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Le journal d'Emile. 1915, un poilu dans les tranchées

Extraits

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Romans historiques (poches)

Le journal d'Emile. 1915, un poilu dans les tranchées

Dans une tranchée, un poilu vient d'apprendre la naissance de sa fille. Convaincu qu'il ne survivra pas à cette guerre et qu'il ne verra jamais son bébé, il fait le récit de sa vie sur des cahiers d'écolier et se remémore les principaux épisodes de sa vie : son enfance à Roubaix, son mariage avec Maria, les drames et les joies... En 1915, la guerre se durcit. Emile survivra-t-il à cet enfer ?

06/2015

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Histoire de France

Lectures de poilus. Livres et journaux dans les tranchées, 1914-1918

Malgré la boue, le froid et l'omniprésence de la mort, les poilus ont beaucoup lu, autant la presse que des livres. Pour s'informer, pour lutter contre l'ennui et la peur, pour mettre des mots sur l'indicible. Guerre et Paix de Tolstoï ou Le Feu de Barbusse, succès dès sa parution en 1917, rappellent aux soldats leur expérience vécue ; les oeuvres de Jammes ou de Loti offrent une évasion bienvenue... Du côté de la presse, la guerre renforce la prééminence des grands quotidiens nationaux, mais les soldats lisent aussi la presse illustrée, notamment La Vie parisienne, qui apporte un peu de légèreté. Croisant les sources officielles, les archives d'éditeurs et les témoignages, Benjamin Gilles nous permet d'être au plus près du ressenti des soldats. Se dessine ainsi un portrait renouvelé de nos poilus, plus érudits que l'on a tendance à le penser, bien moins sensibles au "bourrage de crâne" qu'on ne l'a dit, et travaillés sans cesse par le besoin de comprendre. Une plongée au coeur de la vie dans les tranchées et de l'époque tout entière.

09/2013

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Histoire de France

Récits des tranchées. 1914-1918 - Des Poilus racontent

Reclus dans leurs tranchées, des soldats de la Grande Guerre prirent la plume à l'occasion d'un concours littéraire initié par l'Armée. Chacun à leur manière, ils racontèrent alors une histoire, leur histoire, marquée au fer de leur quotidien. Au fil de récits très personnels, mettant en scène des hommes ordinaires confrontés à une expérience " extraordinaire ", vivent et revivent ainsi des lieux, un temps, un univers rythmés par une succession incessante de grands drames et de petites joies.

11/2017

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Histoire de France

"Maudite soit la guerre..." . Ecrits censurés d'un journaliste dans les tranchées 1915-1918

Dévoiler le véritable visage de cette guerre et faire connaître le quotidien des poilus, telles sont les raisons pour lesquelles Eugène Henwood a tenu un carnet de 1915, date de son arrivée au 4e régiment mixte de zouaves et tirailleurs, à 1918. Malgré le froid, malgré la pluie et la boue, malgré les obus et une blessure à Verdun, il ne cessera décrire. Ce journaliste de profession est frappé par le décalage entre le récit de la guerre fait par la presse grand public et la réalité à laquelle il est confronté comme combattant. Il veut témoigner. Il noircira ainsi dix-sept petits carnets qu’il conservera précieusement, ne pouvant les publier en raison de la censure. Cet homme cultivé, sensible et engagé livre un témoignage poignant. Un siècle après avoir été écrit, ce document exceptionnel est enfin publié.

11/2015

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Première guerre mondiale

Journal d'un poilu

Les Poilus comme on les appelait, au cours de la première guerre mondiale, sont contraints de vivre dans des tranchées, été comme hiver. Des tranchées remplies d'eau et aussi de cadavres de leurs camarades tombés au combat. Ils affrontent courageusement le froid, l'humidité, la vermine, le bruit des explosions qui leur éclatent les tympans. Ils supportent vaillamment les privations, les humiliations... Leur retour à la vie civile est difficile. Le soir venu, ils n'osent fermer les yeux de peur de revoir les horreurs qui les ont emplis pendant ces quatre années de conflits. la peur de revoir dans leurs rêves les horreurs quotidiennes de la guerre, les lambeaux de chairs des corps de leurs camarades déchiquetés par une rafale ennemie. Ces quelques pages sont un hommage à tous ces Poilus afin de préserver à jamais leur courage exemplaire de l'oubli et de l'indifférence.

