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Le siècle de Marcel Conche

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Biographies

Le siècle de Marcel Conche

Marcel Conche a dit à ses convives le 27 mars 2019, pour ses 97 ans : je ne sais qu'écrire. Cette discipline de la page quotidienne écrite le matin, à la main, presque à l'aveugle, au senti du tracé est sans doute ce qui continue à donner du goût et du sens à sa vie. La dictée du texte au téléphone est le deuxième temps de sa démarche. Maryse Chan est son interlocutrice à huit cents kilomètres de là. Elle a la lourde responsabilité de la mise en forme et en page de ce que lui dicte Marcel. Puis vient le temps de l'édition, tous les six mois, aux équinoxes (printemps, automne), livres rassemblant ses chroniques et essais, des souvenirs, des rêves, des désirs, des bilans. Marcel comme Montaigne peint le passage. Pour Le siècle de Marcel Conche, écrit à son insu, 42 personnes et personnalités ont été sollicitées. 27 ont participé qui n'ont découvert la totalité du livre qu'à sa parution. Chers lecteurs, vous voici, vous aussi, associés à la découverte d'un journal étrange déclinant des amitiés singulières, uniques avec le philosophe qui nous invite sans concessions ni compromis au plus grand respect de tout ce que la Nature crée. Jean-Claude Grosse, éditeur des Cahiers de l'Egaré

09/2021

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Philosophie

Heureusement qu'on meurt. Sur une parole de Marcel Conche

Marcel Conche, professeur émérite de philosophie à la Sorbonne, membre de l'Académie d'Athènes, lauréat de l'Académie française pour l'ensemble de son oeuvre, vit retiré à Altillac dans la maison de son enfance où il mène une vie simple et rustique, proche de la terre. Se limitant à la satisfaction des désirs que les épicuriens disaient naturels, au sein d'une ruralité paisible, il a choisi de ne pas être à la remorque du progrès. Il fait revivre en cela l'esprit d'Epicure dont la philosophie avait pour seul but d'acquérir la santé de l'âme. Les entretiens que nous avons avec lui, son éditeur et moi, portent sur les choses ordinaires de la vie qui font corps avec sa métaphysique, une métaphysique athée et naturaliste. Récemment, tandis que nous marchions dans Beaulieu-sur-Dordogne, il nous disait, dans un même mouvement de pensée, je préfère la vie à la mort et, aussitôt après, heureusement qu'on meurt. Est-ce contradictoire ? C'est la question qui anime cet essai. Où, après s'être demandé ce qu'il adviendrait de l'amour de la vie dans l'hypothèse d'une vie immortelle, on en sera naturellement venu à l'idée qu'il ne peut y avoir d'autre amour de la vie que l'amour d'une vie mortelle.

09/2015

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Philosophie

La nature et nous

La "nature et nous", mais que sommes- nous, sinon un produit de la nature, qui nous a créés comme les arbres, les fleurs et les bêtes ? De là la règle épicurienne de suivre la nature, c'est-à-dire de nous en tenir aux désirs naturels dont la satisfaction est toujours possible et de rejeter les désirs "vains" dont la satisfaction est impossible.

11/2019

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Philosophie

Analyse de l'amour et autres sujets

Cet ensemble de textes est, pour l’essentiel, ce que Marcel Conche appelle le « nécessaire retour aux Grecs ». Cela signifie, en substance, penser le monde selon nos seules ressources, celles de la raison, en laissant de côté les idées religieuses (« Dieu », « l’âme immortelle », etc.). Il se trouve que la philosophie moderne (à l’exception notable de Spinoza) a toujours été un mélange de rationalité et de théologie. Dans cet ouvrage, Marcel Conche essaie de renouer avec l’innocence grecque qui tenait la « Nature » – et non le Dieu biblique – pour cause de toutes choses.

