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J'ai tué mon père un vendredi

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Littérature française

J'ai tué mon père un vendredi

"Jusqu'où peuvent nous entraîner l'amour et la loyauté ? " C'est la question à laquelle répond l'auteure à travers une histoire familiale poignante. Dans un flot de larmes, de fous rires et de souvenirs tendres, souvent drôles, parfois violents, elle nous livre son étonnante et cruelle vérité. Soyez prêts à ouvrir la fenêtre des possibles, à entrevoir le pire pour découvrir le meilleur. Née à Vichy en 1961 et mère de deux enfants, Brigitte HEUZARD a été conjoint collaborateur en Auvergne durant plus de dix ans. Au début des années 2000, elle embarque avec sa famille pour une aventure antillaise avec l'acquisition d'un club de plongée sous-marine en Guadeloupe. Après quelques années de vie parisienne, elle pose en 2005 ses valises à Marseille. Conseillère socio-professionnelle et thérapeute familiale, elle vous livre son premier ouvrage à travers une histoire familiale bouleversante.

01/2019

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Littérature française

Comment j'ai tué mon père

"Avec les boulets et les fardeaux intimes, il y a plusieurs solutions. En général on se contente de les traîner : on souffre tout seul et ça n'avance à rien. Ou alors on peut grimper dessus, pour au moins être vu. Il y a enfin la possibilité de les renvoyer à la figure de l'agresseur : c'est lourd et ça fait mal à tous les protagonistes, mais c'est efficace..." Comment s'en sortir quand on est un petit garçon dans une famille apparemment très ordinaire, mais que son père est un tyran domestique et qu'un monde s'écroule autour de soi ? Un père violent, une époque qui l'est aussi, et l'Histoire qui s'en mêle : tout concourait à démolir le narrateur... à moins qu'il n'arrive à se montrer plus résistant qu'eux.

10/2015

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Thrillers

J'ai tué mon beau-père

Mars 2016, dans un quartier paisible situé dans une ville contrôlée par un homme puissant, Jaylyne âgée de 15 ans, assiste impuissante au meurtre de son père, Henri Plummer. Il a juste eu le temps de lui communiquer des codes et lui a demandé de partir pour retrouver une personne. Entre des mensonges, des trahisons et de douloureux secrets, sa vie va basculer, impossible de revenir en arrière. Le suspense est à son comble, chaque chapitre à sa dose de rebondissements. Un roman rempli de rebondissements à chaque chapitre.

07/2021

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Littérature française

Maman, J'ai Tué mon Père

Une jeunesse sacrifiée sur l'autel de la barbarie. Paul, jeune paysan Ardéchois, un beau jour d'août 1914, est appelé sous les drapeaux pour défendre son pays, la France. Il s'y distingue par son courage, et son sens de l'amitié, d'abord dans les tranchés, puis dans les airs, en tant que mitrailleur. Il est fait prisonnier, est envoyé dans un camp, puis transféré dans une usine d'armement où il fait la connaissance d'une jeune allemande, Erna. Mais la guerre se termine en 1918, et Paul doit rentrer chez lui laissant Erna éplorée, et sans le savoir, enceinte d'un garçon, Dieter. Celui-ci, comme beaucoup d'enfants allemands de l'époque, à son adolescence, est embrigadé dans les Jeunesses Hitlériennes. Paul, rentré en France, milite au parti communiste, et lorsque la guerre de 39-45 éclate, il se radicalise contre l'ennemi allemand et entre dans la résistance FTP. Il en devient le chef local, et entraîne son fils Jean dans cette bataille. Ils sont arrêtés et torturés, puis mis en prison à la forteresse de Nîmes, ville dont le responsable de Secteur n'est autre que Dieter, devenu officier SS... La cruauté du devoir et la beauté du sacrifice sont les points forts de ce livre, tout en charme et en émotions.

