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Inhumans : 1975-1981

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Comics

Inhumans : 1975-1981

Dans cette seconde Intégrale consacrée aux Inhumains, retrouvez le peuple de Flèche Noire et Médusa contre les Krees et les Skrulls dans la guerre des Trois Galaxies !

07/2018

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Humour

Quelques Philosophes. Edition revue et augmentée

Ces dessins sont extraits de divers albums : Tout se complique (1963), M. Lambert (1965), La grande panique (1966, 1994), Saint-Tropez (1968), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Bonjour, bonsoir (1974), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme et volupté (1987), Insondables mystères (1993), Grands rêves (1997) et Beau temps (1999).

11/2021

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Comics Super-héros

Inhumans : La mort des inhumains

Donny Cates (Doctor Strange) signe un one-shot oppressant où il met en place certains éléments de sa future prestation sur Les Gardiens de la Galaxie. Les Krees ont pris la décision d'en finir avec leurs encombrants descendants. Pour se débarrasser des Inhumains, ils lancent à leur trousses, le terrifiant Vox. Ce dernier semble inarrêtable et les héros meurent les uns après les autres. Pour stopper le massacre, Flèche Noire va devoir mettre sa vie en jeu...

06/2019

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Humour

Quelques meneurs d'hommes

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), La grande panique (1966, 1994), Information-consommation (1968), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Bonjour, bonsoir (1974), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme, volupté (1987), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

06/2002

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Humour

Le monde de Sempé. Volume 2

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Les musiciens (1979, 1996), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme & volupté (1987), Insondables mystères (1993), Grands rêves (1997) et Beau temps (1999).

12/2004

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Humour

Le monde de Sempé. Volume 1

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Les musiciens (1979, 1996), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme & volupté (1987), Insondables mystères (1993), Grands rêves (1997) et Beau temps (1999).

10/2002

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Sociologie

Presse, la grande imposture

EXTRAIT DE CASIER JOURNALISTIQUE : Nom : Morrot Prénom : Bernard Date de naissance : 28/10/1936 Carte de presse : n° 16931 FORFAITS : 1957-1965 : Journaliste à Paris-Presse. 1965-1967 : Rédacteur puis rédacteur en chef à Paris-Jour. 1967-1977 : Rédacteur aux informations générales puis rédacteur en chef au quotidien L'Aurore, chargé des informations générales. 1977-1978 : Rédacteur en chef adjoint, chef d'édition du quotidien Le Matin de Paris. 1978-1979 : Rédacteur en chef adjoint de l'hebdomadaire VSD. 1979 : Rédacteur en chef de L'Aurore. 1979-1985 : Directeur de la rédaction du Quotidien de Paris. 1985-1986 : Rédacteur en chef adjoint du Figaro. 1986-1987 : Directeur adjoint de la rédaction du Matin de Paris. 1987 : Co-directeur de la rédaction du Matin de Paris. 1988-1990 : Responsable du projet du quotidien populaire du Groupe Hersant Paris Star et co-responsable de la cellule investigations du Figaro. 1990-1992 : Rédacteur en chef du Figaro, chef du service des informations générales. 1992-1997 : Directeur de la rédaction de France-Soir. DERNIER DELIT : Directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Marianne. SIGNE PARTICULIER : Adore la polémique et l'humour, déteste la langue de bois et n'épargne pas ses chers confrères, ce qui lui vaut de nombreuses inimitiés. Pour beaucoup d'entre eux, cet homme est dangereux.

04/2001

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Poésie

1985-1981

Dix ans après la parution de son premier livre, 1985-1981 est sans doute, à ce jour, l'oeuvre la plus ambitieuse et la plus aboutie de Christophe Lamiot Enos. Il a donc paru nécessaire d'en livrer les deux "saisons" en un seul volume, malgré l'ampleur du projet. Le récit couvre le second semestre de l'année 1985, marquant l'arrivée et l'installation de l'auteur à l'université de Cornell, sur la côte Est des Etats-Unis. Il s'agit avant tout, au fil de la chronologie, de rendre compte de l'existence quotidienne - dans sa banalité et ses saveurs - à travers une accumulation de notations : gestes, décors, situations, regards et paroles échangés étant ici restitués avec une netteté et une précision exemplaires. La beauté et le caractère souvent poignant de ces instants de vie recomposés tiennent bien sûr à la grande exigence formelle avec laquelle Christophe Lamiot Enos les met en scène, élaborant toute une série de variations au sens musical du terme, s'appuyant sur le vers impair - des suites minuscules (où l'anglais dialogue parfois avec le français) qui finissent par donner à ces instantanés filtrés par un lent travail de mémoire l'allure d'une chronique éblouie : une épopée de l'infime, à la louange de la vie matérielle.

