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Dyan Sheldon

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Tourisme étranger

Pistas de Marruecos volumen 11. El djebel sagho

El jebel Sagho es la prolongación oriental del Anti-Atlas, una montana volcánica con mamelones graníticos, órganos basálticos, caos de pizarra negra, arenisca rosa... a las puertas del Sahara. Hasta donde alcanza la vista, grandes espacios salvajes y áridos. Una tierra desolada hecha para el solitario DPM. Y durante mil kilómetros a la redonda, el silencio es el único companero. Plenitud absoluta y ganas de salir a la pista. De las extensiones planas a las colinas onduladas, de los relieves pronunciados a los canones escarpados : naturaleza pura y original. El carácter es fuerte, rústico, pero el corazón es blando. Los colores son suaves y delicados. Ocre, rosa, marrón, violeta, la carta de colores se extiende en una gradación de pasteles brillantes, a veces acompanados de un calor abrumador. Eldorado en el corazón del desierto, raros son los oasis ; modestas manchas verdes en lo infinitamente grande, son los recordatorios de que estamos en suelo africano. El encanto salvaje del Sagho se debe a su excepcional geología : altos acantilados y picos escarpados, escarpes tabulares y profundos canones por los que circulan caravanas de camellos y mulas. Al llegar a estas inmensas mesetas, el horizonte lunar es tan vasto que dan ganas de ir a todas partes a la vez para ver si realmente es tan bello en otros lugares. El Sagho también sorprende por la riqueza de sus luces : límpidas como las del cercano Sáhara, o a veces en medio tono, como en el vecino valle del Dades. El Sagho es también el Marruecos de los últimos nómadas bereberes, descendientes de los antiguos senores Aït Atta. En otono, tras dejar las nieves del Alto Atlas, instalan sus tiendas de lana oscura en las laderas del jebel hasta la primavera. No saben leer ni escribir, pero están seguros de su camino a través de las montanas del Atlas y el desierto marroquí. En el Sagho, han construido casas de piedra sin cocer, han cavado pozos, han plantado almendros, han cultivado trigo, cebada y diversas hortalizas. Otros construyeron rebanos de cabras y ovejas, y caravanas de camellos. Hoy en día la mayoría son sedentarios, seminómadas o nómadas...

08/2022

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Monographies

La couleur crue

Ce catalogue est publié à l'occasion de l'exposition "La couleur crue" qui se tiendra à Rennes au musée des Beaux-Arts du 25 juin au 13 septembre 2020 (dates à confirmer) L'exposition se concentre sur la relation entre la couleur et la matière. Derrière ce lien étroit, apparaît d'emblée la question - essentielle pour les artistes - de l'existence de la couleur à l'état naturel et de sa relation à la lumière. Comment existe-t-elle dans la matière même ? Peut-on toucher la couleur ? Peut-on la traverser ? Peut-on la capter, la figer, la transmettre ? Le terme de couleur crue renvoie aux éléments fournis en profusion par la nature, aux forces telluriques et aux socles communs d'une histoire de l'art plurimillénaire. Elle peut suggérer l'aspiration à une forme de simplicité, voire de pureté (originelle), par opposition aux sophistications des sociétés matérialistes. Elle peut également exprimer l'emploi direct d'objets trouvés, de matériaux considérés comme non nobles et des techniques artisanales abondamment remis au centre de la question artistique par plusieurs générations d'artistes du XXe et XXIe siècles, de l'Art & Craft à l'Arte Povera jusqu'à aujourd'hui. Enfin, la couleur crue c'est aussi des procédés chimiques et des expérimentations menées depuis toujours par les artistes. L'exposition explore ainsi la couleur de la matière dans la variété des formes et des formats dont les artistes se sont saisis : couleurs naturelles et artificielles ; pigments simplement recueillis ou transformés. Elle entre dans les profondeurs de la matière-couleur à travers des oeuvres, des processus et des expérimentations aussi bien naturels que technologiques, qui vont de la matière la brute à la plus insaisissable et instable. Liste provisoire d'artistes : Caroline Achaintre, Dove Allouche, Michel Blazy, Michele Ciacciofera, Edith Dekyndt, Sonia Delaunay, Daniel Dewar et Grégory Gicquel, Dan Flavin, Gérard Gasiorowski, Katharina Grosse, Ann Veronica Janssens, Anish Kapoor, Mike Kelley, Aglaïa Konrad, Wolfgang Laib, Perrine Lievens, Vincent Malassis, Flora Moscovici, Jean-Luc Moulène, Florian et Michaël Quistrebert, Evariste Richer, Anri Sala, SARKIS, Jennifer Tee, Adrien Vescovi, herman de vries, Jessica Warboys, Remy Zaugg...

07/2021

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Histoire des religions

Religions et fin de vie (TP)

La question de la fin de vie ne laisse personne indifférent. Depuis plusieurs décennies, le suicide assisté et l'euthanasie, comme solutions à la désespérance, la maladie et la souffrance, font débat au sein de nos sociétés. Dans ces discussions, les religions et les spiritualités ne parviennent pas toujours à se faire entendre. L'anthropologue Laëtitia Atlani-Duault offre pour la première fois à de grandes voix religieuses et intellectuelles de France un espace de dialogue autour de la fin de vie. Chacune dans leur tradition théologique, elles abordent sans détour l'importance du lien et du consentement à la mort, mais aussi à la vie. Contributeurs : Olivier Abel (philosophe protestant), Dan Arbib (philosophe et spécialiste d'études juives), Sadek Beloucif (professeur de médecine et président de l'association "L'Islam au XXIe siècle"), Antony Boussemart (coprésident de l'Union bouddhiste de France), François Clavairoly (pasteur et théologien protestant), Chems-eddine Hafiz (recteur de la Grande Mosquée de Paris), Haïm Korsia (grand rabbin de France et membre de l'Institut), Christian Krieger (pasteur et président de la Fédération protestante de France), Denis Malvy (professeur de médecine, théologien et prêtre orthodoxe), Véronique Margron (théologienne et soeur dominicaine, présidente de la Conférence des religieux et religieuses de France), Eric de Moulins-Beaufort (archevêque de Reims et président de la Conférence des évêques de France), Dimitrios Ploumis (métropolite de France et président de l'Assemblée des évêques orthodoxes de France), Jigmé Thrinlé Gyatso (lama et coprésident de l'Union bouddhiste de France). Laëtitia Atlani-Duault est anthropologue et a créé un groupe de réflexion sur les grands sujets de société au prisme des religions et spiritualités. Elle est directrice de recherche à l'Université Paris Cité - IRD, vice-présidente Europe de l'Université Paris Cité, présidente de l'Institut Covid19 Ad Memoriam et professeur affiliée à l'Université Columbia. Elle a été membre du Conseil scientifique Covid-19 et de la Commission indépendante d'enquête sur les abus sexuels dans l'Eglise de France. Elle a récemment dirigé Les Spiritualités en temps de pandémie (Albin Michel, 2022).

10/2023

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Philosophie

Commentaire de l'Euthyphron de Platon

"Aux Etats-Unis surtout, mais aussi, à divers degrés, dans les pays d'obédience anglo-saxone, l'Euthyphron est un dialogue très prisé au point de servir d'introduction à des enseignements de logique dans la mesure où il est considéré comme un bon exercice dans ce domaine en raison du morceau 10 a-11 b, si âprement disputé". "Ce morceau "logique" revêt également une dimension que l'on est forcé de considérer comme "théologique" dans la mesure où une tendance significative du commentarisme, allant sans doute bien au-delà de la préoc-cupation initiale de Platon, voit dans le dilemme ("Le pieux est-il pieux parce que les dieux l'aiment, ou les dieux aiment-ils le pieux parce qu'il est pieux ? ") l'expression d'un débat théologique général : le Bien est-il le Bien parce que Dieu le commande ou bien Dieu commande-t-il le Bien parce qu'il est le Bien ? " [C'est ce problème que les Anglo-Saxons appellent Euthyphro Dilemma]. "Deux autres thèmes retiennent également l'attention, et cette fois davantage celle des spécialistes. L'un, qui ouvre le dialogue, porte, au-delà de la distinction entre dikè et graphi, sur des aspects essentiels du droit grec ancien. Le second, qui conclut le dialogue, à la suite du fameux morceau 10 a-11 b, retrouve un problème classique du premier platonisme, la nature et/ou l'unité des vertus à travers le rapport entre Piété et Justice". "En France, et dans le monde francophone en général, on peut déplorer un certain retard qu'accusent les travaux d'interprétation de l'Euthyphron. En dehors de l'Euthyphron de Platon, dû à Jean-Yves Chateau, il n'y a guère que le récent ouvrage de Dan Solcan : La piété chez Platon. Une lecture comparée de l'Euthyphron et de l'Apologie (Paris, L'Harmattan, 2009)". Le but de ce travail très méticuleux de Djibril Samb est de combler le retard de la France et du monde francophone par rapport au monde anglo-saxon dans le commentarisme de l'Euthyphron.

