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La douceur de l'eau

Extraits

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Littérature anglo-saxonne

La douceur de l'eau

Un premier roman époustouflant sur la courageuse alliance entre deux frères noirs affranchis et un fermier géorgien blanc, au lendemain de la guerre de Sécession, dans une société violente et inégalitaire A Old Ox, en Géorgie, sonnent les dernières heures de la guerre de Sécession : l'émancipation des esclaves est proclamée. A quelques kilomètres de leur ancienne plantation, Prentiss et son frère Landry savourent amèrement leur liberté dans un monde qui ne leur offre aucun travail. Tandis qu'ils s'apprêtent à passer la nuit dans la forêt, ils sont découverts par le propriétaire du domaine, George Walker, hanté par la récente annonce de la mort de son fils Caleb. Quand George, perdu, accepte d'être guidé par les deux jeunes hommes vers sa maison, il voit en eux un moyen d'apaiser son chagrin et leur propose, contre rémunération, de l'aider, lui et sa femme Isabelle, à cultiver leurs terres. Alors que Prentiss et Landry économisent pour enfin espérer retrouver leur mère, vendue loin d'ici lorsqu'ils étaient encore enfants, des liens inattendus de confiance se tissent entre ces êtres tourmentés, jetés dans une société qui leur reste à tous inhospitalière, et trouvant refuge dans la douce quiétude d'une nature luxuriante. Jusqu'à ce que, un jour, Caleb frappe à la porte de ses parents. Nathan Harris signe un premier roman impressionnant de maturité et de maîtrise. A tout juste vingt-neuf ans, il réussit le tour de force de revisiter de façon inédite et moderne le roman d'esclavage en faisant de ses héros les premières victimes d'une longue et persistante ségrégation à l'égard des Afro-Américains. Une épopée où l'humanité et l'amour aussi trouvent leur place au milieu des circonstances les plus déchirantes.

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Littérature anglo-saxonne

La douceur de l'eau

"Finalement, le seul moyen d'avoir une vie qui en vaille la peine, c'était d'aller la chercher ailleurs, là où ils n'auraient peut-être pas plus, mais, avec un peu de chance, pas moins". La petite ville d'Old Ox, en Géorgie, vit les dernières heures de la guerre de Sécession : les esclaves viennent d'être émancipés par les soldats unionistes. Prentiss et son frère Landry savourent amèrement leur liberté dans un monde qui ne leur offre aucun travail. Forcés de se cacher dans un domaine au coeur d'une forêt, ils finissent par être embauchés par le propriétaire, George Walker - un homme hanté par la mort au combat de son fils. Des liens de confiance se tissent peu à peu entre ces êtres tourmentés. Jusqu'au jour où un homme vient frapper à la porte des Walker et bouleverse ce fragile équilibre...

04/2024

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Littérature érotique et sentim

Douceur de la laine et douleur du fouet

Nicolas et la laine, c'est une longue histoire d'amour. De surcroît, obéir, vénérer les femmes et les déifier, c'est dans sa nature la plus profonde. A l'école, il fait connaissance de Catherine, qui va profondément le troubler. Et au moment de l'obtention de son baccalauréat, sa vie sexuelle et sentimentale va brusquement basculer vers un monde de volupté, de frustrations, de douceur et de douleur. Nicolas va ensuite devenir l'esclave de Catherine, puis s'enfuir. Leurs routes vont se recroiser à plusieurs reprises, pour qu'il finisse par se retrouver dans ses griffes gantées d'angora. Et tout ceci, pour le meilleur et pour le pire.

12/2021

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Littérature française (poches)

La douceur de l'exil

En 1862, sur le bateau que son père fait caboter à l'embouchure du Mississippi, Kate a rencontré celui qu'elle croit être l'homme de sa vie. Il s'appelle Andrew Oliver, c'est un jeune armateur anglais dévoué à la cause sudiste. Mais la passion de la jeune fille n'est pas partagée et Andrew s'éloigne à la première occasion. C'est compter sans l'obstination et l'intrépidité de Kate, qui, à la mort de son père, s'embarque pour l'Angleterre à la recherche de son bel amour perdu. Voyage riche en imprévu, puisqu'il déclenchera une violente rivalité entre Andrew et son père, Adam Gaunt... Une nouvelle fois, l'auteur de Par vents et marées fait se déchaîner les passions au cœur des forces de la nature, dans un style romanesque d'une sensibilité frémissante.

