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Appelé en Algérie

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Littérature française

Appelé en Algérie

Les quelques pages qui vont suivre retracent l'histoire de mes 27 mois de service militaire obligatoire passés en Algérie du 07 juillet 1957 au 07 novembre 1959. Histoire condensée de 1102 pages de lettres envoyées à mes parents et écrites en allemand s'il vous plait, pour la simple et bonne raison que mes grands-parents les lisaient également. Les pauvres ne connaissaient pas un seul mot de français, puisque nés respectivement en 1882 et 1885. Ils ont grandi pendant l'annexion de l'Alsace à l'Allemagne de 1871 à 1914. Pour mettre cette histoire au propre, j'ai mis 45 années, puisque nous écrivons aujourd'hui 2002.

12/2020

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Historique

Appelés d'Algérie

Jérôme, lycéen comme tant d'autres, découvre que son grand-père a fait la guerre d'Algérie... Mais ce dernier est victime d'un AVC et sa mémoire lui fait défaut. Le jeune homme réalise alors l'urgence de recueillir la parole des anciens combattants. Le grand-père et le petit-fils vont enquêter, ensemble, pour recoller les morceaux et réunir les souvenirs des hommes que le vétéran a croisée en Algérie... Par les auteurs d'Algériennes 1954-1962 (Marabout 2018). Ce deuxième volet retrace le parcours d'hommes pendant la guerre d'Algérie, soldats et citoyens, français et algériens en miroir au premier volet qui retraçait le destin des femmes : les personnages sont fictifs mais toujours inspirés de faits réels.

03/2022

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Romans historiques

Tlemcen. Journal d'un appelé en Algérie

Au coeur d'un coup d'état... TLEMCEN  est un récit où s’entremêlent faits vécus et événements fictionnels. C’est à la fois une œuvre qui porte témoignage de ma vie d’appelé, durant la guerre d’Algérie, et un récit où les péripéties ajoutées enrichissent un quotidien souvent peu romanesque. L’auteur est donc un des acteurs de cette fiction. Le pari étant que le lecteur, saura démêler sa propre voix, de celle des autres personnages. L’intrigue essaie d’introduire une tension dramatique s’intégrant à celle propre au déroulé des événements historiques. On s’achemine vers les accords d’Evian, les français ont voté « oui » au référendum d’autodétermination. Les Pieds-noirs ne se font guère d’illusions, ils soutiennent l’OAS qui se bat pour une Algérie Française. Putsch des généraux, affaire de Bizerte, attentats OAS, FLN, actions des Barbouzes, les Appelés subissent et réagissent à tous ces événements, auxquels ils participent ou suivent sur leurs Transistors. Histoire vécue, histoire fictionnelle, histoire officielle et collective, s’entrecroisent dans cette autofiction. Tlemcen est le tableau, vu à travers le filtre d’un jeune français, arraché à son milieu familial, d’une période trouble et agitée de l’Histoire de France. Il relate une étape de la vie de l’auteur et la fin de vie de l’Algérie Française !

10/2018

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Littérature française

Appele dalgerie 1954-1964

L'Appelé, soldat du contingent des années 1960 retrace les événements de ceux que cette guerre a fait d'eux. Des récits des compte rendus, sans tabou, font découvrir cette guerre méconnue des Français que ces Appelés de 20 ans ont été obligés d'accomplir loin de chez eux... Cette extraordinaire aventure a laissé des marques, des souvenirs pour beaucoup d'entre eux durant toute leur vie.

12/2021

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Guerre d'Algérie

Mon père, appelé en Algérie. Un boîtier mélancolique

Bertrand Tillier propose une approche à la fois intime et réflexive de la guerre d'Algérie. Il se fonde sur les photos prises par son père, appelé du contingent en Algérie en 1962 et le récit familial. L'historien met en tension la mémoire individuelle et collective - refoulée - de l'expérience de guerre, exprimée ou tue dans la sphère intime. . L'auteur du texte de ce livre est le fils de l'auteur des photographies. Historien des images, Bertrand Tillier propose pour ce nouvel opus de la collection Format passeport une approche à la fois intime (ce sont ses propres archives) et plus réflexive et générale sur la guerre d'Algérie. Il se fonde sur les photographies prises par son père, appelé du contingent en Algérie en 1962 et le récit familial. L'historien met en tension la mémoire individuelle exprimée ou tue dans la sphère intime et la mémoire refoulée de l'expérience de guerre. Les photos envoyées à leurs proches par les jeunes appelés, photographes amateurs pour beaucoup d'entre eux, se conforment à une certaine mise en scène, puisque prises au piège d'un discours précis, national, officiel et médiatique. Elles donnent à voir une réalité choisie, ciblée, lisse, écran à la guerre. Néanmoins, ces photographies, produites dans un contexte de guerre deviennent en quelque sorte témoignage de l'indicible car vecteurs de " moments de glissement et de débordement où les sentiments, les objets, les expressions du visage échappent d'emblée à toute normalisation ". Remplaçant les mots non dits, elles permettent une transmission d'un passé aux générations suivantes : " Chaque groupe porteur d'une mémoire se dirige vers le miroir qui racontera son histoire " (Benjamin Stora). La valeur des photos des appelés du contingent réside dans ce pouvoir de transmission ; elles constituent un support pour un travail de mémoire et de reconstitution, aussi partiel soit-il, tentant de rompre le silence ; regarder ces photos est une " modalité de communication dans les familles " (Raphaëlle Branche). Retrouvant les photos de son père dans une pochette, Bertrand Tillier, historien des images, met ainsi en lumière le rôle des générations postérieures dans la construction de la mémoire familiale. Grâce à la curiosité d'un fils historien pour les photographies de son père, ce texte dévoile comment, derrière l'objet photographique témoin d'une histoire dans l'Histoire, se lisent des souvenirs, un passé, une mémoire personnelle, familiale mais aussi commune et collective.