12/2021

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Théâtre - Pièces

Les Aventures de Poilu à la Tranchée de Calonne. Les Eparges, juillet 1915

Le temps peut paraître long dans les tranchées, entre deux assauts : il faut trouver des occupations. Les soldats jouent aux cartes, à des jeux de société, font du bricolage avec les moyens du bord. Ils dessinent, écrivent, lisent, jouent de la musique... et peuvent même monter de petits spectacles. C'est ce qu'a fait le sous-lieutenant Joseph Hudault pour distraire les hommes de son régiment. Dans cette courte pièce de théâtre pour marionnettes, écrite dans les tranchées par un poilu tué en 1915, la vie et les préoccupations des soldats sont vues à travers le prisme de l'humour. Cette pièce, témoignage authentique de ce que fut la Grande Guerre, permet d'entrer dans cette période tragique, par le biais du rire, mais aussi du lyrisme et de la poésie.

03/2024

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Histoire internationale

Journal, 1905-1915

Journal, 1905-1915 / Jules Dupin ; [publié par Louis Dupin] ; [avec une préface de L. Nodin] Date de l'édition originale : 1917 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2021

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Histoire de France

Les poilus de Quincy 1914-1918

Comme tous les villages de France, Quincy a apporté son tribut d'hommes à l'armée française dans le gigantesque conflit qui l'a opposée, avec ses alliés, aux Empires centraux. Pendant quatre ans pour les premiers mobilisés, moins pour les autres, des Quinçois, qui n'avaient comme seule expérience militaire que leurs deux ou trois ans de service militaire, se sont battus sur tous les fronts, dans toutes les conditions, endurant toutes sortes de souffrances physiques ou morales, laissant parfois leur vie. Ce livre présente les parcours de tous ces hommes, morts pour la France ou revenus chez eux après la guerre, en 128 notices réalisées à partir des archives.

12/2019

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Histoire de France

Souvenirs d'un poilu du 15-2. Hartmannswillerkopf 1915-1916

L'Hartmannswillerkopf est un haut lieu de la Grande Guerre. Ce belvédère, dont les pentes retombent dans la plaine d'Alsace, a été en 1915 l'enjeu de combats acharnés entre Français et Allemands. Sa sanglante mémoire hanta les survivants. Parmi les unités françaises engagées à l'Hartmann, le 152e régiment d'infanterie s'est distingué par les sacrifices qu'il y a consentis. Vainqueur dans l'offensive du 21 décembre 1915, il fut tout entier anéanti le lendemain. Auguste Chapatte est un de ces poilus du 15-2 qui ont repris deux fois le sommet de la montagne à l'ennemi. Ses souvenirs, marqués par la camaraderie et l'esprit de corps, portent témoignage du climat moral de la France de 1914, de l'état d'esprit des vétérans dans les années trente et de cette tragédie qu'a été la Grande Guerre.

