Recherche

Je suis une porte

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Je suis une porte

Je suis une porte. Ne cherchez pas à résoudre quelque mystère ou à découdre une figure de style, la narratrice de ce roman est bel et bien une porte ; car oui, je suis une porte d'appartement parisien, vieille de quatre-vingt-dix ans, sans trop vouloir l'ouvrir, ni l'intention de la fermer. Tout commença en 1943. En ce temps-là, j'étais une porte dans la fleur du bois ; jeune et brillante dans ce hall parmi les bruits sourds et la torpeur qui régnaient dehors. J'en ai fait de mémorables rencontres durant toutes ces décennies. Lucie, Roger, Denise, Patricia, Lucas, Caro. Ces prénoms ne vous disent rien, pour le moment. Et pourtant, tous ont vécu ici, dans cet appartement, et ont foulé leurs pas et leur vie dans ce hall, qu'ils appelaient Paris. On m'a toquée, caressée, tapée, encensée, car de bois noble je me dresse, droite et immobile. Alors, laissez-moi suspendre votre temps, pour vous offrir le seul voyage dont je sois capable : une plongée dans le mien. Malgré mon silence apparent,

01/2020

ActuaLitté

Littérature française

Je suis née morte

Un livre important, à la fois grave et gai, où une jeune femme raconte son existence en mots simples et justes. Il dit, par la grâce d'un ordinateur et d'un outil pratique, la normalité de la différence. L'auteure a commencé son existence par ce qui en est habituellement le terme, elle est "née morte". Rendue gravement handicapée à la vie par la médecine, elle a appris à dévorer avec appétit cette existence dans l'amour de sa mère, l'attention de sa famille et la chaleur de son pays, Tahiti. Elle expose dans ce témoignage ses petites joies et ses grands bonheurs, ses immenses difficultés et ses réussites avec courage et dignité. Eveil, apprentissages variés, évacuation sanitaire, adolescence, recherche de l'autonomie, dépression, acceptation de la dépendance, elle raconte toute son éducation mais nous montre aussi celle que nous, les autres, avons à faire face au handicap. Ce livre affirme, sans revendication, mais comme une évidence, l'exigence de la reconnaissance de tous les droits des handicapés.

11/2012

ActuaLitté

Littérature française

Je suis morte un 13 decembre

" Marie Dupont est morte un 13 décembre... " On me dit morte, oui, mais moi, Marie Dupont, je suis belle et bien vivante... Alors, qu'est ce qu'il m'est arrivé ? Que dois-je faire pour dénouer les noeuds de ce problème et recouvrer ma petite vie d'antan, sa quiétude, sa normalité ? Et comment faire pour protéger, dans le même temps, ce que j'ai de plus cher... mes enfants, mon mari ?

02/2022

ActuaLitté

Faits de société

Maman, je ne suis pas morte

J'ai 34 ans, deux enfants, un merveilleux mari et un bon travail. Je viens d'une famille très aimante et bienveillante. J'aime jouer du piano et la photographie me passionne. Je suis "presque" madame tout le monde : je suis adoptée. J'ose enfin l'écrire. L'histoire dit que ma mère biologique, trop pauvre, m'a abandonnée. Un grand classique pour la mise en adoption et certainement la raison la plus morale et honorable de se séparer de son enfant. L'adoption, c'est aussi, factuellement, ne pas avoir d'autre choix, après avoir porté et donné la vie, que de la livrer à l'inconnu pour lui offrir une chance de survie. C'est en quelque sorte renoncer à son sang pour tromper la fatalité. Pour ma part, il en a été autrement. Un être humain, vivant ou mort, n'a pas de prix. Or la demande crée l'offre. Alors les opportunités apparaissent, les intérêts naissent, les trafics s'ébauchent. D'inestimable, la valeur d'un enfant se réévalue en devises, et j'en ai été, comme des milliers d'enfants de par le monde, une des victimes. Ce récit est mon histoire, un héritage pour mes enfants, la vérité sur notre famille mais aussi sur un des plus grands scandales liés à l'adxoption. C'est une manière de rendre justice à mes parents de sang, d'honorer l'extraordinaire courage de ma mère et la place que mon père m'a faite depuis nos retrouvailles, dans son coeur et dans sa vie. C'est aussi un hommage à mes parents de coeur, de vie, que j'aime profondément, inconditionnellement. C'est, enfin, un devoir de mémoire que je mène avec la Fondation RP-RP, Racines Perdues-Raìces Perdidas, qui représente plusieurs centaines de personnes ayant fait face à l'horreur du trafic d'êtres humains lors de leur adoption et qui cherchent encore leur famille à travers le monde. Empêchons que mon histoire, que "nos" histoires ne se reproduisent. Nunca Mas. Plus jamais ça.

