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Le journal d'Henri Martin, 1917. Moussey sous l'occupation allemande

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Sciences historiques

Le journal d'Henri Martin, 1917. Moussey sous l'occupation allemande

Henri Martin a 32 ans, est marié, père de deux enfants et un accident survenu deux ans avant la guerre l'a rendu non mobilisable. Son journal, couvrant toute l'année 1917, entame l'historiographie de sa commune. Henri Martin, qui s'érige ainsi en témoin d'une guerre en zone envahie, ouvre alors une fenêtre sur le parcours d'une famille et d'une commune dans la Grande Guerre.

01/2014

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Romans historiques

Vous reviendrez à Berlin-sur-Meuse. Charleville sous l'occupation allemande 1914-1918

Pour bon nombre de Français, la Première Guerre mondiale, c'est avant tout les tranchées, les poilus, et les grandes batailles. Mais pour les habitants du Nord et de l'Est de la France, c'est aussi l'occupation allemande, tout particulièrement à Charleville, ville des Ardennes qui va devenir la capitale du IIe Reich, avec la présence de Guillaume II, du grand Etat-Major général allemand, du gouvernement et même d'ambassades. Pire encore, les habitants de ces régions seront perçus par le reste du pays comme les "les Boches du Nord" alors qu'ils subissent la dureté extrême des conditions d'occupation : destructions, pillages, travail forcé, prises d'otages, résistance, camps de concentration... Dans ce roman sensible, le lecteur suivra avec intérêt l'itinéraire de Berthe, une jeune femme qui va devoir affronter cette tourmente en compagnie de ces trois jeunes enfants. Une évocation vivante en même temps qu'un hommage à ceux qui furent bien souvent injustement traités par l'historiographie.

10/2015

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Histoire de France

PÉRONNE SOUS L'OCCUPATION (1914-1918)

Ce livre, composé de 18 fascicules parus dans le Journal de Péronne après 1918, retrace la vie de la population civile de Péronne pendant la Grande Guerre. Ecrit (sous le pseudonyme de FASOL) par Henri Douchet (1866-1942), écrivain et musicien très attaché à sa ville, cet ouvrage n'a jamais été réédité. Suivant l'ordre chronologique, ce "journal de l'occupation" est la réunion des nombreuses notes de l'époque auxquelles l'auteur a ajouté ses propres souvenirs et les récits des témoins directs ayant vécu cette période tourmentée. Il a été rédigé avec le soucis constant de ne pas s'écarter de la Vérité historique et celui de refléter les sentiments que l'on éprouvait alors. Cet ouvrage est complété par deux tomes consacrés à l'arrondissement de Péronne. N. B. Ce livre a été réalisé en mode "reprint" , c'est donc une "copie conforme" des fascicules parus dans le Courrier de Péronne. Vu la typographie très fine et le nombre de pages, il était "financièrement" impossible de recomposer les 280 pages du tirage original.

04/2014

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Histoire internationale

Namur à l'heure allemande (1914-1918). La vie quotidienne des Namurois sous l'occupation

L'ensemble des projets initiés sous le label "Namur à l'heure allemande : 1914-1918 au quotidien" a permis de sortir de leurs tiroirs où ils sont précieusement conservés depuis longtemps, de nombreux documents inédits, de les mettre en valeur par le biais de deux expositions, d'un colloque et de cette publication. Il a aussi, et c'est une autre de ses richesses, suscité la collaboration de personnes de disciplines a priori fort différentes, faisant ainsi la preuve de la complémentarité devenue inévitable des sources. Il porte, par conséquent, un regard nouveau sur cette occupation de Namur durant la première guerre mondiale.

01/2010

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occupation

Une famille roubaisienne sous l'occupation de 1914 à 1918. Journal de Marie Masquelier

Marie Masquelier (1895-1975), nièce de Mgr ? Henri Masquelier (1856-1936), fondateur de La Croix du Nord, vit pendant la ­Première Guerre mondiale à Lys-lez-Lannoy (Nord), une commune limitrophe de Roubaix, mi-rurale, mi-industrielle ? : des industries textiles y sont implantées. Le territoire est occupé par les Allemands jusqu'en octobre 1918. Marie Masquelier tient son journal de l'été 1914 à février 1919. Ce document, introduit et annoté par Philippe Nivet, professeur à l'Université de Picardie, est intégralement publié dans ce volume. Le journal de Marie Masquelier est une source très riche pour l'histoire de l'occupation allemande. Il montre comment les Allemands se sont installés dans le Nord et dominent le territoire. Il évoque le vécu des habitants et leurs réactions face à l'occupant. Marie Masquelier fait un portrait nuancé des officiers allemands qu'elle doit loger ? ; elle observe le comportement et les réactions des militaires bavarois et prussiens. Enfin, elle évoque la libération, le sort fait alors aux "? femmes à Boches ? " et la présence de l'armée anglaise. Des extraits du journal de sa jeune soeur Sophie Masquelier (1896-1989) complètent les parties lacunaires du journal de Marie Masquelier.

