Recherche

Le défaut du ciel

Extraits

ActuaLitté

Policiers

Le défaut du ciel

Thomas Hellen, le meilleur ami de Clovis Bietel, a disparu. Il enquêtait sur le meurtre de son voisin. Clovis se lance à sa recherche sans se douter qu'il s'engage dans un labyrinthe qui va le plonger au coeur des ténèbres. En cherchant la vérité d'un autre, Clovis trouvera celle de la guerre d'Indochine et ce qu'il advint, une nuit, d'un petit village perdu au beau milieu de la jungle...

11/2014

ActuaLitté

Littérature étrangère

Le défaut

L'histoire commence dans un atelier de couture où un tailleur confectionne des vêtements. Il manie avec dextérité différentes étoffes, choisit des couleurs, des coupes... Tel un démiurge, il prépare la matière du futur récit pour donner vie aux personnages qui porteront ces habits. Comme il lui faut un lieu autour duquel nouer l'action, il emploie des ouvriers pour la construction des décors: une petite place bordée de jolies maisons, avec un parterre de fleurs au milieu. Un faux paysage est peint sur des cartons et des planches pour donner l'illusion de la continuité et de la perspective. La motivation des ouvriers déclinant, la révolte gronde et introduit un défaut dans cette histoire, ce qui provoque un véritable chaos, sous la forme d'un krach boursier et d'un afflux massif de personnages, chassés d'un autre récit. Et l'accueil mitigé qui est fait à ces réfugiés ne tarde pas à se muer en une franche hostilité. Trouveront-ils leur place dans cette histoire? Le défaut constitue une métaphore de la société contemporaine, repliée sur elle-même, figée dans sa peur de l'autre, de l'étranger.

08/2007

ActuaLitté

Poésie

Ils. Défaut de langue

Ces textes rassemblent une grande partie des activités que nous menons ensemble. C'est un regard sans jugement, une description chirurgicale et minimaliste de nos moments en commun. Se dégage l'universalité de nos vies, voire la banalité, parfois une tristesse nait, parfois un sourire. Une interrogation sur notre langue termine le recueil, voyons-nous des " elles" dans ces "ils" ?

06/2021

ActuaLitté

Critique littéraire

A défaut de génie

Des Mémoires ? Certes non ! Le moins possible de grands décolletés, arquebusades, vieux maîtres bourrus. Des souvenirs ? Ce livre en est composé, comme de portraits, mais il ne cherche pas à être exhaustif, à n'oublier rien ni personne. Il procède plutôt par glissements, associations, hasards. S'il reconstitue une vie, c'est à travers des parfums, des colères, des plaisirs, des deuils et non pas des prouesses. L'auteur n'a pas cueilli un bouquet de fleurs d'index - d'ailleurs ne vous y cherchez pas, il n'y a pas d'index. En somme, une vie ordinaire : foi, agnosticisme, tristesses sociales, alliances amicales et amoureuses, peur ou lâcheté devant les crimes du siècle, tentations et dégoûts politiques. Les livres - ceux des autres, les miens - ont bâti ma vie et fini par me faire une maison. A l'heure (tardive) où j'en suis, la mémoire s'abandonne aux grandes marées intérieures et secoue mon bateau.

10/2001

ActuaLitté

Poésie

A défaut de cannabis...

Entre les vers de Karin Pohlmann, tour à tour oscillant entre la langue de Molière et celle de Shakespeare, se dévoilent avec langueur ses années d'étudiante passées aux Etats-Unis, un joint entre les deux coins du sourire. Sa prose nostalgique nous emmène au fil de ses voyages et des rencontres qui les ont parsemés... à défaut de cannabis.

04/2021

ActuaLitté

Littérature française

Le fiel du miel

Régine et Valentin appartiennent à la haute société de la république bekaraise. Ils forment un couple heureux, élevant leurs trois enfants, jusqu'au jour où Régine tombe malade. Des mois plus tard, le verdict médical, sans appel, lui fait savoir qu'elle est porteuse d'un virus mortel... Commence alors un combat sans merci contre l'intruse, la maladie, la mort...

