées dans le Mezzogiorno. Telle la Camorra napolitaine qui a brusquement cessé d'être un conglomérat de délinquants pour devenir " Le Système ". Telle aussi la 'Ndrangheta calabraise, connue autrefois pour ses enlèvements moyenâgeux dans l'Aspromonte et qui assurerait aujourd'hui 80 % du trafic mondial de cocaïne. Marcelle Padovani nous fait entrer dans le nouveau monde des mafias. Et surtout nous fait comprendre que la mafia n'est pas un contre-État mais, dans certaines régions du sud de l'Italie, le seul État véritablement existant.

10/2009

ActuaLitté

Toxicomanie

En finir avec la guerre aux drogues

Aujourd'hui, des digues s'effondrent. Le discours qui s'est longtemps résumé à dire que "les drogues, c'est de la merde" ne prend plus ; la régulation du cannabis n'est plus un sujet tabou, l'ouverture de salles de consommation a moindres risques non plus. De plus en plus de pays s'y mettent. Alors que le sujet devient plus clair, le débat peine à s'approfondir. Depuis trente ans, les mêmes questions et souvent les mêmes réponses dans dans les médias ou en politique. Les drogues, tout le monde en parle mais personne ne sait vraiment ce qu'il en dit. Lorsqu'on dépasse le préjugé, le sujet est sensible. "Dites-moi comment vous traitez les consommateurs de drogues et je vous dirai dans quelle société vous vivez". Entre libertés publiques et vie privée, sécurité et santé, les drogues sont le miroir d'une société qu'on aimerait vous raconter. Jean-Pierre Courteron, Jean Félix Savary, Pierre-Yves Geoffard et Yann Bisiou, Quatre experts du sujet se sont réunis pour écrire ce livre, véritable outil pédagogique pour comprendre et se faire un avis.

09/2021

ActuaLitté

Beaux arts

Si loin, si près. Pour en finir avec la préhistoire

Jean-Michel Geneste a été conservateur de la grotte de Lascaux et il a coordonné les recherches dans celle de Chauvet. Il parcourt également le monde - depuis la Dordogne jusqu'à la Colombie-Britannique, en passant par l'Australie, la Papouasie-Nouvelle-Guinée et l'Altaï sur la trace des chasseurs-cueilleurs d'hier ou d'aujourd'hui, de leurs techniques et des arts rupestres dans leur splendeur et leur diversité. Il raconte ici ses recherches à Boris Valentin, professeur d'archéologie préhistorique, et tous deux échangent sur leur passion pour l'histoire très ancienne de l'humanité, pour de grands lointains qui leur sont devenus très proches. Une telle familiarité exige de pousser l'étude parfois jusqu'aux limites du perceptible. C'est un des émerveillements que ce livre veut faire partager.

05/2019

ActuaLitté

Faits de société

Pour en finir avec les dealers

Aujourd'hui, en France, on tue pour quelques euros. Le marché du cannabis génère plusieurs milliards d'euros de chiffre d'affaires. L'argent facile dans un monde en crise, attire des jeunes prêts à tuer... Comment en sommes-nous arrivés à cette folie ?Après trente années d'abandon du politique dans les banlieues, Stéphane Gatignon, maire de Sevran, et Serge Supersac, ancien flic de terrain, donnent les raisons de ce chaos. Rester dans la logique actuelle, c'est s'acheminer vers une véritable guerre des gangs. Pour en finir avec les dealers, il faut sortir de la prohibition. La délinquance surmédiatisée, les enjeux de santé publique et d'économie, doivent inciter à agir avant qu'il ne soit trop tard.

04/2011

ActuaLitté

Autres

Testo junkie. Sexe, drogue et biopolitique

Ce livre est le récit d'une expérience politique. Celui de l'administration quotidienne, pendant 236 jours, de testostérone synthétique. Une expérience vécue comme un acte de résistance face à l'assignation à la naissance d'une identité sociale et sexuelle considérée immuable. A travers le récit de sa transformation corporelle, Paul B. Preciado dessine la mutation politique contemporaine des technologies de pouvoir. Entre chronique autobiographique et essai philosophique, Testo Junkie est pour la génération queer, trans et non-binaire ce que L'Anti-OEdipe de Deleuze et Guattari était pour la génération 68. Un livre incontournable, une lecture urgente, qui bouleverse nos certitudes et invite à transgresser les normes de genre et de sexualité.

