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Isabelle Deparis

Extraits

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Esotérisme

Le jour se lève

"Un jour, tu feras comme moi" - Chico Xavier. Voici les quelques mots reçus parmi tant d'autres un soir d'avril. Mais qui est donc cet illustre inconnu et que suis-je censée faire comme lui ? Après quelques recherches, je découvre l'histoire d'un médium extraordinaire pratiquant la psychographie. Mais alors, qu'attend-on de moi ? Après deux ans, je reçois un très bref message signé Chico : "Il est temps". N'ayant pas plus d'information, je continue à vaquer à mes occupations durant quelques semaines avant de recevoir un nouveau message : "Il t'attend". Je m'assois à mon bureau pour recevoir le message de celui qui m'attend : Adrien. Ce n'est pas un simple message de quelques lignes qu'il souhaite transmettre, mais son histoire tout entière à travers un livre dans lequel il parle de ses découvertes, ses rencontres dans l'au-delà, son cheminement. Une très belle aventure riche en découvertes et en amour, qui nous apaise et répond à nos questionnements intérieurs ! Médium spirit, psychographe et conférencière, Isabelle Deparis s'adonne également à l'écriture automatique. Les messages qu'elle reçoit en canalisation lui permettent de prêter sa main aux âmes qui souhaitent communiquer avec nous. Un jour, Adrien - un défunt - se présente à elle pour transmettre, à travers un livre, son parcours, son histoire, son évolution et sa compréhension de la vie après la mort. Le parcours d'infirmière de l'auteure lui permet également d'accompagner les patients en fin de vie, de les rassurer sur l'au-delà et les accompagner sur leur cheminement personnel. Ce besoin de transmettre ses connaissances l'amène à créer une association sur la spiritualité, et inviter des conférenciers de tous horizons pour apporter un éclairage à tous ceux qui cheminent et sont en quête de réponses, mais aussi leur transmettre les messages de leurs défunts.

10/2022

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Religion jeunesse

Isabelle

Les livres de la collection un prénom, un saint s'adressent aux enfants de moins de 10 ans. Au baptême, chacun d'eux reçoit un nom : le nom d'un saint ou d'une sainte qui est un peu leur " grand frère " ou leur " grande sœur ". Grâce à ce livre, l'enfant redécouvrira comment don saint patron ( ou sa sainte patronne ) est devenu l'ami de Dieu. Il apprendra à l'aimer.

01/1994

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Littérature française (poches)

Isabelle

Mon amour, voici ma dernière lettre... Vite ces quelques mots encore, car je sais que ce soir je ne pourrai plus rien te dire ; mes lèvres, près de toi, ne sauront plus trouver que des baisers. Vite, pendant que je puis parler encore, écoute : Onze heures c'est trop tôt ; mieux vaut minuit. Tu sais que je meurs d'impatience et que je m'exténue, mais pour que je m'éveille à toi, il faut que toute la maison dorme. Oui, minuit ; pas avant. Viens à ma rencontre jusqu'à la porte de la cuisine...

06/1972

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Policiers

Départs

Quatre trains à destination de Rennes. A leur bord, deux femmes et deux hommes voyagent seuls. Chacun se rend dans la capitale bretonne pour une raison très personnelle : la vengeance pour Gabin, l'ancien taulard, une audition au Théâtre national de Bretagne pour la toute jeune Lisa, la dernière visite à son père mourant pour Philippe, le fugitif, et la vente d'une montre précieuse pour couvrir des frais médicaux pour la vieille Suzanne. Chaque trajet ferroviaire sonne un nouveau départ. Dans ce chassé-croisé de personnages, on retrouve la bienveillance d'Hervé Commère pour ses protagonistes qu'il accompagne tout au long de la fiction, se refluant à les juger, eux et leurs actes. Ses romans ont reçu divers prix et certains sont traduits en Chine et au Japon.