09/2013

ActuaLitté

Littérature française

Le défait

" Voilà longtemps que le travaillait l'idée d'affronter une certaine solitude. Sans avoir jamais décidé quel en serait le théâtre, une île, un phare, la montagne, la forêt ou un monastère, chacune de ses lectures relatant une expérience d'ermite variait son désir, se défiant cependant de tout romantisme. Un chagrin a mis en branle le vieux fantasme de revenir dans cette ferme hantée de bruits et de bonheur et d'y passer quelques semaines seul ; l'a imposée comme le lieu recherché sans être cherché ".

04/2010

ActuaLitté

Romance historique

Le petit défaut de lady Rotherham

Célibataire endurci et fieffé libertin, le marquis de Kenwood enchaîne les conquêtes dans la plus grande insouciance. Lors d'une soirée un peu trop arrosée au White's, ses amis parient cinq cents guinées qu'il ne pourra pas séduire Diana Ingram, jeune veuve ravissante mais aussi froide qu'un glaçon. Jack relève le défi avec l'arrogance qui le caractérise. Nulle femme ne saurait lui résister. Et si la belle est prude, la victoire n'en sera que plus délectable. Pourtant, dans l'ombre, quelqu'un s'amuse à tirer les ficelles, et le don Juan pourrait bien être pris à son propre piège...

05/2021

ActuaLitté

Littérature française

Le lit défait

Lorsque Béatrice a quitté négligemment Edouard cinq ans plus tôt, elle l'a vite remplacé. Ce garçon, bien que séduisant, était très jeune et manquait d'avenir. Mais le voilà désormais auteur à succès, coqueluche du Tout-Paris et toujours aussi fou d'elle. Béatrice, la magnifique et féroce actrice de boulevard, retombe dans ses bras, étonnée de se souvenir encore de lui. Le beau couple qu'ils forment ne manque pas d'exciter les curiosités, chacun se demandant combien de temps il va durer. Edouard le premier qui sent bien que Béatrice n'est pas vraiment amoureuse. Cependant, il ne peut faire autrement que de l'aimer passionnément. Il est même prêt à essuyer les infidélités de son adorée. Et puis, un jour, Béatrice comprend qu'elle aime, pour la première fois. Elle aime Edouard. Françoise Sagan dépeint les sentiments amoureux avec une telle acuité, une telle vérité qu'on petit croire qu'elle décrit les propres mouvements de son coeur.

03/2010

ActuaLitté

Roman d'amour, roman sentiment

Son plus joli défaut

Maman solo, charge mentale, linge sale et autres rejouissances ! Cléa Matisse, mère célibataire, vit au rythme de sa petite Merrylou. Son quotidien ? Elever seule sa fille, courir à droite et à gauche, régler les factures qui s'accumulent et dormir quelques heures. En parallèle, elle est l'autrice d'un premier roman à succès qui sera adapté au cinéma. Le scénariste pressenti : Nate Keenan, un écrivain spécialisé dans les polars et les thrillers, que Cléa adore. Ce dernier semble bien peu enthousiaste à l'idée de travailler sur un "feel good à tendance romance" . Leur rencontre est explosive et fait retomber comme un soufflé tous les espoirs de Cléa. Mais la jeune femme au caractère bien trempé n'a pas dit son dernier mot. Elle tient fermement à être impliquée dans le projet, et elle le sera !

02/2021

ActuaLitté

Littérature française

Une vie sans défaut

Quoi de pire que de voir apparaître une nouvelle ride ? Le constat d'une vie d'attentes refoulées, de désirs inassouvis. Après que peut-on faire ? Ce sont les questions qu'elle se pose à quarante ans, ou presque.

