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L'Enfant qui meurt. Motif avec variations

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Théâtre

L'Enfant qui meurt. Motif avec variations

A l'origine, une intuition : " l'enfant qui meurt " comme motif récurrent dans le théâtre du monde, d'Occident en Orient. Par-delà tout ce qu'un tel décès procure comme désarroi et deuils personnels, le motif cristallise un rapport au monde, révèle des stratégies de pouvoir, concentre les peurs d'une époque. Des Grecs aux Romains, de Shakespeare à Racine, " l'enfant qui meurt " renvoie à des comportements mythiques ou à des stratégies politiques. Au terme du XIXe siècle le motif gagne en fréquence et se retrouve constamment chez Tchekhov ou Ibsen, Maeterlinck ou Hauptmann. Les raisons de ces décès divergent mais elles semblent toujours échapper à la volonté des humains : maladies, accidents, noyades, chutes... La mort de l'enfant frappe les personnages comme un résidu du destin tragique, aveugle et immaîtrisable, symptôme d'une crainte d'avenir, d'une menace de stérilité et d'une impossibilité de régénération. A la fin du XXe siècle, le motif fait retour mais chez Edward Bond, Sarah Kane, Franz Xaver Kroetz, Joël Pommerat, Laurent Gaudé, Wajdi Mouawad, Hanok Lévine, ce n'est plus le destin qui frappe, mais bien souvent la mère elle-même qui tue, agression délibérée contre le principe de vie. Le cinéma et les arts plastiques ne restent pas à l'écart et le motif s'y retrouve avec une égale intensité, toujours en raison du désarroi qui se généralise : égarement sans secours, douleur sans réponse, vie sans perspective, no future. " L'enfant qui meurt ", excès qui défie la représentation.

06/2010

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Romans, témoignages & Co

Qui meurt ?

Le jeu malsain des rumeurs est de retour au lycée de Bayview, sous forme de SMS anonymes : l'élève nominé a 24 heures pour choisir de relever un défi, ou de voir un secret révélé. Et on ne peut pas refuser de jouer ! MAEVE.PHOEBE et KNOX l'apprennent à leurs dépens. Mais lorsqu'un autre lycéen meurt en relevant son défi, nos trois héros passent de VICAMES à SUSPECTS. Et ils ne peuvent pas compter sur la police. Ni pour les innocenter, ni pour les protéger.

04/2021

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Littérature française

L'île qui meurt

La mulâtresse Renée Lacascade et son mari André Pérye campent un portrait désabusé de la société guadeloupéenne des années 1920. Les principales catégories accueillent sous haute tension un nouveau gouverneur, intelligent et fin, dont l'épouse d'origine guadeloupéenne s'est affranchie par son éducation supérieure en France de certains des présupposés de sa classe. Les loyautés politique et familiale déchirent les personnages. Un maire noir réclamant le suffrage universel excite des esprits surchauffés. La confrontation tourne au drame. Chemin faisant, on apprend beaucoup sur la mentalité des Antillais de l'époque et l'on est à même de mesurer son évolution depuis.

05/2020

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Littérature étrangère

L'homme qui meurt

L'Homme qui meurt est le premier roman de James Baldwin depuis Un autre pays, publié en France en 1964. Avec l'intensité qui caractérise ses oeuvres, Baldwin conte l'histoire d'un célèbre acteur noir américain, Leo Proudhammer. Terrassé par une crise cardiaque à l'âge de trente-neuf ans, celui-ci se voit imposer une période d'immobilité : il revit alors en pensée son enfance à Harlem, sa jeunesse parmi la bohème de Greenwich Village, son existence avec sa maîtresse blanche, Barbara, qui est aussi sa partenaire sur scène, avec son frère, un raté... Leo doit aussi affronter l'avenir : atteint au sommet de sa carrière, saura-t-il entrer dans l'ombre et en supporter les conséquences ? Mais la chance est de son côté, et nous assistons, fascinés, à son inévitable montée vers le succès. D'autres thèmes se retrouvent dans ce roman : peut-on être noir et se battre pour l'Amérique ? Le Dieu des chrétiens est-il une création de l 'homme blanc ? Avec toute sa sensibilité, James Baldwin décrit l'enfance de Leo à Harlem, la vénération qu'il porte à son frère aîné, la violence des affrontements avec les Blancs et la police. Il nous donne l'image d'une société déchirée par la haine et la peur.