04/2021

ActuaLitté

Philosophie

Testo Junkie. Sexe, drogue et biopolitique

"Ce livre n'est pas une autofiction. Il s'agit d'un protocole d'intoxication volontaire à base de testostérone synthétique. Pendant le temps de cet "essai corporel" , deux impondérables : la mort de Guillaume Dustan et le tropisme du corps de Beatriz Preciado vers le corps de V. D. Sont enregistrées ici aussi bien les micro-mutations physiologiques et politiques provoquées par la testostérone dans le corps de Beatriz Preciado que les modifications théoriques et physiques suscitées dans ce corps par la perte, le désir, l'exaltation, l'échec ou le renoncement. "Le lecteur ne trouvera pas ici de conclusion définitive sur la vérité de mon sexe, ni d'oracle sur le monde à venir. Je donne à lire ces pages qui dessinent les croisements des théories, des molécules et des affects, pour laisser trace d'une expérience politique dont la durée exacte a été de 236 jours et nuits et qui continue aujourd'hui sous d'autres formes. Si le lecteur trouve ici, assemblés sans solution de continuité, des réflexions philosophiques, des récits de session d'administration d'hormones, et des registres détaillés de pratiques sexuelles, c'est simplement parce que c'est le mode sur lequel se construit et se déconstruit la subjectivité". B. P.

10/2008

ActuaLitté

Romans noirs

Le cycle clandestin : Citoyens clandestins

A circonstances exceptionnelles, mesures exceptionnelles. Une véritable petite saloperie chimique se balade dans la nature et il ne s'agit plus seulement de sauver des vies humaines. L'Etat français, ou certains de ses représentants, est prêt à tout pour éviter ce qui pourrait être une hécatombe et un formidable scandale. La journaliste Amel Balhimer ou l'apprenti jihadiste Karim ne le savent pas encore mais leurs destins sont liés et pourraient devenir matière à gros titres du 20 heures. Ailleurs, un homme braque la lunette de son fusil high-tech sur la fenêtre d'une ferme. Démarre alors un effrayant compte à rebours.

10/2015

ActuaLitté

Littérature française

Pour en finir avec mon sofa

"Dans Sofa, je n'ai pas pu garder les vrais prénoms car si je l'avais fait il y aurait un seul prénom . Tous les personnages s'appelleraient Hélèna. Ce ne serait pas facile pour s'y reconnaître. La fille qui hérite des problèmes de sa mère c'est moi. La mère qui ne peut pas s'empêcher d'emmerder sa progéniture c'est moi aussi. Le petit ami qui adore jouer au ping-pong c'est encore moi. Le type qui collectionne des petits bidules en plastique c'est toujours moi et l'ami d'enfance qui raconte les vieilles histoires c'est moi, moi et moi. J'ai donc dû inventer des prénoms".

03/2018

ActuaLitté

Philosophie

Pour en finir avec Dieu

Richard Dawkins, professeur à Oxford et spécialiste mondialement connu de l'évolution, analyse dans ce livre l'" hypothèse Dieu " avec les mêmes outils rationnels et le même scepticisme que n'importe quelle autre. II s'attache donc à faire la démonstration de la " probabilité extrêmement faible de son existence ". Comprendre le monde du vivant, apprécier son extrême richesse expliquée avec une " élégance irrésistible " par la sélection naturelle de Darwin, voilà qui, montre Dawkins, devrait permettre d'abandonner toutes les formes de superstition, à commencer par le créationnisme.