03/2023

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Histoire internationale

Algérie mon amour. Journal épistolaire d'un appelé en Algérie (1960-1962)

1960-1962 : 2 ans, 24 mois, 730 jours. 730 lettres écrites avec une régularité de métronome, non par défi ou serment, mais par besoin et nécessité. Besoin de tout dire d'événements qui appartiendraient un jour à l'histoire, de ne rien cacher, même si l'inquiétude de la destinataire est à la clef. Journal épistolaire que cette chronique au jour le jour de la vie d'un appelé, comme les 1 400 000 jeunes Français du contingent qui firent leur service militaire en Algérie de 1954 à 1962, mais qui ne connurent pas tous la même expérience de ce "maintien de l'ordre" : la guerre n'exista que longtemps après sa fin. Le destin militaire plaça l'auteur dans un secteur dangereux, celui de la frontière tunisienne, mais à un poste qui l'était moins, celui de responsable chiffre du bataillon, au coeur des informations les plus secrètes, dans une unité en charge du poste de Sakiet sur la frontière même. Là il fit la découverte de la guerre, telle qu'il ne pouvait l'imaginer : quadrillage, ratissage et accrochages, mais aussi intervention de l'aviation, de l'artillerie, des blindés, déplacement des populations, ramassage des suspects et leur fouille, torture suivie de la "corvée de bois", embuscades qui tuent les copains, garde nocturne avec la peur au ventre, mesquinerie de la vie militaire, chaleur et manque d'eau mais aussi froid et boue. Par-dessus tout, ce fut la découverte d'un pays magnifique et d'une misère insondable, d'un peuple déchiré et accueillant, avec toute la révolte et l'indignation d'un jeune homme plein de l'idéal humaniste, mais stoppé dans son élan et ses projets d'avenir.

03/2012

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BD tout public

Soleil brûlant en Algérie. Un appelé dans la guerre

De Cherchell, sur la côte ouest algérienne, à Paris en passant par Alger, Gaétan Nocq raconte l'histoire du soldat Alexandre Tikhomiroff dit Tiko ou Alex, mobilisé en 1956 pour la guerre d'Algérie. C'est une guerre racontée à travers le prisme de la petite histoire, celle d'un appelé. Il interroge les doutes et la sensibilité du simple soldat Tiko pris dans le mouvement d'une guerre qui ne veut pas dire son nom. Le lecteur est transporté dans une dramatique épopée, rythmée par des événements qui nous plongent dans les montagnes d'Algérie puis au coeur de Paris. Il raconte aussi le retour à la vie civile et l'engagement d'Alex dans un Paris déchiré et menacé par les attentats de l'OAS.

