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Journal 1962-1987

Extraits

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Humour

Quelques meneurs d'hommes

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), La grande panique (1966, 1994), Information-consommation (1968), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Bonjour, bonsoir (1974), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme, volupté (1987), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

06/2002

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Humour

Le monde de Sempé. Volume 2

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Les musiciens (1979, 1996), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme & volupté (1987), Insondables mystères (1993), Grands rêves (1997) et Beau temps (1999).

12/2004

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Humour

Le monde de Sempé. Volume 1

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Les musiciens (1979, 1996), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme & volupté (1987), Insondables mystères (1993), Grands rêves (1997) et Beau temps (1999).

10/2002

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Humour

Quelques Philosophes. Edition revue et augmentée

Ces dessins sont extraits de divers albums : Tout se complique (1963), M. Lambert (1965), La grande panique (1966, 1994), Saint-Tropez (1968), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Bonjour, bonsoir (1974), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme et volupté (1987), Insondables mystères (1993), Grands rêves (1997) et Beau temps (1999).

11/2021

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Humour

Quelques manifestants

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Information-consommation (1968), Face à face (1972), Bonjour, bonsoir (1974), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme et volupté (1987) et Beau temps (1999).

10/2000

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Sociologie

Presse, la grande imposture

EXTRAIT DE CASIER JOURNALISTIQUE : Nom : Morrot Prénom : Bernard Date de naissance : 28/10/1936 Carte de presse : n° 16931 FORFAITS : 1957-1965 : Journaliste à Paris-Presse. 1965-1967 : Rédacteur puis rédacteur en chef à Paris-Jour. 1967-1977 : Rédacteur aux informations générales puis rédacteur en chef au quotidien L'Aurore, chargé des informations générales. 1977-1978 : Rédacteur en chef adjoint, chef d'édition du quotidien Le Matin de Paris. 1978-1979 : Rédacteur en chef adjoint de l'hebdomadaire VSD. 1979 : Rédacteur en chef de L'Aurore. 1979-1985 : Directeur de la rédaction du Quotidien de Paris. 1985-1986 : Rédacteur en chef adjoint du Figaro. 1986-1987 : Directeur adjoint de la rédaction du Matin de Paris. 1987 : Co-directeur de la rédaction du Matin de Paris. 1988-1990 : Responsable du projet du quotidien populaire du Groupe Hersant Paris Star et co-responsable de la cellule investigations du Figaro. 1990-1992 : Rédacteur en chef du Figaro, chef du service des informations générales. 1992-1997 : Directeur de la rédaction de France-Soir. DERNIER DELIT : Directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Marianne. SIGNE PARTICULIER : Adore la polémique et l'humour, déteste la langue de bois et n'épargne pas ses chers confrères, ce qui lui vaut de nombreuses inimitiés. Pour beaucoup d'entre eux, cet homme est dangereux.

04/2001

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Sociologie

Journal 1962-1987

Peu de ses lecteurs savent qu’Edgar Morin a tenu depuis l’adolescence, par intermittence, des journaux intimes dont seule une partie a été publiée, quand une autre a été perdue et une troisième était restée jusqu’ici confidentielle et inaccessible au public. Ce premier tome du Journal, qui couvre trois décennies (1960-1980), réunit des ouvrages déjà publiés, mais pour certains méconnus, et plusieurs textes inédits : Le Vif du sujet (nov. 1962-oct. 1963), interrogation d’un homme en convalescence sur les fondements de ses conceptions, peu à peu entrecoupée par les événements qui marquent sa renaissance à la vie ; le Journal de Plozévet (1965), carnet de terrain de sa célèbre enquête sur cette commune bretonne et témoignage en direct de la mutation de la campagne française ; le Journal de Californie (sept. 1969-juin 1970), découverte d’une Amérique « en transe », dont le tourbillon culturel croise le propre mouvement de sa pensée ; une ébauche inédite de questionnement sur sa position au sein de la gauche et dans le milieu intellectuel (1973) ; le Journal d’un livre (juil. 1980-fév. 1981), tenu parallèlement à l’écriture de Pour sortir du XXe siècle, et « Le serpent » (oct. 1981), aparté et mise en abyme de cet exercice sur fond de trahison éditoriale ; « Krisis » (1987), enfin, épisode sombre, qui préfigure d’autres « années cruelles ».Loin de ne constituer qu’un volet anecdotique ou un simple exercice de style, ces journaux éclairent la trajectoire d’un penseur hors norme.