06/2011

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Philosophie

Vivre et philosopher. Réponses aux questions de Lucile Laveggi

En 1991, Marcel Conche accepta de répondre par écrit à une trentaine de questions posées par la philosophe Lucile Laveggi. « Sur le bonheur, sur l’illusion, sur l’apparence, sur la beauté, sur la guerre et sur la politique, sur la foi et l’incroyance, sur Parménide et tels autres sujets, j’ai répondu avec bonne foi dans les limites de ma perception sincère de la vérité [...]. Je crois que mes évidences d’alors seraient, nuancées et enrichies, encore les miennes aujourd’hui. »

06/2011

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Philosophie

De l'amour

Aphrodite fait l'unité de ce livre : elle est l'objet de la nouvelle Préface, ainsi que de l'Appendice, où l'on voit son rôle dans l'Iliade ; et elle triomphe dans la deuxième partie du livre, qui n'existait pas dans les éditions précédentes, et a été inspirée par les épigrammes amoureuses de l'Anthologie palatine.

03/2014

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Philosophie

Regard(s) sur le passé

"Je me souviens du passé, mais la mémoire de l'esprit, qui oublie, est différente de la mémoire du coeur, qui n'oublie pas. "Je me souviens" mais surtout "Je rêve dans le passé" : je revis mon passé sous la forme du rêve."

05/2019

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Philosophie

Epicure en Corrèze

Marcel Conche a fait sienne la philosophie dépouillée d'Epicure : la voie du bonheur passe par la réalisation des désirs naturels et nécessaires, et le dédain des désirs vains. Alternant souvenirs d'enfance, chronique du monde paysan au début du XXe siècle, évocations de ses amours et réflexions philosophiques, il nous offre ici une lumineuse leçon de vie et de sagesse.

06/2016

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Philosophie

Le sens de la philosophie

La philosophie n'a pas en vue l'utilité ou le bonheur, mais la seule vérité. Le sceptique lui-même philosophe sous l'idée de vérité, car, quoi qu'il dise, il ne peut que dire ce qui lui semble vrai. Des lors qu'il n'y a pas de démonstration en métaphysique, le scepticisme métaphysique est le lot commun de tous les philosophes aujourd'hui. Cela signifie qu'il convient de philosopher en première personne, à l'exemple de Montaigne. Marcel Conche, donc, ne fait que dire ce qui lui semble. Il pose, avec Montaigne (cf. p. 27), la "question de l'être" — question que Descartes a ignorée. Concluant au nihilisme ontologique, il substitue à la notion d'"être" la notion pyrrhonienne d'"apparence" (il y a... des apparences). Mais il refuse le nihilisme pratique (axiologique), qu'il s'agisse d'éthique (laquelle répond à la question : "à quoi bon la vie ? "), de morale (qui concerne ce que l'on doit à autrui) ou d'esthétique. Toutefois, le questionnement sceptique, à la différence du dogmatique, ne connaît pas l'arrêt. La philosophie n'a donc pas d'aboutissement en elle-même. Mais elle mène à l'au-delà d'elle-même et, à l'exemple de Socrate, à rendre les armes à la sagesse de l'amour.

06/2014

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Philosophie

Parcours. Journal d'une vie intellectuelle

Après un livre plutôt austère sur Héraclite, l'auteur revient à la libre expression de soi ("C'est moy que je peins") où "expression de soi" ne signifie pas oubli des autres, qu'il s'agisse de ses proches, de ses amis (plusieurs fois présents par leurs lettres), de philosophes ("Rencontre de Pascal", "Hegel et le mal") ou d'hommes politiques ("Macron et la Crimée"). Reste que bien des chapitres ont un accent personnel, chapitres qu'une émotion inspire : nostalgie ("Au lycée d'Evreux"), fierté ("Mon sujet de fierté"), humiliation ("Le vélo"), résignation ("Vieillir"), tout cela à l'ombre des préoccupations métaphysiques fondamentales ("La Nature comme Tout et source de vie", et "Vers la Nature infinie").

