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A l'Est, la guerre sans fin. 1918-1923

Extraits

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Littérature étrangère

Oeuvres complètes. Coffret en 2 volumes : Oeuvres poétiques ; Oeuvres en prose

Ce coffret réunit en deux volumes les oeuvres complètes d'Ossip Mandelstam traduites du russe par Jean-Claude Schneider. I. Oeuvres poétiques, en édition bilingue, texte russe en bas de page. La Pierre (1913/1915/1923), Tristia (1922), Le Livre de 1928, Poèmes non rassemblés en recueil ou non publiés (1908-1934), Cahier de Voronej (1935-1937), Poèmes non inclus dans les Cahiers (1935-1937) et, en appendice : Poèmes de jeunesse (1909-1911) et poèmes pour enfants (1925-1926). II. Oeuvres en proses. Le Bruit du temps (1925), Féodossia (1925), Proses éparses, esquisses (1922-1927), Essais, articles (1913-1932), De la poésie (1928), Le Timbre égyptien (1928), La Quatrième Prose (1929-1930), Le Voyage en Arménie (1933), Entretien sur Dante (1933) et, en appendice : écrits de commande ou alimentaires.

03/2018

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Poésie

L'Omelette rouge

Écrit en bordure de Méditerranée, L'Omelette rouge est un objet vocal à lire aussi avec les yeux. Dans une lumière inférieure s'agitent des voix. Les voix sont séquestrées dans des corps véritables dont la liste dressée par ordre d'apparition s'ouvre sur une comédienne travestie que ses ennemis surnommaient l'omelette rouge. Sarah Bernhardt (1844-1923), Gherasim Luca (1913-1994), Alexandre Blok (1880-1921), Charlotte-Élisabeth de Bavière (1652-1722), John Maynard Keynes (1883-1946), Richard Wagner (1813-1883), Louise Bourgeois (1911-2010), Christine Lavant (1915-1973), Jeanne d'Arc (1412-1431), Ingeborg Bachmann (1926-1973), Arnold Schoenberg (1874-1951), Jean-Marie Straub (8 janvier 1933-), Danièle Huillet (1936-2006), Karl Marx (1818-1883), Friedrich Engels (1820-1895), Lénine (1870-1924), Vélimir Khlebnikov (1885-1922), Alexeï Kroutchonykh (1886-1968), Daniil Harms (1904-1942), Eva Hesse (1936-1970) Cy Twombly (25 avril 1928-) Grace Hartigan (1922-2008), Frank O'Hara (1926-1966), Hannah Hoch (1889-1978), Hans Arp (1886-1966), Til Brugman (1888-1958), Hélène Bessette (1918-2000), Jackson Pollock (1912-1956), Razine (1630-1671), Emily Dickinson (1830-1886), Josée Lapeyrère (1944-2007), Erich von Stroheim (1885-1957), Alexandre Pouchkine (1799-1837), Saint Paul de Tarse (15-67). L'astre Poésie est vécu ici comme un soleil flingué sous lequel scintillent des natures mourantes et de petites personnes perdues. Si " la seule poésie est la poésie à faire " (Pasolini), L'Omelette rouge pose en séries de raccords et dans une préoccupation de distance la question vitale : " que faire? ".

05/2011

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Sciences historiques

A l'Est, la guerre sans fin. 1918-1923

Ce catalogue, publié à l'occasion de l'exposition "A l'Est, la guerre sans fin", présentée au musée de l'Armée, explore les aspects et les enjeux de l'instauration de la paix, entre 1918 et 1923, dans les états de l'Est de l'Europe. La Première Guerre mondiale prend fin en 1919 avec la signature du Traité de Versailles. Après l'armistice de 1918, l'Est de l'Europe est pourtant encore traversé par des violences multiples et connaît diverses interventions militaires. Grâce à 14 essais rédigés par les plus grands spécialistes et à un Atlas de 25 pays permettant de comprendre l'évolution des frontières à l'Est entre 1918 et 1923, ce catalogue permet de savoir de quelle manière la paix s'est instaurée dans cet espace, de découvrir le prolongement de la guerre française vers l'Est et de comprendre comment la modification de ses frontières impacte encore aujourd'hui la géopolitique au-delà même des frontières de l'Europe.