09/1970

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Théâtre

Que meure celui qui flanche

La guerre civile est déclenchée dans ce pays qu'est le Mondalo. L'armée du général Encorla affronte la rébellion emmenée par Malko Sétouf, le neveu du président Tombola. De Vieillebranche voit d'un très bon oeil ce chaos qui s'installe dans le pays et qui empêche toute nouvelle politique. Il fait appel à des mercenaires pour entretenir le conflit et continuer son fructueux business. Les Mondaloves sont encore et toujours à la merci des manigances de l'homme d'affaires insatiable. De Vieillebranche a su diviser pour mieux régner et engluer tous ses détracteurs dans des contradictions qui les emprisonnent. L'autoroute du pouvoir et du profit est grande ouverte pour cet homme cupide et sans scrupules.... mais les choses peuvent ne pas se dérouler comme prévu.

10/2018

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Littérature étrangère

La bête qui meurt

" Un nu aux seins opulents, légèrement évasés, pour lequel elle aurait pu poser elle-même. Un nu aux yeux clos, défendu comme elle par sa seule puissance érotique et, comme elle, à la fois primaire et élégant. Un nu mordoré mystérieusement endormi sur un gouffre noir velouté que, dans mon humeur du moment, j'associais à celui de la tombe. Fuselée, ondulante, elle t'attend, la jeune fille, immobile et muette comme la mort. " A l'orée de la vieillesse, David Kepesh, esthète attaché à sa liberté et séducteur exigeant, rencontre parmi ses étudiantes Consuela Castillo, vingt-quatre ans, fille de riches émigrés cubains, " émerveillée " par la culture. Et découvre la dépendance sexuelle... C'est le roman d'un envoûtement dans une Amérique bien loin des joyeuses bacchanales des années soixante, chères au Professeur de désir... Et au tournant du millénaire, cet alter ego de l'auteur, naguère héros du Sein, est confronté non seulement à son propre vieillissement mais aussi à la mort qui rôde en chacun de nous. Après La tache, Philip Roth nous offre à la fois un précis amoureux, une radiographie de notre temps et une méditation sur la condition humaine. Un nouveau chef-d'œuvre, d'une perfection lapidaire.

09/2004

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Littérature française

La terre qui meurt

LA TERRE QUI MEURT : roman du malaise paysan ? roman de l'échec de l'autorité paternelle ? ou encore celui d'un amour contrarié par le refus de l'étranger ? Tout cela sans doute, mais surtout un livre qui révéla, voici cent ans, et fait voir encore de nos jours cette partie maritime de la Vendée, le Marais, dans tous ses aspects particuliers : closeries secrètes et fermes entourées d'étiers, coutumes des journées laborieuses et des soirées de détente, hommes et femmes, jeunes ou anciens, dans leurs gestes, leurs habits, leur façon de dire. C'est ainsi que peu à peu le lecteur, abordant la ferme de la Fromentière, pénètre dans l'intimité des Lumineau dont le chef de famille, le métayer Toussaint, constate avec détresse qu'aucun de ses enfants ne pourra ou ne voudra lui succéder ; pas même la jeune Roussille, puisqu'elle a " donné son amitié " au valet qui n'est pas d'ici mais un " damnion " (damné) du Bocage. " Voilà tout ce qui me reste "... " C'était le souvenir des autres enfants qui passait, comme la pluie en rafales "... À cette histoire contrastée de violences et de générosité correspondent les paysages du Marais, immuables dans la variété des heures et des saisons, que René Bazin a si bien décrits.