03/2018

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Philosophie

Conversations avec Vauvenargues, Chamfort, La Bruyère et quelques autres...

"Toute ma philosophie a sa source dans mon coeur" écrit Vauvenargues ; et Auguste Comte affirme "la prépondérance du coeur sur l'esprit" et entend instaurer le "règne du coeur". De là, ces Conversations avec Vauvenargues, Auguste Comte et d'autres auteurs, autour de la notion de coeur - comme ce qui dans l'homme est le plus sensible à autrui, à sa peine, à sa souffrance - et autour de tous les sentiments ou vertus qui ont leur racine dans le coeur, telles que la fidélité, la gratitude, la ferveur, la pitié, la générosité, l'admiration, mais aussi et surtout l'amitié et l'amour.

09/2018

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Philosophie

Entretiens

Un moment heureux de ma vie furent ces journées de mai 2012 où mes amis Jean-Philippe Catonné, André Comte-Sponville, Françoise Dastur, Gilbert Kirscher et Yvon Quiniou sont venus à "La Maison-neuve" pour débattre de ma philosophie. J'admire la profonde compréhension qu'ils ont montrée, de ma façon de voir les choses, bien qu'ayant la leur propre. Ils ont leurs philosophies et j'espère que ces Entretiens inciteront les lecteurs à se tourner vers elles autant que vers la mienne. Mon "scepticisme à l'intention d'autrui" me permet de concilier la certitude que j'ai avec l'existence d'autres pensées philosophiquement cohérentes.

12/2016

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Philosophie

Temps et destin

Le temps, par son concept, est en nous. Mais nous sommes aussi "dans le temps " (Aristote). Car, avant les jours de notre vie, il y avait des jours (pour d'autres vies), et, après, il y en aura encore. Le temps nous est compté. Etre " dans le temps " ? n'avoir qu'une durée de vie limitée, une part de temps. Or, c'est là ce que la notion de " destin " a signifié, originellement, pour les Grecs : n'avoir qu'une part de temps. Le temps, la mort et le destin s'entre signifient. Qu'en est-il du temps si la mort est un événement " destinal " ? On montre que la condition pour qu'il y ait destin est l'absoluité du temps. Mais qu'est-ce que le temps ? Et comment est-il possible de penser le temps ? Car le temps signifie la suite des " maintenant ". Or, il n'y a de suite que pour nous. Le temps pensé " se fonde sur la temporalité " (Heidegger). Mais le temps pensé est le temps nié. Le temps lui-même est indépendant de nous. Et quand, avec l'homme, disparaît la pensée du temps, reste le Temps. Le temps vrai, le temps du destin, est le temps de la nature. L'homme, adversaire du temps, invente la mémoire, l'histoire. Mais la nature a le dernier mot.

02/1992

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Ouvrages généraux

La nature et l'homme

La nature est depuis toujours vivante. Source éternelle de vie elle engendre des vivants mortels. L'homme n'est qu'un vivant parmi d'autres, qui ne se distingue des autres que par la conscience de soi. L'animal a la conscience, non la conscience de soi. L'homme seul sait qu'il est au monde non pour simplement vivre mais pour bien vivre, pour vivre en vue du bien.