05/1995

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Littérature française

La douceur

A la 23e World Rose Convention, en Australie, le narrateur, journaliste français dans un magazine d'art de vivre, et Barbara, reporter allemande du Die Berliner, vont éprouver la même fascination pour la présidente de l'événement, May de Caux. Cette Française au charme insolite cache une part d'ombre qu'ils vont bientôt découvrir : le passé douloureux qui la hante. De leur complicité grandissante va naître le projet d'un livre. Reste à vaincre les réticences de May, ancienne résistante et déportée. Pour Barbara, jeune femme d'une autre génération, pour l'indispensable transmission, elle va consentir à raconter : Ravensbrück à dix-huit ans, la souffrance, les amitiés, les petites joies et les grandes difficultés. Et l'après, le corps qui a perdu la mémoire de la tendresse, malgré l'attention de son mari, Paul. La vie de femme bouleversée. " Je sais que Paul devine les ombres qui ne me quittent pas, sur lesquelles personne n'a de prise. Notre harmonie n'est pas complète. Une partie de moi se refuse. Je lui donne la plus belle, la plus aimable. Il connaît le combat que je mène depuis vingt-cinq ans contre les fantômes. " Et puis, il y a le souvenir de cette rose cueillie à Ravensbrück, improbable éclat coloré dans le gris funeste, la beauté dans la monstruosité à l'origine de sa renaissance. May est passée de l'horreur à la délicatesse des fleurs, et à l'amour. Le livre s'appellera La Douceur.

01/2023

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Littérature française (poches)

La douceur

Steven a onze ans lorsqu'il se laisse entraîner par Jérémy à commettre un crime barbare. Des années plus tard, il raconte. Ou tente de raconter. Son grand frère et la directrice du centre de vacances où le crime a eu lieu essaient eux aussi de comprendre ou d'oublier. Malgré l'horreur, ils cherchent un sens à leur vie. Mais tous se heurtent à la même impossibilité : celle de dire à la fois l'amour et l'abjection. Cet admirable roman est comme une série d'éclairs. Sa clarté aveuglante révèle ce que chacun de nous cherche à oublier...

08/2005

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Aventure

La douceur de l'enfer Intégrale

Lorsqu'il décolle pour la Corée afin d'honorer la mémoire d'un grand-père mort au cours de la guerre et le dernier voeu d'une grand-mère qui n'a jamais cessé de l'attendre, Billy Summer est un homme très seul. Seul avec ses secrets, ses doutes, et ses fantômes. Mais les choses simples le sont rarement. Au cours de ce voyage sur les chemins de la mémoire, le jeune homme apprendra que, parfois, il faut renoncer à toutes ses attaches pour comprendre ce qui nous lie vraiment à ce monde.

11/2021

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Littérature étrangère

La douceur de vivre

Emmanuel de Coulanges, cousin de Mme de Sévigné, dont sa femme disait : "C'est toujours son plaisir qui le gouverne et il est heureux : en faut-il davantage ? " ; David Hume, trouvant dans le détachement la valeur cardinale de son existence ; le président de Brosses, tout à la joie d'arracher à Voltaire le prix de quatorze moules de bois ; l'abbé Morellet passant la moitié de sa vie dans un "curieux ménage" avec Mme Helvétius ; Edward Gibbon, être extraordinairement sphérique, auquel tout semble acquis d'avance ; James Boswell, fainéant, snob et amateur de boisson, que rien ne peut inhiber ; Horace Walpole, vieux garçon accompli, en qui le XVIII ? siècle atteint un incomparable degré de raffinement ; Mme de Lieven, expression anachronique du même art de vivre, qui trouve une reconnaissance inattendue auprès de M. Guizot... Huit personnages de ce XVIII ? siècle qui fut l'un des lieux privilégiés de Lytton Strachey ; huit échos de cette douceur de vivre qui, selon un mot célèbre de Talleyrand, ne s'incarna dans l'Ancien Régime que pour disparaître avec lui.

