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Chaque romance réincarne les cicatrices d'une enfance passée, soit pour les soigner, soit pour les approfondir. À travers un prisme de souvenirs qu'elle évoque en route vers Heidelberg en train, Clotilde Mélisse tente de déchiffrer la complexité de sa relation avec Guillaume.
Tandis que des visions apocalyptiques se dévoilent à travers la fenêtre du train, Clotilde retrace les moments-clés de sa vie. Sa première immersion dans le monde de la poésie à travers les livres de sa mère, le féminicide perpétré par un parent, son adolescence marquée par des pensées suicidaires, et le verdict de sa maladie bipolaire.
Son interaction avec Guillaume, dix ans auparavant, leur connexion par correspondance qui ressemblait à une dépendance, et la désintégration de leur amour lorsqu'ils ont dû affronter la réalité. Guillaume est réapparu, et cela fait maintenant dix-sept mois que Clotilde perd pied. Celle qui trouvait son bonheur dans son célibat est maintenant en proie à la douleur due à la renaissance de cet amour déchu.
Les années écoulées n'ont rien modifié : Guillaume est toujours homosexuel et est désormais en relation. Ainsi, avec chaque arrêt de la gare, Clotilde aspire à trouver une solution avant d'arriver à destination.
08/2023