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Estelle Gapp, Marina Tsvetaeva, Irina Emelianova

Extraits

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Littérature française

Je t'aime affreusement. Lettre fictive d'Ariadna Efron à sa mère, Marina Tsvetaeva Suivi de Lettres inédites de Marina Tsvetaeva et Le fil d'Ariane

Si Marina Tsvetaeva (1892-1941) compte aujourd'hui parmi les grands poètes russes du XXe siècle, on le doit au destin et au tempérament hors du commun de sa fille, Ariadna Efron (1912-1975), seule survivante d'une famille broyée par la Terreur stalinienne. Après seize ans de Goulag, elle consacre les vingt dernières années de son existence à faire publier l'oeuvre de Marina. La " fille prodige " deviendra le premier éditeur de sa mère. Je t'aime affreusement est une lettre fictive qu'Ariadna aurait pu écrire, depuis le premier jour de sa libération, en 1955, jusqu'à sa mort, en 1975. Une lettre d'outre-tombe adressée à celle qui est morte depuis longtemps pour lui dire ce qu'elle n'a jamais su : les sentiments qu'elle, Alia, a éprouvés auprès d'une mère à la personnalité excentrique et exaltée, qui lui a transmis le meilleur et le pire, le goût de la littérature et la condamnation à l'exil. Une lettre où elle laisserait enfin éclater sa colère, face à l'injustice, face au sacrifice d'une vie vouée à ce seul devoir : sauver de l'oubli la poésie de Marina Tsvetaeva. Pour y dire aussi l'impuissance, le pardon, et le mystère d'un père absent. Pour faire entendre la voix de cette fillette aux grands yeux bleus, qui a vécu à l'ombre de sa mère, à l'ombre de l'histoire.

03/2019

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Critique littéraire

Marina Tsvetaeva. L'éternelle insurgée

Aussi torrentueuse et imprévisible dans ses vers que dans sa vie, Marina Tsvetaeva, un des plus grands poètes russes de la fin du XXe siècle, est dévorée dés son plus jeune âge par le besoin d'écrire et la fureur d'aimer. Née en 1892, elle a dix-huit ans à peine quand elle publie son premier recueil de poèmes. L'année suivante, elle épouse, sur un coup de tête, Serge Efron, un étudiant à qui elle restera attachée toute sa vie à travers de multiples infidélités, des plus banales aux plus glorieuses. A ces aventures sentimentales s'ajoutent les épreuves de l'histoire : la guerre de 1914 puis la Révolution russe de 1917 la séparent de Serge, qui rallie les volontaires de l'armée blanche opposés aux bolcheviks. Elle le perd de vue pendant les désordres de la guerre civile, mais le retrouve, par miracle, dans l'émigration - en Allemagne, en Tchécoslovaquie, en France. Parmi les réfugiés, Marina se sent doublement exilée. Refusant de choisir son camp, elle se met à dos ses compatriotes des deux bords, alors que Serge cède aux séductions des agents soviétiques et décide de retourner en U.R.S.S... Aura-t-elle le courage de l'y rejoindre ? Si elle se lance dans cette nouvelle équipée, ne se sentira-t-elle pas une étrangère dans sa propre patrie ? Le suspens demeure entier jusqu'à la fin tragique de cette éternelle insurgée. Emportée par les événements politiques, Marina Tsvetaeva apparaît comme un symbole du merveilleux et dérisoire combat de l'artiste qui s'obstine à chanter les grandes idées, les beautés de la nature et le mystérieux enseignement de la mort, au milieu des vociférations d'un monde en délire.

