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Correspondance / René Daumal Tome 3 : 1933-1944

Extraits

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Histoire internationale

Correspondance (1929-1994)

"Efratia, comme les femmes de sa génération nées sur la terre d'Israël, n'est pas une femme de la diaspora. Elle n'est pas non plus israélienne. Israël n'existe pas encore. Cette génération va inventer son appartenance. Efratia a écrit des lettres toute sa vie. Très tôt, elle les a conservées, comme pour retenir des moments de son histoire, comme si l'intime incarnait le destin de cette terre. Cette correspondance raconte la vie d'une femme, Efratia, ma mère, ses réflexions intimes et ses hésitations de jeune fille, sa soif d'indépendance, ses débats passionnés avec son père sur le destin de son pays, l'amour, le culte de l'amitié et la maternité, puis les deuils, la vieillesse, les moments de trouble. J'entends encore sa voix, son hébreu archaïque de fille de travaillistes qui voulaient que leur enfant parle un hébreu moderne, de notre temps" Amos Gitai

10/2010

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Critique littéraire

Correspondance 1945-1970

" Le sang, l'éclat et l'éros - tel fut l'univers de Mishima ; la blancheur spectrale, la pureté meurtrière, le temps orphelin - tel fut celui de Kawabata. Il n'empêche : une phrase, entre toutes, de Kawabata, laisse encore une fois deviner combien les deux écrivains sont proches : " Tout artiste qui aspire au vrai, au bien et au beau comme objet ultime de sa quête est fatalement hanté par le désir de forcer l'accès difficile du monde des démons, et cette pensée, qu'elle soit apparente ou dissimulée, hésite entre la peur et la prière. " C'est peut-être là, dans les enfers, que les deux écrivains se rencontrent le mieux et il n'est pas défendu de penser que, pudique et retenu, Kawabata a secrètement trouvé en Mishima un double allant à l'extrême qui n'a pas manqué, parfois, de le révéler à lui-même. " (Diane de Margerie) Cette correspondance complète et inédite, qui s'étend sur plus de vingt-cinq ans (1945-1970), met en lumière les affinités secrètes entre deux des plus grands écrivains du siècle et souligne l'indéfectible lien qui unissait ces hommes a priori différents mais dont le suicide, à deux ans d'intervalle, révèle l'étrange ressemblance.

11/2005

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Critique littéraire

Correspondance 1945-1972

Violette Leduc aimait les correspondances. Tout ce qui relevait de l'intime l'enchantait. Les Lettres de la religieuse portugaise, celles de Van Gogh à Théo étaient ses livres de chevet. Ils furent ses compagnons et ses modèles. Elle se reconnaissait en eux. "Je le lis et je me mets à le porter tout vivant dans ma chair, écrit-elle de Van Gogh, je ne connais pas de plus forte résurrection que la sienne par l'écriture." Violette Leduc fut elle-même une épistolière infatigable, voire obsessionnelle. Comment ne pas céder au vertige de l'épanchement, du monologue? Cette encre-là lui était vitale : "Je ne résiste pas au besoin de me confier." D'ailleurs, dans son oeuvre, elle évoque sa correspondance, l'analyse, y fait allusion à plusieurs reprises. Qu'elles soient d'amitié, d'admiration, d'amour ou de haine, de quinze pages ou d'une ligne, adressées à une figure illustre ou anonyme, les lettres de Violette Leduc portent toutes sa griffe. Au ton, on reconnaît d'emblée l'écrivain. Elles sont à l'origine même de sa vocation littéraire. Maurice Sachs, qui fut son Pygmalion, lui avait dit un jour : "Vous m'avez écrit. Vous devriez écrire." Bien qu'elle s'en défende, le geste épistolaire est, pour Violette Leduc, un moyen d'accéder à la fiction, à une forme particulière de résurrection. L'écriture privée et libre de la lettre ne s'embarrasse pas des mêmes contraintes que le texte publié. Il n'y a pas de censure, pas d'interdits, pas de bienséance. Comme un journal qu'on destine à soi, la lettre de Violette Leduc peut tout dire. Ou presque. Sans ménagement, sans limite, sans gêne. C'est au destinataire de suivre, à son corps défendant. Car dans ses lettres, elle confie ce qu'elle n'ose pas avouer ou imposer de vive voix, " parce qu'une lettre que l'on reçoit est lue en quelques minutes et n'importune pas comme une présence". Même lorsque la sincérité de l'appel, l'authenticité émouvante du ton sont crédibles, c'est encore le "mensonge" littéraire qui hante l'épistolière.