11/2012

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Chanson française

Munkey diaries. Journal, 1957-1982

"J'ai écrit mon journal à partir de 11 ans, adressé à Munkey, mon confident, ce singe en peluche, gagné dans une tombola. Il a dormi à mes côtés, il a partagé ma vie avec John, Serge, Jacques, il a été le témoin de toutes les joies et toutes les tristesses. Devant la dévastation de mes enfants, j'ai déposé Munkey dans les bras de Serge dans le cercueil où il reposait, tel un pharaon. Mon singe pour le protéger dans l'après-vie. En relisant mes journaux, il me semble flagrant qu'on ne change pas. Ce que je suis à 12 ans, je le suis encore aujourd'hui. Les journaux sont forcément injustes, on montre ses cartes, il y a des versions de tout, mais là, il n'y a que la mienne. J'ai pris comme principe de ne rien arranger, et croyez-moi, j'aurais préféré avoir des réactions plus sages que celles que j'ai eues..." . On croyait tout connaître de Jane Birkin, tant elle fait partie de notre histoire depuis cinquante ans, jusqu'à ce livre qui nous fait vivre une époque flamboyante, du Swinging London au Saint-Germain-des-Prés des années 70, et donne à lire le quotidien d'une grande amoureuse, désopilante et fantasque, et d'une artiste exceptionnelle. Un journal à la fois intime et universel.

10/2018

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Humour

Quelques artistes et gens de lettres

Ces dessins sont extraits de divers albums : La grande panique (1966, 1994), Information-consommation (1968), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme et volupté (1987), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

05/1999

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Poésie

Journal 1952-1962

En 1952, Allen Ginsberg a 26 ans. Il n'a encore rien publié. Il erre, fait des rencontres, s'interroge et commence à écrire. Howl et Kaddish sont en gestation. L'importance de cet ouvrage tient justement au fait qu'il présente les "sources" de l'écriture de ce grand poète de la Beat Generation : des notes, des croquis, des brouillons, des ébauches de poèmes publiés plus tard, des carnets des voyages qu'il a effectués au Mexique, dans le bassin méditerranéen, en Afrique de l'Est ainsi qu'à travers les Etats-Unis.

11/2012

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Littérature étrangère

Journal 1962-1969

En 1962, après six années d'interruption et l'autodafé de ses précédents cahiers, S+awomir Mrozek reprend l'habitude de tenir son journal. Il jouit déjà en Pologne d'une immense popularité, les autorités communistes lui font les yeux doux et l'encouragent même à voyager. Et c'est à l'occasion d'un séjour en Italie, sans l'avoir nullement prémédité, que Mrozek fait le choix de l'exil. Il écrit Tango, l'une des pièces qui lui vaudront sa renommée internationale, voyage d'une capitale à l'autre au gré des représentations, et se trouve à Paris en août 1968, lorsque les armées du Pacte de Varsovie écrasent le Printemps de Prague. Par une lettre ouverte dans Le Monde, Mrozek s'insurge et, dans la foulée, il demande l'asile politique à la France. Sa femme, l'artiste peintre Maria Obremba, tombe soudain gravement malade. Elle mourra d'un cancer à Berlin-Ouest et c'est sur cette tragédie intime que s'achève ce premier volume du journal. Le lecteur découvrira non seulement le laboratoire d'un auteurà l'humour irrésistible, mais aussi ses doutes, ses tourments, ses colères, comme lorsqu'il s'écrie : " Seigneur, comme je hais la littérature ! "