02/2009

ActuaLitté

Psychologie du handicap

Pour en finir avec les mal-entendus

Rencontrer la personne polyhandicapée souvent laissée dans l'ombre, la découvrir et peut-être se découvrir soi-même, participent au changement de regard porté sur elle. La société qui ne voit en elle qu'un corps déformé, des comportements étranges, refuse parfois de la considérer dans sa singularité et son humanité. La connaître avec ses différences, ses difficultés, mais aussi tout ce qu'elle produit de solidarité, d'engagement, de richesse permet de mieux répondre au souci de l'humain et à sa juste place dans une société respectueuse de tous.

04/2021

ActuaLitté

Essais

Vous avez dit pervers ? Pour en finir avec les malentendus

La perversion est un terme qui, dans la clinique, qualifie une position subjective. Elle constitue l'un des trois grands groupes nosologiques définis classiquement, avec la névrose et la psychose. Or il existe une difficulté pour une définition structurale de la perversion, d'où nombre de malentendus à son propos. Comment reconnaître un pervers puisque les pervers, paraît-il, ne consultent jamais les psychanalystes ? Selon Freud, l'enfant est toujours un " pervers polymorphe " au moins au début de son existence, et cela n'est pas sans ouvrir le débat avec des conséquences parfois dramatiques. La question de la structure perverse mérite donc être posée et examinée. Le mot de " transitoire " bien présent à son propos dans l'enseignement de Lacan vient nous alerter sur ce que l'ordre pervers a d'instable, même s'il semble fixé et se révèle donc trompeur. Trait symptomatique dans la névrose, suppléance dans la psychose, le lien à ces structures comme à la différence des sexes vaut d'être explicité. Il peut se révéler utile dans l'abord clinique du désir, pervers par définition. Comment sortir des ces malentendus ?

04/2021

ActuaLitté

Théâtre - Pièces

Mon père (pour en finir avec). Edition

Réunion de famille : il y a la mère, sa fille, ses deux fils, et un absent, le père, disparu depuis dix ans. S'il est revenu sans crier gare dans la maison familiale, c'est pour y mourir. Autour de la mère gravitent les revenants, fantômes des vivants et des morts, restes d'enfances et vestiges d'amours contrariées ou gâchées. Tous sont entraînés dans une spirale de deuils infernaux. Et bien sûr, pas de testament... La création de Mon Père (pour en finir avec) a eu lieu en janvier 2023 à la Scène nationale de Dieppe, dans une mise en scène de Pierre Notte avec Muriel Gaudin, Benoît Giros, Silvie Laguna, Pierre Notte, Shékina et Clyde Yeguete.

01/2023

ActuaLitté

Essais

Cannes confidentiel. Sexe, drogues et cinéma

Tapis rouge, montée des marches, Palme d'Or : du festival de Cannes, le monde connaît la légende qui, chaque année, fait converger vers cette petite station balnéaire sans charme de la Côte d'Azur le gotha du 7e art. En soixante-dix ans, le festival a imposé ses codes au cinéma mondial et s'est mué en un véritable système. Dérives financières, affaires de drogues, scandales sexuels, fêtes somptuaires, secrets d'alcôve : rien ne semble pouvoir égratigner le symbole. Son principe, u tout ce qui se passe à Cannes reste à Cannes ", n'est pas une vaine expression. C'est la réalité derrière les paillettes que Xavier Monnier explore dans ce livre. Au terme d'une enquête minutieuse, il brise le silence protecteur que le festival a instauré autour de son fonctionnement et révèle le vrai visage d'un événement où se jouent réussites et morts commerciales, fins de carrière et naissance de nouvelles étoiles. Une plongée au coeur du pouvoir de Cannes.