10/2018

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Romans historiques

Femmes dans la guerre (1914-1918)

Durant cette guerre que nos anciens avaient cru être la dernière, c'est tout un pays qui s'engagea dans un combat titanesque : les hommes, héros parfois involontaires, souvent tragiques, dans les tranchées du front ; les femmes "à l'arrière" pour faire vivre et tourner le pays en plein désarroi. Ces héros à l'uniforme azur, nous en connaissons presque tous l'histoire. Nous célébrons leur sacrifice chaque année le 11 novembre, ainsi qu'en d'autres circonstances, le souvenir des victimes de toutes les guerres qui suivirent. Je me suis souvent demandé pourquoi, à cette même date, nul ne pensait à ces femmes qui, non contentes de les attendre, les remplacèrent et furent une des clés de cette victoire qui coûta tant de vies humaines, militaires et civiles. Cette interrogation fit son chemin et lorsque, peu de temps après, un ami me suggéra d'écrire quelque chose pour le centenaire de l'armistice de 14/18, l'idée devint plus concrète. Il fallait que je raconte la vie des femmes pendant cette difficile période de guerre et que j'en fasse un levier pour parler de leur émancipation future. Durant plusieurs mois, j'ai lu, j'ai écouté témoignages et récits et ce que je découvris de cette période, de cette facette de l'histoire fut une authentique, passionnante et émouvante surprise.

11/2020

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Littérature étrangère

Journal : 1918-1921, 1933-1939

C'est toujours un rare privilège de pénétrer dans la vie quotidienne d'un grand écrivain. Avec le Journal de Thomas Mann, le privilège est multiple : nous participons à ses petites joies et à ses petites misères de tous les jours, mais aussi à l'élaboration de son ouvre au fur et à mesure qu'il y travaille, qu'il forme des projets pour l'avenir, qu'il livre ses textes à la publication. Mais l'intérêt essentiel de ce Journal, ce sont sans doute les réactions à chaud de l'auteur face à la situation politique, d'abord dans les années 1918 à 1921, période où il vit intensément la fin de la Première Guerre mondiale, les troubles de la République des Conseils de Munich et les débuts de la République de Weimar. Il faut ensuite attendre 1933 pour que le Journal reprenne son fil. Nous ne saurons donc jamais comment Thomas Mann a ressenti la première tentative de faire fonctionner en Allemagne un Etat démocratique. Surpris par la prise de pouvoir de Hitler alors qu'il effectuait un séjour en Suisse, il comprend aussitôt la gravité de ce qui se passe et décide de ne pas rentrer en Allemagne. Dès lors, son Journal nous fait vivre sa répulsion vis-à-vis du national-socialisme, les problèmes que lui pose l'abandon en Allemagne de sa maison et de l'essentiel de sa fortune, mais aussi les espoirs et les joies que lui procure l'accueil que lui réserve l'étranger. Les séjours en France et en Amérique jalonnent cette période, et l'attitude antinazie de l'écrivain ne se dément jamais.

05/1985

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Histoire de France

A l'école de la guerre, 1914-1918

Loin du front, les écoliers nantais n'échappent pas aux échos de la Grande Guerre, bien au contraire. Dans cette ville de l'arrière, ils sont quotidiennement confrontés à la souffrance - mutilés soignés dans les hôpitaux militaires et croisés dans la rue ; réfugiés affluant des régions envahies, traumatisés ; familles endeuillées. A l'unisson de l'état d'esprit qui anime la nation tout entière, l'école attise dans les jeunes esprits la flamme du patriotisme, enseignant aux enfants la géographie des combats, leur proposant dictées, rédactions, dessins sur le thème de la guerre, les associant au comptage des morts... Leurs petites mains confectionnent charpie et chaussettes destinés aux poilus. La cour de la récréation devient le terrain des jeux guerriers. Un fonds unique de rapports produits tout au long de la guerre par les instituteurs, illustrés de travaux d'écoliers, témoigne de l'ampleur du conditionnement des jeunes élèves, éduqués dans l'amour de la patrie et fiers de participer à l'oeuvre de solidarité nationale. Auteures : Réjane Burki, Delphine Gillardin et Véronique Guitton.

01/2014

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Poésie

Poésies. 1913-1926

Les expériences auxquelles va se livrer Éluard entre Le devoir et l'inquiétude (1917) et Les dessous d'une vie (1926) n'ont pas pour but d'affirmer l'originalité ou la virtuosité d'un écrivain, d'aiguiser ou de souligner sa singularité, ni de créer "un frisson nouveau" pour les "connaisseurs". Éluard n'est pas non plus à cette époque "à la recherche de lui-même", comme on dit. Tout se passe au contraire comme s'il s'était trouvé d'emblée, en même temps qu'il prend congé de Grindel pour adopter le nom de sa grand-mère. La voix la plus éluardienne se fait entendre dès le début, inimitable comme eau de source, effervescente de limpidité, volubiles et lisses vocalises de bulles d'oxygène naissant.