11/2011

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Histoire de France

Carnet de campagne d'un poilu d'Orient. Dardanelles 1915-1916

Nul n'était plus qualifié qu'Ernest Roux, comme témoin de la campagne des Dardanelles de 1915-1916. Car en plus de sa participation physique, à 21 ans et en première ligne, à cette expédition, il a ensuite assumé pendant 25 ans (de 1955 à 1980, à son décès) la fonction de Président national des anciens combattants du corps expéditionnaire d'Orient. Il fut également en 1965 l'organisateur du pèlerinage des survivants français à Istanbul, pour le cinquantenaire du débarquement. Il y fut promu "Ancien combattant turc d'honneur". Le livre I est consacré à la présentation du texte intégral du "Carnet de campagne" d'Ernest Roux, écrit au jour le jour, dans un français de qualité, sur le champ de bataille. Il est complété par des extraits choisis de lettres adressées à sa mère, institutrice laïque dans le département de la Drôme. Le livre II, "Les poilus et pourquoi ils se sont battus !", est l'oeuvre de son fils, Jean Roux, économiste et historien (histoire des doctrines sociales, histoire de l'impôt, etc.). Il présente tout d'abord le contexte géopolitique caractérisant l'Europe en 1914. Le lecteur y découvrira l'état d'esprit et les mentalités régnant à cette époque en France, particulièrement face au pangermanisme. Il resitue la puissance économique, militaire, maritime et coloniale de l'Allemagne début 1914. Par exemple, qui sait que le 22 septembre 1914, la flotte de guerre allemande attaquait et bombardait Tahiti ? Il rappelle ensuite les réactions du peuple français, et en premier lieu du Maréchal Foch, face au traité de Versailles de 1919 ; traité de paix raté et qui allait déboucher sur la seconde guerre mondiale, seulement 20 ans après la fin de la première. Tout ce qui est écrit dans cet ouvrage captivant, souvent surprenant et hors norme, est rigoureusement conforme à la vérité historique. Fait unique dans l'histoire de l'édition : entre la première ligne de cet ouvrage, écrite par Ernest Roux en février 1915, et la dernière ligne écrite par son fils Jean Roux en février 2015 100 ans exactement se seront écoulés.

04/2015

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Religion

Un moine dans les tranchées

Suite au décret du 1er août 1914 relatif à la mobilisation générale, de nombreux religieux contraints à l'exil par la loi du 1er juillet 1901 reviennent de l'étranger pour défendre leur patrie. Vingt-six moines de la communauté de Saint-Martin de Ligugé réfugiée à Chevetogne en Belgique sont mobilisés. L'un d'entre eux - dom Josaphat Moreau - arrive à Tours le 4 août 1914. Il est incorporé au 66e régiment d'infanterie comme soldat de deuxième classe, avant d'assurer les fonctions d'aumônier militaire et de brancardier. Ce n'est que le 4 novembre 1923 qu'il retrouvera sa communauté monastique revenue d'exil à Ligugé. Les lettres que le père Moreau adressa à sa mère entre le 30 juillet 1914 et le 17 août 1919 constituent un témoignage archivistique précieux, tant sur les conditions de vie journalière au front, que sur le déroulement de la guerre elle-même avec ses moments d'horreur, de lassitude et de découragement. Elles informent également sur le statut et le ministère des aumôniers militaires qui oeuvrèrent au service de tous les hommes mobilisés pour la défense de la Nation, au péril même de leur vie. Toujours là où les soldats souffraient dans leur chair et désespéraient parfois dans leur âme, prodiguant secours et consolation au coeur même du danger, le père Moreau n'aura jamais ménagé sa peine au service de ses frères d'armes.

06/2018

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Histoire de France

Dans les yeux des poilus (1914-1918). Des Flandres aux Vosges

« Mais qu'avons-nous fait pour mériter une chose pareille ? Quelles fautes devons-nous expier en ce bas monde ? » Avant de franchir le parapet de la tranchée pour monter à l'assaut, le soldat Paul Viriot, du 37e régiment d'infanterie, s'interroge. Combien de camarades vont être broyés lors de cette énième attaque ? Il se sent abandonné à lui-même, sans secours ni consolation. Un siècle plus tard, il demeure difficile de s'imaginer ce qu'ont vécu les poilus durant plus de quatre années. Contrairement aux récits officiels teintés de propagande et saturés de patriotisme, les jeunes hommes qui ont dû combattre n'ont pas été dans leur grande majorité des « bêtes de guerre » recherchant à tout prix une forme de gloire. Il n'y a qu'à parcourir leurs écrits pour mesurer à quel point ils étaient lucides. S'ils aimaient leur pays et la liberté, ils n'admettaient pas que leur existence soit sacrifiée dans des offensives stériles. Voici un ouvrage émouvant et authentique au fil duquel vous découvrez le quotidien d'hommes ordinaires plongés dans la première guerre moderne de l'humanité. L'auteur s'est attelé à rechercher des témoignages inédits afin d'illustrer son récit historique. Des Flandres aux Vosges, il vous fait partager le destin de poilus venus de tous les horizons - paysans, ouvriers et employés ; chefs d'entreprise ; poètes et écrivains comme Guillaume Apollinaire ou Charles Péguy - et vous emmène dans l'intimité des états-majors en vous faisant côtoyer les généraux Joffre, Foch, Pétain et bien d'autres encore… Sans la moindre censure, tous les aspects de la guerre sont abordés, de l'officier mal-aimé abattu par ses hommes sur le champ de bataille aux ordres impitoyables donnés pour empêcher une troupe de reculer face à la déferlante d'un assaut. Les yeux des poilus ont nourri la mémoire d'images et d'émotions, admirablement traduites dans leurs écrits, avec leurs mots et leur sensibilité.

