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L'écorce des choses

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BD tout public

L'écorce des choses

C'est l'histoire d'une petite fille privée de sa voix. Dans un monde qu'elle perçoit comme un gigantesque aquarium, elle va trouver refuge au pied d'un arbre, lieu de ses rêveries et de ses parties de jeux, mais aussi de sa rencontre avec un petit garçon mystérieux. Laissez-vous immerger dans le récit d'une petite fille qui tâche de s'affirmer autrement que par la parole...

10/2017

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Romans de terroir

L'écorce

Quand Lacambre, jeune marié sans presque un sou vaillant, a acheté à crédit la mauvaise ferme de La Girle, il savait à quoi il s'exposait, à quelle âpreté de labeur, à quelles inquiétudes. Mais il en avait assez de travailler pour les autres, et il voulait faire une bonne maison, une belle terre pour ses enfants. Aidé par une femme courageuse et par un valet comme lui, intrépide au travail, il a d'abord réussi ; du moins, cet homme farouche et opiniâtre le croit-il. Sa seconde fille est "casée", son fils cadet prendra sa suite. Il compte même parachever son triomphe par l'achat d'un tracteur. Voici, en effet, que soudain fait irruption, à son rythme accéléré, le monde moderne, son clinquant, ses facilités, son bonheur de pacotille. Fermé aux réalités de la vie, à l'évolution de ce monde qu'il ne soupçonne pas, Lacambre continue sa tâche obstinément. Etranger dans son temps... Et puis, tout à coup, c'est la chute. L'écorce avait beau reluire sous le soleil, l'arbre était déjà condamné, abandonné à la morsure d'un ver impitoyable et sournois : le malheur.

04/2014

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Techniques d'écriture

Sous l'écorce

Un récit à fleur de peau, dans lequel Agnès Ledig partage la dimension thérapeuthique des mots. " J'ignore à quelle essence j'appartiens, mais je sais que je ne suis qu'un petit trait d'union, entre la terre et la lumière. " Dans un récit à fleur de peau, Agnès Ledig raconte les circonstances douloureuses de la naissance de l'écriture, au moment de la maladie de son fils, la dimension thérapeutique des mots, le rêve d'une autre société, celle dont elle rêve, celle qui lui manque, construite sur des valeurs humaines essentielles, Liberté, Egalité, Fraternité, Respect... une société qui prend vie dans chacun de ses romans et dans ce texte magnifique, hommage à la beauté du vivant. Biographie : Ancienne sage-femme exerçant à Strasbourg, Agnès Ledig a publié son premier roman, Marie d'en haut (2011). En 2013, il est suivi par Juste avant le bonheur chez Albin Michel, succès de librairie couronné par le prix des Maisons de la Presse, puis par sept autres romans, traduits en douze langues. Elle s'est imposée comme l'une des romancières françaises les plus aimées du grand public.

10/2023

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Poésie

Votre écorce

Longue suite composée de 91 poèmes, ce livre de poésie se présente sous la forme d'une adresse au poète et écrivain Claude Esteban, d'un dialogue avec l'auteur disparu. Il y a dans cette suite quelque chose d'une complicité magnifique entre l'auteure et celui auquel elle s'adresse, ce dont témoigne la plupart des poèmes, discrètement mais sûrement, dont celui-ci : "Tu te souviens / elle n'était pas / morte / tout à fait / ni / sa main / ni / le pourpre des / peintures ni / la langue où / je la veille" . On y trouve une parole poétique d'une très grande maîtrise, et qui, dans l'adresse à l'autre, cherche à formuler ce que nous sommes, sans jamais préjuger de ce que nous serons. Les lieux sont rarement déterminés et pourtant témoignent des itinéraires, qui sont ceux de la vie. Comme souvent chez cette auteure, le moment réflexif, l'ordre de la pensée jamais refermée sur elle-même accompagne ces moments de surgissement de la parole poétique en cette distance par rapport à la banalité de la traversée des jours.