06/2021

ActuaLitté

Musique, danse

Sexe, drogues et rock'n'roll

La vie de Fabienne Shine est un condensé de cet esprit nouveau qui anime les filles à l'orée des seventies, celles qui vont vraiment vivre la révolution contre-culturelle, avec leur corollaire de sexe, de drogues et de voyages. Après des histoires d'amour avec Jean-Pierre Léaud et Charles Aznavour (il a 44 ans, elle 17), elle est tin peu mannequin, comédienne, aventurière, fréquente Salvador Dali, tourne avec Vadim et Fellini, forme un trio sensuel avec Klaus Kinski et une jolie vietnamienne puis devient le jouet sensuel d'un monument de la littérature, Alberto Moravia. Tout au long de cet étonnant parcours de femme libre, l'héroïne croise la route et le destin des plus grandes stars de son époque, elle est amie avec Bob Marley, les Rolling Stones, Nico, Patti Smith, amante de Rick Wright des Pink Floyd, de Johnny Thunders des New York Doits, et devient la compagne officielle de Jimmy Page de Led Zeppelin, pendant leur tournée américaine de 1975. Avec deux futurs membres de Téléphone, elle monte un groupe de rock à Paris, Shakin' Street, qui tutoie la gloire aux tISA, puis elle épouse une rock star underground qui la force à témoigner a de sa déchéance opiacée. s Sur trois continents, entre utopies et quotidien marqué par les stupéfiants et l'instinct de survie, c'est une trajectoire unique de . bohémienne électrique, de muse devenue créatrice. I)e la Coupole au Chelsea Hotel, du Gendarme de St Tropez aux tournées de Led Zeppelin, de Rome à New York, San Francisco ou Bombay, Sexe, Drogues et Rock'n'roll : c'est un bon résumé de cette vie échevelée, dans un roman du réel qui prend des allures de conte épique.

03/2014

ActuaLitté

Histoire et Philosophiesophie

Pour en finir avec le paranormal

Apparitions de fantômes et d'objets volants non identifiés, enlèvements par des extraterrestres, expériences de mort imminente... Ces phénomènes fascinants sont aujourd'hui qualifiés de "paranormaux". Michel Leurquin et Jean-Michel Abrassart sont passionnés depuis longtemps par l'étrange et se réclament de la zététique, une branche qui étudie les phénomènes paranormaux de manière scientifique. A la manière de Dana Scully dans "X-Files", ils expliquent ce qui est prétendument "inexplicable". Les auteurs nous présentent une vingtaine de faits paranormaux et l'état des recherches scientifiques sur ces sujets. Découvrez, entre autres,... comment Elsie et Frances, deux jeunes Anglaises, parvinrent à convaincre leur famille que des fées avaient élu domicile dans leur jardin et comment Arthur Conan Doyle lui-même fut impliqué dans la supercherie ; les liens étroits entre la fiction et la réalité qui transformèrent "Amityville", lieu de crime, en véritable lieu hanté et inhabitable ; la terrible Légende du Slender Man, qui "poussa" deux adolescentes à poignarder une de leur camarade et la laisser pour morte dans un bois ; la manière dont les détectives extralucides firent fortune au sortir de la guerre ; la façon dont les prédictions de Nostradamus furent interprétées et même inventées de toutes pièces !

08/2018

ActuaLitté

Actualité et médias

Pour en finir avec la droite

A quoi sert une droite qui ne croit plus à la nation, qui n'est pas capable de promouvoir la liberté d'entreprendre et que la peur de paraître "ringarde" conduit à renier ses valeurs l'une après l'autre ? Intimidée par le "politiquement correct" , engluée dans le piège du Front national, inapte à assurer l'héritage gaulliste, pauvres en hommes, faibles en idées, chétive en volonté : l'état de la droite justifie-t-il l'acharnement thérapeutique des Diafoirus d'appareil ? Ou faut-il que cette droite périsse pour que se reconstitue une famille politique qui offre une alternative au pays ?

10/1998

ActuaLitté

Musique, danse

Pour en finir avec le "classique"

Comment pouvons-nous classer des musiques très différentes comme celles de Bach, Mozart ou Boulez dans la même catégorie ? Pourquoi utilisons-nous un terme à la fois si commun et si flou pour décrire cette musique ? Malgré le bouleversement des modes d'écoute lié aux nouvelles technologies, ce concept de musique "classique" reste figé. Comment envisager cette musique différemment ? Avec pédagogie et perspicacité, l'auteur de cet ouvrage décortique la notion de "musique classique" . Il la remet en question par une approche sémantique, historique, sociologique et esthétique. A travers des comparaisons avec d'autres genres de musique et d'autres arts, l'auteur s'interroge sur ce concept et propose de le dépasser.