10/2001

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Critique littéraire

Fileuse de l'invisible, Marina Tsvetaeva

LE FIL EST UNE VOIX CREATRICE D'HERESIES, elle monte au-dessus du métier de la fileuse de l'invisible — Marina Tsve-taeva (1892-1941). Sa nécessité rythmique d'être poète est celle de vivre, d'accomplir sa mission "d'oreille de la voix". Se disant "murée vive", Marina exhorte le monde à la vérité de la perte et au franchissement poétique du Mur qui l'exile à l'intérieur d'elle-même. La poétesse s'appelle tour à tour Ariane, Maroussia, Tatiana, Sonetchka, Anna, Frère féminin, Rilke, Pasternak, Dieu-Diable, Noyé, Musique, Mère-Morte, Meurtrimère... Vide, Äme, Dieu... Poète de l'être à l'âme toute nue, Marina Tsvetaeva se fonde et se refonde dans une exposition poétiquement hérétique et, pourquoi pas, lyriquement croyante. Son exigence particulière pour le sacré fait ériger en vers "la vérité céleste contre la vérité terrestre". Le vide, l'âme, le mystère et le sacrifice en tant qu'il est la "passion de la mort" nous interpellent au coeur des oeuvres lues au cours de cet essai dans leur reflet de l'amour de l'amour en même temps que son refus. Passionnément, le désir d'amour de Marina est désir de mort.

06/2019

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Littérature française

Coeur sauvage. Lettre à Marina Tsvetaeva

Ce livre est un hommage à l'immense poétesse russe Marina Tsvetaeva, qui vécut en France de 1925 à 1939, dans l'obscurité quasi-totale. Ce livre n'est pas une biographie mais un récit épistolaire, qui interroge ce que fut la négation humaine sous le stalinisme, et l'effervescence tragique qui suivit la révolution d'octobre 1917. Marina Tsvetaeva éclaire d'une lumière brute la poésie de notre époque. Lisant l'un de ses livres dans une chambre perdue de Vladivostok face à la mer du Japon, je lui adresse ce récit en forme d'hommage pour ce qu'elle a été en tant que femme, mère et poète, et pour ce que nous offre la lumière de ses livres, de sa vie brûlée interrogeant l'Histoire et l'aventure poétique. Son aventure fut exemplaire. Quatorze années d'existence invisible dans la banlieue parisienne, puis un retour en Russie, vers l'enfer de la Russie de ce temps où l'on détruisait pour des broutilles, une phrase de travers. J'ai cheminé en sa compagnie durant de longs mois de Moscou à Koktebel en Crimée, petit village où elle vint souvent dans le temps de sa jeunesse, sous le toit accueillant des Volochine qui reçurent ainsi Mandelstam, Tolstoï, etc... Tsvetaeva, amoureuse-née, entretint une brûlante correspondance avec Pasternak, Rilke, durant tout l'été 1926. Ces lettres merveilleuses témoignent de sa passion et de sa colère.

03/2015

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Littérature française

Marina Tsvétaïéva, mourir à Elabouga

Immense poète russe, fervente amoureuse menant plusieurs liaisons à la fois : Rilke lui préfère Lou Andreas-Salomé, Pasternak en épouse une autre mais la protège jusqu'à sa mort, au bout d'une corde dans un grenier d'où elle avait vue sur le champ qu'elle grattait à mains nues à la recherche des pommes de terre oubliées des paysans. Une vie débordante d'épreuves : la misère pendant la guerre civile, sa fille de trois ans morte de faim dans un orphelinat, son mari qui se bat contre le régime soviétique... Rejetée par les poètes officiels, puis par la riche diaspora russe en France, elle retourne dans son pays pour mettre fin à sa vie d'errance. Enterrée sous une motte de terre anonyme dans le cimetière d'Elabouga, Marina Tsvétaïéva, martyre de l'époque stalinienne.