11/2021

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

Je ne suis pas encore morte

Un cri de douleur. De révolte et de rage. Un uppercut. Telle une somnambule, une jeune femme sort d'un immeuble. Elle monte dans sa voiture, prend la direction du commissariat. Kidnappée, violée, menacée de mort, Lacy vient d'échapper à son bourreau. Qui n'est autre que son ex-compagnon, un homme violent, et manipulateur dont l'emprise, comme un étau, s'est peu à peu refermée sur sa vie. A travers un kaléidoscope de souvenirs, d'impressions et de réflexions, Lacy M. Johnson nous raconte son histoire. Refusant la position de victime, elle pulvérise tous les stéréotypes dans ces pages d'une humanité vibrante. Témoignage porté par une poésie brute et une énergie hors du commun, récit d'une reconstruction impossible : ce livre est nécessaire et d'une actualité brûlante. " Une réflexion sur la mémoire, l'amour et sur la manière dont les griffes du traumatisme marquent la chair et l'âme. " Elle.

04/2022

ActuaLitté

Psychologie, psychanalyse

Je suis morte ce jour-là

5 septembre 2010 : Sylvia blêmit. Elle apprend l'assassinat sauvage de Natacha, une jeune femme qu'elle ne connaît pas mais qui lui ressemble beaucoup. L'homme accusé du meurtre, en revanche, elle le connaît. Le jeudi 20 mai 2004, il l'a agressée en plein jour dans le parc de Suresnes alors qu'elle faisait son jogging. Jetée au fond d'un ravin, violée pendant deux heures, Sylvia a cru qu'elle allait mourir. Pourtant, poussée par un instinct de survie exceptionnel, elle est parvenue à s'en sortir... A peu près. Neuf ans se sont écoulés depuis le drame et Sylvia se demande souvent si, finalement, elle n'est pas morte ce jour-là. Mais aujourd'hui, elle a décidé de faire entendre sa voix et de se battre pour toutes celles qui ont traversé les mêmes épreuves.

03/2013

ActuaLitté

Littérature française

Je sais... je suis utile

Un enfant du monde (personnage central de l'ouvrage), ayant pris conscience des multiples efforts faits par la société pour son éducation (éducation de l'enfant et celle de la société) et son avenir (avenir de la société et de l'enfant), invite implicitement ses pairs (les autres enfants du monde et même toute l'humanité) à une véritable prise de conscience de leur " force de frappe ", de leur capacité de réussite (dans la vie actuelle et future), qui réside dans la solidarité, la charité et la protection de l'environnement.

03/2021

ActuaLitté

Littérature étrangère

On dirait que je suis morte

Mona a vingt-quatre ans, une vie cabossée, une âme pure et une intuition désastreuse lorsqu'il s'agit de se construire une vie meilleure. Le jour, Mona fait des ménages pour gagner sa vie, vidant au passage les tiroirs d'anxiolytiques de ses riches clients. Le soir, elle distribue des seringues aux junkies de Lowell, Massachusetts. C'est là qu'elle tombe amoureuse de M. Dégoûtant, un artiste raté et sans dents. C'est le début d'une odyssée trash et burlesque qui la mènera jusqu'au Nouveau-Mexique. Là-bas, au milieu de loufoques en tout genre, elle s'évertuera, à force de cuvettes à récurer, de drogues plus ou moins douces et d'introspections un brin erratiques, à trouver sa place dans le monde. Un premier roman poignant et drôle, qui donne vie à un personnage hors norme et extrêmement attachant.