05/2017

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Histoire internationale

Les Babitchoua. Parenté, chefferie et résistance aux Allemands dans le sud-est bamiléké

Les liens entre parenté et pouvoir sont au coeur de l'anthropologie politique, et leur importance est ici décrite chez les Babitchoua du sud-est bamiléké, chefferie fondée au XIXe siècle par un groupe d'artisans du fer partis de Pitoa, près de Garoua dans le nord du Cameroun, pour fuir l'islamisation forcée du djihadiste Ousmane Dan Fodio (1804-1809). A deux unités près, la vingtaine des lignages ou "grandes familles" proviennent d'une filière unilinéraire (descent group) fondée par Moukoua, qui sédentarisa son groupe à Tchapla au sud-est de Baloua et de Bandounga, sur des terres achetées aux Loba du nord Makombé (vers Yabassi). Les institutions politiques sont donc contrôlées par un même macrolignage : le livre parle d'un cas (polémique) d'"anarchie semi-ordonnée" en milieu bamiléké qui, de fait, impose l'exogamie et la précarité du centre politique. Monogame, Moukoua et son épouse Mbon ont eu deux garçons, qui forment le système de base de la parenté dans cette société patrilinaire : Sâmou Mbon (fondateur de la lignée Sâkeke, ou Sâ) et Dimou Mbon (fondateur de la lignée Bodime, ou Bo). Les descendants ont pris le pouvoir très au sérieux : après Moukoua, des lignages dissidents et des outsiders n'ont eu de cesse de se multiplier. Crises de succession et compétitions d'ascension hégémonique sont devenues la norme : la pénétration coloniale allemande massacra des Babitchoua à Nouboum Tchapla en 1912 ou 1913 en en tirant profit. L'arrivée des Français (1923), la guerre civile (1955-1965), le décret hiérarchisant les chefferies (1977) et les tentatives hégémoniques incessantes des Bandounga, que les Babitchoua placent à l'origine de bien de leurs malheurs et des pires, ont exacerbé ces disputes, entraînant de grandes vagues migratoires. Depuis 1983, le retour et le rassemblement Sâ-Bo sont devenus des enjeux centraux dont la diaspora urbaine s'est emparé : des "courtiers en développement" en tous genres apparaissent avec l'Etat et des "projets structurants" (écoles, électrification, construction de maisons de campagne, exploitation du domaine, etc.), au moment où des confréries planchent sur des réformes inédites (refondation du code matrimonial pour marier Sâ et Bo, pouvoir unitaire, etc.). Babitchoua est en marche !

06/2016

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Comics divers

Teenage Mutant Ninja Turtles - Les tortues ninja L'intégrale Tome 3

La meilleure histoire de la série phénomène de la Pop-Culture ! Reprenant les fondements de l'histoire des personnages cultes des années 1980, Kevin Eastman et Tom Waltz nous embarquent dans les bas-fonds et égouts de Manhattan, aux côtés de quatre Tortues mutantes bien connues, d'un rat géant et du terrible Shredder. Leonardo, Raphael, Michelangelo et Donatello ont commencé leurs aventures dans un laboratoire avant de devenir les héros que l'on connaît, destinés à déjouer les innombrables menaces qui pèsent sur le monde. Représentant bien plus que des figures bienveillantes, impossible de ne pas s'attacher à ces reptiles pleins d'humanité et à l'univers complexe dans lequel ils évoluent, de New-York à Northampton en passant par les confins de l'espace. (Re)découvrez depuis leurs origines, les aventures complètes des Tortues Ninja réunies dans un format retravaillé, pour un nouveau départ ! - Format inédit : Intégra et gaufrage multiniveaux, avec plus de 400 pages d'aventures Tortues Ninja. - Ce tome 3 comprend les issues #21-28 de la série ongoing (le tome 2 des Tortues Ninja : La Chute de New York - première partie et le tome 3 des Tortues Ninja : la Chute de New York - seconde partie) ; les micro-séries dédiées à Old Hob, Alopex, Karai, Hun, Bebop & Rocksteady, Shredder ; et l'issue inédite TMNT Annual 2012.

02/2024

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BD jeunesse divers

Bleak Tome 2 : 3 histoires d'horreur

Bleak la BD inspirée des Threads Horreur de Squeezie Bleak est de retour ! Trois histoires originales, inspirées des threads horreur de Squeezie. Une étudiante décroche un premier job dans un restaurant aux traditions étranges, un garçon reçoit une invitation mystérieuse pour son anniversaire et des jumeaux découvrent une pièce secrète dans leur maison. BLEAK vous invite dans un monde où tout peut arriver, surtout le pire.

05/2023

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Philosophie

Cahiers de médiologie N° 3 : Anciennes nations, nouveaux réseaux

Ouverture : Odon Vallet, Nation : genèse d'un mot Andre Guillerme, Réseau : genèse d'un mot Régis Debray, La statue descellée par ses socles même Espaces et nation : du facteur au serveur : Catherine Bertho-Lavenir, Le facteur national : la politique des réseaux postaux Odon Vallet, Sur la crête des nations André Lebeau, Satellites versus Etats : du GEO au LEO Jean-Paul Tchang, De la criée au Globex : l'interconnexion des marchés P-Frédéric Tenière-Buchot, L'Etat-nation soluble dans l'eau ? Bernard Barraque, Réseaux hydrauliques : territoires mouvants Augustin Berque, Biosphère ou cybermonde ? Seok-Kyeong Hong, Corée : bi-bop, famille, patrie Daniel Dayan, Médias et diasporas Marc Verprat, Le pays sans carte Karine Douplitzky, Quelle citoyenneté pour mon avatar ? Images et nation : de l'icône au sit-com : Jean Clair, De l'art en France à Made in France Bernadette Dufrene - Pontus Hulten, L'art est-il trans-national ? (entretien) Jean-Michel Frodon, La projection nationale. Cinéma et nation Pierre Haffner, Nations nègres et cinéma Dileep Padgaonkar, TV et Mother India (entretien) Karine Douplitzky, Chandigarhr, architecture pour une nouvelle nation Luiz Martino, Brésil : de la nation comme telenovela François-Bernard Huyghe, Voir l'ennemi : l'hostilité à l'âge cathodique Sadok Hammami, L'exil des regards Jérôme Clément, Peut-il y avoir une (télé)vision franco-allemande ? (entretien) Langages et nation : du cahier au fichier : Anne-Marie Thiesse, La construction scolaire Geoffrey Numberg, L'Amérique par la langue Jaron Lanier - François Cusset, Programmes informatiques, programmes politiques (entretien)Denis Laborde, Les Sirènes de la World Music Bruno Oudet - Jean-Claude Guédon, Vers une nouvelle écologie des langues ?François Cusset, Grand soir et petite souris Jean-Marie Apostolides, L'affaire Unabomber Jacques Perriault, De nouvelles gares pour le savoir Kiosque : Catherine Bertho-Lavenir, Saint-Simon : la thèse de Musso Daniel Bougnoux, De l'empreinte à Photoshop Jacques Perriault, De la parole républicaine à l'écrit impérial Monique Sicard, Science et culture : histoire d'une rupture - Cérémonies télévisuelles Henri Gay, Willy Ronis : humour, système, humour systématique Serge Tisseron, Du trouble du corps au trouble du clone Frederic Mora, Un cauchemar américain Serge Tisseron, Réseau symbolique et société virtuelle - La nostalgie des signes Karine Douplitzky, Chris et l'amour ; Chris. et la mort Catherine Bertho-Lavenir, Gaston technologue François Cusset, Le désert des lève-tard Jean-Michel Frodon, Beaubourg face à l'Histoire Monique Sicard, Marcheschi, le noir dessein Karine Douplitzky, Exposition temporaire à la Cité des Sciences et de l'Industrie, décembre 1997. Nouvelle image ; nouveaux réseaux Jean-Louis Malandais, L'anglais, face cachée du français Daniel Bougnoux, Pierre Bourdieu, la science et les médias - Pierre & Gilles, petits vernis Jean-Michel Frodon, Deux petites notes en passant Anthologie : Collectifs, Réseaux et nations, de Achille-Nicolas Isnard à Jacques Le Goff

04/1997

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Musicologie

Revue de musicologie Tome 107 N° 1 (2021)

Un grand amour de Beethoven. Parcours de Brigitte et Jean Massin Esteban Buch Pratiques de l'écoute en disposition de salon. Une enquête historique et empirique Emmanuel Reibel et Benoît Haug Notes et documents Le fonds de manuscrits musicaux de Maurice Ravel des Archives du Palais princier de Monaco Manuel Cornejo Nécrologie En souvenir d'Yves Gérard (1932-2020) Jean-Michel Nectoux, Achille Davy-Rigaux et Catherine Massip Daniel Heartz (1928-2019) Michel Noiray Comptes rendus Du bruit à la musique. Devenir organiste, M. Balthazar Lucille Lisack The Cambridge History of Music Criticism, dir. Chr. Dingle Katherine Ellis Bourdieu et la musique. Enjeux et perspectives, dir. P. Kaelblen, I. Kirchberg et A. Robert Isabelle Mayaud Les "bandes" de violons en Europe. Cinq siècles de transferts culturels. Des anciens ménétriers aux Tsiganes d'Europe centrale, L. Charles-Dominique Forence Gétreau London Voices, 1820-1840. Vocal performers, practices, histories, dir. R. Parker et S. Rutherford Edward Gillin Discordant Notes. Marginality and Social Control in Madrid, 1850-1930, S. Llano Aimée Boutin Une pluralité audible ? Mondes de musique en contact, dir. Talia Bachir-Loopuyt et A. Damon-Guillot Luc Charles-Dominique The Powers of Sound ans Song in Early Modern Paris, N. Hammond Leendert van der Miesen Sex, Death & Minuets. Anna Magdalena Bach and Her Musical Notebooks, N. Hammond W. Dean Sutcliffe The Cambridge History of Sixteenth-Century Music, dir. I. fenlon et R. Wistreich Richard Freedman The Cambridge Encyclopedia of Historical Performance in Music, dir. C. Lawson et R. Stowell Benoît Haug Operatic Geographies. The Place of Opera and the Opera House, dir. S. Aspden Mark Everist El músico como intellectual. Adolfo Salazar y la creación del discurso de la banguardia musical espanola (1914-1936), Fr. Parralejo Masa Stefan Etcharry Coquettes, Wives, and Widows. Gender Politics in French Baroque Opera and Theater, M. Ray Lola Salem Kunst, Spiel, Arbeit. Musikerleben in Deutschland, 1850 bis 1960, M. Rempe Alexander K. Rothe La création musicale à Montréal de 1996 à 2006 vue par ses institutions, A. Couture Gilles Demonet Sense and Sadness. Syriac chant in Aleppo, T. Jarjour Estelle Amy de la Bretèque Analytical Essays on Music by Women Composers. Secular and Sacred Music to 1900, dir. L. Parsons et B. Ravenscroft Susan Wollenberg Paul Dukas. Legacies of a French Musician, dir. H. J. Minors et L. Watson Cécile Quesney Decomposed. The Political Ecology of Music, K. Devine Gavin Williams Ruinas sonoras de la modernidad. La canción popular sefardí en la era post-tradicional, E. Seroussi, trad. et éd. S. Asensio Llamas Susana Weich-Shahak Journal d'un critique musical lyonnais (1907-1940), L. Vallas, intro. Ph. Roger et J. Dorival, éd. J. Dorival Yves Balmer La ricerca musicologica in Italia. Stato e prospettive, dir. A. Caroccia Giulia Gio