06/2019

ActuaLitté

Actualité et médias

Pour en finir avec la liberté

Une des plumes du Figaro Magazine et de Valeurs actuelles, Jean-Luc Jeener est un des pamphlétaires les plus brillants de sa génération. Il s'insurge ici contre la dérive de nos sociétés qui cherchent à prévenir tout risque, à aseptiser la vie pour la prolonger indéfiniment et à dicter aux citoyens leur conduite par une série d'interdits et d'obligations. La crise sanitaire est un révélateur profond de nos dérives : déresponsabilisation des politiques qui s'abritent derrière les experts, démission de l'Eglise qui accepte une eucharistie cathodique, inaudibilité de toute voix discordante et résurgence de la délation de son prochain, qui serait oublieux du confinement, de son masque, de se faire tester... En fait, le virus ne fait que rendre plus saillante une évolution inquiétante plus profonde illustrée par de nombreuses dérives dont nous donnerons ici deux exemples. D'une part les lois mémorielles édictent une pensée officielle au lieu de permettre à la vérité de sortir vainqueur du débat et poussent les sceptiques vers le complotisme. D'autre part le principe de précaution est érigé en impératif absolu, muselant nombre d'initiatives de recherches et d'innovations. Dans un cas comme dans l'autre, c'est l'essence même de la démocratie, ancrée dans le débat et le respect de l'initiative de chacun, qui est menacée.

01/2021

ActuaLitté

Philosophie

Pour en finir avec l'irresponsabilité

L'irresponsabilité est au coeur de tous les débats et les vagues d'attentats meurtriers qui endeuillent l'Europe font surgir l'urgence de fonder une responsabilité authentique, susceptible de donner un sens à tous les verdicts et toutes les condamnations, faute de quoi il serait hypocrite de se plaindre du taux de récidive comme du sentiment grandissant d'impunité. Assumer les sources religieuses de la responsabilité, éclaircir les polémiques contemporaines sur l'amour et le mariage, sur l'écologie, l'éducation, comprendre les insuffisances idéologiques actuelles pour retrouver le sens du pardon, la noblesse perdue du respect et de la dignité, telles sont les pistes proposées par André Guigot, pour qui l'espoir renaîtra par l'esprit de responsabilité. Accessible par son style vivant, et exigeant sur le fond, cet essai engagé bouscule les préjugés et donne de quoi penser et résister. André Guigot est professeur à Nantes et essayiste. Il est l'auteur du très remarqué Pour en finir avec le "bonheur" , mais aussi de Qui pense quoi ? (Bayard), Sartre, liberté et histoire (Vrin) et du Petit dictionnaire de l'amour (Milan). Il anime de nombreux débats et conférences. Ses travaux portent sur la philosophie contemporaine, le renouveau du spiritualisme et les exigences d'une éthique propre à notre temps.

05/2016

ActuaLitté

Histoire internationale

Pour en finir avec l'Allemagne

La victoire de Gerhard Schröder - suivie de la constitution d'un gouvernement " rouge-vert " (rose-vert serait plus exact) - est venue nous mettre brutalement sous le nez des réalités que nous cachait la massive et débonnaire silhouette de son prédécesseur Helmut Kohl. L'Allemagne n'est décidément pas ce pays " sûr de lui-même et dominateur " à quoi le résument nos inusables clichés, mais au contraire une nation qui doute d'elle-même et du monde, le mot est encore assez faible. Nous croyons que tout réussit aux Allemands. Qu'ils travaillent bien plus que nous. Qu'ils sont encore parfois hantés par de très suspectes nostalgies. Qu'ils ignorent la crise et ses peurs. Que leur amitié pour nous est, au mieux, condescendante. Et nous avons tout faux ! Il y a pour les Français un mystère allemand à plusieurs inconnues. Des inconnues qui tiennent il est vrai, bien souvent, à notre ignorance persistante à l'égard du plus grand voisin et principal partenaire de la France en Europe. C'est bien pourquoi il est grand temps d'en finir avec l'Allemagne. Celle, du moins, que nous jugeons mal, par excès ou par défaut, et qui est au cœur des fantasmes français bien plus que des réalités politiques, économiques et culturelles d'aujourd'hui. Et d'en refaire ce qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être : un (grand) pays comme les autres.

