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La gare d'Astapovo

Extraits

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Théâtre

La gare d'Astapovo

Bientôt dix heures, c'est mon heure préférée pour débuter un voyage... mon père disait : on voyage toute sa vie mais on ne le sait pas... je ne comprenais pas ce qu'il voulait dire, il était si confus parfois... à présent, je partage son opinion... je crois que je partage toutes ses opinions depuis quelque temps... ce doit être ça la vieillesse, avoir le même avis que ses parents... vous trouvez que je fais vieux ? Cette pièce est inspirée d'un fait réel. Quelque part en France, dans un EHPAD (établissement pour personnes âgées), on a eu l'idée de créer une gare virtuelle et un wagon fictif pour faire "voyager" et calmer l'agitation des malades atteints d'Alzheimer. Les résultats ont été stupéfiants. Monsieur William et Madame Boyare se présentent donc, comme tous les matins, au guichet pour prendre le train de dix heures en partance pour ailleurs. Les voilà partis pour un voyage dans leurs souvenirs, réels ou imaginaires, quelle différence ? ...

02/2019

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Littérature française

La gare

L'auteur, José Le Moigne, reprend dans son imaginaire le train de sa vie. Marche arrière, marche avant, de temps en temps arrêt sur photos : la Bretagne site merveilleux de son enfance, ses hommes rudes et fraternels qui font la fête jusqu'au délire, ses parents mariage mixte, d'où la complexité de son existence et sa difficulté d'être Breton et noir. L'histoire se passe dans un train (le train de sa vie) et dans des gares (les poses de sa vie, ses repères) . Parcours initiatique... qui sortira du dernier wagon ?

09/2010

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Littérature étrangère

Derrière la gare

"La grand-mère est debout toute nue devant moi. Elle sursaute en me voyant. Elle fait les grands yeux. Elle a la bouche ouverte. Ses fausses dents ne sont pas dans sa bouche. Je sursaute moi aussi. Mais je ne tourne pas la tête. Je ne peux pas tourner la tête. Ma nuque est en bois. Je n'ai encore jamais vu ma Nona toute nue. Elle est tellement différente comme ça. Elle dit oha et elle retourne en boitant dans la salle de bain". La vie d'un village cerné par les montagnes. Un enfant espiègle observe les adultes et, sans détour, dit le réel avec insouciance. Vif et concret, touchant et drôle, profond : Arno Camenisch donne à entendre la musique singulière de sa langue qui raconte la disparition d'un monde. Une Helvétie hors norme que le temps va engloutir. C'est Zazie dans les Grisons et c'est pas triste !

02/2020

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Littérature française

La gare centrale

Des usagers se retrouvent bloqués dans la gare centrale d'une capitale imaginaire. Parmi eux, Baptiste, témoin de cette attente dont nul ne connaît la raison. Des tractations s'organisent entre les passagers en rade et les responsables du lieu. La police s'en mêle. Bientôt, les événements prennent un tour inquiétant : Oppenheimer, le directeur de l'administration ferroviaire, se suicide ; le mécontentement gagne la foule et semble recouper une mystérieuse agitation politique dont la ville est la proie. Baptiste trimbale son âme de quai en quai, à l'écoute de conversations parfois absurdes, découvrant des situations à la fois dramatiques et grotesques. Au matin du troisième jour, un train vide s'arrête en gare. Mais les portières en demeurent fermées et, dès lors, la foule est livrée à ses propres mouvements. Plus tard, alors que tout semble être retombé dans le calme, un nouveau train fait halte et ouvre ses portières dans la gare maintenant déserte.