05/2019

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Histoire de France

Appelé en Algérie. 50 ans pour défaire mon paquetage

Depuis Napoléon III, la France s'écrit un " roman " avec l'Histoire : censure, oubli, déformation, lois et décrets... Et la période 1954-1963 est certainement celle qui cristallise tous les défauts. Ce que l'on a nommé jusqu'en 1974 " les événements d'Algérie " est une période de notre Histoire que l'on a cherché à enfouir, d'autant plus que, dès 1954, la Métropole avait tourné la page. Indochine, Maroc, Tunisie, Algérie, Madagascar, ... que d'obstacles à abattre pour que démarre les trente glorieuses. Les " engagés ", qui ont enchaîné 39-45, l'Indochine et l'Algérie, ont apporté leurs témoignages, leurs révoltes. Quant aux appelés du contingent, la " Nation en armes ", cela a été la chape de plomb dès leur retour. La Nation, à ce moment-là, préférait déambuler sur les Champs Elysées ou découvrir Saint Tropez plutôt que de porter les armes. Interdit de se souvenir ! De commémorer ! Un petit noyau d'appelés ont commencé à bouger. Les événements d'Algérie sont devenus Guerre d'Algérie, des monuments aux morts ont été érigés. Ce que l'on appelle aujourd'hui travail de mémoire se met en route, avant qu'il ne soit trop tard, que cette génération ne disparaisse. En 2004, Jacques Lollioz, alors maire de Magny-les-Hameaux, et Gaëtan Pellan, Responsable des affaires culturelles, à cette époque, ont souhaité créer un monument aux morts qui permettrait de travailler, avec les enfants de la Ville, sur les notions de guerre, de paix et plus largement sur le devoir de mémoire. Cela a été le point de départ d'un travail de mémoire sur la Guerre d'Algérie. Dans ce mouvement, ce livre permet de faire resurgir des mémoires la nostalgie et l'histoire d'une jeunesse. Une jeunesse volée à la vie de 21 Magnycois qui se souviennent... La mémoire nécessite un travail en profondeur, en particulier avec les enfants. Ce livre, comme le lieu de mémoire de Magny-les-Hameaux, en sont des traces concrètes. Le devoir, ou "plaisir" de mémoire que nous agitons tous les ans avec les enfants des écoles de la ville de Magny-les-Hameaux, en créant un livre infini au fil des ans, inscrit cette trace dans la lumière. Cet ouvrage constitue une étape importante dans ce travail de mémoire. D'un abord facile, il permet à chacun des 21 anciens que la journaliste Anne-Sophie Chilard a interrogé de témoigner de cette période sombre de leur vie, de dire leur ressenti. Il vous sensibilisera aux conséquences d'une guerre si mal fichue.

09/2014

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Histoire de France

Un appelé dans la guerre d'Algérie

Ce livre donne la parole à mon père, Marchel Bacholle, simple troufion sans diplôme qui n'était jamais sorti de sa Normandie natale jusqu'à ce que les événements l'amènent à faire son service militaire en Algérie, sur la ligne Morice, en 1959-1961. Ce témoignage se démarque de ceux (rares) déjà publiés dans la mesure où il porte sur le quotidien des appelés. Il constitue d'autre part, le premier dialogue intergénérationnel publié sur la guerre, car, comme nos pères avant nous, ma génération s'est pliée au silence institutionnalisé. Ce témoignage présente d'autre part la singularité de reposer sur des photos, prises là-bas, qui ont catalysé la mémoire.

06/2016

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Histoire de France

La guerre des appelés en Algérie. 1956-1962

Février 1956 : dans le cadre des renforts promis par Guy Mollet à l'Algérie, les premiers "Disponibles" quittent Marseille pour Alger. A leur suite, l'auteur nous entraîne à Oran, à Bône, en Kabylie, dans des fermes qu'il faut aménager, des postes qu'il faut construire, en bordure des forêts, des montagnes où, insaisissable, rôde le Rebelle. Peu à peu pourtant, les "Appelés" apprennent à dominer leur peur, à "crapahuter" comme leur adversaire, à nouer contact avec la population. Et ils se prennent d'amour pour ce pays rude, sauvage, difficile. Voici la "Bataille d'Alger". Vue du bled, elle prend une autre dimension : sur place, avec leurs pauvres moyens, les "naufragés du Quadrillage" font face à la grève, à l'insurrection. Voici le 13 mai, vécu de loin, à travers les transistors, depuis le bled, en Oranie ou en Kabylie ; vécu de près, en contact étroit avec les habitants des mechtas, des douars, des villages. Si les "Barricades" de 1960, le "Putsch" de 1961 ne les atteignent qu'étouffés par la distance, ils leur montrent que la fin de l'Algérie française est proche. Après avoir cru à la victoire en participant aux grandes opérations "Challe", ils se résignent au départ. L'auteur, qui les a vus vivre, souffrir, être tristes ou gais, a voulu rendre hommage à tous ces Appelés qui avaient vingt ans, et qui étaient fiers.

09/1999

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Histoire de France

Algérie 1956. Chroniques d'un rappelé

Le rappel sous les drapeaux, au printemps 1956, des hommes des classes 1952 et 1953, en vertu de l'application de la loi du 31 mars 1920 et en exécution du décret du 12 avril 1954, a mis en effervescence, et durant plusieurs mois, la France métropolitaine. On pouvait constater de nombreuses manifestations dans les grandes villes. Cette agitation fut renforcée par l'action des opposants à cette ultime guerre coloniale qui organisèrent durant de longs mois une énorme pagaille notamment sur le réseau SNCF. De plus, le milieu pacifiste de notre pays, qui réunissait un grand nombre d'intellectuels et d'artistes, comme Jean-Paul Sartre, Albert Camus, Claude Roy, Jean-Jacques Servan-Schreiber, Gérard Philippe et Yves Montand montra son opposition à tous les conflits de cette époque.