10/2023

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Littérature française

Ecorce pâle

Orville, paisible cité dortoir au coeur des Ardennes belges, est secouée par une terrible tragédie : le meurtre d'un élève par l'un de ses camarades. La culpabilité de ce dernier est prononcée. Deux éminents psychiatres devront alors naviguer dans les limbes de son cerveau afin de permettre au juge de déterminer les conditions de détention les plus adaptées à son profil. En remontant le fil de son histoire, le duo va déterrer les racines du mal et de terribles vérités. Un thriller haletant pour ce second livre de Jonathan Laixhay.

04/2024

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Littérature française

La peau, l'écorce

Quelque part en plein désert, à l'affût sous un soleil qui le déchire, un homme attend l'heure de l'assaut avec le reste de sa patrouille. Il est l'un des nombreux soldats fantomatiques d'une guerre qui ne porte même plus ce nom. Ailleurs, un homme se réveille un matin raccordé à sa fille de quatre ans par un cordon ombilical. Il déambule, désemparé, dans une ville à la dérive. Deux temps, deux réalités parallèles, mais un seul univers, le nôtre, arrivé au bout de son épuisement. A la fois réflexion sur la ruine des corps qui accompagne la ruine du monde et sur l'amour asymétrique entre parents et enfants, "La peau et l'écorce" est une fable noire, une légère anticipation, onirique, charnelle qui dessine la cruelle poésie de la fin d'un monde.

01/2017

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Poésie

Traverser l'écorce bleue

En nous aidant à Traverser l'Ecorce Bleue, Valérie Thévenot convoque ce Grand Mystère de la Nature qui nous compte et nous conte parmi ses énigmes. Là-bas, loin, très loin... au-delà de l'océan, règne l'Arbre Bleu, sans âge, sorti du chaos... , nous révèle l'auteure en sa source d'eaux miraculeuses. Baguée par trois degrés initiatiques cette chercheuse de Vérité enracine et déploie l'arbre-source, l'arbre-pierre et l'arbre-ciel. Si nul ne peut hisser sa vie sans traverser le feu, Valérie Thévenot franchit l'écorce des arbres comme on se mesure au vaste, à la densité, à l'océan. Après des maturités fécondées, l'héroïne découvre La Toison d'Or aux branches-forces de l'Arbre Bleu. Dans la clairière intérieure de son coeur grandissent ces intensités singulières et si souvent nécessaires.

05/2022

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Psychologie, psychanalyse

L'écorce et le noyau

Entre 1959 et 1975, Nicolas Abraham (1919-1975) et Maria Torok (1925-1998) ont transformé la pratique de l'écoute en psychanalyse. Portés par le seul désir d'éclairer, coûte que coûte, les zones d'ombre de la souffrance humaine et d'étendre par là les limites de l'accueil de l'autre, les auteurs rejettent toute notion de conflit-type d'ordre universel, portant leur intérêt vers les catastrophes, les hontes singulières, personnelles, familiales ou sociales qui entravent le travail d'ouverture psychique. Seront ainsi inaugurés les concepts de secret de famille transgénérationnel, de deuil impossible, de deuil impossible, d'enterrement d'un vécu inavouable, d'incorporation secrète d'un autre, notions ayant toutes pour objectif de dessiner une clinique de la reconstruction de soi.