10/1998

ActuaLitté

Théâtre

Pour en finir avec le théâtre ?

Le théâtre est un verbe qui devient chair, un comédien qui devient personnage, un moment habité par les spectateurs, une catharsis citoyenne, un apprentissage de la complexité et de la finesse. Or notre théâtre n'est aujourd'hui le plus souvent que spectacle désincarné et sans âme, tristes pitreries, one-man shows et autres ersatz de théâtre. Et ceux qui s'obstinent à faire du vrai théâtre sombrent parfois dans la course au spectaculaire, dans l'édifiant, dans l'aridité, oubliant que c'est l'humain qui doit être au coeur du théâtre. Depuis l'Antiquité, sans théâtre la Cité se meurt, la démocratie s'assèche, les pires instincts se déchaînent. Dans une France divisée, pourvu que les pouvoirs publics lui donnent les moyens d'exister, le théâtre peut contribuer à notre salut collectif.

03/2017

ActuaLitté

Affirmation de soi

Pour en finir avec nos peurs

Cher Monsieur, De coeur et d'âme, je vous dis merci de nous offrir la possibilité de lire ce long texte de M. Eric Ancelet " pour en finir avec nos peurs... " Merci d'avoir sollicité Monsieur Ancelet de reprendre la plume tout récemment, merci à Monsieur Ancelet pour les informations si précieuses que j'ai découvertes et merci à vous de nous l'offrir gratuitement. Ce texte m'a profondément touchée, recadrant si clairement ce que notre société vit actuellement. Ma souveraineté s'est renforcée et mon appartenance à une très longue histoire aussi. Je vous remercie. Je vous souhaite de beaux moments de vie Amicalement Catherine Praplan. Récemment, j'ai lu le livre de M. Ancelet " Pour en finir avec Pasteur ", quel livre !! Et quel bel être pour nous transmettre tout cela.

05/2021

ActuaLitté

Autres collections (9 à 12 ans

Pour en finir avec le Groc

Pour fuir son abruti de beau-père, Eole, onze ans, décide de passer le plus de temps possible hors de chez lui, avec son grand-père. A ses côtés, il découvre toute une bande de vieux, surprenants et rebelles, qui l'incitent à assumer son désir le plus secret : celui d'en finir avec le Croc. Le Croc ? Le gros con ! Ne plus se laisser faire, lutter pour gagner sa liberté, prendre son destin en main, voilà le grand défi d'Eole.

05/2021

ActuaLitté

Sociologie

Pour en finir avec la culture

A lire avant que la culture ne devienne vraiment un gros mot Le pamphlétaire bien connu, chroniqueur au Figaro et à Valeurs actuelles, Jean-Luc Jeener s'insurge contre la disparition de nos références culturelles et, plus encore, contre le glissement progressif vers une déligitimisation de la culture, soi-disant marque de privilège mais en fait seule réelle garantie d'émancipation.

01/2022

ActuaLitté

sociologie du genre

Pour en finir avec le féminisme

Comment un couple vit-il le féminisme ? Un homme et une femme de culture et de générations distinctes que la vie et la foi ont unis nous livrent le passionnant dialogue de leurs pensées. Deux textes croisés qui se répondent. Deux visions du monde qui achoppent l'une sur l'autre mais aussi bâtissent l'une avec l'autre. Tout en estimant que le combat du féminisme est un des plus beaux de notre siècle et que, comme un parcours à bicyclette, il ne saurait s'arrêter sans chuter, les auteurs s'inquiètent de certains de ses excès et de ses dérives. Défendant aussi bien la galanterie à la française que le droit de se faire importuner ou la complicité et la complémentarité entre les sexes, les auteurs militent pour un féminisme à la française, qui nous éviterait la montée de la méfiance et de l'enfermement, la judiciarisation des rapports sociaux et la permanente injonction faite aux femmes d'être des wonder women, mères parfaites et travailleuses accomplies. Le féminisme doit également inclure les hommes sans lesquels le combat pour l'égalité ne saurait être gagné. Egalité ne veut cependant pas dire identité et chercher à "dégenrer" la société est une ineptie. De même l'émancipation du patriarcat ne saurait se confondre avec un prosélitisme pour l'exclusion des hommes de la vie des femmes.