11/2022

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Documentaires jeunesse

Journal d'un lycéen sous l'Occupation

Contient 10 fac-similés de documents d'époque.

04/2015

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Histoire de France

L'ARRONDISSEMENT DE PÉRONNE SOUS L'OCCUPATION (1914-1918) - Tome 2

Ce livre, composé de 24 fascicules parus dans le Journal de Péronne après 1918, retrace la vie de la population civile de l'arrondissement de Péronne pendant la Grande Guerre. Ecrit (sous le pseudonyme de FASOL) par Henri Douchet (1866-1942), écrivain et musicien très attaché à Péronne, cet ouvrage n'a jamais été réédité. Suivant l'ordre chronologique, ce "journal de l'occupation" est la réunion des nombreuses notes de l'époque auxquelles l'auteur a ajouté ses propres souvenirs et les récits des témoins directs ayant vécu cette période tourmentée. Il a été rédigé avec le soucis constant de ne pas s'écarter de la Vérité historique et celui de refléter les sentiments que l'on éprouvait alors. Tome I : Albert / Chaulnes, Ablaincourt, Aizecourt-le-Bas, Aizecourt-le-Haut, Allaines, Assevillers, Athies, Barleux, Belloy-en-Santerre, Bernes, Berny, Béthencourt-sur-Somme, Biaches, Bouchavesnes, Bouvincourt, Bray-sur-Somme, Brie, Brouchy, Buire-Courcelles, Bussu, Cartigny. Tome II : Ham / Nesle, Combles, Curlu-Fargny, Equancourt et Fins, Hardécourt-aux-Bois, Moislains, Roisel, Templeux-la-Fosse, Dompierre, Bouchavesnes, Epehy, Marquaix, Tincourt, Driencourt, Hamelet, Frise, Nobécourt, Villers-Faucon. Cet ouvrage, qui comporte deux tomes, est complété par le livre Péronne sous l'occupation. N. B. Ce livre a été réalisé en mode "reprint" , c'est donc une "copie conforme" des fascicules parus dans le Courrier de Péronne. Vu la typographie très fine et le nombre de pages, il était "financièrement" impossible de recomposer les 380 (tome I) et les 386 pages (tome II) du tirage original.

06/2014

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Histoire de France

L'ARRONDISSEMENT DE PÉRONNE SOUS L'OCCUPATION (1914-1918) - Tome 1

Ce livre, composé de 24 fascicules parus dans le Journal de Péronne après 1918, retrace la vie de la population civile de l'arrondissement de Péronne pendant la Grande Guerre. Ecrit (sous le pseudonyme de FASOL) par Henri Douchet (1866-1942), écrivain et musicien très attaché à Péronne, cet ouvrage n'a jamais été réédité. Suivant l'ordre chronologique, ce "journal de l'occupation" est la réunion des nombreuses notes de l'époque auxquelles l'auteur a ajouté ses propres souvenirs et les récits des témoins directs ayant vécu cette période tourmentée. Il a été rédigé avec le soucis constant de ne pas s'écarter de la Vérité historique et celui de refléter les sentiments que l'on éprouvait alors. Tome I : Albert / Chaulnes, Ablaincourt, Aizecourt-le-Bas, Aizecourt-le-Haut, Allaines, Assevillers, Athies, Barleux, Belloy-en-Santerre, Bernes, Berny, Béthencourt-sur-Somme, Biaches, Bouchavesnes, Bouvincourt, Bray-sur-Somme, Brie, Brouchy, Buire-Courcelles, Bussu, Cartigny. Tome II : Ham / Nesle, Combles, Curlu-Fargny, Equancourt et Fins, Hardécourt-aux-Bois, Moislains, Roisel, Templeux-la-Fosse, Dompierre, Bouchavesnes, Epehy, Marquaix, Tincourt, Driencourt, Hamelet, Frise, Nobécourt, Villers-Faucon. Cet ouvrage, qui comporte deux tomes, est complété par le livre Péronne sous l'occupation. N. B. Ce livre a été réalisé en mode "reprint" , c'est donc une "copie conforme" des fascicules parus dans le Courrier de Péronne. Vu la typographie très fine et le nombre de pages, il était "financièrement" impossible de recomposer les 380 (tome I) et les 386 pages (tome II) du tirage original.