04/2007

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Critique littéraire

Correspondance 1892-1945

L'amitié qui a uni André Gide et Maurice Denis est peu connue. Sans doute parce que, entre le peintre catholique et le romancier hédoniste, on imagine mal qu'un accord profond ait pu s'établir durablement. Et pourtant, les deux cent trente lettres ici rassemblées témoignent de la persistance, sur une quarantaine d'années, d'une estime et d'un attachement sincères. Ce qui les rapprocha, au mois d'août 1892, fut une entreprise assez exceptionnelle ; ces deux débutants, âgés de vingt-trois et vingt-quatre ans, allaient réaliser bien plus qu'un simple livre illustré, une commune œuvre d'art, où deux langages, l'écriture et le dessin, s'accompagnent et se fécondent mutuellement. Quand il conçut Le Voyage d'Urien, Gide n'était pas encore trop sûr de ce qu'il allait dire ; il peinait à se différencier du symbolisme, tandis que Denis était déjà le théoricien du groupe des Nabis ; et c'est en assistant à la naissance des illustrations qu'il fut encouragé à mener à bien son projet. Ainsi l'œuvre ultérieure de Maurice Denis allait-elle avoir pour lui un intérêt particulier, comme le développement sur un autre plan de sa propre pensée. Nous participons ici à quelques moments majeurs de ce commerce intellectuel, comme ce soir de janvier 1898, quand un parfait hasard les fait se rencontrer sur une place de Rome : Gide, qui connaît déjà les lieux, sert de guide à Denis, et les discussions qu'ils ont alors les aident à préciser de façon décisive leur évolution vers un art fait de maîtrise et de discipline. Neuf ans plus tard, c'est Denis qui entraîne Gide dans les musées d'Allemagne, où ce dernier trouve l'inspiration de son Retour de l'Enfant prodigue. Ponctuée par des faire-part de naissance illustrés par Maurice Denis, cette correspondance d'artistes, à laquelle s'invitent parfois Marthe Denis et Madeleine Gide, revêt aussi des aspects familiers. Il faudra attendre le lendemain de la Grande Guerre pour que ces liens se distendent, la mort de Marthe Denis coïncidant avec le premier différend idéologique entre les deux hommes. C'est tout un pan de la vie artistique de la Belle Epoque qui est ici restitué, grâce à ces lettres mais aussi aux illustrations de Maurice Denis, souvent inédites, qui les accompagnent.

10/2006

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Critique littéraire

Correspondance 1947-1968

Avec près de trois cents lettres, cartes et billets échangés entre 1947 et 1968, la correspondance entre André Pieyre de Mandiargues et Jean Paulhan reflète l'actualité du monde des lettres de l'après-guerre et les débats intellectuels qui l'animent, principalement autour de la réapparition de La NRF que Jean Paulhan codirige à partir de 1953, et à laquelle André Pieyre de Mandiargues contribuera à la rubrique " Le Temps, comme il passe ". Il y publiera de nombreuses critiques et y donnera en avant-première plusieurs de ses oeuvres. Tant d'écrivains importants font en effet partie du monde de Jean Paulhan... Ecrivains qu'il a lui-même promus, grâce à sa place stratégique au sein de La Nouvelle Revue française, ou avec qui il entretenait de profondes affinités intellectuelles. Depuis leur première rencontre en 1946, André Pieyre de Mandiargues fait partie de ce cercle amical, poétique et artistique. Et c'est le point de départ de leur conversation épistolaire. Au fil de ces lettres, érudites ou bouleversantes, la personnalité des deux interlocuteurs se révèle dans toute la saveur de sa subtilité et de son ironie. Tous les deux partagent en effet un même goût pour l'insolite, les incongruités, le plaisir de voir... André Pieyre de Mandiargues et Jean Paulhan - Mandiargues appelle celui-ci le " playboy de l'art moderne " - aiment les artistes et en particulier les peintres. Leur écriture est souvent au service de l'image et de ses créateurs dont les noms - Braque, Dubuffet, de Pisis - apparaissent dans bien des lettres. Tant de connivence, par-delà la différence de génération, fait naître une affection et une intimité qui donnent à cette correspondance une chaleur surprenante et, pour le lecteur d'aujourd'hui, extrêmement touchante. Édition établie, annotée et préfacée par Éric Dussert et Iwona Tokarska-Castant.

