Recherche

La marche des nuages Tome 3 : L'infâme

Extraits

ActuaLitté

XXe siècle

La marche des nuages Tome 3 : L'infâme

1933. Désormais aveugle, Damase n'est plus que l'ombre de lui-même. Sa jeune femme Flore gère tant bien que mal la ferme familiale tandis qu'elle rêve d'un avenir meilleur pour sa fille unique Elizabeth De leur côté, Edwina et Gérald, parents de trois enfants, mènent une vie tranquille et prospère. Encore une fois, le destin capricieux fera se croiser les chemins de ces êtres dont les aspirations deviennent plus pressantes. Flore sera hantée par le fantôme surgi d'un passé qu'elle croyait mort et enterré. De là à ce qu'un drame malheureux bouleverse la vie de son couple et, par ricochet. celle de Gérald et d'Edwina, il n'y a qu'un pas...

05/2021

ActuaLitté

XXe siècle

La marche des nuages Tome 2 : L'infidèle

1919. Abandonnant derrière lui un coeur brisé, Damase quitte les Etats-Unis pour rentrer au bercail. A son arrivée à Sainte-Hélène, il découvre des bâtiments en ruines, des champs en friche et des étables négligées. Cléomène est heureux de retrouver son fils d'adoption et lui fait jurer d'exploiter la ferme, ce à quoi Damase consent à regret. Quand il hérite aussi de la terre du père d'Edwina, il devient l'un des fermiers les mieux nantis du coin. Edwina, elle, travaille à Montréal et fréquente un médecin. Mais des événements troublants la forcent à retourner dans son village natal. Y trouvera-t-elle enfin le bonheur ?

05/2021

ActuaLitté

Autres collections (6 à 9 ans)

L'Infâme

Tana est une jeune fille qui débute une formation de couture en apprentissage. Elle a quitté le domicile maternel et vit chez son employeuse, en échange d'heures supplémentaires à l'atelier. Elle a fuit une mère qui la rendait malade. Elle a coupé les ponts. Se terre dans le silence et le travail à l'atelier. Tana n'a pas spécialement d'appétence pour ces techniques dont elle ignore tout. Elle sauve ou tente de sauver ce qui peut encore l'être, comme le ferait le rescapé d'une grande catastrophe. Avec l'aide de sa patronne et de sa meilleure amie, Apolline, dans le silence de l'atelier et du travail manuel solitaire, elle va quitter les terreurs de l'enfance pour affronter sa vie. Pour affronter sa mère. La figure de sa mère. L'Infâme est une pièce d'émancipation. Elle débute dans la honte de soi, dans le sentiment d'humiliation et de désagrégation. Elle s'achève avec la victoire de la guerrière, ferme dans sa volonté de vivre et de se construire un avenir, pleine de force pour demain. Elle s'achève loin de l'amertume et du ressentiment. Entre les deux, des histoires de brodeuses, de couturières, de tisseuses ; des histoires de fils noués et de fils coupés. L'Infâme est une histoire de liens. Ceux qui nous brisent. Ceux dont on se libère. Ceux que l'on tisse.

05/2023

ActuaLitté

Montagne

Marcher dans les nuages

Cinquante années à marcher dans les montagnes du monde par le plus pyrénéen des Anglais. Chacune des histoires racontées est une expérience de vie, Key Reynolds saisissant l'occasion de parler des autres, de tous ces hommes, toutes ces femmes, tous ces enfants, rencontrés au hasard d'un sentier des Alpes, des Pyrénées ou de Corse, d'une rue indienne, dans les montagnes de l'Atlas, du Pérou, de Turquie, d'Espagne, ou sur un pont tibétain. Ce livre nous apprend à voir autrement qu'avec les yeux : "Partager les sentiers avec Ray, mon ami aveugle, m'apprit que la vue peut vous rendre aveugle", écrit joliment Key Reynolds. Le chant des jeunes femmes sur le pont fait entendre la voix cristalline à la fois de la rivière et de ce peuple qui vit en osmose avec la montagne ; et si, à nos yeux d'Occidentaux, ces hommes et ces femmes n'ont rien, la joie qui transparaît dans leurs chants, leurs sourires et leurs yeux révèle qu'ils vivent en accord avec la terre qu'ils cultivent, sur laquelle ils marchent et dont ils admirent la beauté.

04/2022

ActuaLitté

Littérature française

Marcher sur les nuages

Théo doit faire face à un choix difficile : sauver son père de sa passion ou le perdre à jamais. Théodora a toujours eu la montagne dans la peau, passion qu'elle partage avec son père pour leur plus grand bonheur. Jusqu'au jour où ce dernier, âgé de soixante-dix ans, lui annonce qu'il va tenter l'ascension de l'Everest. Mais, Théo le sait, il n'y survivrait pas. Sur un coup de tête, elle décide de partir à sa place braver le sommet où il a failli mourir lors d'une première escalade des années plus tôt. Sur les flancs de l'Himalaya, il n'y a pas que sa vie que Théodora met en danger. En redescendra-t-elle le corps et l'esprit indemnes ?