08/2005

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Train, tram, métro

Vie(s) de gare. La gare de Vallorbe

La reine Alexandra d'Angleterre, Mahatma Gandhi, le Maréchal Pétain, le chanteur Michel Bühler, tous se sont arrêtés un jour ou l'autre à la gare de Vallorbe. Dirigée par un premier chef de gare qui n'hésite pas à prendre des risques, la gare, où plutôt les gares de Vallorbe, ont été le théâtre de nombreuses histoires, parfois rocambolesques. Dans les années 1860, à l'aube de l'arrivée du chemin de fer à Vallorbe, la commune, n'est alors qu'une petite bourgade vivant de la métallurgie et de la terre, et elle ne se doute pas qu'elle sera un jour un haut lieu du trafic ferroviaire. C'est sans compter l'arrivée imminente et bouleversante de l'unique ligne internationale transitant sur terres vaudoises et de deux mille ouvriers italiens venus expressément pour creuser le tunnel du Mont-d'Or, et construisant, pour ce faire, un deuxième village au sein du village. Ce petit ouvrage vous embarquera dans la folle épopée de la gare de Vallorbe, faisant ainsi revivre les personnalités qui ont contribué à sa gloire d'antan jusqu'à son déclin

07/2021

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Littérature française

La gare sans nom

" Chacun court après le bonheur... ", comme David et Marie qui ne cessent passionnément de vouloir se rejoindre. Mais l'amour ne va pas de soi dans la France effondrée d'après 40, surtout lorsque Vichy-l'Etat édicte des lois très spéciales et que certains deviennent du gibier pour les nazis. C'est le temps où un Etienne se perd dans le fascisme, où une Inès se livre à trafic de faux Turner destinés à Goering. Celui aussi où une mère, un fils, Hortense, Pascal, unissent leurs forces et se lancent dans la Résistance. Au risque d'affronter la mort, ou pire, de débarquer un jour du train, sans passeport et sans visa, sur le quai de La Gare sans nom...

04/1998

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Littérature française

Hôtel de la Gare

Après le tourbillon de la fin des années soixante, alors que l'on s'apprête à vivre une nouvelle décennie, Paul Moreuil, de plus en plus lassé par son métier d'architecte, ne trouve plus sa place dans cette société de consommation de masse totalement contraire à ses valeurs, et dans laquelle il est de bon ton de paraître et de posséder. Il décide un beau soir de faire une pause et monter dans le premier train, sans destination précise. Il s'arrête à Fontenay, petite ville discrète et attachante, perdue au coeur de la France heureuse des années soixante-dix, dont personne ou presque ne connaît l'existence. Durant ces longs mois d'absence, il met en application la devise de sa défunte Tante Marguerite : se contenter du strict nécessaire et délaisser autant l'inutile que le superflu. Il fermera cette parenthèse et en ressortira totalement transformé, connaissant la véritable valeur des choses, avec dans ses bagages, douze portraits de personnages, réels ou imaginaires, à qui il attribuera des vies parfois singulières, parfois tragiques mais toujours pleines d'humanité. Il en naîtra un premier roman, écrit chaque soir dans sa petite chambre sous les toits.

11/2022

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Lecture 6-9 ans

Gare à la maîtresse !

C'est la rentrée pour les enfants des contes de fées. Le Petit Chaperon rouge, Hansel, Gretel, et le Petit Poucet se retrouvent sur le chemin de l'école. Pour le grand méchant loup aussi... Il veut prendre la place de la maîtresse ! Un texte drôle et tendre qui réunit les grands héros de l'enfance (sans oublier le grand méchant loup). Une aventure qui mêle le quotidien des enfants au merveilleux et à la fantaisie des contes traditionnels.

01/2010

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Littérature française

Place de la gare

La présence inattendue d'un curieux SDF va bousculer le destin des commerçants de cette place du RER d'une petite ville de banlieue parisienne. Derrière ces existences apparemment ordinaires, se cachent des doutes, des interrogations et même des drames révélés par la confrontation avec cet individu au comportement énigmatique. Place de la Gare débute comme une banale chronique de quartier pour s'achever sur un bouleversement. Ce roman se nourrit des relations complexes qu'instaure la vie en couple. Il trace le portrait d'hommes et surtout de femmes faisant face à des choix décisifs.