04/2019

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Littérature sud-américaine

Comment j'ai tué mon père

"Je ne savais pas qu'on tuerait mon père. Aucun enfant ne peut imaginer une chose pareille. Mais ça arrive. J'ai encore du mal à croire qu'à peine trente-cinq grammes d'acier et un gramme de poudre aient pu détruire une famille. Je l'atteste pourtant. Ils ont détruit la mienne". A onze ans, Sara Jaramillo Klinkert perd son père, avocat colombien, assassiné par un tueur à gages. Rien ne sera plus jamais comme avant. La petite fille privilégiée, élevée par des parents aimants dans une somptueuse villa entourée de végétation luxuriante, est soudain obligée de quitter l'enfance. Comment devenir adulte lorsque la violence a terrassé l'innocence ? Comment parler à sa mère, qui doit élever seule ses cinq enfants ? Loin de la plainte et de la lamentation, l'autrice remonte le fleuve de ses souvenirs d'enfant pour affronter ses traumatismes et ceux de ses frères. Chapitre après chapitre lui revient l'odeur capiteuse du manguier qui trônait dans son jardin, le crépitement des galettes de maïs de sa mère, la cabane aux longues branches construite par son père, transformant le chagrin en force, la reconstruction et la résilience en un cri universel. Porté par une langue à la fois sobre et sensuelle, Comment j'ai tué mon père se lit en un seul souffle et laisse le lecteur sans voix. Traduit de l'espagnol (Colombie) par Anne Plantagenet

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Littérature Espagnole

Comment j'ai tué mon père

Lorsque le chagrin devient une force et la reconstruction un cri universel. A onze ans, Sara Jaramillo Klinkert perd son père, avocat colombien, assassiné par un tueur à gages. Rien ne sera plus jamais comme avant. La petite fille privilégiée, élevée par des parents aimants dans une somptueuse villa entourée de végétation luxuriante, est soudain obligée de quitter l'enfance. Comment devenir adulte lorsque la violence a terrassé l'innocence ? Comment parler à sa mère, qui doit élever seule ses cinq enfants ? Loin de la plainte et de la lamentation, l'autrice remonte le fleuve de ses souvenirs pour affronter ses traumatismes et ceux de ses frères.

02/2024

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Littérature française

Comment j'ai tué son père

Imaginez que vous vous réveillez un matin, vous allumez la radio, vous entendez que vous êtes un assassin, que vous avez tué une personne dont vous ne soupçonniez pas même l'existence. Quelle est l'arme de votre crime ? L'instrument de lutte contre la pauvreté que vous avez créé, dix ans plus tôt, contre vents et marées. Qui est l'accusateur ? Un jeune écrivain à succès dont vous aviez jusqu'alors apprécié les premiers ouvrages. C'est ce qui est arrivé à l'auteur, au printemps 2018. Martin Hirsch a choisi de riposter par un roman original et une fausse légèreté. En prenant le ton d'une confession et en utilisant les ressorts d'un thriller, avec comme décor le Café de l'Avenir à Ruchicourt et le rond-point du Sacré René, il nous propose de revisiter la création du RSA et l'acte de naissance des gilets jaunes. Et dans l'histoire, la victime n'est peut-être pas celle qu'on croit.

02/2019

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Policiers

Le jour où j'ai tué mon père

Tout le monde doit tuer le père pour pouvoir vivre. Lui, il l'a fait simplement d'un coup sur la tête et par-derrière. Il a ensuite appelé la police et, maintenant, il raconte son histoire à une psychiatre. Il mène une enquête sur lui-même, suit les détails de sa vie, montre sa médiocrité en face de ce "gagnant" qu'était son père, séducteur, brillant, riche, sûr de lui, jusqu'à séduire sa belle-fille. Il essaie tous les instruments intellectuels pour analyser son acte, la philosophie, la religion, la psychologie, le comportementalisme: rien ne se révèle capable d'expliquer son acte. Par ailleurs il nous fait lire son roman inachevé. Comme le psychiatre, nous y cherchons une interprétation symbolique, une explication, mais la littérature ne révèle pas, elle cache, dissimule. L'auteur nous perd avec malice, avec humour, avec une habileté diabolique, pour troubler notre sens de l'ordre et de la réalité. Il est facile de tuer, ce qui est difficile, c'est de savoir pourquoi on tue.