09/2022

ActuaLitté

Récits de voyage

Tu marches, il marche, vous marchez... moi je cours

Icône du sport français, Marie Dorin livre pour la première fois un texte personnel sur l'empreinte que la marche laisse dans sa vie. Dotée d'une imagination débordante, elle raconte sa peur et sa fascination pour les animaux sauvages et ses souvenirs d'escapades plus vrais que nature. Un récit littéraire exclusif, authentique et plein d'humour. Icône du sport français, Marie Dorin livre pour la première fois un texte personnel sur l'empreinte que la marche laisse dans sa vie. Dotée d'une imagination débordante, elle raconte sa peur et sa fascination pour les animaux sauvages, ses souvenirs d'escapades plus vrais que nature, sa passion pour la connaissance de la faune et de la flore, et sa prise de conscience écologique assortie d'actes concrets. Un récit littéraire exclusif, authentique et plein d'humour. Extrait "... La troupe d'enfant silencieuse encadrait le conteur qui a fini par rassembler autour de lui tous les jeunes du groupe, suspendus à ses lèvres. Malin, mon père n'a pas raconté toute l'histoire d'un seul trait. Il faisait des pauses. Style il racontait l'histoire pendant une demiheure, puis, prétendait devoir se reposer, ou boire, ou vouloir parler avec un autre adulte. Et nous laissait ainsi en proie au désir brûlant de connaître le destin des personnages. Et aux questions. Pourquoi la femme n'aimait pas l'homme ? Comment tout cela allait-il finir ? Mal, on s'en doutait. Et ça nous fascinait encore plus. On marchait en silence, en repensant au récit. Petit à petit, l'histoire se diluait dans l'air, emportée par le chant des oiseaux qui semblait-il, avaient soudain repris leurs trilles sautillants. La femme s'était évaporée et la forêt avait retrouvé une allure de forêt. Les arbres se distinguaient de nouveau par la forme de leurs feuilles et la couleur de leurs troncs, les bruits retrouvaient leurs propriétaires : oiseaux, vent, pas sur les brindilles etc. Chaque élément reprenait ses contours respectifs et se dissociait de la forêt qui unifiait l'instant précédent ses habitants en un ensemble mystérieux. Jusqu'au moment où de nouveau, la marche devenait trop longue et que l'histoire reprenait vie avec la voix de mon père. . ".

11/2019

ActuaLitté

Littérature française

Rosalie l'infâme

Saint-Domingue, 1750 : de nombreux cas d'empoisonnement déclenchent la terreur parmi les propriétaires de plantations. Plane en arrière-plan la figure menaçante de Makandal, le meneur des " marrons ", esclaves en fuite pour qui le rêve de liberté est plus fort que tout. La répression se fait de plus en plus forte. Lisette, née en esclavage, découvre à travers les récits de sa grand-mère Charlotte et de sa marraine, Man Augustine, la douleur de la liberté perdue et la mémoire de la traversée à bord du négrier Rosalie. De tante Brigitte à Gracieuse, la " cocotte ", chacune des femmes de ce récit dessine un visage de la résistance et du combat face à l'oppression. Peu à peu, Lisette sort d'une certaine forme d'innocence et s'engage au côté de ces figures qui ont choisi la liberté. Au-delà de l'histoire terrible de la colonisation et de l'esclavage, c'est un portrait intime de la vie de ces femmes esclaves des plantations qu'Evelyne Trouillot dévoile ici, avec leurs craintes, leurs souffrances, leurs amours et leurs espoirs.

10/2019

ActuaLitté

Science-fiction

La marche des errants Tome 3 : L'exode

NAIA, l'entité terroriste qui a réussi à déstabiliser les Marsiniens, crée des conditions de vie insupportable. Dans l'arche partie de Mars en direction de la terre pour récupérer des terriens, elle sème la terreur. Sur Mars, elle fait régner la division et chacun menace l'autre de mort. Les jeunes jumeaux font tout pour sauver le plus de vie mais l'entité terroriste en a décidé autrement. Sur terre, le combat est tout autre. Bastien va tout mettre en oeuvre pour sauver le plus d'errants possibles, surtout ceux enfermés dans la prison du cannibale Paquito. Il a fait une promesse : libérer cette prison. Son combat est acharné car il a embarqué dans ses rangs, Clément, un être nourri par la haine et la soif de meurtre. Rob J. Daniels nous tient en haleine jusqu'à la fin. Enchaînés à ces pages, nous dévorons goulûment ce dernier tome en nous laissant entraîner dans cette marche des errants.

11/2016

ActuaLitté

12 ans et +

Moana Tome 3 : A la source des nuages

Moana accomplira-t-elle son destin d'héroïne ? Après avoir fait le tour du monde et libéré les jeunes prisonniers, l'équipe de l'Argo met le cap sur la Corse. Hélas, la famille d'adoption de Mona a été arrêtée ! Pour la libérer, ils vont tenter le tout pour le tout et affronter les troupes du Gouvernement central. Car Moana n'est plus une petite fille, elle est forte, amoureuse et entourée d'alliés. Elle est prête et déterminée à recouvrer sa liberté pour de bon... La conclusion de la bouleversante trilogie de Silène Edgar, co-auteure de 14-14 (prix des Incorruptibles 2015-2016, prix Tatoulu 2016 et prix Gulli du roman 2014) et auteure de Adèle et les Noces de la reine Margot, Les Lettres volées et 42 jours.