01/2019

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Critique littéraire

La mort de Marina Tsvétaïéva

En juin 1939, Marina Tsvétaïéva, exilée à Paris depuis 1925, retourne avec son fils Guéorgui en Union soviétique, où elle rejoint son mari, Sergueï Efron, et leur fille, Ariadna. Deux ans plus tard, elle se suicide à Elabouga, en Tatarie. Ces deux dernières années de la vie de la grande poétesse russe sont racontées et montées scène par scène, comme un drame antique. Une grande maison abandonnée, à trente kilomètres de Moscou, où un petit groupe d'exilés rentrés de France vit en huis clos, surveillés par le NKVD. Le vide qui se fait avec les arrestations. Sergueï Efron fusillé, Ariadna déportée dans un camp où elle passera huit ans. Ne restent plus que Marina et son fils. La guerre éclate, tous deux sont évacués à Elabouga. Le livre dresse un tableau terrifiant du destin qui attendait, en Union soviétique, à la fin des années 1930, les émigrés de "l'Union pour le retour", intellectuels sincères piégés par leurs propres espoirs et manipulés par la police politique du régime stalinien. La lourde responsabilité des services secrets dans le destin tragique de Marina Tsvétaïéva se conjugue à sa poignante inaptitude à survivre.

04/2015

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Poches Littérature internation

Légendes de la rue Potapov

La rue Potapov, à Moscou : c'est l'adresse de l'appartement où Irina, petite fille de neuf ans a pour la première fois vu la silhouette du poète Boris Pasternak, lié à sa mère Olga Ivinskaïa par le grand amour que le monde entier allait découvrir en lisant Le Docteur Jivago. Irina croisera d'autres figures légendaires : l'opiniâtre Ariadna Efron, la fille de Marina Tsvetaeva, survivante de quinze ans de camp après son retour d'émigration ; l'écrivain Varlam Chalamov, dont les Récits de la Kolyma ont gravé à jamais dans la prose russe toute l'horreur glacée de l'enfer sibérien. Autant de légendes qui s'ordonnent autour de celle du grand Boris Pasternak à qui les unit une admiration et une commune ferveur.

06/2020

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Littérature française

Irina

Zhang, petit ouvrier chinois noyé par les heures de travail et le chagrin dû au décès de son père, se retrouve un matin sur une scène de crime. Jugé et condamné, il découvre alors l'univers des prisons et bascule dans la spirale infernale du monde carcéral. Embringué malgré lui dans une évasion, Zhang se voit embarqué dans une cavale rocambolesque, côtoyant le faste de l'univers mafieux et la misère des laissés-pour-compte. Devenu tueur et fugitif, ce petit ouvrier modèle parviendra-t-il à sauver sa peau et retrouver sa famille ?

04/2024

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XXe siècle

Tant de neige et si peu de pain

En 1919, Marina Tsvetaeva a vingt-sept ans lorsque, en pleine guerre civile, elle se retrouve seule à Moscou avec ses deux filles. Son mari s'est engagé dans les armées blanches et elle ignore s'il est toujours en vie. Dans une ville sous le joug du froid et de la famine, les difficultés matérielles la contraignent à laisser ses fillettes dans un orphelinat. Alia a sept ans. C'est une enfant d'une intelligence exceptionnelle. Irina a deux ans. Mal aimée et sans doute atteinte de troubles mentaux, elle va mourir de faim. Un drame qui pousse Marina à revenir sur sa vie passée pour essayer de comprendre comment elle en est arrivée à laisser périr son enfant dans un orphelinat, alors qu'elle en avait sorti l'aînée quelques jours plus tôt. Avec ce roman fervent, Béatrice Wilmos nous fait traverser deux années d'une vie percutée par la Révolution. Dans un dénuement extrême, Marina Tsvetaeva vole de l'encre pour écrire des poèmes, raconte dans ses carnets la douleur comme les joies dérobées aux désastres du temps, se retient de s'effondrer lorsque la tragédie la frappe. Poétesse, mère, femme amoureuse, Marina Tsvetaeva nous bouleverse.