10/2017

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Cinéma

Isabelle Huppert

Le livre indispensable pour les fans d'Isabelle Huppert ! C'est en 1993, alors qu'elle travaille pour les Cahiers du cinéma, que Carole Bellaïche photographie pour la première fois Isabelle Huppert, alors en répétition à Lausanne de la pièce Orlando, mise en scène par Bob Wilson. Un an plus tard, Carole a la surprise d'être contactée par l'actrice souhaitant être photographiée en Marlène Dietrich pour les besoins d'un film de Louis Malle (qui n'a jamais été réalisé). Cette séance, magique, marque le début d'une relation photographe-modèle qui ne s'est jamais interrompue. Femme aux mille visages, Isabelle Huppert partage avec la photographe un plaisir complice de l'image qu'aucune autre actrice ne possède. Suivront des dizaines de séances et de voyages, dont un au Brésil, tant d'expériences et de moments forts, des photos en studio, dans la rue, dans des cafés, seule ou en famille... Chaque série (dont de nombreuses images inédites) montre un visage différent de l'actrice : elle se transforme, elle est une autre, elle nous échappe, mystérieuse et quotidienne, c'est là sa magie.

10/2019

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Littérature française

Isabelle Bruges

" Tu dis n'importe quoi, c'est tellement agréable, d'ailleurs n'importe quoi, ce n'est jamais n'importe quoi : tu es là, tu passes d'une chambre à l'autre, tu parles toute seule, et voilà ce que tu entends lorsque tu parles toute seule, de ta chambre rouge à la chambre jaune, dans le passage : hier j'étais heureuse. Aujourd'hui je suis amoureuse, et ce n'est pas pareil. Et c'est même tout le contraire ".

04/1996

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Littérature française (poches)

Mes départs

Gamin dans une petite ville roumaine le long du Danube, le narrateur rêve d'aventures et d'horizons lointains. Curieux et débrouillard, il découvre le monde à travers son Dictionnaire universel et travaille dans une taverne jusqu'au jour où les circonstances le poussent à quitter son pays. Il s'embarque alors en rêvant de la France... Anecdotes savoureuses et personnages hauts en couleur forment la trame des souvenirs de jeunesse de l'écrivain et aventurier Panaït Istrati.

05/2005

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Histoire internationale

Isabelle la Catholique

Née en 1451, Isabelle la Catholique accède au trône de Castille après une longue guerre civile avec son demi-frère Henri IV. Alors qu'elle ne connaît rien du pouvoir, elle va l'exercer avec une autorité et une compétence reconnues par tous. Aidée par son mari, Ferdinand d'Aragon - l'histoire les appellera les Rois Catholiques -, elle bataillera pour que l'Espagne ne forme plus qu'une seule nation, sous l'égide de la Castille et de l'Aragon, tout en respectant de nombreux particularismes locaux. Dans le domaine religieux, elle unifie sans états d'âme la Castille en expulsant les juifs et en exigeant la conversion au christianisme des Maures de Grenade après la conquête de cet ultime bastion de l'islam en 1492. Elle mène à bien la réforme administrative du pays grâce à une refonte des institutions dans un sens plus centralisateur, crée l'Inquisition, qui échappera au contrôle du pape et fera de l'Espagne le chef de la catholicité. La reine apporte enfin un soutien sans failles à Christophe Colomb et contribue à l'ouverture économique du pays. A sa mort en 1504, une nouvelle Espagne est née, moins repliée sur elle-même, plus moderne et dominatrice. Charles Quint, son successeur, s'emparera de ce legs pour en faire une des premières puissances européennes des XVIe et XVIIe siècles, à laquelle la France se heurtera si souvent.

