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La symphonie pastorale d'André Gide

Extraits

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Critique littéraire

La symphonie pastorale d'André Gide

UN ESSAI. Etude approfondie d'un grand texte classique ou contemporain par un spécialiste de l'oeuvre: approche critique originale des multiples facettes du texte dans une présentation claire et rigoureuse. UN DOSSIER. Bibliographie, chronologie, variantes, témoignages, extraits de presse. Eclaircissements historiques et contextuels, commentaires critiques récents. UNE ICONOGRAPHIE. Des illustrations nombreuses et variées proposent une interprétation visuelle originale. Un ouvrage efficace, élégant. Une nouvelle manière de lire.

01/1991

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Littérature française

La Symphonie pastorale. Un roman d'André Gide

Ue pasteur recueille une jeune orpheline d'environ quinze ans, aveugle et, semble-t-il, totalement dépourvue d'intelligence. Il se consacre à l'éducation de l'enfant, dont il note les progrès dans son journal. Il lui apprend la beauté du monde dont la Symphonie pastorale de Beethoven, écoutée avec la jeune fille lors d'un concert, lui fournit la métaphore. Grâce aux soins attentifs du pasteur qui, se justifiant par la parabole de la brebis égarée, lui consacre plus de temps et d'attention qu'à ses propres enfants, l'aveugle, nommée désormais Gertrude, fait de rapides et spectaculaires progrès...

01/2023

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Littérature française

La Symphonie pastorale

"Combien heureux les hommes, s'ils pouvaient ignorer le mal ! "Un pasteur du Jura suisse relate dans son journal intime sa rencontre inattendue avec Gertrude, une jeune fille aveugle laissée orpheline. Après l'avoir recueillie, il l'éduque dans la religion protestante en se donnant pour but de préserver à tout prix son innocence. Sauvage au premier abord, Gertrude se révèle pure et sensible : le pasteur en tombe amoureux, tout comme son fils... La Symphonie pastorale (1919) est autant le récit d'une éducation impossible que du déni d'un homme face à ses pulsions intimes. Dans cette variation ironique sur le mythe de l'enfant sauvage, Gide donne à voir, non sans cruauté, toute l'ambiguïté morale qui se loge dans les bonnes intentions.

03/2023

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Littérature française

La symphonie pastorale. Grands caractères

A la fin du XIXème siècle, dans le Jura Suisse, un pasteur marié recueille une orpheline dont la seule famille vient de mourir. Dès que celle-ci passe le seuil de sa maison, il s'attire la déception et la tristesse de sa femme. Grâce aux bons soins du pasteur, à son attention permanente, la jeune sauvage et muette devient une jeune femme vertueuse, élevée dans la foi protestante. Il en tombe amoureux, s'attirant les reproches de sa femme. Puis plus tard celles de son fils Jacques, quand il s'avère que celui-ci aussi tombe amoureux de la jeune fille. Quand Gertrude retrouve la vue après une opération, elle prend conscience que ce n'est pas le vieux pasteur ridé qu'elle aimait, mais son jeune et beau fils Jacques. Tourmentée, elle tente de se noyer et meurt quelques jours plus tard. Roman court écrit par André Gide entre février et novembre 1918 puis publié en 1919, La Symphonie Pastorale traite du conflit entre la morale religieuse et les sentiments. Une édition en grands caractères pour une lecture plus facile.

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Littérature française

La symphonie pastorale [EDITION EN GROS CARACTERES

Ce grand roman d'André Gide traite du conflit entre morale religieuse et force des sentiments. Fin du XIXe siècle, Gertrude, jeune orpheline aveugle vit dans un total dénuement. Livrée à elle-même, sans soins ni éducation, elle est recueillie à la mort de sa grand-mère par un pasteur et sa femme, en Suisse, où elle vit avec leurs cinq enfants. Grâce à son nouvel environnement, Gertrude s'ouvre à la vie et prend même goût à l'étude. Mais peu à peu, le pasteur et son fils Jacques tombent tous deux amoureux de la jeune femme...