10/2009

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Critique littéraire

Correspondance . 1942-1975

De 1942 jusqu'à la mort de Saint John Perse en 1975, Alain Bosquet et Saint-John Perse n'ont pas cessé de correspondre. C'est à peu près la totalité de cette correspondance (117 lettres retranscrites) qui est publiée dans le présent ouvrage. Saint-John Perse " travaille ", crayon en main, sur les lettres qui lui sont adressées, avant d'y répondre, anxieux pour la vie publique de son œuvre, préoccupé par la question de ses manuscrits perdus. La mise au point du volume Seghers est au cœur de l'intérêt que présente cette correspondance. Pour Saint John Perse, l'essai d'Alain Bosquet sera chargé de représenter une orthodoxie dans la lecture de ses œuvres, et cette correspondance le montre clairement. Le Paris littéraire d'après-guerre est en arrière-fond. Il est question de Valery Larbaud, de Jean Paulhan, de Marcel Arland, de Roger Caillois, de Cioran. Fin 1959, profitant d'un séjour de Saint John Perse à Paris, Alain Bosquet organise une petite réunion avec de jeunes poètes : Yves Bonnefoy, Pierre Emmanuel, Luc Estang, Robert Sabatier, Charles Le Quintrec. Mais ce qui caractérise le plus ces lettres, c'est la fidélité absolue qu'a eue Alain Bosquet à son admiration pour le poète qu'est Saint-John Perse et pour sa poésie. La notoriété de Saint-John Perse est en partie redevable à Alain Bosquet, qui, à sa génération, a été, avec Roger Caillois et Pierre Guerre, son premier soutien.

10/2004

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Philosophie

Correspondance. 1949-1975

En juin 1949, Ernst Jünger et Martin Heidegger, ces deux représentants majeurs de la pensée et de la littérature allemande, s'engagent dans un dialogue qui ne prendra fin qu'en 1975, peu avant la mort de Heidegger. Dans une Allemagne en ruines, l'auteur du Travailleur et celui d'Etre et Temps confrontent leurs deux approches, fort différentes, d'un problème crucial : comment triompher du nihilisme dont le règne dévastateur vient de se manifester sans fard à travers deux terribles guerres mondiales et la menace encore omniprésente du totalitarisme ? Sensible au concret, cette correspondance n'ignore pas non plus les événements graves ou menus de la vie quotidienne, projetant un éclairage intimiste et neuf sur les relations amicales entre les deux hommes. En marge de deux oeuvres exigeantes et complexes, ces lettres constituent, à leur façon, une séduisante propédeutique avant d'entamer une lecture plus approfondie.

01/2010

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Musique, danse

Correspondance (1888-1914)

La correspondance d'Albéric Magnard (1865-1914) comprend 405 lettres adressées à des musiciens (Chausson, Dukas, d'Indy, Ropartz, Doret, Labey, Castéra), à des amis (Poujaud, Cordonnier, Lallemand) et à des critiques et hommes de lettres (Rolland, Zola, Carraud, Maus). Au travers de cette correspondance, la personnalité de ce dreyfusard apparaît forte et originale dans sa farouche indépendance. Cet élève de d'Indy, qui a le culte de Beethoven, n'hésite pas à adresser des jugements critiques à ses collègues après l'audition de leurs oeuvres, y compris à son ancien maître. Solitaire et quelque peu misanthrope, Magnard se montre exigeant avec lui-même comme avec les autres, d'une extrême franchise, ayant le sentiment de vivre dans une "société de mufles" .

07/1997

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Philosophie

Correspondance (1949-1987)

De 1949 à 1987, Louis Althusser (191 8-1990) et Lucien Sève (1 926), tous deux philosophes et communistes, devenus amis pour la vie à l'Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm, échangent une centaine de lettres nourries de vifs débats d'idées. Dans cette correspondance, particulièrement riche entre 1963 et 1973, on voit s'affiner les analyses et se nouer les désaccords sur des questions de haute importance théorique et politique à leurs yeux - l'apport de Mao Zedong à la dialectique est-il valide ? Le matérialisme historique de Marx est-il un antihumanisme ? Une psychologie le prenant pour fondement est-elle pensable ? - et quelques autres. Au-delà d'un certain point, le dialogue se rompt, mais l'amitié subsiste jusqu'au bout, et fait porter l'attention sur de nouveaux objets. Cette correspondance, qui réunit le fonds d'archives de l'IMEC et la collection personnelle de Lucien Sève, fait ici l'objet d'une édition critique. Relisant ces échanges cinquante ans après, Lucien Sève s'attache à décrypter lettre par lettre ce qui peut paraître aujourd'hui énigmatique. L'historien du communisme Roger Martelli apporte au lecteur nombre d'éclaircissements sous forme de notes et d'une substantielle postface où il s'attache à dégager les apports originaux de ce volume à l'intelligence d'un moment marquant dans l'histoire du communisme français et dans la vie intellectuelle au XXe siècle.