07/1999

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Géographie

La terre qui meurt

    Quel avenir pour le territoire alors que son aménagement n’est plus considéré comme le socle de nos sociétés ?    Cri d'alarme fondé sur une réflexion qui demeure à la pointe de l’actualité, La terre qui meurt concerne chacun d’entre nous. Du tissu serré d’où émergent les cathédrales gothiques, des percées haussmanniennes aux villes nouvelles, puis aux agglomérations proliférantes d’aujourd’hui, Françoise Choay pointe à chaque occasion comment les mentalités, les savoirs techniques et les pratiques économiques ont marqué la ville et l’urbain. Face aux effets normatifs de la mondialisation et à la marchandisation du patrimoine, Françoise Choay appelle à retrouver le contact perdu avec la Terre.Docteur d’Etat en philosophie, historienne des théories et des formes urbaines et architecturales, Françoise Choay, a enseigné à Paris-VIII, à Louvain-la-Neuve, au Politenico de Milan, à Chaillot et aux Etats-Unis (MIT, Princeton, Cornell). Par ailleurs critique d’art et directeur de collection au Seuil, elle a reçu pour son œuvre le premier Grand Prix national du livre d’architecture (1981) et le Grand Prix national du patrimoine (1995).

03/2011

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Romans policiers

Qui meurt à Noël ?

CUPCAKE FATAL POUR LE NOËL DE LA LIBRAIREAlice, 30 ans, n'a jamais passé Noël en dehors du cocon familial. Sans elle à ses côtés, sa soeur aînée Romy, qui souffre d'un trouble de la personnalité, serait malheureuse et risquerait de se faire du mal. Pourtant, cette année, Alice ne peut pas fermer la librairie-salon de thé qu'elle tient depuis quelques mois. Alors elle embauche Romy pour l'aider à préparer les pâtisseries de Noël, à servir les clients et à organiser les nombreux événements qui animent cette période magique de Noël. Des ateliers d'écriture, des rencontres avec des auteurs L'un d'eux, d'ailleurs, ne laisse pas Alice indifférente. Mais, comment imaginer une relation avec un homme quand il est impossible de se séparer de sa soeur ? Un matin, Alice retrouve un livre sur le comptoir : Qui doit mourir ? Lorsqu'elle le remet en place, elle trouve un post-it collé sur l'étagère : "Qui ? " Commence alors un enchaînement de phénomènes étranges au sein de la librairie. La tension de plus en plus palpable amplifie les symptômes de l'état limite de Romy et la relation entre les deux soeurs devient électrique. Alice ne se sent plus en sécurité. Alors qu'elle tente de se raisonner, un client succombe après l'ingestion d'un cupcake

10/2022

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12 ans et +

Pour qui meurt Guernica ?

Espagne. Janvier 1937. La guerre civile fait rage. Alors que les rebelles du général Franco ont conquis une grande partie du Pays basque, Maria est envoyée par ses parents dans la petite cité de Guernica, pour l'éloigner du danger. Mais l'Histoire va en décider autrement... Elle rencontre Tonio, adolescent romantique et poète à ses heures perdues. Ensemble, ils découvrent la passion, la mort et l'engagement politique. Commence leur errance à travers une Espagne déchirée, où le danger se cache sous bien des rochers. Entre barbarie et trahison. comment survivre, lorsqu'on a dix-sept ans et ses rêves pour seule arme ?

08/2018

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Religion

L'amour qui ne meurt pas

L'amour d'une mère en regard de l'Amour divin

04/2019

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Littérature française

L'enfant qui

Trois trajectoires, trois personnages mis en mouvement par la disparition d'une femme, à la fois énigme et clé. L'enfant marche dans la forêt, adossé à l'absence de sa mère. Il apprend peu à peu à porter son héritage de mystère et de liberté. Avec un chien pour guide, il découvre des lieux inconnus. A chaque lieu, une expérience nouvelle. Jusqu'à la maison de l'à-pic. Le père, menuisier du village, délaisse le chemin familier du Café à la maison vide. En quête d'une autre forme d'affranchissement, il cherche à délivrer son corps des rets du désir et de la mémoire. Et puis il y a la grand-mère, qui fait la tournée des fermes voisines, dont le parcours encercle et embrasse le passé comme les possibles. Porté par la puissance de l'imaginaire, L'Enfant qui raconte l'invention de soi, et se déploie, sensuel et concret, en osmose avec le paysage et les élans des corps, pour mieux tutoyer l'envol.