09/2015

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Histoire de France

Tous unis dans la tranchée ? 1914-1918, les intellectuels rencontrent le peuple

Henri Barbusse, Marc Bloch, Maurice Genevoix, Apollinaire, Georges Duhamel ou Léon Werth : les intellectuels combattants ont laissé à la postérité des textes où la guerre est superbement décrite et analysée. Ils ont été abondamment cités par les historiens pour rendre compte de l'expérience des tranchées. Nicolas Mariot les relit ici non comme des illustrations exemplaires de "la" guerre des soldats français, mais au contraire pour y repérer les très nombreux décalages entre leur expérience de la guerre et celle de la grande majorité des combattants. L'auteur, sociologue et historien, traque dans les correspondances, carnets et autres témoignages toutes les mentions, jusqu'aux plus infimes et apparemment anodines, qui racontent l'état des rapports sociaux dans les tranchées. Ce sont elles qui composent l'essentiel de la matière de ce livre. Car en témoignant du monde des tranchées, et de l'épreuve de la boue ou des bombardements, ces intellectuels livrent un témoignage sur leur découverte des classes populaires, leurs perceptions des soldats côtoyés, qu'il s'agisse de "camarades" ou de "leurs hommes", et donc sur les écarts et les différences sociales à la fois maintenues et déplacées durant le conflit. Une profonde remise en cause de la Grande Guerre comme creuset d'une osmose entre groupes sociaux.

09/2013

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Histoire de France

Les poilus du pays de Seyne dans la tourmente. 1914-1918

La guerre 1914-1918 a transformé le Pays, rien ne sera plus comme avant ! Ils étaient jeunes, ils étaient fiancés ou déjà mariés et père de famille, dans leur tête plein de projets pour leur avenir. Mais voilà que ce 2 août 1914, les cloches vont sonner à la volée pour annoncer le début de la plus longue et la plus effroyable guerre. Ils sont partis la fleur au fusil, persuadés qu'ils allaient revenir très vite, les journaux le disaient... Hélas ils vont rapidement connaître l'enlisement des tranchées, l'incertitude et le doute. Ce sont près de 1400 hommes qui au cours de quatre années de ce conflit partiront au combat et 180 y laisseront la vie. Où sont ils morts ? Pourquoi une telle hécatombe dans nos populations de ruraux ? Que faisons-nous pour commémorer notre aïeul que nous n'avons pas connu ? Les témoignages de ces hommes confrontés à l'ennui, à la peur, au doute, nous feront partager cet enfer qui a duré plus de quatre années.

11/2018

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Première guerre mondiale

Les reflets rouges. Journal des tranchées

Mobilisé en décembre 1914, André Fuoc sera à Verdun comme canonnier radio télégraphiste. Dans ce journal des tranchées, il relate au jour le jour, avec un style puissant et réaliste, les grandes peurs des soldats comme les petites faiblesses de l'Etat-major. Illustré par des photographies prises par l'auteur dans les tranchées, ce document exceptionnel nous fait plonger au coeur du quotidien des "Poilus".