01/2024

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Littérature française

Manifeste incertain Volume 7 : Emily Dickinson, Marina Tsvetaieva. L'immense poésie

Nous partons virtuellement pour le Massachusetts et voyageons en Russie — Saint-Pétersbourg, Moscou, Kazan, Samara, Taroussa, Ielabouga. Ce septième volume du Manifeste incertain est consacré à deux poètes majeurs : une Américaine du XIXe siècle et une Russe du XXe siècle. Tandis qu'Emily Dickinson reste toute sa vie recluse chez elle, Marina Tsvetaieva, contemporaine de la révolution d'Octobre, s'exile en 1922 à Berlin, puis en Tchécoslovaquie et en banlieue parisienne, avant de retourner en 1939 en Russie, où elle se suicide deux ans plus tard. Deux destins littéraires qui ont survécu à l'indifférence, à l'hostilité, voire à la censure. L'occasion ici d'évoquer la vérité profonde du langage poétique, et son goût d'éternité.

10/2018

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Poésie

Poèmes de Russie II (1912-1920) - Poésie lyrique

Ce deuxième volume bilingue couvre la poésie lyrique complète de Marina Tsvetaeva de la fin de sa vie moscovite, avant qu'elle quitte la Russie. L'amour y est un thème récurrent et elle en décrit toutes les facettes avec une aisance déconcertante. La tragique épopée de l'Armée blanche ou le quotidien devenu de plus en plus difficile complètent une sorte de journal intime de son âme. L'intégralité de la poésie lyrique de Marina Tsvetaeva a été traduite par Véronique Lossky (1931-2018), qui a consacré sa vie à l'oeuvre de la grande poétesse russe.

08/2023

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Littérature russe

Neuf lettres avec une dixième retenue et une onzième reçue

Comme la grande histoire de la Russie où elle voit le jour en 1892, l'histoire de la vie de Marina Tsvetaeva est en son fond terriblement tragique ; une vie d'exil à travers l'Europe, Berlin, Prague et Paris, avant de retrouver la Russie, ou plutôt l'URSS, en 1939, et de s'y donner la mort, en se pendant, deux ans plus tard. Une vie faite de privations, de pauvreté et d'isolements, mais celle aussi d'une oeuvre écrite hors du commun, qui se compose de cycles poétiques, de récits et d'essais et d'une correspondance avec des écrivains de premier plan, comme Boris Pasternak ou Rainer Maria Rilke. Une oeuvre où se trouve aussi ce bien étrange récit épistolaire, rédigé en 1933, en français, à partir d'une matière première dans laquelle elle puise : neuf lettres réellement adressées à l'éditeur Abraham Vichniak dix années auparavant, auxquelles est ajoutée une lettre de ce dernier. Une matière première qu'elle réécrit, transpose, et à laquelle elle ajoute une postface ainsi que le récit d'une dernière rencontre avec Vichniak au cours d'un réveillon quelques années plus tard. Un récit singulier qui se fait au moins le témoin des passions amoureuses qui ont bouleversé l'existence de Marina Tsvetaeva. Ce récit, au cours des années parisiennes, ne trouvera pas alors preneur auprès de l'édition française. Il ne paraîtra pour la première fois qu'en 1983, en Italie, sous le titre Le Notti fiorentine. Puis il faudra attendre le remarquable travail des éditions Clémence Hiver pour le voir paraître, enfin, en France, en 1985, sous ce titre : Neuf lettres avec une dixième retenue et une onzième reçue.