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Littérature francophone

André Gide

" Le premier ouvrage de M. André Gide, les Cahiers d'André Walter , parut en 1891, sans nom d'auteur, à la librairie de l'Art indépendant. L'édition est depuis longtemps épuisée : le volume n'a jamais été réimprimé. La littérature de M. André Gide est éminemment ésotérique et cénaculaire. Cet écrivain semble mettre autant de soins à fuir la publicité que d'autres à la rechercher : il écrit, dirait-on, pour lui-même, ou tout au plus, comme Stendhal, pour cent lecteurs. L'art ne lui apparaît pas comme une fin, ni son oeuvre comme un être qui, une fois détaché de lui, doive avoir une vie propre, durer et se perpétuer. Il ne considère point les choses littéraires sub specieaeternitatis . C'est un esprit foncière- ment subjectif. Ses livres ne sont que des confidences, où il a exprimé par une sorte de besoin personnel un moment de sa pensée, et qui par la suite ne lui paraissent pas plus importantes que les paperasses jaunies ou les fleurs fanées. Peut-être, certains soirs d'hiver, remue-t-il au coin du feu ces vieux souvenirs et ces archives intimes, mais il se persuade avec une sorte de pudeur maladive qu'il doit dérober au public les traces de son passé".

05/2023

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Critique littéraire

La jeunesse d'André Gide

Gide disait de La Bruyère : "Il peint les hommes tels qu'ils sont, mais ne dit pas comment ils le deviennent. Or c'est cela l'important." L'auteur de La jeunesse d'André Gide a précisément entrepris ce qu'il conviendrait d'appeler une psycho-biographie. Son livre est d'abord une histoire reconstituée avec rigueur. Cette reconstitution a été rendue possible grâce à de nombreux documents inédits, en particulier la correspondance d'André Gide avec sa mère. Mais il est surtout une analyse des problèmes qui se sont posés aux divers âges du développement. L'ensemble apporte une contribution importante à la connaissance de Gide, à la genèse de ses moeurs et de sa morale, de son caractère et de sa personnalité. L'ouvrage comprend deux tomes. Le premier, André Gide avant André Walter (1869-1890), étudie les années de formation jusqu'aux Cahiers d'André Walter, le second, D'André Walter à André Gide (1890-1895), les années de crise qui ont donné à la personnalité sa forme adulte. Cette minutieuse et vaste enquête permet de suivre, de l'enfance à la maturation, les cheminements de la vocation d'un grand écrivain.

07/1992

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Critique littéraire

La jeunese d'André Gide. Tome 1, André Gide avant André Walter 1869-1890

Gide disait de La Bruyère : "Il peint les hommes tels qu'ils sont, mais ne dit pas comment ils le deviennent. Or c'est cela l'important." L'auteur de La jeunesse d'André Gide a précisément entrepris ce qu'il conviendrait d'appeler une psycho-biographie. Son livre est d'abord une histoire reconstituée avec rigueur. Cette reconstitution a été rendue possible grâce à de nombreux documents inédits, en particulier la correspondance d'André Gide avec sa mère. Mais il est surtout une analyse des problèmes qui se sont posés aux divers âges du développement. L'ensemble apporte une contribution importante à la connaissance de Gide, à la genèse de ses moeurs et de sa morale, de son caractère et de sa personnalité. L'ouvrage comprend deux tomes. Le premier, André Gide avant André Walter (1869-1890), étudie les années de formation jusqu'aux Cahiers d'André Walter, le second, D'André Walter à André Gide (1890-1895), les années de crise qui ont donné à la personnalité sa forme adulte. Cette minutieuse et vaste enquête permet de suivre, de l'enfance à la maturation, les cheminements de la vocation d'un grand écrivain.

06/1992

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Critique littéraire

Avec André Gide

" J'avais eu l'outrecuidance, alors que j'étais encore lycéen, de solliciter les conseils de quelques écrivains illustres. André Gide était l'un d'entre eux ; il accepta de me recevoir. De cette première rencontre - et il y en eut beaucoup d'autres - naquit une amitié. Je pris donc l'habitude, pendant plusieurs années, de me rendre rue Vaneau, et d'y découvrir le grand homme dans son intimité. C'est là que je mesurai la générosité d'un être déjà masqué par sa légende, et qui me fit jusqu'à sa mort le don de ses confidences. Une correspondance s'ensuivit. Je la reproduirai ici. On s'avisera qu'elle révèle un Gide fort différent du maître-à-vivre que d'aucuns se plaisent parfois à dénigrer. De cette époque, de cette proximité, je conserve un souvenir précieux dont ce livre, a sa façon, porte témoignage. " R.K.