05/2019

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Littérature française

Rue de la gare

"Puis, un jour, apparurent sur des motos des soldats gris qui firent pleurer ma mère. L'un d'eux s'arrêta près de nous, ôta son gant et nous indiqua, avec les doigts de la main, le nombre de "Kinder" qu'il avait laissés dans son pays. Il fit alors vrombir son moteur et s'éloigna en lançant : "Malheur, la guerre ! " Des larmes qui coulaient, des expressions comme "Boches", "Prussiens", "conflagration", lâchées dans la consternation générale, surtout par mon grand-père, atteignaient peu, je dois dire, le petit bonhomme de huit ans à peine que j'étais". Dans les années trente et quarante, Michel n'est qu'un gamin de la Somme essayant de comprendre le monde des grandes personnes. Avec un regard naïf, ou faussement naïf, il raconte ses bonheurs de "gosse des rues" que ses parents, commerçants, préfèrent ne pas avoir dans leurs jambes, sa terreur d'assister aux combats pour la libération du village, la joie indicible de voir surgir dans la rue des tanks anglais, ou encore ses émois d'adolescent lorsque les filles - ce mystère - viendront poser leurs jupes sur les bancs du même collège. Au cinéma "Eden" on découvre la vie, mais dans la rue de la gare, avec les copains, on "fait son cinéma" à partir des petites scènes de la vraie vie.

01/2019

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Littérature française

Avenue de la Gare

En 1938, le jour des accords de Munich, Michel, fils de boulangers à Chalais, vaque à ses occupations d'enfant. Il vivra la guerre et l'Occupation à sa façon, avec le détachement propre à son âge et cette facilité à faire de toutes les expériences une occasion de jeux et d'apprentissage, en dépit des quand dira-t-on du village et des remontrances des parents. Avenue de la gare est un roman léger, plein de gouaille populaire, et de comique burlesque. Porté par une galerie de personnages hauts en couleur, c'est un beau récit d'enfance, avec ses bêtises et sa liberté. Une lecture tendre et espiègle.

01/2006

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Littérature française

En gare d'utopie

Voyages de la vie, souvenirs et démons secrets... Au travers de textes courts et incisifs, l'auteure mêle enquêtes policières, voyages extraordinaires et instants de vie pleins de tendresse et de tristesse où transparaissent quelques pointes d'humour. Tranches d'histoires sur les voyages de la vie, les souvenirs et les démons secrets. En filigrane, des histoires de femmes où se mêlent espoir, regrets, rêves.

12/2018

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Train, tram, métro

Histoire de la gare de Paris Austerlitz. Le retour d'une grande gare

Souvent mise en second plan dans les gares parisiennes, du fait de son éloignement du centre de la Capitale, la gare de Paris Austerlitz a traversé près de 185 années en se démarquant de ses consoeurs. Les raisons en sont multiples. C'est la deuxième gare édifiée dans la Capitale après Saint-Lazare, avec un réseau, le Paris-Orléans puis PO-Midi, au coude à coude avec le réseau PLM, en termes de longueur de voies ferrées. C'est aussi l'unique gare transpercée par une ligne de métro aérienne, la seule à posséder un second bâtiment voyageurs intramuros mieux placée, digne d'un palais qui deviendra un Musée ! Mais également l'une des plus belle grande halle voyageurs de France, la première gare à connaître la mise en souterrain de ses voies banlieues puis à accueillir des trains circulant à 200 km/h en France... Cette histoire hors du commun est contée dans cet ouvrage avec aussi ses souffrances, faits de guerre tragiques aux démolitions en série et chute du trafic voyageurs et marchandises. Ainsi, aux travers de nombreux documents d'archives inédits, le lecteur se plongera dans le riche passé plein de surprises de la gare de Paris Austerlitz.

12/2023

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Poches Littérature internation

La fuite de Tolstoï

Tolstoï a quatre-vingt-deux ans. Dans la nuit du 27 au 28 octobre 1910, il quitte la propriété familiale de Yasnaïa Poliana. Sans prévenir sa femme ni ses enfants, il s'enfuit seul dans l'hiver glacial. Après quatre jours d'errance, il échoue dans la petite gare d'Astapovo, où il meurt une semaine plus tard. Comment expliquer cette fuite ? Alberto Cavallari mène l'enquête grâce aux journaux des rares témoins directs et à Tolstoï lui-même qui, dans la gare, écrira sur son geste.