04/2021

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Littérature anglo-saxonne

Girls of Summer

Je me sentais comme une déesse grecque. Mais bien sûr, c'était avant. Avant que les chuchotements ne commencent à assombrir l'air de l'été comme un orage imminent. Avant que la police ne débarque sur l'île, uniformes oppressants et sombres sous le soleil de midi. Avant que le corps ne s'échoue, brisé, sur la plage. Rachel est amoureuse d'Alistair depuis ses dix-sept ans. Même si elle ne l'a pas revu depuis des années et qu'elle est maintenant mariée à quelqu'un d'autre. Même si elle était adolescente lorsqu'ils se sont rencontrés. Même s'il a vingt ans de plus qu'elle. Elle n'a jamais pu oublier l'été qu'ils ont passé ensemble sur une île grecque isolée et baignée de soleil. Mais lorsque Rachel renoue inopinément avec une fille qu'elle a connue à l'époque, ses souvenirs idylliques se couvrent de nuages. Le malaise va grandissant à mesure qu'elle replonge dans les souvenirs de cet été-là. Et si rien de ce qu'elle avait vécu ne s'était passé comme elle le pensait ? Roman coup de poing post #MeToo, Girls of Summer s'attaque frontalement au rapport de domination et au consentement. Il explore le rapport entre mémoire et traumatisme et la façon de se réapproprier son véritable passé. "Un roman terriblement percutant. Katie Bishop s'est inspirée des débats sur #MeToo pour écrire ce récit troublant sur le consentement et le contrôle". The Times "Sombre, d'actualité et qui donne à réfléchir. C'est un livre qu'il faut lire". The Sun "Une lecture incontournable, captivante, viscérale et crue. A acheter absolument". Glamour "Ecrit comme un thriller, vif et efficace. Un succès garanti". The Independent "Une lecture sombre parfaite pour les fans de My Dark Vanessa". Cosmopolitan "Ce premier roman prometteur est une exploration opportune de la façon dont les hommes prédateurs plus âgés séduisent et manipulent les jeunes femmes... Une dissection sans faille du pouvoir abusif des hommes et de la force de la solidarité féminine". Publisher's Weekly "Le premier livre de Katie Bishop, très perspicace, montre une compréhension aiguë de la façon dont les choses étaient et de la façon dont elles sont maintenant. L'histoire actuelle est peut-être une fiction, mais il y a beaucoup de vérités dans les pages, et cela donne une lecture puissante, captivante et pleine de suspense". Culturefly "Il y a longtemps que je n'avais pas lu un premier ouvrage aussi captivant. Magnifiquement écrit et incitant à la réflexion, plein de suspense. C'est le livre que je recommanderai à toutes mes amies d'emporter en vacances cet été". Lucy Clarke "Un premier roman envoûtant, troublant et captivant". Catherine Ryan Howard "Une nouvelle voix audacieuse. C'est LE livre de l'été". Katie Couric Media

06/2024

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Policiers

Bird est vivant !

Le pianiste de jazz Evan Horne est de retour après une année de repos forcé, à la suite d’un accident de voiture dans lequel il a failli perdre l’usage de la main droite. La chance semble de nouveau lui sourire en la personne d’un producteur qui lui propose un contrat ; quant à son autre vie – à savoir la résolution d’affaires criminelles -, elle se rappelle bientôt à lui. En effet, son vieil ami le lieutenant Dan Cooper, de la police de Santa Monica, lui demande de venir sans délai sur une scène de crime. Le saxophoniste Ty Rodman a été assassiné dans sa loge. Le miroir de la coiffeuse est maculé de l’inscription : « BIRD LIVES ! » et on a trouvé près du cadavre un lecteur de CD qui jouait en boucle le célèbre morceau de Charlie Parker Now’s The Time. De plus, l’assassin semble s’être acharné sur le sax de Rodman. Détail encore plus troublant : la victime a été tuée un 12 mars, jour anniversaire de la mort de Charlie « Bird » Parker.Le faisceau de références à la légendaire figure de proue du be-bop se resserre encore quand Evan Horne apprend que d’autres musiciens de jazz connus ont été retrouvés morts dans des circonstances similaires et à des dates toutes liées à Charlie Parker et à son trio.Mû par un fanatisme musical, l’assassin aurait-il frappé les tenants d’un jazz plus commercial afin de les punir de s’être écartés de la grande lignée des maîtres du bop ? C’est ce qu’Evan Horne va s’efforcer de déterminer au fil d’une enquête qui réjouira les amateurs de jazz, toutes tendances confondues.Comme la précédente aventure d’Evan Horne publiée chez Rivages (Sur les traces de Chet Baker, Rivages/noir Nº 497), celle-ci mêle agréablement la résolution du mystère et l’érudition musicale, sans que cette dernière pèse le moins du monde sur l’histoire. Par la voix de son pianiste californien, Bill Moody – lui-même batteur de jazz – n’a pas son pareil pour planter le décor de la scène jazz présente et passée, entre humour et soupçon de nostalgie.Un livre qui donne furieusement envie de ressortir quelques disques des étagères ou de courir en acheter.

03/2010

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Cinéma

L'acrobate. Avec 1 DVD

"L'Acrobate marque dans la saga "Léon" un changement et un retournement considérables [...] : accession à la piste, à la danse, à la séduction. Si le réalisateur ne signe pas une fin volontaire de la saga, il ferme la boucle ouverte avec Pourvu qu'on ait l'ivresse en 1957. Le tango prend ici possession du corps de l'acteur, libère celui-ci et lui confère une extraordinaire grâce dans des scènes phénoménales. Léon n'est plus dans te confinement. Pollet le place en présence de lieux multiples, la communication entre l'intérieur et l'extérieur est fluide [...]. Ce "recentrement" est explicite notamment dans l'établissement de bains-douches où il travaille. D'abord homme à tout faire, encore une fois subalterne ; dans un plan significatif, il est placé sur un minuscule tabouret sur le bord droit de l'image. A sa gauche, deux autres employés, virils et moqueurs, attendent la clientèle sur un banc stable et te font chuter de sa précaire assise. Plus tard, alors qu'il vit son ascension par la danse, il devient gérant des bains et les deux zigotos ont été remerciés : changement de statut et nouvelle place dans l'espace, Léon quitte la périphérie et les espaces de relégation. Si elle n'est pas rectiligne et s'avère ambiguë, L'Acrobate marque une rupture dans la trajectoire de la saga. Celui-ci accède à des espaces qui lui ont été refusés jusque-là". Arnaud Hée (dans L'Autre et lui-même, Critikat). Le DVD. L'Acrobate : de Jean-Daniel Pollet (1976, 97 minutes) avec Claude Melki, Laurence Bru, Guy Marchand, Micheline Dan, Jeane Manson. Denise Glaser. Petit, timide et maladroit, Léon est employé dans un établissement de bains-douches. Il n'a aucun succès avec tes femmes. Son seul amour est Fumée, une prostituée dont il voudrait devenir runique client. Pour la séduire, il décide de prendre exemple sur son ami Ramon le Gominé, grand séducteur et danseur de tango. Il s'inscrit à un cours de tango et se révèle bientôt très doué. Progressivement, il perd ses complexes et prend de l'assurance jusqu'à oser passer des concours de danse. Fumée devient sa partenaire attitrée et ils remportent ensemble de nombreux prix... Version restaurée par Cosmodigital et L.E. Diapason pour la Traverse avec le soutien du Centre national du cinéma et de l'image animée.