11/2015

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Poésie

Archipel plusieurs. 1967-1987

De son vivant, Michel Vachey (1939-1987) a occupé une place étrange, un peu fantomatique, dans le paysage littéraire français —ce qui tient autant au caractère expérimental de son oeuvre qu'à l'intransigeance de sa démarche. Circulant entre les genres (de la poésie au roman, tour à tour mis en pièces), adepte du collage et du détournement, il a publié quelques livres au Mercure de France, puis chez Bourgois, collaboré à plusieurs revues majeures de l'époque, travaillé avec les peintres de Supports/Surfaces et s'est consacré dans les dernières années de sa vie à des travaux plastiques (estampages, caviardages, lacération de ses propres livres...) avant de se donner la mort en 1987. Malgré son amitié avec Michel Butor, Alain Borer, Pierre Pachet notamment, aucun de ses livres n'était plus disponible depuis des lustres. Le but d'Archipel plusieurs est de redonner à lire cet auteur inclassable, à travers un choix de textes et d'images qui mettent l'accent sur son travail poétique, y compris dans sa dimension visuelle.

05/2021

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Humour

Quelques enfants. Edition revue et augmentée

Ces dessins sont extraits de plusieurs albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Luxe, calme et volupté (1987), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

11/2021

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Humour

Quelques jours de congé

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Saint-Tropez (1968), Face à face (1972), De bon matin (1983), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

10/2000

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Humour

Quelques jours de congé

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Saint-Tropez (1968), Face à face (1972), De bon matin (1983), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

11/2023

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Critique

Le déplacement. Journal des années 1982-1983

Le journal d'une partie de 1982 et de 1983 met en évidence ce qui occupe Marcelin Pleynet et accompagne notamment ses divers voyages et conférences à l'étranger (Allemagne, Italie, Espagne, Portugal, Canada et Etats-Unis), comme le passage des Editions du Seuil aux Editions Gallimard, la revue Tel Quel devenant à cette occasion L'Infini...

11/2021

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Littérature française

Journal de 5 à 7. 1967-1983

René Fallet était un écrivain populaire et populiste. Son oeuvre fait partie de notre patrimoine : Banlieue sud-est, Les pas perdus, Le triporteur, Paris au mois d'août, le Beaujolais nouveau est arrivé, La soupe aux choux. Nombre de ses livres ont été adaptés au cinéma et avec succès. Né à Villeneuve-St-Georges en 1927, il fut marqué par la mort précoce de son père, cheminot communiste, renversé par un camion, devant ses yeux. De la terre paternelle, l'Allier, il fera une de ses géographies littéraires avec Paris. Ce journal inédit couvre les années 1962-1983. C'est un journal sentimental et littéraire où Fallet y exprime son amour de la littérature (Rimbaud, Maupassant, Jules Renard, Hemingway), du vélo, du Paris d'avant la vitrification et la destruction des Halles. On y voit un piéton de Paris aimant à la fois l'oisiveté mais travaillant d'arrache-pied pour devenir un écrivain et vivre de sa plume, un homme aimant les femmes mais aussi l'amitié, les bars à la Doisneau, les parties de rigolades et de pêche. C'est le journal d'un anarchiste détestant l'ordre, la politique, de Gaulle, Pompidou, Giscard, choisissant toujours le camp de l'humour et des francs-Tireurs. C'est le journal de l'amitié, celle qui le lie à Georges Brassens, l'ami de trente ans, qui apparaît ici sous un jour inédit.

10/2021

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Littérature française

TOUS FEUX ETEINTS (CARNETS 1965,1966,1967)

N'a-t-on pas tout dit sur un écrivain qui occupe depuis plus d'un demi-siècle l'avant-scène de la littérature contemporaine ? Cependant la parution des Carnets 1965, 1966, 1967, Carnets sans dates, Carnets 1972 qui précédèrent de peu son suicide, apporte sur l'homme et le moraliste un éclairage plus intime, plus féroce et plus absolu. En notant ses réflexions à propos de son travail et de ses rencontres, il se parle et nous parle à travers son orgueil et sa volonté de solitude. Lorsque je mourrai, écrit-il déjà en 1965, on trouvera encore des raisons pour montrer que je ne suis pas mort comme il fallait. L'obsession de la mort et le besoin de maintenir une distance entre les autres et lui-même sont comme le tracé secret, émouvant, d'une pensée parallèle à son oeuvre de créateur.