01/2009

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Poésie

La caresse de l'écorce

D'un jour au lendemain un confinement implacable tronqua la liberté. Face à ce qui fut déclaré "état d'urgence sanitaire" , et pour endiguer ce qui devenait le monstre noir de l'humanité, il y eut un enfermement par décret. Sans ménagement ni préavis. Le temps qui s'ouvrit alors perdit le moindre repère ordinaire. Chacun rivé au seuil fragile et perméable de la maison. Chacun rendu à la réalité de besoins fondamentaux qu'il convenait de satisfaire sans en devenir l'objet. Chacun privé d'espace et d'autonomie, privé de socialisation. La vie habituelle échappa à toute volonté individuelle. Il fallut se recentrer. Non dans une démarche égoïste, mais dans une obligation quasi éthique de faire corps. Avec la souffrance de tous. Avec ceux qui n'avaient d'autre alternative que de mettre leur vie au service des autres. Avec le collectif condamné à l'isolement généralisé. Il fallut composer. Puiser dans les ressources profondes et dans l'imaginaire pour dessiner la ligne horizon. Ecrire sans retenue De ce rapport de soi à soi, de soi à l'autre, d'une promiscuité sans échappatoire qui cristallisait en chacun la possibilité du mal est née cette réflexion sur la sauvagerie. Cette gangrène que seul un homme peut infliger à autrui. Ecrire la violence infligée aussi à la nature la violence faite au grand corps social ou au petit corps privé violence banalisée au corps intime et sexué si petit celui de la femme ou de l'enfant Ecrire l'absence d'espace ou l'espace d'un instant, un confinement une parenthèse de l'humanité. Parenthèse d'humanité ? Comment, ensuite, penser l'après. Y avait-il l'espoir d'un équilibre nouveau, celui d'une utopie de fraternité ? Sauver l'homme de lui-même, gageure plus vaste encore jusqu'au plus petit fragment de certitude caresser l'écorce que le fragile lien d'humanité ne se brise

02/2022

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Littérature étrangère

L'ordre des choses

Psychiatre à San Francisco, Oliver Thompson se sent investi d'une mission : écrire un livre qui expliquerait le rapport de l'homme à l'ordre des choses, c'est-à-dire la place de l'homme dans le monde. Carlotta, sa maîtresse, supporte mal qu'il lui préfère ses chères études. Leur liaison va s'effilocher. Abby, la jeune nièce que sa soeur lui a "léguée", occupera davantage Oliver. Il lui achète différents animaux, dont un épagneul doré, Barney, qui devient progressivement le personnage central du roman. Barney mort, Oliver l'abandonne chez le vétérinaire. Abby ne le lui pardonne pas, elle qui donnait toujours une sépulture à ses animaux. Oliver se rend donc tous les jours sur une plage de vase en cours d'assèchement où ordures et cadavres d'animaux servent de remblai. Il creuse pour retrouver Barney. Il en vient à délaisser la rédaction de son ouvrage, et cesse d'exercer son métier. Allen Wheelis est lui-même psychiatre à San Francisco. Ce livre sur l'amour, la solitude et la mort est aussi le pathétique récit d'une dérive, du déclin intellectuel d'un homme qu'on aurait pourtant cru armé pour surmonter sa névrose.

05/1984

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Littérature française

L'Ordre des choses

Ce livre, articulant la fiction et les faits, esquisse l'évolution de notre rapport aux choses, passé en quelques siècles d'une vision fluide et ouverte, issue des anciens systèmes qui reliaient l'homme à ce qui l'entourait, bêtes et plantes, astres et dieux, à un ordre séparé et éclairé dans lequel chaque chose occupe une place déterminée. S'y croisent un chasseur au siècle des Lumières, Daniel Defoe et Robinson Crusoé, un enfant qui se cache, une impitoyable comtesse, des encyclopédistes, une fille sauvage, un voyageur en Sicile, l'empereur Tibère, Piero di Cosimo, le dieu Pan, une sorcière, un sans-abri anglais ainsi que des figures et rituels venus du fond des temps. Non pas suite, mais prolongement du paysage entrepris avec Le Monde horizontal et Rien pour demain, L'ordre des choses en reprend la trame narrative, faite de fragments et d'associations, tissée de personnages réels et fictionnels. Au bout de ce parcours, dont le lecteur est aussi le traducteur, se dessine la manière dont la modernité, prise au sens large, a modifié les cadres de pensées avec lesquels nous pensons ce qui nous entoure.