10/2014

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Littérature française

Antoine et Isabelle

Antoine et Isabelle. Quand ils se rencontrent à Barcelone en 1925, Antonio et Isabel rêvent d'une vie libre et neuve, à l'image des utopies du temps. Isabel a fui avec sa famille la misère de l'Andalousie, Antonio a gravi les échelons au grand hôtel Oriente. Avec ses camarades de rang, il s'enthousiasme pour la jeune République espagnole. Son engagement a tôt fait de l'entraîner dans le tourbillon de l'histoire : en 1936, il prend les armes, quittant à jamais Barcelone. La bataille de l'Ebre, la fuite précipitée avec la troupe en déroute, le camp de réfugiés dans les Alpes, où il retrouve sa jeune famille, puis le maquis, l'arrestation par les Allemands en 1943 et l'envoi au camp de Mauthausen, voilà où ses choix conduisirent l'homme vaillant et opiniâtre que fut le grand-père du romancier. Vincent Borel en effet ne cache pas ses intentions : rendre justice à ceux qui, installés en France, devinrent Antoine et Isabelle. En s'appropriant la mémoire des siens, l'écrivain prend la pleine mesure de la nécessité qu'a la littérature de témoigner. Se démarquant de la saga familiale, il inscrit le destin de ses proches dans l'épopée du vingtième siècle. L'histoire exemplaire de ses grands-parents est conduite en parallèle avec celle, non moins exemplaire, d'industriels lyonnais. De cette famille Gillet, aperçue par Antonio quand il était dans la claque de l'opéra de Barcelone, le romancier retrace les tribulations s'immisçant dans les mariages arrangés et les alliances stratégiques, il donne chair et corps à ces capitaines d'industrie que les soucis d'équilibre boursier et d'acquisition de brevets menèrent, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, à préserver coûte que coûte leurs intérêts. Le textile et la chimie étaient bien loin des idéaux de la Résistance. Alternant, dans une narration éblouissante, l'évocation des républicains espagnols et celle des nantis lyonnais, Vincent Borel convainc par l'intelligence de ses personnages : chacun a fait des choix, que le romancier ne s'arroge pas le droit de juger. D'éclairer plutôt, disant avec force et talent le pouvoir des mots.

08/2010

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Théâtre

Isabelle 100 visages

Il y a des vies qui sont des romans... qu'aucun romancier n'oserait écrire par crainte d'être taxé d'invraisemblance. Isabelle Eberhardt fut l'un de ces êtres hors du commun. Elle vient d'un autre siècle. Née en 1877, elle fut aventurière, sans papiers, première Européenne soufie, journaliste... Elle arpenta le désert algérien vêtue en homme et laissa de nombreux écrits au style singulier qui prouvent la parfaite compréhension de sa culture d'adoption. En quelques scènes cruciales, Isabelle 100 visages évoque ce destin exceptionnel. On suit la quête spirituelle de cette femme énigmatique, ses excès en tous genres, ses amours hors norme. Jusqu'au plus profond du désert algérien, jusqu'au plus grand dénuement. Entre Orient et Occident, masculin et féminin, scandale et incandescence, ce parcours atypique résonne étonnamment avec les préjugés et les quêtes de notre temps.

01/2015

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Littérature française (poches)

Thérèse et Isabelle

Voici "Thérèse et Isabelle" tel que Violette Leduc l'avait écrit à l'origine, avec ses pages inédites âpres et précieuses, sa langue nue et violente qui témoignent d'une liberté de ton qu'aucune femme écrivain, en France, n'avait osé prendre avant elle. "Thérèse et Isabelle" constituait la première partie d'un roman, Ravages, présenté aux Editions Gallimard en 1954. Jugée "scandaleuse", elle fut censurée par l'éditeur. C'est au printemps 1948 que Violette Leduc, encouragée par Simone de Beauvoir, entreprit la rédaction de ce texte auquel elle va consacrer trois années. Le défi était de taille : "J'essaie de rendre le plus exactement possible les sensations éprouvées dans l'amour physique. Il y a là sans doute quelque chose que toute femme peut comprendre. Je ne cherche pas le scandale mais seulement à décrire avec précision ce qu'une femme éprouve alors. J'espère que cela ne semblera pas plus scandaleux que les réflexions de Madame Bloom à la fin de l'Ulysse de Joyce. Toute analyse psychologique sincère mérite, je pense, d'être entendue". Au début des années soixante, Violette Leduc greffe une partie de "Thérèse et Isabelle" dans le troisième chapitre de La Batârde : elle supprime des passages, resserre des pages, atténue des métaphores, modifie le déroulement de quelques dialogues ; Thérèse est métamorphosée en Violette. L'autre partie est publiée séparément en juillet 1966. Aujourd'hui, enfin, paraît Thérèse et Isabelle comme une oeuvre en soi, dans sa cohérence initiale et sa continuité.