05/1975

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Littérature française

Journal 1947-1983

Eva Peron, qui a reçu des tomates sur le pare-brise de sa voiture à Berne, a modifié son programme, décommandé ses rendez-vous et vient se reposer huit jours à Saint- Moritz. Il y a quelques fidèles autour d'elle, aucun garde du corps, seulement deux jeunes officiers en civil dont l'un s'accroche aussitôt au bar. Je le soudoie à coups de whisky et il me promet une rencontre. Une interview d'elle pour une agence, c'est un scoop mondial. L'interview a lieu dans un petit salon attenant à la suite. Entre, après un diplomatique retard, une superbe et grande femme au teint pâle, aux yeux superbes. Elle est déjà parée pour le dîner : perles, clips, bracelet. Je lui offrirais volontiers un diadème. Un châle pourpre couvre son décolleté. Une plénitude, un calme tels émanent d'elle qu'on pense encore plus qu'à une reine, à une impératrice telle que l'adorent les descamisados d'Argentine dont elle est l'idole. Le jeune lieutenant sert d'interprète, mais c'est pour qu'Eva Peron me dise qu'elle ne donne plus d'interviews [...]. Tandis qu'elle dit cela d'une voix posée, assez lente, je cherche en vain sur son visage une trace d'agacement ou d'amertume, mais elle reste souveraine avec de temps à autre, un sourire pour atténuer la netteté de son refus. Sans condescendance, ni affectation, elle tend sa main baguée et s'en va dans un nuage de parfum. J'aurai tout de même un bon article.

10/2009

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Correspondance

Correspondance. 1957-1982

Il a suffi qu'un jour de mars 1957 Philippe Joyaux aille écouter Francis Ponge enseigner la langue et la littérature françaises à des étudiants étrangers pour que débute une longue amitié faite d'admiration, d'affection et de complicité critique. Près de quinze années durant, le poète apportera son plus fidèle soutien à Philippe Sollers, révélation littéraire de la fin des années 1950, ainsi qu'à sa revue Tel Quel, créée en 1960. L'auteur du Parc servira son aîné avec le sentiment que l'oeuvre de ce dernier incarnait l'esprit de la littérature telle qu'il la concevait - émancipée d'un certain idéalisme poétique, attachée au travail jouissif sur la matérialité de la langue et conçue comme une expérience proprement essentielle. L'un et l'autre étaient pareillement convaincus qu'il leur fallait à la fois former leur oeuvre et le public qui la lirait - en somme, "créer leur école" contre une adversité entretenue et vécue avec la même intensité. Aussi cette correspondance dessine-t-elle toute une cartographie du monde revuiste et éditorial des années 1957 à 1974. Des divergences politiques - sans que ce soit là le seul sujet de discorde - ont peu à peu éloigné les deux hommes à partir des événements de 1968. Mais leur grande proximité aura fait date, dans une autre histoire.