01/2019

ActuaLitté

Littérature française

Je suis morte le 8 février 1984

G. L. a grandi dans la banlieue lyonnaise au coeur d'un contexte familial sombre : sa mère, alcoolique et abusive depuis un AVC difficilement accepté, fait de sa vie un enfer quotidien. Lorsque la jeune fille a l'opportunité de quitter Lyon pour Toulouse, elle n'hésite pas, provoquant l'incompréhension de ses parents. Alors qu'elle revit enfin, G. L. fait la rencontre de Y. , un musicien avec qui elle partage une histoire aussi houleuse que passionnée. Mais son enfance difficile a laissé des traces et ses démons, tapis dans un coin, prêts à surgir, reviennent la hanter. A la mort de sa mère, des choses étranges surviennent dans sa vie, comme le chiffre 666 qui apparaît sur son front... Dès lors, l'univers entier tangue autour d'elle... Dans ce premier tome, Weewee explore les débuts mouvementés de la vie de G. L. , jeune femme un peu perdue qui ne demande qu'à vivre heureuse.

04/2024

ActuaLitté

Littérature française

Je me suis laissée porter par le vent

Qu'est ce que ce roman décousu "je me suis laissée porter par le vent" une tranche de vie parallèle, un amour volé à une autre où l'amant devient la muse. Il interpelle, ce sont des mots, des cris jetés sur le papier, de la poésie à l'état pur. La femme y est objet de manipulation, l'homme ne vit pas avec elle. Il rencontre des amours, parallèles à sa vie, cela lui sied, lui convient, lui permet de continuer à vivre avec la même femme depuis dix ans et de s'offrir de franches récréations. Ces maîtresses deviennent des roues de secours, elles ne sont à ses yeux qu'un miroir. Il ne cherche à travers elles qu'une manière, de penser qu'il séduit ou peut encore séduire à cinquante et un an et il y réussit. Je suis sa dernière maîtresse en date. Violette, la belle violette, celle d'avant est morte en 1998. Je ne l'ai pas connu. Je l'ai juste remplacée dans un travail lors de son décès. Si elle avait vécu, je pense qu'il serait avec elle. Il en était amoureux fou. Il a eut beaucoup de chagrin en la perdant et je pense qu'il en a encore. Je la sens sa souffrance, comme une plaie béante. Elle est là devant moi. Si j'avais un cadeau à faire à cet homme que j'aime. C'est Violette que je lui donnerai. Je prendrai sa place et elle serait là, vivante, heureuse. Elle rirait avec lui. Il n'y aurait plus de blessure. Il serait heureux, il vivrait avec elle. Oui, c'est ce cadeau la que j'aimerais lui faire. Mais elle n'est plus et je suis là. Je m'en veux de vivre dans la douleur, sans lui. Vieillir, seule, c'est intolérable. Il comprend ma souffrance. Il ne veut pas me perdre. Il a peur de vivre un autre chagrin, si je disparais, si je pars. Je pense qu'il a surtout peur de la vie, de ne plus aimer, de ne plus m'aimer en vivant avec moi. Peut-être a t-il raison, je l'ignore. J'ai du mal à concevoir la vie sans lui mais je le ferai même si c'est souffrir et faire souffrir. Peut-être alors comprendra t-il que son bonheur était là et qu'il l'a laissé passé... ... . Mais il ne sait pas s'investir dans une histoire d'amour. Moi je me laisse porter par le vent... ... ... ... ... ... ... ... ... ... Marie

11/2013

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

Fuis-moi, je te suis

Leila Scott a tout pour elle : Deux meilleures amies fabuleuses, un fiancé dévoué, une famille aimante et un travail qui va au-delà de ses espérances. Tout va pour le mieux dans sa vie jusqu'au jour où... Luck Jones, prétentieux, joueur, attachant mais arrogant, pose les yeux sur Leila qui devient son obsession. Il va la pousser à réfléchir sur sa vie, replonger dans son passé et ouvrir les yeux sur son avenir. Quand Luck lui dévoile un lourd secret qui vient tout chambouler dans sa vie, Leila ne sait plus qui croire

02/2019

ActuaLitté

Documentaires jeunesse

Je ne suis pas un âne, je suis un zèbre !