01/2010

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Policiers

120, rue de la Gare

Burma avait pris ces huit mois de captivité en Allemagne comme de longues vacances. Libéré en 1941, il regagne Paris et son agence " Fiat lux", en sommeil depuis le début de la guerre. Pas pour longtemps. A la halte de Lyon, une fusillade éclate et son ex-collaborateur Colomer est abattu sous ses yeux. Il lance dans un dernier cri : "Patron !... 120, rue de la Gare... ". Adieu la morne tranquillité du stalag ! D'où Colomer, éternel fauché, tenait-il le fric retrouvé sur lui ? Comment connaissait-il Montbrison, une star du barreau réfugié en zone libre ? Que faisait sur les lieux cette jeune femme en trench-coat, sosie de l'actrice Michèle Morgan ? Dès sa toute première enquête, Nestor Burma apparaît tel qu'il deviendra légendaire : trop humain, désavoué par la police, drôle et flegmatique, rêveur et toujours génial dans ses déductions.

12/2009

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Littérature française

Gare d'Osnabrück à Jérusalem

Aller à Osnabrück c'est comme aller à Jérusalem, c'est trouver et perdre. C'est exhumer des secrets, ressusciter des morts, donner la parole aux muets. Et c'est perdre la liberté absolue d'être juif ou juive ou de ne pas l'être à volonté, liberté dont je jouis conditionnellement. Lorsque Omi ma grandmère est sortie d'Allemagne en 38 et nous a rejoints à Oran, quand un juif ne pouvait plus s'échapper sauf par une chance rare de l'Histoire, les Récits d'Osnabrück ont commencé. On croit communément que le grand Malheur s'est abattu en 1933 mais c'est une erreur à l'usage des manuels d'Histoire. Déjà en 1928 l'antisémitisme ordinaire était devenu nazi et extraordinaire. Et la mort était le maître de la Ville. Si tu vas à Osnabrück comme à Jérusalem, derrière le rideau de la Grande Histoire mondialisée, tu entr'apercevras d'innombrables grandes petites tragédies singulières, qui se sont gardées au secret dans les quartiers de cette ville qui fut glorieuse par Charlemagne, infâme sous le règne du NSDAP, et relevée aujourd'hui en courageuse Ville de la Paix, et militante des droits de l'Homme. Si tu vas à Osnabrück, me dit le Secret, passe dans la Grande Rue, devant la fameuse Horlogerie-Bijouterie, à cent mètres de la maison Jonas, celle de ta famille, et regarde dans les vitrines. Peut-être y verras-tu trembler au fond de la mémoire une planche de photos épinglées, papillons spectraux, images de tous les gens qui osaient entrer chez des commerçants Jude, dans les années noires. Peut-être pas. C'est ici, sous les fenêtres de la maison Jonas, qu'Omi regardait les rues et les places se remplir à craquer d'une foule ivre de haine, et les bannières du Reich qui lui donnaient l'éclat d'un opéra terrible montaient jusqu'à son balcon. Le ciel au-dessus de Rolandstrasse était rouge du bûcher de la Synagogue. On ne sait pas. On croit savoir. On ne sait pas qu'on ne sait pas. L'Histoire en (se) faisant la lumière fait aussi l'aveuglement. J'étais aveugle et je ne le savais pas. Mais un pressentiment me murmurait : va à Osnabrück comme à Jérusalem et demande aux murs de la ville et aux pavés des trottoirs ce qui t'est caché. Tout le temps où Eve ma mère était en vie j'ai souhaité aller à Osnabrück, la ville de la famille maternelle de ma mère, les Jonas. Berceau et tombe, ville de la prospérité et de l'extinction. - C'est pas intéressant, dit ma mère. Pas la peine. - Allons-y, dis-je. - On a été, dit ma mère. On a été. Maintenant, on n'est plus. Alors, maintenant qu'elles ne sont plus, Eve, Eri, Omi, ... maintenant qu'il n'y a plus personne, et que la mémoire cherche où, en qui, se réfugier, maintenant qu'il est trop tard, à toi d'aller, me dit le destin, gardien des mystères généalogiques. La taille d'une ville est un instrument du destin. Osnabrück n'offre pas aux condamnés les maigres chances de survie que le vaste Berlin compliqué accorde. Ici, la ville toute entière est une simple souricière. Le petit peuple des souris n'a aucune chance. Nul ne s'échappe. Ni la famille Nussbaum. Ni la famille van Pels. Ni la famille Remarque. Ni la famille Jonas. Ni. Je demande à Omi pourquoi elle n'a pas filé en 1930 avec ses filles. Et en 1933 ? Et en 1935 ? Naturellement elle ne répond pas. Quand Omi demande à son frère Andreas : qu'attends-tu dans Osnabrück, que fais-tu en 1941, et jusqu'au train de 1942 ?, une voix remue dans les pavés, c'est Andreas qui murmure, j'attends la mort à la Gare d'Osnabrück. Ne touchez pas à mes cendres. Dans les rues les voix fantômes timides taillées dans le Silence soufflent : descends chez les Cendres derrière le Rideau. Je suis allée derrière le rideau, réclamer mon héritage de tragédies au secret. Et on me l'a donné. On : les Archives de la Terreur, gardées, ordonnées, par la Mairie et ses Bibliothèques. J'ai suivi les traces de Job piétiné et écorché vif en allemand. Hélène Cixous