03/2010

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Humour

Quelques artistes et gens de lettres

Ces dessins sont extraits de divers albums : La grande panique (1966, 1994), Information-consommation (1968), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme et volupté (1987), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

05/1999

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Musique, danse

György Ligeti

Au-delà des chapelles, des clans, des écoles et du cercle toujours étroit des musiciens contemporains, la musique de György Ligeti (1923-2006) a su trouver une large audience. Les textures inouïes, sidérales, des grandes oeuvres pour orchestre : Apparitions (1958-1959), Atmosphères (1961), Lontano (1967), Melodien (1971), le sens dramatique profond révélé dans une multitude de prismes, allant de la dérision ostentatoire (Aventures, 1962) jusqu'à la plus pure suggestion intérieure (Etudes pour piano, 1985-2001) en passant par la geste opératique tragique (Requiem, 1963-1965) ou bouffonne (Le Grand Macabre, 1974-1977), prisme fondé sur une poétique des rythmes qui en avive la perception en profondeur (Continuum, 1968 ; Clocks and Clouds, 1972-1973 ; Concerto pour piano, 1980-1988), ainsi qu'un rapport unique aux timbres, à leur plasticité, à leur sensualité (Concerto de chambre, 1969-1970 ; Concerto pour violon, 1989-1993 ; Síppal, Dobbal, Nádiheged vel, 2000) lui ont permis de capter un vaste public, grâce d'autant plus puissante que rare. Avec une empathie de compositeur, Karol Beffa met ici en perspective les périodes créatrices de György Ligeti, de ses débuts, dominés par l'admiration de Bartók, confrontés aux tragédies du XXe siècle, à l'accomplissement atteint en Europe de l'Ouest. Les différents foyers dans lesquels il put s'épanouir (Cologne et son Studio de musique électronique, l'avant-gardiste Darmstadt, la dadaïste Düsseldorf, Hambourg où il enseigna la composition) sont évoqués ici comme les jalons façonnant une personnalité radicalement indépendante, dont les modèles pour la création étaient aussi bien littéraires et picturaux que musicaux.

05/2016

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Economie

LES MARCHES DERIVES. Origines et développement, 2ème édition 1997

Cet ouvrage présente et analyse l'émergence et le développement des marchés dérivés. En 1960, ces marchés ne regroupaient qu'un petit nombre de bourses de métaux et de matières premières agricoles. Dès 1985, ils étaient devenus un rouage essentiel de tous les systèmes financiers. Comment expliquer une telle transformation ? Très simplement. Entre 1960 et 1985, les marchés dérivés ont connu une profonde révolution grâce à deux innovations majeures. La première fut la création des contrats à terme financiers ayant pour support des devises (mai 1971), des taux d'intérêt (octobre 1975) et des indices boursiers (février 1982). La deuxième innovation fut l'introduction des options négociables. Les premiers supports ont été des actions (avril 1973). Par la suite furent introduites des options ayant pour sous-jacent des devises (novembre 1981) et des indices boursiers (mars 1983). Dans un deuxième temps sont apparues des options sur contrats à terme de matières premières et de taux d'intérêt (octobre 1981) puis d'indices boursiers (janvier 1983) et enfin de devises (janvier 1984). Depuis 1960, les marchés dérivés enregistrent une croissance ininterrompue. Elle est en partie induite - et ceci est la grande nouveauté de la décennie 1990 - par le développement des instruments dérivés négociés sur le marché du gré à gré (over the counter market) : cap, floor, collar, swap, etc.

09/1997

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Humour

Quelques manifestants

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Information-consommation (1968), Face à face (1972), Bonjour, bonsoir (1974), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme et volupté (1987) et Beau temps (1999).