05/2014

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Histoire de France

Journal d'une adolescente juive sous l'Occupation

" Tu ne le sais pas encore, ma à partir d'aujourd'hui, petit cahier, tu es mon meilleur ami, et mon seul confident. " Marise est juive, elle 15 ans en 1943 et se cache sous un faux nom. Elle ne sait pas encore ce qu'est la déportation, mais, comme ses parents, elle se doute bien qu'il vaut mieux y échapper. Malgré sa fausse identité, elle se confie à son journal et raconte comment une famille privée du père se débrouille pour survivre, comment la jeune- fille qu'elle est, vit malgré la guerre ses premiers émois sentimentaux et comment la peur d'être découverte ronge ses nuits et ses jours. Un carnet intime qu'elle conservera précieusement et qu'elle a eu la générosité de confier à sa belle-fille, Nicole Zimermann.

11/2015

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Histoire de France

1914-1918, "Quand verrons-nous la fin de ce supplice ?". Le journal de guerre de Virginie Pottier ; Le carnet de notes de Jules Dubois

Juste avant leur repli de mars 1917, les Allemands évacuent des milliers de civils à l'arrière du front. Ces déplacés vivent alors dans un grand dénuement et connaissent le travail forcé. Peu d'entre eux ont livré un témoignage au jour le jour de leur douloureuse expérience. Virginie Pottier, qui demeure à Catigny (Oise), débute son journal le 1er août 1914. Après la fixation du front dans le Noyonnais, son village se retrouve derrière les lignes allemandes. Evacuée de force en février 1917, elle échoue à Etroeungt (Nord). Son journal, riche d'informations sur l'occupation allemande se termine par une description poignante de son retour " au pays ", fin novembre 1918. Jules Dubois, paysan de Beaurains, près de Noyon. Evacué le même jour et dans le même train que Virginie Pottier, il rédige dès son arrivée à Etroeungt des notes sur un agenda et évoque le travail forcé auquel il est soumis, ses rapports avec les habitants ou encore ses difficultés à se nourrir...

06/2013

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Histoire internationale

Reconstruction(s) 1918-…. Les Ardennes après l'occupation allemande

Quand a commencé la paix après la Grande Guerre ? Comment se sont reconstituées les activités économiques, les sociabilités, les fêtes ? A partir de l'exemple des Ardennes, seul département occupé pendant toute la guerre, ravagé en 1918 par les combats de la libération, 20 chercheurs interrogent le retour à la normale. La sortie de guerre est ici une longue période transitoire qui se poursuit pendant toute la décennie des années folles. La population traverse des années de résilience, entre espoir du retour à la quiétude passée et adaptation nécessaire à la réalité d'une société ébranlée. Parce qu'ils ont utilisé les fonds d'archives qu'ils pratiquent chacun dans leur champ d'études (histoire sociale, politique, culturelle, religieuse, économique, etc.), les auteurs ont inscrit la situation ardennaise dans un cadre plus vaste. Leur regard éclaire ainsi la situation d'autres départements occupés ou/et sinistrés par les combats, voire la société française dans son ensemble.

05/2022

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Généralités

Journal d'un rochelais sous l'occupation (format poche)

Sous la direction d'Albert-Michel LUC et Louis-Gilles PAIRAULT " Depuis samedi 14 nous entendons le ronflement du canon et des bombardements. Dans la journée de samedi nous avons eu cinq alertes avec passages d'avions et tirs de DCA. Il n'est arrivé ici aucune autre nouvelle que celles données par la TSF. Mais si la ville est encore calme (mis à part le tremblement des fenêtres), la cervelle des Rochelais est en ébullition. Les mêmes gens qui déclaraient il y a peu de temps "il vaut mieux attendre et être libéré sans casse" brûlent maintenant d'impatience, disant "vite, un grand coup ... et que ce soit fini ! " . Tenu avec régularité à partir du printemps 1942, rédigé dans un style précis et circonstancié, non dénué d'ironie, le journal de Marcel Delafosse brosse un portrait saisissant de la vie rochelaise pendant l'Occupation. Il est un témoin particulièrement précieux de la période si éprouvante de la "poche de La Rochelle" , où - alors que toute la France était libérée depuis septembre 1944 -une forte garnison allemande demeura jusqu'en mai 1945. Bombardements alliés et arrestations allemandes, évacuations, rationnements, rumeurs et inquiétudes forment le quotidien des habitants, qui vivent dans l'incertitude et dans la peur que - comme sa voisine Royan - la ville ne subisse une destruction totale. Marcel Delafosse (1915-2000), ancien élève de l'Ecole des Chartes, a dirigé les Archives départementales de la Charente-Maritime de 1937 à 1968. On lui doit plusieurs ouvrages d'histoire régionale, mais ses Notes sur La Rochelle (1942-1945), dont le manuscrit est conservé aux Archives départementales de la Charente-Maritime, étaient demeurées inédites.