07/2019

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Art contemporain

Monuments de silence. Réappropriations mémorielles dans l’art contemporain

Bunkers de la seconde guerre mondiale désaffectés sur les plages normandes, statues de l'ère soviétique déboulonnés, monuments coloniaux relégués dans l'oubli ; étranges silhouettes, à la fois familières et distantes. Qui décide du paysage mémoriel, de la représentation de la mémoire collective ? Dans Monuments de silence, Anne Bernou interroge et documente la mouvance de la mémoire et la réappropriation par des artistes contemporains de monuments publics du passé, aujourd'hui désinvestis, oubliés ou détruits. De Jochen Gerz et son travail autour des monuments aux morts à la falsification volontaire de la mémoire de Christian Boltanski, des captations de la falaise des Bouddhas géants de Bâmiyân détruits par les talibans de Pascal Convert aux déclinaisons de bunkers opérées par Raphaël Denis, d'Amina Menia et son utilisation des archives des monuments algériens à la réflexion de Thu Van Tran autour des origines et de l'exil, des statues de l'ex-monde soviétique mises en scène par Emilija Skarnulyte aux installations autour de la fragmentation et de l'oubli de Marianne Mispelaëre, plusieurs générations d'artistes figurent dans cet ouvrage, des plus connus aux plus émergents, chacun se penchant à sa façon sur la question de la mouvance de la mémoire et de l'identité ; préfigurant pour certains d'entre eux les mouvements sociaux qui ont surgi aux Etats-Unis notamment, avec le mouvement Black Lives Matters. Chacun sonde, détourne et réactive, avec son langage artistique propre, les tragédies du XXe siècle, le passé colonial, les dominations politiques, et les autoritarismes mémoriels dont la trace parfois monumentale s'impose dans l'espace public. Cette diversité des approches par des artistes qui se confrontent au passé européen plutôt que de l'oblitérer, démontre l'infini registre des regards et des compréhensions, reliant la dimension intime à la dimension historique, dans une réactivation de la mémoire collective génératrice de présent réconcilié. Cet ouvrage porte sur le travail des artistes Mathieu Kleyebe Abonnenc, Niels Ackermann, Sammy Baloji, Joachim Bandau, Guillaume Barborini, Christian Boltanski, Pascal Convert, Sylvain Couzinet-Jacques, Nicolas Daubanes, Raphaël Denis, Leo Fabrizio, Jochen Gerz, Felix Gonzalez-Torres, Marie Havel, Kiluanji Kia Henda, Elizaveta Konovalova, Vladimir Kozin, Roland Anton Laub, Amina Menia, Marianne Mispelaëre, Yan Morvan, Tania Mouraud, Ciprian Muresan, Deimantas Narkevicius, näutil, Mathieu Pernot, Anne Reijniers & Rob Jacobs, Emilija Skarnulyte, Thu-Van Tran, Paul Virilio, VOID (Arnaud Eeckhout & Mauro Vitturini)

03/2023

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Comics Super-héros

Marvel Comics (II) Tome 6

Tout est sens dessus dessous dans l'univers de Spider-Man. Voilà qu'il bascule du mauvais côté de la barrière. Est-ce le bon moment pour que le Spider-Man supérieur (alias Docteur Octopus) fasse son grand retour ? Les Avengers ont enfin vaincu le Cartel Livide, mais ce n'était qu'un prélude au plus grand combat de leur vie... qu'ils ont d'ores et déjà perdu ? Qui sont ces mystérieux êtres qui en ont après Kang ? Thor appelle du renfort pour vaincre le Thor d'Utgard et Iron Man rassemble lui aussi ses troupes avant le grand combat contre les Sentinelles de Feilong ! Un numéro passionnant et immanquable avec le début d'une nouvelle ère pour Spider-Man et les Avengers, un affrontement décisif pour Thor et un Iron Man qui se rapproche décidément de l'univers des X-Men. La lecture de ce mensuel n'a sans doute jamais été aussi haletante !

06/2024

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Littérature érotique et sentim

L'Interne - Tome 1. Première année

Alors que Julia mène une vie bien rangée avec son fiancé à Los Angeles, une simple rencontre vient semer le doute... Devoir déménager pour accompagner son fiancé, jeune avocat à l'avenir prometteur ? Pas facile. Mais que dire quand, en plus, on apprend que l'on est stérile ? Le cauchemar pour Julia, qui avait déjà imaginé sa vie de famille... Elle décide donc de reprendre ses études et de se lancer à corps perdu dans son internat dans l'un des plus grands hôpitaux de Los Angeles. Le petit bémol ? Ce médecin, Dean, rencontré par hasard quelques jours avant, qui hante ses rêves les plus chauds... Tant que ce ne sont que des rêves, ça va... non ? Julia parviendra-t-elle à étouffer ses fantasmes les plus secrets ? Laissez-vous emporter par cette romance palpitante et plongez dans une histoire d'amour impossible entre un médecin et une interne ! EXTRAIT - Elles sont ravissantes, comme leur mère. La voix roucoulante du nouvel arrivant m'exaspère. Draguer une femme, sûrement épouse, entourée de ses enfants... Certes, cette belle rousse aux cheveux ondulés est l'incarnation de nombreux désirs masculins, mais tout de même. - Merci. Le ton froid de cette dernière me déclenche un petit rire satisfait. L'ascenseur s'arrête une nouvelle fois. La famille sort en trombe et je vérifie l'étage. Deuxième. Encore un. Je ne prête pas attention au dragueur, jusqu'au moment où je me sens observée. La première chose que je constate, c'est qu'il porte une blouse blanche. Ma tension monte. Serait-ce un de mes professeurs de cette année ?? Un de ceux qui pourraient m'apprendre à sauver des... Mes pensées s'arrêtent quand mon regard remonte son torse. Ses dents, blanches et parfaites, me liquéfient. - Une aussi belle compagnie pour un ascenseur... murmure-t-il en scannant mon corps de haut en bas. Je suis pétrifiée. Mes cils clignent plusieurs fois pour être sûrs de bien voir ce que j'ai sous les yeux. - Vous... - Oui ?? me coupe-t-il en se rapprochant de moi. Ses yeux sont bleus... Moi qui n'arrivais pas à me les imaginer depuis plusieurs semaines. Sa barbe est un peu plus courte que lors de notre première rencontre. Son eau de Cologne est identique. Je referme la bouche en me rendant compte que je bave devant lui. - Rien, rien. Son attitude me laisse penser qu'il ne se souvient pas de moi. Sûrement l'alcool. CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE L'écriture est fluide, les scènes médicales sont très bien décrites, les scènes de sexes sont subtiles, ce qui change d'autre romances, ce que j'ai beaucoup aimé. - CindyR, Babelio A PROPOS DE L'AUTEURE Agée de 21 ans, Emily Chain écrit depuis toujours et dans des styles assez diversifiés : des récits fantastiques aux thrillers en passant bien sûr par la romance. Elle s'intéresse à des personnages auxquels les lecteurs peuvent s'identifier facilement, comme Julia.

09/2019

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Peut-être, n° 6, 2015. Revue poétique et philosophique

Ce sixième numéro de Peut-être s'ouvre avec le souvenir de Daniel Vigée, qui s'est éteint au début du mois de novembre 2013. Il aurait eu soixante et un an à la fin de novembre 2014. Tous ceux qui ont côtoyé Daniel, tous ceux qui l'ont connu à travers les poèmes de Claude Vigée, partagent une grande tristesse et s'associent pleinement au deuil de sa famille, et tout particulièrement de son épouse Jola et de ses enfants, Nathalie (et son époux) et Raphaël. Nous reproduisons la brève allocution que Claude avait dictée à Nathalie pour la cérémonie de Bischwiller ainsi que le discours de Claude Heymann, Rabbin de la communauté de Haguenau. Nous associons Evy à son fils dans notre souvenir. Les essais de Claude Vigée ici repris, partiellement pour "L'annonce d'un matin d'hiver" , et dans son intégralité pour "Esclaves et étrangers : Flaubert et Chateaubriand à Jérusalem" , permettent de bien mettre en relief la complémentarité de ces lieux, l'Alsace et Jérusalem, dans l'existence et dans l'oeuvre de Claude ainsi que dans la vie de sa famille. Blandine Chapuis dédie à Evy son étude fouillée, très sensible et pertinente, sur l'oeuvre de Claude Vigée : "La poésie comme promesse d'avenir" . Il est aussi beaucoup question de cette oeuvre qui nous rassemble dans le dossier qu'Oleg Poliakow a réuni pour nous autour d'une réflexion sur le verset de la Genèse concernant la création de l'homme (Genèse 2, 7) associée à cette belle expression du philosophe Paul Ricoeur : "L'homme, c'est la Joie du Oui dans la tristesse du fini". Nous traversons une période de commémorations multiples. L'année 2014 marquait le centenaire de la naissance de Dylan Thomas, que célèbre Jean Migrenne, mais inaugurait également une double perspective historique, le centenaire du début de la Grande Guerre s'associant avec le soixante-dixième anniversaire de la Libération. Nelly Carnet s'est entretenue avec Nelly Leviandier-Coulon, résistante. Je poursuis mon travail de réflexion sur les poètes de la Grande Guerre. Pierre Brunel nous parle de Rimbaud et établit un lien particulier avec l'oeuvre de Claude Vigée. Le cahier de création s'ouvre avec des poèmes inédits de Claude. Marc Sagnol nous initie par ses traductions à l'oeuvre d'Alexandre Guelman, poète russe, et d'Inna Fridkina. Je propose, en version bilingue, des poèmes très célèbres de Wilfred Owen, Charles Hamilton Sorley, Isaac Rosenberg, Ivor Gurney et Robert Graves. On retrouvera ensuite, ou on découvrira, Gabrielle Althen, Beryl Cathelineau-Villatte, Marc Kauffmann, Pénélope Sacks-Galey et Marc Sagnol. Jean-Luc Hohl-Muller nous donne à lire un essai sur la langue alsacienne, sous forme de nouvelle, "Les écureuils" . Lydie et Guy Baranton, fille et fils du peintre dont nous présentons l'oeuvre, Roger Baranton, évoquent pour nous leur père et sa joie de peindre, qui transcenda pour lui toute autre difficulté d'existence. Il se situe dans cette école de Paris d'après la Seconde Guerre mondiale.