10/2021

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Poésie

Les grands poèmes. Edition bilingue français-russe

Après les poésies lyriques parues en 2015, voici enfin réunis en un seul volume les grands poèmes de Marina Tsvetaeva. Inédits en français pour la plupart, ils sont désormais accessibles dans leur intégralité grâce aux traductions de Véronique Lossky. Grande spécialiste des lettres russes, elle a dédié sa vie à Tsvetaeva. Les grands poèmes sont la pièce maîtresse de l'oeuvre de la poétesse. Plus complexes et plus abstraits, ils nous invitent à faire une expérience plus profonde : découvrir une autre Tsvetaeva, au-delà d'elle-même, car c'est bien sa voix qui résonne à nouveau comme venue d'un autre temps et d'un autre espace. Les poèmes-contes nous emportent dans l'imaginaire endiablé de la poétesse qui puise à la source du folklore pour réinventer des histoires merveilleuses, peuplées de personnages extravagants. Certains poèmes dédiés à Boris Pasternak et Rainer Maria Rilke, se lisent en écho à la correspondance à trois de l'été 1926. Le chant amoureux s'y déploie avec une intensité et une ampleur sans égal. D'autres, qui ont pour trame de fond la révolution d'Octobre et la guerre civile, sont le lieu d'une confrontation tragique entre le poète lyrique et l'histoire collective. Ils recèlent un mystère non résolu : celui d'un manuscrit disparu, peut-être détruit ou perdu à jamais, nul ne le sait à ce jour. La poétesse nous lance un défi : il ne s'agit plus seulement d'éprouver et de s'enflammer mais de prendre de la hauteur et de se distancier. Et c'est par le véhicule du grand poème, cette colonne de mots en incandescence, le corps même de la poésie, que nous sommes transportés toujours plus loin vers les contrées inexplorées de la vie et de l'amour.

09/2018

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Poches Littérature internation

Mon frère feminin. Lettre à l'Amazone

"J'ai lu Votre livre. Vous m'êtes proche comme toutes les femmes qui écrivent. Ne Vous offusquez pas de ce "toutes" - toutes n'écrivent pas : écrivent celles entre toutes. Donc, Vous m'êtes proche comme tout être unique et, surtout, comme tout être unique féminin." En réponse aux Pensées d'une amazone (1920) de Natalie Clifford Barney (1876-1972), Marina Tsvetaeva écrit en 1932 une longue lettre où elle s'attache, en particulier, à définir les inquiétudes de deux femmes qui s'aiment et sont privées de la possibilité d'avoir un enfant. Dans une langue éblouissante, l'auteure livre dans ces pages une réflexion profonde et poétique sur la femme, l'homme, l'amour et la vie.

05/2018

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Poésie

Poésie lyrique (1912-1941). Tome 2, Poèmes de maturité, Edition bilingue français-russe

Marina Tsvetaeva, grand poète russe du XXe siècle (1892-1941), a vécu une enfance heureuse dans un milieu intellectuel moscovite. Mais la révolution russe de 1917, les privations et les angoisses de la guerre civile, la mort de sa fille cadette, la déroute de l'Armée blanche l'ont contrainte à faire ses adieux à son pays natal. Elle quitte Moscou pour rejoindre son mari, réfugié à Berlin et va vivre un exil de dix-sept ans en Occident. La vie quotidienne se révèle alors difficile, la solitude plus intense et les thèmes poétiques vont s'approfondir. Une réflexion philosophique enrichit les rythmes, des questions métaphysiques se posent auxquelles il est inhabituel d'apporter une réponse poétique. Mais Tsvetaeva emprunte justement cette voie, car selon ses propres paroles, elle ne sait faire rien d'autre qu'écrire. Elle va continuer à composer des poèmes, fidèle à son devoir de création, jusqu'aux derniers retranchements en URSS où son destin tragique la rattrape. Sa profonde vision humaniste, revêtue de rythmes toujours riches et sonores, exprimée dans les poèmes de 1921 à 1941, est offerte à présent au public dans son intégralité en langue française.

10/2015

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BD jeunesse divers

Estelle Pirouette

Estelle est vraiment nulle en sport ! Dommage que sa mère insiste pour tous les lui faire essayer : volley, tennis, tir à l'arc... Estelle se ridiculise dans tous les domaines. Jusqu'au jour où elle assiste à un ballet de danse classique. Alors, tout change. Parce qu'au fond, Estelle sait déjà ce qu'elle veut faire. Elle doit seulement trouver le courage de suivre ses rêves.

