Recherche

Je les revois

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Je les revois

Le monde est d'une incroyable densité, tout est tissé, relié, connecté, le Moyen Age et aujourd'hui, l'Amérique du Sud et Paris, Cartouche et Bonnot, Nadir Shah et Al Baghdadi, Ravachol et Kouachi, et plus encore aujourd'hui par l'internet, qui conserve la mémoire de tout...

04/2019

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Je me revois grimper les escaliers

La banane n'est guère aussi rentable, l'ananas ne nourrit plus son homme. Les vieux n'ont plus rien à perdre, et la jeunesse se morfond sur les marches du nord de l'île Martinique où l'auteure qui y a passé une partie de son enfance se revoie grimper les escaliers. A Macouba où l'exode devient galopant, nous sommes à la fin des années soixante. L'exil vers Fort-de-France d'abord puis vers la mère patrie qui tend les bras à tous ceux qui croient que l'herbe est plus verte ailleurs se fait ressentir et devient quasiment indispensable. Quitter ce petit bout de village, sortir de son enclavement est vital pour ceux qui sentent leur avenir pris au piège du désenchantement. Ils gouteront assez vite aux affres de l'amère patrie qui va les accueillir sans complaisance, avec le froid dont ils feront connaissance, le chômage qui les poursuivra encore, la crise de logement qu'ils ne subissaient pas autant dans leur case de Fibrociment. Ils ne reconnaitront pas leur Eldorado. Ce roman raconte l'histoire vraie de tous ceux qui ont voulu fuir leur misère, en s'expatriant. Patricia Norca nous narre ce récit dans le détail et avec une belle poésie qui veut cacher la souffrance de ces gens qui n'auront d'autres choix que de toujours placer leur espoir ailleurs. Tanbou o lwen ni bon son dit le proverbe créole. Térèz Léotin

01/2018

ActuaLitté

Littérature française

Je nous revois...

Patron réputé invincible d'un groupe de communication d'envergure européenne, Raoul Dutheil s'est entouré d'une bande d'amis qui auréolent sa personne d'un halo esthétique. Un écrivain américain, un peintre serbe, un agent littéraire juif, un reporter très cosmopolite, des éditeurs, une historienne d'art et autres égéries charmeuses, dont Carla, la belle Romaine. Tous baignent dans une euphorie capiteuse et ambiguë. Mais deux événements en bouleversent la fragile harmonie : la chute de Raoul Dutheil, " tué " par un patron plus vorace que lui, et le drame de Marleen, l'amante du narrateur. Car l'amour fou traverse cette grande fresque de la décadence, habitée par la passion du baroque, pleine d'humour et de mélancolie. C'est le roman que Denis Tillinac portait en lui depuis longtemps, nourri par sa connaissance des milieux littéraire, politique et diplomatique. De Biarritz à Londres en passant par Rome, Belgrade, Paris et les maisons de famille somnolentes du Sud-Ouest, il dévoile les secrets intimes de personnages délicats et vulnérables, qui semblent tenir en équilibre sur une ligne de fuite.

08/2006

ActuaLitté

Ecole des loisirs

Au revoir, les vilains !

Ce matin, en me réveillant, j'ai découvert un MONSTRE endormi sous mon lit. Et un autre dans la cuisine. Et puis encore un dans la salle de bain. Pas question de me laisser faire. J'ai soufflé très fort et... à toi de tourner le flap pour connaître la suite.

05/2023

ActuaLitté

Littérature japonaise

Au revoir les chats !

Un recueil de nouvelles autour des chats par l'autrice des Mémoires d'un chat.

11/2023

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Au revoir, les enfants

" Au revoir, les enfants s'inspire du souvenir le plus dramatique de mon enfance. En 1944, j'avais onze ans et j'étais pensionnaire dans une collège catholique, près de Fontainebleau. L'un de mes camarades, arrivé au début de l'année, m'intriguait beaucoup. Il était différent, secret. J'ai commencé à le connaître, à l'aimer, quand, un matin, notre petit monde s'est écroulé. Ce matin de 1944 a peut-être décidé de ma vocation de cinéaste. J'aurais dû en faire le sujet de mon premier film, mais j'attendais. le temps a passé, le souvenir est devenu plus aigu, plus présent. Après dix ans aux Etats-Unis, j'ai senti que le moment était venu et j'ai écrit le scénario d'Au revoir, les enfants. L'imagination s'est servie de la mémoire comme d'un tremplin, j'ai réinventé le passé, au delà de la reconstitution historique, jà la poursuite d'une vérité à la fois lancinante et intemporelle.