10/2013

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Critique littéraire

Isabelle du désert

Que savait-on d'Isabelle Eberhardt, cette jeune femme d'origine russe, née en 1877, morte à vingt-sept ans, qui décida de se convertir à l'islam et de rompre avec les mœurs de son temps ? Qui choisit de porter des vêtements d'homme avant de devenir, sous le nom de Mahmoud Saadi, cette rebelle qui fascina Lyautey, éprise d'absolu et proche de Rimbaud ? Pour Edmonde Charles-Roux, il y avait là toute la matière d'un prodigieux roman vrai. Elle a ainsi recomposé l'itinéraire d'une héroïne " irrégulière " et mystique. Elle l'a suivie depuis sa naissance sur les rives du lac Léman jusqu'à l'instant où Isabelle accepte d'assumer le " désir d'Orient " qui la hante. On découvre alors les figures dostoïevskiennes qui ont accompagné sa jeunesse et forgé son insoumission. De la Russie des tsars à Genève puis à Marseille, de la diaspora anarchiste aux milieux littéraires, c'est toute une époque qui se révèle. Dans ses années africaines, Isabelle sera confrontée à de multiples épreuves ; la médiocrité du frère aimé Augustin ; son mariage avec un spahi algérien ; le procès ignoble qui l'expulse d'Algérie et la sépare de son mari. Mais elle revient vers la terre élue et, dès lors, " entre en nomadisme comme on entre en religion ". C'est à Aïn Sefra, où elle était en reportage, qu'elle trouva la mort un après-midi d'octobre 1904, engloutie dans les eaux d'un oued... Grâce au jeune lieutenant Paris, qui entreprendra de fouiller les décombres boueux, ses manuscrits parviendront jusqu'à nous. Edmonde Charles-Roux, à son tour, fait revivre la volonté et la grâce d'une éternelle indésirable.

05/2003

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Littérature érotique

Isabelle's adventures

Le corps inanimé d'Isabelle gisait ainsi, nu, sur le sable d'une petite plage. Poséidon l'avait déposée là, après qu'elle se fut jetée du haut d'une falaise et qu'il l'eut sauvée de la noyade. Inerte, abandonnée, elle ne semblait guère plus qu'un débris, son abondante chevelure lui faisant comme une épaisse couronne d'algues mordorées. Le ressac venait se briser sur les formes douces et marquées de son corps nu. Une sensation, comme un toucher, c'est ce qui réveille la belle endormie. Elle ouvre les yeux, mais doit immédiatement les refermer, éblouie par l'intense luminosité du soleil. Prudemment, elle les ouvre à nouveau, progressivement. Cette fois, l'éclat solaire est tempéré par une forme qui se découpe dans la lumière. Une frêle silhouette qui la domine. Une jeune femme. Celle qui a tout oublié de ce qu'elle est, jusqu'à son nom, a la sensation, de sortir d'un long, long sommeil...

05/2021

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Littérature étrangère

La couleur isabelle

Ces chroniques de Peter Bichsel, choisies et traduites par Ursula Gaillard, sont parues dans la presse alémanique de 1980 à 2008. Elles ont davantage la saveur de contes que la tonalité de la narration historique ou anecdotique. Et c'est justement dans une histoire intitulée "Un conte d'hiver africain" que Peter Bichsel évoque la couleur isabelle à propos du "Livre", les Mammifères de la Terre du Or Schleyer, grâce auquel, écrit-il, il s'est éveillé au monde : "Je l'ouvre de temps en temps et cela commence toujours par une déception, ses illustrations ne sont plus d'emblée aussi captivantes qu'au moment du premier regard, mais quand je les regarde plus longuement, elles prennent la couleur du souvenir, cette couleur qui comme la couleur isabelle n'est pas une couleur de ce monde-ci, mais celle du monde qui commence à la gare du préposé Schleyer, la gare agricole royale. [...] Je n'ai encore jamais été en Afrique. L'école isabelle a ceci de particulier que ce que l'on y apprend, on ne l'apprend pas pour aller de l'avant ou plus loin, mais pour être là et pour rêver." L'écriture "dans le vent" de Peter Bichsel est le déclencheur de ces merveilleux rêves, lieux, objets, rencontres, a priori futiles, insignifiants, tissés de rien comme l'évoque Daniel Rothenbühler dans sa préface, "Le droit d'écrire sur rien", lorsqu'il cite la chronique "Je n'ai pas d'idée" : "Ecrire des chroniques, c'est frayer inlassablement avec son propre manque d'imagination. Et si quelqu'un me demande quelles sont "mes visées", je me sens honteux. Ma visée urgente n'est jamais rien d'autre que de remplir cette page avec des lettres [...] Inutile donc ? Oui, inutile ! C'est ce qu'il y a de bien quand on écrit des chroniques. [...] Quand on écrit des chroniques, l'écriture précède pour ainsi dire l'idée, écrire en soi et pour soi, et si, après-coup, on aura tout de même eu une idée, c'est plus surprenant pour la personne qui écrit que pour celle qui lit."