02/2024

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BD tout public

Irmina

Jeune femme ambitieuse, Irmina quitte l'Allemagne pour Londres au milieu des années trente, pour suivre une formation de secrétaire bilingue. Elle y fait la connaissance d'un noir, Howard, et sympathise avec ses aspirations à une vie indépendante. Sa liaison avec lui connaît une fin précipitée, quand la situation politique l'oblige à rentrer à Berlin. Dans l'Allemagne national-socialiste, il est vite évident qu'elle ne pourra faire son chemin dans la société qu'en fermant les eux sur les crimes du régime. Mais les événements politiques ressemblent à une escalade sans fin...

11/2014

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Gautier Languereau

Irina la toute petite

Mamouchka-la-très-forte et Papouchka-le-nuageux ont 7 filles : Irina-la-toute-grande, Irina-la-grande, Irina-la-moyenne-grande, Irina-la-moyenne, Irina-la-moyenne-petite, Irina-la-petite et Irina-la-toute-petite. Personne ne fait attention à la dernière Irina, aussi grande qu'un dé à coudre. Jusqu'au jour où Mamouchka et Papouchka abandonnent leurs 7 filles en forêt. Pour échapper à la terrible Baba-Yaga-la-Gaga, Irina-la-toute-petite sera la plus maline. Le conte de Baba-Yaga réinventé tout en poésie, en couleurs et en humour.

10/2023

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Policiers

La transparence selon Irina

En 2058, Internet tel que nous le connaissons n'existe plus, remplacé par le"Réseau" qui a inauguré l'ère de la transparence. Toutes les données de chacun sont désormais accessibles publiquement. Pour préserver une forme d'intimité, un certain nombre de gens choisissent d'évoluer sous pseudo dans la "vie réelle". C'est le cas de Camille Lavigne, qui se fait appeler Dyna Rogne dans la réalité. Sur le Réseau, Camille vit sous l'emprise d'une brillante intellectuelle nommée Irina Loubovsky. Mais plus Camille cherche à cerner Irina, plus l'objet de sa fascination semble se dérober. Hors du Réseau, Camille entretient des liens d'amitié avec Chris Karmer, un policier chargé de traquer les "Obscuranets", insaisissable groupe terroriste qui veut mettre à bas le système. Mais Karmer trouve la mort dans des circonstances mystérieuses...

03/2019

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Littérature française

Que cherches-tu Irina ?

Irina ! En voilà une peste ! Autoritaire, arrogante, ambitieuse, furieuse d'être si pauvre ! Appelez-la Nina, c'est réservé aux intimes. Je vous avoue que cette petite effrontée est réellement agaçante. Figurez-vous qu'elle se prend pour un génie ! Quand elle sera grande, le monde lui appartiendra. Quelle drôle d'idée ! Plus tard, elle se lance tête baissée dans une quête effrénée de réussite, sacrifiant au passage ses rêves d'enfance, jusqu'à se perdre dans une course irraisonnée au bonheur. Elle qui se prenait pour un petit prodige a bien du mal à garder son cap ! Mais sur sa route, qui seront ses alliés, ses ennemis, qui va la trahir et faire voler en éclats ses belles certitudes ? La fidèle Rose ? Son boss ? La pétillante Bérénice ? Hoda l'Egyptienne ? Et que signifient ces sept hiéroglyphes gravés sur un cartouche en or... clin d'oeil du destin ou fausse piste ?... A elle de le trouver. Un roman des temps modernes sur fond de tempête de neige et de crise grecque.

07/2015

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Erotique

Les conquérantes. Adelin & Irina

"La nudité frontale est malheureusement encore tabou dans nos sociétés arriérées. ". . Nico, mai 2022 Complément indispensable aux aventures d'Adelin & Irina, Les conquérantes, donne libre cours au crayon virtuose de Nico, nous laissant admirer les courbes de ses cruelles et envoûtantes Amazones !