03/2021

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Ouvrages généraux

L'infini de la nature. Oeuvres philosophiques

Marcel Conche occupe parmi les philosophes français une place singulière. C'est l'un des meilleurs spécialistes de la philosophie grecque qu'il a longtemps enseignée en Sorbonne. Simultanément, il a élaboré une pensée originale, prenant pour objets principaux la nature, l'homme et la morale. Au sein d'une oeuvre foisonnante portée par un style d'une rare limpidité, ce volume offre un parcours cohérent et représentatif de la diversité des thèmes abordés par Marcel Conche. Il regroupe ses textes d'historien, fin connaisseur d'Héraclite et d'Epicure, ainsi qu'un ouvrage original sur Montaigne considéré avant tout comme un philosophe de la "conscience heureuse". Il permet de mieux saisir les jalons fondateurs de sa propre théorie philosophique, où Conche s'attache aussi bien à la question du temps, de la mort, de la souffrance des enfants, du monde et de l'apparence, qu'à celle de son athéisme original et de sa vision profondément naturaliste de l'homme et de son environnement. Marcel Conche est un "sage", qui a cherché toute sa vie à développer une véritable pensée pratique, préoccupée des normes qui nous aident à bien vivre et nous obligent à respecter la morale, dont il développe une approche peu commune, fondée sur le dialogue entre les hommes. Il a été enfin l'un des premiers philosophes contemporains à se soucier de l'avenir de la nature et à plaider pour sa protection, anticipant l'une des grandes questions de notre temps.

01/2022

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Littérature française

Ma vie (1922-1947)

Marcel Conche était élève-maître en première au lycée de Tulle lorsqu’il eut comme professeur une jeune agrégée des lettres classiques venue de Strasbourg, réfugiée à Tulle. Il lui demanda d’être sa « correspondante » en ville (condition pour avoir droit à la sortie du dimanche). Ainsi pouvait-il la rencontrer régulièrement. On les vit bientôt se promener la main dans la main dans les pentes de Tulle. Les vacances étaient l’occasion d’échanger de longues lettres. Presque toutes celles de Marie-Thérèse sont ici reproduites. Elles disent son amour inconditionnel, son souhait d’être épouse et mère, son immense bonheurlorsque ces choses-là sont arrivées. Presque aucune lettre de Marcel n’est ici reproduite. Elles disent une ardeur d’un autre ordre que l’amour humain, car, s’il s’agit d’amour, c’est d’un amour inconditionnel pour la philosophie. On a voulu qu’une figure de femme fasse l’unité de ce livre : on y voit sa vraie vie, qui commence par l’amour (1942), qui se continue par l’engagement auprès de l’époux, qui s’accomplit par le don de la vie (1947) – cela sans qu’il y ait de relâche dans le bonheur d’aimer, mais non sans tribulations (y aurait-il quelque risque à aimer un philosophe?).

07/2012

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Philosophie

Fragments et témoignages. Texte grec, traduction, introduction et notes par Marcel Conche

Le problème initial de la philosophie, celui du sens de l'homme, a pris, dès l'origine, avec Anaximandre, sa forme essentielle : que signifie la mort ? Ce qu'apporte la fameuse "Parole d'Anaximandre" , c'est une justification de la mort. Mourir n'est que la juste rançon du fait d'avoir vécu : "juste" , car il y a eu une injustice à vivre. La nature, qui fait naître et donne la vie, en faisant mourir, retire exactement ce qu'elle a donné. Tous les êtres sont logés à la même enseigne, car "être" signifie vivre, et toute vie particulière s'écoule dans un laps de temps, entre un début et une fin. Il n'y a pas d'" Immortels" . L'infini, qui est à l'origine de tout, n'est ni un être, ni "l'Etre" , ni un vivant. Il est plutôt la vie à l'état pur, non encore cristallisée en "êtres" , et son "éternel mouvement" est un mouvement sans mobile. ¿ Marcel Conche ¿

08/1991

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Littérature française

Le corps de Marcel

Marcel meurt, Marcel hésite puis ressuscite. Fany pleure son père qui s'en va par petits bouts. Le narrateur cherche à déchiffrer dans un corps les lignes de sa propre histoire. Il ne s'agit de rien d'autre ; Marcel, et puis son corps.