05/2012

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Littérature érotique et sentim

Isabelle ma belle

Solange est une jeune professeur de musique au physique ingrat. Quoique très romantique, elle a abandonné toute idée de relations avec un homme. Un soir, par accident, elle rencontre Bernard sur Internet. Il souffre d'un handicap tout aussi rédhibitoire : il est bègue. Insensiblement, ils en arrivent à nouer des relations qui vont au-delà de la simple amitié et à vouloir se rencontrer. Comment faire pour cacher encore le défaut qui les accable ? Vont-ils devoir avouer qu'ils ont menti ou vont-ils renoncer à se voir et jeter aux orties cette relation si agréable qui les liait et qui avait déjà transformé leurs vies respectives ? N'auraient-ils pas droit à l'amour, eux aussi ? Arlette Lolo et Georges Sagueton, pour leur deuxième roman écrit à quatre mains et à distance, évoquent les relations qui peuvent naître sur les sites de rencontres sur Internet. Celles-ci, qui semblent tellement propices aux mensonges, peuvent cependant être aussi extraordinairement sincères.

09/2010

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Littérature française (poches)

Les Années Isabelle

Les années Isabelle, les années 80 vues par un écrivain qui va quitter sa femme Isabelle. Episodes: un service militaire peu militaire en Allemagne, une douloureuse et désopilante expérience théâtrale dans le quatorzième arrondissement de Paris, un voyage d'études dans l'URSS de Mikhaïl Gorbatchev et un voyage de rêve dans l'Irlande de Michel Déon, une liaison courte mais heureuse avec une hôtesse de l'air débutante, et pour finir un séjour bousculé, sensuel, angoissé et tendre dans ce qui était encore la Yougoslavie avec ce qui était encore une jeune étudiante en philosophie:F.

01/2010

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Littérature française (poches)

Séduire Isabelle A

Isabelle a été très claire. Elle n'épousera Pierre que s'il est accepté par tous les membres de sa famille, les Pettigrew. Lors d'une semaine caniculaire sur les bords de Loire, les présentations vont tourner au cauchemar. Car tout sépare le jeune journaliste un peu coincé de cette joyeuse clique de libres penseurs passablement allumés. Pour être adopté, le nouveau venu sera soumis à un baptême du feu décoiffant... Drôle et déluré, Séduire Isabelle A. évoque avec finesse la folie du microcosme familial et l'art de vivre ensemble.

05/2018

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Littérature française

Isabelle Bruges. Récit

" Tu dis n'importe quoi, c'est tellement agréable, d'ailleurs n'importe quoi, ce n'est jamais n'importe quoi : tu es là, tu passes d'une chambre à l'autre, tu parles toute seule, et voilà ce que tu entends lorsque tu parles toute seule, de la chambre rouge à la chambre jaune, dans le passage : hier j'étais heureuse. Aujourd'hui je suis amoureuse, et ce n'est pas pareil. Et c'est même tout le contraire. " C.B.

09/1992

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Lecture 9-12 ans

Départs d'enfants

Neuvième recueil de la collection « En queue-de-poisson », Départs d’enfants raconte une trentaine de départs, seul, en famille ou avec les copains, pour toujours ou juste quelques instants, dans un grand éclat de rire ou avec le ventre qui fait mal. Auteur français installé en Autriche, Nicolas Gerrier nous parle de la vie avec une écriture sobre, discrète et tendre. Inspirée, Gaëlle Charlot dessine des portraits d’enfants colorés, qui apportent une atmosphère intimiste et intrigante.