06/2023

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Littérature française

Journal. 1922-1989

"Un livre qui ne serait ni journal intime ni oeuvre en forme, ni récit autobiographique ni oeuvre d'imagination, ni prose ni poésie, mais tout cela à la fois. Livre conçu de manière à pouvoir constituer un tout autonome à quelque moment qu'il soit interrompu, par la mort s'entend. Livre, donc, délibérément établi comme oeuvre éventuellement posthume et perpétuel work in progress" (Journal, 26 septembre 1966). C'est par ces mots que Michel Leiris évoque son journal, qu'il a tenu presque sans interruption de 1922 à 1989, et qui deviendra la pierre angulaire de ses écrits à ta fois poétiques, autobiographiques et ethnographiques. Prises sur le vif, composées au fil des jours, suivant les événements, au gré des humeurs, des voyages, des rencontres ou des discussions, les notations consignées reflètent le mouvement des pensées et des inventions de leur auteur. Procédant par touches et retouches, il a cherché non seulement à se peindre à la manière des clairs-obscurs flamands, mais à épouser la marche du monde, au risque de n'y suivre que des fantômes ou de n'y percevoir que des braises. Comme une conversation "à bâtons rompus" avec soi-même, ce Journal fait voir "du dedans" les attraits - les déconvenues aussi - que Leiris a eus pour le surréalisme, la psychanalyse, l'existentialisme... ou pour les luttes prolétariennes, les révoltes anticolonialistes et tes prises de position tiers-mondistes qui ont marqué tout le XXe siècle. Presque trente ans après sa première publication, cette nouvelle édition, entièrement revue à l'aune des études et découvertes récentes, place désormais l'auteur au premier rang du monde des arts, des lettres et des idées.

01/2021

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Critique littéraire

Journal (1922-1989)

Tenu d'octobre 1922 à novembre 1989, le journal de Michel Leiris n'est intime qu'en raison d'une classification commode. Tout au long de ces pages, c'est sur le sens autant que sur la fonction d'une telle entreprise que Leiris s'interroge, s'attachant à y " projeter son propre reflet d'une manière absolument concrète ", c'est-à-dire sans retouches ni ornements. Notées au jour le jour, avec des interruptions allant parfois jusqu'à des mois, voire des années - périodes où il se trouve en voyage ou en mission ethnographique, mais qu'il a retracées dans des carnets jusqu'à présent inédits -, les observations et réflexions sont plutôt celles d'un journal d'enquête dont soi-même serait devenu à la fois l'objet, l'informateur et l'interlocuteur. Ni Mémoires, ni chroniques, ni " confessions " donc, mais journal à bâtons rompus comme cela peut se dire d'une conversation, qui confère de la présence, donne de la voix à ce document publié ici dans son intégralité. En même temps qu'il éclaire sous divers angles, à différents moments d'élaboration, une oeuvre qui s'est voulue essentiellement autobiographique, ce journal réfléchit les mouvements de pensée et de création qui, de notre modernité, ont cherché à se porter à la pointe non sans parfois la contester, et auxquels Michel Leiris a adhéré : du surréalisme à l'existentialisme, en passant par la psychanalyse et l'ethnologie.

09/1992

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Ethnologie

Correspondance (1942-1982)

La correspondance publiée ici, pour la première fois, s'ouvre par des contrepèteries et se referme sur la couleur des voyelles. Elle entrecroise sur presque un demi-siècle le fil de deux vies dans la trame d'une amitié savante qui ne s'interrompra qu'avec la mort. Il y est question de poésie et de mathématiques, de champignons et d'épopées médiévales, autant que de langues et de mythes. Car, loin de l'image dont on les a parfois affublés, le linguiste Roman Jakobson (1896-1982) et l'anthropologue Claude Lévi-Strauss (1908-2009), ces deux grands sphinx des sciences sociales du xxe siècle, furent, plus que d'autres, des médiateurs entre l'abstraction de la science et l'expérience sensible. La théorie et la volupté se conjoignent dans leurs oeuvres respectives autant que dans leur rencontre. Dans l'éloge qu'il fera de Lévi-Strauss, Jakobson insistera sur un point : il faut concilier le sens de la variation et la recherche des invariants, ne pas opposer la passion pour le singulier, le différent, l'unique, et le souci des formes universelles – bref la science et l'expérience, le concept et la sensation, la vérité et la vie. Il attribue à son ami la solution : faire de ces fameuses structures invariantes rien d'autre que des matrices de variation. Nous n'avons rien en commun sinon ce qui nous fait différer les uns des autres ! Et cela, non seulement au sein de l'humanité, mais jusque dans l'immense concert de la diversité biologique et cosmique. Saisir sa place dans ce jeu de variations, c'est se comprendre soi-même – et telle est la tâche la plus haute des sciences humaines, pour laquelle témoigne cette correspondance inédite.