01/2004

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Littérature française

Le Livre de Marcel

Comment raconter l'histoire des humbles ? Comment une écriture sans artifice peut-elle prendre place dans le champ de la littérature ? A la suite d'une enfance difficile et de dures épreuves, Marcel, grâce aux mains qu'on lui tendait, parvient à se relever. Il entreprend alors d'écrire l'histoire de sa vie. Défi de taille parce que Marcel n'a pas reçu de véritable instruction : il écrit sans ponctuation, dans une orthographe aléatoire. Il confie le manuscrit à son ami Vincent Dréano qui s'attache d'abord à le retranscrire dans un français plus académique. Ce faisant, il se rend compte que les mots de Marcel ont leur valeur propre et qu'il est impossible, souvent, de les remplacer. Ils font donc le choix de garder pour partie ces alliances inédites de mots dans leur orthographe et leur ponctuation d'origine. Ce récit au plus près de la vie, dans une langue à la saveur parfois exceptionnelle, révèle l'indéfectible humanité qui, malgré les épreuves, ne quitte jamais Marcel.

09/2009

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Littérature française

Le retour de Marcel

Des milliards de mots imprimés chaque jour pour redire et refaire le monde. Je vous défie, je vous prends au mot. Mot à mot je progresse dans le jeu avec un sérieux bagage à la main : le mot-valise qui contient tout. Le mot circule. Je suis l'écrivant Charles Lathan. J'ai le monde à bout de bras dans le mot-valise. Approchez mesdames et messieurs, et les enfants devant. Instant sacré, sacré instant : J'ouvre la valise. Admirez mes belles pages. La salive vous vient ! Des machins, des trucs, des bidules, des espaces et des astres. Soyez somptueux, osez mon ouvrage fertile. Pour vous, ici j'ai repoussé les limites du monde. Voyez ces corps étendus, voyez ces étendues nouvelles sans bornes et sans balises. J'ai enrichi la carte du monde de plats inédits. Mettez-y les pieds dedans et marchez sans scrupules. Soyez hors de vous, entrez dans la matière du monde.

02/2018

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Littérature française

Marcel & marcel

Les itinéraires secrets de deux héros picaresques, les traces hasardeuses d'aventuriers inconditionnels de tous les excès : grands espaces, grandes courses, grands froids, grands vins, grandes amitiés... Puissent ces aventures inspirer à d'autres l'envie d'emprunter les mêmes chemins de traverse !

01/2017

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BD tout public

Le voyage de Marcel Grob

11 octobre 2009. Marcel Grob, 83 ans, se retrouve confronté à un juge d'instruction qui l'interroge sur son passé. Et plus particulièrement sur le 28 juin 1944, jour où ce jeune Français de 17 ans fut intégré à la Waffen SS, comme 10 000 de ses camarades alsaciens. Mais Marcel était-il pris au piège des nazis, ou engagé volontaire ? Etait-ce un " Malgré-nous ", ou un criminel de guerre ? Le magistrat traque la vérité de ce passé trouble. Marcel Grob va devoir se replonger dans ses douloureux souvenirs, ceux d'un adolescent français forcé d'aller combattre en Italie au sein de la sinistre division Reichsführer. Pour prouver son innocence, Marcel commence alors le récit d'un long voyage dans la nuit.

10/2018

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Critique littéraire

LE SOMMEIL DE MARCEL PROUST

La "Correspondance" de Proust révèle l'influence des dérèglements de son sommeil sur son existence quotidienne. L'auteur de cet essai, professeur de neurologie, retrace ce parcours insomniaque en fonction de nos connaissances actuelles sur le sommeil et l'action des somnifères.

10/1997

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Poches Littérature internation

Couché

Malcolm Ede est un garçon charismatique et excentrique issu d'une famille typique de la classe moyenne américaine. Mais à vingt-cinq ans, désillusionné, il décide de se mettre au lit, son lit d'enfant, et d'y rester. Au cours des vingt années suivantes, il grossit. L'immobilité et son appétit gargantuesque font de lui le plus gros homme du monde. Mal devient célèbre, mais cette célébrité a des conséquences pour toute sa famille. Son père vit dans le grenier ; sa mère, qui est réduit au rôle de cuisinière et de nourrice, vit dans une caravane dans le jardin, et son ancienne petite amie, Lou, dort dans une tente et répond aux courriers de fans. Tout cela est raconté son frère, Ted, la quarantaine, les jambes cassées et le coeur brisé, rentré chez lui pour dormir dans le lit à côté de Mal.