05/1994

ActuaLitté

Littérature française

Rêvoir

"Comment font les gens qui ne disposent pas d'un Rêvoir de rêves, les malheureux, je n'arrive pas à imaginer une existence maintenue sous la coupe implacable du Cauchemar. J'ai connu un temps la liberté. Quand une liberté est pure et libre on ne s'en aperçoit même pas. On va, on vient, se couche, se lève, immortellement pendant des années, on ne les compte pas, on n'est ni savant, ni ignorant, on est distrait, on respire, on entre dans des magasins, puis dans d'autres, il y a des calendriers pour tout un chacun. Je fais appel à toutes mes forces mentales, pour deviner l'état du cerveau de ceux qui n'ont jamais connu, jamais aspiré l'air de la liberté, un air légèrement sucré, légèrement salé, discret, agréable, ceux qui à peine nés ont été déposés dans une cage, voués du premier au dernier souffle au cachot de l'esclavage, toutes ces créatures qui n'ont connu de la liberté que le regret greffé dans tout le corps par le mystère de l'héritage".

10/2021

ActuaLitté

Lecture 6-9 ans

Au revoir, les chats volants

Au revoir, les chats volants ! Petite Jane quitte ses frères et sœurs et s'envole, insouciante, vers l'aventure. Désormais seule, elle ne devra compter que sur elle-même pour affronter les dangers. Après un voyage mouvementé, elle arrive enfin à la ville et se glisse aussitôt par une fenêtre ouverte pour s'abandonner à la chaleur d'un foyer retrouvé. Mais les humains lui réservent de drôles de surprises... Retrouvez les chats volants dans une histoire tendre et chaleureuse où le merveilleux se mêle au quotidien.

01/2008

ActuaLitté

Littérature française

Au revoir, les enfants. Scénario

"Au revoir, les enfants s'inspire du souvenir le plus dramatique de mon enfance. En 1944, j'avais onze ans et j'étais pensionnaire dans un collège catholique, près de Fontainebleau. L'un de mes camarades, arrivé au début de l'année, m'intriguait beaucoup. Il était différent, secret. J'ai commencé à le connaître, à l'aimer, quand, un matin, notre petit monde s'est écroulé. Ce matin de 1944 a peut-être décidé de ma vocation de cinéaste. J'aurais dû en faire le sujet de mon premier film, mais j'attendais. Le temps a passé, le souvenir est devenu plus aigu, plus présent. Après dix ans aux Etats-Unis, j'ai senti que le moment était venu et j'ai écrit le scénario d'Au revoir, les enfants. L'imagination s'est servie de la mémoire comme d'un tremplin, j'ai réinventé le passé, au-delà de la reconstitution historique, à la poursuite d'une vérité à la fois lancinante et intemporelle".

10/1987

ActuaLitté

Littérature française

On va revoir les étoiles

C'est un voyage ni prévu ni voulu qui attend le narrateur lorsqu'il place ses parents dans une maison de retraite. Puisque sa mère ne sait plus où elle est et que son père commence à se perdre dans les méandres de son fleuve intérieur, il les éloigne pour toujours de leur demeure provençale, le rêve de leur vie. Visite après visite, il puise auprès d'eux ce qu'ils ont été, des parents vaillants et solides. Dans le village où plus rien ni personne ne l'attend, il recherche son enfance aux étés gorgés de soleil, et des réponses à cette question lancinante : "Pourquoi n'avons-nous rien vu venir ? " Malgré son chagrin et son désarroi, il trouve dans ce lieu de vie de la délicatesse et du dévouement, du réconfort pour ce qui n'est plus, des baisers, de l'amour aussi.