10/2013

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Histoire de France

Les héritiers du silence. Enfants d'appelés en Algérie

Il y a eu plus d’un million d’appelés en Algérie, mobilisés pour ce qui, alors, n’était pas reconnu comme une guerre. Pour beaucoup d’entre eux, l’expérience marquante, voire traumatisante, de ce conflit sans nom et sans gloire est restée enfouie dans le silence. Elle n’avait pas de place dans l’histoire officielle et suscitait plus de gêne que de curiosité. Leurs proches eux-mêmes posaient peu de questions. Au fond, personne ne souhaitait vraiment entendre leur récit et ils ont préféré se taire, durablement. À la génération suivante et dans un contexte différent, alors que l’histoire et la mémoire de la guerre d’Algérie commencent à s’écrire, certains de leurs enfants se découvrent héritiers de ce silence. C’est le cas de Florence Dosse. Entre quête personnelle et enquête, elle a interviewé à la fois d’anciens appelés, les épouses de ces derniers et leurs enfants, aujourd’hui adultes, à qui rien ou presque n’a été transmis. On découvre le « vécu congelé » des premiers, raconté avec les mots du passé, le désarroi des femmes, les non-dits dans les couples et le mélange d’ignorance, d’interdit, de douleur ou de honte confusément ressenti par les enfants. L’originalité profonde de ce livre tient à la juxtaposition de ces trois paroles et à l’écoute attentive de Florence Dosse.

01/2012

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Vie chrétienne

L'étonnement d'être encore en vie. Trois ans appelé en Algérie

Ce livre a été écrit à la mémoire de mes compagnons d'armée, tués et gravement blessés lors de mon service militaire... 1960... 1961... 1962... Lors de notre première "opération" dans le Djebel en montant ELGADI, le lieutenant Henri, avant d'être tué après avec douze de mes camarades, nous avait prévenu : "Lorsque les balles sifflent aux oreilles elles sont encore loin. Lorsqu'elles claquent aux oreilles, elles passent très près" . Ils ont été pénétrés de mutilations et blessures horribles... s'y ajoutent huit hommes tués à bout portant après, à El AFFROUN. Et soi, ne s'en remettant jamais : "l'étonnement d'être encore en vie" ... pourquoi ? "L'étonnement d'être encore en vie, pour dire..." est venu soixante ans après ! Le miracle d'être encore en vie - rescapé physiquement et moralement - Cette maturité de recul fait découvrir ce langage qui fait comprendre le "tout" de la vie et de l'univers d'après-vie entremêlés... cet "après-vie" , là où sont mes vingt deux camarades tués brutalement et atrocement là-bas...

05/2021

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Guerre d'Algérie

Guerre d'Algérie. Le silence des appelés

Le mensonge d'Etat laisse de profondes traces collectives et individuelles. Aujourd'hui encore, le sujet est tabou. Les appelés se sentent isolés, privés et pour beaucoup incompris. Cet ouvrage veut participer à rompre le silence. Par des extraits des carnets rédigés par l'auteur pendant son service militaire mais aussi par les témoignages d'anciens appelés. Ecrire et témoigner pour se débarrasser de la peur et del'ambiance d'un monde de violences faite de tués, de blessés et d'exactions multiples.

03/2021

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Histoire de France

Guerre d'Algérie. Des appelés vendéens témoignent

Ils avaient vingt ans. Arrachés à leur foyer, ils découvraient l'Algérie, ses paysages sublimes et sa misère. L'horreur, surtout, d'une guerre inavouée. Autant d'appelés, autant de guerres différentes, selon l'époque, le lieu et les circonstances. Haine et amour inextricablement mêlés. Comme ce jeune para, pris d'abord dans l'engrenage des horreurs réciproques, et qui à l'hôpital vomit un pays aimé, dont les petits gars meurent solitaires en appelant leur mère. Ou cet infirmier qui sert la France et qui sauve le bébé du fellagha. Et il y a encore ici cette jeune combattante algérienne dont le carnet, récupéré par un appelé, crie sa haine du colonialisme au nom de valeurs qui sont les nôtres... En fin de compte, tous sont revenus blessés. Pour les copains morts. Pour le peuple algérien qu'ils auraient voulu continuer d'alphabétiser et de soigner. Pour les harkis ignominieusement lâchés et massacrés. Et maintenant d'être devenus les boucs émissaires de ceux qui se font une bonne conscience en les présentant comme un ramassis de tortionnaires. Roger Albert est l'un des leurs, et c'est pour cela sans doute qu'il a pu recueillir leurs confidences et leurs souffrances, livrées ici dans toute leur crudité. Pour que chacun comprenne. Et juge, s'il peut.