01/2014

ActuaLitté

Littérature française

A défaut d'Amérique

Dans un cimetière parisien, on enterre une vieille dame. De loin, une femme observe la scène : Suzan a débarqué de Floride le matin même. A présent qu’Adèle n’est plus, l’Américaine se demande si elle a eu raison de détester cette femme qui a séduit son père, Stanley, alors jeune soldat, pendant les folles journées de la Libération de Paris, en 1945. Pourquoi elle a été irritée, voire jalouse, de l’exorbitante aptitude au bonheur qu’ont manifestée ces platoniques tourtereaux octogénaires qu’elle a tardivement réunis à Palm Beach pour tenter de consoler son père de son veuvage. Peut-être parce que la vieillissante “Jewish American Princess” qu’est à présent Suzan n’a jamais été douée pour la vie, n’a jamais su aimer - seulement obéir ? Que, brillante avocate, elle a perdu foi en son métier, se shoote au jogging pour oublier ses frustrations, et que, divorcée, ayant fait le choix de ne pas avoir d’enfants, elle n’a rien à transmettre ? Adèle, au moins, c’était la vie, excessive, débordante. Une spectaculaire survivante - aux pogroms en Pologne, à l’exil en France, à deux guerres mondiales, à l’exode - même les camps l’avaient épargnée. Mais est-ce que cela donne tous les droits et surtout celui de la rendre elle, Suzan, encore plus malheureuse ? Près de la tombe, une femme se tient un peu à l’écart du groupe : Fleur a aimé son arrière-grand-mère, Adèle, au moins autant qu’elle a fini par détester Sabine, sa mère dépressive, et toutes les autres femmes de sa lignée. Elle s’est fabriqué une famille à elle, résolument “inédite”, avec ses trois amours : son mari Julio venu d’Argentine et leurs deux fils. Adèle a toujours fasciné Fleur, avec son vouloir-vivre impérieux et presque tyrannique, son adaptabilité, depuis l’enfance, aux situations les plus tragiques, sa séduction dévorante (dont toutes les photos attestent) restée intacte, malgré les épreuves inhumaines de ces années passées à Paris - dans le quartier de Beaubourg où les réfugiés juifs avaient refondé leur communauté meurtrie et précaire -, avec sa capacité têtue, épuisante, à réaliser de petits miracles, à sauver des vies autour d’elle, à commencer par celle de l’amour de sa vie, son mari, Louis, auquel, jusqu’à la fin, elle est restée fidèle. Cette personnalité rayonnante - ou écrasante, c’est selon - qui n’a cessé d’éblouir son vieux père, l’Américaine n’en a eu, à Palm Beach, qu’un bref aperçu, et de surcroît dans sa “version senior”. Si, comme Fleur (qui va bientôt s’y employer afin de prendre, à travers Adèle, la mesure de la seule hérédité qu’elle accepte de se reconnaître), elle se plongeait dans l’histoire individuelle d’Adèle et dans la grande Histoire que celle-ci a, plus que traversée, incarnée, elle en saurait davantage sur “la française”, sa “rivale”, et sur la communauté de souffrance et d’amour dont elle est issue et d’où elle a tiré sa force exceptionnelle. Elle saurait comment Etele est devenue Adèle. Mais, comprend-elle alors, elle a peut-être, elle aussi, “son” Adèle en la personne de Sophia, sa tante, la sœur de sa mère, mondialement célèbre pour avoir été la première femme blanche à militer contre l’Apartheid en Afrique du Sud où elle a fait le choix de s’installer, plus de cinquante ans auparavant. C’est donc par le truchement indirect de “la française” honnie que Suzan va, à la veille des attentats du 11 Septembre, rejoindre à Cape Town, cette autre vieille dame afin de renouer avec la vérité de son histoire de fille trop peu curieuse, et découvrir enfin en quoi sa propre mère, Lisa, a, forte de renoncements assumés, embrassé une autre forme d’héroïsme, plus modeste, auquel il convient sans doute de donner le nom d’amour. Par delà sa capacité à nouer ensemble, sur trois générations et sur trois continents, les fils de l’histoire individuelle et collective, le roman de Carole Zalberg se signale par sa capacité à détourner, subtilement, le “roman de la filiation” de sa mécanique obligée, à en proposer une lecture ouverte. En confrontant l’exil subi (Adèle) ou choisi (Sophia), à l’errance, “sans étiquette”, d’une Américaine presque ordinaire (Suzan) ou au périlleux voyage dans l’interprétation du passé (Fleur), sans jamais instaurer, entre ses personnages, de suspecte hiérarchie, Carole Zalberg nourrit son roman d’une décision d’écriture qui en féconde admirablement l’ambition et la sensibilité. A nouveau crédités de l’humanité profonde qu’ils ont un jour eux aussi incarnée, les fantômes y gratifient l’existence de ceux qui prennent leur suite sur la scène du monde d’un legs d’amour et de souffrance, qui, sans consoler quiconque de vivre ou de mourir, façonne l’authentique présence que les vivants sont tenus de s’accorder à eux-mêmes, faisant de la découverte de l’autre la condition d’une authentique connaissance de soi.