04/2009

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Littérature française

Pourquoi j'ai voulu tuer mon père

Kévin nous parle de l'envie de vivre dans un monde où tout semble acquis, tout semble dû, même la vie, la vie physique. Un événement vient bousculer tout cela, une rencontre, une sexualité et ses dangers, qui, dans les années 80, attentent à l'immunité et conduisent rapidement à la mort. Kévin est gay et confronté au sida. Mais c'est bien au-delà de la fatalité que Kévin s'interroge, cherche du sens dans ce qu'il ressent, dans ce qu'il vit, dans le monde qui l'entoure, dans ses relations avec les autres êtres humains. Il confronte les idées reçues à l'expérience, au terrain, au vécu et explore de nouveaux domaines, nouveaux pour lui. Il découvre son propre inconscient et les bases profondes de sa personnalité. Il recherche ses origines humaines, l'origine de ses sentiments, l'origine des blocages qu'il rencontre sur son chemin et continue d'avancer grâce à la force de son désir de vivre malgré tout, là où d'autres baissent les bras ou disparaissent face à l'inéluctable.

01/2018

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Littérature française

Qui a tué mon père

"L'histoire de ton corps accuse l'histoire politique."

05/2018

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Littérature étrangère

Mon père et ma mère

C'est l'été 1938 en Europe centrale. Et comme chaque année ils sont là, sur la rive, en villégiature. Il y a Rosa Klein, qui lit dans les lignes de la main. Mais peut-on se fier à ses prédictions ? Et Karl Koenig, l'écrivain. Pourquoi fréquente-t-il les autres vacanciers au lieu de consacrer toute son énergie au roman qu'il est en train d'écrire ? Qui sont vraiment " l'homme à la jambe coupée " et la jeune femme amoureuse que tous les Juifs appellent par l'initiale de son prénom ? Et le père et la mère d'Erwin, l'enfant si sensible à l'anxiété de ceux qui l'entourent ? Dans ce roman magistral publié quelques années avant sa mort, Aharon Appelfeld tisse les questions intimes, littéraires et métaphysiques qui l'ont accompagné toute sa vie. Sous sa plume, ces dernières vacances avant la guerre sont le moment où l'humanité se dévoile dans ses nuances les plus infimes, à l'approche de la catastrophe que tous redoutent sans parvenir à l'envisager.

10/2020

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Non classé

J'ai rêvé mon père - Itinéraire d'un Ardéchois

"J'ai toujours aimé la compétition, celle qui oblige à se dépasser, celle qui nous situe par rapport aux autres, celle qui nous fait exister dans la conquête de l'inutile". Quelle belle expression, la conquête de l'inutile ! Au contraire de la guerre, que Marcel Tauleigne vit et décrit avec révolte et indignation, un homme qui grandit dispose de moyens lumineux pour se confronter à l'humain sans le détruire, pour aller à sa rencontre sans passer pour une femmelette, tout en goûtant le plaisir de la curiosité, celui de la découverte, et les présents d'humanité qu'il en récolte (amour, amitié...). C'est ce plaisir qui guide le petit Marcel quand, à neuf ans, il fait son apprentissage comme vacher en haute Ardèche. Evidemment, son père l'abandonne ! évidemment, il lui en veut de son défaut de tendresse, mais quelle merveilleuse école que celle de la vie ! Et finalement, son père ne lui a-t-il pas fait le cadeau que l'on attend d'un père : le chemin de l'autonomie et la transmission de ses racines ? Tout bourru ait-il été... Marcel Tauleigne écrit son enfance avec la même ingénuité que s'il n'avait pas grandi, sans chercher à comprendre, sans analyser. Et l'écriture n'en est que plus juste, bien centrée sur le personnage : c'est vraiment l'enfant qui raconte, dans toute sa naïveté. Le ton est plus grave lorsqu'il aborde sa période adolescente et la guerre d'Algérie (qu'il fait comme infirmier...). Mais la révolte et la compassion ne sont pas celles d'un grand-père qui se souvient, c'est le jeune homme qui s'exprime. Cette impression que la plume de Marcel Tauleigne grandit avec lui au fil des pages, donne au récit toute sa justesse, toute sa fluidité, son originalité, pour le plus grand plaisir du lecteur.