10/2007

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Critique littéraire

Correspondance 1928-1963

Jean Giono et Jean Paulhan, le lyrique solitaire au fond de sa Provence, et l'esprit moteur, à Paris, d'une large part de l'intelligentsia littéraire à travers La Nouvelle Revue Française qu'il dirigea longtemps, semblent aux antipodes l'un de l'autre. Pourtant, à cause de cela peut-être, dès leur rencontre en 1929 allait naître entre les deux hommes une amitié profonde et solide, bien qu'elle se soit manifestée essentiellement par écrit : les hasards de la vie ont fait qu'ils ne se sont vus que bien rarement. Leur échange de lettres au long de trente-cinq ans est révélateur de leurs tempéraments : Giono débordant d'élans parfois utopiques, de projets qu'il ne réalise pas toujours (et, quand il les mène à bien, c'est presque invariablement avec du retard sur ses prévisions) ; Paulhan plus précis, plus méthodique, tenant ferme le gouvernail des revues qu'il anime, mais aussi lecteur plein de sympathie et en même temps de perspicacité critique, souvent inspiré pour définir d'un mot juste ce qui est essentiel dans les textes qui lui sont soumis. L'un et l'autre s'écrivant familièrement, mais chacun plein d'un respect inexprimé devant la qualité de l'autre, parce qu'il reconnaît en lui un seigneur des lettres. C'est ici une correspondance attachante, qui dévoile des aspects parfois inattendus de deux grandes figures.

03/2000

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Histoire internationale

Alerte en Europe : la guerre dans les Balkans (1912-1913)

Evacuées de la mémoire collective en France, les guerres balkaniques sont longtemps restées dans l'oubli. L'actualité post-guerre froide, les conflits sanglants en ex-Yougoslavie de 1991 à 1999 leur ont valu une sorte de re-médiatisation. Les témoignages de Léon Trostky et de John Reed trouvèrent leur public. Mais c'est aujourd'hui, en 2014, alors que les Européens et leurs alliés se mobilisent pour commémorer, c'est-à-dire comprendre la tragédie de la Grande Guerre, qu'analystes et historiens se penchent sur les fractures anti-ottomanes puis fratricides de 1912 et de 1913. Quelles sont les passions, les intérêts en jeu ? Quels sont les moyens militaires à portée des armées confrontées ? 1912-1913: l'alerte ! Les aspirations pacifistes, les options de recomposition fédéraliste sont mises de côté. L'imagination n'est pas au pouvoir. Le temps est venu de la revanche, de la maximalisation de la puissance, de l'extension territoriale. Les guerres de 1912-1913 témoignent déjà de la faillite de la pensée.

06/2014

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Encyclopédies de poche

La Grande Guerre. 1914-1918

2 août 1914 : les puissances européennes entrent en guerre. Par le jeu des alliances, le conflit se transforme en affrontement mondial. La guerre est totale : non seulement militaire, mais aussi économique et culturelle. Sur les fronts, bientôt stabilisés, s'installent les tranchées, qui mèneront les armées aux extrêmes limites de l'épuisement. A l'arrière, tous participent à l'effort, armant ou nourrissant les combattants. Le 11 novembre 1918, l'armistice est signé à Rethondes. Suivent les traités qui imposent réparations aux vaincus et démantèlent les empires. La paix, certes, mais l'effroyable bilan : près de 10 millions de morts, 30 à 40 millions de blessés. Et combien d'orphelins, de veuves, de mutilés ? Stéphane Audoin-Rouzeau et Annette Becker éclairent d'un jour nouveau les années 1914-1918, qui, en ébranlant le monde, ont orienté dans un sens infiniment tragique le destin du XXe siècle.

11/2013

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Histoire de France

1914-1918 la Grande Guerre

L'année où tout a basculé... Le 28 juin 1914, l'archiduc héritier du trône d'Autriche François-Ferdinand est assassiné à Sarajevo. C'est l'étincelle ! En un mois, l'Europe s'embrase, et le monde se retrouve en guerre. 1914-1918, la Grande Guerre, retrace cet épisode dramatique de notre histoire. Luttes de pouvoir, ingénierie militaire, guerre totale... Comprenez les rouages du conflit et entrez au coeur des plus grandes batailles : la Marne, Tannenberg, Verdun, ou la Somme. Grâce aux nombreuses illustrations, photographies et cartes, suivez l'avancée des troupes, vivez en détail le déroulement des opérations et découvrez les tactiques militaires ayant donné lieu aussi bien à des victoires qu'à des défaites. La ténacité des armées vaudra aussi par leurs illustres généraux, Joffre, Foch, Broussilov, Hindenburg, et chaque décision entraînera des conséquences. Ce conflit marquera également l'arrivée de nouvelles armes qui bouleverseront l'art de la guerre. Les belligérants rivaliseront d'ingéniosité. La guerre chimique fera ses débuts et les jalons des conflits à venir seront posés. Au total, presque 74 millions d'hommes seront mobilisés. Cet ouvrage offre non seulement une vision de l'intérieur, mais témoigne en mémoire des 9,5 millions de vies sacrifiées.