10/2022

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Littérature française

Estelle, roman pastoral

Estelle habitoit à Marsanne. Némorin, berger du même village, l'avoit aimée dès l'enfance. De même âge tous deux, également beaux tous deux, dès leurs plus tendres années ils alloient ensemble à la prairie. Némorin portoit toujours la panetière ou la houlete d'Estelle ; Némorin, à chaque aurore, alloit cueillir les bluets qu'Estelle aimoit à mêmer dans les longues tresses de ses cheveux noirs. Jamais ces beaux enfants n'étoient l'un sans l'autre. Tantôt ils réunissoient leurs troupeaux, alloient s'asseoir sur le même gazon, et dans les douceurs de leur entretien, chacun n'étoit attentif qu'aux brebis qui ne lui appartenoient pas

12/1999

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témoignages personnels

Retrouver Estelle Moufflarge

Le 28 octobre 1943, Estelle Moufflarge est déportée vers le camp d'Auschwitz-Birkenau. Elle n'en reviendra pas. Des décennies plus tard, Bastien François découvre que cette adolescente habitait à quelques immeubles de chez lui, dans le 18 ? arrondissement de Paris. C'est le point de départ d'une minutieuse et passionnante enquête qui reconstitue la trajectoire d'une jeune orpheline, fille d'immigrés pauvres, prise dans le tourbillon de l'Histoire. Au long d'un périple qui nous mène du très populaire quartier Cayenne à Saint-Ouen jusqu'aux paysages de la vallée de la Maurienne, des archives du lycée Jules-Ferry à celles des boucheries aryanisées durant l'Occupation, en passant par les tristement célèbres "fichiers juifs" de la police de Vichy, Estelle apparaît, fugace et vivante. Raconter la vie d'Estelle sans la réduire injustement à sa mort, avec les outils des sciences sociales et une empathie maîtrisée pour l'objet de sa recherche, tel est le défi relevé par l'auteur.

01/2024

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Poésie

Après la Russie

La voix de Tsvétaïéva résonnait de quelque chose d'inconnu et d'effrayant pour l'oreille russe : l'inadmissibilité du monde. Ce n'était pas une réaction de révolutionnaire ou de progressiste revendiquant des améliorations, pas plus qu'un conservatisme ou un snobisme d'aristocrate qui se souvient des jours meilleurs. Sur le plan du contenu, il s'agissait de la tragédie de l'existence en général, indépendamment de son contexte temporel. Sur le plan du son, il s'agissait d'une aspiration de la voix à la seule direction qui lui était possible : vers le haut. De la même façon que l'âme aspire à sa source. (Joseph Brodsky)

04/2023

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Critique littéraire

La parole impossible. Regards croisés autour de la traduction de César Vallejo, Marina Tsvetaeva et Paul Celan

Il y a des poètes qui marquent la tradition poétique par la radicalité avec laquelle ils travaillent la langue, des poètes qui écrivent précisément depuis la conviction que la parole véritable, pleine, est impossible. Ce qui anime cette parole n'est pas un idéal, ni un absolu littéraire, mais l'ardent désir de trouver les mots de l'humain. C'est à chaque fois une foncière mise en question de l'art et de la poésie, mais aussi une mise en péril de notre humanité au sein du langage, un langage poussé vers ses limites, dans l'occupation inouïe de toutes ses strates. Comment traduire cette poésie ? Cette poésie, qui nécessairement met à l'épreuve la traduction, est-elle une parole qui fait apparaître, plus qu'une autre, la traduction comme expérience ?

08/2019

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Littérature anglo-saxonne

La double vie d'Irina

Le jour où Irina accepte de dîner seule avec Ramsey Acton, célèbre joueur de snooker, elle ne se doute pas que sa vie va basculer. Qu'un instant d'hésitation va remettre son couple en question. Et que la routine de sa confortable existence londonienne va voler en éclats. Car, contre toute attente, ce dîner se révèle très agréable. A tel point qu'Irina se trouve prise d'une folle envie d'aller plus loin... Elle se trouve alors devant un choix cornélien. Mais l'amour est toujours une question de compromis, et chaque histoire d'amour est imparfaite...

