Le chant des ferrailleurs. précédé de Je voudrais que Paris brûle
Extrait de l'ouvrage Si on accueillait nos pas comme on recevait jadis l'inconnu lui offrant mieux que du pain la chaleur de ce foyer qu'il avait déserté à l'aube de son départ on se rencontrerait de nos mille visages et par la totalité de soi notre salut se présenterait à nous pour qu'un jour le pain à l'odeur familière nous accorde enfin une place sur la terre. Présentation de l'auteur
02/2023