10/2018

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Histoire de France

La guerre mondiale 1914-1918

A l'heure de la commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale, un événement exceptionnel traverse le monde de la réflexion historique. Un passionné, Jean Jacques Dumur, ancien militaire de carrière et chercheur opiniâtre, dévoile un manuscrit inédit de Philippe Pétain sur la Grande Guerre. Cette histoire-bataille que le maréchal Pétain fait de la guerre de 1914-1918 est l'oeuvre d'un officier supérieur peu enclin à livrer ses états d'âme. Le livre, sobrement intitulé La Guerre mondiale 1914-1918, écrit de la main du Maréchal entre 1920 et 1929, constitue une pierre essentielle pour l'édification de notre mémoire collective.

05/2014

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Histoire de France

La Grande guerre. 1914-1918

" Longue, douloureuse, meurtrière, la Grande Guerre vit s'entre-tuer des millions d'hommes qui, la veille encore, juraient " guerre à la guerre ". Ils furent les frères d'armes de ceux qu'ils accusaient d'être des militaristes, des chauvins, des bellicistes ; et également des millions d'autres qui firent la guerre par devoir ou encore sans trop savoir pourquoi. Passé 1918, devenus anciens combattants, ni les uns ni les autres ne mirent en doute la légitimité de leur sacrifice : ils avaient combattu pour la défense de la patrie et la guerre qu'ils avaient faite était une " juste guerre ". Pourtant, durant les hostilités mêmes, un doute naquit chez quelques-uns : la poursuite de la guerre avait-elle un sens ? L'horrible massacre était-il vraiment nécessaire ? Les milieux dirigeants l'assuraient : mais étaient-ils sincères ? (...) Ce phénomène ne saurait être dissocié des origines de la guerre, du souvenir qu'elle a laissé, et nous voudrions en rendre compte autant que des causes proprement économiques ou politiques. "

10/1990

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Histoire de France

Les Canadiens dans la Grande Guerre. 1914-1918

"De 1914 à 1918, près de 620 000 Canadiens ont servi sous l'uniforme et plus de 60 000 ont péri sur les champs de bataille. Ce sacrifice, auquel s'ajoute l'implication économique du Canada, a permis au dominion de renforcer sa cohésion nationale et de progresser dans la voie de l'indépendance vis-à-vis de la mère-Patrie britannique. Passant par Vimy, la Somme, les Flandres et... les forêts des Landes, ce guide propose un tour d'horizon complet de la participation canadienne à la Grande Guerre, de l'organisation de l'armée en 1914 aux derniers combats de 1918."

02/2018

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Histoire de France

Dans la guerre 1914-1918. Accepter, endurer, refuser

La dichotomie entre "consentement" et "contrainte" a pris une certaine importance dans les débats récents portant sur l'expérience des sociétés pendant la Première Guerre mondiale. Cet ouvrage a pour ambition de reformuler la problématique de l'engagement des populations dans le conflit à travers une approche renouvelée. Il dépasse les oppositions trop rigides entre consensus sur la guerre et rejet de celle-ci, considérant que les populations, tant civiles que militaires, ne se réduisent pas à des éléments passifs mais gardent leur capacité de réaction autonome. Aussi propose-t-il une terminologie ternaire pour aborder les expériences des peuples en guerre - accepter, endurer, refuser. Le terme moyen, "endurer", permet d'explorer toute la complexité d'un conflit qui défie les prévisions et dont le prix en vies et souffrances remet en cause la question du rapport entre les fins et les moyens. Il ne s'agit pas, toutefois, de présenter une évolution successive d'un terme à l'autre - de l'acceptation à l'endurance, avant d'en arriver au refus. Car tout dépend des multiples sens assignés à chaque comportement, et du chevauchement possible des différentes réactions que suscite la confrontation à la guerre. Ces trois termes offrent plusieurs avantages sur une échelle qui va de l'individuel au collectif. Ils se prêtent à la prise en compte de l'imaginaire de la guerre et des multiples discours qui l'accompagnent. Ils permettent également d'examiner où, quand et comment le refus prend le dessus sur l'endurance par rapport aux sociétés où l'endurance s'appuie jusqu'à la fin sur une acceptation du conflit - et ce malgré son caractère inexorable. Cet ouvrage, fondé sur des travaux originaux suscités par le Centre international de recherche de l'Historial de la Grande Guerre, à Péronne, réunit des historiens européens et américains, parmi les meilleurs spécialistes internationaux de la Première Guerre mondiale. Par sa focale authentiquement internationale, son attention portée au front oriental autant qu'occidental, il transcende les débats étroitement nationaux.