10/2000

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Littérature étrangère

Récits, 1971-1982

"Si, je suis constamment choqué. Lisez donc mes livres, c'est un amoncellement de millions de chocs. C'est un alignement non seulement de phrases, mais d'impressions de choc. Un livre doit être aussi un choc, un choc qui n'est pas visible de l'extérieur", profère Thomas Bernhard dans un entretien de 1986, auquel il donne pour titre : L'origine, c'est moi-même. Il délivre du même coup au lecteur de cet ensemble de récits, réunis ici autour des cinq livres autobiographiques, le trousseau de clés qui, de choc en choc, d'effroi en effroi, d'enfer en enfer, ouvre la boîte de Pandore de cet écrivain pourtant tout d'une pièce : l'imprécateur et l'ermite, le suicidaire passionné de vivre, le poitrinaire aux prises avec son souffle qui se veut chanteur d'opéra, le furioso que jamais ne quittent sa colère, sa véhémence.

04/2007

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Thèmes photo

Débutantes. 1980-1985

Recueil de photographies argentiques en noir et blanc réalisées entre 1980 et 1985, portraits d'amies ou d'inconnues croisées dans les rues de Paris, scènes glanées au hasard mais avec un désir formel de composition, débutantes présente les premières photos du photographe Jacques Graf. "Belles endormies" encore jamais montrées, elles retracent le parcours poétique et mélancolique d'un jeune parisien à l'aube de sa carrière et de sa vie sentimentale. Un débutant. Et des débutantes : ces jeunes femmes qui font leur entrée dans le monde et dont le photographe a oublié le nom ; ces premières photographies dans la carrière d'un photographe, débutant dans la photographie comme dans la vie. Accompagnées d'un texte de l'auteur, ces photographies questionnent la vé- racité du souvenir et la fonction de la photographie dans la construction d'une histoire. Mais que nous disent les photographies ? Le souvenir est-il une certitude ? La vérité est-elle essentielle ? "Au départ on fait des photos pour impressionner les filles, au départ on fait des photos pour l'impression que cela fera sur elles, au départ on fait des photos pour se souvenir". Jacques Graf. Dès les années de lycée, la photographie attire le tout jeune Jacques Graf comme nous attirent parfois des notes de musique que l'on cherche à retenir. Trop timide pour rencontrer simplement les autres, il s'en sert alors pour mieux voir, pour tenter de conserver des impressions comme de transfigurer son quotidien et construira sa vie autour de ce projet. Depuis le milieu des années 80, Jacques Graf travaille pour la presse (L'Obs, le Journal du Dimanche, Paris-Match, Der Spiegel, Focus, der Bild, Marianne, Madame Figaro, etc.) ou des entreprises avec pas- sion et rigueur. En 1994, il intègre l'agence Editing, puis rejoint en 2002 Fedephoto. La même année, il co-fonde l'agence Divergence-Images, dont il sera le président jusqu'en 2017. Ses travaux sont exposés dans les festivals français et étrangers.

02/2023

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Policiers

Le quatuor du Yorkshire. 1974 ; 1977 ; 1980 ; 1983

1974 : Edward Dunford, reporter à l'Evening Post, fait ses premières armes dans l'ombre de Jack Whitehead, journaliste vedette de la rédaction. Il enquête sur la disparition de trois fillettes autour de Morley, dans l'Ouest du Yorkshire. 1977 : dans la région de Leeds, plusieurs prostituées sont agressées ou assassinées. La psychose gagne la population. Les femmes n'osent plus sortir le soir par peur de l'Eventreur, un criminel insaisissable qui défie la police... 1974, 1977, 1980, 1983, quatre romans envoûtants qui retracent une décennie de meurtres et de disparitions énigmatiques dans l'Ouest du Yorkshire, une contrée où rôde le mal. Des temps troublés, dépeints avec une force incantatoire par David Peace, l'un des plus grands écrivains britanniques contemporains.