08/2021

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Monographies

L'origine des choses

Née en 1960 à Ypres (Belgique), Edith Dekyndt vit et travaille à Bruxelles et à Berlin. A travers ses oeuvres, l'artiste propose des expériences sensorielles fondées sur l'observation minutieuse de la matière et des contextes culturels qui l'englobent. Apres des études de communication, elle entre à l'école des Beaux-Arts de Mons. De nature processuelle et conceptuelle, son approche s'intéresse aux objets, souvent ordinaires, qui composent le quotidien et à leur transformation au contact d'environnements naturels et architecturaux. Ses installations et performances intègrent des objets naturels et usinés, des photographies, des vidéos, du son et de la lumière. Chacun de ses projets s'ancre dans l'observation d'infimes détails à travers lesquels des objets et des situations d'apparence quelconque deviennent à la fois sublimes et bouleversants. Ils invitent le spectateur à prendre conscience de l'équilibre précaire des phénomènes chimiques et physiques, ainsi que de la nature transitoire et fluide du monde matériel. Ses oeuvres sont présentes dans des collections publiques et privées telles que celles du Centre Pompidou (Paris), du MoMA (New York), du Skulpturen Park de Cologne, de la Cranford Collection (Londres), du Cnap (Paris), de Pinault Collection (Paris), de la Kunsthalle de Hambourg, du Mudam (Luxembourg), de plusieurs Frac (Picardie, Lorraine, Bretagne, Pays de la Loire, Alsace, La Réunion) ou encore du M HKA (Anvers). Après Bertrand Lavier et Anri Sala, Edith Dekyndt s'empare des vitrines du Passage de la Bourse de Commerce, reproduites ici sous la forme d'un leporello. Devenues par nature l'un des dispositifs de prédilection des expositions universelles, c'est justement pour la reconfiguration du bâtiment - d'une ancienne halle à une bourse d'échanges - conduite pour celle de 1889 que les vitrines en place aujourd'hui furent installées. L'artiste puise dans cette histoire pour créer des images qui seraient "? phénomènes d'apparition, de résurgence, dans le mouvement ? ". Dans ce cycle, l'artiste provoque et interroge l'apparition de l'oeuvre, cette suspension entre deux natures (de l'objet à l'oeuvre d'art), le "? déjà fait ? " (ready-made) et l'inachevé. A celle de nature morte, l'artiste préfère l'expression anglaise still life, action provisoirement arrêtée, ralentie, calmée, mais laissant le tableau vivant et ses composantes toujours actives. Elle se passionne pour la transformation des éléments, la variation des couleurs, les inflexions de la lumière, l'action du temps... Edith Dekyndt assemble et accroche ces objets du quotidien ou ces fragments d'objets, cassés, tombés, ramassés, récupérés, réparés.

04/2023

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Littérature française

L'ordre des choses

Chaque fois que, à l'occasion du jour des morts, sa famille se réunit, le narrateur replonge, au milieu du brouhaha de légendes et de souvenirs qui se forme autour de plantureux goûters, dans ce qui aura été l'aventure de sa vie : sa désertion, pendant la Seconde Guerre mondiale, des rangs de l'armée allemande, où il avait été enrôlé de force comme beaucoup de jeunes Alsaciens, les malgré nous. Dans une langue envoûtante, portée par les flux et reflux de la mémoire individuelle et collective, Vincent Wackenheim donne à entendre le son d'une époque, guerre et après-guerre, avec ses secrets, ses hontes, un rapport ambigu à la vérité, mais aussi, face aux tragédies de l'histoire, sa grandeur simple, son irrépressible désir de liberté.

02/2012

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Policiers

L'ordre des choses

L'ex-inspecteur Paul Bréguet a disparu. Désormais seule, son acolyte la procureure Emilie Rossetti décide d'aller jusqu'au bout de la très trouble affaire Romain Baptiste, en dépit des ordres de sa hiérarchie. Alors que les puissants de ce monde, avec à leur tête le richissime trader Beat Flückiger, se réunissent à Lausanne pour ouvrir un congrès international sur le négoce des matières premières, Emilie, en cavale, doit évoluer en marge pour conduire cette guerre souterraine, au dénouement imminent. Après Les Ombres du métis (2014, prix Lilau 2015) et Le Nom du père (2016), Sébastien Meier pousse toujours plus loin son talent pour croquer des personnages à la profondeur saisissante. Il emmène le lecteur avec la même aisance dans les boîtes de nuit échangistes des années 1990, les bureaux aseptisés des multinationales ou les entrailles high-tech du darkweb. Un roman à lire isolément ou comme conclusion à la trilogie autour de Paul Bréguet.