09/2015

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Critique littéraire

Edmond Rostand dans la Grande Guerre 1914-1918

Bien qu'il fût hostile à la guerre, comme bon nombre d'écrivains, Edmond Rostand (1868-1918) adhéra au message d'union nationale. Avec originalité il se mit à clamer son amour du sol natal, sa foi dans le triomphe des sentiments de lumière. L'auteur de Cyrano de Bergerac, de l'Aiglon, de Chantecler participa à sa façon à la lutte en faisant l'éloge de ceux qui dans la boue, le froid et les privations s'élevaient contre les idées dévastatrices d'un ennemi impitoyable qui tuait, à la seule fin de soumettre les vivants. Edmond Rostand s'éteignit vingt et un jours après l'armistice dont, avec panache, il aurait salué la victoire à travers la paix retrouvée. " Edmond Rostand dans la Grande Guerre " se présente sous une forme chronologique. C'est année après année, mois après mois, semaine après semaine, que l'on suit Edmond Rostand et sa famille à travers les événements militaires, politiques, mondains, artistiques et littéraires, tant à Paris qu'au Pays basque lors de ses séjours à Cambo-les-Bains.

05/2014

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Critique littéraire

Guerre et poésie, 1914-1918

On réserve une grande attention au roman et au cinéma de la guerre 1914-1918. La poésie, à l'exception d'Apollinaire, pour la révolution de son écriture, n'est pas à la une. Ce livre rend hommage aux poètes de la Grande Guerre. Un siècle après, ils méritent cette justice, pour la valeur de leur écriture et pour leur douloureux témoignage. En 1914, les poètes se mobilisent. On a calculé un nombre impressionnant de poètes combattants : 2120 ! Où sont-ils ? Les quelques anthologies n'en retiennent qu'un cinquième, au maximum, souvent beaucoup moins. Tous ces poètes sont nos frères jumeaux. Ils sont les témoins d'un horrible massacre, qu'ils présentent dans le feu de leur parole poétique. Aimons-les. Lisons-les.

10/2014

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Histoire de France

Mémoires du chef des services secrets de la Grande Guerre

Polytechnicien, artilleur, Charles Dupont est affecté au Service de renseignements après l'affaire Dreyfus. Il accomplit plusieurs missions secrètes en Allemagne avant de prendre la tête du 2e bureau (renseignements) de l'état-major général de l'armée en 1913. Nommé à la tête du 2e bureau du Grand quartier général en août 1914, il sera maintenu dans ses fonctions jusqu'en 1917, traversant les grands chocs militaires du front ouest : la Marne (1914), Verdun (1916), le Chemin des Dames (1917)... Fin 1918, Foch le désigne pour organiser le rapatriement des prisonniers de guerre détenus en Allemagne. C'est dans un Berlin en plein chaos qu'il va remplir sa mission, avant de prendre la tête d'une mission militaire à Varsovie (1922). Il est alors confronté à une période tourmentée de l'histoire polonaise et ne rentrera en France qu'en 1926, année où il termine la rédaction de ses Mémoires. Visionnaire, Dupont y dénonce la montée des périls en Allemagne, prévoyant l'Anschluss et même la crise de Dantzig qui débouchera sur la Seconde Guerre mondiale. Ce document, inédit à ce jour, constitue un témoignage exceptionnel sur le renseignement français avant et pendant la Grande Guerre, mais aussi sur la personnalité des grands chefs militaires, Joffre, Nivelle ou Pétain, et leurs relations avec les milieux politiques de l'époque.

09/2014

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BD tout public

Putain de guerre ! : 1917-1918-1919. Avec 1 DVD

La guerre nous brûlait les boyaux et, dans la puanteur de nos existences dérisoires, je me cramponnais à un espoir : rentrer à la maison, qu'on la perde ou non cette guerre qui n'est pas la mienne ! Comment faire pour ne pas se retrouver dans une de ces fosses communes creusées par des corvées de Tonkinois ?

10/2009

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Littérature étrangère

Chroniques parisiennes 1924-1928

Journaliste, chansonnier, romancier, poète, Kurt Tucholsky (1890-1935) quitta Berlin en avril 1924 et s'installa dans la capitale française où il travailla jusqu'en 1928 en qualité de correspondant pour la Weltbiihne, une des plus importantes revues de la république de Weimar. De cette collaboration et de cette union avec notre pays vont naître plus d'une centaine de chroniques sur Paris et la France. Pacifiste convaincu, Tucholsky prêche sans relâche le rapprochement franco-allemand et s'efforce de mettre fin aux préjugés de ses compatriotes sur l'" ennemi héréditaire ", la France, et surtout sa capitale, tenue pour l'antre des grisettes et des décadents. tin Allemand qui prend fait et cause pour les Français et par la même occasion critique sa patrie, voilà une perle rare, digne d'un Heine ! L'exercice est délicat, et culmine audacieusement dans " Merci, France ", à la fois cri de grâce et d'adieu.