11/2017

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Pléiades

Oeuvres complètes. Volume 4

Au sommaire des Oeuvres complètes de Marguerite Duras figurent l'intégralité des livres publiés du vivant de l'écrivain et de nombreux textes ou documents peu accessibles, voire inédits. Les deux premiers volumes menaient le lecteur jusqu'en 1973, l'année d'India Song. Les tomes suivants couvrent chacun une décennie : 1974-1984 pour le troisième volume, 1985-1995 pour le quatrième. La décennie 1985-1995 (tome IV) est d'une certaine manière celle de la "réécriture". Certes, Emily L est un texte entièrement nouveau. Mais Duras revient souvent sur ses propres pas : en 1986, Les Yeux bleus cheveux noirs "récrit" La Maladie de la mort (1982) ; en 1990, La Pluie d'été "récrit" un livre pour enfants paru en 1971 ; en 1991, L'Amant de la Chine du Nord est en quelque sorte une nouvelle version de L'Amant. et le quatrième livre tiré de l'expérience indochinoise de l'auteur. L'oeuvre semble alors former une boucle, sentiment renforcé par la tonalité testamentaire de certains ouvrages (Ecrire, 1993), mais aussi par le retour opéré par Duras sur quelques-uns de ses textes les plus anciens. En 1985, La Douleur reprend des pages écrites dès le lendemain de la guerre. En 1990, à l'occasion de la rédaction de Yann Andréa Steiner (1992), l'écrivain revient au manuscrit de Théodora, un roman des années 1940, inachevé et resté inédit ; on en trouvera en appendice les passages les plus aboutis. L'édition se clôt sur des "Textes épars" : jamais recueillis par leur auteur, ces articles ont été rassemblés ici en raison de leur intérêt propre ou parce qu'ils font écho à de grands thèmes de l'oeuvre. Certains d'entre eux jouèrent un rôle dans la manière dont Marguerite Duras fut et demeure perçue : non seulement comme un écrivain, mais comme un "personnage", une légende, presque un mythe.

05/2014

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Comics Super-héros

Morbius Tome 1 : 1971-1975

Le docteur Michael Morbius est frappé par une terrible malédiction. Suite à une expérience qui a mal tourné, le voilà victime d'une insatiable soif de sang ! Ce personnage incompris, souvent au bord de la folie, n'a pas affaire qu'à des super-héros, il doit aussi faire face à des démons et d'étranges sectes ! Basculez du côté sombre de l'univers Marvel avec cet album au ton horrifique et surnaturel. Les premières apparitions du personnage sont recueillies ici, avec des histoires en couleurs et d'autres en noir et blanc. C'est clairement une INTEGRALE à part !

01/2022

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Criminalité

Affaires classées en Béarn et Pays basque. 1981-2001

1. Le Jour le plus Long (André Blasco. Mazères-Lezons, 1978) /// 2. Meurtre en Stop (Jean-Marc Dallon. Bougarber, 1982)/// 3. Emile et Dominique (Emile Vial-Dominique Redon. Bayonne, 1983) /// 4. Peur sur la Ville (Le drame du Monbar. Bayonne, 1985) /// 5. Tueur Né (Coppola. Pau, 1986) /// 6. Richard, Coeur de Pierre (Richard Boutin. Pau, 1987) /// 7. Des Dollars, comme s'il en pleuvait (Jean Breuil. Biarritz, 1988) /// 8. Dans le Pétrin (Pierre Hiriart. Urcuit, 1991) /// 9. D'une Pierre, Deux Coups (Maurice Dussarat. Castétis, 1990) /// 10. L'Homme qui valait un Milliard (Jacques Milési. Pau, 1990) /// 11. Sacrifice (Patrick Léger. Sendets, 1992) /// 12. Pour un Autoradio (Jacques Brouste. Pau, 1994) /// 13. L'ombre d'un Doute (Christophe LAEK. Bayonne, 1995) /// 14. Le meurtrier court toujours (Les soeurs Nougué-Cazenave. Pau, 1995) /// 15. Gardez-moi de mes amis (Bernard Errandonéa. Sare, 1995) /// 16. Mauvaises Rencontres (Pierre Saunier. Chéraute, 1997) /// 17. Crimes à tiroir (Jean-Etienne Subercaze. Bayonne, 1992-1998) /// 18. Dans un moment de délire... (André BOUR. Lahonce, 1999) /// 19. Secret de Famille (Le bébé Momifié. Biron, 1999) /// 20. L'Assas-saint Valentin (Christophe Dubarry. Hendaye, 2004) /// 21. Pour un mauvais regard (Yannic Mas. Biarritz, 2004) /// 22. La Nuit du Long Couteau (Sébastien Khélifa. Pau, 2005).