12/1992

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Littérature française

Capitale de la douceur

La capitale de la douceur existe. C'est une petite île de la Méditerranée où l'on peut vivre nu. Quelque chose de notre rapport au monde, de notre vulnérabilité et de notre grandeur se joue sur cette portion de terre. Sophie Fontanel a écrit le roman d'une révolution par la douceur, dont nous avons infiniment besoin. En vers. C'est un endroit que l'on peut situer précisément sur une carte. Une île, peut-être un peu moins connue que ses voisines de Port-Cros et Porquerolles, portant le beau nom de Levant. C'est un endroit où l'on peut vivre nu, mais seulement sur 5% du sol, les 95% restants étant occupés par l'armée... Quand elle débarque dans ce décor de rêve, l'héroïne de cette histoire ne peut imaginer qu'elle va y vivre une révélation. Celui qui l'a invitée l'accueille avec à peine un paréo, car ici la nudité est la norme. Elle comprend dès le lendemain, en retirant à son tour ses habits sur une plage, que lorsqu'on est nu, sans protection, désarmé, on est obligé de s'en remettre à la douceur du monde. Et que ce n'est qu'un début, car il reste encore beaucoup de couches à retirer, jusqu'au coeur, à la douceur absolue... Dans la chambre à l'hôtel, Capitale de la douleur, de Paul Eluard. Douceur, violence... Les deux se font face évidemment. Pourquoi la violence a-t-elle lieu ? Comment y répondre ? Rien qu'en se mettant nue, elle est confrontée à son histoire, traversée un jour par la plus grande violence. Dans sa chair. Et par l'histoire de sa famille, bouleversée par la guerre. De plus, c'est une petite île, mais elle contient le monde entier. D'autres, autour de notre héroïne, sont venus là pour réparer la violence qu'ils ont subie. Ou commise. Et à travers eux surgissent les événements et conflits qui agitent notre époque. Un être de plus en plus doux, dans un monde de plus en plus violent Même avant d'arriver ici je pensais c'est ce que je deviens

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Littérature française

Capitale de la douceur

La capitale de la douceur existe. C'est une petite île de la Méditerranée. A côté de ses voisines de Port-Cros et Porquerolles, l'île du Levant est un endroit où l'on peut vivre nu (grâce à un arrêté préfectoral). Mais seulement sur 5% du territoire, les 95% restants étant occupés par l'armée qui teste ici ses missiles... La douceur a-t-elle encore sa place dans notre monde ? Peut-elle résister à la violence qui nous entoure ? Dans ce décor prédestiné, où le hasard l'a menée, l'héroïne de ce roman ôte bien plus que ses vêtements, elle se met véritablement à nu. En sept jours, d'une rencontre à l'autre, elle va revivre les moments de son existence où s'est joué son rapport à la violence. Et comprendre que le pouvoir de la douceur est illimité.

02/2023

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Notions

Puissance de la douceur

La douceur est une énigme. Incluse dans un double mouvement d'accueil et de don, elle apparaît à la lisière des passages que naissance et mort signent. Parce qu'elle a ses degrés d'intensité, parce qu'elle a une force symbolique et un pouvoir de transformation sur les êtres et les choses, elle est une puissance. En écoutant ceux qui viennent me confier leur détresse, je l'ai entendue traverser chaque expérience vécue. En méditant son rapport au monde, il apparaît que son intelligence porte la vie, la sauve et l'accroît. Préface inédite de Catherine Malabou

05/2022

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Policiers

La douceur de la vie

A Furth, confins de l'Autriche, un vieillard est retrouvé le visage broyé. Un seul témoin : sa petite-fille, devenue mutique. Aidé du psychiatre Raffael Horn, le commissaire Louis Kovacs enquête dans le village : entre les animaux mutilés et les enfants maltraités, un psychotique se prend pour Dark Vador et le prêtre croit que Bob Dylan est Jésus réincarné... Furth la paisible cache-t-elle l'horreur au quotidien ?

05/2014

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Encyclopédies de poche

La force de la douceur

"Le pouvoir de la douceur insuffle de l'inspiration dans notre vie. Ces mots m'ont donné de la force tant dans ma lutte en faveur de la paix et contre la guerre que dans ma vie sentimentale. Ce recueil vous guidera vers les objectifs que vous souhaitez réellement atteindre."