01/2000

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Critique littéraire

André Gide, l'Européen. Avec un texte inédit d'André Gide

Ce volume, issu du colloque qui a eu lieu du 16 au 18 mars 2016 à l'université de Haute-Alsace, réuni dix-sept contributions et un texte inédit d'André Gide. Il explore la pensée européiste de l'écrivain, son enracinement dans l'espace culturel européen et la réception de son oeuvre en Europe.

02/2019

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Biographies

André Gide. La biographie autorisée

Paul Souday (1869-1929) était un critique littéraire redouté de son temps. Il est l'auteur d'une biographie de Marcel Proust, dont il a reconnu très tôt le talent et une de Paul Valéry. Roger Martin du Gard lui doit aussi le lancement de son premier roman d'importance. Cette biographie autorisée d'André Gide, parue du vivant de l'écrivain en 1927, alors que Gide ne recevra le Prix Nobel de littérature que vingt ans plus tard, en 1947 témoigne de l'importance de Gide dans l'Entre-deux-guerres. Souday dépeint l'écrivain tel que le perçoivent les intellectuels d'alors. C'est une clef pour comprendre l'oeuvre de Gide et sa réception.

01/2022

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Critique littéraire

L'univers d'André Gide

Lauréat du prix Nobel de littérature en 1947, l'écrivain André Gide (1869-1951) fut, on le sait, le "contemporain capital". Intellectuel engagé, figure majeure de l'édition française, voyageur invétéré, mais aussi père et ami, Gide tint de nombreux rôles, et son univers — sa constellation — est un vivier de personnes, de lieux, de passions, d'événements, de livres bien sûr. Publié à l'occasion des 150 ans de sa naissance, cet album réunit une vaste sélection d'environ deux cent cinquante documents, en grande partie inédits, qui permettront de découvrir, d'explorer ou de revisiter la vie et l'oeuvre de cet immense auteur, si intimement mêlées.

11/2019

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Critique littéraire

Cahiers André Gide. Volume 2, Correspondance André Gide - François Mauriac

Soixante-trois lettres, de 1912 à 1951, accompagnées de nombreux documents, textes rares et inconnus, font de ce livre le dossier complet des relations entre Gide et Mauriac. On retrouve dans cette correspondance la vivacité, la causticité de Mauriac et l'expression de son inquiétude spirituelle, aussi bien que, du côté de Gide, sa prodigieuse faculté de sympathie, son exigence et sa clairvoyance critique.

04/1971

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Critique littéraire

Cahiers André Gide. Volume 15, André Gide et le théâtre

André Gide, homme de théâtre ? Sans doute pas. Et pourtant le théâtre est resté pour lui une tentation ; à travers des expériences variées, il n'a cessé de l'intéresser. Il y avait là une facette inexplorée de cet écrivain-Protée, une facette trop méconnue - peut-être injustement -, d'une oeuvre pourtant amplement étudiée. Un bilan exhaustif de ses activités, liées de près ou de loin au théâtre, met en évidence au sein de sa carrière littéraire une véritable carrière dramatique. Ses idées sur le théâtre font apparaître une conception exigeante. S'il accorde toute son attention aux qualités du texte dramatique, il a exprimé en revanche beaucoup de réticences à l'égard des exigences de la représentation théâtrale, réticences qui expliquent ses contacts difficiles avec les metteurs en scène qu'il a côtoyés et qui illustrent les partis pris de toute une génération d'écrivains. Bien que Gide ne soit pas un théoricien de l'art dramatique, ses idées aident à comprendre ses propres oeuvres dramatiques qui, par-delà la diversité de leurs formes, se caractérisent par une formule originale. Elles représentent, comme ses récits, une expérimentation des possibles, une expérience vécue par procuration ; on y retrouve les mêmes préoccupations, qu'elles soient d'ordre moral, religieux ou politique. Mais l'objectivation propre au genre dramatique et l'incarnation de ces préoccupations dans des figures antiques ou bibliques les détachent de l'auteur qui ne peut cependant s'empêcher de manifester indirectement sa présence par le biais de l'ironie.