03/2023

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Critique littéraire

Journal. Tome 2, 1907-1917

Léon Bloy (1846-1917) ressemble à un prophète de l'Ancien Testament dénonçant les vices de la société qui l'entoure. Il ne cesse de lancer ses anathèmes contre la veulerie de ses contemporains, de fustiger leur matérialisme, leur incapacité de s'élever au-dessus des mesquineries quotidiennes et de concevoir un quelconque idéal. Pèlerin d'un absolu situé hors du temps, menant une vie non pas de moine (bien au contraire) mais de marginal bourru, Bloy a fini par devenir un étranger dans son propre pays, moqué, honni. Ses romans (La Femme Pauvre, Le Désespéré) et ses nouvelles (Histoires désobligeantes) n'ont d'abord été appréciés que par de rares lecteurs avertis. Quant à son Journal, auquel il a consacré les vingt-cinq dernières années de sa vie, il est resté totalement méconnu. Il s'agit pourtant d'un des textes majeurs de cette littérature autobiographique qui mène des Confessions de Rousseau au journal de Gide. Avec une intransigeance et une violence qui n'ont pas leur pareil, Bloy retrace l'histoire de sa vie et de son œuvre, évoque ses rencontres, enregistre ses impressions de lecture, nous fait part de ses tentations, de ses colères, de ses doutes, de ses déchirements. Ce texte n'est pas seulement un document unique sur la Belle Epoque, mais aussi le cri d'un homme de douleur meurtri dans sa chair et dans son âme. ROBERT KOPP Cette édition du Journal de Léon Bloy comporte deux tomes. Le premier réunit Le Mendiant Ingrat, Mon Journal, Quatre Ans de captivité à Cochons-sur-Marne et L'Invendable. Il est précédé d'une introduction générale et d'une chronologie. Le second contient - outre une préface - Le Vieux de la Montagne, Le Pèlerin de l'Absolu, Au seuil de l'Apocalypse et La Porte des Humbles. Un triple Index (des noms, des œuvres et des références bibliques) facilite la consultation de l'ensemble. L'établissement du texte, l'annotation et les présentations ont été assurés par Pierre Glandes, professeur à l'université de Toulouse-Le Mirail, spécialiste de la littérature française du Xixe siècle et dont les travaux sur Chateaubriand, Joseph de Maistre ou Barbey d'Aurevilly font autorité.

11/1999

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Littérature française

Sous l'Occupation

"Mobilisé en 1939, je prêtais un grand intérêt à ce qui se passait autour de moi. Comme rien ne me plaisait plus que d'écrire, je résolus de le faire et, pendant cinq ans tous les soirs, je notai ce que j'avais appris et entendu dire autour de moi. Cela sans faire exception des situations et des personnes, interrogeant et écoutant aussi bien le simple soldat et le paysan que l'homme notoire. Tous les témoignages pouvaient présenter de l'intérêt, sans bien entendu avoir le même poids. Les propos des écrivains surtout m'intéressaient. Ils n'étaient pas concordants ; la plupart, cependant, hostiles à l'occupant, comme étaient les miens. Malgré tout je ne croyais pas à l'efficacité d'une résistance active. Les moyens dont pouvaient disposer les Français me paraissaient dérisoires par rapport à ceux dont disposaient les Allemands. J'admirais l'esprit de sacrifice de ceux qui, au péril de leur vie, faisaient sauter des wagons ou plus simplement distribuaient des tracts, mais il me semble que, même si j'avais eu plus de courage, je n'aurais pas été tenté de les imiter. Je croyais, comme mon homonyme Albert Grenier, que la victoire obtenue par les Allemands avec des machines changerait de camp avec d'autres machines plus puissantes aux mains des Américains." Jean Grenier.