04/2006

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Histoire de France

L'empreinte de la guerre. Paroles d'appelés en Algérie

Entre 1954 et 1962, un million et demi de jeunes Français ont été appelés en Algérie pour aller faire ce qu'on appelait à l'époque de la " pacification". Quand ils sont rentrés, la plupart se sont tus, la société, elle-même, est restée muette sur le retour de ses garçons. Les cinq hommes qui ont accepté de témoigner dans ce livre viennent d'horizons très différents : François, postier installé dans un petit village breton ; Alain, parisien reconverti en apiculteur dans un coin du Vaucluse qui lui rappelle chaque jour les contreforts du Djurdjura en Kabylie ; Victor, périgourdin attaché à sa terre mais qui, inlassable marcheur, parcourt le monde, en quête de sens depuis la fracture algérienne ; Pierre Joxe, dont les engagements politiques trouvent souvent un écho dans son expérience de jeune officier et enfin Alexandre, installé dans le Narbonnais avec sa femme Marianne qui fut le fil le reliant à la vie pendant la guerre. Quelles conséquences ont eu ces mois passés en Algérie pour ceux qui découvrirent là-bas qu'il s'agissait bien d'une guerre ? Quelle a été leur expérience singulière et dans quel état d'esprit sont-ils rentrés ? Quelle a été leur vie d'après ?

05/2012

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Histoire internationale

Souvenirs d'Algérie 1840-1842 : Erinnerungen aus Algerien

" Sincèrement, parfois, j'en viens à croire que cette guerre est une guerre d'extermination ", tel est le jugement que porte Clemens Lamping sur la colonisation de l'Algérie, et ceci en 1841. Originaire de l'Allemagne du Nord, engagé dans la Légion étrangère à 28 ans, Lamping participe, de 1840 à 1842, à différentes expéditions dans l'Algérois et dans l'Oranais. Ses Souvenirs peuvent se lire comme une chronique minutieuse, presque objective, de la conquête de l'Algérie. Lamping se pose plus en observateur qu'en soldat. Curieux de tout, il s'intéresse non seulement à la vie et à l'organisation militaires au sein de la Légion étrangère, mais encore aux populations citadines et rurales qu'il rencontre. Ne prenant aucun parti dans le conflit colonial, Lamping présente des faits bruts et des réalités brutales, corroborés par d'autres témoignages que son récit complète. Certaines événements, certaines anecdotes, ne sont cependant connus que par ces Souvenirs. Le texte allemand de Lamping, édité en 1844-1846 et tombé dans l'oubli depuis, paraît ici pour la première fois en traduction française. Il mérite d'être lu et étudié dans le contexte historique de la colonisation dont il reflète les engagements et dénonce impitoyablement les excès.

01/2000

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Histoire de France

L'Algérie en couleurs. 1954-1962, Photographies d'appelés pendant la guerre

L'Algérie comme vous ne l'avez jamais vue. 1 400 000 appelés du contingent se sont succédé en Algérie entre 1954 et 1962. La plupart avait juste vingt ans, n'avait jamais quitté la France et parfois même leur village. Munis de petits appareils kodachrome, ils ont photographié ce pays qu'ils découvraient : la vie des populations, les femmes et les enfants, la beauté des paysages exceptionnels. Mais aussi leur quotidien de soldat, les marches sans fin à travers la montagne kabyle, les opérations militaires, le contrôle exercé sur les populations civiles... Des milliers de photographies ont ainsi été prises. Les voilà pour la première fois. Elles ne racontent pas la guerre. Elles donnent à voir une autre Algérie, loin des images réalisées par les services photographiques des armées ou les reporters des journaux en quête de scoops ou d'images choc. Ce livre est le fruit d'une récolte unique réalisée auprès des anciens appelés. Plus de 2000 photos ont été envoyées, par des centaines d'anonymes, sollicités par les auteurs et France Info.

10/2011

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Histoire de France

Paroles d'appelés. Leur version de la guerre d'algérie

L'Etat français nous a obligés à faire la guerre en Algérie lorsque nous avions 20 ans, dans le cadre du service militaire obligatoire. Etrangement, nous n'en avons jamais parlé publiquement, ou presque pas. Certains d'entre nous n'osent toujours pas témoigner, par pudeur, par ignorance de l'intérêt que cela peut avoir, ou encore par peur de se remémorer des épreuves douloureuses et traumatisantes. Officiellement, on ne partait pas faire la guerre mais on allait participer " aux opérations de maintien de l'ordre " concernant les " événements d'Algérie ". Il n'était pas question de parler de guerre d'indépendance, et encore moins de guerre coloniale. Les informations étaient minimisées, voire occultées, la censure systématique pour certains sujets, les cercueils rapatriés en silence. Dans ces conditions, comment oser témoigner publiquement ? Ces témoignages d'aujourd'hui, après 50 ans de recul, sont sincères, apaisés, pudiques. Ils relatent la diversité et la complexité des situations vécues. Ils résultent d'une initiative personnelle encouragée par la curiosité des jeunes, du besoin de transmettre la mémoire et enfin de mettre un point final à un long silence, quasi collectif. Nos enfants et petits-enfants ignorent ce que nous avons vécu. Il est temps de le leur dire. Espérons aussi que ce livre incitera à écrire d'autres témoignages pour mieux comprendre ce passé et regarder ensemble plus sereinement notre histoire en face.