03/2011

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Littérature française

Les départs immobiles

Un jeune aide-cuisinier qui travaille dans un restaurant gastronomique décide un certain samedi de ne pas aller se faire couper les cheveux. Est-ce pour ressembler aux hippies qu'il a vus à Amsterdam ? Sa patronne, le chef cuisinier, son amie, ses parents ne cessent de le harceler de questions avec une brutalité et une violence qui paralysent sa réponse. Menacé de renvoi s'il ne se coupe pas les cheveux, le héros de ce récit implacable franchit, étonné et presque souriant, les étapes d'une sorte de calvaire avant de trouver une réponse tragique au drame des cheveux longs.

06/1972

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Littérature française

Les départs exemplaires

Ce recueil de nouvelles assassines de Gabrielle Wittkop nous présente, à travers siècles et continents, cinq récits baroques qui sont autant de « départs exemplaires ». Au coeur d’un burg romantique allemand, perchée sur une tour en ruine et livrée aux corbeaux, une jeune femme de bonne famille agonise, devenue l’objet d’un fait divers absurde et lugubre. Un dimanche d’octobre dans une ruelle de Baltimore, un écrivain aux yeux noirs succombe, ivre mort, après avoir perdu sa valise. Dans un New York contemporain, la vie de Seymour M Kenneth ressemble à une lente descente aux enfers ; il s’éteint en vagabond dans les entrailles de la ville. C’est dans un fossé moite de la jungle malaise que s’achève mystérieusement celle de Mr T, esthète et espion, emportant avec lui ses derniers secrets. Enfin, dans l’atmosphère sadienne du XVIIIe siècle français, Claude et Hippolyte, les deux jumeaux hermaphrodites mis au monde par la comtesse de Saint-Effroy, sont assassinés. La mort est au coeur des cinq nouvelles – dont deux inédites : « Les Derniers Secrets de Mr T. » et « Claude et Hippolyte » – qui composent cette réédition augmentée des Départs exemplaires. Elle est organique, marque les corps, s’imprime dans les chairs des femmes élégantes, des monstres androgynes et des dandys rongés par l’alcool ; elle est destin ou hasard malchanceux, meurtre ou énigme, guidant vies et intrigues de ces fictions taillées sur mesure ; elle se lit dans les signes et augures quasi fétichisés – papillons ou corbeaux, perles de grenat, bottines vernies – et engendre le charme vénéneux de l’esthétique de Wittkop, son ton macabre et raffiné, de nos jours inégalé. Au fil d’une prose ornée et mordante, précise et précieuse, dont la tonalité varie en fonction des époques et des décors abordés, la mort fait aussi mystère. Elle fait pencher successivement ces textes « caractérisés par la découverte et le malentendu », vers le fantastique ou l’enquête – c’est bien la silhouette d’Edgar Poe qui se faufile dans « Les Nuits de Baltimore » et celle d’un agent de la CIA en Asie derrière ce curieux Mr T. – ou vers le conte légendaire comme cette femme, cheveux au vent, criant au sommet d’une tour allemande qui rappelle des esquisses de Goya ou de Hugo. Le recueil, d’une forte unité thématique, semble donc décrire, par l’exemplarité des destins et la variation des décors, la permanence d’anciens mythes monstrueux et dérangeants. Ultime force de ce livre, la narratrice (ou l’auteur) mène voluptueusement les drames et personnages à leur sort tragique, irréversible. Mais si le sort s’acharne avec cruauté, non sans humour et un certain goût du supplice, ces victimes expiatoires sont aussi l’occasion de questionner la nature du lien entre vie, trépas et beauté qu’avaient proclamée le romantisme noir ainsi que les esthétiques du XIXe siècle dandy. Ces références constituent alors le fondement spectral de l’art de Gabrielle Wittkop, qui les met à distance pour s’imposer comme une « Peintre de la mort » résolument moderne.