01/2016

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Littérature étrangère

Sortie parc, gare d'Ueno

Dans le parc d'Ueno, un homme âgé s'est installé. Après une vie de labeur passée loin des siens, il imaginait une retraite paisible, en famille. Mais la vie en a décidé autrement. Après la mort de sa femme, il n'a pas la force de rester dans leur maison et préfère revenir se perdre dans l'anonymat de Tokyo. Sous les arbres, il se construit une cabane de bâches et de planches, affrontant ainsi le temps et les saisons. Posant son regard paisible sur les promeneurs, tendant l'oreille aux commentaires des visiteurs du musée attenant au jardin, aux chants des oiseaux comme aux mots insolites de ses compagnons de misère, le vieil homme vaque en silence aux abords de l'étang ou s'avance dans le hall de la gare, là où l'espace fourmille encore d'urgences et d'horaires, il se souvient. Dans le parc d'Ueno, le vieillard écoute la beauté et la misère mêlées. Mais les opérations spéciales de nettoyage sont de plus en plus nombreuses en ces lieux, épreuves chaque fois plus traumatisantes pour les sans-logis car il leur faut fuir, sans délai déconstruire leurs baraquements, effacer toute trace de leur dérive. Au passage de l'empereur, comme aux yeux du monde à l'approche des Jeux olympiques de 2020, il s'agit là de ne pas dénaturer l'image de Tokyo.

11/2015

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Primaire parascolaire

La mare

Mes Premières lectures Montessori est une collection conçue par une équipe d'orthophonistes spécialistes de la pédagogie Montessori. Elle propose de courtes histoires adaptées à la progression de l'enfant dès 5 ans (dès qu'il connait le son des lettres) , avec 5 niveaux très progressifs. Des étiquettes mots découpables peuvent aider à préparer la lecture et à mémoriser le vocabulaire.

03/2019

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Littérature étrangère

La mare

La Chine populaire, peu après la mort de Mao... Bin et sa jolie femme Meilan rêvent de quitter la pièce unique où ils s'entassent avec leur fille de deux ans, pour emménager au radieux Parc des Travailleurs nouvellement construit sur la commune. Mais pour cela il faudrait entretenir de bons rapports avec les dirigeants. Or, Bin, ajusteur à l'usine d'engrais, mais calligraphe et peintre amateur de talent, a un caractère ombrageux et frondeur. Les dénis de justice et abus de pouvoir des chefaillons lui inspirent des caricatures vengeresses qu'il envoie aux journaux et qui surgissent sur les panneaux d'affichage de l'usine. Le litige s'envenime, porté de plus en plus en haut lieu, jusqu'à Pékin. Superbement rythmé, cocasse, truculent parfois, ce roman à l'ironie brechtienne est aussi une étude psychologique subtile qui laisse aux personnages et aux situations toute leur ambiguïté, tandis que des évocations elliptiques et impromptues de la nature aux quatre saisons lui accordent la grâce suggestive des estampes chinoises.