04/2014

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Guerre d'Algérie

Mourir à Sakiet. Enquête sur un appelé dans la guerre d'Algérie

Cet ouvrage vient rompre le long silence tombé sur la mort de l'aspirant Bernard Goddet, l'un des quinze tués du 3/23e Régiment d'infanterie dans l'embuscade de Sakiet du 11 janvier 1958, à la frontière algéro-tunisienne. L'enquête s'est cristallisée autour du jeune homme qui a laissé des écrits et une abondante correspondance, croisés avec des sources archivistiques et des entretiens avec des appelés du 23e Régiment. Sorti d'HEC, chrétien, le jeune homme s'interroge sur différentes solutions pour mettre fin à la guerre. L'opération dans laquelle Bernard Goddet et ses camarades trouvent la mort est enfin mise au jour grâce aux archives militaires. Cette opération était-elle bien préparée ? L'événement soulève aussi la question des frontières. Ainsi, à la suite de l'embuscade, la France bombarde le village de Sakiet Sidi Youssef et déclenche ainsi une grave crise, tant internationale que nationale, qui se solde par la chute de la IVe République, avec le putsch d'Alger du 13 mai 1958.

03/2022

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BD tout public

Oualou en Algérie

Une aventure hilarante de Nadir Oualou, détective privé contraint de retourner au bled pour les besoins d'une enquête qui l'amènera à découvrir l'histoire de son pays d'origine. Nadir Oualou, détective privé en banlieue parisienne, est français, "comme Zidane" . Très France black blanc beur, il donnerait tout pour éviter de devoir retourner au bled... jusqu'à ce qu'une cliente se présente avec une demande qu'il ne peut refuser : Nicole Benamou, ex-épouse de Said Benamou, un ancien membre du Front Islamique du Salut qui sévissait lors des guerres civiles de 1990, cherche à retrouver sa fille dont on l'a séparée il y a plusieurs années. Et pour cela, elle est prête à payer cher... Mais pour ce faire, Oualou devra retourner au pays, et affronter ses peurs... et sa famille ! Commence alors une enquête en "territoire hostile" : Oualou a pour tout indice une adresse et beaucoup d'incertitudes. D'autant qu'il lui faudra reconstituer le parcours de Saïd, durant la "guerre civile" et ses excès de tout bord. Et affronter les sinistres frères Batata, version algérienne des frères Dalton. Une enquête pleine d'humour et de clins d'oeil, qui mêle avec talent stéréotypes et différences culturelles, à l'instar de L'Enquête Corse de René Pétillon.

08/2017

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12 ans et +

En Algérie lointaine

En 1830, les troupes françaises envahissent l'Algérie au prétexte d'une insulte faite à l'ambassadeur français. Quinze ans plus tard, la guerre de conquête se poursuit... Frédéric et sa famille vivent à Paris. Un certain Jean d'Hauricourt se présente à eux comme un homme d'affaires et propose à ces humbles artisans d'investir dans ce pays. Séduits, les Berthier achètent une maison à Alger. Hélas, arrivés sur place, leur rêve d'une vie meilleure se brise : la demeure qu'ils ont achetée n'existe pas et Jean d'Hauricourt se révèle un escroc. Ruinés, désespérés, les Berthier cherchent à survivre dans ce pays qui n'est pas le leur. Frédéric veut venger l'honneur de sa famille. Un jour, à la terrasse d'un café, il aperçoit Jean d'Hauricourt et décide de le traquer. Une jeune serveuse, Charlotte, lui propose de l'aider. Commence alors pour Fred un périple semé d'embûches : mêlé à des civils, il accompagne une colonne militaire qui quitte Oran et se trouve témoin de combats entre les Français et les hommes d'Abdelkader. Il se révolte devant les "pratiques" de l'armée française et fuit, tandis que Charlotte l'abandonne.