05/2023

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Histoire de France

J'étais médecin dans les tranchées. 2 août 1914-14 juillet 1919

Août 1914. Louis Maufrais, étudiant en médecine, pense présenter l'internat quand la guerre éclate. Il rejoint alors le front et découvre les tranchées. Il va y rester quatre ans. Quatre ans pendant lesquels il côtoie la mort les pieds dans la boue et les mains dans le sang, jour et nuit enterré au fond de postes de secours secoués par le souffle des obus. Quand il a un moment de repos, il prend des notes, photographie, pour raconter la souffrance, celle de ses camarades, la sienne, mais aussi l'amitié, le burlesque, l'absurde. De l'Argonne au Chemin des Dames en passant par Verdun et la Somme, la Grande Guerre racontée au jour le jour et illustrée - fait rarissime - de photos prises par l'auteur du texte.

10/2010

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Histoire de France

J'étais médecin dans les tranchées. 2 Août 1914-14 juillet 1919

Août 1914. Louis Maufrais, étudiant en médecine, pense présenter l'internat quand la guerre éclate. Le jeune homme rejoint le front, découvre les tranchées. Il va y rester quatre ans. Quatre ans pendant lesquels il côtoie la mort les pieds dans la boue et les mains dans le sang, jour et nuit enterré au fond de postes de secours secoués par le souffle des obus. Quand il a un moment de repos, il prend des notes, photographie, pour raconter la souffrance, celle de ses camarades, la sienne, mais aussi l'amitié, le burlesque, l'absurde... Comment un témoignage d'une importance exceptionnelle a été sauvé de l'oubli. Le 5 décembre 1977, s'éteint un vieux médecin de famille. Dans l'héritage qu'il laisse à ses enfants, il y a des photos, beaucoup de photos, et une boîte à chaussures. Dans la boîte, seize cassettes enregistrées par Louis Maufrais peu avant de mourir; devenu aveugle et incapable d'écrire, il avait peur que son témoignage disparaisse avec lui. Mais le temps passe encore, et les cassettes restent rangées au fond d'un placard. Vingt-cinq ans d'oubli. Jusqu'à ce jour de 2001 où sa petite-fille, Martine Veillet, les trouve, les écoute... Il lui faudra cinq années d'enquête pour décrypter la voix de son grand-père, vérifier les dates, les lieux, retrouver dans les archives les noms qu'il cite. L'ampleur de

10/2008

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BD tout public

C'était la guerre des tranchées. 1914-1918

Les obus éventraient le sol torturé, à l'intérieur duquel se terraient des milliers d'hommes qui avaient creusé la terre et y avaient aménagé des abris. C'était la guerre des tranchées.

08/2014

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Petits classiques parascolaire

Lettres de poilus 1914-1918

Cent ans ont passé depuis le début de la Première Guerre mondiale qui a profondément changé le monde et les mentalités. A travers 13 lettres, vous découvrirez l'évolution de la Grande Guerre, les combats, le quotidien du poilu dans les tranchées, les bouleversements affectifs, sociaux et politiques entraînés par le conflit mondial.

08/2019

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Histoire de France

Artisanat et souvenirs de tranchées (1914-1918)

Cet ouvrage retrace la vie quotidienne des combattants de la Grande Guerre et invite le lecteur à un voyage initiatique en compagnie des poilus mais aussi de leurs créations utilitaires et artistiques, influencées par les techniques nouvelles, par l'art nouveau et le cubisme. En août 1914, les combats sont terriblement meurtriers et les survivants s'enterrent pour rester invisible. Très vite, les soldats des premières lignes se groupent et forment un îlot social dans leur propre escouade pour tenir physiquement et moralement dans les tranchées nouvellement aménagées. Avec l'hiver qui arrive, ils se soudent et partagent leurs expériences professionnelles pour se protéger et améliorer leurs conditions de vie particulièrement précaires. Les soldats se côtoient dans des lieux particulièrement déprimants où ils trouvent l'ennui et parfois la mort. Ces situations les amènent à fabriquer de nombreux objets utilitaires et très décoratifs : pour leur épouse, la marraine de guerre, la fiancée, etc. Les poilus réalisent des oeuvres sur différents supports, y inscrivent des lieux de combats, des mots d'amour, des prénoms féminins. D'autres constituent un carnet photographique, des croquis, un journal de tranchée, ou un futur livre. Les témoins de cette période ont tous disparu mais l'artisanat de tranchée, véritable art populaire, est un témoignage matériel visuel et tactile. Ces objets, quelquefois d'origine familiale, en lien avec un portrait militaire photographique ou des médailles, sont de véritables messagers de l'Histoire. Ils interrogent lors de leurs découvertes et nous font réfléchir sur le vécu des combattants de la Grande Guerre. L'artisanat de tranchée utilitaire, artistique et qui est multiforme, doit être transmis, sauvegardé et protégé.