Quelle meilleure manière d'aborder la vie d'un jeune "zèbre" que la forme d'un conte illustré pour enfants ? L'auteure raconte l'enfance et la croissance parfois difficiles d'une enfant confrontée à sa différence : elle n'est pas comme les autres. Elle se voit "âne" et c'est un chemin initiatique qui lui fera comprendre qu'elle est un "zèbre", autrement dit un "haut potentiel" ou une "surdouée". Les zèbres sont des hauts potentiels qui s'ignorent, la plupart du temps. De nature hyperesthésique, ils sont toujours hypersensibles et ont énormément de difficultés à gérer leurs émotions. Cela peut engendrer des troubles du comportement importants : sentiment de rejet, manque de confiance en soi, besoin de reconnaissance et de justice exacerbé, etc. entraînant l'échec scolaire, une incapacité de sociabilisation, voire même des somatisations. Ce profil, non reconnu, est souvent la cause d'une grande souffrance pouvant désemparer les enfants et les parents. Ce livre aborde chaque émotion et passage de la vie de zèbre sous forme de conte avec douceur et du point de vue d'un zèbre. Il guide l'enfant vers sa reconnaissance en tant que haut potentiel afin de faire de sa différence une force, grâce aux exercices à réaliser au quotidien, afin d'être surdoué et heureux ! A partir de 6 ans.

03/2019

ActuaLitté

Santé, psychologie

Je ne suis pas un âne, je suis un zèbre

Un conte thérapeutique pour aider les enfants à haut potentiel intellectuel (HPI) à s'aimer et à s'épanouir. Quelle meilleure manière d'aborder la vie d'un jeune "zèbre" que la forme d'un conte illustré pour enfants ? L'autrice raconte l'enfance et la croissance parfois difficiles d'une enfant confrontée à sa différence : elle n'est pas comme les autres. Elle se voit "âne" , et c'est un chemin initiatique qui lui fera comprendre qu'elle est "zèbre" , autrement dit "haut potentiel" . Les zèbres sont des enfants intellectuellement précoces, qui s'ignorent la plupart du temps. De nature hypersensible, joyeuse et passionnée, ils se révèlent aussi hyperactifs et réticents à la concentration sur des tâches leur semblant inintéressantes : c'est pourquoi ils peuvent avoir de "mauvais résultats" à l'école, alors qu'ils sont par ailleurs brillants. Ce contraste est souvent la cause d'une grande souffrance pouvant désemparer les parents. Ce livre aborde chaque émotion et passage de la vie de "zèbre" sous forme de conte, avec douceur et du point de vue d'un zèbre. Chaque chapitre propose également un exercice pratique pour apprendre à comprendre et dompter chaque émotion. Cela amènera naturellement l'enfant concerné à surmonter les pièges et les obstacles inhérents à cette différence qui se révèle être une force pour parvenir à l'acceptation de soi, à la réussite scolaire et à un bien-être quotidien.