03/2014

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Lecture 9-12 ans

Le journal d'Adèle (1914-1918)

Jeudi 30 juillet 1914. Adèle commence le journal qu'elle a reçu pour Noël : un ami auquel elle peut raconter sa vie, confier ses espoirs, ses craintes et ses secrets. Les années passent dans le petit village de Crécy, en Bourgogne, rythmées par les travaux des champs, les nouvelles du front... La guerre tue, mutile les soldats, les campagnes. Adèle grandit et rêve de devenir institutrice dans un monde meilleur...

08/2007

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Europe

Lille sous la griffe allemande, 24 août 1914-1er décembre 1915

Lille sous la griffe allemande : tous les arrêtés municipaux, toutes les proclamations et affiches de l'autorité allemande, du 24 août 1914 au 1er décembre 1915, suivis d'un Etat chronologique des faits principaux et de l'état-civil de Lille / André Fage Date de l'édition originale : 1917 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2023

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Littérature étrangère

Dépendances. Journal (1912-1913)

Érotomane. Graphomane. Morphinomane. Chacun de ces qualificatifs définit à un moment ou un autre la figure de Géza Csàth, homme aux multiples dépendances. Près d'un siècle après sa mort, il continue, en Hongrie d'où il est originaire, et dans le monde où son oeuvre est largement traduite, à susciter interrogations et impressions contradictoires. Avec son journal enfin traduit en français, on découvre la face cachée de cet écrivain génial qui mit à se torturer une passion toute particulière. Œuvre littéraire exceptionnelle née en marge de la psychanalyse balbutiante, ce Journal intime dévoile les facéties libertines et féroces d'un héritier de Casanova se muant peu à peu en victime d'une terrible tragédie. L'écriture ne pardonne pas, croit-on savoir : en voici une preuve stupéfiante.

10/2009

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Histoire de France

Journal d'une lycéenne sous l'Occupation. Toulouse 1943-1945

"En 1944, j'avais 17 ans, dit Aline, et le sentiment de vivre au coeur de l'Histoire, avec un grand H. Je comprenais que nous vivions une période exceptionnelle et qu'il fallait noter ces souvenirs". N'est-ce pas ce qu'on appelle l'histoire vivante ? En effet, comment ne pas écrire un journal sous l'Occupation quand on a 17 ans ? Comment ne pas raconter la vie comme elle vient, quand on est élève au lycée Saint-Sernin de Toulouse et future enseignante ? Aline décrit les aléas du ravitaillement, les collectes pour sinistrés, les vols de vêtements, elle parle d'une cousine de son père déportée à Ravensbrück, des bombardements, des sorties au théâtre, au cinéma... C'est aussi cela la guerre. Erudite, la pétillante lycéenne se nourrit de Montaigne et d'Hugo, remparts contre la morosité d'une époque où les pourfendeurs de l'esprit laïc tiennent le haut du pavé. Puis, comme les violettes annoncent le printemps, la liberté vivace reprend ses droits. Sa plume témoigne alors des combats du faubourg, de la libération de la ville et de l'arrivée du général de Gaulle au Capitole. Le regard qu'Aline porte sur son journal - 70 ans après sa rédaction - en éclaire la compréhension et nous invite à une lecture subtile de l'histoire de Toulouse. Thierry Crouzet et Frédéric Vivas "accompagnent" ce journal intime et mettent en évidence les problématiques d'hier qui questionnent celles d'aujourd'hui.

04/2013

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Histoire de France

Journal de guerre. 1914-1918

Issu de la bonne bourgeoisie parisienne, Maurice Bedel (1883-1954) reçoit une éducation soignée et très complète. Après des études de lettres à la Sorbonne, il se consacre à la médecine et se tourne vers la psychiatrie, spécialité rare à l'époque. Il fréquente de nombreux salons où il se lie d'amitié avec de grands artistes et écrivains (Maurice Denis, Edmond Rostand, Jean Cocteau). Lui-même dessinateur, élève de Maurice Denis, il a été proche des nabis et Van Dongen. Après la guerre, il a poursuivi une carrière de romancier, d'essayiste, de journaliste et de poète. Il a connu la gloire littéraire en 1927 lorsqu'il a reçu le prix Goncourt pour son roman Jérôme 60° de latitude nord. Il livre dans son journal de guerre (1er août 1914 - 31 décembre 1918) un témoignage saisissant du déroulement de la guerre avec une distance que n'observe pas la plupart des soldats et officiers combattants.