09/2015

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Psychologie, psychanalyse

La douleur de l'enfant

Quand Aurélie arrive à l'hôpital avec son bras cassé, sa mère croit pouvoir faire confiance à l'institution. Elle a raison : la fracture d'Aurélie sera bientôt traitée. Mais elle a tort aussi : ce sera sans doute au prix d'une douleur très vive que l'on aurait pu éviter à sa fille. Et elle serait bien étonnée d'apprendre que soulager la douleur d'un enfant blessé, brûlé, opéré ou malade est rarement l'un des objectifs des médecins qui le soignent. Deux médecins, une psychiatre et un anesthésiste, racontent ici ce qui reste un scandale ignoré de notre monde occidental : le déni de la douleur de l'enfant. Ils affirment qu'on peut soulager beaucoup de douleurs, même chez le nouveau-né, et essaient de comprendre pourquoi on ne le fait pas. C'est un appel qu'ils lancent aux parents et aux soignants.

12/1993

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Actualité médiatique internati

L'empire de la douleur

Une enquête implacable sur une famille qui a bâti autour de la douleur un véritable empire ; le tableau saisissant de l'alliance mortifère du capitalisme le plus sauvage, d'un lobbyisme effréné et d'un système de santé en miettes. Longtemps, la famille Sackler a été saluée pour ses activités philanthropiques. Or ce mécénat colossal servait à masquer son rôle à la tête d'un empire pharmaceutique tentaculaire, responsable de l'un des plus gros scandales sanitaires de l'Histoire : la crise des opioïdes. Pour comprendre ce désastre, il faut remonter au début du xxe siècle, quand trois frères issus d'une famille juive désargentée de Brooklyn créent une agence de publicité qui va révolutionner le marketing lié à la santé. Leur premier exploit ? Rendre toute la génération d'après-guerre accro au Valium. Dans les années 1990, les Sackler vont encore plus loin. Surfant sur une nouvelle approche de la prise en charge de la douleur, ils mettent au point l'OxyContin, un " remède miracle " lancé à grand renfort de communication, qui va leur assurer des revenus exceptionnels. Jusqu'à ce que la vérité éclate : addiction, surdosage, trafic, et une vague d'overdoses sans précédent... Comment, en dépit des alertes répétées des médecins, les Sackler ont-ils pu nier la dangerosité de leur produit ? Comment ont-ils réussi à passer entre les gouttes judiciaires pendant toutes ces années ?

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Littérature française

Angevine, la douceur ?

Angevine, la douceur ? Ces trois mots, chute d'un poème de Joachim du Bellay au XVIe siècle, n'ont en réalité été remis en usage qu'en 1840, quand le poème, symbole de la nostalgie de son pays natal, devient plus populaire que certains textes de Victor Hugo. Trois mots : une brièveté qui ouvre la porte à toutes les interprétations. De quoi parle-t-on ? Du "sol, du climat, de la race" , comme le disait Michelet. Ni proverbe, ni dicton, la douceur angevine est une expression qui s'est imposée, comme peut l'être l'avarice auvergnate, la réponse de Normand, la galéjade marseillaise, etc. Doit-on la rapprocher de ces identités provinciales qui ont été créées au XIXe siècle par les voyageurs, les géographes... Trois mots qui contrastent avec le nombre et la longueur des discours sur les provinces. La douceur angevine ne serait-elle pas alors le moyen de maintenir le souvenir d'une province qui n'a pas, comme sa voisine bretonne par exemple, inventé au XIXe siècle une personnalité clairement identifiable ?

06/2022

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Littérature française (poches)

Vers la douceur

" À trente-cinq ans il fut temps que je sois un homme. Les hommes avaient des voitures, ils y transportaient des gens et des choses pour vivre. Les hommes avaient des enfants qui s'appelaient Léo. Une fois j'en avais entendu un demander comment volent les avions, le père avait dit avec des ailes. L'enfant s'en était contenté, le père n'avait pas besoin d'en dire plus pour asseoir sa légitimité, c'était un homme. " Ce roman à épisodes brouille les pistes de l'existence de Jules, amateur de conquêtes improbables et célibataire intermittent. De malentendus jouissifs en gags à répétition, l'auteur tient la chronique de ses aventures et fiascos parmi une dizaine de trentenaires des deux sexes. À moins que ce jeu de rôles n'implose pour s'ouvrir à une fantaisie sentimentale, assumée dans toute sa douceur.

