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L'homme qui m'aimait tout bas

Extraits

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Littérature française

L'homme qui m'aimait tout bas

"Mon père s'est tué d'une balle dans la bouche le 11 mars 2008. Il avait soixante-dix ans passés. J'ai calculé qu'il m'avait adopté trente-huit ans plus tôt, un jour enneigé de février 1970. Toutes ces années, nous nous sommes aimés jusque dans nos différences. Il m'a donné son nom, m'a transmis sa joie de vivre, ses histoires de soleil, beaucoup de sa force et aussi une longue nostalgie de sa Tunisie natale. En exerçant son métier de kinésithérapeute, il travaillait "à l'ancienne", ne s'exprimait qu'avec les mains, au besoin par le regard. Il était courageux, volontaire, mais secret : il préféra toujours le silence aux paroles, y compris à l'instant ultime où s'affirma sa liberté, sans explication. "Ce sont les mots qu'ils n'ont pas dits qui font les morts si lourds dans leur cercueil", écrivit un jour Montherlant. Mais il me laissa quand même mes mots à moi, son fils vivant, et ces quelques pages pour lui dire combien je reste encore avec lui." Eric Fottorino.

04/2009

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Poches Littérature internation

L'homme qui aimait les chiens

En 2004, Ivan, écrivain frustré, responsable d'un misérable cabinet vétérinaire de La Havane, revient sur sa rencontre en 1977 avec un homme mystérieux qui promenait sur la plage deux lévriers barzoï. "L'homme qui aimait les chiens" lui fait des confidences sur Ramon Mercader, l'assassin de Trotski qu'il semble connaître intimement. Ivan reconstruit les trajectoires de Lev Davidovitch Bronstein, dit Trotski, et de Ramon Mercader, alias Jacques Mornard, de la Révolution russe à la guerre d'Espagne, jusqu'à leur rencontre dramatique à Mexico. Sa propre vie dans Cuba en crise, qu'il raconte en parallèle, résonne alors étrangement. Dans une écriture puissante, Leonardo Padura raconte l'histoire du mensonge idéologique et de sa force de destruction sur la grande utopie révolutionnaire du XXe siècle ainsi que ses retombées actuelles sur la vie des individus, en particulier à Cuba.

01/2013

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Littérature française

L'homme qui aimait ma femme

Deux frères, Alexandre et Yann, aiment la même femme, Maria, rencontrée au milieu des années 1960 alors qu'ils sont tous les trois étudiants. Pendant plus de quarante ans, elle sera le pivot de leur vie et la spectatrice intime de cette histoire d'amour qui va se dérouler essentiellement à Paris, noyau politique, littéraire et artistique d'une France en mutation.Alexandre, l'aîné, deviendra professeur de lettres, Yann, le cadet, après un passage à l'École Normale Supérieure, sera avocat, Maria écrira des biographies. Le mouvement pacifiste et hippie va laisser place aux paillettes du premier néolibéralisme puis aux différentes crises économiques qui aboutiront à la récession des années 2000, Truffaut tournera Jules et Jim, Lacan endoctrinera des cohortes de jeunes psychanalystes, Althusser étranglera sa femme, Jankélévitch et Levinas croiseront Derrida, Deleuze, et même Lagarde et Michard. C'est Allis, amie d'Alexandre et témoin extérieur, qui nous raconte l'histoire belle mais terrible de ces quarante années d'amour et de trahison.

08/2012

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Littérature française

L'homme qui aimait les arbres

" Anne ! Vous permettez que je vous appelle Anne ! " La voix la fit sursauter. Cette soudaine familiarité, le ton employé, l'avaient déstabilisée. A l'évidence, il n'attendait pas de réponse, encore moins d'autorisation. La réplique avait jailli, incisive. Probablement commençait-il à s'agacer de ses hésitations.