07/2024

ActuaLitté

Faits de société

Pour en finir avec les conflits d'intérêts

" Conflit d'intérêts. " Depuis qu'il a été révélé que la première fortune de France détenait des comptes en Suisse et quelques autres avoirs exotiques, tout en salariant la femme de l'ex-ministre du Budget, lui-même pourfendeur revendiqué de la fraude fiscale et trésorier du parti majoritaire, la notion de " conflit d'intérêts " est entrée dans le débat politique. Les conflits d'intérêts peuvent être mortels. N'étaient-ils pas au coeur des drames du sang contaminé, de l'hormone de croissance et de l'amiante ? Ne représentent-ils pas un danger pour la démocratie ? Martin Hirsch explore ces zones grises proches du trafic d'influence : au sommet des entreprises, dans la santé, au Parlement. Il prend parti pour des règles nouvelles et complètes de prévention des conflits d'intérêts. Sans loi, point de salut. Il expose quelques principes simples qui permettraient d'assainir les rapports entre le pouvoir et l'argent. Pour en finir avec l'ère du soupçon. Pour donner un sens à la notion d'éthique publique.

09/2010

ActuaLitté

Développement personnel

Pour en finir avec les problèmes de stress

Il existe certes des facteurs de stress dans notre environnement objectif (travail, transport…), mais certains d’entre nous ont structurellement des prédispositions. Il suffit par exemple de se rappeler que nos parents ou nos grands-parents ont forcément vécu au moins une guerre, avec ce que cela signifie de privation, de peur de manquer, de peur de mourir, de peine et d’angoisse… De stress donc, programmé et transmis. Dès avant notre naissance, nous sommes l’objet d’attentes nombreuses de la part de chacun de nos parents, de leur couple, voire de notre famille, comme s’il nous était établi une sorte de programme de vie. Lorsque nous naissons, nous sommes "conditionnés", génétiquement certes, mais aussi psychiquement, car inscrits dans une histoire familiale qui nous précède. Notre prénom fait partie des "bagages" qui nous accompagnent. Or, il est des fardeaux lourds à porter, qui ne nous appartiennent pas toujours… Bernadette Picazo révèle l’importance de nos origines familiales sur notre plus ou moins grande résistance au stress. Elle décrit les stresseurs transgénérationnels et leurs conséquences sur nos vies personnelles et professionnelles, tout en nous invitant à fabriquer nos propres outils anti-stress et à le partager.

04/2013

ActuaLitté

Théâtre

Pour en finir avec les intermittents du spectacle

Coup de gueule et engagement : mettre au coeur du débat des sujets cruciaux pour l'avenir de la France en confiant à des professionnels de premier plan le soin de rédiger des ouvrages incisifs qui interpellent. Pour en finir avec les intermittents du spectacle : le spectacle vivant est un milieu fragile qui subsiste largement grâce à l'ingénieux système de l'indemnisation du chômage des intermittents du spectacle. Mais celui-ci est dévoyé, mettant en péril l'ensemble d'une profession, dans ses moyens d'existence mais aussi dans son âme même. Reconnaître la place particulière du théâtre dans la cité et le sens de l'engagement qui anime ses acteurs implique de faire preuve d'inventivité et de souplesse dans la gestion de cet univers menacé d'assèchement et de standardisation. Un texte engagé en faveur du théâtre "incarné", défendant la liberté des acteurs, la diversité des scènes, la fonction sociale et politique du spectacle, nourri de l'expérience d'un être hors du commun qui, animé de christianisme social, a tout sacrifié au nom d'une certaine vision du théâtre.

03/2012