07/2018

ActuaLitté

Historique

Radcliff Tome : Route des nuages

1804. Un petit village de Cornouailles battu par les vents et les marées. Buddy a quinze ans. Il n'a ni parents, ni famille. La vieille Bischop qui l'a recueilli l'héberge dans sa maison en haut de la falaise. Mais on la dit sorcière et beaucoup attendent de la voir brûler... Quand le drame survient, Buddy part alors sur les routes en quête du mystère de sa naissance et de sa véritable identité...

08/2021

ActuaLitté

12 ans et +

La cascadeuse des nuages

Elise Deroche est la première femme à obtenir son brevet de pilote d'avion en France et à concourir avec les hommes. A l'aube du 20e siècle, les femmes demeurent toute leur vie sous la tutelle de leur père ou de leur époux. Mais, fougueuse et frondeuse, Elise est avant tout une femme libre !

09/2019

ActuaLitté

Littérature française

L'école des nuages

Le roman d'un pantalon est une aventure inédite. Essayez d'imaginer que votre pantalon ou votre robe vous aime ou vous déteste, assistant à toutes vos joies et perversions. Mon pantalon m'a choisi plus que je ne l'ai choisi. Que cette fable soit réelle ou imaginaire, fantasmée ou déraisonnable, peu importe. L'aventure est au bout du texte, dans ce paradis où l'Ecole des nuages réinventera pour notre plaisir voyeur l'Ecole d'Athènes de Raphaël.

02/2015

ActuaLitté

Littérature française (poches)

La théorie des nuages

" Il est question de nuages et Virginie Latour commence à comprendre. Elle comprend qu'au début du dix-neuvième siècle quelques hommes anonymes et muets disséminés dans toute l'Europe, ont levé les yeux vers ciel. Ils ont regardé les nuages avec attention, avec respect même ; et, avec une sorte de piété tranquille, ils les ont aimés. " Akira Kumo est un couturier japonais. Il collectionne les livres consacrés aux nuages. Pour classer sa bibliothèque, il engage Virginie Latour, une jeune femme à qui il raconte des histoires de chasseurs de nuage. Celle de Luke Howard qui inventa leurs noms, celle de Richard Abercrombie qui fit le tour du monde pour voir s'ils étaient partout identiques, d'autres encore, aussi surprenantes que le jeu des nuées.

05/2007

ActuaLitté

Romans graphiques

L'écume des nuages

Incapable de comprendre le suicide de son compagnon, Leire entreprend un voyage, une fuite en avant. Mais tre?s vite, l'anxie?te? la force a? s'arre?ter dans un motel ou? elle devra faire face au deuil, accompagne?e par le re?cit du ce?le?bre explorateur Fernando Rus : un pe?riple de 800 kilome?tres a? pied et en solitaire, pour rejoindre le po?le Nord, la? ou? tous les chemins conduisent au Sud.

02/2023

ActuaLitté

Littérature française

La fin des nuages

Peut-on contrôler la pluie ? C'est la question que se posaient chaque année Mathieu Simonet et son amoureux Benoît, organisateur d'un festival de musique en plein air. Chaque année, la veille de l'ouverture, ils scrutaient la météo dans l'espoir d'y voir annoncé un ciel sans nuages. C'est aussi la question sur laquelle travaillent des scientifiques depuis des décennies. De nombreux pays tentent aujourd'hui d'ensemencer les nuages pour les maîtriser, faire tomber la pluie ou éviter la grêle, créer une arme de guerre ou obtenir un ciel bleu. Ces recherches ont des conséquences géopolitiques, sanitaires et environnementales. Et suscitent une interrogation fondamentale : à qui appartiennent les nuages ? Mathieu Simonet s'est passionné pour ce sujet qui s'est télescopé avec sa grande histoire d'amour, interrompue à la mort de son compagnon. Cette enquête intime sur la manipulation des nuages éclaire un phénomène à la portée poétique autant que politique.

09/2023

ActuaLitté

Contes et nouvelles

L'être des nuages

Sur les nuages habitent des êtres ressemblant à des anges. Un corps humain avec des ailes d'un blanc éclatant. Ils sont tout simplement comme nous, résidant en communauté, sans aucune connotation religieuse. Will est un Etre des Nuages. Il a quatorze ans et grâce à son frère, il va découvrir le sous-sol interdit et ses secrets. Ces révélations vont changer sa vie à tout jamais... Ce livre contient 3 tomes !