10/2010

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Littérature française (poches)

La Douceur assassine

Paulin rencontre Armand dans le bus. Il est prof de philo à la retraite, elle est vendeuse. Cinquante ans les séparent, mais c'est la même solitude . Entre eux va se nouer une relation inédite où n'entreront ni le sexe, ni la simple amitié, ni la relation du maître à l'élève. Et pourtant, chacun va bouleverser la vie de l'autre, lui donnant la joie de revivre et faisant naître une révolte jubilatoire contre les préjugés d'une société où l'on n'a plus le droit d'être vieux, ni les moyens d'être jeune. Mais quel est le prix à payer pour cet instant de douceur ?

05/2008

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Littérature française

La douceur des idiots

« Déchirant l'enveloppe, je l'ouvrai fébrilement pour en extraire une vue du port de la capitale du Sud-Viêt-Nam, prise de la terrasse de l'hôtel Majestic. [...] Vincent, de sa grande écriture caractéristique, me disait ceci : "Je suis à Saigon, ça chie drôlement par ici. On dit que la fin de la guerre est pour bientôt. Viens me rejoindre. Les filles sont belles." C'était donc cela, il avait trouvé sa troisième voie à lui. Rester au labo photo ? Repartir dans des études ? Médecine ou pharmacie ? Il avait réglé le problème par un départ lointain. Ce qui m'inquiétait c'est que ça bardait drôlement au Viêt-Nam et pas seulement en ce moment. Ça faisait des années que ça durait et les Américains n'arrivaient pas à se sortir du bourbier dans lequel ils s'étaient mis. Mais lui, Vincent, qu'était-il allé faire dans cette galère ? Ce n'était pas sa guerre. » Lunaire, quasi éthéré, toujours-déjà absent, Vincent est tout autant le sujet que le dédicataire de ce roman qui tente de redonner corps au disparu... À un être qui, même là, paraissait sur la tangente. Récit des mouvements d'une amitié – qui se renforce et s'étiole, se cultive et se distend –, « La Douceur des idiots », où résonne parfois la voix de l'ami perdu, où s'entrelacent peinture, photographie et botanique, met en lumière, sans jamais totalement les résoudre, les mystères d'une âme insaisissable.

09/2014

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Littérature française (poches)

La Douceur des hommes

Toute ma vie, j'ai aimé, bu, mangé, fumé, ri, dormi, lu. De l'avoir si bien fait, on m'a blâmée de l'avoir trop fait. Je me suis bagarrée avec les hommes pendant plus de soixante ans. Je les ai aimés, épousés, maudits, délaissés. Je les ai adorés et détestés, mais jamais je n'ai pu m'en passer... La chaleur des hommes, qui m'a si bien enveloppée, ne fait que me rendre plus odieux ce grand froid qui avance. Il n'y a pas de bras assez puissants pour m'en préserver, dans la nuit qui vient. S. G.

02/2007

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Littérature française

Le continent de la douceur

L'Europe est un continent disparu, le rêve d'un autre temps, le rêve d'un autre monde. Anomalie géographique perdue dans la grande mer gelée des Alpes, la principauté fantastique du Karst semble scellée pour toujours, et avec elle la mémoire des anciens empires. Mais depuis New York, où s'est réfugiée une diaspora karste, plusieurs personnages ambigus tentent d'en restaurer la splendeur. Une banquière ambitieuse, un écrivain maudit et un philosophe enquêtent sur un mathématicien à l'enseignement révolutionnaire et sur un calculateur énigmatique qui aurait traversé le siècle, des camps de la mort à la Russie soviétique en passant par un mystérieux programme spatial yougoslave. Le Karst défie l'histoire pendant qu'un jeune homme, Flavio, s'éveille lentement aux mythes de la construction européenne. Et si l'Atlantide tant recherchée était dans cette construction inachevée : la forme toujours recommencée du continent de la douceur ?