09/2022

ActuaLitté

Romans historiques

Sois forte, Lucia

Inspirée par les récits de son propre père, l'auteur raconte la vie de Lucia et de sa famille à travers la guerre civile espagnole depuis la révolte des Asturies en 1934 jusqu'à la mort de Franco. "C'est l'histoire d'un double amour. Amour de Lucia pour un homme, le beau Mikel qui l'adore ; amour pour le peuple basque auquel tous deux appartiennent et dont le sombre destin va marquer l'union des amants du sceau de la tragédie. Roman politique ? Assurément. Mais... ce serait mutiler l'ouvrage de Marie José Basurco que de le réduire à cette dimension. Son fil rouge, c'est la quête obstinée du bonheur qui ne cesse d'animer Lucia. Deux enfants naissent en 1934 et 1935. Tout va bien. Mais la révolte des Asturies, cruellement réprimée par Franco, frappe les trois coups d'un drame qui n'aura plus de fin. Lucia - et c'est là sa grandeur - n'abdique pas devant l'événement ! Son goût des choses de la vie résiste à la lente et irrésistible montée des forces de mort. L'exilée avait révélé le grand et singulier talent de Marie José Basurco. Alors que le roman français sombre dans les eaux tiédasses du nombrilisme, elle lance ses personnages sur la houle océanique de l'Histoire. Elle sait tricoter ensemble l'intime et le public, la recherche têtue du bonheur et le fracas de l'événement saccageur de la vie." Gilles Perrault.

ActuaLitté

XXe siècle

Sois forte Lucia

Inspiré par les récits de son propre grand-père, Marie-José Basurco raconte la vie de Lucia et de sa famille à travers les décennies de la révolte des Asturies, en 1934, sévèrement réprimée par Franco, jusqu'en 1975, à la mort du dictateur. C'est l'histoire d'un double amour. Amour de Lucia, à la fois combattante, femme et mère, pour un homme, le beau Mikel, qui l'adore ; amour pour le peuple basque auquel tous deux appartiennent et dont le sombre destin va marquer l'union des amants du sceau de la tragédie. Roman politique ? Assurément. Mais... ce serait mutiler l'ouvrage de Marie-José Basurco que de le réduire à cette dimension. Son fil rouge, c'est la quête obstinée du bonheur qui ne cesse d'animer Lucia. Lucia - et c'est là sa grandeur - n'abdique pas ! Son goût des choses de la vie résiste à la lente et irrésistible montée des forces de mort.

09/2023

ActuaLitté

Littérature française

Je ne sais pas écrire et je suis un innocent

1993 : Cuba se défait dans la pénurie. Invité par un ami, Gabriel, un jeune Français sans but et sans emploi, y atterrit pour la première fois. Il rencontre Pilar. Elle a été communiste. Elle reste cubaine, pauvre, exigeante, joyeusement enragée. Elle veut quitter l'île. Plus tard, elle deviendra sa femme. 2003 : Gabriel Lindero décide d'écrire ce récit d'apprentissage. I1 est fait de joie, de solitude, de trahison et d'envie. Des poètes et des prostituées le traversent et l'orientent. Des langues et des corps l'animent. Des libertés sont perdues, d'autres reconquises. Des histoires attendent leurs suites, qui ne viendront peut-être pas. Des ambiguïtés ne sont jamais levées. Des rêves finissent dans des fruits ou dans des ventres de requins.

03/2004

ActuaLitté

Beaux arts

Je ne suis pas une femme architecte, je suis achitecte

"Me traiterait-on de diva si j'étais un homme ? " demandait Zaha Hadid, l'une des architectes les plus célèbres au monde, qui dut néanmoins faire face à la critique. Cet ouvrage rend hommage à l'architecture remarquable réalisée par les femmes à travers le monde. S'y côtoient les icônes du XXe siècle comme Eileen Gray, Charlotte Perriand ou Lina Bo Bardi et les talents contemporains comme Manuelle Gautrand, Kazuyo Sejima, Grafton Architects ou encore Dorte Mandrup, dont l'affirmation a donné son titre à cet ouvrage, célébration inédite de l'architecture au féminin.

10/2019

ActuaLitté

Réussite personnelle

Je suis morte il y a 25 ans

Ma mère est décédée le jour de mes 22 ans. Depuis toute petite, je vivais dans ma bulle et l'an dernier je suis devenue un phoenix ! La vie m'a détruite, m'a anéantie et face à l'adversité et aux combats, je n'ai pas toujours fait les bons choix. J'ai appris par la souffrance, la différence et avec résilience. Je suis, entre autres, neuroatypique et plusieurs de mes facettes m'ont aidée à me relever. Voici mes méthodes et quelques poèmes, face à la maladie, le divorce, l'emprise d'un pervers narcissique, la mort et le fait d'être le mouton noir de la famille... Lorsque vous êtes au plus bas, vous ne pouvez que remonter. Je sais que la vie est injuste mais le meilleur reste toujours à venir. Croyez en vous !