10/2013

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Histoire internationale

La guerre sous-marine allemande 1914-1945

En août 1914, les grandes marines européennes viennent de mettre en service leurs premiers sous-marins, sans vraiment avoir défini au préalable les conditions de leur emploi opérationnel. La marine impériale allemande est la première à envisager leur engagement dans l'attaque de la navigation commerciale ennemie. La vague d'indignation internationale soulevée par le torpillage, le 7 mai 1915, du paquebot britannique Lusitania apporte la preuve que cette nouvelle forme de guerre va à l'encontre des accords conclus entre les grandes puissances maritimes, et qu'elle expose la nation – qui n'hésite pas à la pratiquer – à l'accusation de barbarie. Tout à fait conscient de ce risque, le gouvernement allemand hésite jusqu'en février 1917 à recourir à la seule forme extrême dont il peut attendre le succès : la guerre sous-marine pratiquée sans restrictions. Déclenchée trop tard et avec des moyens insuffisants, elle ne fait que contribuer à l'effondrement final du Reich impérial. Confrontés, dès 1940, à un nouveau conflit avec la marine britannique qu'ils n'ont pas été autorisés à préparer, les chefs de la Kriegsmarine recherchent à leur tour dans la guerre sous-marine à outrance la solution au défi qu'ils doivent relever. Mais engagé dans un conflit continental sans issue et sourd à l'importance de la stratégie maritime proposée, Hitler refusera d'accorder les moyens qui auraient été nécessaires pour tenir en échec les deux principales puissances maritimes coalisées. Dans les deux cas, la chronique vivante et bien renseignée d'un échec inéluctable.

08/2017

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Histoire de France

Femmes sous l'occupation

Femmes sous l'Occupation n'est pas seulement une description du quotidien veule, frileux ou héroïque des femmes de 1940 à 1945. Bien sûr, Célia Bertin y inventorie cette " vie au féminin " dans ses aspects les plus modestes - de l'improbable quête du cuir pour ressemeler les chaussures à la confection de la soupe aux orties - comme les plus dramatiques - l'avortement, la collaboration, la Résistance. Le livre abonde ainsi en témoignages humbles ou prestigieux sur ces années de plomb, et se nourrit des études les plus fouillées. Mais Célia Bertin n'a pas sur cette époque le regard distancié de l'historienne : engagée dans la Résistance pour transmettre les messages clandestins, elle-même a connu la peur, les soudaines disparitions, les départs précipités. En même temps que la rigueur historique, la force d'une mémoire sensible et vivante.

03/1994

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Histoire de France

Lycéen sous l'Occupation

Bien des années sont passées et l'ancien lycéen résistant, devenu Docteur honoraire, Gérard Chatelier raconte son adolescence. En réalité. il s'agit de l'histoire de sa famille et de celle des enfants de son âge sous le joug nazi. Mais ses souvenirs dépassent le cadre familial ou scolaire pour devenir de précieux témoignages afin que les enfants de ses enfants. que ceux qui ont entendu parler ou vécu cette période, que les générations à venir puissent prendre conscience du prix à payer pour sauver la Liberté. En 1942, alors que les armées ennemies envahissent la zone libre du sud de la France, à Bordeaux au lycée Longchamps, des élèves. pour ne pas dire des gamins ou des drôles. fabriquent des pétards, des explosifs à partir de boîtes d'allumettes. Son père Philippe Chatelier, inquiet de ces jeux dangereux, finit par intégrer son fils dans son propre réseau de Résistance en tant qu'agent de liaison. Commence alors une longue période de privations, de peurs, de menaces, d'intimidations, d'inquiétudes. Il faut vivre dans la clandestinité sous une fausse identité, quitter Bordeaux et fuir dans les campagnes du Lot et de la Corrèze, pour éviter la Gestapo et son chef, l'horrible et terrifiant Poinsot. Le 29 août 1944. Bordeaux est libérée. Le lycéen, grâce à une dérogation, va pouvoir se présenter au Baccalauréat à la session d'octobre. Le 21 octobre, il apprend qu'il est reçu "à la grande fierté de son père". Le 8 mai 1945, Gérard Chatelier, alias Chabert puis Moreau, fête le même jour ses 19 printemps et la Victoire des Alliés. Les récits sincères et authentiques du Docteur Gérard Chatelier permettent de mieux comprendre les années noires de l'Occupation et de prendre conscience de l'importance de la lutte des "hommes de l'ombre".