12/2015

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Histoire internationale

Journal d'un diplomate en Russie. 1917-1918

Louis de Robien fut un témoin privilégié des soubresauts des révolutions russes. En poste à l'ambassade de Pétrograd depuis 1914, il a couché chaque jour dans son journal les observations rapportées de la rue comme des salons de la haute société ou des antichambres du pouvoir. Sa chronique précise et vivante raconte dans leurs moindres détails la chute du tsar, le coup d'Etat des bolcheviks et les prémices de la guerre civile. Narrateur intelligent, raffiné et subtil, Louis de Robien se garde de tout préjugé et porte un regard lucide et détaché sur un régime à bout de souffle, une poignée d'aventuriers prêts à tout et un peuple désabusé impatient d'en finir avec la guerre. Document majeur oublié depuis des décennies, ce Journal d'un diplomate en Russie nous est encore précieux aujourd'hui pour comprendre comment, en 1917, l'impossible s'est produit.

05/2017

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Dictionnaire français

Le parler des Poilus. Vocabulaire des tranchées

Tiré de l'oeuvre de Lazare Sainéan, L'Argot des tranchées d'après des lettres des Poilus et les journaux du front publié en 1915, cet ouvrage met en lumière, avec moult exemples et anecdotes, le vocabulaire qui germa pendant la Première Guerre mondiale. Les tranchées furent un creuset linguistique, rassemblant pour la première fois des hommes de milieux socio-culturels, d'âges et régions très dissemblables (métropole et Colonies). Les patois, les langues étrangères, les parlers des métiers ont façonné cette "langue" qui n'appartenait alors qu'à ces soldats et qui laisse, encore aujourd'hui, des traces dans notre langage quotidien. Un barda, la bidoche, un tacot, sont quelques exemples de ces mots, échangés dans les tranchées.

03/2014

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Histoire de France

Eugène Tavernier un poilu dans la guerre. Correspondance 1913-1918 Tome 3, Paris

Rentré de Salonique le 13 mai 1917 avec le paludisme, Eugène Tavernier retrouve à Paris sa femme et son fils, mais les premiers bombardements sur la capitale vont à nouveau bouleverser la vie du couple. Henriette est enceinte et comme des milliers de Parisiens qui fuient la capitale et une possible avancée allemande, elle quitte Paris avec sa soeur et leurs deux enfants pour se réfugier à Pau. A nouveau séparés, les époux reprennent leur échange de lettres. Henriette vit mal cet exil dans une ville triste où tout manque tandis que sa soeur craint le pire pour sa maison de Château-Thierry qui est sous le feu des combats. Eugène, qui travaille comme infirmier auxiliaire à l'Institut Pasteur expédie colis et malles à sa femme et gère les affaires du couple comme il peut. Il ne rejoint sa femme à Pau, en train de nuit, que pour de rares permissions, de trois jours tout au plus. Ses lettres, dans les quelles il se raconte avec humour constituent un témoignage passionnant de la vie parisienne en cette année 1918 où la guerre peut basculer d'u moment à un autre. Finalement Henriette accouchera d'une petite fille, Marie Louise et ne retrouvera Paris qu'en octobre. Ainsi s'achèvent ces années de douloureuse séparation entre les époux en même temps que leur correspondance, si précieuse sur ces années de guerre.