01/2012

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Guerre d'Algérie

Reporter en Algérie

Né à Paris en 1938, Jean-Baptiste Ferracci a vécu la fin de la Seconde Guerre mondiale dans la capitale, traversant dans son enfance des événements qui l'ont endurci. Fin 1957, il réussit à entrer dans la presse quotidienne comme reporter-photographe au journal L'Aurore. Il couvre alors, entre faits divers et sujets magazines, les grands événements qui bouleversèrent la vie politique française en 1958 : chute de la IVe République et arrivée au pouvoir du général de Gaulle, avec une obsession : être là pour "faire la une" . En janvier 1959, il est appelé sous les drapeaux au 1er Choc à Calvi. Arrivé en Algérie en juin, il participe à des opérations dans le Hodna et à la frontière tunisienne. Affecté en septembre comme reporter à l'hebdomadaire des forces armées Bled, il couvre les "événements d'Algérie" sur le terrain comme en ville où, à Alger, il frôle la mort lors de la fusillade des barricades, le 24 janvier 1960. Aux côtés de nos soldats, d'unité en unité ou lors d'opérations dont il nous livre le récit, il parcourt toute l'Algérie, s'attache à ce pays qu'il quitte en catastrophe, libéré de ses obligations militaires lors du putsch des généraux, fin avril 1961. Il reprend alors son job de reporter dans la grande presse pour, au coeur d'une actualité ordinaire, couvrir notamment les émeutes qui ensanglantent Paris, les actions violentes de l'OAS, les grands procès des généraux et des "militaires perdus" . Après les accords d'Evian en mars 1962, son journal le renvoie en Algérie pour rendre compte des drames inimaginables qui ont suivi le cessez-le-feu : bouclage de Bab-el-Oued, fusillade de la rue d'Isly, exode tragique des Français d'Algérie, curée anti-européenne du 5 juillet à Oran, massacre des harkis. Cette chronique vivante d'une époque mouvementée, qui prend parfois des allures de roman, offre au lecteur un point de vue unique : celui d'un jeune reporter, civil et militaire, dont on découvre la vie quotidienne au coeur d'événements que les générations qui ne les ont pas vécus découvriront soixante ans après. Ceux qui les ont traversés douloureusement s'y retrouveront.

04/2022

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Guerre d'Algérie

Mémoires des anciens d'Algérie et du Maroc. Huit appelés Brionnais racontent

Dans cet ouvrage, Stéphanie Dumoulin a recueilli les témoignages de huit anciens des combats en Algérie et au Maroc originaires du Brionnais : André Dumoulin, André Barras, Henri Fayolle, Robert Bidolet, Pierre Chevalier, René Lamure, Claude Lespinasse, et Claude Cheuzeville. Chacun des témoignages de ces appelés rapporte un vécu, et un point de vue différent. Outre la sincérité et l'authenticité de leurs confessions - l'auteure de ce livre est reconnaissante de la confiance accordée par ces anciens appelés -, ce livre est l'occasion de parfaire notre connaissance des conflits en Afrique du Nord au XXe siècle, et d'entrer dans l'intimité du vécu de ces hommes. La petite histoire nourrissant la grande, ces témoignages sont un présent précieux. Mémoires des anciens d'Algérie et du Maroc est un livre illustré, à l'initiative du Président de la FNACA, et auquel Stéphanie Dumoulin a ensuite donné le jour.

05/2023

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Sociologie

Un tortionnaire ordinaire ? Rencontre avec un ancien appelé de la guerre d'Algérie

Claude et Jean, tous deux appelés de la guerre d'Algérie, ne s'étaient pas revus depuis leur démobilisation en 1958 ; ils avaient compris en Algérie qu'ils ne partageaient pas les mêmes valeurs. Claude prit l'initiative d'aller le revoir encouragé par Vincent de Gaulejac, président de son jury de thèse ; il souhaitait comprendre pourquoi Jean avait basculé dans la violence en Algérie, et quelles en avaient été les conséquences sur sa vie. Bien qu'étonné de cette reprise de contact, Jean l'a accueilli à son domicile en juillet 2013. Cet ouvrage est le récit de ces retrouvailles, complété d'une analyse du rapport de Jean aux violences commises, afin de mieux saisir la complexité du basculement dans la violence.

01/2019

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Histoire de France

Passé sous silence en Algérie. Témoignage d'un "appelé" embarqué à Marseille le 15 juillet 1957

Après 50 ans de silence, de nombreux ouvrages ont été écrits ces dernières années sur la Guerre d'Algérie. Très peu ont relaté la vie journalière d'un militaire "appelé", sur le terrain, dans les zones à risques de ce conflit. Bernard Nicolas, sergent à la 8e Cie du 8e RIM dans le sud oranais, années 1957/1958, nous en fait ici partager le quotidien. Grâce à des notes écrites chaque jour, ce récit aborde aussi les sujets tabous : les interrogatoires, la torture, les "corvées de bois", ainsi que le comportement parfois déshonorant de certains militaires de carrière. Et puis aussi, l'angoisse et la peur. Tous les soldats appelés en Algérie n'ont pas été confrontés à des situations semblables, mais pour ceux qui furent au "baroud" beaucoup ne sont pas sortis indemnes psychologiquement de cette guerre douloureuse.