06/2005

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Littérature française

J'ai tué mon mari

Maryse a tué son mari Joël par trahison. Après trente cinq ans de vie commune, il l'abandonne en tombant amoureux d'une jeune femme d'à peine la moitié de son âge. Après quelques années en prison pour crime passionnel, elle tente de se reconstruire auprès de Monique sa meilleure amie. José la courtise, mais moult questions la tourmentent car trop hantée par cet homicide. Pourquoi avait-elle été bafouée par l'homme de sa vie ? Etait-ce que parce qu'elle n'était plus toute jeune et fraîche comme jadis ? Avait-elle le droit de prétendre encore au bonheur après ce drame ? Avait-elle le droit de vivre cet amour que lui tendait José ? Ce dernier acceptera-t-il cette femme qui a tué son premier mari et fait de la prison ? Réponses dans ce beau récit écrit dans un style provocant, et excitant.

12/2019

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Littérature anglo-saxonne

Pourquoi j'ai mangé mon père

Les déboires d'une tribu préhistorique narrés dans le langage de nos ethnologues modernes. Un roman désopilant au succès désormais incontesté, adapté en film d'animation par Jamel Debbouze en 2015. Nouvelle édition 2022 avec baisse de prix.

06/2022

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Littérature française

Le jour où je n'ai pas tué mon père

Le parcours d'un enfant maltraité qui, devenu adulte, entreprend une longue descente dans son propre enfer, jusqu'à la source du mal, jusqu'au malheur originel qu'a constituée sa naissance, avant de trouver la lumière. Et le retour à la réalité, plus belle et plus forte que l'illusion, dans laquelle il s'était réfugié...

10/2016

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Psychologie, psychanalyse

Tu quitteras ton père et ta mère

Cet ouvrage pose la question des fondements psychiques et anthropologiques de la famille. Sur quoi, en effet, se construit la famille ? Est-ce sur l'interdit de l'inceste commun à tous les modèles de société ? Sur le libre choix de son partenaire ? Sur l'élaboration d'une conjugalité plus ou moins affranchie de la reconnaissance légale ? Sur l'expérience d'une parenté, qu'elle soit ou non biologique ? Dans cet essai très accessible, Philippe Julien interroge la famille moderne et les bouleversements dont elle est l'objet. Il fait ainsi émerger les principaux enjeux du débat : pourquoi faut-il quitter son père et sa mère ? Qu'est-ce que devenir parent à son tour ? A quelles conditions la transmission intergénérationnelle peut-elle s'effectuer ?

10/2002

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Littérature française

Mon père, ma mère et Sheila

C'est l'album d'une famille, issue d'un milieu populaire, avec ses codes, ses tabous, ses complexes, son ignorance, ses contentieux, dans les années 70 et 80. Le narrateur y raconte son enfance solitaire au milieu des turbulences. Pour son entourage, il a des goûts bizarres, des attitudes gênantes, des manières qui provoquent la colère de son père et la désolation de sa mère. Il dessine des robes et coiffe les poupées de sa soeur. Il fait son possible pour ne pas ajouter au malaise. Pour s'échapper, il colle son oreille à son mange-disque. Regarde les émissions de variétés scintillantes... Et admire une célèbre chanteuse dont il aime les robes à paillettes, les refrains joyeux. Il voudrait être elle. Il voudrait être ailleurs. Un premier roman tout en sensibilité sur fond de nostalgie douce amère et d'humour salutaire.