12/2014

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Animaux, nature

Alpha chat

Les Alphachats sont une race à part : ce sont tout d'abord des chats (de race ou de gouttière) peints "au poil près" par l'illustratrice naturaliste Gabriella Gallerani, et bien rangés dans un ordre "alpha-bêtique". A chacun sa lettre, qui pour y grimper, se cacher, jouer, s'étirer, bailler ou simplement prendre la pose : A comme Angora, B comme Bengal, C comme Chartreux, ou encore G comme Greffier, M comme Maine Coon, P comme Persan, S comme Siamois... jusqu'à Zzz pour les 18 à 20 heures par jour qu'un chat passe à dormir. Les Alphachats sont aussi les chats qui ont fait l'histoire, la littérature, le cinéma, la BD, la musique et, naturellement, le bonheur des auteurs qui ont vécu en leur compagnie. Qu'ils soient tigrés ou écaille-de-tortue, roux ou noirs, avec ou sans pedigree, ces chats ont quelque chose en commun : chacun a un nom. En voici donc plus de 600 assortis d'autant d'anecdotes glanées par Paola Gallerani : sans Apollinaris, Bébert, Boise, Catarina, Giuseppe, Jellylorum, Murr et Tyke, est-ce que Twain, Céline, Hemingway, Poe, Morante, Eliot, Hoffmann et Kerouac auraient écrit les mêmes oeuvres ? Si nous sommes certains que c'est pour Pulcinella que Domenico Scarlatti a composé la fugue Le Chat pour clavecin, sans Elvis (le chat, what else) John Lennon aurait-il composé les mêmes chansons ? Et s'il n'y avait pas eu Spithead, Newton aurait-il inventé la chatière ? Sans parler du Fripouille de Klee, des Sam de Warhol et de la Polly de Kubrick... Les chats muses, dans le sens le plus traditionnel, mais aussi les chats comme Micetto qui se cachait sous la soutane du pape Léon XII, ou Brilliant, l'angora favori de Louis XV, Lucifer et Perruque, les éminences à fourrure de Richelieu, ou encore Jock, qui assistait avec Churchill aux conseils de guerre, et Socks "First Cat" à la Maison Blanche sous Clinton, tous ont contribué à inspirer bien des décisions. Et si Mitsou et Marcus sont les chats d'acteurs célèbres (Marilyn Monroe et James Dean), Orangey et Pyewacket montent eux-mêmes sur les podiums pour recevoir le PATSY Award (pour Diamants sur canapé et L'Adorable Voisine). Enfin qu'en serait-il d'Alice sans le chat du Cheshire, ou de Titi sans Gros Minet ? C'est pourquoi même les chats "de fiction" ont leur place ici. Et comme les derniers seront les premiers : CC, le premier chat cloné, Nadjem le plus ancien chat égyptien dont on connaisse le nom et All Ball, le premier chat adopté par une gorille. Voici donc un portrait inédit pour le style et la beauté des illustrations de ces fascinants "tigres de maison", en forme de recueil des faits et dits mémorables de tous les chats qui ont su se rendre dignes de leur nom.

09/2013

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Actualité et médias

La Règle du jeu N° 66

DOSSIER : ISRAEL 2018 Soixante-dix ans est, selon les Maximes des Pères, l'âge des vénérables : heure de fierté devant ce que l'on a fait, sourire du travail accompli - heure, aussi, de dissiper les images d'Epinal, de méditer sur ce qui est advenu, de retracer son histoire différemment, en découvrant des ombres à la place des lumières et des lumières à la place des ombres. David Gakunzi nous livre un dossier à la fois exhaustif et minutieux, bienveillant et critique, où les grands intellectuels israéliens expriment leur regard, partagent leurs questions : Amos Oz, David Grossman, Daniel Epstein, Moshé Halbertal, Cyril Aslanov, Dov Maimon, Michal Govrin, Tom Seguev, Sam Tyano, Olivier Rafowicz, Dan Béri, Daniel Rouach. DOSSIER : LITTERATURES DE VENISE, VENISES DE LITTERATURE Venise n'est pas tout à fait une ville, du point de vue de la littérature : fleur jetée à la mer, cité aux lagunes d'encre, déracinée, détachée de la terre, mais ancrée dans un héritage immatériel, enchevêtrement de mots davantage que de pierres, Venise est le visage même de la transmission littéraire. Venise est l'image de la contrainte et de la pente qui, du sublime, mène au lieu commun. Comment écrire sur ce qui a déjà été écrit mille fois ? Telle est la question, non seulement de Venise, mais de la création littéraire. Dans ce dossier, on voyagera, dans le temps autant que dans l'espace : à la recherche des ombres de Chateaubriand et de Byron, de Proust et de Thomas Mann, de Morand et de Calvino, de Barrès et de Musset. Quelques vivants, aussi, à commencer par Philippe Sollers, Alain Juppé et Gilles Hertzog, qui nous guideront dans ses rues de littérature. Contempteurs et admirateurs : tous au rendez-vous des Zattere, du Lido ou de la place Saint-Marc. Venise comme épreuve et comme tentation, Venise comme pavement, géographique et abstrait, sur lequel s'édifient toutes les cathédrales de l'art. Venise, en somme, comme cristallisation de la lutte littéraire. Mais aussi : - " Paul Morand en ses contradictions " , une réflexion sur l'héritage, de Nathan Naccache. - Un entretien croisé avec Anna Mouglalis et Eric Benzekri autour de la série politique Baron Noir, diffusée sur Canal Plus. Occasion de soulever des questions : qu'est-ce qu'une série peut dire du politique ? Quelle est la place du divertissement et de la réflexion ? Quelle est l'essence du macronisme ? Quelles sont les causes de l'effondrement du PS, de la scission de la gauche ?

09/2018

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Sociologie

Communications N° 91 : Passage en revue. Nouveaux regards sur 50 ans de recherche

Passage en revue Nouveaux regards sur 50 ans d'articles NUMERO COORDONNE PAR NICOLE LAPIERRE La revue Communications a 50 ans. En raison des sujets traités, de l'originalité des problématiques et de la personnalité des auteurs sollicités, la collection de la revue est une mine qui mérite d'être revisitée. Ce numéro anniversaire présente un choix de onze articles anciens particulièrement marquants sur des thèmes variés et toujours d'actualité. Les trois plus anciens, publiés dans la première moitié des années soixante, portent sur les produits et les effets de la culture de masse, avec des textes de Theodor Adorno, Umberto Eco et Violette Morin. Des années soixante-dix, ont été retenus des articles de Roland Barthes sur le cinéma, Serge Moscovici sur l'articulation nature-culture et Edgar Morin sur l'analyse des crises. Les cinq articles suivants, publiés dans les années quatre-vingt reflètent la diversité croissante des thèmes abordés. Des oublis de l'histoire traités par Marc Ferro à la tyrannie de l'apparence dénoncée par Jean-Paul Aron, du mythe de la civilisation cancérogène étudié par Pierre Darmon à la dématérialisation de l'argent analysée par Jean-Joseph Goux. Ou encore, à l'interface avec les sciences du vivant, une façon de repenser le temps avec Henri Atlan. En regard sont publiés des articles de nouveaux auteurs proposant une relecture ou prolongeant le propos sur le même sujet. Ils ont eu carte blanche, la révérence n'étant pas dans l'esprit d'une revue qui, tout au long de son histoire, sortait volontiers des sentiers battus. Libre à eux d'opter pour une relecture critique ou pour une contextualisation et une actualisation du sujet traité, ou bien encore d'écrire un article sur le même thème, sans se référer directement à l'article republié, l'éclairage réciproque venant alors simplement de la mise en parallèle des deux approches. Tous ont joué le jeu. L'ensemble, dynamique et surprenant, concerne directement le lecteur d'aujourd'hui et l'intelligibilité du présent. L'importance des héritages dépend, on le sait, de la façon dont les héritiers se les réapproprient. Cela vaut aussi pour la vie des idées et c'est ce dont voudrait témoigner ce numéro anniversaire. Nicole Lapierre, Présentation Violette Morin, Les Olympiens Daniel Dayan, A la conquête de l'Olympe Théodore W. Adorno, L'industrie culturelle Enzo Traverso, Adorno et les antinomies de l'industrie culturelle Umberto Eco, La musique et la machine Sophie Maisonneuve, Techno-logies musicales Serge Moscovici, Nos sociétés biuniques Jean-Marie Schaeffer, Fait social, fait de nature ? Roland Barthes, En sortant du cinéma Daniel Percheron, Aller au cinéma Edgar Morin, Pour une crisologie Jean-Philippe Bouilloud, De la " Crisologie " à la " Risquologie " Henri Atlan, Temps biologique et auto-organisation Jean-François Dortier, Le vivant repensé Jean-Paul Aron, La tragédie de l'apparence à l'époque contemporaine Georges Vigarello, Le défi actuel de l'apparence. Une tragédie ? Marc Ferro, Les oublis de l'Histoire Evelyne Ribert, Résurgences du passé Jean-Joseph Goux, Cash, check or charge ? Laurence Raineau, L'argent, miroir de la société Pierre Darmon, Le mythe de la civilisation cancérogène Bernard Paillard, Le sida, une maladie de civilisation ?