10/2017

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Policiers

L'ordre des choses

Earl Haack Junior a été élevé pour devenir un Machiavel armé d'un flingue et portant une étoile... Son père, shérif dans une petite ville du Nebraska située sur l'autoroute de la drogue arrivant du Mexique - la fameuse Interstate 80 -, lui a très tôt enseigné sa façon particulièrement radicale et expéditive de maintenir l'ordre des choses. Lorsqu'après un passage par les Stups de Denver (où il perd définitivement ses illusions) il revient prendre la succession de son père, il sait déjà qu'on ne vainc pas le chaos. Tout au plus, on peut tenter de faire jeu égal - un jeu sans règles ni limites. Puisque la drogue et son commerce sont une donnée indépassable (surtout dans une société capitaliste marquée par la loi de l'offre et de la demande), la priorité principale de Haack sera donc de mettre sur pied un réseau de distribution composé de personnes qui lui sont redevables... Son père avait raison : l'ordre passe avant tout, et il exige son tribut de sang.

11/2016

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Littérature française (poches)

L'Ordre des choses

Elles en veulent toutes ! Un enfant. C’est de leur âge et c’est, paraît-il, dans l’ordre des choses. Que faire ? Peut-on échapper à cet ordre des choses ? Telle est la question à quoi Félix va tenter de répondre. C’est ce que nous raconte Jean-François Pigeat avec ce style qu’on lui connaît où, en dépit des intermittences du coeur et de la cruauté des situations, jamais la cocasserie, la dérision et l’humour ne manquent, non plus que l’émotion.

03/2019

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Poésie

Sous l'écorce de l'âme

Vous trouverez dans ce livre poétique toutes mes angoisses, mes chagrins, mes joies, mes frustrations, et mes doutes que le temps et les profondes réflexions ont permis de concevoir. C'est dans ce cadre que s'inscrit "Sous l'écorce de l'âme", comme une sorte de réconciliation avec soi-même. C'est aussi un leitmotiv à la recherche de la liberté et de la paix pour tous les pays africains. Une clameur contre l'indifférence au milieu de tant de bouleversements culturels. C'est pourquoi, cette oeuvre est empreinte de figue d'errances, de regards et de visions idéologiques, d'horizons pluriels et culturels. Dans ces récits poétiques, le portrait du poète se laisse brosser comme un prophète des masses. C'est un poète futuriste qui se dote d'une licence poétique et d'une imagination prolifique, pour extérioriser les images descriptives de la situation de la jeunesse africaine en quête de salut. Pour cela, il convoque par le biais d'une écriture incisive toutes les mentalités africaines sur des thèmes actuels et très sensibles tels que : l'identité, la gestion de pouvoir africain, et les systèmes dictatoriaux. Au-delà de cette principale exigence de l'oeuvre, le poète aborde d'autres éléments essentiels de sa poésie comme : l'amour, le sexe, la nature, la nostalgie, l'espoir, et l'avenir.

03/2021

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Littérature française

L'écorché vif

"Ma vie est un chemin constellé de désillusions, d'injustices, de douleurs parfois insupportables, d'amours éphémères, d'amitié. Mon grand regret : le mal causé à celles et à ceux que j'aime et qui ont dû subir mes choix. Quelques décisions parfois le dos au mur.... Soyez vous-même, soyez vrai, soyez entier, mordez la vie à pleines dents, mais ne vous mentez jamais ! Quant à moi, il ne me reste qu'à panser mes blessures et chérir un peu plus celles et ceux que j'aime."