09/2021

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Humour

L'homme qui aimait les femmes

L'hommage à un grand. La célébration d'une cause. Féministe avant l'heure, Reiser a, dans ses multiples dessins et albums, magnifié et pris le parti des femmes. Abordant d'innombrables sujets résonnants encore et toujours avec notre actualité (la liberté sexuelle, la maternité, le viol, l'avortement, le divorce, les violences conjugales, l'égalité hommes-femmes, etc.), il n'a jamais cessé de soutenir la cause féministe avec l'immense talent qu'on lui connaît. Dans le présent ouvrage, retrouvez une anthologie de ses dessins, introduite par un texte de son biographe - Jean-Marc Parisis - et complétée de témoignages de personnalités féminines ayant côtoyé l'artiste ou en phase avec lui... Parce qu'il est aussi et à jamais l'un des plus grands, les Editions Glénat souhaitent rendre hommage à son trait unique et libre... Reiser ne finira jamais d'inspirer et les 250 pages de cet ouvrage constituent autant une parcelle d'Histoire qu'un témoignage de l'amour et du respect qu'il portait aux femmes.

10/2021

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Actualité politique France

L'homme qui s'aimait trop

A l'approche de l'élection présidentielle, Françoise Degois dresse le portrait d'un homme qui reste incroyablement secret, fermé aux autres malgré l'apparente courtoisie de ses longues prises de parole. Solitaire, construit autour de sa relation avec son épouse Brigitte, il décide seul, dans un désert de confiance et d'amitiés comme peuvent en produire les épopées politiques. Arrogant, volontaire, narcissique, autoritaire, brillant : l'opinion, interrogée régulièrement, évoque avec une constance d'horloge suisse tous ces adjectifs pour évoquer Emmanuel Macron, depuis son élection en forme de holdup, une élection " par effraction " selon ses propres mots. Un président jeune, déterminé, qui voulait réparer les fractures françaises. Cinq ans après, les fractures n'ont jamais semblé plus profondes et il semble loin, le temps où la majorité des Français lui faisaient crédit en raison de son jeune âge, de son verbe sophistiqué et de ses paroles tantôt caressantes, tantôt cinglantes. L'un de ses conseillers les plus proches, Ismaël Emelien, lui avait d'ailleurs soufflé à l'oreille, au début de son mandat : " Tu dois alterner une caresse et une gifle. " Truc de communiquant ou correspondance parfaite avec une personnalité ambiguë, souvent tortueuse, voire manipulatrice dont on ne sait finalement pas grand-chose ? A quelques mois de l'élection présidentielle, Françoise Degois dresse le portrait d'un homme qui se métamorphose au gré de ses interlocuteurs, demeure incroyablement secret, fermé aux autres malgré l'apparente courtoisie et la volubilité qui caractérisent ses longues prises de parole politiques ou médiatiques. Un homme solitaire, construit autour de sa relation avec son épouse Brigitte, qui s'est beaucoup trompé dans sa façon de s'adresser aux citoyens, qui décide seul, dans un désert de confiance et d'amitiés comme peut aussi en produire les longues épopées politiques. Un homme qui n'avait pas d'amis.

03/2022

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Littérature française (poches)

L'homme qui aimait les arbres

Au début, des notes éparses, juste pour ne pas oublier. Puis, au fil des heures passées au chevet de mon père, la trame d'un récit qui ne peut être écrit qu'à la première personne. Rien de plus commun, rien de plus singulier. Ernest aimait les arbres comme les paysans aiment leurs bêtes ; il les reconnaissait de loin, il savait en évaluer la taille, l'âge, la santé, le cubage, avant de les couper, de les débiter en planches. Ses amis disaient de lui : " C'est un drôle. " II a été pour moi celui qui se levait tôt, rentrait tard, bruyant et affairé. Un père lointain. Tandis que je l'aide à retarder l'heure de sa mort, que sa mémoire s'effrite et qu'il perd jusqu'au goût de la géographie, vient l'ultime moment pour tenter de résoudre l'énigme d'une vie.

05/2018

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Littérature française

L'homme qui aimait trop travailler

Sommer a un problème, mais il est le seul à l'ignorer : il travaille sans cesse. Directeur de la chaîne logistique d'une grande entreprise, il a oublié qu'une autre vie était possible. Il jongle entre les réunions commerciales, les coups de fil et les manoeuvres malveillantes de son supérieur hiérarchique, et se targue de maîtriser son emploi du temps à la perfection. Bien sûr, il y a comme un paradoxe entre son engagement, à corps perdu, dans son métier et la dimension parfaitement dérisoire de celui-ci : vendre toujours plus de biscuits à toujours plus de clients. Mais il continue. Jusqu'à ce qu'un grain de sable vienne gripper cette machine bien huilée. En mettant en scène l'homo faber des temps modernes, Alexandre Lacroix nous offre un roman percutant sur notre relation au travail quand elle est vécue comme une servitude volontaire. L'homme qui aimait trop travailler s'ouvre comme une comédie mais pourrait bien se muer en tragédie contemporaine.