04/2018

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Philosophie

Correspondance 1929-1949

Cet ouvrage propose la première édition intégrale des lettres retrouvées à ce jour entre les philosophes Jacques Maritain et Emmanuel Mounier. Cette correspondance enrichit largement, de 133 à plus de 200 lettres, la première édition partielle de 1973, qui n'était qu'une sélection de lettres illustrant la genèse de l'ouvrage collectif sur Péguy et celle de la revue Esprit. Elle est éclairée par la connaissance des Carnets personnels de Maritain, et du Journal complet de Mounier qui sont en cours de parution. Cette publication réévalue très largement l'image que l'on pouvait se faire de leur relation, révélant davantage encore la profondeur humaine et spirituelle de cette grande amitié. A l'instar d'Yves Simon ou de Henry Bars, Emmanuel Mounier se donne le beau titre de "filleul" de Jacques Maritain, de "fils aimant" : un fils libre et indépendant. Il prolonge à sa manière la philosophie politique, sociale et culturelle de Jacques Maritain, s'appuyant sur les jalons forts de sa pensée tels l'humanisme intégral, les moyens pauvres, "l'exister avec le peuple" ou l'amitié civique, l'ouverture aux autres religions et aux incroyants, la participation à une oeuvre commune mais aussi réalisant un travail personnel, parfois en décalage avec celle du philosophe de Meudon. N'est-il pas symbolique qu'emprisonné par le régime de Vichy, Emmanuel Mounier ait choisi de présenter à ses camarades de cellule, le 10 octobre 1942 "un soir Péguy, un soir Maritain" ? Sylvain Guéna : enseignant en histoire, docteur en lettres. Il a déjà publié la Correspondance Jacques Maritain/Max Jacob et une biographie de Henry Bars : Une aventure de l'esprit, un dialogue libre avec Jacques Maritain et collabore régulièrement aux Cahiers J. Maritain, à Nova et Vetera et à Nunc.

06/2016

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Critique littéraire

Correspondance 1928-1940

Le troisième et dernier volume de cette correspondance place d'emblée les deux écrivains dans un temps fort de l'Histoire, celui d'une rupture, d'un tournant sociétal marqué par la grande dépression de 1930. Ce désordre mondial a des répercussions à tous les niveaux de la société : chômage et récession, protectionnismes et replis sur soi, xénophobie et racisme, bref, tous les ingrédients d'une nouvelle guerre sont en germe. Le cadre temporel de cette correspondance est lui aussi éminemment symbolique. 1928 : le pacte signé par les grands pays condamnant le recours à la guerre et prévoyant à terme de la mettre hors-la-loi. 1940 : la France défaite est occupée par l'Allemagne nazie qui va mettre l'Europe à feu et à sang durant cinq ans. Cette décennie va être vécue avec intensité par les deux amis qui en retranscrivent l'atmosphère, les bruits et les couleurs, dans des lettres où l'on sent poindre une émotion sincère, entre inquiétude et exaspération.

08/2016

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Critique littéraire

L'expérience à l'épreuve. Correspondance et inédits (1943-1960)

Jusqu'à présent, Georges Ambrosino figurait comme une ombre mystérieuse dans les innombrables études du parcours de Georges Bataille. Pourtant, ce physicien nucléaire, de quinze ans son cadet, fut un de ses amis les plus proches. Leur correspondance épistolaire avec sa documentation annexe témoigne d'une complexe relation à base d'expériences partagées et d'attitudes divergentes vis-à-vis de l'" expérience " même. Eclairant certains enjeux et déboires de la Part maudite, ces textes complètent la correspondance de Bataille avec le philosophe politique Eric Weil (lui aussi, ami d'Ambrosino) à propos de Critique, et présentent une nouvelle perspective sur le mythe et les échos d'après-guerre de la société secrète Acéphale. Uhistoire de l'amitié révélée par ces lettres est aussi celle d'un amour. L'écrivain et l'éditeur visionnaire, fantasque, omnivore, meneur d'hommes, croulant sous ses projets. Le scientifique débordé, rêveur, révolté et susceptible, mais rigoureux, qui s'enflamme pour les pages philosophiques de Critique et voudrait s'impliquer dans la Part maudite — par la voie non seulement des sciences naturelles mais aussi des sciences sociales. Tout ceci dans l'immédiat après-guerre parisien transmis à travers un biais très affectif : comment s'opposer aux doctrinaires, aux " anti " — surtout aux antimarxistes ? Comment concilier l'histoire et le " non-sens ", former une communauté universelle qui n'en serait pas une, communiquer le silence, vivre dans le temps et l'instant, produire encore et encore pour fêter l'inachèvement, la dilapidation, la dépense improductive ? Comment sauver la planète, ou pas — et de quoi ?

11/2018

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Histoire internationale

Leningrad, 1943

Le 10 août 1941, les armées allemandes lancent l'offensive finale sur Leningrad. Moins d'un mois plus tard, la ville est encerclée. Pendant 872 jours - le siège le plus long de l'histoire moderne -, seule la "route de la vie", passant par le lac Ladoga gelé, permet l'approvisionnement, du reste très insuffisant, des Léningradois, qui souffrent de la faim et du froid. Alexander Werth, correspondant de guerre britannique, offre de cette tragédie un témoignage exceptionnel qui retrace la défense de la ville par ses habitants et raconte les stratégies de survie quotidiennes cachées derrière les mots "héroïsme" et "patriotisme".