11/2012

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Encyclopédies de poche

Blaise Cendrars. L'or d'un poète

«Tout enfant, très souvent, je brûlais dans mon berceau: je prenais feu comme une allumette et il ne restait de moi qu’un petit tas de cendres noires toutes entortillées.» Toute sa vie, celui qui naquit Frédéric Sauser, en Suisse, en 1887, brûlera une énergie inépuisable, pour créer l’une des grandes oeuvres de la littérature du XXe siècle. Enfant fermé, difficile, Freddy Sauser suit ses parents à Naples avant de rentrer en Suisse, où l’école buissonnière et sa passion pour la lecture, de Jules Verne à Tolstoï, de Nerval à erasme font de lui un fort mauvais élève. A seize ans, il quitte sa famille et part pour Moscou. A Saint-Pétersbourg en 1905, il est secrétaire d’un joaillier et se mêle aux milieux révolutionnaires. C’est là que le futur poète commence à écrire. Ce sont des années de formation, marquées par son premier amour, Hélène, qui périra par le feu. A Berne, en 1908, il reprend des études et rencontre Féla Poznanska, l’étudiante polonaise qui deviendra sa femme et la mère de ses trois enfants. Dans la misère, sous les toits, à Paris, à Bruxelles, puis à New York, il travaille à la recherche de son écriture, vivifiée en profondeur par le monde moderne. Il écrit Pâques à New York et invente son nom nouveau: Blaise Cendrars. A Paris en 1912, il rencontre les artistes dont la quête s’apparente à la sienne, poètes comme Apollinaire puis Reverdy ou Soupault, peintres comme Chagall, Léger ou Robert et Sonia Delaunay. Coup de tonnerre dans le ciel de la poésie, il écrit et publie, avec les couleurs de Sonia Delaunay, dans une forme nouvelle et inégalée depuis, le «premier livre simultané»: la Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France (1913). Eclate la Première Guerre mondiale: engagé volontaire, Cendrars perd sa main droite. Dans l’effervescence du Paris de l’après-guerre, Cendrars est écrivain et poète, critique d’art, éditeur audacieux, assistant metteur en scène avec Abel Gance, réalisateur à Rome, ou encore librettiste de ballets. En 1924, il part pour le Brésil, qui deviendra une de ses sources d’inspiration. Le poète se fait prosateur et de 1925 à 1930 publie ses grands romans: L’Or, Moravagine, Le Plan de l’Aiguille, Dan Yack. Il fait ensuite l’expérience du grand reportage, puis publie trois livres de nouvelles. En juin 1940, désespéré par l’occupation allemande, il s’exile à Aix-en-Provence. Après trois années de silence et de vie contemplative, il reprend la plume, écrit L’Homme foudroyé, La Main coupée, Bourlinguer, Le Lotissement du ciel. Terrassé par une attaque d’hémiplégie en 1958, le poète à la main coupée tente encore d’écrire avec sa «main amie» paralysée. Il meurt le 21 janvier 1961.

01/2011

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Contes et nouvelles

Le Novelliste #07. Après la fin

Imaginer, anticiper, se représenter ce qu'il peut bien y avoir après est un des ressorts fondamentaux de l'être humain, dont l'appétit de découverte se nourrit autant de curiosité que d'imagination. Mais comment envisager l'après de ce qui, a priori, est une fin ? Les réponses n'ont jamais manqué en littérature, qu'il s'agisse d'explorer l'au-delà de la vie, des sociétés, ou des relations humaines. C'est autour de quelques-unes de ces représentations, sans prétendre épuiser le sujet, que s'est élaboré ce septième numéro du Novelliste. Au sommaire : Après la fin, blabla liminaire de Leo Dhayer Horizon, nouvelle de Didier Lesaffre, illustrée par Jacek Malczewski J'étais là avant le soleil, nouvelle de Philippe Cousin, illustrée par l'auteur L'Oil, nouvelle d'Yves Letort, illustrée par Céline Brun-Picard L'Ile, nouvelle de Nina Allan, traduite par Bernard Sigaud, illustrée par TheHardLab Inventaire après déménagement, Portfolio, texte de Fay Ballard traduit par Bernard Sigaud, illustré par une série de dessins de l'autrice Historiettes de Philippe Cousin, Claude Ecken, Thomas Geha, Frédéric Holic, Yves Letort Les salauds ont toujours tort, nouvelle de C. M. Deiana, illustrée par Charles Frederick William Mielatz Portrait d'un inconnu, nouvelle d'Anne Richter, illustrée par Albrecht Dürer Jeremiah, nouvelle de Jessica Amanda Salmonson, traduite par Leo Dhayer, illustrée par une toile d'un artiste anonyme La Madone aux sept glaives, nouvelle de Vernon Lee, traduite par Eugene Lee-Hamilton, illustrée par Alejandro Carnicero Un ex-voto dans le goût espagnol, article de Sophie Geoffroy Mes exuvies, Parenthèse, nouvelle de Louise Pleth Funérailles secondaires, nouvelle de Didier Pemerle, illustrée par Andrea Mantegna A corps et à cris, nouvelle de Joel Lane, traduite par Jean-Daniel Brèque, illustrée par Léo Kennel Le mausolée de tous les arts, nouvelle de Pascal Malosse, illustrée par Fritz von Uhde L'au-delà, nouvelle d'E. F. Benson, traduite par H. Frichet, illustrée par Howard Giles L'au-delà, y croire... ou pas, article d'H. G. Wells, traduit par Pierre-Paul Durastanti, illustré par Georges Roux Faut-il réveiller les endormis ? nouvelle de Jean-Baptiste Cabaud, illustrée par Jacques Gautier d'Agoty Stairway 2, nouvelle d'Alex Nikolavitch, illustrée par Léo Kennel Les passagers, nouvelle de Laurent Pheulpin, illustrée par une photo d'époque Morituri, nouvelle de Philippe Caza, illustrée par l'auteur Coloniser le cosmos, article d'Iwan Rhys Morus, traduit par Clément Martin, illustré par des documents d'époque Voyage en d'autres mondes (4/4), roman à suivre de John Jacob Astor, traduit par Marie Dronsart, illustré par Dan Beard Comme une image : Légende fugace du roi des rats, trois nouvelles courtes de Léo Kennel, Noé Gaillard te Sandrine Scardigli, sur un dessin ancien Clap de fin : Interiors (Skull) (1944), dessin de Pavel Tchelitchew

11/2023

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Photographie

Mirages d'Orient, grenades & figues de Barbarie. Chassé-croisé en Méditerranée

Alors que, depuis le début de l'année 2011, les pays arabes qui entourent le Sud-Est de la Méditerranée ne cessent de nous surprendre par leur héroïsme et une dignité retrouvée, la Collection Lambert propose une exposition faisant l'apologie du voyage dans ces pays fascinants. Ils le sont tant par la richesse de leur culture que par une histoire bien plus ancestrale que la nôtre, par la beauté des êtres, et par ce courage dont ces peuples fiers font preuve aujourd'hui. Cette fascination n'est pas récente. Le monde arabe était auparavant décrit aux Occidentaux par des écrivains et des artistes qui accomplissaient des voyages longs et éprouvants. La France a toujours eu le goût de l'exotisme, d'une attirance pour la culture de l'Autre, cet étranger oriental ou arabe qui, lui-même, pendant des siècles, a cultivé le fait de recevoir le voyageur comme un art de vivre à part entière avec un raffinement poussé à son paroxysme. Nos plus grands écrivains en ont rêvé - Chateaubriand, Nerval, Flaubert, Lamartine ou, plus proche de nous, Pierre Loti... -, tout comme nos plus grands artistes, de Delacroix à Matisse. L'exposition s'organisera autour de quatre sections restituant les différentes images de l'Orient, qui se télescoperont tel un kaléidoscope de visions fantasmées ou réelles. Des collections jamais montrées au public seront associées à des oeuvres plus connues. Ainsi, le fonds de l'Association des amis de Pierre Loti présentera des documents inédits de cet écrivain : portraits, peintures et photographies... Une collection privée provenant de Gadagne fera découvrir des objets rares et précieux : bijoux, ustensiles, livres enluminés... À travers des oeuvres de maîtres du XIXe siècle et du début du XXe siècle, on comprendra comment est né cet orientalisme, mouvement aux répercussions si denses dans l'art de vivre en Europe. Des oeuvres sur papier de Delacroix et de Matisse confirmeront l'influence de la Méditerranée. Un lit turc de harem du début du XIXe siècle, entouré de peintures de la fin du XIXe siècle de femmes au bain et accompagné d'un magnifique film tourné dans un hammam par l'artiste anglaise Tacita Dean, donnera une ambiance de langueur. Plus loin, dans un univers plus viril, des photographies de Nan Goldin présentant son amant égyptien, Jabelawe, côtoieront des clichés chez un coiffeur turc de l'Italien Maloberti et des images anciennes d'un quotidien oublié où la tolérance était encore de mise. Dans une section plus contemporaine, les oeuvres engagées de Mona Hatoun, originaire du Liban, se confronteront aux images implacables de l'Iranienne Shirin Neshat, toutes deux féministes engagées et révolutionnaires avant l'heure. Enfin, à côté des vidéos de Douglas Gordon tournées aux portes de Marrakech avec des charmeurs de serpents et de scorpions, deux oeuvres teintées d'espoir et d'optimisme irradieront cette exposition : une installation vidéo de Charles Sandison où des milliers de mots calligraphiés en arabe se transforment en mains qui s'unissent à jamais, alors qu'Idriss Khan a photographié sur une même plaque argentique toutes les pages du Coran. Ces pages se superposent en traçant une immense partition sublime où, dans ce feuilleté visuel, on ne devine plus que la beauté des mots divins insufflés à jamais par le Prophète.

