Policiers
06/2016
Histoire internationale
01/2021
Religion
10/2013
Généralités
02/2023
Critique littéraire
03/2004
Religion
12/2019
Romans policiers
10/2022
Ethnologie
03/1993
Policiers
01/2011
Littérature française
02/2018
Littérature française
08/2011
Romans policiers
07/2023
Policiers
01/2013
Policiers
07/2005
Romans de terroir
09/2017
Romans policiers
03/2023
Littérature française
02/2022
Santé, diététique, beauté
06/2015
Littérature française
09/2013
Histoire des religions
03/2023
Religion
10/2019
Littérature française
03/2019
Religion
09/1997
Littérature française
11/2018
Littérature française
01/2015
Psychologie, psychanalyse
08/2014
Littérature française
08/2018
Sciences historiques
03/2012
Policiers
CommissaireMaigret – Personne ne s'aperçut de ce qui se passait. Personne ne se douta que c'était un drame qui se jouait dans la salle d'attente de la petite gare où six voyageurs seulement attendaient, l'air morne, dans une odeur de café, de bière et de limonade. Il était cinq heures de l'après-midi et la nuit tombait. Les lampes avaient été allumées mais, à travers les vitres, on distinguait encore dans la grisaille du quai les fonctionnaires allemands et hollandais, de la douane et du chemin de fer, qui battaient la semelle. Car la gare de Neuschanz est plantée à l'extrême nord de la Hollande, sur la frontière allemande. Une gare sans importance. Neuschanz est à peine un village. Aucune grande ligne ne passe par là. Il n'y a guère de trains que le matin et le soir, pour les ouvriers allemands qui, attirés par les gros salaires, travaillent dans les usines des Pays-Bas. Et la même cérémonie se reproduit chaque fois. Le train allemand s'arrête à un bout du quai. Le train hollandais attend à l'autre bout.
05/2004
Romans historiques
09/2013