02/2019

ActuaLitté

Histoire de France

Je veux revoir maman

" Il fallait du pain, il fallait des sous, il fallait manger et se protéger. Il fallait protéger ses enfants. Il fallait courir tous les dangers. Il fallait dire à sa fille : "Va, tu ne risques rien. Va ma fille. Demande un peu plus de pain, un peu plus de viande. Débrouille-toi." Il fallait ne pas dépenser tous ses tickets. Cacher son étoile. Aller le soir sans étoile. Il fallait s'occuper des gamines et du bébé. Il fallait donner les tickets du vin à certains voisins pour qu'ils veuillent bien se taire. Il fallait regarder la rue. Il fallait prendre le train. Il fallait prendre le bon train. Il fallait ne pas faire pleurer la petite. Il fallait demander le bon renseignement. Regarder dans les yeux le bon flic, le bon quidam. Il fallait envisager le repli. Il fallait envisager la famille qui aiderait. Il fallait monter les escaliers. Déchirer les scellés. Prendre du tissu. Descendre l'escalier sans se faire remarquer. Aller au dispensaire. Chercher un passeur. Prendre des nouvelles. Dire il faut qu'on parte. Dire non, il faut rester, le danger est trop grand. Dire oui très vite. Il fallait s'appuyer sur plus faible que soi. Sur éventuellement plus fort. Sur le goy. II fallait savoir le prix à payer. A ne pas payer. Il fallait penser au pire. A la mort. A la vie aussi. Surtout, il fallait survivre... " Plus de 6o ooo enfants juifs ont survécu sur les 72 ooo vivant en France au début de la Seconde Guerre mondiale. Ce livre poignant est le témoignage de dix-neuf d'entre eux qui, arrachés à leur famille, traverseront la guerre traqués, déchirés, mais seront sauvés grâce à la complicité de multiples réseaux d'entraide. Cachés dans des familles, des institutions religieuses, ballottés d'un endroit à l'autre, ils expriment avec émotion leurs souffrances, toujours vivaces, mais racontent aussi la part d'amour qui souvent les lie à ceux qui leur ont permis de vivre et de donner la vie à leur tour. Jean-Claude Ross, représentant du comité français pour le mémorial Yad Vashem à Jérusalem, dira : " Il fallait une personne pour dénoncer une famille juive, mais une importante chaîne de solidarité pour en sauver une seule. "

01/2005

ActuaLitté

Humour

Rêvons de mots

Depuis plusieurs années, Raymond Devos travaillait à un nouveau livre d'humour et d'humeur fait d'aphorismes, de pensées, d'anecdotes et d'extraits de sketches inédits. Il noircissait à cet effet des petits carnets dans lesquels il consignait ses dernières trouvailles, ses réflexions, ses fulgurances. Une sorte de testament comique. On y retrouve son sens du mot, de l'absurde, des paradoxes, et une certaine vision de la condition humaine aussi juste qu'irrésistible. Un livre indispensable pour tous ses admirateurs.

04/2009

ActuaLitté

Romans de terroir

Revoir Margot

Bruno est planté comme un chêne au milieu de ses vignes et de sa terre. Margot est une hirondelle qui voyage de bras en bras, de pays en pays. Ils se sont aimés il y a presque trente ans. Elle est partie sans un mot un matin de printemps. Alors que Bruno semble enfin avoir tiré un trait sur le passé, la fille de Margot revient habiter au village, ouvre en grand le château familial et réveille des démons qu'il pensait à jamais exorcisés. Et si Margot retrouvait à son tour le chemin de Massan ? Une histoire émouvante dans un pays de soleil et de vent racontée avec simplicité et passion par un auteur passé maître dans l'art de cheminer dans l'âme de ses personnages.

05/2016

ActuaLitté

Actualité et médias

Revoir Paris

Dans une capitale qui peine à tenir ses promesses, nombreux sont ceux qui aspirent à "revoir Paris" . En préférant scruter l'avenir que le passé, le député de Paris Pierre-Yves Bournazel se fait le porte-voix de leur espérance dans un livre personnel et passionné. Pour lui, l'élection municipale de 2020 doit être l'occasion de dépasser le "régime des partis" et de faire émerger une offre politique totalement inédite - une offre dont les habitants seraient à la fois les seuls inspirateurs et les vrais destinataires. Il pose les termes de ce nouveau pacte démocratique dans un livre adressé à la ville qu'il a appris à connaître mais qu'il a aimée dès le premier jour. Aucun enjeu, aucun défi n'échappe à son analyse d'élu de terrain pragmatique, inventif et ouvert au dialogue. Revoir Paris revient autant pour lui à réfléchir à Paris qu'à rêver pour Paris, ce qu'il nous invite à faire loin de tout sectarisme et de tout conformisme.