05/2017

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Lecture 9-12 ans

L'enfant qui disait n'importe quoi

Elevé à la campagne, Alexis vient de découvrir les joies de l'exploration de la ville, quand il tombe sur un mystérieux moulin avec une trappe et une... vieille demoiselle un peu originale. Folle ? Pas du tout, elle a juste un rêve, retrouver Blandine, sa nièce disparue depuis dix ans. Alexis sera-t-il son messager idéal ?

04/2010

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Littérature française

La chose qui ne meurt pas

Une photographie de famille après la mort d'un père, le chauffeur d'un bus d'Edimbourg, ses deux expatriés à moitié endormis sur les sièges arrière. Un caissier de supermarché gardien d'un temple de néon, une séance de team-building braillard. Le lancer d'une araignée à la surface d'une rivière et une colonne d'eau de quarante mètres sous les pieds... Dans un apparent coq-à-l'âne, La Chose qui ne meurt pas est une tentative de dire l'universel niché dans le très rien ou le très intime. Des sujets chers à H. Thoreau - la nature, l'émerveillement, la solitude, la critique de la société industrielle - jusqu'à la mise en tension de thèmes plus personnels - ce qui ne finit pas de revenir, les contradictions intimes de la nature humaine -, les scènes qui composent ce double recueil se renvoient de page en page un écho discret. Elles finissent par sculpter en creux un extrait autobiographique où le deuil, la volonté d'exister sans frontière, la fragilité et l'émotion s'y débattent dans un silence bruyant.

06/2014

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Religion

Ce lien qui ne meurt jamais

En 2000, le fils de l'auteur, pasteur et théologienne protestante dont toute l'oeuvre est centrée sur la notion de malheur, se suicidait à l'âge de 28 ans. Pendant plusieurs mois, elle prit quotidiennement note des événements et des sentiments qui l'habitaient. Avec le recul, elle commente ses notes et tente de les interpréter à la lumière de la psychologie et des Evangiles.

10/2010

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Romans de terroir

Tout ce qui meurt me touche

Bayeux, sa cathédrale, sa tapisserie et Gilles Shorter. Le cinéaste charismatique a besoin de quelqu'un pour accueillir ses invités en son absence, une mission d'intérim rêvée pour Martin Mesnil. Seulement, la propriété du septuagénaire est lourde de secrets et ce qui ne devait être qu'un travail agréable va vite se transformer en cauchemar hanté par des jeunes filles en pleurs. Une collection dirigée par Marion Chemin et Jean-Noël Levavasseur "Les enquêtes de Martin Mesnil" est une nouvelle collection de romans noirs qui se déroulent en Normandie. Ils mettent en scène Martin Mesnil, un intérimaire itinérant que les injustices révoltent. Père divorcé, travailleur précaire par choix, curieux de nature, Martin Mesnil évolue dans différents milieux, au gré de ses missions. Il se retrouve confronté aux maux de notre société (crimes, trafics, corruption, écologie, immigration...). Il peut être aussi tenté de s'intéresser à des faits plus anciens, à des énigmes historiques.

07/2017

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Littérature Espagnole

Tout ce qui meurt en avril

Linda et Relicario vivent au fin de fond des plaines désertiques d'Argentine. Leur fils leur a été enlevé il y a plus de dix ans et la solitude pèse de plus en plus à Linda. Un jour, elle décide de se mettre en route, seule, en pleine rocaille, pour retrouver son fils, jusqu'à atteindre le domaine des frères Loprete, qu'une aura de mystère et de violence entoure... Relicario hésite d'abord à la suivre car il ne se résout pas à abandonner les tombes de ses parents. Mais après s'être résolu à les déterrer, il se met en route, avec leurs os, à dos d'âne. Un roman parfaitement maîtrisé et tout en tension, à la croisée de l'épopée familiale, du western, de la quête et d'une réflexion sur le pouvoir, le déracinement et les migrations de travail.