09/2012

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Littérature française

Départs de feu

"J'étais assise sur une très grosse branche horizontale d'un très gros cèdre, en tee-shirt, je sentais bien les grosses écailles rugueuses sous mes fesses nues, curieusement je sentais que j'étais là depuis toujours comme si je faisais partie de cet arbre. Tu t'es approché en me tendant de grosses pommes de cèdre que comme un illusionniste tu faisais sortir du bout de tes doigts et parfois que tu sortais de ta bouche comme ils font avec des balles de ping-pong. Tu me les tendais je les maintenais dans mes bras avec l'angoisse de ne pouvoir toutes les stocker. Tu t'es éloigné vers un autre cèdre aussi volumineux, c'était une forêt de cèdres".

06/2015

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Récits de voyage

Frisson des départs

Regard croisé entre un écrivain-randonneur et un photographe-voyageur sur le « partir », Le Frisson des départs est un duo où chacun joue sa propre partition qui pourtant s’accorde à l’autre. C’est un livre de désirs. Désir de partir à la découverte de paysages inconnus et de nouvelles routes. Désirs de rencontres avec « l’étrange étranger », de humer des parfums d’aventure, de rompre le quotidien qui étouffe... Ici, on respire à pleins poumons l’amour des grands espaces, des chemins sans fin et des bords du monde. Des côtes irlandaises aux montagnes de Galice, de la baie du Mont-Saint-Michel aux plaines de Castille, des sentes de la forêt de Brocéliande aux chemins de Compostelle, une invitation au voyage de l’âme et de l’esprit. Car la vie est un perpétuel départ, une aspiration permanente vers ailleurs...

10/2012

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Livres 0-3 ans

La tête d'Isabelle

La tête, le pied, la main, les fesses, le genou, le ventre, le dos : voilà toute Isabelle !

11/1998

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Poésie

Isabelle Lévesque - En découdre

Le dernier recueil d'Isabelle Lévesque, En découdre est un chant d'amour, ce don de la vie qu'il faut sans cesse raviver, enflammer, rendre à la lumière. EXTRAIT Ne pas refuser, même brûler, distraire la nuit. Rendre au ciel ce qui fut noir, parcourir d'un même frisson plusieurs départs. Ne négliger ni la lune ni l'épée. Il faudra bien séparer la nuit & le jour, en découdre.

04/2021

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Contes et nouvelles

Leïla Sebbar & Isabelle Eberhardt

Un recueil de récits et nouvelles pour partie inédits où Leïla Sebbar nomadise avec Isabelle, son héroïne, sa muse, Isabelle Eberhardt. La jeune Russe devenue Isabelle l'Algérien connaît l'arabe, se convertit à l'Islam, se marie avec le spahi Slimène, chevauche dans le désert, fréquente les lieux des hommes - la mosquée, le café maure, parfois le bordel - et disparaît à vingt-sept ans dans la crue d'un oued... Isabelle relie les deux rives de la Méditerranée, les deux versants de l'identité croisée de Leïla Sebbar qui ne parle pas la langue de [son] père ? ; elle la révèle à elle-même au fil de ses livres, elle lui redonne son Algérie perdue. Leïla Sebbar & Isabelle Eberhardt, c'est toute une histoire, comme un roman sans fin que décrypte une troisième lettrée, Manon Paillot. Leïla Sebbar, née outre-mer d'un père algérien et d'une mère française, vit en France depuis l'âge de vingt ans. Elle y est arrivée en 1961 pour suivre ses études de lettres à Aix-en-Provence puis à Paris, où elle a été professeure de français, productrice à France Culture et critique littéraire. Parallèlement, elle a construit une oeuvre de romancière, de nouvelliste, d'essayiste et d'éditrice. Derniers livres parus, aux éditions Bleu autour ? : Dans la chambre (nouvelles, 2019), L'Algérie en héritage (collectif codirigé avec Martine Mathieu-Job, 2020) et Lettre à mon père (2021), dernier volet de sa trilogie autobiographique ? ; les deux premiers, Je ne parle pas la langue de mon père et L'arabe comme un chant secret, sont réunis dans un recueil préfacé par Marie-Hélène Lafon.