03/2019

ActuaLitté

Littérature française

Revoir Igloolik

Comment réagiriez-vous si vous vous réveilliez un beau matin paralysé ? C'est ce qui est arrivé à Serge Michailof, un spécialiste bien connu des questions de développement. Alors qu'il lutte contre la douleur et le désespoir, Serge Michailof nous emmène dans trois voyages parallèles. Un voyage dans le temps qui permet de partager son quotidien avec les inuits de l'Arctique canadien et les indiens du haut Orénoque, tels qu'il les a connus il y a soixante ans. Un voyage dans l'espace lorsqu'il nous fait découvrir sa vie de "développeur" , avec ses succès et ses échecs, ses espoirs et ses déceptions. Un itinéraire intellectuel non conventionnel, qui au cours d'une vie consacrée au développement des pays du sud, l'a conduit à une sévère remise en cause de la mondialisation. Revoir Igloolik : un livre insolite, un récit initiatique parfois picaresque, doublé d'une réflexion inhabituelle et profonde sur notre société.

03/2023

ActuaLitté

Littérature française

Revoir Marceau

Une maison de vacances en Lozère. Lorsqu'il constate que Marceau l'y a abandonné la veille de leur retour à Paris, le narrateur est certes décontenancé, mais pas abattu pour autant. Il décide plutôt de mettre à profit ce temps libre imprévu. De divagations en réflexions, en quête de réseau téléphonique pour joindre sa femme et d'un peu de sens à sa vie, il multiplie rencontres incongrues et péripéties cocassement inattendues qui vont le conduire à sillonner une bonne partie de la France.

10/2017

ActuaLitté

Livres 3 ans et +

Au revoir !

Une série de six petits livres à regarder, à écouter et à sentir avec le tout-petit... Des livres qui racontent les bébés. Des livres qui rencontrent les bébés. Des livres qui parlent de la vie de tous les jours : les mots qui racontent les émotions partagées, les rires et les larmes...

05/1998

ActuaLitté

Littérature française

Vous revoir

Si la vie offrait à Arthur et à Lauren une seconde chance de se revoir, sauraient-ils prendre tous les risques pour la saisir ? Avec cette comédie romantique, Marc Levy retrouve les personnages de son premier roman, Et si c'était vrai..., et nous entraîne dans une nouvelle aventure, faite d'humour et d'imprévus... " Un matin, il m'a promis de me raconter une histoire incroyable, et il a disparu. " Lauren. " Nous avons vécu le début d'une histoire, elle était comme une promesse que la vie n'a pas tenue ; moi je tiens toujours mes promesses. " Arthur.

06/2005

ActuaLitté

Lettres classiques

Nous revoir

Nous revoir est une histoire de choix, de passions et d'aspirations qui nous plonge dans les dédales de l'amour et de la musique. Inspiré par des personnages authentiques et attachants, ce roman nous rappelle que la vie est faite de rencontres inattendues, de défis inévitables et d'instants magiques qui nous invitent à vivre pleinement, avec passion et sans regret.

04/2024

ActuaLitté

Album de films

Au revoir les enfants de Louis Malle

40 ans après les faits, Louis Malle peut enfin raconter son histoire... Récit d'une amitié entre deux jeunes garçons à l'hiver 1944, un bourgeois et un Juif caché dans un pensionnat catholique. Au revoir les enfants est tiré d'une histoire vraie, mais n'est pas pour autant le récit exact de la relation liant le réalisateur à Hans-Helmut Michel (le Jean Bonnet du film). La force du film est de reléguer la 2nde Guerre mondiale à l'arrière-plan pour être d'abord un grand film sur l'enfance. Or, la menace demeure : la découverte de la véritable identité de Bonnet, la présence des collaborateurs français et des soldats allemands. Jusqu'à la scène finale de dénonciation où le Père Jean est arrêté par la Gestapo avec les trois élèves juifs qu'il avait cachés. C'est alors que prend tout son sens le titre du film. Ce livre analyse de manière inédite les rapports de Louis Malle avec ses souvenirs et les faits tels qu'ils se sont déroulés. Il lui aura fallu plus de 40 ans pour pouvoir se confronter à cet épisode traumatique et fondateur de son enfance.