01/2023

ActuaLitté

Littérature étrangère

Je suis une viking

Zelda, 21 ans, n'est pas tout à fait comme les jeunes femmes de son âge, parce que sa mère buvait trop quand elle était enceinte. Qu'à cela ne tienne, elle mènera sa vie comme elle l'entend ! Zelda aime son grand frère Gert, son amoureux Marxy, son nouveau travail à la bibliothèque, faire des listes et, surtout, elle voue un culte immodéré aux Vikings. Mais, alors qu'elle rêve de combats à l'épée et de Valkyries, elle découvre que Gert s'est lié à de dangereux dealers pour payer les factures. Le moment est venu pour Zelda de montrer sa bravoure et de se lancer à sa rescousse ! Avec Je suis une Viking, Andrew David MacDonald signe un premier roman tendre et universel et nous entraîne dans les aventures d'une héroïne étonnante qui entrera dans la légende.

03/2020

ActuaLitté

Science-fiction

Je suis une légende

Chaque jour, il doit organiser son existence solitaire dans une cité à l'abandon, vidée de ses habitants par une étrange épidémie. Un virus incurable qui contraint les hommes à se nourrir de sang et les oblige à fuir les rayons du soleil... Chaque nuit, les vampires le traquent jusqu'aux portes de sa demeure, frêle refuge contre une horde aux visages familiers de ses anciens voisins ou de sa propre femme. Chaque nuit est un cauchemar pour le dernier homme, l'ultime survivant d'une espèce désormais légendaire.

05/2001

ActuaLitté

Littérature française

Je suis une surprise

On trouvera ici : une table de ping-pong, une grosse enveloppe de la NASA, un fusil, une part de flan renversée, de nombreuses heures de colle, des diapositives du Sahara, un crâne humain exhumé et brisé, plusieurs vélos, un hôpital psychiatrique, un petit carnet décrivant la planète Mars, un voyage éclair à Bruges et un autre à Venise, des pins parasols, un immense bateau et un minuscule voilier. Et aussi, sans cesse, partout sous les pieds du narrateur, des caves sombres pleines de bouteilles. Autant d'étranges souvenirs que Marc Pautrel interroge pour nous dire : "Je est un autre, je est une surprise... j'écris, je suis une surprise". Je suis une surprise, Claudine Galéa Voix intérieures. Jeanne Bastide et Marc Pautrel mènent, chacun à sa façon, une enquête sur l'être et le non-être. Aux éditions de l'Amourier et chez In8. Sujets et objets Lucie se sent enfermée. Prisonnière d'une absence. Celle d'André, mais pas seulement. L'espace de la maison est devenu oppressant. Pour se reconnecter au monde réel, celui des sensations, elle s'allonge à même la terre. Plus tard, à la fin, elle franchira la porte, sortira. Jeanne Bastide raconte le lent réapprivoisement d'une femme par elle-même. "Un silence ordinaire" décrit l'histoire d'une perte qui est peut-être davantage celle du sentiment d'exister que de l'être aimé. Ce sont les objets qui prennent en charge le manque, le vertige. Il y a quelque chose de l'univers de la peinture dans ce lent et pointilleux récit d'un retour à la vie. Aux natures mortes de l'univers intérieur, s'opposent les éléments de l'extérieur, de la brume hivernale au renouveau de la lumière printanière. Jeanne Bastide prend la mesure du temps, et réussit à créer une suspension atmosphérique, entre asphyxie et reprise d'air. C'est une plongée en soi qui évite tout pathos et toute explication au mystère de la disparition. "L'autre" est un miroir où Lucie s'est peut-être perdue. Parfois, on frôle l'hallucination dans une sorte de syncope du verbe. Pour retrouver la continuité d'existence qui lui permettra de demeurer vivante, Lucie écrit. Une deuxième voix s'élève dans le livre, plus fluide, gaie, avec de forts accents d'oralité. Une voix de vivante, heureuse de l'être. Marc Pautrel est le sujet de son récit "Je suis une surprise". Tout à lui-même - il écrit à plein temps, son temps lui appartient jusqu'à l'obsession -, la scène du "Je" lui est familière ! Et pourtant, écrit-il, "en moi, tellement de morceaux me sont étrangers". Remontant le fil d'une existence où les déménagements successifs de ses parents le préparèrent à la solitude et au détachement dont il use avec ivresse une fois devenu adulte, l'auteur-narrateur impose l'idée d'un décollement de soi plutôt qu'un dédoublement. La collection Alter & Ego, pour laquelle il a écrit ce récit, est un écrin parfait à l'aventure en chambre de cet anti-héros. Il aurait désespérément aimé franchir les frontières de la fiction au point d'habiter le seul pays des mots,