01/2004

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Livres rabats, tirettes

La mare

Observe un petit têtard grandir encore et encore, jusqu'à devenir une belle grenouille. Regarde une jolie libellule voler de plus en plus haut ! Grâce à un ingénieux système de flaps superposés, explore le monde de la mare et les merveilles qu'il recèle ! Des textes et des images simples et poétiques à découvrir du bout des doigts.

03/2022

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Divers

La Mare

Après la perte tragique de leur fils, Huub et Sara emménagent dans une vieille maison de famille isolée dans les bois de Veluwe. Ils espèrent mettre le deuil derrière eux et reprendre leur vie en main. Mais est-ce vraiment une bonne décision ? Dans la forêt, au fond de leur jardin, il y a une mystérieuse mare, remplie d'une eau stagnante noire. Le point d'eau est entouré par de vieux hêtres où d'étranges marques sont gravées dans l'écorce. Sara espère retrouver le goût de la création, et peindre de nouvelles toiles dans ce nouvel environnement. Elle abandonne son traitement psycho-médical pour y parvenir. En découvrant de vieux carnets de croquis laissés par le grand-oncle de Huub, elle s'enfonce peu à peu dans les ténèbres...

02/2024

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Livres 3 ans et +

Gare au crabe

Attention, crabe méchant ! Quand un crabe pince à tout bout de champ ses amis, ceux-ci décident de lui donner une bonne leçon... Une histoire amusante sur la gentillesse et l'amitié, sans paroles, qui permettra aux enfants de développer leur imagination et de réinventer le récit à l'infini.

06/2020

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Beaux arts

Gare de Lorient

Reconstruite côté centre-ville et reliant les quartiers de part et d'autre du faisceau ferroviaire par une passerelle urbaine, la gare a enfin retrouvé droit de cité dans le dispositif urbain lorientais. Avec son porte-à faux monumental évoquant les coques des dundées, les thoniers de l'île de Groix, la gare est devenue un édifice emblématique et familier de la ville, porteur d'une identité à la fois contemporaine et historique. Conjuguant le bois, le verre, et le béton fibré à ultra hautes performances, le bâtiment réussit une synthèse entre l'histoire navale de la Bretagne, la période de la Reconstruction et une nouvelle modernité liée à la mise en oeuvre de matériaux et techniques de pointe.

08/2019

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Littérature érotique et sentim

Gare aux sentiments

Laura, quarante-cinq ans un ado et sur le point de divorcer est un auteur à succès. Elle ne croit plus en l'amour avec un grand A. Thierry tout juste la quarantaine est fraîchement divorcé. Il a deux enfants et avec son ex-femme, ils se partagent leur garde. Puis un jour, un salon, un TGV et leur vie bascule lorsque l'amour leur tombe dessus malgré leur différence d'âge. Vivront-il leur amour au grand jour ? L'amour sera-t-il plus fort que tout ?

08/2019

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Littérature française

Gare Saint-Lazare

Cette romance douce-amère, inspirée de l'idylle de Betty Duhamel avec l'un des plus célèbres romanciers français, nous entraîne, au fil de rendez-vous dans les gares et les cafés parisiens des années 70. L'on y croise Bernard Frank et les amis de Sagan, Jacques Chardonne, les "maîtres à penser" et La Nouvelle Vague. Gare Saint-Lazare réflète avec justesse les tourments des premiers sentiments amoureux, l'ambiance intellectuelle d'une époque et nous livre un témoignage précieux sur les ambitions précoces d'un aspirant écrivain.

10/2018

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Livres animés (3 ans et +)

Gare au dragon

Le dragon veille sur son trésor. Mais voilà une souris qui lui vole une pièce d'or... GRRRR, la guerre est déclarée !