11/2022

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Littérature étrangère

Carnets Paris, 1985-1987

"Ce que je fais dans Carnets consiste à construire une narration avec des situations, descriptions, faits et réflexions utilisés de manière à former un récit de la vie d'un couple. Autrement dit, un roman avec deux héros, un fond historique, des personnages de deuxième et de troisième plan, un temps d'action variable. Au fond, si je voulais m'en donner la peine, je pourrais l'écrire comme un vrai roman, à la troisième personne, en attribuant aux personnages des noms fictifs. Mais je ne veux pas m'en donner la peine. Et le fait que je ne le veuille pas et que je n'écrive pas à la troisième personne recèle l'élément important, essentiel, que j'appelle modification de la perspective ou déplacement du point de vue, et qui correspond probablement à un genre nouveau d'engagement vis-à-vis de la réalité. D'un engagement qui se manifeste par le rejet d'une littérature générée par la forme, non par la vie". Kazimierz Brandys.

03/1990

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Photographie

The Map & The Territory (German edition)

Au cours des années 1970 et 1980, Luigi Ghirri a poursuivi son projet extraordinaire, ouvert et mercuriel, empreint d'empathie pour les espaces quotidiens changeants de son époque. Au cours de sa courte carrière, Ghirri produira un vaste corpus de photographies sans parallèle dans l'Europe de son temps et de nombreux écrits qui auront un impact indélébile sur l'histoire de la photographie. Ce livre volumineux, compilé par le célèbre conservateur britannique James Lingwood, accompagne une exposition itinérante dans trois grands musées à travers l'Europe et se concentre sur la première décennie du travail de Ghirri, définie par son exposition de 1979 à Parme. Vera Fotografia a été regroupée en quatorze séquences narratives différentes, chacune étant représentée dans ce volume : Fotografie del periodo iniziale (1970), Kodachrome (1970-78), Colazione sull'erba (1972-74), Catalogo (1970-79) , Km 0, 250 (1973), Diaframma 11, 1/125, luce naturale (1970-79), Atlante, (1973), Italia Ailati (1971-79), Il paese del balocchi (1972-79), Vedute (1970- 79), Infinito (1974), In Scala (1976-79), Still Life (1975-79). Le projet se concentre sur le projet tranquillement contraignant de Ghirri de créer un nouveau type de géographie, situé dans sa fascination pour les représentations du monde, sous la forme de reproductions, d'images, d'affiches, de modèles et de cartes. La médiation de l'expérience à travers des images dans une Italie entre l'ancien et le nouveau a été, pour Ghirri, un terrain inépuisable à explorer - "une grande aventure dans le monde de la pensée et de la recherche, un merveilleux jouet magique qui parvient miraculeusement à combiner notre adulte la conscience et le monde des contes de fées des enfants... un voyage sans fin à travers petits et grands, à travers les variations et le royaume des illusions et des apparences, un lieu spéculaire labyrinthique de multitudes et de simulation. "

05/2018

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Critique littéraire

Articles intrépides. 1977-1985

Articles intrépides rassemble les meilleurs articles et entretiens d'Hervé Guibert publiés dans Le Monde de 1977 à 1985. Avec leur liberté de ton incroyable, leur insolence et leur humour, ces textes, écrits par Guibert entre vingt-deux et trente ans, restituent non seulement à merveille la vie culturelle du tournant des années 1980 et ses figures les plus importantes - cinéma (Maurice Pialat, Andreï Tarkovski, Léos Carax, Isabelle Adjani, Bulle Ogier...), expositions (Francis Bacon, Balthus), danse (Pina Bausch), pop (Dalida, Etienne Daho), théâtre et opéra (Bernard-Marie Koltès, Patrice Chéreau) - mais se révèlent d'une proximité thématique étonnante avec l'oeuvre littéraire qu'il construit simultanément. Chacun de ses reportages, chacune de ses enquêtes, au musée Grévin, au musée de l'Homme, à Barcelone, ou à l'Institut des jeunes aveugles... est en effet dictée par une curiosité insatiable, à la source de son goût et de son inspiration unique.