02/2009

ActuaLitté

Littérature française

Je suis une usine

Le manuscrit de Je suis une usine est resté plus de quarante ans dans les papiers d'Yves Le Manach, à tel point qu'il en avait oublié jusque l'existence. En 1973, son livre Bye Bye Turbin ! paraissait aux éditions Champ Libre, composé de notes et de textes écrits à la fin des années soixante, pour certains sur un coin d'établi, ou dans les chiottes de l'usine Sud Aviation, ou à l'heure du casse-croéte. Il avait quitté l'usine en 1970 pour s'installer à Bruxelles, avec sa compagne. C'est durant cette période qu'il a écrit ses "histoires d'usine", rue du Châtelain... L'usine évoque abondamment, il est vrai, les violences et les frustrations trop longtemps contenues par ses "élus", tous les jours, tous les mois, toute la vie. Suffisamment pour expliquer que certains ne conçoivent d'autre liberté que l'irréparable. Ni d'autre échappatoire au monstre concentrationnaire que le monstrueux : "On ne s'étonnera pas si un jour les rêves nourris au plus secret d'eux-mêmes, rêves de violence, de mort, de vengeance, d'amour et de totalité, viennent éclater dans la réalité.", nous prévient-elle. Stéphane Prat

11/2016

ActuaLitté

Littérature coréenne

Je suis une Kisaeng

L'ouvrage Je suis une kisaeng, est un des rares témoignages directs de kisaeng qui racontent la vie de ces courtisanes, leurs désirs, leurs rêves et leurs frustrations. Par leur nombre et le rôle qu'elles jouaient, les kisaeng occupaient une place importante dans la société coréenne jusqu'au début du XXe siècle. Leur contribution à la vie culturelle - musique, danse et littérature - était inégalable. Pourtant les écrits qui nous renseignent sur leur vie ou nous font entendre leur voix sont très rares. Cet ouvrage est composé de Sosurok, recueil d'oeuvres poétiques de kisaeng dans lesquelles celles-ci s'expriment en leur nom, et de divers poèmes autour des kisaeng - riches en informations eux aussi - provenant de fonds universitaires et de collections privées. Ces documents, annotés et commentés par Jung Byung Sul, nous permettent d'entendre les voix des courtisanes de la dynastie Chosôn (jusqu'à 1910) ; elles y dépeignent leurs états d'âme et leurs aspirations. Leurs plaintes se fondent sur une idée très simple : une kisaeng est aussi un être humain. Si elles se sentent obligées de marteler cette évidence, c'est qu'elles vivent dans un monde où leur humanité est ignorée ou niée. Leurs cris ne s'adressent pas seulement aux hommes, mais aussi aux autres femmes.

09/2023

ActuaLitté

Enseignement primaire

Je suis une fille !

Qui a dit que les filles étaient calmes et discrètes ? Moi, j'aime aller vite et faire du bruit, et pourtant je suis une fille !