03/2020

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Romans historiques

L'amour écorché

Pianiste virtuose, Hélène, vingt-trois ans, est pétillante de vie. Appelée au chevet d'un vieil ami mourant, elle rencontre Alexandre, un inconnu dont le regard magnétique et la force paisible troublent la jeune femme jusqu'au plus profond de son être. Qui est-il ? La réponse glace le coeur d'Hélène : il est prêtre... Elle est alors loin d'imaginer les années de douleur et de tourments qui l'attendent. Alexandre, qui a juré fidélité à Dieu, se trouve face à un choix cornélien. Renoncera-t-il à son sacerdoce pour aimer Hélène ?

04/2022

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Littérature française

Ecorces

Nour, 23 ans, étudiant en mathématiques, vit avec son arrière-grand-mère, Baya, sa grand-mère, Fatima, et sa mère, Meriem, dans un minuscule appartement d'Alger. Baya, 95 ans, née pendant la colonisation, est une femme courage qui a bravé les interdits et les moeurs de son temps. Jour après jour, elle transmet la mémoire de la famille à Nour. Elevé dans ce gynécée étouffant, celui-ci s'ouvre au monde et à l'amour, qu'il trouve en Mouna, jeune femme à l'"inquiétante étrangeté". Pourquoi le trouble-t-elle autant ? Est-elle celle qu'elle prétend être ? A son insu, Nour va se retrouver au coeur d'une incroyable vengeance familiale reposant sur des secrets que Baya avait bien gardés. Dans ce premier roman qui déjoue les codes de la saga familiale avec ampleur et modernité, Hajar Bali entrecroise les destins de ses personnages et les moments clés de l'histoire de l'Algérie du XXe siècle, explorant avec force et délicatesse la question de l'indicible. Ou comment rendre compte de l'humain, de sa complexité, de ses paradoxes, au-delà du langage et de ses axiomes, dans ce qui ne peut être nommé.

01/2020

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Littérature française

Ecorces

Ahmed est le shérif d'un comté blotti au pied d'une forêt profonde que menace la multiplication des scieries. Ici, tout le monde semble s'en accommoder, sauf une bande d'illuminés déguisés en arbres. Ils campent dans les champs des fermiers, organisent en ville des happenings spectaculaires pour rallier les néo-ruraux à leur cause. Ahmed et ses adjoints sont chargés de les déloger. Quelque chose semble s'être détraqué depuis leur arrivée. Est-ce leur présence ou la chaleur brûlante de l'été ? La belle Maria et son fils sont plus distants que jamais. La forêt recrache en lisière les dépouilles d'animaux mutilés. Et lorsqu'on s'en approche, des yeux semblent vous épier. Traçant sa piste au plus profond des taillis, Ahmed tentera d'y voir clair. Mais dans les bois si denses, la lumière peine à se frayer un chemin. Un roman original et percutant qui réveille la part de mystère et de sauvagerie qui sommeille en chacun de nous ainsi qu'un sentiment enfoui d'appartenance à la nature.

02/2017

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Histoire de France

Ecorces

C'est le simple "récit-photo" d'une déambulation à Auschwitz-Birkenau en juin 2011. C'est la tentative d'interroger quelques lambeaux du présent qu'il fallait photographier pour voir ce qui se trouvait sous les yeux, ce qui survit dans la mémoire, mais aussi quelque chose que met en œuvre le désir, le désir de n'en pas rester au deuil accablé du lieu. C'est un moment d'archéologie personnelle, une archéologie du présent pour faire lever la nécessité interne de cette déambulation. C'est un geste pour retourner sur les lieux du crématoire V où furent prises, par les membres du Sonderkommando en août 1944, quatre photographies encore discutées aujourd'hui. C'est la nécessité d'écrire - donc de réinterroger encore - chacune de ces fragiles décisions de regard.