02/2012

ActuaLitté

Littérature française

Une vie par défaut

" Dans le silence de la chambre funéraire, Federico sentit son téléphone vibrer au fond de sa poche, mais il ne répondit pas de peur de déranger sa mère dans son dernier sommeil. Il sortit du salon des adieux. L'appel émanait d'Alice, elle lui avait laissé un message vocal. Le bruit des voitures qui passaient sur la route en contrebas l'empêcha d'en comprendre la teneur. En voulant le réécouter, il fit une mauvaise manipulation ; la voix synthétique du répondeur lui indiqua : "Vous avez quatre messages archivés. " Il les écouta l'un après l'autre quand, soudain, il entendit la voix de sa mère : "Pronto ? Ciao Federico, só mé tò mama ! Incö le ol tó complean, e come töcc i agn, so mia perche ta rispondet mai al telefono. Ülie fat i aügüri ! Méla basi ! " Le message datait du 31 janvier. "

03/2021

ActuaLitté

Littérature étrangère

Défauts dans le miroir

Il s'agit moins d'une autobiographie que d'un autoportrait : le récit ne respecte la chronologie qu'en s'accordant une assez grande liberté. On retrouve ici la démarche si souvent adoptée par le grand romancier australien dans ses ouvrages de fiction. Ainsi, cette public school dont il parle avec une amertume impitoyable est-elle en Australie, en Angleterre ? On hésite à se prononcer - puis tout s'ordonne dans la perspective de l'ensemble. Ce vagabondage de la mémoire, ces retours, ces retouches sont ceux d'un peintre (et Patrick White a toujours été passionné par la peinture, autant que par le théâtre), mais d'un peintre qui travaille longuement un coin de son tableau, quand le reste demeure à l'état d'ébauche. L'arbitraire qui peut frapper d'abord dans la place accordée à tel personnage est en soi-même un jugement. Nous voyons assez fugitivement le père, abondamment la mère, mais presque autant certains serviteurs familiers et, ce qui peut paraître soit un choix délibéré, soit un attrait irrésistible auquel cède le souvenir, se retrouve aussi bien dans les événements rapportés. Il serait naïf de s'étonner que personnes et paysages soient décrits selon l'importance relative qu'ils ont gardée dans la mémoire de cet écrivain d'humeur, ennemi du cliché. La Grèce qu'il parcourt, après la guerre, est comme vidée de tout site classique mais envahie par la vulgarité, la matière plastique et le béton. La présence humaine importe beaucoup plus pour ce promeneur du temps et de l'espace que les témoignages de l'Antiquité ; et c'est sans doute ce qui justifie la série de textes clôturant le livre, des prises de position à l'égard de la politique australienne, du théâtre, avec des portraits volontiers féroces. Règlement de comptes avec les autres et avec soi-même qui devrait passionner les lecteurs de l'ouvre romanesque en ce qu'il révèle, outre les conditions de sa naissance, les obsessions auxquelles il répond chez cet homme et qui a prêté beaucoup de lui-même à ses héros, mais sans jamais se révéler encore avec une aussi complète liberté. Franchise, intransigeance, découverte de soi à la faveur de sa propre création, finalement acte de gratitude envers la vie : une telle absence de complaisance est assez rare pour qu'on l'admire dans cette entreprise difficile qu'est un autoportrait.

03/1985

ActuaLitté

Littérature francophone

La jalousie est un vilain défaut

Philippe Vallières est journaliste et biographe, et son sujet, Laurence Stewart (née Charier), une jeune vedette montante hollywoodienne d'origine québécoise qui incarne parfaitement le rêve américain. Laurence n'est pas la seule à se confier à l'écrivain sur sa vie et son ascension vers la gloire ; sa soeur Chloé en a aussi long à dire, et tente de s'immiscer le plus possible dans ce projet de biographie et même dans la vie privée du biographe. Philippe doit aussi se plier au droit de regard de Catherine Steinbeck, l'agente de Laurence (et petite-cousine du romancier du même nom, lien de parenté qu'elle exhibe à la moindre occasion ! ), qui veillera à ce que rien pouvant porter atteinte à la réputation de Laurence ne soit mentionné dans le livre. Et finalement, Philippe doit évidemment des comptes à son éditeur ainsi qu'à l'éditeur américain, qui s'attendent à un récit révélant des histoires inédites sur la vie privée de l'actrice, et ce, à l'intérieur de délais extrêmement serrés. A mesure que le narrateur sent son projet de biographie déraper - tout comme sa santé mentale -, déchiré entre les exigences de tous les gens impliqués dans l'affaire, les lecteurs sont aspirés dans une spirale dont il est bien difficile de s'extraire.