03/2022

ActuaLitté

Critique littéraire

Je rêvais de changer le monde. Mémoires

Mais quelle vie ! Pour la première fois, Marek Halter remonte le fil de son incroyable destin. Il était une fois... un petit garçon juif polonais, né à Varsovie quelques années avant le début de la Seconde Guerre mondiale. Chassé par le nazisme dans de lointaines Républiques de l'Union soviétique, il y a survécu, avec ses parents, pour arriver à Paris au tout début des années 1950. Destiné à une carrière de peintre, il va, de hasards en rencontres, devenir le romancier populaire que nous connaissons bien, et cet infatigable militant de la paix qui a toujours rêvé et n'a jamais renoncé. De son enfance à aujourd'hui, en véritable conteur, porté par une foi absolue dans le pouvoir du Verbe, de la parole, du dialogue, Marek Halter revient sur chaque étape de ce destin unique où l'on croise Staline, Ben Gourion, Golda Meir, Nasser, Sadate, Yasser Arafat, Peres, Perón, Che Guevara, Poutine, Jean-Paul II, le pape François... sans oublier les présidents de la République française avec lesquels il a toujours entretenu une relation particulière. Son incessant combat pour la paix au Proche-Orient, pour la liberté d'expression où qu'il faille aller porter le fer, mais aussi ses amitiés, ses amours, son passionnant partage de la culture juive... Dans une construction narrative émouvante où il s'adresse à Clara, sa femme et sa compagne de lutte pendant plus de quarante ans, décédée en 2017, Marek Halter nous invite à revisiter, à travers son propre "voyage", presque un siècle d'Histoire.

01/2019

ActuaLitté

Littérature française

Je rêvais d'autre chose

Un père et sa fille parlent. Ils ne se parlent pas, ils ne se parlent plus depuis vingt ans. Ils parlent chacun pour soi, se renvoyant la balle sans le savoir. Auraient-ils d'ailleurs quelque chose à se dire ? Max est mourant, hanté par ses échecs, où se mêlent son histoire de Juif apatride, ses rendez-vous manqués avec l'Histoire et sa passion du jeu. Nina se trouve au milieu de sa vie, entièrement occupée, pense-t-elle, par sa carrière, par tout ce qui peut remplir aussi l'existence d'une jeune mère divorcée. Une part d'eux-mêmes leur est pourtant commune, une part dont le noeud obscur tient dans leur rêve toujours recommencé, inextinguible, " d'autre chose ".

06/2014

ActuaLitté

Design

Nous rêvons de silence

Adriano Olivetti (1901-1960) a développé l'oeuvre de son père et a su faire de la marque OLIVETTI une référence mondiale dans le domaine des machines à écrire. La réussite industrielle associée à l'esprit humanitaire distingue son action. Cet élan visionnaire a été inspiré par les idées de communauté et de fédéralisme, qui selon lui devraient être le fondement d'un nouvel ordre social, dans le respect de l'individu et de son rapport à la nature. Adriano Olivetti a créé une sorte de Bauhaus italien : "L'entreprise devient une icône mondiale du style à travers les machines à écrire Lettera 22 et 32. En 1952 une exposition au MOMA consacre l'Olivetti et constitue une date de baptême de l'Italian Style", comme le souligne Alberto Saibene dans son introduction. Pagine d'Arte invite le lecteur français à la découverte des écrits d'Adriano Olivetti parus en italien aux éditions Comunità de la Fondation Olivetti. L'ambition d'Adriano Olivetti (1901-1960) est celle de créer une activité industrielle moderne, dans le cadre d'une vision humaniste et du respect du travail de ses collaborateurs. Il est sensible aux relations sociales et en même temps attentif à la communication d'entreprise. Olivetti essaie de rénover l'esprit de la culture italienne en modernisant le monde du travail. Le fascisme brise son espoir d'un socialisme modéré et l'oblige, en tant que juif, à se réfugier en Suisse en 1944. Il accomplie un tour industriel aux Etats-Unis où il étudie le passage de la production de la phase mécanique vers le nouveau modèle de l'électronique. Homme de pensée et homme d'action, Adriano Olivetti a inventé une icône mondiale en créant sa mythique machine à écrire Lettera 22. Proche de Denis de Rougemont, il s'engage dans la défense d'un idéal mouvement fédéraliste pour l'Europe. Sa vision performante et humaniste du monde du travail en pleine évolution, est ici proposée pour la première fois en français. Adriano Olivetti était persuadé que les racines de l'être humain se trouvent dans la nature : il insiste sur la responsabilité de l'homme vers l'environnement et propose une société nouvelle à la mesure de l'homme.