05/2012

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Histoire de France

Monaco sous l'Occupation

Monaco ou l'histoire d'une petite monarchie, résumé de tous les événements de la Seconde Guerre mondiale. De 1937 à 1944, de la grève générale fomentée par les communistes jusqu'à la Libération de la principauté par ces mêmes communistes, Monaco a connu le pétainisme, l'occupation italienne puis l'occupation allemande. Le chef du gouvernement a progressivement pris le pouvoir dans un Etat dirigé par un grand vieillard, le prince Louis II, général de l'armée française. Le Laval local a transformé la principauté en vassal des Allemands, paradis fiscal quasi personnel de Goering par l'implantation de holdings appartenant aux Allemands ou à des collaborateurs des nazis. La résistance s'est organisée sous l'égide des communistes et des gaullistes pendant que s'épanouissait un fort courant fasciste composé de chemises noires qui paradaient dans les rues. C'est l'époque de la création par les nazis de Radio Monte-Carlo et l'investissement massif des collaborateurs des nazis en principauté. Une famille princière secouée par les événements et divisée entre Louis II et son petit-fils Rainier, le prince héritier, qui tentera de le renverser avec la résistance gaulliste pour sauver la principauté et s'engagera dans l'armée française, non sans avoir dénoncé le collaborationnisme de l'Etat.

12/2015

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Histoire de France

Journal de la guerre. 1914-1919

La guerre ? "Un paysage qui vous tire dessus." Guy de Pourtalès (1881-1941) rapporte ces propos, qui l'ont frappé, de son ami Valdo Barbey. L'écrivain genevois, devenu français, mobilisé en 1914, n'a pas connu la tranchée, mais il a passé quatre ans et demi sous les drapeaux comme interprète militaire, propagandiste au Quai d'Orsay, officier informateur. Il a vécu de près les événements de la Grande Guerre, particulièrement ceux qui ont affecté les relations entre sa patrie d'adoption et son pays d'origine. Tiraillé entre des appartenances et des loyautés qu'il entend faire tenir ensemble, Pourtalès donne l'impression d'être toujours en porte-à-faux avec le rôle qu'il se choisit, ou qu'on lui attribue. C'est précisément cette position d'intermédiaire - symbolisée par le statut d'interprète - qui crée l'intérêt du Journal de la Guerre, parce qu'elle décale le regard, l'enrichit, et donne lieu à un récit à la fois original, informé et communicatif.

09/2014

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Histoire de France

Journal d'une bourgeoise 1914-1918

"C'est une évocation si sincère et si vibrante de ces années abominables de l'occupation, qu'en parcourant les pages, j'avais l'impression parfois, jusqu'à l'illusion, de vivre encore sous le joug de l'ennemi", écrit le grand historien Henri Pirenne à Marguerite Giron après avoir lu le Journal d'une bourgeoise, l'un des rares journaux écrits par une femme à l'époque en Belgique. Destinés à ses fils, mobilisés dans la lutte contre l'envahisseur "s'ils reviennent", ces cahiers où elle consigne au jour le jour ses angoisses et ses espoirs, les deuils et les naissances et tous les événements qui émaillent le quotidien de son entourage, ne sont en effet pas une simple chronique familiale. C'est aussi et surtout un témoignage passionnant sur une période sombre de l'histoire, traversé par un leitmotiv : "les civils tiennent". Marguerite y évoque la vie difficile des Belges, soumis à une censure pesante, harcelés par une bureaucratie tatillonne qui prétend tout contrôler, victimes de vexations et de réquisitions en tout genre, sinon d'une répression féroce ; l'esprit frondeur de ses compatriotes qui narguent l'occupant ou lui résistent ouvertement lors des mises sous séquestre des usines ou de l'instauration brutale du travail obligatoire ; la misère noire des plus pauvres qu'elle découvre lors de ses activités caritatives ; la cupidité des profiteurs de guerre ; la révolte des fonctionnaires et des magistrats ou encore la politique de flamandisation menée par les Allemands. En dépit des difficultés à obtenir des informations fiables par la presse clandestine ou internationale, les courriers qui échappaient à la censure ou les amis et relations qui revenaient de l'étranger, elle suit de près aussi les rebondissements politico-diplomatiques de cette époque troublée en Belgique comme à l'étranger et, bien sûr, les nouvelles militaires. "Nous menons", écrit-elle un jour de 1916, "une vie exposée et précaire dans un temps furieusement intéressant". Le lecteur ne pourra que partager cet avis.