03/2024

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Lecture 9-12 ans

L’enfant qui marche

Jean-Louis Etienne a toujours aimé marcher. Davantage attiré par la vie au grand air que par l'école, le jeune garçon rêve de voyages et de glaces éternelles, et se passionne pour les récits d'explorateur. Ouvrier, rugbyman, chirurgien... son étonnant parcours enrichit son regard sur le monde. Bientôt, la voix de l'Aventure lui souffle des désirs de montagne et de mer...

03/2020

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Littérature française

L'enfant qui regarde

M. Gérard séduit les femmes. Pourtant, il ne sort déjà presque plus de chez lui quand le narrateur, son voisin, un enfant d'un quartier pauvre de Port-au-Prince, se découvre une fascination pour cette figure mystérieuse, au savoir-vivre exquis et au rare bon goût. Cet ancien professeur congédié d'une école pour jeunes filles l'initie à Baudelaire, Keats et Wagner. Les ragots fusent. Pour le Pr. Désir, il aurait aimé une belle jeune femme, ou il aurait été épris de la mère d'une élève, à moins qu'il ne soit impuissant. Selon le Dr Hyppolite, un homme l'aurait giflé dans un bar, sans que lui, digne, ne réplique. Tout est énigmatique chez cet homme qui semble vivre dans le malheur. Qu'en est-il réellement de son mystère et de son charme ? Nous l'apprendrons en suivant le regard du narrateur, cet enfant sensible et intelligent, dans cette nouvelle écrite de main de maître.

03/2022

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Littérature française

L’enfant qui ronronne

Ce livre restitue un court passage de la vie d'un petit garçon. Un enfant courageux, héroïque et compatissant qui devra se contenter de l'hypocrisie et de l'indélébile méchanceté de son père et de la fuite en avant de sa mère, tiraillée entre l'amour dissimulé pour son enfant et l'autorité d'un mari investi par la rancoeur d'avoir été dupé. Ce récit éveillera peut-être les consciences sur l'innocence et la fragilité de l'enfance. Il devrait interpeller chaque adulte sur le pouvoir d'empathie, de tolérance, de compréhension, et plus encore de pardon, que possèdent les enfants. En devenant adulte, ces qualités s'annihilent lentement, acculées par la difficulté, la dureté et la souffrance que peut engendrer la vie. Toutes les injustices, tous les coups que chacun reçoit, ne devront et ne resteront jamais des barrières infranchissables, mais uniquement une exhortation vers l'inconnu et le dépassement de soi. Il suffit parfois de tendre tout simplement la main pour que la vie reprenne.

06/2021

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Romans, témoignages & Co

Le premier qui meurt à la fin

La préquelle du best-seller mondial Et ils meurent tous les deux à la fin. "Ne cherchez pas à comprendre comment nous savons que vous allez mourir, concentrez-vous plutôt sur votre manière de mener à bien votre existence". New York, la veille de la mise en fonction de Death-Cast... Orion Pagan vit dans la crainte de mourir, il s'est inscrit à Death-Cast pour cesser d'avoir peur. Valentino Prince vient juste de s'installer à New York prêt à mordre la vie à pleines dents. Lorsque Orion et Valentino se croisent à Times Square, c'est le coup de foudre. Mais les premiers appels de Death-Cast commencent à tomber, bouleversant leur vie : l'un a reçu l'appel, l'autre pas.

10/2022

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Littérature française

Ce grand soleil qui ne meurt pas

"Les mouvements révolutionnaires qui firent notre histoire commencent souvent dans l'intimidation pour s'achever bientôt en fureur. Loin des champs de batailles qui attendrissent les nostalgiques de la guerre et du clairon, n'est-il pas concevable d'imaginer que ce qui est vraiment révolutionnaire avance "sur des pattes de colombe" ? Et n'ait pas grand-chose à voir avec les fusillades et les charniers qui fascinent tant les intellectuels en mal d'action ? Il y a, pourtant, une autre vie dans la vie. Il faudrait apprendre à penser le temps autrement. A penser l'histoire et la politique autrement. Il faut tout reprendre à zéro."B. S.