08/2019

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Littérature française

La douceur de l'anisette. Chroniques de jeunesse

C'est au temps de la Toussaint rouge et bien après la défaite des Républicains espagnols que se situe l'intrigue de ce livre. L'héroïne, une adolescente qui a suivi ses parents dans leur exil vers l'Algérie, raconte les péripéties qui ont jalonné sa vie, et celle de sa famille, durant les années cinquante. Voguant entre exaltations de la jeunesse et découvertes multiples, elle nous entraîne dans un Alger illuminé de mille soleils qui, pourtant, n'éteignent pas l'écho des drames à venir. Cette tranche de vie et d'Histoire, qui va de 1956 à 1962, mêlée aux évènements décisifs et sanglants qui secouent le pays, nous est relatée par l'adolescente dans un récit drôle et poignant à la fois, servi par une écriture passionnée qui éclaire aussi bien la chute et la désespérance d'un peuple que l'émergence et les espoirs impatients de l'autre. "L'après-midi, je me réfugiais sous la tonnelle sur une chaise en fer ouvragé posée devant une table ronde aux pieds en esses. Tout était peint en vert et s'harmonisait étrangement avec la pâleur violacée des grappes de glycine qui croulaient de tous côtés quand elles fleurissaient. Ma mère s'inquiétait des abeilles par l'odeur alléchées mais mon père la rassurait. Et moi je m'immergeais sous la fraîcheur capiteuse de cet abri qui me paraissait idéal pour la lecture et la méditation. Je devenais une sève palpitante dans les lourdes senteurs vespérales. " Le livre "La Petite Fille sous le platane" publié par Chèvre-feuille étoilée en 2015 est le premier volet de cette saga autobiographique.

11/2020

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Littérature française

Douceur de sagesse

A travers des textes mélodieux qui offrent un ensemble cohérent et harmonieux, Adrien Baillayre aborde des questions très actuelles et donne sa version du monde. Mêlant pensées et réflexions, à la fois empreintes de naïveté et de maturité, elles sont avant tout révoltantes, tout comme cet adolescent de 16 ans qu'est Adrien ! Face à la bêtise humaine, il s'arme de sa hargne et pousse un cri, un cri d'espoir et de rébellion : simplicité.

04/2021

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Autres maux

Dénouer l'écharpe de la douleur

Comment vivre avec la douleur chronique, cette compagne si particulière ? Loin du pathos, ce récit ouvre des portes qui vont vers la lumière, vers la vie, dénouant ainsi au fil du temps l'écharpe qui enserrait le cou, devenue accessoire, légère. L'expérience de Marie Robin-Bourdon l'a menée à témoigner dans différents endroits. En effet elle est patient référent spécialiste auprès de la Fondation EnableMe en Suisse, du centre de cure de Challes-les-Eaux, ainsi que dans certains centres de formation en France.

07/2021

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Littérature française

L'exquise doulceur de la médiocrité

Ce roman riche de sens met en scène deux principaux personnages, le "héros" , un éminent médecin psychiatre, et son ami et didacticien, également psychiatre, auquel il se confie et expose également les cas de patients plus ou moins monstrueux qui lui sont envoyés en consultation. Ce didacticien qui, lui aussi, connaît quelques tourments dans sa vie personnelle, est en quelque sorte le narrateur de cette comédie humaine riche en personnages hauts en couleurs. Si elle se déroule en Suisse, qui leur offre ses décors naturels sublimes, la France est elle aussi souvent évoquée. Roman, certes, mais qui flirte habilement avec l'essai car, au travers des pulsions, des parcours et des actions des uns et des autres, c'est notre société actuelle, qualifiée de "post-moderne" , qui est ainsi passée au crible. Et le constat est loin d'être réjouissant. Mais ces réflexions trouveront certainement écho chez un grand nombre de lecteurs, emportés par ailleurs par le déroulement de ces histoires profondément humaines où tragédie, plaisir de vivre et humour ont leur place.

06/2020

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Généralités médicales

De la douleur à l'éthique

De tous les progrès récents de la biologie, ceux qui concernent le cerveau de l'homme comptent parmi les plus fascinants car il en dépend maintes attitudes philosophiques, éthiques et psychologiques. Ce livre s'adresse aux étudiants comme à tous ceux qui aspirent à connaître la véritable portée des progrès neuroscientifiques. La signification du libre arbitre a-t-elle évolué depuis qu'il est établi que l'activité mentale procède à la fois de l'hérédité et de l'apprentissage ? La douleur doit-elle être considérée comme une réaction de défense ou comme une sensation influencée par la culture ? La découverte de l'activité synthétique cérébrale en manière de réception sensorielle représente-t-elle un argument pour proclamer que la perception sensorielle diffère d'un individu à l'autre ? L'éthique en général, l'éthique médicale en particulier, n'échappent pas au débat philosophique qui cherche à reconnaître la part des mécanismes naturels et culturels. Cette " avant-médecine du cerveau " peut être considérée comme un complément des "Leçons sur la vie, la mort et la maladie" (Hachette, Littératures, 1998).