02/2010

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Correspondance

Correspondance 1913-1948

Correspondre n'a jamais été mot aussi juste pour désigner l'activité épistolaire, tant les lettres de Gabriel Bounoure et d'André Suarès sont dans la plus vive adéquation quant à l'art d'écrire et à l'intelligence du coeur. Qui est Gabriel Bounoure ? Un conseiller culturel en poste au Liban et en Syrie, mais surtout un grand critique littéraire, notamment à la Nouvelle Revue française, le plus méconnu et le plus discret de tous. Paul Claudel a eu pour lui ce mot éloquent : "On écrirait volontiers un livre pour vous faire écrire une page". L'oeuvre d'André Suarès, maître trop secret de la littérature française, semble pâtir de sa prolixité et du caractère orageux de l'écrivain. Mais son Voyage du Condottière suffit, pour les amoureux du style, de l'art et de l'esprit, à le placer au centre de la bibliothèque de tout gentilhomme-lecteur. Cette correspondance inédite, enfin dévoilée, rend justice à l'un comme à l'autre. C'est une introduction immersive à l'oeuvre de Suarès comme un manuel de critique littéraire, le témoignage d'une amitié profonde et sincère, l'occasion d'un renversement généreux des rôles de maître et de disciple, un portrait et un autoportrait de Suarès, un lieu de méditations et enfin l'expression chevaleresque d'une quête spirituelle partagée par deux âmes libres et ardentes. Entre 1913 et 1948, leurs échanges sont traversés par les échos de deux guerres mondiales (sublimes lettres du capitaine Bounoure), les difficultés morales, physiques et matérielles : et toujours la poésie s'éprouve comme le seul refuge et la seule consolation pour les temps obscurs. Cette édition a été établie, présentée et annotée par Edouard Chalamet. Cette édition a été établie, présentée et annotée par Edouard Chalamet-Denis. Elle comporte une chronologie croisée, un essai de Gabriel Bounoure ("Dernière parole de Suarès") et un index des noms et des oeuvres.

01/2023

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Critique littéraire

Correspondance 1928-1968

En 1928, un autodidacte de 28 ans adresse à La NRF le manuscrit d'un roman, Zig-Zag. L'auteur, abandonné par son père, a couru les rues d'une très vieille ville du Midi pour y épier la vie et l'amour, a perdu sa mère à 12 ans et a dû faire toutes sortes de petits métiers pour survivre. Il est passé aussi par le syndicalisme, le Parti communiste et vient de faire son entrée à Monde, hebdomadaire de gauche dirigé par Henri Barbusse... "Considérez-vous comme accueilli à la NRF", lui répond d'emblée Jean Paulhan. Il est vrai que Jean Paulhan et Marc Bernard sont nés à Nîmes à seize ans de distance : 1884 et 1900. Le premier, dès 12 ans, a été emmené vers Paris par son père, bibliothécaire et philosophe, et ne retrouve le Gard de son enfance que de loin en loin. Le second est presque prisonnier de sa ville natale, vers où les difficultés matérielles, les contraintes de l'Histoire, mais aussi le goût de la vie simple le font toujours revenir : même après ses prix Interallié en 1934 (Anny), Goncourt en 1942 (Pareils à des enfants), Marc Bernard garde en ligne de mire les Nîmois, dont il observe les ambitions et les illusions (Les Exilés, 1939 ; La Cendre, 1949 ; Une journée toute simple, 1950). A Paulhan qui lui avoue "Je donnerais cher pour qu'il y ait beaucoup de révolutionnaires comme toi", il ne cache guère certaines conversions radicales : "Je crois qu'il faut en finir avec ce chantage sentimental sur la Russie. Il ne leur reste plus qu'à accumuler toutes les saloperies possibles et imaginables pour dire ensuite : si vous publiez la moindre ligne contre nous, vous attaquez la révolution". Passent Romain Roland, Henri Calet, Jean Blanzat, Jacques Chardonne, Gaston Gallimard... Viennent Madrid et Barcelone dans les années trente, puis la Seconde Guerre mondiale, pendant laquelle les errements de Bernard sont patiemment raisonnés par Paulhan. Avec sa "bien-aimée" Else, juive autrichienne, Marc Bernard doit se cacher en Limousin, où il se lie avec le photographe Izis : les portraits que celui-ci réalise en 1945 figurent dans ce livre (grâce à son fils, Manuel Bidermanas). "Mon petit Marc", "Mon petit Jean" : c'est ainsi que les deux écrivains s'interpellent encore à 84 ans et 68 huit ans passés. Le plus âgé n'a jamais renoncé à être le conseiller littéraire de l'autre, qui, de son côté, l'a toujours lu avec attention : "C'est terrible, ces grands sujets, écrit Jean Paulhan en janvier 1965. Il me semble que les gens modestes (comme nous) devraient se demander, avant de se lancer : "Mais moi, qu'est-ce que je puis apporter de différent, que je sois seul à dire?" et n'en pas démordre". Toutes leurs lettres n'ont pas été retrouvées, mais les 461 présentées ici montrent la courbe de leur amitié : une amitié différente, et qu'ils ont été les seuls à dire ainsi.