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Autres collections (9 à 12 ans

Charles, 1943

Une plongée dans le quotidien d'un enfant résistant ! 1943. Charles a 12 ans et vit avec sa famille au Jardin des Plantes de Paris, où travaille son père. Cela fait déjà trois ans que l'armée allemande occupe la ville, toujours prise dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale, et à force de devoir côtoyer les Allemands, Charles a appris quelques-uns de leurs secrets... notamment ceux d'un habitué du Jardin, le colonel Kruger. Alors quand l'occasion se présente d'utiliser ce qu'il sait pour aider la Résistance, le garçon n'hésite pas ! Une mission à la fois, en secret et avec l'aide de la mystérieuse Solange, Charles participe à sa hauteur au destin de son pays...

02/2022

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Histoire-Géographie

Leningrad, 1943

Le 10 août 1941, sur le front est, les armées allemandes lancent l'offensive finale sur Leningrad. Moins d'un mois plus tard, la ville est encerclée, elle le restera jusqu'en janvier 1944. Pendant 872 jours, seule la " route de la vie ", passant par le lac Ladoga gelé, permet l'approvisionnement, du reste très insuffisant, des Léningradois, qui souffrent de la faim et du froid. Alexander Werth, correspondant de guerre britannique, se rend à Leningrad dès septembre 1943, alors que la ville endure toujours le siège le plus long de l'histoire moderne. Il offre de cette tragédie urbaine un témoignage exceptionnel qui retrace la défense de la ville par ses habitants. Comment et pourquoi ont-ils tenu? C'est ce qu'il raconte, dévoilant les stratégies de survie quotidiennes cachées derrière les mots "héroïsme" et "patriotisme ". Un récit dans lequel, écrit l'auteur, " les faits rapportés parlent d'eux-mêmes ".

02/2024

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résistances, sauvetages

Que sont mes amis devenus. Un adolescent en resistance

En 1940, Christian Bouhours a quinze ans. Il a perdu son père quelques années auparavant et habite Toulouse avec sa mère depuis 1937. Malgré son jeune âge, il entre dans la résistance très vite après la débâcle. Il est embauché au central téléphonique de la poste de Toulouse en 1943, puis s'engage dans l'armée après la libération de Toulouse en août 1944. Il sera démobilisé en octobre 1945. Cet ouvrage est à la fois son témoignage au coeur de la résistance toulousaine et celui de la construction d'un jeune homme face à l'adversité d'événements qui le dépassent.

03/2023

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Littérature française

Enfance et adolescence à travers la seconde guerre mondiale

Ce témoignage sur la guerre mondiale est fait " à hauteur d'enfant " : du concret, du vécu et des photos. Après la déclaration de guerre en 1939, il se poursuit, au moment de l'Invasion de juin 1940, par un périple cycliste qui nous mena jusqu'à Nîmes, où j'appris la mort de mon ami d'enfance, tué par une grenade... Retour à Paris peu avant le décès de mon père en 1943. Août 1944 : je franchis en trois jours les 90 km de Montereau à Paris où je vois de Gaulle à Notre-Dame... au milieu de la fusillade. Mai 1945 : la paix. Mais aussi déceptions et surtout immense espoir. 6 août 1945 : la bombe atomique ! ...

02/2023

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Sciences politiques

Quand le capitalisme vire au fascisme (1934-1940)

Après Face au fascisme allemand et A l'école de l'exil, voilà le troisième volume d'Une vie contre le capitalisme, une saga humaine et politique du 20e siècle, que Wilhelm Gengenbach nous a léguée. Le volume s'ouvre au milieu de l'année 1934, à la veille du Front populaire resté en France comme une référence à des acquis sociaux d'importance, les 40 heures, les premiers congés payés, etc. Le récit de cet ouvrier allemand, exilé en France pour fuir le nazisme, nous fait connaître la vie quotidienne d'un couple de prolétaires combatifs dont le moral est à l'unisson de celui de la classe ouvrière française. Après la grande manifestation unitaire à la Bastille, Denise pense que "C'est gagné, on ira tous les deux en vacances à la mer". Mais les mouvements de grève seront étouffés par les directions des syndicats et du Parti communiste français. Les belles conquêtes, seront utilisées à endormir la classe ouvrière française avant que le fascisme et la guerre ne déferlent sur toute l'Europe

10/2020

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Lecture 9-12 ans

Il ne restera que nos noms. 1942-1943

Paris, un matin d'été 1942, en pleine guerre, David et Fanny, deux enfants français de religion juive, prennent le train avec leurs parents afin de franchir la ligne de démarcation pour s'éloigner de la barbarie nazie. Mais cette ligne ne sera jamais franchie. Leur mère arrêtée et leur père en zone libre, ils séjournent dans une ferme avant d'être raccompagnés à Paris chez leurs grands-parents. Retour à l'école, ennui, peur, attente du courrier, silence de leur mère. Mais où est-elle ? Pourquoi ne leur écrit-elle plus jamais ? Que va-t-il leur arriver ? Avec l'humour et la naïveté de la jeunesse, David nous raconte son histoire, une histoire vraie, celle d'une enfance volée, effacée.