03/2015

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Réalistes, contemporains

L'Homme qui aimait les plantes

80% des molécules qui nous soignent sont issues des plantes. Sur les 250 000 espèces de plantes existantes, nous n'en connaissons assez bien qu'un pour cent. Guidés par un expert au gré de ses choix scientifiques et de ses appétits de voyages, plongez dans les connaissances actuelles, les pratiques ancestrales et les enjeux de la botanique de demain.

02/2023

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Littérature anglo-saxonne

L'homme qui aimait les îles

Si "aucun homme n'est une île" , certains aspirent néanmoins à découvrir celle qui les rendra heureux. Le héros de ce récit, l'un des derniers et des plus intenses de D. H. Lawrence, a choisi de quitter le continent pour se tailler un royaume à sa mesure. Mais où trouver sa plénitude ? Comment être à soi-même un territoire fini ? Botaniste qui tente d'ordonner le chaos du monde ou maître qui organise son domaine au milieu de la mer, l'insulaire volontaire va ainsi aller, île après île, jusqu'au bout de son utopie personnelle. Voici un texte limpide, beau et méconnu où éclate le génie tourmenté de l'écrivain anglais, un texte à lire seul au milieu du monde.

05/2021

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Policiers

Homme qui aimait les tueurs

« Je voudrais que vous enquêtiez sur moi. Je suis flic, un bon flic, sorti major de ma promotion, aujourd’hui commissaire de police. Je suis en instance de divorce, en analyse depuis trois ans et j’ai peur d’être un tueur en série… » L’auteur de cette étrange requête s’appelle Sylvain Macarie. Êtes-vous en face du criminel le plus retors de la planète ? L’homme est-il victime d’une effroyable machination ? Encore une question : acceptez-vous l’enquête ?

11/2010

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Littérature française

Cet homme qui vous aimait

Les Monstres doubles parasitaires hétérotypiens ou épigastriques, et la séparation des monstres doubles en général, par le Dr Gross,... Rapport lu à la Société de médecine de Nancy, dans sa séance du 27 décembre 1876... Date de l'édition originale : 1877 Sujet de l'ouvrage : Tératologie Avec mode texte Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/1953

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Littérature étrangère

L'homme qui aimait trop les livres

Jusqu'où iriez-vous pour mettre la main sur le livre de vos rêves ? Mieux encore, jusqu'où iriez-vous pour avoir une bibliothèque remplie de vos livres préférés ? John Gilkey a dérobé pour 200 000 dollars de livres anciens. Son but, réunir une collection à son image. C'était compter sans la ténacité de Ken Sanders, libraire irascible, qui s'improvise détective et mène l'enquête.

10/2018

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Littérature française

L'homme qui ne s'aimait pas

Que se passe-t-il entre le moment où Georges Murger est le plus jeune directeur de la Comptabilité publique jamais nommé rue de Rivoli, à la fin de la Première Guerre mondiale, et celui où il renoncera, dans la nuit du 15 août 1940, à lutter contre son destin ? Fils d'un universitaire de province, atteint d'une affection cardiaque qui lui vaudra d'être réformé en 1914, Georges Murger ne partagera jamais les jeux ni les secrets de ses condisciples, à l'école puis au lycée. C'est ainsi qu'il décidera de devenir le meilleur en tout, une " bête à excellence ". Il en paiera le prix, celui d'une ambition qui ressemblera à une fuite en avant, celui d'une course au bonheur qui ne se soldera que par des échecs. Ni Louise la bien-pensante, ni Gloria l'aventurière, ni Jeanne la bourgeoise, ni Colette l'intellectuelle, ni les enfants qu'elles lui donneront ne sauront le retenir sur sa trajectoire. Situé entre Paris et l'Auvergne où Georges a replié ses activités à la veille de la débâcle, ce roman qui débute comme un policier, par la découverte d'un cadavre, se fond, de trahison en complot, dans le drame collectif recouvert de la pèlerine du vieux Maréchal.