05/2021

ActuaLitté

Actualité et médias

La curiosité est un défaut impardonnable. Souvenirs

En soixante ans de métier, Olivier Mazerolle a connu les huit présidents de la Ve République, la Guerre froide, la chute du mur de Berlin, l'ère du terrorisme et l'aube de la société numérique. Il dévoile aujourd'hui l'envers de la profession et revient sur les événements qui l'ont marqué : la révolte de Solidarnosc, les conflits au Moyen-Orient, ses rencontres avec Walesa ou Sadate, mais aussi les coulisses de la politique française. Adepte du "off", cet autodidacte a su gagner la confiance de la plupart des ténors de droite comme de gauche. Ainsi, Jacques Delors lui a confié, bien avant sa déclaration sur le plateau de "7 sur 7", qu'il ne serait pas candidat à l'élection présidentielle de 1995. Olivier Mazerolle évoque les pressions qu'il a subies en tant que journaliste, mais aussi les failles des hommes et des femmes politiques. Sans chercher à s'épargner, il évoque les moments forts ou difficiles de son parcours : le "détail de l'Histoire" de Le Pen, les polémiques sur l'"affaire Baudis" ou l'annonce erronée du retrait politique d'Alain Juppé en 2004, qui occasionna son départ de France 2. Sans oublier la crise du Covid-19 qui ne l'a pas épargné.

09/2020

ActuaLitté

Littérature française

La timidité est-elle un merveilleux défaut ?

La timidité condamne trop souvent à son goût Céline à l'inertie, elle mène un combat contre ce «handicap», quitte son poste de cadre bancaire, crée sa société et ouvre les Villages du Cour, les villages de la première chance professionnelle. En 2026, le jour de ses 50 ans, son fils Gildas, un brillant scientifique, lui offre un cadeau unique et exceptionnel : l'acte de naissance de Célia, son clone non-timide. En observant le parcours de Célia, de son enfance à sa vie de femme active, Céline va pouvoir répondre à la question qu'elle s'est toujours posée : «Quelle serait ma vie si je n'avais pas été timide ?»

01/2015

ActuaLitté

Poésie

A défaut du silence. Poèmes cruels et consolants

A défaut du silence vient, martelé d'une longue et lente nuit. Florence Ovaere interroge l'errance de ces désirs qui nous songent dans un "catalogue de pénombres et de heurts." Une haute Parole l'étreint et la saigne au bas des maturités impatientes. Elégies, conquêtes de ses souffrances immobiles où l'air se réverbère au prisme d'une larme. A travers l'an nuit, filtre encore l'an vie. La poétesse nous lègue ce vertigo, cet originaire, cet élan qui nous laissent sans voix. Extrait de la préface d'Anne de Commines "Ouvrez vos ventricules Frères d'orange amère Aux fleuves insuffisants Courrez jusqu'à ce que le rire casse La mort aux branches foudroyées Le bruit d'une aile qui claque Les fanions dérisoires toujours dépassés Fuyez la peur aux mains maniaques Sans laisser de traces sur l'écran des eaux".

05/2019

ActuaLitté

Policiers

Nul miel sans fiel

"- Un coupable, ça peut se fabriquer, crois-moi, lui opposa-t-elle. Cette dernière phrase lui fit froid dans le dos. Il mit fin à la conversation non sans lui avoir assuré qu'elle lui manquait et qu'il lui tardait d'être à ce soir. Puis il prit sa tête dans ses mains et essaya de se souvenir de son emploi du temps de la veille au soir minute par minute. Il ne fallait pas laisser libre cours à l'imagination des policiers. Mais Clara-Lou avait peut-être plaisanté". Trois petits romans, et puis s'en va... Certes, mais Triquard tire sa révérence sur une note policière, au fil d'un texte qui voit Lassaiche mourir dans de troublantes conditions et Clara-Lou s'avérer une femme décidément insaisissable. Porté par cette ironie qui faisait déjà le sel des deux premiers opus, "Nul miel sans fiel" clôt avec un humour acide - qui met en relief nos contradictions et égratigne l'actualité politique - une trilogie ô combien caustique.