01/2019

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Histoire de France

Les Poilus,. Lettres et témoignages des Français dans la Grande Guerre (1914-1918)

Elle a mobilisé huit millions de soldats sur le front, mais la Grande Guerre a bouleversé l'existence de tous les Français. Et les plus belles lettres de Paroles de poilus (Librio numéro 245) ne peuvent se lire sans les mots, en regard, de leurs familles, leurs compagnes, leurs enfants, leurs mères. C'est l'objet de ce nouvel ouvrage de Jean-Pierre Guéno. Marraines de guerre, soldats des colonies, fusillés, grévistes, planqués, "Père Pinard" : leurs lettres dessinent le quotidien interminable de l'ennui, de la boue, de l'incertitude au front. Simples soldats ou grands écrivains, des anonymes à Guillaume Apollinaire ou Alain-Fournier, ces témoignages racontent la guerre à dimension humaine. Publié simultanément dans une version illustrée aux éditions des Arènes, ce recueil s'inscrit dans les manifestations de commémoration de la guerre de 1914-1918.

10/2013

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Religion

Dieu dans les tranchées

La question de la relation entre Dieu et la guerre traverse l'histoire de l'humanité et s'impose à nous jusqu'à travers l'actualité. C'est cette question qu'aborde l'auteur de ce livre à partir de l'exemple du terrible conflit de 14-18. Aumônier militaire ayant servi sur plusieurs champs de batailles, il affirme qu'aucune guerre n'est juste même si l'intervention armée peut être justifiée par des situations humaines inadmissibles. Il montre que Dieu n'est pas le Dieu DE la guerre mais comment il se fait Dieu DANS la guerre, rejoignant ainsi les hommes dans les situations les plus douloureuses en étant l'amour jusqu'au coeur de la mort. S'appuyant sur de très beaux témoignages de soldats, d'aumôniers militaires et de religieuses-infirmières qui donnent toute sa force à ce texte, il montre comment le chemin des croix de tous ceux qui ont sacrifié leur jeune vie peut devenir un soutien spirituel pour tous ceux qui, aujourd'hui encore vivent leur foi sur des lieux de conflits.

03/2018

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Histoire de France

Journal d'une bourgeoise 1914-1918

"C'est une évocation si sincère et si vibrante de ces années abominables de l'occupation, qu'en parcourant les pages, j'avais l'impression parfois, jusqu'à l'illusion, de vivre encore sous le joug de l'ennemi", écrit le grand historien Henri Pirenne à Marguerite Giron après avoir lu le Journal d'une bourgeoise, l'un des rares journaux écrits par une femme à l'époque en Belgique. Destinés à ses fils, mobilisés dans la lutte contre l'envahisseur "s'ils reviennent", ces cahiers où elle consigne au jour le jour ses angoisses et ses espoirs, les deuils et les naissances et tous les événements qui émaillent le quotidien de son entourage, ne sont en effet pas une simple chronique familiale. C'est aussi et surtout un témoignage passionnant sur une période sombre de l'histoire, traversé par un leitmotiv : "les civils tiennent". Marguerite y évoque la vie difficile des Belges, soumis à une censure pesante, harcelés par une bureaucratie tatillonne qui prétend tout contrôler, victimes de vexations et de réquisitions en tout genre, sinon d'une répression féroce ; l'esprit frondeur de ses compatriotes qui narguent l'occupant ou lui résistent ouvertement lors des mises sous séquestre des usines ou de l'instauration brutale du travail obligatoire ; la misère noire des plus pauvres qu'elle découvre lors de ses activités caritatives ; la cupidité des profiteurs de guerre ; la révolte des fonctionnaires et des magistrats ou encore la politique de flamandisation menée par les Allemands. En dépit des difficultés à obtenir des informations fiables par la presse clandestine ou internationale, les courriers qui échappaient à la censure ou les amis et relations qui revenaient de l'étranger, elle suit de près aussi les rebondissements politico-diplomatiques de cette époque troublée en Belgique comme à l'étranger et, bien sûr, les nouvelles militaires. "Nous menons", écrit-elle un jour de 1916, "une vie exposée et précaire dans un temps furieusement intéressant". Le lecteur ne pourra que partager cet avis.