10/1998

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Littérature française

L'homme qui n'aimait plus les chats

[Nouvelle édition grand format - Livre audio inclus] Au large du continent, un vieux monsieur raconte son île et ses habitantsA : le gardien de phare, le poète, le curé, le professeur. Il parle de la mer, du vent et de leurs chats qui, depuis toujours, vont et viennent à leur rythme comme à leurs choix. Mais quand ils disparaissent sans explication, pour être remplacés par des chiens, c'est la façon de vivre de toute la communauté qui s'en retrouve menacée. Avec ce premier roman, Isabelle Aupy nous offre un texte élégant, rebelle et audacieux afin de nous alerter sur la fragilité de nos libertés et comprendre un monde où le langage se manipule pour changer les idées. [Isabelle Aupy prête sa voix au narrateur de cette merveilleuse histoire à écouter quand on veut, où l'on veut, grâce à un code de téléchargement inclus avec le livre papier]

06/2023

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Dictionnaires et ouvrages géné

Elisée Reclus, l'homme qui aimait la Terre

La biographie d'un penseur essentiel pour notre époque, humaniste et climatologue avant l'heure ! Il aurait dû être pasteur, il deviendra le " pape " des anarchistes et le prince de la géographie. De 1830 à 1905, la vie d'Elisée Reclus se déroule comme un jeu de piste aux dimensions du globe : le géographe traverse son temps en se fixant pour ambition d'unir les hommes à leur planète qu'il parcourt en observateur éclairé. Reclus ne craint pas les paradoxes. Anti-esclavagiste, il travaille chez un planteur. Pacifiste, il est arrêté les armes à la main pendant la Commune. Lorsque l'Histoire exige qu'il se taise, il s'exile et écrit sa prestigieuse Géographie universelle tout en organisant des conférences contre la peine de mort et le travail des enfants. Il défend l'égalité des sexes, l'union libre, le partage des richesses, les banques pour les pauvres, l'hygiène pour tous, l'éducation laïque, la libre expression, l'écologie... et s'élève contre le capitalisme ou le socialisme sans âme, la colonisation et le racisme. Ses adversaire sont Thiers et Marx. Ses amis se nomment Nadar, Bakounine, Kropotkine et, le plus cher de tous, Elie Reclus, son frère, alors que la jeune Alexandra David-Neel est sa fervente admiratrice et amie de coeur. Son odyssée, son courage et ses exils sont aujourd'hui encore trop méconnus. Sa vie et son oeuvre sont portées par une profonde réflexion sur la Terre et son devenir autant que par une vision émerveillée de la nature. Il est urgent de redécouvrir ce pionnier séducteur et iconoclaste au travers de cette biographie inspirée.

05/2023

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Critique littéraire

Casanova, l'homme qui aimait vraiment les femmes

Entre Casanova et nous, il y a deux siècles de malentendu. On le croyait un Don Juan de salon, il est l'ami des femmes et l'un des plus grands écrivains du XVIIIe siècle. Le Vénitien se jette dans l'existence sans rien vouloir en retour, sinon la plus scandaleuse des récompenses : le plaisir. Pour les femmes, Casanova est un homme disponible. Généreux, il ne connaît la volupté que lorsqu'elle est partagée. A la fin de son existence, exilé dans un château de Bohême, cet amoureux de la langue française écrit treize heures par jour l'Histoire de ma vie. Pour Casanova, le vrai bonheur est alors dans la mémoire du temps retrouvé. Lydia Flem célèbre l'insolent héritage de Giacomo Casanova : au-delà du plaisir il y a encore du bonheur.