11/2012

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Histoire de France

La 4e batterie. Journal intime d'un appelé en Algérie (1er mars 1961 - 5 janvier 1963)

Jeune appelé du contingent en Algérie, Renaud de Bary a relaté dans son journal intime son trajet de soldat du 1er mars 1961 au 5 janvier 1963. Après une période de formation à Dinan, il évoque Alger, les Aurès, Behagle, Lafayette, El Arous, Boghari et Boghar. Autant de toponymes qui éveilleront sans doute bien des souvenirs dans la mémoire de ceux qui ont vécu ce qu'on appelait alors pudiquement les événements d'Algérie et qu'on ne craint plus d'appeler aujourd'hui la guerre d'Algérie. Le jeune soldat traverse cette période charnière de notre Histoire qui encadre les accords de cessez-le-feu puis du référendum d'autodétermination et il parle à coeur ouvert de son quotidien, de ses échanges avec ses camarades, de ses angoisses, de ses peurs. Il le fait sans pathos, mais, sans jamais se prendre pour un héros, soulève avec pudeur bien des questions restées encore en suspens, sur la torture notamment ou sur la vie militaire pendant cette période douloureuse. Ce livre intéressera à coup sûr ceux qui ont fait la guerre d'Algérie mais aussi très certainement tous ceux qui sont en quête d'informations sur ces années difficiles.

12/2014

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Récits de voyage

En Algérie : enquêtes et souvenirs

Dans leur préface à ce livre, Jérôme et Jean Tharaud écrivent en s'adressant à l'auteure : "Vous vous êtes admirablement rendu compte de ce que doit être un ouvrage du genre de celui que vous nous offrez aujourd'hui. Et d'abord, il ne doit être ni austère, ni ennuyeux. Mais cela dit, il ne doit pas sacrifier à un vain pittoresque, dont les esprits sont depuis longtemps saturés. Il faut qu'on nous raconte des choses positives, qu'on nous apporte des idées neuves, qu'on nous mette au courant de ce que les gens de toutes catégories veulent, espèrent, désirent, des oppositions, des sentiments et des pensées, bref de tous les problèmes qui se posent au jour le jour et des solutions raisonnables qu'on y voit." L'azalée illustrée en couverture rappelle celle que l'auteur a déposée sur la tombe de son grand-père, le général Margueritte (voir p. 102).

06/2015

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Littérature française

Guerre et paix en Algérie

1958, Marseille : un vieux navire attend d'engloutir trois mille soldats français pour les emporter vers Alger... 1984, Sète : un paquebot accueille ses passagers en partance pour Oran. Parmi eux, un voyageur un peu spécial, qui s'apprête à parcourir l'Algérie à vélo... Ce voyage n'a rien d'anodin : c'est le pèlerinage accompli vingt-cinq ans plus tard par un ancien appelé, hanté par le souvenir insupportable de la guerre et mû par le sentiment d'un devoir de mémoire envers ce pays, son peuple et lui-même. Ce souvenir, c'est celui de vingt-sept mois d'enfer, vécus dans des conditions matérielles difficiles, sous une pression psychologique permanente, mais, surtout, dans l'obligation de supporter l'horreur de cette guerre, tout en tentant quotidiennement d'en limiter les dégâts... Le retour se veut rédempteur : revoir ce pays en paix, autrement qu'au travers du filtre pervers de la guerre, en découvrir enfin les beautés alors entraperçues et, plus que tout, aller à la rencontre de son peuple, jadis involontairement combattu. Peut-on atténuer le traumatisme d'une guerre que l'on a faite à contrecoeur ? Les plaies laissées par un passé douloureux partagé peuvent-elles cicatriser de part et d'autre ? Empreint d'une humanité profonde, hommage à la fraternité au-delà des noirceurs de l'Histoire, ce récit d'un double voyage, ponctué de lettres du front, livre ici un témoignage touchant et courageux, à la portée universelle.

08/2011

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Histoire des religions

Juifs et musulmans en Algérie

Juifs et musulmans ont partagé en Algérie une longue histoire qui s'acheva en 1962 avec l'indépendance du pays. Si, en 1954, on y comptait environ 130 000 juifs, il n'en reste plus aujourd'hui. Pourquoi cette coexistence a-t-elle pris fin ? Juifs et musulmans ont vécu ensemble les grands mouvements de l'histoire de l'Algérie : les débuts de l'islam et les rivalités entre dynasties au Moyen Age, l'intégration à l'Empire ottoman entre le XVIe et le XIXe siècle, la colonisation française, les lois antijuives du régime de Vichy, la guerre d'Algérie enfin. Sans parti pris, Lucette Valensi s'attache à comprendre les relations que juifs et musulmans ont entretenues, faites de domination et de violences sur la minorité juive, mais aussi d'échanges et de paisible collaboration.

03/2023