12/2012

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Cinéma

Liz Taylor. La dernière star de l'âge d'or d'Hollywood

Dès l'annonce de sa disparition, le 23 mars 2011, les radios, médias et chaînes de télévision unanimes, rendirent hommage à Elisabeth Taylor, l'inoubliable actrice de Cléopâtre. Tous ont salué le départ de celle qui fut, sans conteste, l'une des dernières grandes stars d'Hollywood. Née le 27 mars 1932 à Hampstead, quartier cossu de Londres, elle immigra très jeune aux États-Unis où ses parents s'établirent. Là, poussée par sa mère Sara, on la voit très tôt fréquenter les plateaux de cinéma. Elle obtient rapidement un petit rôle dans La fidèle Lassie. Engagée par la Metro-Goldwyn-Mayer, elle s'illustre, dès l'âge de douze ans dans Le Grand National qui sera un succès. Elle se produira ensuite deux ou trois films par an dont Cynthia (1947), Les quatre filles du Dr March ; Guet-apens (1949), Le Père de la mariée (1950), Une place au soleil (1951), Ivanhoé (1952), La piste des éléphants (1954). Mais, c'est en 1956 que sa carrière de star se révèle vraiment avec Géant, film culte qui passe en revue tous les problèmes de la société américaine de l'époque : racisme, différence de sexe, de classes et de génération, course à la réussite, le rêve américain. Nommé neuf fois aux Oscars, il restera un des grands succès de la Warner. Elizabeth y tourne aux côtés de Rock Hudson et James Dean. S'ensuivront La chatte sur un toit brûlant, Soudain l'été dernier et en 1960, La Vénus au vison qui lui vaudra son premier Oscar de la meilleure actrice. Mais c'est Cléopâtre, film au budget pharaonique qui restera longtemps gravé dans tous les esprits. Elle y rencontre Richard Burton avec lequel elle vivra les moments les plus tumultueux de sa vie. Il la comblera des plus beaux bijoux du monde et restera pour Elisabeth celui qu'elle aura le plus aimé. Qui a peur de Virginia Woolf ? (1966) qui lui vaudra son second Oscar de meilleure actrice. Elle tourna dans plus de cinquante films et fit quelques apparitions remarquées au théâtre. Actrice la mieux payée du cinéma, elle convolera huit fois en mariage, avec seulement sept maris. Burton la réépousant en 1975 après un divorce prononcé en 1974. C'est avec M Wilding, son second mari, qu'elle aura ses deux fils: Michael Jr et Christopher. Avec M Todd, son troisième mari, une fille, Liza. Richard et elle adopteront la petite Maria qui complétera la famille. Sa vie de star, ses nombreuses aventures sentimentales... ne lui permettront pas d'être une maman très attentive et affectueuse. Actrice au grand coeur, elle ne refusa jamais d'aider les autres et participa à un nombre incalculable d'oeuvres caritatives pour lesquelles elle fit preuve, souvent, d'une grande générosité. Son engagement contre le sida rapporta plus de 50 millions de dollars à la recherche. La fin de sa vie fut cruellement affectée par la disparition de Michael Jackson, le dernier véritable ami qu'elle aima profondément et auprès duquel elle passa des moments qualifiés d'inoubliables. Elle s'est éteinte le 23 mars 2011 à Los Angeles. C'est dans la plus stricte intimité, entourée de ses quatre enfants, dix petits-enfants et quatre arrière-petits-enfants qu'elle fut inhumée dans le cimetière de Forest Lawn, à Glendale près de Los Angeles, non loin de son ami Michael Jackson.

05/2011

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Sports

L'Année du Rugby 2016

En cette année particulière, le Top 14 s'offrit un champ d'honneur unique, le majestueux Camp Non de Barcelone. Et le Racing 93 v arracha un bouclier de Brennus qui sortait tout autant de l'ordinaire, grâce à une force de caractère incroyable, montrée en finale comme sur l'ensemble d'une phase éliminatoire attaquée à bout de forces, mais surmontée avec courage, talent et, il faut bien l'admettre, ce brin de chance qui sourit aux audacieux. Les Franciliens firent reverdir leur légende, en jachère depuis le titre des joyeux drilles du "Showbizz", en 1990, et firent fructifier l'investissement de leur président jacks Lorenzetti, patient bâtisseur pendant une décennie d'un club qui . s'était longtemps contenté de survivre. Les Ciel et Blanc firent perdre quelques couleurs aux Rouge et Noir de Toulon, leurs victimes en Catalogne. En leur subtilisant d'abord une star, Dan Carter, l'incomparable All Black, capital dans l'aventure et à la hauteur de son statut de meilleur joueur du monde. En les privant ensuite d'un titre, pour la première fois depuis 2012, an moment même où leur entraîneur et mentor, Bernard Laporte, décidait de s'éloigner du rectangle vert pour viser les sphères fédérales. Comme pour mieux laisser prospérer le Racing ? Pas sûr. Car Montpellier, solide, prouva que la greffe sud-africaine pouvait prendre sur les pelouses du Top 14, pendant que la culture de Clermont restait bien vivace. Toujours plus touffu, le championnat de France ne laissa certes pas Agen ou Oyonnax prendre racine, mais les belles plantes, avec Toulouse, Castres ou Bordeaux, y abondèrent. Promettant une rude concurrence pour le futur. Surtout, à l'échelon supérieur, le Racing trouva un maître : les Saracens, rois d'Europe, qui le matèrent en finale. Le rugby anglais attendait ce rayon de soleil depuis 2007. Et ce titre continental pour un club confirma que ce qui avait pris des allures de terre brûlée après la catastrophe de la Coupe du monde 301 était, un an plus tard, en train de faire éclore un phénomène. Car, pendant l'hiver, avec presque les mêmes hommes - qui, l'année précédente, avaient été la risée de leur pays, mais avec un entraîneur différent, Eddie joues, le XV de la Rose s'épanouit pour décrocher un Grand Cheleui lors d'un dernier duel contre la France. Dure leçon lors d'un Tournoi en deux temps pour les Bleus, d'abord portés par l'espoir d'une floraison express, puis rappelés à la dure réalité d'une cinquième place : le chantier de Guy Novés, sur la friche héritée de Philippe Saint-André, réclamerait du temps. Longtemps guide malin d'une incomparable pépinière de talents, le Toulousain découvrit donc l'ampleur de la tâche qui l'attendait. Même si l'étrange tournée estivale en Argentine, sans les représentants des quatre demi-finalistes, sema in extremis quelques graines d'espoir. Tucumàn s'annonçait hostile. Et si, finalement, le XV de France y avait entrevu nue génération fertile ?

08/2016

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Ecrits sur l'art

Histoires vraies. Edition bilingue français-anglais

Histoires vraies 320 pages Bilingue français-anglais 250 reproductions Format : 22 x 15 cm Broché Textes : Sarah Ihler-Meyer, Frank Lamy, Nicolas Surlapierre Graphisme : Paulin Barthe Editions du MAC VAL ISBN : 978-2-900450-15-4 Office : 7 avril 2023 25 euros L'exposition "Histoires vraies" réunit les oeuvres d'une quarantaine d'artistes de générations diverses. Poursuivant les recherches, autour de la construction du Sujet, développées dans les expositions temporaires depuis 2005, "Histoires vraies" prend la suite de "Lignes de vies (une exposition de légendes)" (2019) qui explorait les passages poreux entre art et autobiographie, entre réel et fictions. "Histoires vraies" prolonge cette déambulation dans des territoires fictionnels en s'attachant, cette fois, moins aux effets d'aller-retour entre l'art et le monde, mais en proposant des approches parallèles de la Réalité. Ce nouveau volet réaffirme l'idée selon laquelle tout est fiction, le réel étant superposition, feuilletage, tissé d'histoires diverses et variées. Les entités artistiques réunies dans "Histoires vraies" ont en commun de recourir à des dispositifs, stratégies et postures fictionnelles qui, néanmoins, s'ancrent dans des tentatives de description du monde, teintées, notamment, de narration spéculative et de regards documentaires. Ca invente, ça raconte, ça imagine. Alter ego, personnages sont légion. Elles et ils effeuillent les couches des apparences pour mettre à jour d'autres narrations, pour faire émerger d'autres récits, pour réfléchir au mieux le réel. Réel qu'il ne s'agit en rien de fuir, bien au contraire. S'y planter pleinement, s'y ancrer tout en le contournant. "Histoires vraies" ... Un titre pour le moins paradoxal. Qu'en est-il de la vérité ? De la véracité ? Doit-on croire ce que les artistes nous racontent ? Le réel existe-t-il en dehors de sa formulation ? (Se) raconter des histoires : ce besoin immémorial de storytelling, pour comprendre, articuler, réfléchir le monde, résonne tout particulièrement à l'heure de la postvérité et autres avatars peuplant les métavers. Les réseaux sont emplis de ce que l'on nomme symptomatiquement "Réels" , "Stories" ... Décidément, tout est histoires. La publication qui accompagne l'exposition a une portée exhaustive. Chacun des artistes se voit consacré un cahier de 8 pages mêlant images et contribution originale de la critique d'art Sarah Ihler-Meyer. Complété par des contributions du directeur du MAC VAL et du commissaire de l'exposition, le catalogue documentera ainsi toutes les oeuvres présentées dans l'exposition, irradiant l'ensemble de la production des artistes. Exposition au MAC VAL : 4 février-17 septembre 2023 Avec les oeuvres de Aletheia, Alexis Foiny, Alice Brygo, Anaïs-Tohé Commaret, Anne Brégeaut, Anne-James Chaton, Aurélie Ferruel et Florentine Guédon, Aurélien Mauplot, collectif 1. 0. 3, Esther Ferrer, Etienne Charry, Farès Hadj-Sadok, Hippolyte Hentgen, Jean-Charles de Quillacq, Jordan Roger, Katia Kameli, Kenny Dunkan, Kent Monkman, Laura Bottereau & Marine Fiquet, Marie Losier, Mary Sibande, Mehryl Levisse, Olivier Nottellet, Pejvak, Regine Kolle, Romain Kronenberg, Sam Moore, Sebastien Loghman, Suzanne Husky, SMITH, Sylvie Ruaulx, Véronique Hubert, Vincent Volkart, Virginie Barré, Yan Tomaszewski, Youri Johnson.