11/2011

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Sociologie politique

L'homme qui n'aimait pas la France

Fort de sa large connaissance des rouages de la sphère publique et de la société française, Roland Hureaux fait un bilan sans concession de l'action du président Macron (dix ans compte tenu du rôle essentiel qu'il a joué auprès de Hollande). Une politique qui ne conduit à rien moins qu'à la destruction de la France. Candidat à sa propre succession, Macron n'a pas trahi la gauche : il en incarne, au contraire, la figure achevée. A la poursuite d'idéaux utopiques, la gauche ne pouvait en effet que trahir, que ce soit au travers des totalitarismes d'hier ou du ralliement sans conditions d'aujourd'hui au capitalisme le plus déchaîné. Macron représente le dernier avatar de cette gauche contemporaine que l'on voit à l'oeuvre aux Etats-Unis avec Biden : nouveau bloc historique alliant une poignée de multimilliardaires dont le Forum de Davos est l'expression accomplie, et les mouvements d'extrême-gauche hostiles à la famille, aux nations, aux libertés. En visite à Washington, Macron a avoué qu'il voulait "déconstruire la France" . Quoiqu'il n'ait cessé, de favoriser les puissances d'argent, il est un inconditionnel du woke, idéologie antiraciste, antinationale, antifamiliale, qui gangrène l'Occident et ne cesse de stigmatiser dans les médias ou les prétoires, l'islamophobie, l'homophobie, les climato-sceptiques et maintenant les "antivaccins" . Macron a en même temps développé toutes les formes d'assistance, laissant filer les déficits et écrasant les classes moyennes suspectes d'incarner une conscience nationale, religieuse ou civilisationnelle. Pour tous ceux qui ne résument pas la politique aux questions d'argent, Macron se situe, plus qu'aucun Président, à l'extrême-gauche. Toute son action montre qu'il voue à la France un désamour, moins affectif qu'idéologique : la France n'a pas sa place dans le projet euro-mondialiste qu'il prétend porter.

02/2022

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Littérature française

L'homme qui n'aimait plus les chats

Sur une île au large du continent, les habitants vivent au gré de la mer, du vent, et des chats qui, depuis toujours, vont et viennent comme bon leur semble. Un jour, les félins disparaissent sans explication. L'administration du continent en achemine alors de nouveaux, d'un genre un peu particulier... Si certains villageois acceptent cette cohabitation inattendue, d'autres se rebellent. Dans la lignée de 1984 de George Orwell, ce premier roman dépeint avec finesse et ironie l'emprise d'un pouvoir arbitraire sur une petite communauté.

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Autres éditeurs (A à E)

L'homme qui n'aimait pas les chats

Il était un homme qui n'aimait pas les chats. Alors quand un petit chaton veut s'inviter dans sa maison, ça non, il n'en est pas question !

04/2022

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Autres éditeurs (A à E)

Le garçon qui aimait tout le monde

C'est son premier jour d'école et Dimitri aimerait bien que les autres le rassurent en lui témoignant un peu d'affection. Parce que lui, il aime tout le monde et n'hésite pas à le dire. Une jolie histoire qui aborde avec douceur les inquiétudes que les enfants éprouvent lors de leurs premiers jours de classe, tout en n'oubliant pas pour autant la joie qu'apportent ces nouvelles rencontres et premières découvertes en l'absence des parents.

02/2023

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Littérature étrangère

L'homme qui savait tout

Ancien chercheur dans un institut moscovite, Aleksandr Platonovitch Bezoukladnikov n'a même plus de quoi s'acheter des cigarettes. Sa femme Irina l'a quitté, et même s'il aimerait devenir une sorte de Diogène moderne, ce rêve ne peut durer longtemps. Au bout de quelques mois d'une existence de plus en plus étique, Bezoukladnikov, après avoir tenté de trouver du travail, décide d'en finir : il saisit à pleines mains un câble électrique qui le fait valser de ses trois cent quatre-vingts volts. Il en réchappe toutefois et se retrouve imbriqué dans des aventures des plus cocasses, puisque le choc électrique l'a doté d'une capacité stupéfiante : celle de tout savoir à l'avance. À une seule condition : la réponse ne peut venir que s'il s'est posé la question. Dans un pays où l'information vaut de l'or, ce don devient vite une terrible menace pour notre héros... Écrit sur un ton léger et dans une langue amène, le livre de Sakhnovski mêle au roman d'espionnage une dose de science-fiction des années 1950, et montre, mine de rien, comment un homme " sans qualités " réussit à gagner sa propre existence contre le monde qui le poursuit... Igor Sakhnovski est né en 1958 à Orsk dans l'Oural. À dix-sept ans, il s'installe à Moscou pour devenir acteur. Il est également l'auteur de Roza, roman publié par la collection Du monde entier en 2007.