01/2022

ActuaLitté

Littérature française

L’année des nuages

"Adam veut une maison. Une maison entre les pierres, entre les arbres, entre les routes, entre la mer et la montagne, entre les frontières. Une maison pour la chambre et pour le lit, une maison pour faire un abri à l'amour." Montpellier. Sur le campus de médecine, Adam, étudiant étranger, travaille à ses études, loin des événements de son pays. Chacun observe sa passion charmante : trouver la maison parfaite pour Nora, qu'il attend tout en vivant une amitié ambiguë avec Chloé. Les têtes sont à la réussite des examens, les corps sont tendus vers les désirs. Quand Jad, son ami d'enfance, rejoint Adam, il lui révèle que Nora est restée en Syrie : elle a fait le choix de résister. Un triangle amoureux se forme avec Chloé. Le rêve d'Adam va-t-il y survivre ?

02/2019

ActuaLitté

BD tout public

L'envers des nuages

C'est ma première mission auprès du CICR. Si je montre la souffrance de ces gens, il faut aussi que je montre les visages de ceux qui tentent, tous les jours, de la soulager...

06/2018

ActuaLitté

Littérature française (poches)

La part des nuages

Joseph, 37 ans, avance comme il peut, comme tout le monde. II n'est plus un enfant, il en a un, Noé. Mais le bateau tangue. La mère s'en va, puis l'enfant. Joseph, baron perché déboussolé, se réfugie dans le cerisier du jardin, sa cabane. Pour ranimer ses rêves, et redécouvrir les autres, leurs histoires, leur présence, qui l'entourent. Avec obstination, Joseph traverse la nuit.

03/2017

ActuaLitté

Littérature française

La tectonique des nuages

Les essais et le journal qui composent La Tectonique des nuages forment un guide invitant au simple usage du monde, Où l'amour de la nature coïncide avec l'amour de la littérature. Aussi librement que des nuages poussés par le vent, souvenirs, expériences, voyages, lectures conduisent à une quête de sagesse, dans le monde sauvage (à la recherche des ours), dans les livres (avec Montaigne), ou dans le métro. Diverses anecdotes posent avec humour de graves questions, comme la présence des morts, l'origine des idées ou la nostalgie des révolutions. Par l'acuité de la vision et l'élégance du style, l'auteur nous entraîne dans un monde où l'intime rejoint l'universel, à l'exemple des "essais", "promenades", "rêveries" ou "propos" dont de grands écrivains ont enrichi notre littérature.

03/2017

ActuaLitté

Littérature française

La forêt des nuages

1981. L'Amérique centrale est déchirée par des luttes sanglantes entre guérillas et gouvernements. Juan Gutiérrez, jeune banquier cubain américain, est kidnappé et emprisonné dans un hameau des montagnes du Honduras tandis que ses ravisseurs, des terroristes salvadoriens et nicaraguayens, négocient sa rançon. Il finit par s'échapper avec l'aide d'une de ses geôlières et après une incroyable escapade trouve refuge dans un camp des Contras, très haut dans la sierra, à la frontière du Nicaragua, près de ce que l'on appelle la Forêt des Nuages. De là aussi, malheureusement, il devra partir, emmenant le souvenir d'un amour tragique et inoubliable. Jacques de Mandat Grancey a voyagé dans cette partie du monde pendant plus de cinquante ans, d'abord pour des raisons familiales puis comme banquier et finalement comme diplomate humanitaire. Il a déjà publié deux romans : Le Balafré et Crépuscule à Gramercy Park, ainsi qu'un volume de poèmes en anglais.

03/2022

ActuaLitté

Ecole des loisirs

La Carte des nuages

Le jour où Kumaï l'orang-outang recueille un oisillon blessé, sa vie est chamboulée. Comment une si petite chose peut provoquer en elle une si grande émotion ? Kumaï fait tout pour le protéger des dangers de la jungle. Jusqu'au moment où l'oiseau prend son envol…

05/2021

ActuaLitté

Littérature Italienne

L'inventaire des nuages

Orphelin de père, Giacomo est élevé par son grand-père dans les montagnes du Piémont. En 1915, quand l'Italie entre en guerre, le jeune homme échappe à la conscription en raison d'une infirmité. Il est alors formé à un art délicat : la collecte des cheveux destinés à la confection de perruques. Pour devenir un caviè digne de son grand-père, ce n'est pas seulement la chevelure des femmes que recueille Giacomo, mais aussi leur histoire et celle d'un monde en voie de disparition. Cette singulière moisson qui guide ses pas à travers les sentiers alpins lui révèle peu à peu les vertus de la patience et de l'enracinement. Retraçant au gré des saisons les itinéraires secrets des ramasseurs de cheveux, Franco Faggiani compose une ode magnifique à ces petites gens aux destins aussi grands que les montagnes qui les ont enfantés.

03/2024

ActuaLitté

BD tout public

Le Tour de France Tome 3 : La bataille des nuages

Les étapes de montagne sont les plus impressionnantes, les plus dures, les plus éprouvantes du Tour de France. Elles participent à la légende des plus grands coureurs. Depuis l'introduction des premières étapes jusqu'à nos jours, l'album évoque ces épisodes glorieux, douloureux et parfois dramatiques. Le lecteur est invité à participer à ces difficiles journées, tour à tour dans le bureau des organisateurs, sur les vélos des gagnants. Des heures de passion qui n'ont pas fini de faire couler beaucoup d'encre. Et de sueur...