12/2015

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Littérature française

Le Bouddha couché

A Huê, une romancière apprend qu'un ami est gravement malade. Pour apaiser sa souffrance, elle trouve la sérénité dans le bouddhisme zen, la beauté du monde et la lecture afin de l'accompagner dans cette épreuve et vivre en pleine conscience le moment présent. Cheminement spirituel et poétique, ce roman est une dédicace à l'amitié et un hymne à la vie au coeur même de l'ancienne cité impériale du Viêt-Nam.

05/2017

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Littérature étrangère

Marcel

Au début des années 1970, un petit garçon est élevé par ses grands-parents dans un village de Flandre où les vieilles rancunes sont tenaces, la guerre mal digérée. La grand-mère du garçon partage son temps entre son métier de couturière et sa passion pour les morts : derrière les vitres de l'armoire du salon, elle range et époussette sa galerie de photos des défunts de la famille. Parmi cette collection, le portrait de Marcel, décédé quelques dizaines d'années plus tôt sur le front de l'Est, fascine particulièrement l'enfant. Qui est donc ce Marcel, cette ombre omniprésente qui plane sur le petit garçon et tout son entourage ? À mesure que le récit avance, une pesante atmosphère de non-dits s'installe le garçonnet regarde avec sa naïveté d'enfant cet univers feutré où une douloureuse histoire familiale affleure sans cesse.

01/2003

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Littérature française

Marcel

Dans un petit village, Rodemack, qui tente tant bien que mal de rester indépendant de ses voisins puissants, naît un enfant, tellement différent des autres enfants du village. Pendant qu'ils choisissent de passer leur temps à jouer, Marcel préfère passer ses journées à l'église, il veut apprendre à lire et à écrire pour être prêtre quand il sera grand. Sa volonté est de ne pas suivre les pas de son père, ni ceux de la majeure partie des hommes du village, qui cultivent des terres pour le compte de leur seigneur Frédérich. Le petit garçon rêve de vivre libre, il ne veut appartenir à personne. Ses choix, qui seront soutenus par ses parents, lui ouvrent des mondes dont personne à Rodemack ne soupçonnait l'existence. Ces choix l'emmènent jusqu'en Andalousie, où il apprendra tellement de choses, et finira par revenir dans son village plus savant que jamais. Marcel ne cesse de surprendre tout le monde, ses parents seront tellement fiers de lui. Ce roman est un voyage civilisationnel, à travers l'Europe Occidental du XIe siècle, avec toutes ses contradictions. Marcel, sans le savoir, était la voix de la sagesse de ce monde.

06/2022

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Livres 3 ans et +

Marcel le rêveur

Marcel adore rêver. Il rêve qu'il est vedette de cinéma, peintre, danseur étoile... Il rêve de monstres féroces et de superhéros... L'univers de Marcel est une galerie de tableaux étonnants et magiques. Entrez et regardez.

08/1997

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Littérature anglo-saxonne

La sirène de Black Conch

AYCAYIA, FEMME-SIRENE, EST ARRACHEE A LA MER. UNE TEMPETE D'AMOUR LA POUSSE DANS LES BRAS DE DAVID, LE PECHEUR QUI CHANTAIT DANS SA PIROGUE. Romancière, Monique Roffey représente la nouvelle vague d'écrivaines trinidadiennes. Elle vit entre Londres et Port-of-Spain.

03/2023

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Autres éditeurs (A à E)

Marcel, chou de Bruxelles

Marcel est un chou de Bruxelles. Une terreur, un vrai dur à cuire. Son passe-temps préféré ? Faire peur aux enfants !

05/2021