08/2017

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Littérature étrangère

Portrait-robot. Ma mère/Mon père

Résumé de portrait robot mon père : " L'homme que je connaissais ou croyais connaître n'était qu'une part de cet autre que personne ne connaissait. " Comment aimer un père apolitique ", l'écrivain Eberhard Meckel (1907-1969), finalement complice de l'idéologie nazie ? En exécutant sans faillir le portrait d'un être au fil du temps désemparé qui, entre romantisme, idéalisme et catholicisme, fut incapable d'assumer ses contradictions, Christoph Meckel pose aussi la question de l'héritage des pères aux fils après la chute du Troisième Reich. Publiés pour la première fois en diptyque tel que l'imaginait son auteur à l'origine, ces deux récits, écrits à vingt ans d'intervalle, radiographient l'univers intime de l'Allemagne d'hier et le séisme mental auquel son peuple dut faire face. Résumé de portrait robot ma mère : " Je n'ai pas aimé ma mère. " Phrase tabou d'un fils qui déplore la froideur bourgeoise d'une mère au protestantisme prussien. Christoph Meckel dit son manque dans une langue sèche et cassante, reflet de celle qui était sans tendresse ni amour ; une femme prude, égoïste et arrogante dont la violence larvée le conduisit au désenchantement absolu. Publiés pour la première fois en diptyque tel que l'imaginait son auteur à l'origine, ces deux récits, écrits à vingt ans d'intervalle, radiographient l'univers intime de l'Allemagne d'hier et le séisme mental auquel son peuple dut faire face.

01/2011

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Science-fiction

Comment j'ai cuisiné mon père, ma mère... Et retrouvé l'amour

"Il n'est jamais agréable de se réveiller sur le sol de la cuisine, baignant dans une mare de glace à la fraise fondue et entouré de plusieurs bouteilles de vin... Vides, évidemment. Le trou noir dans mes souvenirs n'est pas, non plus, quelque chose de très réjouissant. Qu'ai-je bien pu faire pour en arriver là ? Et pourquoi ai-je vidé le congélateur de son contenu ? Le mieux est encore d'aller voir par moi-même... Après vérification, c'est finalement assez logique : pour y ranger les corps de mes parents. Bien... Il va falloir que je me remémore deux ou trois choses, mais par où commencer ? Peut-être par la façon dont je suis devenu un zombie ?" Avec ce roman drôle et provocant, S.G. Browne revisite de manière originale un des mythes modernes les plus forts en nous présentant le point de vue d'un zombie. Non sans y ajouter beaucoup d'humour et... Un zeste d'amour. Rire et horreur assurés !

08/2014

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Autres collections (6 à 9 ans)

Mon pitbull, mon père et moi

Carl a 12 ans (bientôt 13 ! ) et déjà, sa vie l'épuise. La raison ? Son père, super écolo, antisystème et adepte de la récup'. Sauver la planète et vivre simplement, d'accord. Mais faire les poubelles des supermarchés pour éviter le gaspillage et acheter ses vêtements dans des vide-greniers ? Non merci ! Et puis, que diraient ses camarades de classe s'ils découvraient qu'il vit dans une caravane et que son papa élève deux cochons, des poules et un pit bull balafré ? Alors le jour où il trouve une brochure d'éducation canine dans le paquet de croquettes de son chien, Carl a une idée : et s'il utilisait les conseils de ce guide pour reprogrammer son père ?

09/2022

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Poésie

Longtemps j'ai cru mon père immortel

Tête-à-tête dans la chambre d'une villa, la chambre de l'hôpital, la chambre de long repos, la chambre de l'athanée. Les silences et les maldonnes cognent sous abri. Le ballet des aides-soignantes. Le corps du père qui s'échappe. Toute religiosité reste en congé. Et c'est tant mieux ainsi. Jusque dans le lit de souffrance, élégance et pudeur sont au rendez-vous. Un calembour comme dernière volonté. Plus de tampon. Plus de procuration. Plus de caution. La vie perd ses repères. Derniers jours à cru. Le passé n'est d'aucun secours. Le travail de deuil, mes amis, quelle vaste ineptie ! Fils unique, seul, interdit. En première ligne, désormais.