04/2021

ActuaLitté

Livres 3 ans et +

Au revoir, Adelaïde

Adélaïde, le jour où j'ai croisé ton chemin, nom de tonnerre : quel coup de foudre ! J'étais le plus heureux des kangourous. Nous avons eu une belle vie, remplie de voyages. Et puis le jour où tu as préparé de la soupe aux roses, je me suis rendu compte que quelque chose clochait…A partir de 5 ans.

02/2015

ActuaLitté

Critique littéraire

Au revoir Nicolas

Je voulais que tu vives ! J'ai cherché de l'aide autour de moi, mais en vain. Personne n'a répondu à mon appel, personne ne m'a écoutée. Je savais, mon fils, mon Nicolas, que tu partirais, que tu allais mourir, je le sentais et je sentais que j'allais aussi mourir. Je t'avais dit que s'il t'arrivait quelque chose, je mourrais aussi. Comment peut-on survivre lorsqu'on perd son enfant ? Comment survivre lorsqu'on n'a pas d'amis et que nos relations s'effritent de jour en jour ? Chaque jour, je vis avec toi, j'ai tellement envie de te retrouver un jour. Hisse-moi vers toi, tends-moi une échelle afin que je m'y accroche et que je monte vers toi.

10/2015

ActuaLitté

BD tout public

Revoir Paris Intégrale

Les créateurs des Cités obscures nous offrent leur vision du Paris du futur. Une postface richement illustrée, "Rêver Paris", vient compléter cette édition intégrale.

06/2018

ActuaLitté

Autres éditeurs (K à O)

Au revoir, Milord

Milord ne court plus après les balles. En promenade, il a vite mal aux pattes et, parfois, on dirait qu'il n'entend pas. Norman, son ami de toujours, se souvient qu'autrefois Milord adorait conduire sa voiture à travers la campagne. Peut-être aimerait-il apprendre à voler ?

11/2021

ActuaLitté

Histoires à écouter

Au revoir Blaireau

Un matin, les amis de Blaireau se rassemblent devant sa porte. Ils s'inquiètent parce que leur vieil ami n'est pas venu pour leur dire bonjour comme d'habitude...

08/2021

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

Et la revoir...

Kate Ballantyne mène une existence paisible dans la petite ville australienne qui l'a vue grandir. Elle travaille à la bibliothèque municipale en s'appliquant à vivre une vie organisée et sans heurts. Jusqu'au jour où l'on annonce le retour de celle qui fut l'amie inséparable de son enfance, avant de devenir le premier amour dévastateur qui l'a trahie et blessée : lorsque reparaît Ashley, le monde protecteur que Kate s'était patiemment bâti vole en éclats.

05/2007

ActuaLitté

Théâtre

Trilogie du revoir

Dans une ville de province, les Amis des Arts, petits notables venus de tous les horizons, inaugurent leur exposition. Au fil des scènes, comme projetées sur un écran dans une succession brisée, nous renvoyant notre propre image, ces personnages écorchés révèlent peu à peu leurs attirances, leurs conflits, leurs déchirures. C'est dans leurs failles, dans leurs silences ou dans l'excès de leur cri que se trahit leur solitude. Dans un monde où se reflètent indéfiniment scène et salle, tableaux et réalité, peinture, cinéma et photographie, c'est à travers l'assemblage de ce que nous appelons si bien les "clichés" que perce la vie profonde des personnages, recouverte par un langage qui n'est pas le leur, dominée par une obscure puissance (sociale ou métaphysique ?) tapie à l'arrière-plan. Voir et revoir les tableaux, les personnages, le déjà-vu, le déjà-dit, la séparation et le retour font apparaître l'interstice où se loge notre angoisse, notre vérité, moment central de cette "trilogie". Dans cet entrelacs subtil d' "affinités électives" où les choses se défont et se refont, c'est la rupture qui manifeste, face à la stabilité photographique des tableaux "réalistes", l'inconsistance, déjà proclamée par Woyzeck, du sol qui glisse sous nos pas : "Au commencement il y a toujours l'adieu... Et puis il y a un revoir... Entre le va et le vient, la charnière où nous nous rencontrons..."

01/1982