11/1992

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Critique littéraire

André Gide, le messager

Peu d'écrivains ont eu en ce siècle l'influence d'André Gide. Au-delà des idéologies, des systèmes intellectuels, des constructions et des opinions politiques, des croyances religieuses, choses périlleuses et périssables, il a mené ses combats et gagné ses batailles sur un seul terrain : la littérature. Elle a toujours été pour lui la manifestation vivante des efforts des hommes pour devenir enfin l'Homme - qu'il confondait volontiers avec Dieu. Ainsi est née par la seule grâce de l'écriture, des Caves du Vatican à Si le grain ne meurt, une relation de fascination pure entre cet être singulier, cet artiste et une foule passionnée. Dénouer l'énigme de cette fascination, comprendre comment une œuvre, une création artistique parviennent à exercer un pouvoir d'exaltation et de libération sur des générations successives de jeunes filles et de jeunes garçons, tel est le propos de cette biographie consacrée à l'auteur des Nourritures terrestres. Année après année, de 1869 à 1951, Pierre Lepape a suivi la genèse et l'itinéraire de cet écrivain d'exception. Il a ausculté l'univers gidien, interrogé ses écrits, sa correspondance. Au terme de cette brillante et minutieuse étude émerge la figure d'un homme qui, né dans une austère famille protestante, n'a eu d'autre objectif durant sa longue vie que d'être à sa manière, tout en contradiction, en hésitation, en introspection, en sincérité et courage, un messager du bonheur.

01/2001

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Biographies

Mon ami André Gide

Dans cet ouvrage, le regard que Jef Last porte sur André Gide, empreint d'une affection indéfectible, est également celui d'un analyste acéré qui apporte dans son récit des éclairages inédits et indispensable à la connaissance de Gide.

02/2021

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Critique

André Gide, aujourd'hui

De la bande dessinée à la musique, du théâtre à la photographie, sans oublier la botanique et la gastronomie, les deux cycles de rencontres "Gide Remix" (Mulhouse, 2018-2020) nous ont permis de découvrir les écrits du Prix Nobel sous un autre jour, à la croisée de la littérature, de l'art et des sciences. Au moment où son Åuvre entre dans le domaine public, le présent volume rend compte de cette réflexion collective, menée par des créateurs, des spécialistes et jeunes chercheurs de différentes disciplines. "âJe n'écris que pour être reluâ" , tel est le vÅu exprimé par Gide dans son Journal des Faux-monnayeurs. Pour relever le défi, voici un recueil composé de textes, entretiens, photos d'archives et images inédites, représentatif d'une Åuvre qui continue à nous interpeller et à inspirer de nouvelles formes de création à partir d'elle.

01/2023

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Critique littéraire

Les faux-monnayeurs d'André Gide

Un essai Etude approfondie d'un grand texte classique ou contemporain par un spécialiste de l'oeuvre : approche critique originale des multiples facettes du texte dans une présentation claire et rigoureuse. Un dossier Bibliographie, chronologie, variantes, témoignages, extraits de presse. Eclaircissements historiques et contextuels, commentaires critiques récents. Une iconographie Des illustrations nombreuses et variées proposent une interprétation visuelle originale.

04/1991

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Littérature française

Paludes. Un roman d'André Gide

Le narrateur reçoit la visite de son ami Hubert et lui annonce qu'il écrit un livre intitulé Paludes. L'ouvrage s'inspire de deux vers de Virgile à propos de Tityre, le célèbre berger des Bucoliques : celuici, bien que possédant un champ "plein de pierres et de marécages" , est heureux de son sort. Le narrateur expose ensuite son projet à Angèle, avec laquelle il entretient une morne relation vaguement amoureuse. Il note diverses remarques sur Richard qui, satisfait de la médiocrité de son existence besogneuse, rappelle Tityre. La vie du narrateur est grise, elle aussi. Une exaspérante monotonie préside à tous les maigres événements de ses journées oisives. Ses relations avec les littérateurs qu'il fréquente, aussi bien qu'avec ses amis Hubert et Angèle, sont moroses...