05/2011

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Humour

Chroniques du Château faible. Le roi se meurt... qui lui succédera ?

Le Roi se meurt... Qui va lui succéder ? Liquide sur son trône, le Roi sent ses derniers jours approcher... Le royaume est en ébullition : qui va bien pouvoir le remplacer ?

Les héritiers autoproclamés se bousculent au portillon, les truands des bas-fonds fomentent des plans pour pénétrer le château et les ennemis de toujours se rassemblent pour faire de petites "blagues" à sa majesté.

Des décors médiévaux et des personnages à la Shaddock, un humour à la Kaamelot, Mazurie nous propose un album truculent et léger.

02/2024

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Littérature française

Avec enfant

" Il arrivera le jour où je penserai que tu es finalement devenue comme ces petites adultes qui attendent leurs copains à la rotonde du parc Monceau avec, sur le dos, tout ce qu'il faut pour appartenir à la tribu des grandes filles modernes et consentantes qui n'ont en tête que des détails sans importance. Heureusement, et avec le temps, tu ne représenteras pour moi qu'une lointaine et fâcheuse expérience ponctuée de souvenirs pénibles quand tu te sentiras tenue de revenir nous voir le dimanche (si je dis nous, c'est par optimisme car il se peut que je vieillisse indépendamment de ta mère et que tu sois alors obligée de venir me visiter dans cet appartement miniature et sale que j'occuperai, ce qui ternira ton humeur pour la journée). "

04/2009

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12 ans et +

L'enfant qui savait tuer

Haut comme trois pommes, Sonny déteste qu'on l'appelle Shorty. A douze ans, il aime encore les sucettes et vit à Medellin, en Colombie. Une ville où les trafiquants de drogue font la loi et où les armes remplacent souvent les mots. Plus qu'un copain, Alberto est pour Sonny un véritable frère. Tous deux rêvent de fuir la misère et la rue. Quand Alberto se fait " embaucher " comme tueur à gages par un parrain de la drogue et finit par disparaître tragiquement, Sonny se retrouve seul, totalement perdu. Une seule voie s'impose à lui prendre la relève de son ami. Un revolver lui procurera le respect et la sécurité auxquels il aspire. Et de quoi vivre décemment. En toute innocence, Sonny signe ainsi sa perte. Mais a-t-il vraiment le choix ? L'histoire de Sonny témoigne d'une réalité que tout le monde devrait connaître. Un livre que l'on reçoit comme un coup de poing.

03/2006

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Littérature française

L'enfant qui se taisait

La sonnerie du téléphone a retenti dans le salon à moitié vide. L'annonce de l'enlèvement a résonné dans la pièce. Je me souviens avoir prononcé à voix haute cette unique phrase : "Papa est mort". Puis je me suis tue. Il aura fallu soixante ans pour que je brise enfin le silence familial et celui de la grande Histoire. L'enfant qui se taisait est le récit des longues recherches entreprises à la suite de ma mère sur la disparition d'un homme, mon père, enlevé dans son village aux portes du désert des Hauts plateaux quelques jours avant l'indépendance de l'Algérie. L'écriture confronte les époques, les lâchetés, les peurs, dans une quête obstinée et impossible de vérité. Elle permet aussi de faire revivre les témoins de la fin d'un monde que tout annonçait mais que personne n'avait vue venir, et les reviviscences de l'enfance. M. -C. A. E.