06/2015

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Histoire de France

La Bretagne sous l'Occupation

A travers des éclairages, des portraits, des enquêtes, découvrez des figures et des faits marquants de la Seconde Guerre mondiale en Bretagne. Connaissez-vous l'histoire du Maquis de Saint-Marcel (le maquis le plus important de France !), l'itinéraire des grands résistants bretons (Jacques de Bollardière, Rol-Tanguy, Colonel Rémy...), ce que fut réellement le rôle des nationalistes bretons, l'étendue de la destruction des bombardements des villes, la terrible histoire des 60 déportés de Morlaix, la libération des poches de Lorient et de Saint-Nazaire... ? Voici une synthèse claire et pédagogique de cette période de notre histoire, avec ses zones d'ombres et ses faits de gloire. Ce livre est une réédition, enrichie et augmentée, d'un hors-série qui fut un best-seller du magazine Bretons.

11/2015

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Vichy

La France sous l'Occupation

Découvrez avec émotion des photographies noir et blanc colorisées de la France occupée pendant la Seconde Guerre mondiale. L'histoire de la France sous l'Occupation est encore trop souvent perçue à travers le prisme déformant d'idées reçues. Cet ouvrage raconte la France des " années noires " au plus près de ce que le travail des historiens permet d'en savoir aujourd'hui. Il propose au lecteur un récit à la fois chronologique et thématique. A côté des événements et de leurs acteurs, une large place est accordée aux sujets concernant la vie quotidienne des Françaises et des Français, de la défaite de 1940 à la libération de 1944-1945 : exode des populations devant l'avancée des troupes allemandes, installation de la " puissance occupante ", ligne de démarcation, prisonniers de guerre, mode, marché noir, rafles de juifs et réactions qu'elles suscitent au sein de la population française, la déportation, l'organisation des premiers réseaux de résistance, etc. Pour le quatrième volume de la collection " La Seconde Guerre mondiale en couleur ", les photographies ont été fournies par l'agence iconographique franco-allemande AKG-images (Archiv für Kunst und Geschichte/Archive pour l'art et l'histoire) qui a procédé à une colorisation des images en noir et blanc. Loin de nuire à la compréhension de ce qui s'est passé en France entre 1940 et 1945, le procédé place le lecteur de plain-pied avec une époque qui, en raison de la distance et de la disparition des derniers témoins, lui est devenue étrangère.

10/2023

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occupation

Les femmes sous l’occupation

Isabelle Soulard nous fait revivre la vie quotidienne des Françaises durant la Seconde Guerre mondiale. De la Normandie à la Provence, de la Bretagne au Jura, des Hauts de France au Pays Basque, des Alpes au Poitou via l'Auvergne, elle nous livre de multiples témoignages, documents et récits.

09/2023

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Décoration

La mode sous l'Occupation

1940 : tétanisés par la défaite et l'Occupation, les Français commencent à manquer de tout. Des marchandises aussi usuelles que le fil disparaissent, et acheter un vêtement devient vite illusoire. Les femmes rivalisent d'ingéniosité et tirent parti de tout ce qui est récupérable. La haute couture, quant à elle, se maintient et se montre brillante, tandis que de nouvelles venues fréquentent ses collections : épouses de dignitaires allemands, femmes de collaborateurs et de profiteurs du marché noir.
Continuant d'éclairer certaines attitudes compromettantes, Dominique Veillon tire parti pour cette édition de poche des archives récemment ouvertes (par exemple celles de la préfecture de police) concernant les maisons de couture et s'appuie sur les travaux les plus neufs sur le sort des Juifs, qui étaient nombreux dans les petits ateliers de confection ou dans le secteur du cuir ou de la fourrure.

08/2014

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Histoire de France

Les patrons sous l'Occupation

Tout dirigeant d'une société de quelque importance, entre 1940 et 1944, était-il condamné à "travailler" pour l'Allemagne ? Pouvait-on rester patron et devenir résistant ? Comment s'est déroulée l'aryanisation des entreprises juives et quelles ont été les responsabilités françaises ? Quel rôle a joué le monde des affaires dans le marché noir ? Quelle a été son influence sur le gouvernement de Vichy ? L'épuration a-t-elle épargné la quasi-totalité des patrons ? Cet ouvrage unique en son genre raconte ce qu'ont fait, ou pas fait, sous l'Occupation, les dirigeants de Berliet ou de Ricard, de la Société générale, de Total ou encore des Galeries Lafayette. Riche en portraits hauts en couleur, balayant tous les secteurs d'activité, il permet de comprendre le fonctionnement des entreprises, de la finance et de l'économie durant cette période. A l'heure où la question du patriotisme économique fait de nouveau débat, cet ouvrage revient sur une période qui fut une épreuve de vérité et offre ainsi une vision inédite de l'Occupation.

03/2013