01/2023

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Littérature française

Isabelle. Un roman d'André Gide

Gérard Lacase arrive au château de la Quartfourche, en Normandie, pour en consulter la bibliothèque dans le cadre de recherches pour une thèse en histoire. Il n'en a pas plus tôt franchi le seuil que l'étrange atmosphère de cette demeure le sollicite à la plus romanesque aventure. Il s'éprend d'un portrait. En vain ses hôtes, M. et Mme Floche, M. et Mme de SaintAuréol s'efforcentils à tenir secrète une existence qui les déshonore. Celle que Gérard aime d'une curiosité irritée, c'est précisément leur nièce, leur fille, Isabelle de SaintAuréol, la mère coupable de Casimir de SaintAuréol, ce petit infirme dont les ébats maladroits et la prompte amitié ont seuls souri à Gérard, dans ce sombre château...

02/2023

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Critique littéraire

Cahiers André Gide. Volume 14, Correspondance André Gide - Valery Larbaud (1905-1938)

A vingt-quatre ans, Valery Larbaud envoie à son aîné un poème. Bientôt, ils vont se rencontrer. Gide sera le premier, avec Claudel, à reconnaître l'importance de Larbaud. Ils vont voyager ensemble en Angleterre pour voir Joseph Conrad. Ils vont aussi à Florence. Gide rêve de s'installer à Rome avec son ami : "Le voisinage (oui, je dis voisinage plutôt que compagnie) d'un travailleur peut m'exalter autant que celle d'un flemmard peut me distraire". L'amitié et la confiance deviennent telles que Larbaud confie un secret à Gide : protestant, il s'est converti au catholicisme. Gide s'empresse de répéter ce secret à Claudel. Dès la naissance de la N. R. F. , Gide fait tout pour attacher Larbaud à la revue, et le détourner de La Phalange. Larbaud, toujours un peu sauvage, ne fera jamais partie du groupe directeur de la N. R. F. , mais il sera souvent consulté et appartiendra à cette nébuleuse d'écrivains qui se retrouvent et s'expriment dans la revue. Larbaud contribue en particulier à la découverte de Saint-John Perse et apporte ses connaissances en littérature étrangère. Gide finira par lui déclarer : "Vous êtes désormais un de ceux pour qui j'écris ; un des très rares". Larbaud reste discret sur sa vie sentimentale et Gide tout à fait muet. Leur correspondance est essentiellement celle de deux écrivains pour qui la littérature est la première préoccupation.

11/1989

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Critique

Victoria Ocampo et André Gide

Le présent ouvrage, qui recueille les écrits de Victoria Ocampo sur André Gide et les lettres qu'ils ont échangées, permet une connaissance approfondie de la créatrice de la revue argentine SUR et met en lumière des pièces majeures de la réception de l'oeuvre de Gide en Amérique latine.

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Critique

Victoria Ocampo et André Gide

Le présent ouvrage, qui recueille les écrits de Victoria Ocampo sur André Gide et les lettres qu'ils ont échangées, permet une connaissance approfondie de la créatrice de la revue argentine SUR et met en lumière des pièces majeures de la réception de l'oeuvre de Gide en Amérique latine.

07/2023

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Romance et érotique LGBT

Symphonie

Symphonie, c'est un recueil de trois nouvelles boy's love : "Le monstre sous le lit" , "Le garçon fleur" et "Le garçon arc-en-ciel" . Leur point commun ? L'irruption du fantastique dans un monde où l'on ne croit que ce que l'on voit . D'abord publiées en ligne, c'est finalement en format papier que ces histoires voient le jour, de sorte que chacun puisse les redécouvrir d'une autre manière.