10/2021

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Littérature française

L'enfant qui m'accompagne

L'enfant qui m'accompagne encore aujourd'hui, c'est celui que sa mère a abandonné, que son père a arraché à son kibboutz en 1952. L'enfant y a perdu son prénom, sa langue, ses copains, son univers pour se retrouver en France, trimballé de maisons d'enfants juives en belles-mères successives, " maltraité " par un père aimant, dictatorial, imprévisible. Par bonheur, une grand-mère et un grand-père l'accueillent quand il croit avoir perdu tout repère. Comment s'étonner que l'enfant chahuté revienne soudain hanter l'adulte, pris de vertiges, pétrifié, égaré? L'enfant l'envahit comme au temps où il se demandait " Où est-ce que je vais dormir ce soir? ". Il a perdu toutes les défenses qui lui ont permis de survivre: la rage, l'humour, la tendresse. Il ne lui reste que le chaos. L'enfant qui m'accompagne se met à gronder de colère. Il fallait le laisser parler... pour l'apaiser. L'enfant qui m'accompagne dévoile ce qui est au cœur des ouvrages de l'auteur; cet intérêt porté à l'enfance en souffrance, aux mensonges des adultes, avec ce regard moqueur, impertinent, plein de tendresse.

04/2008

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Littérature française

L'enfant qui maudit Dieu

Un enfant observe sa drôle de famille : le grand-père, protestant à tendance orgueilleuse ; la mère, protestante à tendance hystérique ; le père, juif polonais à tendance Français universaliste. Chacun cultive à sa façon le douloureux souvenir d'une barbarie historique et tente d'en tirer une preuve de l'existence de Dieu ou une raison de ne pas y croire. Dans cette Babel miniature des rives de la Dordogne, le regard enfantin révèle l'absurdité des croyances. S'en mêlent un pasteur camerounais, des immigrés italiens, des francs-maçons athées, un instituteur tortionnaire, le fantôme de Trotsky et un pauvre cochon que l'on sacrifie sans pitié. Puis l'ambiance tourne à l'aigre-doux. Accablé par les " devoirs de mémoire ", l'enfant regarde de haut un monde d'adultes décidément bien petits, chez lesquels le prétendu souci du bien n'inspire que mépris et révolte. Alors l'enfant maudit Dieu, responsable de tout, dans l'espoir hasardeux de se réconcilier avec les hommes.

08/2006

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Littérature française

C'est le coeur qui meurt en dernier

Robert Lalonde évoque de façon bouleversante celle qui fut sa mère, femme piégée par le destin et qui d'outre-tombe continue d'entretenir avec son fils un rapport de tendresse et de bataille. J'émerge. essoufflé, d'un rêve où tu t'adressais à moi dans une langue inconnue. Inquiète, énervée, volubile au-delà de ton accoutumée, tu cherchais à me confier le fin mot de ton histoire, la réponse enfin à ta question lancinante - "J'ai été qui, j'ai été quoi, peux-tu me le dire? " - mais arrangée dans un charabia inintelligible, où revenaient' sans finir, comme le refrain traînant d'une complainte, mes trois prénoms, chantonnés tristement, à la manière des prières que je marmonnais autrefois sans comprendre ce qu'elles voulaient dire. C'est moi, bien sûr, qui nie pose à moi-même, en plein coeur de la nuit, la question suppliciante. C'est ma voix dans la tienne qui psalmodie Joseph, Serge, Robert, espérant que ces trois-là répondront à l'appel et articuleront à ma place une réponse claire, nette, définitive à ta grande question à cent piastres ". Quelque chose comme : J'ai été celui qui a eu raison de t'aimer, puis raison de te haïr et de m'enfuir, raison de faire ma vie loin de toi, et finalement raison de rentrer, même s'il se fait tard.

08/2014

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Littérature française

Oeuvres romanesques complètes. Ce qui ne meurt pas

Premier roman d'un jeune Barbey romantique, écrit autour de 1835, Ce qui ne meurt pas, est en fait le dernier que le romancier publia, en 1883. Il s'agit une histoire frénétique, toute d'incestes et d'adultère, sorte de condensé des fantasmes aurevilliens. Mais c'est aussi une étrange aventure immobile, à laquelle le huis-clos de trois individus inséparables donne seul son intensité. Écrit comme une tragédie où s'imposerait un fatum inexorable, ce texte se présente pourtant comme un roman catholique, frappé au coin d'un jansénisme implacable. Il se caractérise en outre par une sorte de jouissance effrénée de la flétrissure et de la dégradation et rejoint ainsi la tonalité crépusculaire de la décadence.

08/2015