11/2008

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Littérature française

Oeuvres complètes 1971-1974

Il est des écrivains qui, longtemps après leur disparition, continuent d'habiter l'humanité. Des écrivains que l'on ne se lasse pas de relire car chaque plongée dans leur oeuvre est une nouvelle découverte, un nouvel enchantement Pour Yves Navarre (1940-1994), la littérature était émotion. Emotion et partage. Nulle sensiblerie, ici, les émotions d'Yves Navarre sont parfois brutales et même crues, quand il s'agit de l'intime. Aucune volonté de provocation gratuite cependant Mais celle, toujours, d'être au plus près de l'humain, de la vérité de l'humain, quitte à déranger ceux qui se taisent et veulent faire taire. Yves Navarre est passé comme un météorite dans le ciel littéraire français. Il a connu le succès avec Les Loukoums (que l'on retrouvera dans le présent volume) et la consécration, avec Le Jardin d'acclimatation, Prix Goncourt en 1980. Il a été courtisé, choyé par certains critiques, vilipendé par d'autres. Il a côtoyé les puissants de son temps et a participé à l'évolution des moeurs. Puis il a connu l'échec, l'indifférence et même l'oubli. Pourtant, beaucoup de ceux qui l'ont approché, même comme simples lecteurs, se sont brûlés à lui, à ses mots, à la forme de sa personnalité et de son écriture. Nombre d'entre eux gardent un souvenir ému de leur lecture, qui du Coeur qui cogne, qui du Petit Galopin de nos corps, qui de Ce sont amis que vent emporte... Avec le premier volume de ses Oeuvres complètes, nous vous proposons de partir à la redécouverte de cet auteur hors du commun, tour à tour romancier, dramaturge ou poète, ivre de mots toujours, et fou de cette littérature à qui, le temps d'une vie à écrire, il a administré un véritable électrochoc.

11/2018

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Littérature française

Vie rêvée. (Pages d'un journal, 1965, 1971-1977)

1965. Un beau jeune homme qui semble fêté par les dieux, fils du grand peintre Balthus, entreprend son journal. Thadée de Rola est plein de l'envie d'écrire. Il admire les écrivains, notamment Georges Bataille, à une édition des ouvres de qui on le verra ici travailler, et il aime aussi ce que l'on appelle la fête. Pour lui, deux faces d'une même rêverie. Et le voici avec ceux que le monde entier reconnaîtra pour les heureux d'une génération, à commencer par le jeune Yves Saint Laurent, mais encore Andy Warhol, Karl Lagerfeld, Mick Jagger et quantité d'autres dont l'existence tient parfois au surnom, comme dans toutes "les petites bandes". Et si dans Proust il y avait un Mimi, il y a ici un Marceau, un Marceau babilleur, potinier, qui transporte les secrets de Paris sur son scooter. Il y a les dîners et les fêtes, il y a des visites incomparables à Rome (et à Balthus), il y a la conversation éblouissante de celui-ci et le charme incomparable de celle-là. Car, ah oui, il y a l'amour. Durant toute cette période (le journal dure jusqu'en 1977), Thadée de Rola, qui vit avec Baba, devient amoureux d'une autre. Peu à peu, comme dans une valse lente, il va se rapprocher de Loulou de La Falaise, qui deviendra la célèbre égérie d'Yves Saint Laurent. Paris n'est pas qu'une fête. Entre dîners et soirées, le jeune Thadée rêve à des romans, souffre du temps qui s'écoule. Ce qui pourrait n'être qu'un registre de mondanités s'ocelle de notations poétiques, de fragments, de fantasmes. A différer l'ouvre qu'il voulait écrire, Thadée de Rola l'a invitée dans ses carnets. Vie rêvée ou la découverte d'un monde de rêve.

03/2013

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Rock

Johnny. Ses concerts, sa plus belle histoire d'amour

Un regard photographique inédit et exclusif sur les grands-messes de Johnny. Après un premier chapitre rappelant les dix années que Johnny mettra pour construire une légende, de Laroche Migennes au Palais des Sport 1967 en passant par l'Olympia, les photographies inédites de Michel Leclercq nous inviteront à retourner voir avec un oeil neuf les plus grands shows de Johnny : 1969 : Le Show de l'an 2000, 1971 : Le Palais des Sports avec Michel Polnareff, 1972 : Le Johnny Circus, 1976 : Johnny Story, 1979 : 20 ans au Pavillon, 1982 : Fantasmhallyday, 1984 : Le Zénith, 1987 : Johnny se donne à Bercy, 1990 : Dans la chaleur de Bercy, 1992 : Bercy, 1993 : 50 ans au parc, 1994 : La Cigale, 1995 : Bercy Lorada Tour, 1996 : Vegas, 1998 : Stade de France, 2000 : La Tour Eiffel, 2000 : L'Olympia, 2003 : La tournée des stades, 2006 : Flashback Tour, 2009 : Route 66, 2012 : Stade de France, 2013 : Born Rocker Tour, 2016 : Rester Vivant Tour.