11/2011

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Littérature française

Écorché

Benjamin Langlois, jeune galeriste arrogant et désabusé, est à la recherche du " coup " qui lui permettra de ra er la mise sur le marché de l'art contemporain. Lorsqu'il entend parler d'une modi cation de la loi qui tend à légaliser la vente d'organes, il a une idée... Est-il possible d'acheter et de vendre des tatouages humains ? Pourquoi ne pas spéculer sur cet art éphémère ? Aidé de ses amis les plus proches, Alan, un avocat et Roni, un tatoueur de renom, il ira jusqu'au bout de ce sinistre projet. Ce roman est une critique de l'art contemporain autant qu'un hommage au monde du tatouage.

07/2022

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Comics Super-héros

La Chose. Les choses de la vie

Une rencontre malencontreuse va précipiter Ben Grimm, alias la Chose, dans une aventure inédite qui l'emmènera des ruelles de Manhattan aux confins de la galaxie ! Pour survivre, il devra combattre encore, et encore, et encore ! Avec des apparitions du Silver Surfer, du Champion ou encore du Docteur Fatalis. Walter Mosley est un romancier afro-américain réputé, auteur de nombreux polars dont Le Diable en robe bleue, adapté au cinéma avec Denzel Washington dans le rôle-titre. Il aborde pour la première fois l'univers Marvel en s'intéressant à Ben Grimm, sur des dessins de Tom Reilly, dont le trait dynamique rappelle celui de Chris Samnee.

08/2022

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Littérature française

Dessous la dure écorce

Camille apprend que son père est atteint d'un cancer : la tumeur essaime à toute vitesse et trace sa route dans le corps qui tente de se défendre. Au même moment, les autorités donnent leur aval à un chantier routier qui va détruire le massif du Meygal et le vivant qui s'y niche. Ce roman est l'histoire d'une double lutte : la scène publique, où un petit monde militant s'acharne à porter les voix de la montagne et à faire vivre les solidarités abîmées ; la scène privée, qui réunit père et fille dans le combat contre une malade qui révèle les échecs d'une vie soumise au travail. La résistance de la jeune femme, prise en étau entre deux fronts, ouvre peut-être une chance de renaître au pays des sucs volcaniques, raconté dans ses rythmes et ses couleurs, son abondance et sa précarité.

05/2022

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Essais

Gens et choses. De la chose à l'objet a

Dans ce livre, produit d'un séminaire tenu en 2020-2021, l'auteur poursuit sa recherche sur l'articulation de la Chose et de l'objet (a), avec l'hypothèse que l'invention par Lacan de cet objet répond à une nécessité pour dépasser le roc de la castration et ouvrir ainsi vers une autre fin de l'analyse. En gardant le fil de la constitution du sujet, Isabelle Morin revient sur les textes de Freud qu'elle croise avec ceux de Lacan et construit peu à peu, pas à pas, un parcours qui va de la différenciation de la Chose et de l'objet (a) à la mise en fonction de l'objet dans sa double valence, objet cause du désir et objet plus-de-jouir comme ce qui animer la structure du sujet, l'inscrit du côté du vivant.

10/2022

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Littérature française

L'amour des choses invisibles

Le drôle de héros et narrateur de L'amour des choses invisibles est un jeune Tunisien sans papiers qui mène une vie de bohème à Paris. A la mosquée Arthur Rimbaud, M. de Sonvraynom, soixante-huitard converti, lui prodigue des conseils plus ou moins avisés. A la suite d'une déception amoureuse (car " La femme est l'avenir de l'homme, dit le poète. Surtout de l'immigré ") et un pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle, notre rêveur décide de revenir dans son pays d'origine, en profitant du " retour volontaire " , dispositif mis en place par l'Office français de l'Immigration et de l'Intégration pour encourager les sans-papiers qui le souhaitent à rentrer chez eux. Le billet d'avion et une petite somme d'argent sont offerts. Si le narrateur décide de rentrer chez lui, ce n'est pas pour y vivre mais pour marcher jusqu'à la Mecque. Il a l'idée chimérique d'inaugurer un chemin de pèlerinage pédestre vers la première ville sainte de l'Islam comme il en existe un en Europe vers Compostelle. Seulement, il lui faut pour cela traverser la Libye en pleine guerre civile. Qu'à cela ne tienne ! La mission du marcheur est sacrée. Il lui arrivera bien des ennuis, qu'il tentera de compenser par une philosophie de la vie faite d'amour de la poésie, d'un fatalisme qui n'empêche pas la combativité, et d'un humour à toute épreuve. Parcours d'un jeune homme en quête de soi, ce roman espiègle aux airs de fable est aussi un hymne à la liberté, celle de penser et de circuler.