01/2010

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Littérature française

L'homme qui savait tout

Novembre 1494. Le roi de France s'apprête à conquérir Florence. Dans une cellule du couvent de San Marco, la philosophie a rendez-vous avec le fanatisme. Pic de la Mirandole attend Savonarole pour le mettre en garde contre les excès de sa foi. Ce fou de Dieu, qui fascine les Florentins, annonce un grand bûcher des vanités où seront sacrifiés les livres scélérats. Tout en se préparant à cette confrontation décisive, le jeune philosophe explore les palais de sa mémoire. En naissant, il avait tous les dons : la beauté, la noblesse, la fortune, la curiosité, l'enthousiasme, la sincérité, une mémoire prodigieuse. A seize ans, ce génie précoce débattait avec les plus grands théologiens. A vingt-trois ans, les érudits venaient consulter cet expert en langues anciennes et modernes. Ami intime de Laurent de Médicis, il fréquente tous les grands esprits de son temps. Et les femmes, dit-on, ne peuvent l'écouter sans l'aimer. Tissée de gloire, d'amour et de soufre, la renommée de Pic de la Mirandole, prince de Concordia, a franchi les frontières de l'Italie pour se répandre dans toute l'Europe. Chacun connaît ses prouesses d'orateur, ses livres subversifs, sa réputation de séducteur. Certains le tiennent pour un Mage, d'autres pour un hérétique. En cet hiver fatidique de 1494, il n'a que trente et un ans et il est peut-être le seul à pouvoir arrêter le bras vengeur de Savonarole. Il songe à son œuvre future, à la Concordia qu'il voudrait écrire... Mais peut-on éteindre un incendie avec de belles paroles ?

03/2001

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Poches Littérature internation

Tout ce que j'aimais

Au milieu des années 1970, à New York, deux couples d'artistes ont partagé les rêves de liberté de l'époque. De l'art et de la création, ils ont fait le ciment d'une amitié qu'ils voulaient éternelle et, quand ils ont fondé leur famille, se sont installés dans des appartements voisins. Rien n'a pu les préparer aux coups dont le destin va les frapper et qui vont infléchir radicalement le cours de leurs vies... Sin Hustvedt convie ici à un voyage à travers les régions inquiétantes de l'âme : bouleversant, ambigu, vertigineux, Tout ce que j'aimais est le roman d'une génération coupable d'innocence qui se retrouve, vingt ans plus tard, au bout de son beau rêve.

08/2013

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Cinéma

Ava, la femme qui aimait les hommes

Ava débarque à Los Angeles en 1941. Elle a dix-sept ans, la beauté du diable, un accent du Sud à couper au couteau, des manières de garçon de ferme, aucun don évident pour la comédie. Au début, sa carrière patine mais les hommes tombent, foudroyés : Mickey Rooney, Artie Shaw, Howard Hughes. Avec Les Tueurs, adapté d'une nouvelle d'Hemingwav, où elle donne la réplique à Burt Lancaster, émerge un personnage de vamp, de scandaleuse, une femme libre et dangereuse. Dès lors, Ava régnera, impériale et sans rivale, anticonformiste et insolente, pendant plus de trente ans. La vie de cette héroïne à la Sagan s'écrit à cent à l'heure, peuplée de monstres sacrés et de têtes brûlées, Huston, Bogart, Hemingway, Sinatra, de cuites inénarrables, d'amours ambivalentes et de quelques chefs-d'oeuvre - Pandora, La Comtesse aux pieds nus, La Nuit de l'iguane. Symbole de l'american dream, cette fille de fermiers devenue femme fatale préférait l'Europe à l'Amérique, la corrida aux hamburgers et la vraie vie aux reflets fantasmés qu'en offre le cinéma. Et pourtant, dans notre imaginaire comme dans l'histoire du cinéma, Ava Gardner s'impose bel et bien comme la dernière des stars hollywoodiennes.

03/2012

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Romans historiques

Gengis Khan Tome 1 : L'Homme qui aimait le vent

De la Chine aux frontières de l'Europe, il a régné sur le plus grand empire de l'Histoire. Dès son enfance, Temüdjin, futur Gengis Khan, rêve de grands espaces. Son précepteur chinois, Vieille Cime, lui parle d'Alexandre le Grand : il veut le surpasser en nombre de conquêtes ! Il apprend à manier l'arc, à monter à cheval, à apprivoiser les aigles. A la mort de son père, ce nomade prend la tête du clan des Quiyat, puis, en 1206, est élu chef des Mongols. Séducteur, autoritaire, il rallie à lui de nombreux peuples, bousculant les grandes civilisations sédentaires qui l'entourent : à l'ouest, l'Europe des cathédrales, à l'est, la Chine des Song. Pour atteindre son rêve de grandeur, Gengis Khan doit se révéler impitoyable. Avec virtuosité, José Frèches nous raconte les années d'apprentissage et l'ascension fulgurante de ce guerrier implacable qui faisait corps avec ses chevaux et aimait les femmes avec passion et sensualité. Un homme qui voulait vivre tous ses rêves. Le destin fascinant d'un personnage de légende.