05/2018

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Littérature française

Feuillentons ( 1972-1982 )

Bertrand Poirot-Delpech tient le feuilleton littéraire du journal Le Monde depuis 1972. Il a réuni ici un choix de chroniques qui racontent la décennie et la remettent en perspective : monuments de toujours (de Chateaubriand à Kafka), phares de l'avant-guerre (Gide, Valéry...), grands disparus depuis dix ans (de Montherlant à Perec en passant par Barthes, Caillois, Cohen, Gary, Malraux, Sartre...), regain d'intérêt pour les problèmes de "collaboration", fin du Nouveau Roman comme école, renouveau romanesque, affaissement des idéologies, vent de liberté dans la fiction, l'essai, la critique. Dans une préface et dans les textes qui relient ses chroniques, Bertrand Poirot-Delpech s'interroge, en romancier, en critique, sur la place de cette période dans l'histoire littéraire, l'évolution des genres, l'avenir de l'écriture, de la lecture. Un bilan finalement optimiste. Feuilletons, du verbe feuilleter : c'est aussi une invitation à vivre mieux grâce aux livres, un conseil d'ami.

09/1982

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Littérature étrangère

Journal. 1973-1982

Large fragment d'autobiographie de l'un des plus grands auteurs américains, le Journal de Joyce Carol Oates est un document littéraire de première importance. Elle l'entreprend à l'âge de trente-quatre ans, le 1er janvier 1973, tout en poursuivant ses œuvres de fiction. Bien que détestant être qualifiée de prolifique, Oates écrit chaque jour avec une énergie fiévreuse : " Écrire est... une drogue, douce, irrésistible, et épuisante ", dit-elle. De ces lignes rédigées " au fil de la plume et spontanément " émerge un portrait non expurgé de l'artiste en femme, écrivain, professeur, amie. Oates parle de manière franche et très émouvante de son mariage - si heureux - avec Raymond Smith, de sa vie d'enseignante (à Windsor puis à Princeton), de son manque d'instinct maternel et des heures qu'elle passe au piano. Sa réputation croissante dans le monde littéraire l'amène à des rencontres et des amitiés avec des écrivains comme Philip Roth, John Updike, Susan Sontag, Joan Didion et bien d'autres. Mais, peu à l'aise avec les signes de la célébrité, Oates ne cesse de se réfugier dans sa vie intérieure, à la poursuite de son œuvre. Une œuvre dont ce Journal - qui égale celui de Virginia Woolf - est à coup sûr une pièce majeure.

04/2009

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Poches Littérature internation

Journal 1973-1982

Joyce Carol Oates entreprend la rédaction de son journal à l'âge de 34 ans. Elle écrit chaque jour avec une énergie fiévreuse. Il en émerge un portrait non expurgé de l'artiste en femme, écrivain, professeur, amie. Elle relate ses rencontres avec Philip Roth, John Updike ou Susan Sontag... Mais, peu à l'aise avec la célébrité, Oates se réfugie dans sa vie intérieure, à la poursuite de son oeuvre.

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Sciences politiques

Journal. 1952-1964

Maurice Thorez fut le principal dirigeant du Parti communiste français alors que celui-ci occupait une place centrale dans l'échiquier politique. Tombé malade en 1950, il est soigné en URSS et revient en France en 1953. Au cours de cette période, afin de rééduquer son bras droit un temps paralysé, il tient un journal quotidien qu'il poursuit jusqu'à sa mort. Le secrétaire général y évoque autant les rapports de forces internationaux que ses relations personnelles et familiales, le quotidien du petit peuple comme les soubresauts de la vie politique, notamment les débuts de la Ve République et la guerre d'Algérie. Il rend compte de ses nombreuses lectures, apprend le latin, entretient sa maîtrise du russe. Dans ce document de premier ordre pour comprendre la France des années 1950-1960, on croise aussi bien Aragon, Eluard, Mauriac que Khrouchtchev, le général de Gaulle ou Pierre Mendès France. Entre fidélité au grand frère soviétique et passion pour la culture et la langue française, ce journal, édité pour la première fois, éclaire une page essentielle de l'histoire politique tout en offrant un regard singulier sur les évolutions de la société française. Journal édité sous la direction de Jean-Numa Ducange et Jean Vigreux En partenariat avec le journal l'Humanité