06/2018

ActuaLitté

Récits de voyage

L'école de la marche. Marcher pour vivre mieux

La marche a tant à nous apprendre. Profondément enracinée dans notre culture, des liens multiples et féconds nous unissent à elle. Marche de loisir ou marche spirituelle, tantôt revitalisante, tantôt apaisante, chargée de forces mystérieuses et foyer infini de découvertes, écoutons les multiples enseignements qu'elle nous délivre. Des scientifiques, des écrivains et des poètes, parmi les plus grands (Sylvain Tesson, Jean-Christophe Rufin, Jim Harrison, Henry David Thoreau, Jean-Jacques Rousseau, etc.), ont célébré la marche. A leur manière, ils sont les interprètes des bienfaits de la marche, les passeurs qui nous révèlent avec clairvoyance et sensibilité comment se reconnecter à notre nature profonde en marchant. Autant de leçons de bien-être inspirées d'une pratique ancestrale, pour trouver la sérénité.

05/2021

ActuaLitté

Littérature étrangère

Histoire de la colonne infâme

L'oeuvre d'essayiste de Manzoni est un peu moins connue, mais sa Storia della colonna infame (Histoire de la colonne infâme), qui fait l'objet de ce projet de nouvelle traduction, est cependant elle aussi couramment (quoique moins systématiquement) étudiée à l'école, à l'instar de L'affaire Calas de Voltaire, texte avec lequel celui-ci a quelque parenté. La "colonne infâme" du titre désigne un monument qui fut édifié, par la volonté des juges, pour commémorer le procès (mené à grand renfort de terrifiants supplices), la condamnation et l'exécution, en 1630 à Milan, de plusieurs hommes accusés d'avoir propagé délibérément la peste par des "onctions pestifères" , c'est-à-dire en barbouillant les murs d'un certain quartier d'une substance empoisonnée, supposément mortifère. Cet atroce fait divers avait déjà inspiré à Pietro Verri, un représentant milanais de la philosophie des Lumières versant italien, un texte mémorable, Observations sur la torture, paru en 1769 (retraduit en français en 1992 et publié par les Editions Viviane Hamy), où l'auteur dresse un réquisitoire inflexible contre cette pratique intolérable. En 1764, un autre philosophe, Cesare Beccaria , avait publié Dei delitti e delle pene (dont il existe, sous le titre Des délits et des peines, plusieurs éditions françaises récentes), un magnifique petit essai, très en avance sur son temps, contre la torture et la peine de mort. C'est dans ce contexte intellectuel que se situe l'Histoire de la colonne infâme. Mais, tandis que Verri et Beccaria publient leurs essais à une époque où la torture est encore en vigueur dans nombre de pays et régions d'Europe, et notamment à Milan , quand le texte de Manzoni paraît, en 1840, elle a été abolie - du moins officiellement - à peu près partout. L'intention de Manzoni n'est donc pas tout à fait la même que celle qui animait ses devanciers, lesquels visaient avant tout à démontrer le caractère exécrable et inutile de la torture et à la voir disparaître des codes de procédure. Pour Manzoni, cependant, il s'agit d'abord, sans doute, de consolider dans les esprits l'usage récent de ne plus mettre à la question les prévenus. On sait combien les progrès de ce genre sont fragiles et peuvent être abandonnés au détour de l'histoire ; quant à la torture, notamment, il serait naïf ou de mauvaise foi de prétendre qu'elle n'appartient qu'au passé lointain et aux civilisations archaïques. Sous des formes diverses, qui disent rarement leur nom, la torture demeure une réalité contemporaine, y compris dans nos démocraties avancées. On peut, d'autre part, supposer que Manzoni entend oeuvrer à son tour à l'amélioration, toujours possible, de la justice humaine : même sous une législation imparfaite, sinon coupable, les juges gardent la faculté de juger honnêtement. Mais, plus encore, il s'agit pour Manzoni de soulever une question générale, à la fois philosophique et politique : celle de la liberté de choix des individus, mise en regard de ce qu'on pourrait appeler, dans un anachronisme calculé, les conditionnements socio-historiques. Pour Verri, tous les juristes et criminalistes du passé sont coupables d'avoir toléré, cautionné et même encouragé la torture. Dès lors, les juges qui condamnèrent les supposés propagateurs de peste commirent, certes, une affreuse erreur judiciaire, mais dont la responsabilité incombe à la science juridique dans son ensemble, au système pénal en tant que tel - et même à l'état général de la connaissance et de la culture propres à leur temps. La faute des juges en tant qu'individus se dissout ou en tout cas s'estompe dans la mauvaiseté des lois et dans la cruauté à quoi conduirait invinciblement l'ignorance. La faute des juges n'est pas tant personnelle que collective, et indissociable d'une époque dont Verri - et avec lui tous les philosophes des Lumières italiennes - appelle le dépassement. Verri, en d'autres termes, travaille à éclairer son temps, pour le réformer dans le sens de la raison et de ce qu'on appellerait aujourd'hui les droits de l'homme . C'est sur cette question de la responsabilité des juges que Manzoni croise le fer avec son illustre prédécesseur. Dans l'Histoire