03/2022

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Critique littéraire

CAHIERS ANDRE GIDE N°12 : CORRESPONDANCE ANDRE GIDE JACQUES COPEAU. Décembre 1902-Mars 1913

C'est à la lecture des Nourritures terrestres et de L'Immoraliste que Jacques Copeau s'est épris d'André Gide, son aîné de dix ans. La première lettre qu'il ait reçue de lui, début janvier 1903, il l'avait attendue avec une impatience émue... Ainsi commence une riche et passionnante correspondance, l'une des plus longues que Gide ait entretenues, qui ne cessera qu'à la mort de Copeau en 1949 : près d'un demi-siècle d'échanges épistolaires, preuve tangible d'une amitié que ne devaient démentir ni les fluctuations de l'existence, ni les divergences d'opinions ou de préoccupations, ni les inévitables crises de confiance. Ces lettres, par la vivacité d'un dialogue tantôt grave, tantôt enjoué, dessinent le portrait au naturel de deux êtres en perpétuelle quête d'authenticité, reproduisent la courbe de deux carrières exceptionnellement fécondes. Ce premier tome correspond aux années 1903-1913, jusqu'à la fondation du théâtre du Vieux Colombier : une période intensément vivante dans les relations des deux amis que Claude Sicard, dans sa pénétrante introduction, appelle "le temps de la complicité" . Deux hommes se découvrent ici, se livrent, s'exaltent, s'encouragent dans leurs productions. Les sujets touchent à tous les domaines : la vie littéraire, la fondation de La N. R. F. et son fonctionnement au quotidien, la vie théâtrale, la vie artistique, la réflexion sur la création, la vie intime enfin dont se nourrit la lucide analyse d'eux-mêmes et de leur temps.

12/1987

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Critique littéraire

CAHIERS ANDRE GIDE N°13 : CORRESPONDANCE ANDRE GIDE JACQUES COPEAU. Mars 1913-Octobre 1949

Le 30 janvier 1912, Copeau écrivait à Gide : «Ce mystérieux sentiment de ressemblance qui m’attira vers vous jadis, il ne nous a pas trompés. Je médite bien souvent là-dessus, et sur la nature de notre amitié dont rien ne pourra relâcher le lien.» Pourtant, après le temps de la complicité, voici le temps des épreuves et des routes divergentes. Ce second volume couvre une période nettement plus étendue que le premier. Le rythme de la correspondance n’est plus le même ; des plages de silence s’établissent, par-delà lesquelles subsiste un sentiment profond. Avec la création du théâtre du Vieux Colombier, Copeau a enfin trouvé sa voie la plus authentique, un engagement de tout son être que Gide n’approuve pas sans réticences. Surviennent la guerre, puis, pour Copeau, l’exil américain, la reprise du Vieux Colombier, le départ en Bourgogne, l’isolement altier et surtout le retour à la foi ; pour Gide, des ouvres maîtresses - Corydon, Si le grain ne meurt, Les Faux-Monnayeurs -, le voyage au Congo, le flirt avec le communisme. Si deux collaborations théâtrales, Saül et Perséphone, les réunissent, le temps n’est plus aux échanges fructueux, les distances menacent de se creuser. Cependant, les liens d’affection qui se sont affermis entre Madeleine Gide et Agnès Copeau contribuent à éviter la rupture, et l’amitié survit aux épreuves. Le 28 août 1939, Copeau peut écrire à Gide : «Je n’ai rien trouvé, tout au long de ma vie, ni qui vous vaille, ni que j’aime mieux» ; et Gide de répondre : «Votre dernière lettre m’a fait fondre le cour et venir les larmes aux yeux.» Commence alors «le bail de vieillesse» souhaité par Copeau et placé sous le signe d’une tendresse indulgente où s’expriment des sentiments vrais, épurés : la vérité du cour.

01/1989

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Littérature française

La Xe symphonie

La Xe symphonie perdue au poker ! Karl, le neveu de Beethoven, dérobe à son oncle qui est en train de l'écrire, plusieurs pages de la Xe symphonie. Depuis lors les partitions passent de main en main, du début du XIXe jusqu'à nos jours. Elles épousent les vicissitudes de la vie de leurs différents détenteurs jusqu'au jour où par pur hasard, l'un des héros du roman trouve une lettre faisant référence à un secret. Le héros se met alors en tête de percer le secret. Va-t-il y arriver ? Une seule chose est sûre : il va vivre une curieuse aventure qui va modifier le cours de sa vie.