01/2015

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Histoire de France

Les vampires : éliminations et sabotages. Résistance, 1943-1945

Novembre 1942, la Wehrmacht envahit la zone libre, entraînant de fait l'implantation des services de police et de répression allemands au sud de la Loire. Ces derniers ne peuvent trouver une véritable efficacité sans le concours du régime de Vichy. Ainsi, des Français sans vergogne, agents de la Sipo-SD ou de l'OPA, miliciens, collaborateurs de tout poil aux motivations souvent plus vénales qu'idéologiques, deviennent les auxiliaires zélés de l'occupant. Pour la Résistance, dont les bases sont déjà solidement établies, le pouvoir de nuisance de ces traîtres représente un danger capital. Dans la région clermontoise, Émile Coulaudon, futur commandant des FFI d'Auvergne, décide de former une unité spéciale en charge des éliminations de « collabos ». Créé à partir du groupe sédentaire rassemblé par Lucien Blanchet, le corps franc des Vampires s'organise progressivement et devient opérationnel. Exécutions et sabotages spectaculaires sont le quotidien de ces combattants de l'ombre qui, pour parvenir à leurs objectifs, doivent régulièrement infiltrer les informateurs de l'ennemi et fréquenter la pègre locale. Entraînés par des chefs inflexibles comme « Bernard », « Cristal » ou « Carpentier », les membres du corps franc prélèvent le tribut du sang et instaurent un climat de psychose chez certains collaborateurs. Traqués tant par la police de Vichy et la Milice que par les services allemands, ils rendent coup pour coup dans la lutte sans merci qui s'est engagée. Loin des combats glorieux du mont Mouchet ou de la Truyère, les Vampires vont ainsi écrire une des pages les plus délicates et méconnues de la Résistance.

03/2015

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Histoire de France

Souvenirs lointains de Buchenwald et Dora, 1943-1945

De 1940 à 1943 Jean-Claude Dreyfus a cherché sans relâche, de Paris à Toulouse, de Lyon au Bugue en Dordogne, de Rouen à Annecy, comment exercer son métier : médecin. Avec son humour particulier, J. -C. Dreyfus nous raconte son odyssée, témoignage rare d'un jeune interne des hôpitaux subissant les lois d'exclusion et de marginalisation sociale de l'antisémitisme d'Etat sous l'Occupation. Ce récit, historique et sensible à la fois, est traversé par une question universelle : comment passer ce temps-là, ce temps "empêché" , jour après jour ? Jean-Claude Dreyfus (1916-1995) a été arrêté fin 1943 et déporté. Libéré en 1945, il deviendra chercheur et professeur de biochimie médicale à la Faculté de médecine Cochin Port-Royal à Paris. Fac-simile, bibliographie Préface de Denis PESCHANSKI, historien. PRIX DE LA SOCIETE D'HISTOIRE DE LA MEDECINE 2009

02/2009

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BD tout public

L'écolier en bleu. Chaïm Soutine (1941-1943)

Printemps 1942. Pour Chaïm Soutine, peintre juif russe, Paris est devenue trop risquée. Si l'exil à la campagne s'impose aussi pour sa santé, c'est finalement sa créativité qui en tirera le plus grand bénéfice ! La Gestapo semble loin, Soutine trouve en Marcel, le fils du garde champêtre, un modèle particulièrement inspirant. Le gamin qui restera "l'écolier bleu" endure l'humeur de l'artiste et parvient à lui faire tomber peu à peu le masque de l'ogre...

10/2019

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Résistance

La victoire en pleurant. Alias Caracalla (1943-1946)