de la colonne infâme, il s'attache à montrer que, même en des temps d'ignorance et dans un système pénal qui prévoit qu'on puisse infliger à un accusé - y compris en amont de la certitude de sa culpabilité - des sévices atroces, les juges conservaient la possibilité, la liberté morale de ne pas le faire. Aussi, reprenant en main les textes des juristes que Verri cite pour les accabler, Manzoni s'efforce-t-il de montrer que tous, bien que n'étant pas opposés par principe à la torture, recommandaient cependant de n'en user qu'avec discernement et modération, et jamais pour obtenir des aveux. Manzoni entend ainsi rendre justice aux criminalistes du passé, que Verri blâme selon lui injustement, au prix d'incompréhensions voire de distorsions des textes qu'il produit pour preuves de sa thèse. Mais il veut surtout convaincre que les juges qui, en 1630, firent torturer et exécuter ces malheureux, puis firent construire un monument en leur éternel déshonneur, disposaient, dans les traités juridiques de référence de leur époque, d'éléments qui leur auraient permis, qui auraient dû leur permettre de juger dignement. Selon Manzoni, si la torture était régulièrement en vigueur dans les affaires criminelles, et couramment pratiquée dès la phase d'instruction du procès, cela n'imposait pourtant pas à des esprits éclairés et probes d'y recourir. Les juges sont donc comptables à titre personnel de leur jugement, qui s'apparente à un crime. Manzoni défend ainsi l'idée que, de tout temps, jusque dans le pire des systèmes politico-juridiques, les individus conservent une part d'autonomie, la faculté de s'affranchir des préjugés de leur époque, et de se comporter selon ce qui est juste et bon. Ce qui est en jeu, implicitement, c'est donc aussi la question, ancienne et débattue depuis des siècles dans la théologie chrétienne, du libre arbitre. Mais tout autant, si l'on veut, avant l'heure, sa version plus moderne, celle du déterminisme - social, historique, politique, culturel. Sommes-nous libres de nos actions, de nos décisions, de nos pensées ? Ou sommes-nous si profondément (et inconsciemment) modelés par notre temps, par notre culture, par nos institutions, que nos "choix" ne sont, au vrai, que les conséquences inéluctables de ces divers conditionnements ? Pour l'écrivain italien, récuser l'idée que, malgré les aberrations de leur temps, malgré les vices de la forma mentis du monde auquel ils appartenaient, les juges de 1630 auraient pu juger justement reviendrait à admettre, ni plus ni moins, l'impossibilité générale et affreuse d'espérer que des hommes qui commettent un crime abominable puissent jamais agir différemment ; cela obligerait, en somme, à reconnaître que les pires scélérats ne peuvent aucunement, par principe, être tenus pour responsables de leurs forfaits : "Si, dans un ensemble de faits atroces commis par l'homme contre l'homme, nous croyons voir un effet des temps et des circonstances, nous éprouvons, en même temps que de l'horreur et de la compassion, un découragement, une sorte de désespérance. Il nous semble voir la nature humaine poussée invinciblement au mal par des facteurs indépendants de sa volonté, et comme enchaînée dans un rêve pervers et fébrile, dont elle n'a nul moyen de se déprendre, dont elle ne peut pas même se rendre compte". La question demeure d'une parfaite actualité. Il n'est que de songer aux polémiques qui ont entouré telles tentatives d'explication d'attentats terroristes récents en France. En réponse aux sociologues qui tentaient de comprendre ces actes dans un tableau causal complexe, des personnages politiques de premier plan objectèrent qu'expliquer, c'était déjà justifier. Plus que jamais, il nous semble au contraire requis, pour inconfortable que cela puisse être, d'enquêter inlassablement sur les raisons de la violence. L'Histoire de la colonne infâme nous est une invitation à ne pas refermer trop vite le questionnement sur les racines du mal.

ActuaLitté

Policiers

Petits arrangements avec l'infâme

Accusé d'avoir égorgé sa sœur, Khaled Addad, amnésique et halluciné, est amené aux urgences de Toulouse par la gendarmerie. Antoine Le Tellier, le psychiatre qui l'examine, demande son internement. Tandis que la presse bien-pensante fustige aussitôt un islam fanatisé, la jeunesse des banlieues toulousaines commence sérieusement à s'échauffer. C'est alors que Le Tellier découvre que, depuis six mois, Khaled Addad rêve d'une jeune fille autrefois égorgée... D'incompréhensibles indices s'accumulent. Pour comprendre le mal dont souffre son patient, Le Tellier se replonge dans l'histoire du XVIIIe siècle. Y aurait-il un rapport entre la folie de Khaled et l'affaire Calas qui, en 1162, avait soulevé l'indignation de Voltaire ? Le jeune homme est-il coupable, schizophrène, ou tout simplement, comme Jean Calas, victime de l'intolérance et des préjugés ? Pour " écraser l'infâme ", une intellectuelle très médiatique vole au secours de Le Tellier. Ils se trouvent alors pris dans la tourmente d'événements heurtant la raison, où les morts se succèdent et les puissances occultes se déploient... Et si c'était la faute à Voltaire ?