06/2015

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Histoire de France

Le Poilu Saint-Emilionnais. Edition en fac-similé du journal de tranchées de l'abbé Bergey et de ses suppléments Nos filleuls et Le Rayon (1915-1919)

Recueil des 26 numéros de ce journal de tranchées d'un aumônier au front, publiés entre 1915 et 1919. Ecrit dans des conditions difficiles, il assurait le lien entre les soldats originaires de la région de Saint-Emilion et leur famille. Il constitue ainsi une source d'informations sur le parcours des poilus et sur la vie quotidienne de cette commune pendant la Première Guerre mondiale.

11/2014

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Histoire de France

Les mémoires de la guerre 1914-1918 du poilu Georges Savy

Ces "mémoires" ne sont pas une simple évocation ou compilation de souvenirs. Il s'agit bien au contraire du récit autobiographique, méticuleux et précis, tant dans la chronologie que dans la localisation géographique, de ce que Georges Savy, Français de Belgique, rappelé le 3 août 1914, a vécu dans les tranchées de Meurthe et Moselle, à Verdun, dans le Soissonnais ou dans les hôpitaux, pendant toutes les années de guerre ; il participa même à quelques mois d'occupation en Allemagne jusqu'à sa démobilisation en 1919. Toute cette précision, il la doit aux notes qu'il prenait soigneusement dans des carnets qui ne le quittaient jamais. Au printemps 1916, lors d'une période plus calme, il achète un appareil photo, avec les cuvettes et le matériel nécessaire pour le développement. Pendant les périodes de repos, il prend des dizaines de clichés (il n'y a donc pas de photos de scènes de combat), qu'il développe sur place et dont il revend certains à ses camarades. Il les utilisera pour illustrer son récit. Georges a réalisé trois copies successives de ses "mémoires" : la première, écrite sur un papier gris, constitue une sorte de brouillon ; la deuxième, inachevée, est calligraphiée à la plume sur papier quadrillé ; ces deux copies se complètent : de la première ne subsistent que les pages qui n'ont pas été recopiées dans la deuxième ; la troisième version, complète, réalisée bien plus tard à l'âge de la retraite, est retranscrite dans un cahier quadrillé, format A4. Il n'y a pas de différence majeure entre le texte des trois versions. Le récit utilise à la fois le passé simple, l'imparfait, ou le présent ; nous l'avons laissé tel quel. Le texte est monolithique, sans aucune césure de la première à la dernière ligne ; pour en faciliter la lecture, les repères et étapes chronologiques ont été mis en exergue. Ces "mémoires" débutent "ex abrupto" le jour de sa mobilisation à Bruxelles et son départ pour la France. Le récit se termine de la même manière à sa démobilisation. Il nous a donc paru nécessaire de le faire précéder par un bref chapitre "Avant...", qui explique le contexte familial ainsi que les étapes de l'établissement en Belgique, et de le conclure par un autre texte "Après...", encore plus succinct. May Verdickt, A Bon papa, mon Grand-père...

10/2018

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Lecture 9-12 ans

Le journal d'Adèle (1914-1918)

Jeudi 30 juillet 1914. Adèle commence le journal qu'elle a reçu pour Noël : un ami auquel elle peut raconter sa vie, confier ses espoirs, ses craintes et ses secrets. Les années passent dans le petit village de Crécy, en Bourgogne, rythmées par les travaux des champs, les nouvelles du front... La guerre tue, mutile les soldats, les campagnes. Adèle grandit et rêve de devenir institutrice dans un monde meilleur...

08/2007

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Histoire de France

Cent jours au front en 1915. Un sapeur du Quercy dans les tranchées de Champagne

La Première Guerre mondiale est déclarée depuis 4 mois quand Armand Truel, 18 ans, quitte son village du Lot pour rejoindre Montpellier. Instruit pour devenir sapeur-pompier du génie, il rejoint le front de Champagne en avril 1915. Pendant 100 jours, il creuse des galeries, met à feu des fourneaux de mine et aménage les entonnoirs causés par des explosions. C'est ce récit, reconstitué à partir d'éléments de mémoire familiale et de très nombreux documents d'archives, qui est ici proposé.

06/2011