11/2013

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Histoire de France

Eugène Tavernier un poilu dans la guerre. Correspondance 1913-1918 Tome 3, Paris

Rentré de Salonique le 13 mai 1917 avec le paludisme, Eugène Tavernier retrouve à Paris sa femme et son fils, mais les premiers bombardements sur la capitale vont à nouveau bouleverser la vie du couple. Henriette est enceinte et comme des milliers de Parisiens qui fuient la capitale et une possible avancée allemande, elle quitte Paris avec sa soeur et leurs deux enfants pour se réfugier à Pau. A nouveau séparés, les époux reprennent leur échange de lettres. Henriette vit mal cet exil dans une ville triste où tout manque tandis que sa soeur craint le pire pour sa maison de Château-Thierry qui est sous le feu des combats. Eugène, qui travaille comme infirmier auxiliaire à l'Institut Pasteur expédie colis et malles à sa femme et gère les affaires du couple comme il peut. Il ne rejoint sa femme à Pau, en train de nuit, que pour de rares permissions, de trois jours tout au plus. Ses lettres, dans les quelles il se raconte avec humour constituent un témoignage passionnant de la vie parisienne en cette année 1918 où la guerre peut basculer d'u moment à un autre. Finalement Henriette accouchera d'une petite fille, Marie Louise et ne retrouvera Paris qu'en octobre. Ainsi s'achèvent ces années de douloureuse séparation entre les époux en même temps que leur correspondance, si précieuse sur ces années de guerre.

01/2019

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Sciences historiques

La Charente-Maritime dans la Grande Guerre 1914-1918

En août 1914, le département de la Charente-Maritime – appelée alors Charente-Inférieure – paraît bien éloigné de la ligne de front. Et pourtant, dès les premiers mois, il s'avère tout proche du théâtre des opérations, car la guerre ne se joue pas que dans les tranchées ; elle se joue aussi sur mer. La Charente-Maritime, avec son littoral et ses ports (Rochefort, La Rochelle-La Pallice), ainsi que son arrière-pays agricole et industriel, tient un rôle stratégique de premier plan. Pendant plus de quatre ans, elle participe à l'approvisionnement des troupes en vivres, en munitions, en matériel militaire. Elle prend part à la guerre maritime. Ses ports servent de plate-formes de débarquement pour des vagues ininterrompues de combattants et de victimes : réfugiés, blessés, prisonniers, soldats en transit – Français mais aussi étrangers de toute l'Europe, d'Afrique, d'Extrême-Orient et d'Amérique. Ils contribuent également à l'approvisionnement du territoire français en matières premières, en produits manufacturés et en denrées alimentaires. Mais ce sont aussi les communes de l'intérieur qui sont affectées en accueillant sinistrés des zones de conflit, militaires en convalescence ou prisonniers de guerre assignés à des tâches d'intérêt collectif. La société traditionnelle est bouleversée par la durée et la violence du conflit, les réquisitions, les privations, la présence massive d'étrangers, l'absence des mobilisés que remplacent épouses, prisonniers et travailleurs étrangers. L'économie est orientée vers l'effort de guerre : la production agricole est destinée aux combattants ; les usines sont reconverties pour la livraison d'équipements militaires, les hôtels transformés en hôpitaux. Dès 1917, le département accueille des bases américaines qui contribuent à sécuriser le littoral face aux sous-marins allemands... et à faire connaître le jazz en France.

12/2018

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Histoire de France

La violence de guerre. 1914-1918

La Grande Guerre a été beaucoup photographiée, c'est une évidence. Elle l'a été de manière "officielle" par les reporters-photographes de la Section photographique de l'Armée, créée au printemps 1915 ; elle l'a été aussi à des fins de renseignement militaire. Mais la guerre fut bien davantage photographiée "au ras du sol", par ceux qui combattaient, gradés ou simples soldats. Les clichés de trois jeunes sous-officiers, promus officiers au cours du conflit, occupent une place de choix dans cet ouvrage. Henri Pétin. Jean Pochard et Robert Musso ont vécu au quotidien avec leurs hommes et ne se sont pas pensés comme des "reporters" mais comme des soldats, ponctuellement photographes amateurs. Pas d'héroïsme dans leur vision. L'historien Stéphane Audoin-Rouzeau présente et commente 120 photographies inédites, issues des fonds privés du Service historique de la Défense. Un témoignage juste et émouvant sur l'expérience combattante et la violence de guerre.