06/2021

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Fantasy

L'ensorceleur des choses menues

Dans un pays de lacs et de montagnes où personne n'est censé savoir ce qu'il y a sur l'autre versant, vivait Barnabéüs, ensorceleur des choses menues. Son échoppe ne payait pas de mine, mais il s'était taillé à force de labeur une bonne réputation dans le quartier. On le faisait venir pour poser un sort de serrure ou pour inverser le cours d'une source, afin que l'eau monte à l'étage. Voilà bientôt trois mois qu'il avait pris sa retraite et entrepris la rédaction de ses mémoires. Pour ce faire, il avait acquis un cabinet d'écriture ; le premier vrai luxe de son existence. Mais au moment de transcrire sa vie passée, Barnabéüs en est détourné par Prune, une jeune fille qui lui demande son aide pour retrouver son promis parti il y a de longs mois avec son père pour Agraam-Dilith, la cité blanche, la cité des mages, la cité secrète dont personne ne connaît le lieu s'il n'est mage lui-même. Barnabéüs refuse fermement jusqu'à ce qu'un matin, sorti acheter quelques légumes, il voie Prune se faire malmener dans la rue ; panier d'osier au bras, il monte à bord d'un bateau pour la protéger... Une fantasy sans épées ni chevaux, dans laquelle Régis Goddyn s'interroge sur la transmission entre les générations et imagine une société où l'avidité à vivre ne connaît aucune limite. Irait-on jusqu'à l'infanticide si c'était une voie pour l'éternité?

06/2022

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Littérature étrangère

L'ordre animal des choses

L'ordre animal des choses est caché dans les plis du pouvoir humain sur le monde. Ouvert à la mémoire et à l'imaginaire, il est son contrepoint secret, et comme innocent : sans le moi, habité par le silence des origines, dont les hommes sont exilés. Maintenant intacte la force initiale de la présence, il fait se croiser des animaux réels, mythiques, fantastiques, et quelques humains. Dans les récits qui composent L'Ordre animal des choses Antonio Prete nous invite à parcourir un univers parallèle à celui qui pour la plupart d'entre nous est seul à exister. Univers où les repères soudain sont perdus - les certitudes abolies, les points de vue modifiés. Il revient là au coeur des thèmes qui parcourent son oeuvre, fondent sa réflexion : le sentiment d'étrangeté, d'éloignement, la nostalgie (celle d'abord d'une pureté perdue), la frontière entre nature et culture, la relation entre l'animal et l'humain, ses porosités - la clé de voûte de l'ensemble étant le langage, véritable instrument de métamorphose. Passant de la gravité à la légèreté, de la mélancolie à l'humour, sa phrase incarne cette mise en crise d'un monde sûr de son pouvoir dont elle redessine les contours grâce au regard porté sur lui par des êtres qui parlent une autre langue. Labile, inventive, elle offre une fresque subtile, toute de correspondances, dont la contemplation nourrit les parts les plus rêveuses de notre esprit.

08/2013

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Littérature française (poches)

L'empreinte des choses cassées

Ecrivain et femme, la narratrice est reçue à l'Académie française. Son discours est peu habituel. Insolent. Brusque. Emouvant. Féroce. Au dénouement inattendu. Elle passe en revue les épisodes d'une vie, sans fausse pudeur, moque la culture du paraître, affronte ses propres doutes et ne rate pas ses cibles. Tout le talent de Claire Gallois tient à la liberté cinglante avec laquelle elle assemble le réel et l'imaginaire, le grave et le frivole. Un roman sur le temps et la vanité, qui commence comme une blague et se termine dans les larmes.

11/2011