Les lecteurs d'Alias Caracalla vont retrouver dans le deuxième volume des Mémoires de Daniel Cordier le même bagarreur épris d'idéal et de sacrifice, le même témoin candide mais scrupuleux de la grande histoire, le même jeune homme sensible, avide d'art et de culture, le même timide trop fier pour ne pas souffrir de ses faiblesses, le même ami fidèle multipliant les rencontres avec des êtres d'exception. La Victoire en pleurant prend la suite d'Alias Caracalla, immédiatement après l'arrestation de Jean Moulin, en juin 1943, et accompagne Daniel Cordier jusqu'en janvier 1946, moment où il démissionne des services secrets quand le général de Gaulle quitte le pouvoir. On le retrouve accomplissant son harassante besogne de pivot de la Délégation du Comité français de la Libération nationale, avec une lassitude croissante et au milieu de dangers toujours plus menaçants. On l'accompagne dans ses vacances improvisées ; dans ses conversations avec Jean-Paul Sartre, Albert Camus ou Raymond Queneau ; dans son internement en Espagne ; à la tête de son " agence de voyage " de Londres, où il contribue de son mieux à la réussite du Débarquement ; dans son douloureux retour en France à l'automne 1944 ; dans ses fonctions au sein des services secrets, à l'intersection de la Résistance et du pouvoir politique. On l'entend s'entretenir avec Raymond Aron ou André Malraux. On est à ses côtés, quand il retrouve ses amis rentrant de déportation. Il y demeure le même, avec sa loyauté, ses emportements, sa passion, ses doutes, ses fous rires inattendus ou ses larmes. Toujours fidèle à son engagement au service de la liberté.

06/2021

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Militaire

Un élève-pilote français aux USA. 1943-1946

Du haut de ses 18 ans, Adrien, natif de la région de Bougie (Algérie), engagé volontaire, rejoint fin 1943 Casablanca pour intégrer "Le Centre de Préparation du Personnel Naviguant" au sein duquel il fut "inscrit d'office" pour suivre des cours de pilotage aux USA. Embarqué avec le 14ème détachement pour une traversée périlleuse, il découvre Boston avec ses camarades, avant d'être transféré en Alabama où les attendait une organisation militaire implacable et méticuleuse, pour accéder au niveau de maîtrise exigé permettant d'être incorporé en qualité de pilote dans les forces armées. Ce furent ensuite diverses étapes Formatrices dans le Colorado, en Caroline du Sud, dans le Michigan, dans le cadre de la "formation en escadrilles". L'auteur nous fait ainsi découvrir différents visages de l'Amérique de l'époque, avec en apothéose la visite de son détachement par le Général de Gaulle, suivie peu après du fait de la fin de la guerre, du rapatriement de sa formation en métropole, précédant le retour sur le sol de son enfance... Ce témoignage authentique révèle un fait demeuré ignoré en France, à savoir la formation outre-Atlantique de plus de 4000 pilotes, radios, navigateurs, mécaniciens et mitrailleurs Français, dans le cadre des Centres de Formation du Personnel Naviguant en Amérique (CFPNA), qui ont "concouru à la victoire finale".

07/2021

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Critique

Journal de guerre. Roumanie, France, Suisse (1943-1945)

Après avoir commencé la guerre à Londres, après avoir appartenu plus d'un an au cabinet de Pierre Laval à Vichy, voici Paul Morand nommé ministre plénipotentiaire à Bucarest, alors que l'Armée rouge est aux portes de la Roumanie, alliée de l'Allemagne nazie. Le diplomate se met au travail dans des conditions difficiles qui le poussent à des allers-retours vers Paris et Vichy. Il assiste ainsi aux derniers mois de l'Etat français en déliquescence, avant d'être nommé in extremis ambassadeur à Berne. Il touche au but... pour cinq semaines. Révoqué, il choisit l'exil en Suisse pour échapper aux sanctions, au sein de cette communauté de "réfugiés" qui suit à distance la guerre, l'avènement d'un nouveau régime en France et les procès qui frappent le précédent. Tout au long de ces deux années, Paul Morand tient son Journal de guerre, sans jamais rien renier de ses convictions. Il y fait une place de plus en plus grande à l'écrivain, après avoir rêvé d'en faire le journal d'un ambassadeur. Rien n'a été retouché ni omis du manuscrit d'origine. C'est dans le respect de son désir initial de publication que paraît le second tome du Journal de guerre de Paul Morand, à la fois document historique passionnant - parfois aussi choquant - et apport inédit aux pages de sa biographie qui avaient semblé, jusque-là, étrangement vides.

11/2023

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Histoire internationale

Je suis le dernier Juif. Treblinka (1942-1943)

Octobre 1942. Chil Rajchman a 28 ans quand il est déporté à Treblinka. Il échappe à la chambre à gaz en devenant tour à tour trieur de vêtements, coiffeur, porteur de cadavres ou « dentiste ». Le 2 août 1943, il participe au soulèvement du camp et s'évade. Après plusieurs semaines d'errance, le jeune homme se cache chez un ami près de Varsovie. Dans un carnet, il raconte ses dix mois en enfer. À la Libération, il est l'un des 57 survivants parmi les 750 000 Juifs de Treblinka. Aucun camp n'avait été aussi loin dans la rationalisation de l'extermination de masse. Ce texte, publié pour la première fois, est unique. Écrit dans l'urgence, avant même la victoire sur les nazis, il s'inscrit parmi les plus grands.Un texte tenaillé par la seule et impérieuse volonté de transmettre une « invraisemblable » vérité. Serge Kaganski, Les Inrockuptibles.