06/2012

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Littérature française

Tu seras mon père

Vérone, 1978. Renato, sept ans, entretient avec son père une relation merveilleuse, que bouleverse l'enlèvement de l'homme d'affaires par un commando des Brigades rouges. Lorsqu'elles le relâchent après paiement d'une rançon, il n'est plus qu'une ombre. Laminé, honteux, il met fin à ses jours. Renato et sa mère s'exilent en Suisse. Le jeune garçon y développe le goût des hautes cimes et celui du théâtre, où il excelle. Mal entendant, il se sent à l'aise dans cet univers où les mots sont connus par avance et où son handicap peut être caché. Dix ans plus tard, pour sa dernière année de scolarité, il est inscrit dans un internat de Lausanne. Il y vit des moments difficiles, croise le professeur Paolo Mantegazza, un Italien, responsable des activités théâtrales, comme lui passionné de haute montagne. Une amitié elle aussi merveilleuse s'établit entre les deux, faite d'admiration réciproque et de grande estime. Renato voit en lui un père de substitution. Très vite, pourtant, on apprend que Paolo Mantegazza n'est nul autre que Paolo Rivolta, un ancien des Brigades rouges dont il était le principal théoricien. Onze ans plus tôt, c'était lui qui avait machiné l'enlèvement du père de Renato. Que va faire le maître ? Comment va réagir l'élève ? Qu'adviendra-t-il de cette amitié foudroyée ? Quel jeu jouera la belle Josy, maîtresse de l'Italien, qui enseigne le hip-hop à l'Institut ? Une paternité peut-elle se reconstruire ?

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Littérature française

Tu seras mon père

"Metin Arditi, l'écrivain des âmes". Le Figaro littéraire Vérone, 1978. Renato, sept ans, entretient avec son père une relation merveilleuse, que bouleverse l'enlèvement de l'homme d'affaires par un commando des Brigades rouges. Peu après cette épreuve, il met fin à ses jours. Renato et sa mère s'exilent en Suisse. Dix ans passent. Au cours de sa scolarité, Renato croise le professeur Paolo Mantegazza, un Italien, responsable des activités théâtrales, comme lui passionné de haute montagne. Une amitié elle aussi merveilleuse s'établit entre les deux, faite d'admiration réciproque et de grande estime. Renato voit en lui un père de substitution. Mais derrière le maître se cache celui-là même qui avait machiné l'enlèvement du père de Renato. Le pardon sera-t-il possible ? Ecrivain francophone d'origine turque, Metin Arditi est l'auteur de nombreux essais et romans, parmi lesquels Le Turquetto, prix Jean Giono, et, paru récemment, L'homme qui peignait les âmes, prix de l'Université Catholique de l'Ouest 2021. Tu seras mon père a reçu le prix Machiavel 2022.

03/2023

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Histoire internationale

D'abord, ils ont tué mon père

Avril 1975. L'armée de Pol Pot envahit Phnom Penh, mettant un terme brutal à l'enfance de Loung Ung. D'origine chinoise, la petite fille a grandi dans un milieu privilégié, entourée de six frères et soeurs. La famille quitte la capitale en toute hâte et erre de village en village, se faisant passer pour des paysans analphabètes, avant d'être contraints de se séparer, sans espoir de retrouvailles. Enrôlée en tant qu'"enfant-soldat", la fillette connaîtra la famine, la torture, les camps de travail et toutes les humiliations engendrées par le totalitarisme. Son témoignage nous plonge au coeur d'une des plus grandes tragédies du XXe siècle, qui a décimé plus d'un quart de la population cambodgienne.