07/2014

ActuaLitté

Poésie

De Ciel en Ciel

Les poèmes de Pierre Yang exilé qui unit dans son identité le ciel de Chine d'où il vient et celui de Paris sous lequel il vit désormais sont des poèmes lyriques, ceux de la lyre d'Orphée qui fait résonner le ton de l'élégie. Mais cette référence à la Grèce n'oblitère nullement la tradition lyrique chinoise multimillénaire dont l'auteur est nourri. Ecrits en vers libres, les poèmes de cette "âme errante" ont trouvé refuge dans un pays étranger, le nôtre. Il nous importe de lire, nous lecteurs français, ce poète venu d'un pays à la tradition poétique immense et qui a rejoint désormais la nôtre.

11/2022

ActuaLitté

Littérature française

Le principe du défaut de pertinence de la qualité officielle. La répression des crimes internationaux

Le problème du défaut de pertinence de qualité officielle est intimement lié à la lutte contre l'impunité en droit international public et en droit pénal international. Il en est de même de la question des immunités dans l'espace géographique de l'Union Africaine. C'est pourquoi, il est indispensable de déterminer l'objet de l'étude, résoudre la question de la méthode d'approche, analyser la relation entre le pouvoir et le droit en Afrique.

01/2023

ActuaLitté

Littérature française

Une vie de miel et de fiel

"Pendant cette période de vache maigre, nous n'avions pas de voiture. Aussi pour mon mari, ce n'était pas évident d'aller travailler à vélo jusqu'à la Valette, distante d'une bonne quinzaine de kilomètres de notre village. Nous avons décidé de demander à ses parents s'ils ne pouvaient pas nous aider, pour que nous puissions acheter une voiture d'occasion. Bien sûr, nous nous engagions à les rembourser tous les mois. Mon beau-père tout joyeux nous dit : - Regardez, dans le jardin il y a une voiture qui ne nous sert pas, prenez-la, elle roule encore... Je regardais cette voiture et franchement, je suis restée bouche bée : les poules se l'étaient appropriée... "

05/2019

ActuaLitté

Vins, alcools, boissons

Le nez du vin. Les défauts. Avec 12 arômes

Progressez dans la dégustation avec Le Nez du Vin. La référence de Jean Lenoir pour développer votre odorat. Un outil d'apprentissage intelligent et ludique. Un cadeau original pour les amoureux du vin. 12 arômes pour reconnaître d'emblée les goûts de bouchon, d'oxydation, de réduction. Un livre qui se penche sur les principaux défauts olfactifs du vin. Quelles sont leurs origines ? Quand et comment les éviter ? Peut-on les supprimer ou les atténuer ? Un complément indispensable au Nez du Vin 54 arômes.

10/2021

ActuaLitté

Rock

Jean-Louis Murat, le lien défait

Un an après le décès de Jean-Louis Murat, une plongée intime et érudite dans la vie d'un chanteur au parcours unique. Dès 1981, Suicidez-vous le peuple est mort, son premier single, donne le ton : le goût des mots, des mélodies, celui du risque aussi. A peine arrivé, ce nouveau venu nommé Jean-Louis Murat se fraie déjà un chemin à part, à la fois escarpé comme les sentiers de l'Auvergne qu'il ne cessera de chanter et buissonnier comme sa voix fatiguée et envoûtante, loin de tous les clichés de la chanson française. Un parcours sans équivalent dans l'Hexagone, jalonné d'une vingtaine d'albums dont certains sont inscrits à jamais dans l'Histoire de la pop. Cette traversée musicale et littéraire, Franck Vergeade l'a d'abord suivie en mélomane, puis en journaliste et, enfin, en ami. Au fil des rencontres et des interviews, il a appris à connaître cet artiste qui maîtrisait l'art du contre-pied comme personne. Le Lien défait conjugue toutes les facettes de Murat. Le musicien passionné, le parolier lettré, la grande gueule très affûtée surgissent ainsi au gré d'un ouvrage qui doit autant à la précision de la critique musicale qu'à la rigueur biographique et à l'émotion de l'exercice d'admiration. Le 25 mai 2023, la mort soudaine du chanteur a mis un point final brutal à cette carrière imprévisible, menée par une recherche constante de la sincérité et de la surprise. Un an après, ce livre lui rend hommage. Il est habité, drôle, déroutant et touchant comme l'étaient Murat et sa musique.