10/2021

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Philosophie

Edifier un monde. Interventions 1971-1975

Quatre interventions composent ce volume : dans les deux premières, consacrées à la crise de la démocratie occidentale et au mensonge en politique, Hannah Arendt, en intellectuelle responsable, participe directement au débat public et met à l'épreuve ses propres analyses. Les deux suivantes dressent un bilan de l'ensemble de son travail et apportent nombre de précisions sur les principaux concepts qu'elle a déployés. La vie politique et la pensée de l'événement sont devenues quelque chose de périlleux, souligne Hannah Arendt : nous devons juger et décider en situation sans pouvoir nous fonder sur une norme éternelle a priori, tout en résistant au chant des sirènes du relativisme. Cherchant à établir un diagnostic du présent, Arendt s'efforce de " penser sans garde-fou " et sans critère ultime jusqu'à la racine de notre modernité. Bref, s'" il n'y a de liberté que dans l'espace intermédiaire de la politique ", " il se pourrait fort bien que la tâche de la politique consiste à édifier un monde ".

03/2007

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Sciences politiques

Souvenirs d'un militant révolutionnaire à Renault-Billancourt

Paul Palacio a travaillé de 1966 à 1992 à l'usine de Renault Billancourt, dans ce qu'on appelait la forteresse ouvrière. En fait, c'était une entreprise dure et répressive. Ce livre retrace ces 26 années de militantisme avec le groupe Lutte Ouvrière de l'usine. Embauché comme "essayeur" à la sortie des chaînes de l'île Séguin, il participa aux très nombreuses luttes de ces années-là : la grève de mai-juin 68, les grèves des OS de 1971 à 1975, les innombrables débrayages, les tentatives de s'opposer à la fermeture définitive de l'usine de 1986 à 1992. Il a lutté contre le lâchage des directions syndicales, dénoncé leurs contorsions pendant la période de participation de ministres communistes au gouvernement de 1981 à 1984 et leurs tentatives de redorer leur blason en faisant des coups d'éclat en 1985. Son témoignage est la suite de ses combats.

06/2022

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Sociologie

Critique de la pensée sociologique. Cours au Collège de France (1970-1971 et 1971-1972)

Voici rassemblés les deux premiers cours prononcés au Collège de France par Raymond Aron de 1970 à 1972. Ils ne marquent pas seulement l'entrée de l'auteur dans cette prestigieuse institution mais aussi une étape dans sa pensée. Comment et pourquoi passer d'une raison critique de l'histoire à une critique de la pensée sociologique ? Il ne s'agit pas de défendre une discipline académique, mais de définir la nécessité pour le philosophe de prendre acte du fait que la société constitue le caractère principal de notre époque. Il faut donc embrasser l'ensemble de l'existence des individus en tant qu'êtres sociaux, définir une méthode de connaissance de la société, tout en pensant celle-ci dans ses évolutions. Cela implique de porter sur les événements contemporains un jugement critique. Raymond Aron s'inscrit ici dans la suite des grands penseurs avec lesquels il a dialogué toute sa vie : Karl Marx, Max Weber, Auguste Comte, mais aussi les économistes et les sociologues de notre époque. Ce qui était nécessaire en 1970 l'est plus encore aujourd'hui. Le regard de Raymond Aron et la méthode qu'il n'a cessé de mettre à l'épreuve des faits demeurent essentiels si nous voulons analyser les transformations du monde dans lequel nous vivons et plus encore tenter d'influer son évolution.

01/2023

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Charismatiques

Témoignage. Journal spirituel (1985-1989)