09/2017

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Littérature française

C'était un vendredi

Il y a dans la vie des épreuves qui renforcent. qui vous font sentir que vous êtes vivant, qu'autour de vous tout est beau, que chaque geste d'amour est magnifique. A chaque instant, la vie peut devenir une chute de dominos incontrôlable et quand le dernier est tombé. avec force, espoir et patience, on s'efforce de reconstruire... En écho aux mots de ma fille, il m'a paru nécessaire d'y juxtaposer les miens. des mots parfois trop étroits mais si salvateurs, ces mots resteront des empreintes dans notre futur à tous et me permettront l'oubli. le compose avec ce que la vie m'a laissé. je sublime ce qu'elle me donne.

05/2018

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Théâtre

Un vendredi, comédie-vaudeville en un acte

Un vendredi : comédie-vaudeville en un acte / par M. Joseph Bouchardy Date de l'édition originale : 1849 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2020

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Littérature française

Tu honoreras ton père, mon semblable au coeur de pierre

Voici l'histoire crue et brutale de la vie de Michel. Dans le cocon familial, il évolue entre sa mère attentive, son père autoritaire et violent, et ses grands-mères, lesquelles lui offrent de purs moments d'évasion. Rien ne nous est épargné dans ce récit : ni les scènes catastrophiques régulièrement provoquées par ce père schizophrène, ni les premiers émois, ni les premiers écrits, ni les premières amours, ni les peines, ni les joies. On progresse ainsi pas à pas dans la vie de celui qui aura tant de mal à aimer son père. Il ira même jusqu'à l'oublier. Puis survient le moment où, alors que Michel est paisiblement installé dans la vie, ce père si soigneusement évité revient sans crier gare, et l'on se retrouve sur le quai de la gare, à crier.

03/2015

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Historique

Giscard, mon père et moi

En 1974, François a 10 ans, lorsque Giscard remporte les élections. A la surprise générale, ce nouveau président élu par les voix de droite poursuit sa campagne, bien décidé à séduire désormais le peuple de gauche... Ce désir insatiable de reconnaissance et d'amour (qui conduira Giscard à sa perte), intrigue le jeune François. Il lui rappelle les errances de son père Serge. Eternel insatisfait, ce dernier entraîne sa famille d'est en ouest, au gré de ses frustrations professionnelles. Un manque de confiance chronique le rend perméable à l'influence du premier flatteur venu et à toutes sortes de lubies qui outillent sa quête d'idéal. Pendule, baguette de sourcier, puis communauté régie par un gourou sans scrupule apparaissent progressivement dans le quotidien de François. Tout comme Giscard, Serge ne recule devant aucune forme de ridicule. En 2009, François reçoit des nouvelles de son père, pour la seconde fois depuis 25 ans. De nouveau entre les mains d'un escroc, il s'apprête à tout perdre... Un témoignage poignant, et plein d'humour sur les frustrations affectives familiales.

10/2021

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Littérature roumaine

Moi, j'ai tué Hitler

Grève de la faim, trottoirs occupés par les manifestants, mairie prise d'assaut. Mais aussi un étudiant qui séduit l'amante de son professeur. Des poings levés, des manifestations violentes, des accusations scandées par la foule contre le gouvernement. Puis une vieille se cachant pour retrouver son amoureux, la noce chez les mafieux, un assassin sans scrupule, un médecin criminel. Quelques poulets picorant des tomates.

04/2021

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12 ans et +

Mon père est un parrain

Vince Luca rêve d'une vie normale. Difficile quand votre père est un des parrains de la mafia new-yorkaise. Cadavres dans le coffre et avocats véreux constituent son quotidien, et il est le seul membre de sa famille à réprouver les activités du clan. Pour ne rien arranger, voilà qu'il tombe amoureux de Kendra, la fille d'un agent du FBI... qui rêve d'épingler son père ! Un régal de finesse et d'humour.

09/2018