09/2021

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CD K7 Littérature

Isabelle, l'après-midi

Avant Isabelle, je ne savais rien du sexe. Avant Isabelle, je ne savais rien de la liberté. Avant Isabelle, je ne savais rien de la vie. Paris, début des années 1970. Dans une librairie de la rive gauche, un jeune homme rencontre une femme. Il est américain, étudiant, sans le sou, et a tout quitté pour assouvir ses fantasmes de la Ville Lumière ; elle est française, un peu plus âgée, sophistiquée, mystérieuse et... mariée. Entre Sam et Isabelle, c'est le coup de foudre. Commence alors une liaison tumultueuse, des cinq à sept fiévreux, des rendez-vous furtifs, des moments volés. Mais Sam veut plus. Isabelle lui a ouvert les portes d'une autre vie mais est-elle prête à tout lui sacrifier ? La passion saura-t-elle résister au quotidien, aux épreuves et au temps qui passe ?

10/2021

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Coloriage, gommettes et autoco

Color me. Isabelle Cornaro

Zoom avant, zoom arrière, ouverture de focale, plan séquence : voici un cahier de coloriages qui la joue comme au cinéma ! L'artiste Isabelle Cornaro nous embarque dans un film d'animation aux accents de polar, de film d'horreur et de science-fiction. Inspiré par la vogue pour les cahiers de coloriages mais aussi déçu par la qualité souvent médiocre des dessins proposés, Semiose éditions a eu l'envie de faire appel à des artistes confirmés pour dessiner spécialement des motifs à colorier pour les enfants - et les grands enfants, évidemment ! Chaque dessin est une création originale et véhicule une histoire, un trait d'esprit, dans un goût partagé pour l'humour, l'absurde et l'imaginaire. La valeur pédagogique du coloriage n'est plus à démontrer : en exprimant leur libre talent pour la couleur, les enfants observent et se familiarisent avec la manière dont un dessin est construit. Ces albums " color me " s'inscrivent dans la plus pure tradition du cahier de coloriage : petit format (A5), pelliculage brillant de la couverture sur papier cartonné, dessin en ligne claire. La série a débuté en octobre 2016 et s'enrichit régulièrement de nouveaux albums. Dans son scénario, les personnages usent de leur pouvoir de transformation et se pulvérisent pour devenir objets, dans des flashs aussi vifs qu'inquiétants. La couleur viendra-t-elle dénouer l'intrigue et dissiper les brumes ou au contraire nimber un peu plus la scène de mystère... ? A vos intuitions, vous fier, il faut.

11/2021

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Lecture 6-9 ans

Isabelle. Edition de luxe

Isabelle est une jument. Elle travaille dans une ferme et appartient à un fermier. Ce qui semble tout à fait normal. Seulement voilà, Isabelle se trouve terne et sale, elle aimerait porter un joli chapeau, des souliers vernis et une robe blanche. Elle serait alors aussi élégante qu'une dame du monde. Mais que ferait une jument dans un salon ?

01/2021

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Littérature française

Partition libre pour Isabelle

"L'entrevue se passe dans la cuisine. Sur la table, quelques légumes jetés pour la soupe du soir. Le docteur est venu rencontrer l'homme aux membres gagnés peu à peu par un bleuissement, un désespoir du corps, pour lui proposer d'entrer à l'hôpital, de tenter une opération. Il y a une tumeur palpable au niveau du sacrum. Le malade dit qu'il en a vu d'autres se faire charcuter et en mourir. Il n'est pas preneur. Le chat est entré avec précaution et trace sur les dalles ébréchées un trajet lancinant du médecin au patient et du patient au médecin. Le praticien pose des questions hésitantes qui se heurtent au silence. Pas un hochement de tête, pas un battement de cils. Juste cette détermination sans couleur. J'irai jusqu'au bout voilà c'est tout. " Après un long séjour en Afrique, Jean est de retour dans son village natal. Il est très malade. Mais il décide de repartir vers le soleil. Sa sœur, Maïssa, l'accompagne. Il est à bout de forces et très vite s'effondre. Au plus près des corps et des sensations, ce livre, où, dans la détresse, les liens de fraternité deviennent incandescents, évoque un certain été 1891 que vécurent Rimbaud et sa sœur Isabelle.

01/2004