10/2023

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Littérature française

Gare Saint-Lazare

"J'avais une tâche pour la vie, qui en un sens résumait toutes les autres, me faire aimer de toi". Derrière cette phrase qui pourrait passer pour romantique se cache en réalité le drame de toute une vie, car cette phrase, c'est celle d'un fils qui s'adresse à sa mère. Avec des décennies de recul, un homme revient sur les traces de son enfance et de son adolescence, dans la salle des pas perdus de la gare Saint-Lazare, les rues populeuses alentour, les cafés où les banlieusards boivent debout au comptoir avant d'attraper leur train. Habitant de la première couronne, c'était sa porte d'entrée dans Paris. A moins que la gare n'ait en somme représenté à ses yeux la ville tout entière ? C'est de là qu'il partait pour l'internat. Ou vers des familles d'accueil. Là qu'il errait avec un ami pour éviter de rentrer chez cette mère qui n'était pas toujours contente de le voir. Là qu'il est tombé amoureux d'une vendeuse à la sauvette qui aimait se moquer gentiment de lui. Autour de lui, mille vies que son regard d'enfant meurtri lui fait voir avec une acuité particulière. Comme si la contemplation du monde en condensé que sont toutes les gares lui avait toujours tenu lieu de refuge, et offert l'espoir d'une réconciliation. Dominique Fabre est l'auteur de nombreux romans d'où la gare Saint-Lazare n'est jamais totalement absente. Sous sa plume, on comprend que "ceux qui ne sont rien" sont au contraire la chair de l'humanité.

08/2023

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Littérature étrangère

Gare au feu

Les nouvelles de Fiona Kidman sont denses, efficaces, pétries d’intelligence humaine. Puisant son inspiration dans la réalité de la Nouvelle-Zélande où elle vit, Fiona Kidman évoque avec la simplicité et le naturel que lui donne sa remarquable maîtrise de l’écriture le destin d’êtres ordinaires. Qu’elle évoque les couples qui se forment, les vies refaites, les rendez-vous amoureux, le sexe au bureau, les mariages arrangés ou les avortements en Australie (interdits en Nouvelle-Zélande), elle parvient immanquablement à suggérer la complexité sous les apparences. Au point d’entretenir, au fil des trois nouvelles centrales de ce recueil, le mystère de la disparition d’une jeune femme contrainte d’épouser un fermier du Nord en mal de main d’oeuvre… La cocasserie affleure parfois, comme dans Préservation, où il est question d’une robe empruntée pour une circonstance très particulière et restituée avec une étrange odeur de formol… Ces onze textes, impeccablement construits dans la plus belle tradition du genre, révèlent aux lecteurs français une nouvelliste chevronnée.

05/2012

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Littérature française

Gare du Nord

On les surnomme Bonbon, Bartolo et Zalamite. Arrivés en France dans les années 50, ils ont connu à Marseille, Vénissieux, Noeux-les-Mines et enfin Paris une vie difficile, mais aussi des joies simples, la saveur de l'esquimau glacé, de la barbe à papa, les combats de catch avec l'Ange Blanc, les premiers téléviseurs et les films d'amour au Louxor, le grand cinéma de Barbès. Aujourd'hui à la retraite, ils vivent entre le " Foyer de l'Espérance ", " La Chope Verte " et la gare du Nord qui attire irrésistiblement leurs pas. A travers les portraits de trois vieux immigrés du quartier de la Goutte-d'Or, de la belle Zaza, de Mazout ou du marabout Hadj Fofana Bakary, Abdelkader Djemaï nous restitue, avec des mots colorés et tendres, une mémoire et un autre visage de la France.

05/2003

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Lecture 6-9 ans

Gare au loup !

Alice va voir sa grand-mère. Dans son panier, elle a une galette et un petit pot de chocolat. Sa mère lui a dit de ne pas passer par la forêt, c'est dangereux. Mais Alice n'a pas peur... Ca vous dit quelque chose ? Vraiment ? Lisez plutôt !

05/2015