11/2015

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Livres 3 ans et +

Le putois qui m'aimait

Un homme découvre un putois devant sa porte. Il n'est tout d'abord pas effrayé par l'animal, avant de découvrir que celui-ci est décidé à le suivre. Malgré ses tentatives pour lui échapper, l'homme ne parvient pas à distancer la bête. Taxi, opéra, cimetière, carnaval... rien n'y fait. Ce n'est qu'au bout de plusieurs tentatives qu'il parvient à le semer. Il achète une nouvelle maison et commence une vie nouvelle. Mais l'homme s'interroge : que fait le putois en ce moment même ? A-t-il commencé à suivre quelqu'un d'autre ? L'homme part donc à sa recherche et, quand il le retrouve, décide de garder un oeil sur lui, afin de s'assurer qu'il ne le suive pas à nouveau... Les illustrations sobres en couleur et en trait, rappelant les dessins de presse (tel "Snoopy"), nous plongent avec dynamisme dans cette poursuite complètement déjantée. En peu de détails, l'illustrateur arrive à planter le décor et à animer ses personnages dans toutes leurs contradictions. Un album à découvrir qui plaira autant aux petits qu'aux grands lecteurs.

02/2016

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Animaux, nature

Le chat qui m'aimait

Quand Kwong Kuen Shan s'installe au pays de Galles, elle se sent isolée et malheureuse. Son seul compagnon ? Healey, le chat de ses voisins qui viennent de déménager. Healey a en effet décidé de faire le chemin inverse afin de retrouver la colline galloise où il a grandi. Et il se met en tête d'apprivoiser Kuen Shan... Pour la première fois, l'auteur dévoile l'étonnante histoire de sa passion pour les chats - elle qui en avait une peur panique ! Agrémenté d'aquarelles originales, ce récit est une ode à nos amis à moustache - l'histoire d'une anxiété vaincue et d'un amour désormais sans limites.

11/2018

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Littérature étrangère

Tous ceux qu'elle aimait

Roman traduit de l'hébreu par : Laurence SendrowiczL'arrivée de Cilag, une Hongroise d'une cinquantaine d'années, au port de Haïfa, en 1957, va bouleverser la vie apparemment tranquille de deux frères installés en Israël depuis 1949, Lazlo et Isser Neimand, les seules personnes qu'elle connaisse dans ce nouveau pays, dont elle ne comprend même pas la langue. Cilag, après avoir écumé l'Europe, à la recherche de sa fille Erika (dont elle a été séparée au moment de monter dans le train qui les emmenait au camp de la mort), a fini par se faire expulser vers Israël, où elle poursuit sa quête. Ce roman raconte l'impossible intégration des rescapés d'Israël et dresse un terrible constat : l'humanité n'en a pas terminé avec la Shoah.Pour ce témoignage, d'une grande qualité littéraire, sur l'une des conséquences des horreurs de la Shoah, Edna Noy a choisi un ton juste et d'une grande dignité.

04/2013

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Poésie

Et là bas, tout au bout

Et là-bas, tout au bout est le troisième recueil de poèmes et chansons de l'auteur. Il clôt un cycle, débuté il y a plus de quarante ans et qui a vu naître deux autres ouvrages, Chansons à rêver et Cet inconnu que je traverse. Ces textes racontent, à la manière d'un album de photos, des voyages, errances, rencontres, découvertes et évoquent une palette de sentiments contrastés, flamboyants ou intimes. Ces poèmes restent de forme classique, proche du langage parlé. L'auteur a côtoyé de nombreux artistes, beaucoup dans le domaine de la chanson française et a été tout particulièrement nourri de l'écriture des plus grands : Brassens, Brel, Ferré mais aussi Nougaro, Sheller ou Allain Leprest. Ces écritures, transparentes d'émotion et de patience témoignent de ce chapelet d'instants que l'on appelle le bonheur.

02/2022