10/2007

ActuaLitté

Littérature Italienne

Histoire de la colonne infâme

L'oeuvre d'essayiste de Manzoni est un peu moins connue, mais sa Storia della colonna infame (Histoire de la colonne infâme), qui fait l'objet de ce projet de nouvelle traduction, est cependant elle aussi couramment (quoique moins systématiquement) étudiée à l'école, à l'instar de L'affaire Calas de Voltaire, texte avec lequel celui-ci a quelque parenté. La "colonne infâme" du titre désigne un monument qui fut édifié, par la volonté des juges, pour commémorer le procès (mené à grand renfort de terrifiants supplices), la condamnation et l'exécution, en 1630 à Milan, de plusieurs hommes accusés d'avoir propagé délibérément la peste par des "onctions pestifères" , c'est-à-dire en barbouillant les murs d'un certain quartier d'une substance empoisonnée, supposément mortifère. Cet atroce fait divers avait déjà inspiré à Pietro Verri, un représentant milanais de la philosophie des Lumières versant italien, un texte mémorable, Observations sur la torture, paru en 1769 (retraduit en français en 1992 et publié par les Editions Viviane Hamy), où l'auteur dresse un réquisitoire inflexible contre cette pratique intolérable. En 1764, un autre philosophe, Cesare Beccaria , avait publié Dei delitti e delle pene (dont il existe, sous le titre Des délits et des peines, plusieurs éditions françaises récentes), un magnifique petit essai, très en avance sur son temps, contre la torture et la peine de mort. C'est dans ce contexte intellectuel que se situe l'Histoire de la colonne infâme. Mais, tandis que Verri et Beccaria publient leurs essais à une époque où la torture est encore en vigueur dans nombre de pays et régions d'Europe, et notamment à Milan , quand le texte de Manzoni paraît, en 1840, elle a été abolie - du moins officiellement - à peu près partout. L'intention de Manzoni n'est donc pas tout à fait la même que celle qui animait ses devanciers, lesquels visaient avant tout à démontrer le caractère exécrable et inutile de la torture et à la voir disparaître des codes de procédure. Pour Manzoni, cependant, il s'agit d'abord, sans doute, de consolider dans les esprits l'usage récent de ne plus mettre à la question les prévenus. On sait combien les progrès de ce genre sont fragiles et peuvent être abandonnés au détour de l'histoire ; quant à la torture, notamment, il serait naïf ou de mauvaise foi de prétendre qu'elle n'appartient qu'au passé lointain et aux civilisations archaïques. Sous des formes diverses, qui disent rarement leur nom, la torture demeure une réalité contemporaine, y compris dans nos démocraties avancées. On peut, d'autre part, supposer que Manzoni entend oeuvrer à son tour à l'amélioration, toujours possible, de la justice humaine : même sous une législation imparfaite, sinon coupable, les juges gardent la faculté de juger honnêtement. Mais, plus encore, il s'agit pour Manzoni de soulever une question générale, à la fois philosophique et politique : celle de la liberté de choix des individus, mise en regard de ce qu'on pourrait appeler, dans un anachronisme calculé, les conditionnements socio-historiques. Pour Verri, tous les juristes et criminalistes du passé sont coupables d'avoir toléré, cautionné et même encouragé la torture. Dès lors, les juges qui condamnèrent les supposés propagateurs de peste commirent, certes, une affreuse erreur judiciaire, mais dont la responsabilité incombe à la science juridique dans son ensemble, au système pénal en tant que tel - et même à l'état général de la connaissance et de la culture propres à leur temps. La faute des juges en tant qu'individus se dissout ou en tout cas s'estompe dans la mauvaiseté des lois et dans la cruauté à quoi conduirait invinciblement l'ignorance. La faute des juges n'est pas tant personnelle que collective, et indissociable d'une époque dont Verri - et avec lui tous les philosophes des Lumières italiennes - appelle le dépassement. Verri, en d'autres termes, travaille à éclairer son temps, pour le réformer dans le sens de la raison et de ce qu'on appellerait aujourd'hui les droits de l'homme . C'est sur cette question de la responsabilité des juges que Manzoni croise le fer avec son illustre prédécesseur. Dans l'Histoire de la colonne infâme, il s'attache à montrer que, même en des temps d'ignorance et dans un système pénal qui prévoit qu'on puisse infliger à un accusé - y compris en amont de la certitude de sa culpabilité - des sévices atroces, les juges conservaient la possibilité, la liberté morale de ne pas le faire. Aussi, reprenant en main les textes des juristes que Verri cite pour les accabler, Manzoni s'efforce-t-il de montrer que tous, bien que n'étant pas opposés par principe à la torture, recommandaient cependant de n'en user qu'avec discernement et modération, et jamais pour obtenir des aveux. Manzoni entend ainsi rendre justice aux criminalistes du passé, que Verri blâme selon lui injustement, au prix d'incompréhensions voire de distorsions des textes qu'il produit pour preuves de sa thèse. Mais il veut surtout convaincre que les juges qui, en 1630, firent torturer et exécuter ces malheureux, puis firent construire un monument en leur éternel déshonneur, disposaient, dans les traités juridiques de référence de leur époque, d'éléments qui leur auraient permis, qui auraient dû leur permettre de juger dignement. Selon Manzoni, si la torture était régulièrement en vigueur dans les affaires criminelles, et couramment pratiquée dès la phase d'instruction du procès, cela n'imposait pourtant pas à des esprits éclairés et probes d'y recourir. Les juges sont donc comptables à titre personnel de leur jugement, qui s'apparente à un crime. Manzoni défend ainsi l'idée que, de tout temps, jusque dans le pire des systèmes politico-juridiques, les individus conservent une part d'autonomie, la faculté de s'affranchir des préjugés de leur époque, et de se comporter selon ce qui est juste et bon. Ce qui est en jeu, implicitement, c'est donc aussi la question, ancienne et débattue depuis des siècles dans la théologie chrétienne, du libre arbitre. Mais tout autant, si l'on veut, avant l'heure, sa version plus moderne, celle du déterminisme - social, historique, politique, culturel. Sommes-nous libres de nos actions, de nos décisions, de nos pensées ? Ou sommes-nous si profondément (et inconsciemment) modelés par notre temps, par notre culture, par nos institutions, que nos "choix" ne sont, au vrai, que les conséquences inéluctables de ces divers conditionnements ? Pour l'écrivain italien, récuser l'idée que, malgré les aberrations de leur temps, malgré les vices de la forma mentis du monde auquel ils appartenaient, les juges de 1630 auraient pu juger justement reviendrait à admettre, ni plus ni moins, l'impossibilité générale et affreuse d'espérer que des hommes qui commettent un crime abominable puissent jamais agir différemment ; cela obligerait, en somme, à reconnaître que les pires scélérats ne peuvent aucunement, par principe, être tenus pour responsables de leurs forfaits : "Si, dans un ensemble de faits atroces commis par l'homme contre l'homme, nous croyons voir un effet des temps et des circonstances, nous éprouvons, en même temps que de l'horreur et de la compassion, un découragement, une sorte de désespérance. Il nous semble voir la nature humaine poussée invinciblement au mal par des facteurs indépendants de sa volonté, et comme enchaînée dans un rêve pervers et fébrile, dont elle n'a nul moyen de se déprendre, dont elle ne peut pas même se rendre compte". La question demeure d'une parfaite actualité. Il n'est que de songer aux polémiques qui ont entouré telles tentatives d'explication d'attentats terroristes récents en France. En réponse aux sociologues qui tentaient de comprendre ces actes dans un tableau causal complexe, des personnages politiques de premier plan objectèrent qu'expliquer, c'était déjà justifier. Plus que jamais, il nous semble au contraire requis, pour inconfortable que cela puisse être, d'enquêter inlassablement sur les raisons de la violence. L'Histoire de la colonne infâme nous est une invitation à ne pas refermer trop vite le questionnement sur les racines du mal.