03/2020

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Littérature française

La dixième symphonie

Un jeune homme, orphelin de mère et rejeté par un père enseignant d'école primaire, frustré d'avoir été éconduit par sa belle famille quand il vivait encore ave sa jeune compagne défunte, vivant avec sa tante à la briqueterie, quartier populeux et peuplé majoritairement des musulmans dans la ville de Yaoundé, refuse de poursuivre ses études pour apprendre à jouer le piano. Malgré le coût élevé de la formation en musique classique, sa tante qui tient à la réussite de son neveu, accepte son choix de ne plus poursuivre ses études pour se livrer à sa passion musicale. Par ses contacts, il va rejoindre l'un des clubs les plus prestigieux de Yaoundé où ne viennent que les enfants des hauts commis de l'Etat et des corps diplomatiques. Hué au début, c'est son génie va le distinguer et créer autour de lui des jalousies. Il va se lier d'amitié avec le fils d'un haut commis de l'Etat qui est impressionné par sa virtuosité et le fait connaître à son père. Ce dernier amoureux de l'art et de la musique classique tombe sous le charme du jeune apprenti de la musique classique. Plus tard, c'est la fille du monsieur qui tombe aussi amoureuse du jeune apprenti de la musique. Cette relation d'amour va jeter un froid dans les relations entre les deux familles. Bien plus, la mort de la jeune fille du promoteur du club de musique classique, assassinée sans que son meurtre ne soit élucidé va compliquer le destin du jeune apprenti de la musique. Sans preuve de culpabilité d'un éventuel meurtrier, le jeune apprenti de la musique est jeté en prison ; ce qui va plonger sa tante dans le trouble. Il faudra attendre l'intervention de la fille du personnage important de Yaoundé, amoureuse du jeune apprenti de la musique pour pousser son père à faire ramener son fils assassin des Etats-Unis afin qu'il vienne purger sa peine, en lieu et place du jeune apprenti de la musique. Ce dernier, maintenant libéré peut reprendre son aventure et surtout son amour avec la jeune fille du personnage important. Mais ladite jeune fille est maladive ; après des interventions chirurgicales, elle décide de célébrer son mariage malgré son état de santé critique. Après l'union du mariage à la Cathédrale-Notre-Dame-Des-Victoires de Yaoundé, la jeune épouse doit rejoindre la Fondation Chantal Biya où elle est internée ; alors que le jeune époux, lors de la cérémonie au Hilton hôtel peut encore égayer les convives en espérant jouer la dixième symphonie.

10/2015

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Romans historiques

La symphonie interdite

Le 27 avril 1967, le grand chef d'orchestre autrichien Yachouv Edelman dirige de façon éblouissante le Philharmoniker de Berlin. Alors que les musiciens interprètent la Huitième de Mahler, il succombe à son pupitre. L'autopsie ne tarde pas à révéler qu'il a été victime d'un empoisonnement. D'autres musiciens sont frappés à leur tour. Tous ont en commun d'avoir été déportés à Theresienstadt lors de la seconde guerre mondiale et d'y avoir animé l'orchestre symphonique du camp. L'inspecteur Bauer, chargé de l'enquête, tente d'en apprendre plus sur ces victimes et cet épisode douloureux de leur passé commun. Aux côtés d'une enquêtrice du Mossad et d'un collègue autrichien, Bauer nous entraîne en Autriche, à Prague et à Grenoble pour un étrange parcours initiatique dans l'horreur de la déportation. Finira-t-il par percer le mystère qui liait ces rescapés ? Avec comme fil directeur l'œuvre de Gustav Mahler, qui transcende les passions humaines et leur violence, l'auteur nous entraîne à la fois dans une réalité historique méconnue et dans un roman policier captivant.

05/2012

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Poésie

La symphonie héroïque

La Symphonie héroïque, dont la plupart des poèmes sont composés en vers d'une facture assez classique, est une évocation vibrante et lyrique de la vie et de la mort des poilus de la Grande Guerre, traversée d'un souffle épique indéniable. Le poète y témoigne avec force et émotion des souffrances et des espoirs de cette génération sacrifiée, du départ pour le front au dernier coup de feu avant l'armistice. Il y décrit avec réalisme et précision le quotidien des soldats qui s'efforcent de conserver un semblant d'humanité au milieu des horreurs et des atrocités qu'ils vivent, mais surtout il dénonce l'absurdité de cette guerre et l'imposture cynique de ceux qui la glorifient. La poésie d'Henry Jacques est assurément le fruit d'une élaboration pudique dont les élans et raccourcis sont saisissants ; nous sommes dans la littérature au bon sens du terme. Le poète réussit à tirer le durable du quotidien et à élever jusqu'à l'exemple le fait divers, pour nous dire au plus intime de notre être combien il faut préférer à la raison des armes les armes de la raison.

04/2017