06/2019

ActuaLitté

Livres 0-3 ans

Je suis une danseuse

Des petits docu/fictions de 10 DP sur le thème très apprécié des petites filles : les danseuses Texte Zou ! Je file dans ma loge, j'enfile mon tutu et je m'élance sur la scène. Bravo !

03/2017

ActuaLitté

Livres 0-3 ans

Je suis... une cavalière

Une collection vitaminée qui repose sur un mode d'apprentissage majeur des plus petits : l'imitation et l'identification. L'enfant se met immédiatement dans la peau du personnage. Hop ! à cheval : on enfile sa tenue, on brosse son poney... Voici une super cavalière !

03/2018

ActuaLitté

Lecture 9-12 ans

Je suis une esclave

"Dimanche de Pâques 1859. Liberté. C'est peut-être le seul mot j'ai appris toute seule. Ici, les gens, ils prient pour la liberté, ils chantent sur la liberté, mais pour pas que Maître Henley connaisse leurs vrais sentiments, ils appellent la liberté "cieux". Tous, ils ont l'esprit fixé sur c'mot : liberté. Mais c'est un mot qui me parle pas, que j'ai encore jamais pu voir."

02/2017

ActuaLitté

Lecture 6-9 ans

Je suis une chaussette

Joanna est abandonnée par ses deux meilleures amies. Que faire, quand on est jetée comme une vieille chaussette ? Se déguiser en chaussette géante ! Ainsi improbablement vêtue, Joanna entame une promenade en forêt, bien déterminée à trouver de nouveaux compagnons... et prouver qu'il ne faut jamais jeter une chaussette !

10/2018

ActuaLitté

Littérature française

Je suis une voleuse

"Aucun caillou, aucun arbre, aucun nid d'oiseau n'avait de secret pour elle. Mais ce matin-là, son ciel était vide. Plus rien ne ressemblait à rien. Ni le fossé qu'elle enjambait la veille encore pour attraper quelques nèfles, ni les petits agneaux de Paulette, la voisine, auxquels en passant elle aimait tendre la main pour sentir leur langue râpeuse la chatouiller. Ce matin, ils la regardaient ramasser les morceaux de son esprit, tandis que les larmes dégoulinaient sur ses souliers". Qui n'a pas volé au moins une fois étant enfant ? Pour un petit larcin que Marie a commis à l'âge de sept ans, la punition infligée lui laissera une trace indélébile. Comment va-t-elle triompher d'une enfance cabossée et des multiples fracas de son existence ? C'est ce parcours que l'auteur nous restitue dans ce récit intime, profondément émouvant et d'une élégante sobriété.

03/2017

ActuaLitté

Carrière et réussite

Je suis une slasheuse

Les lundis, mercredi et vendredi, Claire est formatrice. Les mardi et jeudi, elle est cheffe-traiteur à domicile. Et tous les jours, elle s'occupe de ces deux filles. Bref, Claire est slasheuse. Comme beaucoup de salariés, Claire a souvent imaginé être sa propre patronne. Les doutes, l'insécurité financière, la recherche de la bonne idée, des compétences... La liste des raisons qui nous empêchent de sauter le pas est bien longue. Il y a deux ans Claire l'a fait. Elle s'est lancée. Non sans peine, car le chemin vers la liberté professionnelle est tumultueux et sans répit. A travers un guide pratique mêlant des notions de développement personnel, elle témoigne de son expérience : après un burn-out elle s'interroge sur le besoin de sens dans le travail et repense à toutes ses certitudes personnelles pour trouver sa voie. Avec malice et bienveillance, elle nous invite à évaluer nos compétences, à s'écouter et à se pardonner de douter, d'avoir peur d'avancer. Mère de deux magnifiques filles, en couple, elle est aujourd'hui cheffe de deux entreprises. Elle est aujourd'hui la cheffe épanouie deux entreprises. Elle raconte comment se remettre en question, et dévoile les outils à notre portée pour grandir et trouver notre paix intérieure.

02/2021