08/2020

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Littérature anglo-saxonne

Journal 1973-1982

Joyce Carol Oates entreprend la rédaction de son journal à l'âge de 34 ans. Elle écrit chaque jour avec une énergie fiévreuse. Il en émerge un portrait non expurgé de l'artiste en femme, écrivain, professeur, amie. Elle relate ses rencontres avec Philip Roth, John Updike ou Susan Sontag... Mais, peu à l'aise avec la célébrité, Oates se réfugie dans sa vie intérieure, à la poursuite de son oeuvre.

03/2024

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Littérature française (poches)

Journal / Charles Juliet Tome 4 : Accueils 1982-1988

La recherche de soi est un long chemin. Au début, il n'est d'ailleurs pas de chemin. Seule règne une profonde ténèbre. Une ténèbre faite d'interrogations, de doutes, de fatigue, de haine de soi, de difficulté à vivre... Mais un travail d'élucidation et de clarification parvient à le repousser, à y faire naître une faible lueur. Alors des entraves commencent à tomber, des obstacles à disparaître, et un chemin finit par s'ouvrir. Il permettra à celui qui l'empruntera de se connaître et de vivre en bonne intelligence avec lui-même, les autres et le monde. Au long des trois premiers volumes de son Journal, Charles Juliet a relaté son cheminement. Dans ce quatrième tome, il poursuit sa quête. Mais la sérénité lui est venue, et ces notes où alternent instants de vie, rencontres, plongées intérieures, marquent un indéniable accomplissement.

12/2011

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Musique, danse

György Ligeti

Au-delà des chapelles, des clans, des écoles et du cercle toujours étroit des musiciens contemporains, la musique de György Ligeti (1923-2006) a su trouver une large audience. Les textures inouïes, sidérales, des grandes oeuvres pour orchestre : Apparitions (1958-1959), Atmosphères (1961), Lontano (1967), Melodien (1971), le sens dramatique profond révélé dans une multitude de prismes, allant de la dérision ostentatoire (Aventures, 1962) jusqu'à la plus pure suggestion intérieure (Etudes pour piano, 1985-2001) en passant par la geste opératique tragique (Requiem, 1963-1965) ou bouffonne (Le Grand Macabre, 1974-1977), prisme fondé sur une poétique des rythmes qui en avive la perception en profondeur (Continuum, 1968 ; Clocks and Clouds, 1972-1973 ; Concerto pour piano, 1980-1988), ainsi qu'un rapport unique aux timbres, à leur plasticité, à leur sensualité (Concerto de chambre, 1969-1970 ; Concerto pour violon, 1989-1993 ; Síppal, Dobbal, Nádiheged vel, 2000) lui ont permis de capter un vaste public, grâce d'autant plus puissante que rare. Avec une empathie de compositeur, Karol Beffa met ici en perspective les périodes créatrices de György Ligeti, de ses débuts, dominés par l'admiration de Bartók, confrontés aux tragédies du XXe siècle, à l'accomplissement atteint en Europe de l'Ouest. Les différents foyers dans lesquels il put s'épanouir (Cologne et son Studio de musique électronique, l'avant-gardiste Darmstadt, la dadaïste Düsseldorf, Hambourg où il enseigna la composition) sont évoqués ici comme les jalons façonnant une personnalité radicalement indépendante, dont les modèles pour la création étaient aussi bien littéraires et picturaux que musicaux.

05/2016