11/2011

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Critique littéraire

Petit entracte à la guerre. Journal 1940-1943

"Un Journal tente de saisir une vie au passage : est-ce bien la peine ? Ce n'est jamais qu'une vie parmi d'autres, innombrables. On se dit parfois que c'est pourtant ce qu'on pourrait laisser de mieux : un document, où certains se reconnaîtront et se retrouveront. Parlant de soi, on parle de tout le monde, et pour bien d'autres, qui vous sauront gré de l'avoir fait. Peut-être leur communiquera-t-on ce qui a surnagé, survécu, après tant de naufrages, et nous a permis de vivre, un secret ? On se persuade ainsi qu'écrivant un journal, on n'a pas fait ouvre inutile. Cela, quand on est en veine de morale. À d'autres moments, il semble étrange d'avoir connu des états si divers, tant d'expériences qui vous ont désespéré ou comblé de joie, en un temps si court, et cependant si riche qu'il ne mérite pas un complet oubli. On se dit alors : quand tout s'efface, peut-être aurai-je laissé la trace de mes pas", José Cabanis.

01/1981

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BD tout public

Hergé, le feuilleton intégral. Volume 9, 1940-1943

Le volume 9 de cette série du Feuilleton intégral réunit quatre épisodes de l'oeuvre d'Hergé qui constituent, par le caractère exceptionnel et très inhabituel de leur support, une parenthèse de publication. Peu connue, elle vient s'inscrire entre le défunt Petit Vingtième et le futur journal Tintin. Hormis le temps d'une brève apparition dans Le Soir Jeunesse, les aventures de Tintin vont, faute de papier, devoir se poursuivre dans un espace réduit à des strips de plus en plus modestes, au bas d'une page du Soir, un quotidien placé sous le contrôle de l'Occupant, précipitant Hergé dans un milieu compromettant qu'il n'avait pas particulièrement recherché. La parenthèse ne nous apparaît que considérée sous cet éclairage car les quatre titres vont constituer une révolution tant graphique que narrative dont les effets vont peser durable- ment sur la façon dont Hergé concevra les aventures du reporter. Cette période, commencée en octobre 1940, s'achèvera avec le prologue du Temple du soleil (renommé plus tard Les 7 Boules de cristal) interrompu par la libération de Bruxelles, en septembre 1944. Cette partie de l'aventure, poursuivie dès 1946 dans le journal Tintin, sera intégrée au volume suivant pour une raison impérative de continuité narrative.

10/2017

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Ouvrages généraux

Evadés. Récits de prisonniers de guerre 1940-1943

Pourquoi un prisonnier de guerre est-il fier de raconter l'histoire de son évasion ? Parce qu'il échappe au sort collectif et retrouve une destinée individuelle. Parce qu'il refuse la passivité et retrouve l'action (pas forcément la liberté, certes, s'il a échoué, mais dans les deux cas, il a agi). Parce qu'il est le héros d'une aventure personnelle au milieu de la folie collective. Mais aussi parce qu'il devient un exemple d'héroïsme militaire sans attenter à la vie de personne. C'est une des rares circonstances de la vie où la transgression est un mérite. Explorant les fonds de l'Association pour l'autobiographie et le Patrimoine Autobiographique (APA) concernant la Seconde Guerre mondiale, le chercheur Philippe Lejeune été fasciné par les récits d'évasion de prisonniers de guerre, de véritables thrillers qui se terminent souvent comme des contes de fées : on rentre sain et sauf à la maison. Ce qui fut si difficile à vivre devient agréable à raconter des années après.

03/2022

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Biographies

Chroniques du temps de la guerre (1941-1943)

De 1941 à 1943, Orwell fut engagé par le service indien de la BBC destiné à porter une bonne parole culturelle et politique aux sujets du bon roi George VI du sous-continent asiatique. Esprit libre entre tous, Orwell se passionna rapidement pour sa tâche. Du côté culturel, il s'attacha à faire mieux connaître des auteurs comme Jack London, Jonathan Swift, Bernard Shaw, Shakespeare ou Oscar Wilde. Il improvisa des dialogues autour d'oeuvres d'Anatole France et H.G. Wells. Du côté politique, il tint une chronique hebdomadaire commentant la situation militaire sur le front de l'Est. Cette expérience lui fit prendre conscience de l'importance de la propagande dans le monde contemporain. Elle est directement à l'origine des deux chefs-d'oeuvre qu'il écrivit ensuite : La ferme des animaux et 1984. A travers ces écrits de circonstance, on retrouve le génie d'Orwell à l'état originel.

04/2021