03/2024

ActuaLitté

Science-fiction

La marche des errants Tome 1

" Elaine marchait depuis des jours, des semaines peut-être, des mois sûrement, en suivant le petit groupe de onze personnes auprès de qui elle avait trouvé un semblant de refuge. " La lune a pratiquement disparu après sa collision avec un astéroïde. Le climat de la terre a complètement basculé. Une dizaine d'années après cette apocalypse, les derniers êtres humains tentent tant bien que mal de survivre alors que la nourriture se fait rare, et qu'en l'absence de civilisation, beaucoup ont perdu toute humanité et retrouvé leurs instincts bestiaux, créant des groupes plus sanguinaires les uns que les autres. Et ceux qui tentent d'échapper à la mort, errent infiniment sur cette terre chaotique.

06/2014

ActuaLitté

BD tout public

La Marche du crabe Tome 3 : La Révolution des crabes

Sur les bords de l'estuaire de la Gironde, une variété de crabes - le Cancer Simplicimus Vulgaris ou crabe carré - est victime d'un caprice de l'évolution : elle ne peut changer de direction, et est condamnée à marcher toute sa vie selon une même ligne droite ! Mais un jour... trois d'entre eux - Soleil, Bateau et Guitare - vont réaliser qu'ils peuvent modifi er le cours des choses et... tourner ! Ainsi naissent deux clans : les rigides (qui marchent tout droit) et les tourneurs (qui changent de direction). L'issue de cette bataille ne laisserait aucun doute quant à la victoire idéologique et stratégique des tourneurs, si le clan des rigides ne bénéficiait pas du soutien des autres espèces de la faune maritime qui se sentent menacées. Une tragédie qui se déroule sous la caméra de deux reporters - Dominique et Raymond - encore loin d'imaginer ce qui les attend... Lutte invétérée, origines révélées, marée noire, reste-t-il un espoir aux crabes carrés, espèce en voie de disparition ?

11/2012