08/2021

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Sculpture

Maria Papa Rostkowska et ses affinités artistiques. Jean Arp, Emile Gilioli, Marino Marini, Edition bilingue français-anglais

Maria Papa Rostkowska (1923-2008) est une figure majeure de la Nouvelle Ecole de Paris. Le travail de cette artiste d'origine polonaise, de nationalité italienne mais résolument française de coeur se situe à mi-chemin entre l'abstraction et la figuration. Son langage plastique est une ode à la nature ; puisant dans les formes végétales, minérales et hybrides, ses sculptures sont une invitation à la contemplation et à une certaine quête de bonheur. Elle développe des thèmes qui lui sont chers : figure féminine, couple, famille, métamorphose, harmonie mais aussi guerre et luttes traversent son art. Travaillant principalement le marbre en taille directe, Maria Papa Rostkowska a fait de sa vie un manifeste pour l'art. Le catalogue met également en avant les correspondances plastiques entre ses sculptures et les dessins, collages et lithographies de Jean Arp (1886-1966), Emile Gilioli (1911-1977) et Marino Marini (1901-1980). Affinités, amitiés, voire " mariages artistiques ", chaque lien qui unit Maria Papa Rostkowska à ces artistes est unique.

04/2022

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Littérature française

Le fil d'Estelle

" La vie est l'art de dessiner sans gomme. " Je m'appelle Estelle et telle est ma devise. Je suis née à nouveau le jour où j'ai donné la vie. J'ai fait de nombreux voyages à la découverte d'autres manières de vivre, d'autres regards. J'ai expérimenté le chaos, la liberté et les excès. J'ai exploré le monde de l'entreprise et y ai collaboré de façons différentes. J'ai traversé la tristesse, la peur et la maladie ; j'ai été accompagnée, puis j'ai accompagné. Au fil des événements de la vie, j'ai continué le dessin avec une autre énergie. J'ai pris conscience, me suis ouverte aux possibles, à la créativité pour découvrir ensuite la puissance créatrice que nous sommes. Aujourd'hui, je raconte ce chemin, ces apprentissages. Puisse ce récit révéler cette puissance créatrice à d'autres ... ... A vous, peut-être ?

02/2023

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Policiers historiques

Estelle Précieuse pas ridicule

Prendre la plume (dans la main la plume ! ) expose au risque d'être montrée du doigt ! Estelle a extrait une clarté des nuits sombres ! Intrigues, liaisons mais pas que ! Elle s'immisce dans les domaines du social et du politique ! Si ! Réflexions et actions sont au rendez-vous ! Folie ? Mais peut-être que seul le fou n'est pas dupe ! Pas de grossièretés dans ce livre ! Sensibilité et libération sont liées à une philosophie de l'auteur ! Fou il est ? Possiblement pas le plus bouffon ! Il n'hésite pas entre stoïcisme coutumier et jacquerie héroïque ! Expériences de la vie et altruisme pour réussir à être humain et un peu sage ! Pour l'honneur de ses Copines, dont une trépassée trop tôt, et de ses Potes, il témoigne avec raison et pudeur ! Accord majeur entre des êtres aux vies ordonnées et d'autres aux existences bizarres (Jai dit bizarres ? ) En quête de paix ! Qui quête aussi ?

12/2021

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Littérature Espagnole

Marina

Barcelone, 1980. Le jeune Óscar a l'habitude de s'échapper du collège où il est pensionnaire lorsqu'un jour, il rencontre Marina, une jeune fille qui va briser la solitude de ses escapades quotidiennes. Intrigués par une femme se recueillant régulièrement devant une tombe anonyme flanquée d'un papillon noir d'un cimetière oublié, les deux amis décident de la suivre et de mener l'enquête. D'un effrayant théâtre abandonné aux vestiges de la cité souterraine de Barcelone, Óscar et Marina vont faire ressurgir une vieille tragédie et réveiller les fantômes du passé.

11/2021