07/1998

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Littérature érotique et sentim

Péché mignon Tome 3 : La douceur de ta peau

Totalement libérée et un brin débridée, Brooke enchaîne les relations d'un soir. Lorsqu'elle rencontre Mason, qui vient d'ouvrir un studio de yoga en face de sa pâtisserie, elle tombe aussitôt sous son charme et se donne pour objectif de le mettre dans son lit. Or, Mason a une tout autre vision des choses, refusant les histoires sans lendemain. Et le bel apollon se montre ferme : si Brooke veut coucher avec lui, elle doit apprendre à le connaître. Vexée par tant de résistance, Brooke pense laisser tomber, quand Mason la retient grâce à de petits jeux illicites...

03/2019

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Littérature française (poches)

La douleur

J'ai retrouvé ce journal dans deux cahiers des armoires bleues de Neauphle-le-Château. Je n'ai aucun souvenir de l'avoir écrit. Je sais que je l'ai fait, que c'est moi qui l'ai écrit, je reconnais mon écriture et le détail de ce que je raconte, je revois l'endroit, la gare d'Orsay, les trajets, mais je ne me vois pas écrivant ce Journal. Quand l'aurais-je écrit, en quelle année, à quelles heures du jour, dans quelle maison? je ne sais plus rien. Ce qui est sûr, évident, c'est que ce texte-là, il ne me semble pas pensable de l'avoir écrit pendant l'attente de Robert L. Comment ai-je pu écrire cette chose que je ne sais pas encore nommer et qui m'épouvante quand je la relis. Comment ai-je pu de même abandonner ce texte pendant des années dans cette maison de campagne régulièrement inondée en hiver. La douleur est une des choses les plus importantes de ma vie. Le mot "écrit" ne conviendrait pas. Je me suis trouvée devant des pages régulièrement pleines d'une petite écriture extraordinairement régulière et calme. Je me suis trouvée devant un désordre phénoménal de la pensée et du sentiment auquel je n'ai pas osé toucher et au regard de quoi la littérature m'a fait honte.

06/2007

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Littérature française (poches)

La douleur

Le scandale que causa La Douleur, lors de sa parution, n'est pas sans rappeler celui qu'avait provoqué auparavant Le Diable au corps de Raymond Radiguet. Les deux romans ont un point commun : La Douleur aussi est une histoire de guerre et d'adultère. Circonstance aggravante, c'est d'un prisonnier allemand que s'éprend Mme Delombre, veuve d'un officier français tué au front... Si l'anecdote a perdu le pouvoir de choquer qu'elle avait sur les lecteurs de 1930, la description d'une obsession charnelle qui parle plus fort que les sentiments sous lesquels elle tente de se dissimuler garde au livre toute sa puissance. La douleur évoquée par le titre n'est pas une douleur morale, c'est celle qu'entraînent les pulsions inavouables et les fantasmes combattus.

04/2011

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Histoire de la philosophie

La Douleur

"Les réflexions que renferme ce livre voudraient s'offrir, non pas aux saints, qui ont Dieu tout près de leur coeur, mais aux âmes moins favorisées qui le cherchent encore, ou qui, par moments, croient le voir disparaître derrière les infortunes et les afflictions de la vie. Les coeurs que la Foi emporte sur ses ailes n'ont besoin d'aucun autre secours ; mais ceux qui ne sont soutenus que par leur propre vol, à tout instant se heurtent à une voûte obscure, et de là tombent dans la nuit." "Du haut des clartés supérieures, les saints ont révélé le côté divin de la douleur. Il est peut-être utile aujourd'hui de la justifier, d'en montrer tous les avantages à notre esprit, présentement moins noble et plus attaché à lui-même. "Les causes d'affliction se multiplient de nos jours, pendant que les organes débilités et les odeurs, sans doute plus faibles, nous trouvent moins disposés à prendre un parti héroïque. En général, les âmes avaient autrefois plus de force ; et quant à celles qu'enivrait l'impression du beau, on ne les voyait point s'évaporer dans une vaine littérature ou dans de vains soupirs, comme le font à cette heure tant d'écrivains, d'artistes et de rêveurs."

01/2024