05/2024

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

La gourmandise n'est pas un vilain défaut

Appelé à la rescousse, Benjamin débarque chez sa soeur et son beau-frère pour garder son neveu le temps des fêtes de fin d'années. Seulement, Benjamin déteste Noël. Ce qui n'est pas le cas d'Alan, qui lui, est tout le contraire. Sa boutique de confiserie et salon de thé est un véritable temple à Noël et aux fêtes de fins d'années. Entre son neveu et le beau confiseur, Benjamin aura bien du mal à résister à l'appel des fêtes.

01/2020

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

Rêver n'est pas un vilain défaut

A bientôt trente ans, Elisabeth a des rêves plein la tête. Elle aimerait être écrivain, voudrait être un peu moins enrobée et ne plus être l'éternelle célibataire que l'on regarde avec pitié. Mais voilà, elle fait partie des femmes qui passent inaperçues. Trop c'est trop ! Invitée à la soirée de gala des anciens étudiants (qu'elle n'a pas revu depuis dix ans), elle décide qu'elle n'ira pas toute seule pour ne pas subir les moqueries de ses anciennes camarades. Il lui faut un petit ami, et vite. La seule solution ? Engager un acteur ! Mauvaise idée... L'homme est bien trop séduisant, charismatique et arrogant pour que leur couple soit crédible. Pour une fois, le destin n'aurait-il pas pu lui donner un petit coup de pouce ? Mais Elisabeth doit faire avec. D'ailleurs, qu'est-ce qui pourrait bien déraper ? Tout peut arriver... surtout quand on ne l'attend pas !

01/2018

ActuaLitté

Policiers

Le crime de la rue du Ciel

Si le comte de Faëneste (Blatier Perceval) n'avait pas eu l'idée de créer sur ses terres un parc d'attraction particulièrement détonnant... Si Dagobert Leroy (voisin) n'avait pas fait appel au sorcier local pour saboter ce projet... et si Brodequin Edmond (truand) n'avait pas planqué cent briques dans les environs avant de se faire sauter la caisse, à Couleuvre (Allier) le 14 juillet eût été fort paisible... Mais comme disait Dagobert : " de c'temps, vaut mieux aimer les ourages, et les oragans ! "

01/1988

ActuaLitté

Poésie

Le Souffle du ciel

De sa terrible solitude, la poète va tenter de faire "une voie" où retrouver des "traces" de l'Aimé, notamment dans la neige, avec son silence, sa blancheur qui l'associe au vide mais aussi à un réel immatériel. Elle même y sera "dans l'embrassement du Ciel et de la Terre, / […] la ligne de l'horizon" . D'où une poésie aux résonances métaphysiques où se mêlent références mythologiques et bibliques. Ce recueil réunit les poèmes ayant gagné en 2019 le prix Naji Naaman de créativité au Liban et le prix Monde francophone en France, décerné par l'Académie littéraire et poétique de Provence.

10/2019

ActuaLitté

Documentaires jeunesse

Le tour du ciel

Douze tableaux racontent une histoire.

11/1997

ActuaLitté

Documentaires jeunesse

Le tour du ciel

Quand le docteur Berthold m'a endormie, il m'a demandé si je voulais rêver à un bateau dans la tempête ou à un avion dans un ouragan. - Tu parles d'un choix ! Et qu'est-ce que tu as répondu ? - Ni l'un ni l'autre. Je lui ai dit que je voulais rêver du ciel. Il a demandé un ciel comment ? Je lui ai dit : le ciel ! Il a dit : c'est rien le ciel, c'est du vide, le ciel ! Qu'est-ce que je vais y mettre, dans ton ciel ? des avions ? des fusées ? des satellites ? Je lui ai dit : du bleu, je veux rêver à un ciel tout bleu.

10/2018