En 1984, après la mort de sa mère, Alicja commença à fréquenter des groupes de prière du Renouveau charismatique. C'est dans cette communauté qu'elle retrouva le sens de sa vie. "A cette époque, je commençais à lire des livres religieux." La lecture de ces livres réveilla sa foi. Le 8 mars 1985, Alicja participait à une retraite pour animateurs à Gostyn. Elle écrira plus tard : "Là-bas, il s'est passé quelque chose qui changea ma vie. Jésus s'y tint devant moi. Plus rée[ plus vrai que tout ce qui se trouvait dans la chapelle, que les gens qui se tenaient à mes côtés. [...j Tout cessa d'exister, il n'y avait plus que Lui. Sa force, sa puissance, sa grandeur, toujours plus grande, et moi toujours plus petite, comparée à Lui. Une masse d'amour si grande, si exceptionnelle que, face à elle, on ne pouvait que pleurer sur sa propre ingratitude. J'ai ressenti ensuite la joie de savoir qu'Il m'aime. Une joie qui fait éclater le coeur. [...] " Depuis cette retraite, Alicja reçut la grâce de rencontres mystiques régulières avec Jésus qui lui donnait personnellement des indications et des exhortations. Elle notait scrupuleusement tout ce qu'elle entendait de Jésus. Alicja est décédée à Szczecin (Pologne) le 5 janvier 2012. Elle nous a laissé son journal spirituel, divisé en deux tomes : Témoignage et Exhortations. Ce journal spirituel est parvenu aux mains de l'archevêque Andrzej Dzigga qui a formé une commission théologique dans le but d'évaluer le contenu du journal. Il s'est avéré que les écrits d'Alicia ont une profondeur théologique et spirituelle hors du commun, et qu'ils sont entièrement en accord avec l'enseignement de l'Eglise catholique. Sur cette base, Monseigneur Henryk Wejman, évêque de Szczecin, a donné son accord pour la publication du journal.

09/2021

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Critique littéraire

Ecriture. Carnets IX 1985-1986

"Sans l'écriture, je ne suis pas" . Dans son journal, Louis Calaferte évoque sans cesse l'angoisse dans laquelle il se trouve de ne pouvoir mener à bien l'oeuvre en cours ou celle, quand il n'écrit pas, de voir à jamais tarie la source d'où elle jaillit. "Je ne vis pas : j'écris. Voilà plus de trente ans que je mijote au fond de cet enfer" . La tentation de ne plus écrire est chez lui permanente. Quelle énergie pourtant, quelle rage... et quelle production ! Voyons plutôt : en 1985, il travaille déjà à La mécanique des femmes, publie Lignes intérieures, écrit Aux armes citoyens, poursuit Promenades dans un parc, entame L'incarnation, achève Memento Mori dont il sort épuisé (ce dernier titre clôt la trilogie entamée avec Souche d'un autoportrait). A cela s'ajoutent quatre pièces de théâtre. En 1986, il tourne L'incarnation, cette plongée dans la verticalité de l'être. Les notations personnelles sur sa vie quotidienne, ses lectures, son rapport à la nature et l'amour qu'il porte à sa femme sont entrecoupées de séquences de fiction d'une étonnante étrangeté. Ce journal est à l'écrivain ce que le carnet de croquis est au peintre. On y suit les travaux en cours, pris entre apathie et effervescence. Rarement lecteur aura été à ce point immergé dans l'intensité vibrante d'un inconscient littéraire livré sans masque ni censure.

11/2001

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Critique littéraire

En soixantaine. Chroniques 1961-1971

En soixantaine est le tome II de Mon siècle qui a été publié en 1993, une fois première, au Quai Voltaire, maison qui a depuis provisoirement disparu après le suicide du notaire Voitey. Heureuse ou triste époque où nous survivons à nos éditeurs. De maisons, ce que j'en ai vu disparaître et renaître depuis plus de quarante ans que j'écris. Et les quotidiens, les hebdomadaires, les mensuels où j'avais confié mes bavardages. Mon siècle est le titre d'un feuilleton qui a commencé au début des années 50 dans L'Observateur, et qui se finira faute de combattant dans les années 2000 de ce même journal dont je semble assurer de loin en loin la permanence. Pourquoi En soixantaine ? C'est que ces années 60 qui devraient être lugubres dans mon souvenir, je n'y ai pas fait exactement ce qu'on attendait de moi, je m'y suis enfoncé jusqu'au trognon. Que mes chroniques évoquent le peu que j'ai gardé de ces années-là. Et qu'enfin en soixantaine est un pastiche d'en quarantaine. Oui, j'avais quarante ans quand je me suis mis en soixantaine ! Je souhaite aux jeunes gens épris de littérature, et qui fuient un existence trop asservie au quotidien, de se balancer sur la corde avec autant d'aplomb. A vingt ans, rien ne le laissait prévoir avec ces livres qui encombraient mes tiroirs. Sartre aurait-il eu raison ? On n'a que la vie qu'on mérite et qu'on ne mérite pas. Lola, ma chatte de quatre mois, ma chatte de gouttière aux poils noirs et tigrés qui m'empêchait d'écrire par ses coups de patte, s'endort à ce que j'écris. Chut ! Plus un mot : tome II, tome III et à l'infini.

10/1996