02/2014

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Histoire de France

La grande guerre chimique. 1914-1918

L'histoire de l'arme chimique au cours de la guerre de 1914-1918 est frappée du sceau d'un paradoxe. Si on associe immanquablement les gaz à l'évocation de ce conflit, force est toutefois de constater que l'on sait peu de choses sur cette " guerre dans la guerre ". On ne manque ainsi jamais de souligner les souffrances inouïes endurées par les combattants des deux camps, d'évoquer les ravages provoqués par les gaz. Pourtant, un examen attentif des pertes françaises causées par les gaz sur l'ensemble du front entre février et octobre 1916 permet de constater qu'elles ne représentent que 0,2 % des pertes totales. Au-delà du mythe ou de l'image d'Epinal, il semble donc légitime de s'interroger sur la réalité militaire et l'impact de ces armes sur les champs de bataille de la Grande Guerre. Des controverses feutrées perdurent, dont la moindre n'est pas de savoir qui fut le véritable initiateur de la guerre chimique. A l'évidence, l'apparition de l'arme chimique sur le champ de bataille de la Grande Guerre ne peut être considérée comme une simple innovation technique. Peut-on pour autant en conclure que son utilisation marque l'avènement de la guerre totale ? Les armes chimiques furent-elles ainsi les premières armes conçues non pas pour conquérir le territoire ennemi mais pour anéantir physiquement l'adversaire ? Le propos de cet ouvrage est donc, au terme d'un éclairage essentiellement militaire, de tenter de mettre en lumière quel fut l'impact de l'arme chimique sur le déroulement des hostilités tant du point de vue humain, industriel, tactique, que stratégique.

10/1998

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Histoire de France

1914-1918. La première guerre mondiale

Cette guerre que l’on croyait être courte aura duré plus de quatre ans et aura mobilisé tant les femmes à l’arrière que les hommes sur le front. Son bilan sera catastrophique sur le plan humain – elle fit plus de 9 millions de morts ! – mais également sur le plan économique et psychologique.

09/2011

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Histoire de France

La France en guerre. 1914-1918

Dans un style entièrement accessible, l'ouvrage, écrit par un des grands spécialistes de la période, propose une synthèse très documentée sur tous les aspects de la première guerre mondiale, en tenant compte des travaux et des débats les plus récents de l'historiographie. L'auteur oriente par ailleurs sa réflexion sur la place du premier conflit mondial dans une histoire de France, alors même que la guerre semble faire éclater les frontières et les particularismes nationaux pour ouvrir à un monde global. Nicolas Beaupré cherche ainsi à rendre compte de l'imbrication des échelles et des espaces qui permettent de penser la première guerre mondiale, et d'évaluer la fonction et la position de cette période dans le champ de notre histoire nationale.

10/2013

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Sciences historiques

1914-1922. Troyes, l'Aube, la guerre

Le présent ouvrage est l'aboutissement d'un travail entrepris en 2013, dans le cadre des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale. Plusieurs enseignants d'histoire-géographie bénévoles ont constitué un collectif dans l'objectif de réaliser une série d'expositions sur la Première Guerre mondiale dans l'Aube. Le public visé était avant tout celui des écoles élémentaires, des collèges et des lycées. Il paraissait essentiel d'ancrer la Grande Guerre localement pour lui donner chair et, par un travail d'histoire, contribuer à entretenir l'indispensable mémoire de cette période. C'est en évoquant tous ses aspects locaux et en les rattachant rigoureusement au cadre général que l'on a pu ainsi "porter la guerre dans les écoles" . Il a semblé intéressant au collectif d'enseignants d'offrir le résultat de ses recherches à un public plus large, d'où l'idée de réaliser le présent ouvrage. Le style se veut donc simple et didactique, les illustrations sont tirées, entre autres, du fonds de cartes postales constitué par Claude Bérisé et déposé aux archives de la Ville de Troyes. On trouvera aussi des cartes, diagrammes et graphiques réalisés par les enseignants. Une chronologie et une bibliographie figurent en fin de volume.

11/2018

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Sociologie

Face à la guerre. Ecrits 1914-1916

La position de l'Allemagne impériale soucie Georg Simmel : où doit-elle se situer vis-à-vis de la catastrophe survenant dans la vieille Europe disloquée, et à l'heure de son «américanisation» ? Il s'exprime ici moins en universitaire qu'en penseur du lien social, à qui les formes et l'intensité de la guerre en cours imposent une difficile épreuve de vérité. Epreuve personnelle aussi, car la Grande Guerre oppose les philosophes de la même école de pensée - comme on le voit en lisant les pages de Simmel en regard des adresses de Bergson à ses collègues académiciens, puis à l'opinion américaine.

04/2015