04/2023

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Sports

L'année du rugby 2015

Enfin, ils ont imposé leur marque noire sur la planète ovale. Jusqu'à cette édition anglaise, la Nouvelle-Zélande, c'était un peu "je t'aime, moi non plus" avec la Coupe du monde, l'éternel favori souvent surpris, la meilleure équipe plus d'une fois déçue. Elle avait bien conquis deux fois le trophée mais c'était chez elle, dans son Eden Park, en 1987 comme en 2011. Cette fois, les All Blacks étaient là où tout le monde les attendait, seuls sur le tôt du monde, dans une compétition qu'ils ont dominée avec éclat, joueurs quand on le leur permet, féroces quand il le faut, impitoyables, toujours. Avec une génération incomparable qui tire là sa révérence internationale des monstres désormais sacrés comme le capitaine Richie McCaw, le cerveau Dan Carter ou le monstrueux Ma'a Nonu, et de riches promesses, avec les jeune ; Aaron Smith, Brodie Retallick ou Nehe Milner-Skudder, voilà la Nouvelle. Zélande seule nation sacrée trois fois championne du monde. Et déjà lancé vers le Mondial 2019, au Japon, avec un temps d'avance sur tout le monde. Ces All Blacks-là ont redéfini le rugby, et, dans leur sillage, on a vu d nombreuses équipes chercher à jouer, à se faire plaisir : l'Australie, bien sûr, la finaliste malheureuse, elle aussi portée vers le grand large, l'Argentine toujours plus vive, mais aussi ce surprenant Japon sans complexes, cette petit Namibie qui ose, cette vaillante Géorgie qui donne tout... A l'opposé, pour la France, cette campagne aura été la pire depuis 1991, avec une sortie en quarts de finale. Elle aura surtout consacré quatre ans d'échecs au cours desquels Philippe Saint-André et son staff ne sont pas parvenus à donner aux Bleus une identité, et souligné que le projet de jeu, établi dans l'urgence quelques mois avant la Coupe du monde – une ode déplacée à h préparation physique, un hymne restrictif à la puissance – était anachronique Avec, en point d'orgue, cette mémorable démission contre la Nouvelle-Zélande où la France, dépassée, s'est laissé marcher dessus. Reste que le rugby français, en cette année noire, possède toujours ses clubs pour retrouver un semblant de sourire. Car, encore une fois – la troisième consécutive –, Toulon a régné en maître sur la Coupe d'Europe. Le RCT et son modèle unique de stars chevronnées, rompues à toutes les victoires mais toujours portées vers l'excellence, ont eux aussi, dans leur genre, créé un nouveau standard. Les Varois n'ont pu réitérer leur doublé de l'année précédente, mais, en enlevant le Top 14, le Stade Français a fait souffler un vent d'air frais sur le Brennus. Les hommes de Gonzalo Quesada ont lutté en phase régulière, pour devenir de plus en plus irrésistibles au fur et à mesure que le rendez-vous du Stade de France se rapprochait. En finale, ils ont fait la même victime que Toulon, Clermont-Ferrand. Des Auvergnats présents sur tous les fronts, mais qui durent se contenter des places d'honneur, rappelant que, si le rugby mondial a consacré cette année un vainqueur charismatique, il peut aussi laisser vivre un perdant magnifique.

11/2015

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Livres 3 ans et +

Raiponce

Il était une fois une sorcière qui avait un jardin extraordinaire. Elle y faisait pousser de succulentes fleurs ensorcelées appelées raiponces. Pour pouvoir continuer à en manger, ses voisins, mis en appétit par quelques plantes volées, lui promirent en échange leur bébé. C'est ainsi que la petite Raiponce fut privée de ses parents et enfermée dans une tour. Plus tard, grâce à sa longue tresse, elle reçoit la visite d'un prince qui tombe follement amoureux d'elle. Tous deux échafaudent des plans pour s'échapper mais se font malheureusement démasquer. Pour se venger, la sorcière envoie Raiponce en plein désert et crève les yeux du prince. Cela n'empêche pas ce dernier de vouloir retrouver à tout prix sa bien-aimée...

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Littérature française

L'obstination française

Nos aïeux ont vécu le phénomène de la conscience nationale lors de la libération de Paris, le 26 Août 1944. C'est ce qu'avait exprimé le Général de Gaulle en parlant d'un de ces gestes de la France, qui parfois au long des siècles, viennent illuminer notre histoire. Après la guerre 39/45 nait la génération des baby-boomers qui ne laissera rien au hasard du temps. La reconstruction de la France ne fait pas oublier les maladies telles la diphtérie ou la poliomyélite qui touchèrent de nombreux enfants conduisant la médecine à réaliser des avancées notoires. Par la suite et dès le début des années 60, l'état d'esprit des jeunes commençait à profiler le chemin de leurs rêves. Entre leçons et devoirs d'école, la camaraderie devenait une force vive aidée en cela par l'éducation parentale, la musique, les arts et le sport, sans oublier les filles tant il est vrai qu'elles étaient jolies et sexy. Au cours des années 60, les adolescents ont fissuré la chape de plomb des longs silences qui maintenait les tabous de l'époque et qui tomberont les uns après les autres. Magie de l'époque entre combats d'idées, souffles d'émotions et de bonne humeur. Ce fut le cheminement d'une merveilleuse période qui durera près de vingt ans. Les mômes des cités vivaient sous l'influence des tempos rock d'Elvis Presley, Gene Vincent et autres rockers qui précéderont la grande et fabuleuse épopée des groupes pop/rock. Les Beatles, les Stones, mais aussi Bob Dylan, Jimi Hendrix et de nombreux autres groupes enflammèrent les cœurs des adolescents pour atteindre leurs plus grands bonheurs... C'était une manière singulière de passionner les jeunes pour soutenir inexorablement leurs idées de changement. En effet, ce fut les coups de gueule d'une jeunesse exhortant leurs revendications sur une vision plus réformiste de la société française. En Mai 1968, la révolte estudiantine avec la classe ouvrière permettait de gagner de grandes avancées sociales. En 1969, la loi sur la pilule contraceptive fut votée puis, en 1975, le Mouvement de Libération de la Femme (M.L.F) relayé par l'extraordinaire combat de Simone Veil permis de faire voter la loi sur le droit à l'avortement. Cette dernière sera suivie par la loi relative au divorce par consentement mutuel. Même si les plus conservateurs ont critiqué ces avancées sociales, il n'en reste pas moins vrai qu'elles auront marqué notre génération et les suivantes. Depuis cette époque, la France n'a pas connu de périodes aussi déterminantes. En effet, depuis plus de trente ans on assiste à une apathie quasi-générale des différents acteurs de notre société. L'économie française s'abandonne dans un immobilisme récursif. Les investissements et le retour de l'excellence de la recherche devront impérativement accompagner le sursaut français. Sur le plan sociétal, les attentats terroristes aussi surprenants que tragiques ont éveillé des craintes et ranimé la peur de l'autre. Aussi étonnant que cela puisse paraitre, il aura fallu du temps et ces dramatiques évènements pour que les hommes politiques prennent enfin conscience des dangers de l'extrémisme religieux. Depuis plusieurs décennies l'immigration de masse est refusée par les autres continents. Seule l'Europe a ouvert ses portes faisant abstraction des critères d'assimilation, et, au fil du temps, certaines cités de banlieues se sont dressées comme des zones de non-droit. Les agressions verbales et physiques ont porté et portent encore le poids d'une lourde indifférence. Les attentats terroristes de ces dernières années ont déchiré le cœur des français. Dans ces situations d'insécurité multiples, les citoyens et citoyennes restent inquiets malgré la sérénité convenue des « grands penseurs » qui actionnent à l'envi la sirène de la xénophobie. Depuis trop longtemps les principaux acteurs politiques de la nation, gauche et droite confondues, se sont enlisés dans un profond déni de réalités en laissant bâtir progressivement l'échafaudage du F.N. Or, chacun sait que dans tous les domaines de la vie, l'obstination annihile le plus souvent la part des réalités et, finalement, à trop vouloir minimiser les vagues, la violence d'un tsunami n'est malheureusement pas à exclure...

11/2016

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Livres 0-3 ans

La Belle et la Bête

La collection "Mes premiers contes animés", à destination des tout-petits, permet aux enfants de découvrir les récits célèbres en manipulant le livre. Un excellent moyen de s'approprier le conte de "La Belle et la Bête" !

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Grimm

Raiponce

Une adorable collection pour faire découvrir aux plus jeunes les contes traditionnels. Le format et les textes sont adaptés aux plus petits. Les enfants vont pouvoir s'imprégner de l'univers de Raiponce, cette jolie princesse aux longs et magnifiques cheveux. A la fin du livre, des questions sont posées à l'enfant pour vérifier qu'il a bien compris l'histoire. Les petites filles peuvent coller leur photo et devenir Raiponce.

06/2022