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Livres 3 ans et +

Fanette et Filipin N°22 Automne

SOMMAIRE : Raconte-moi une histoire Fanette à la cueillette des champignons Au revoir grand-père Blaireau Conte : L'Eau de la Vie Poème : Un tout petit écureuil Je fais avec mes mains Ma page peinture La marchande des quatres saisons La danse des formes Marotte Le cobbler aux mûres Je m'amuse La page de l'Automne Les mots reliés Jeux de l'automne Je découvre la nature Le raton laveur La bonne Dame Ronce Le coin des parents Les contes de quête Le journal de Fanette et Filipin est un magazine alternatif drôle et plein de vie pour les enfants de 3 à 10 ans. Au rythme des saisons, il propose des histoires et des activités en lien avec la nature pour partager en famille beaucoup de joie et de créativité. Un magazine pour rêver et s'émerveiller A chaque saison, le journal de Fanette et Filipin propose de belles histoires basées sur des valeurs d'amitié, d'entraide, de confiance et de gratitude qui viennent nourrir l'imaginaire des enfants et ouvrent toutes grandes les portes du rêve. Les illustrations d'une qualité exceptionnelle, entièrement réalisées à la main par des illustratrices de talent, sont pleines de douceur, de couleurs et de poésie, pour rêver et s'émerveiller. Le monde est beau : vivons pleinement les quatre saisons Tous les trois mois, Fanette et Filipin emmènent vos enfants en balade dans la nature et leur proposent en plus des histoires : -Des bricolages amusants et faciles à réaliser dans des matériaux nobles et naturels pour développer le goût de faire et de créer avec ses mains. -Des recettes de cuisine végétarienne pour apprendre à se nourrir sainement. -Une rubrique vie des animaux et secrets des plantes. -Du dessin de forme, pour développer le centrage, la concentration, la motricité fine et la créativité. -Des fables, des poésies, des chansons de saison et des jeux rigolos. Le magazine jeunesse qui plaît autant aux enfants qu'à leurs parents ! Mais au fait, qui sont Fanette et Filipin ? Fanette est une petite fille intrépide qui vit au rythme des saisons et partage avec son ami Filipin, un drôle de lutin des bois, une amitié extraordinaire et émouvante. Leurs aventures rocambolesques les emmènent à la découverte des merveilles de la nature. Les récits sont drôles, émaillés de difficultés à surmonter. C'est avec bonheur que les enfants s'identifient à ces petits héros qu'ils retrouvent à chaque numéro.

09/2018

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Ouvrages généraux et thématiqu

Louise Michel

Une biographie intime et politique de la Vierge rouge. Louise Michel est d'abord un nom, celui que portent 190 établissements scolaires de France et bien davantage encore de rues. Un nom idolâtré par la gauche, détesté par la droite, mais dont l'histoire reste méconnue. Avec le talent qu'on lui connaît, Marie-Hélène Baylac est partie sur les traces de l'anarchiste la plus célèbre de France. Née à Vroncourt-la-Côte en 1830, d'une servante abusée par son châtelain, Louise est élevée comme " une demoiselle ", et, devenue institutrice, elle monte à Paris à l'âge de 26 ans. Dès lors, sa vie se confond avec la quête d'une société plus juste. Elle fréquente les milieux républicains, s'investit dans l'éducation populaire et pour l'émancipation des femmes, fait ses premières armes de militante socialiste. La guerre franco-prussienne de 1870 puis la Commune révèlent une combattante intrépide. Elle y perd l'amour de sa vie, Théophile Ferré, mais son courage et sa fierté la transforment en icône. Déportée en Nouvelle-Calédonie, Louise est l'une des premières à s'intéresser à la nature et à la culture kanak. Elle y puise une source d'inspiration qui parcourra toute son oeuvre littéraire. A son retour à Paris, en 1880, les foules se pressent pour entendre la Vierge rouge, désormais convaincue qu'il n'est de solution à la misère et aux injustices que dans l'abolition brutale de l'Etat. Pendant un quart de siècle, oratrice infatigable autant qu'écrivaine prolifique, elle tient la police en haleine, multiplie les séjours en prison, se réfugie à Londres. Son chemin croise les grandes crises de la Troisième République, du boulangisme à l'affaire Dreyfus. Elle côtoie les figures majeures de la pensée révolutionnaire internationale - Blanqui, Kropotkine, Malatesta... - et les ténors de la vie politique : Clemenceau, les Jules - Favre, Simon, Guesde, Ferry, etc. Quand elle meurt à Marseille, début 1905, au retour d'une tournée en Algérie, la presse s'incline devant la dernière des romantiques, reconnaissant qu'elle force le respect de tous, y compris de ceux qui combattent ses idées. Puisant aux écrits abondants de " la grande citoyenne " et aux sources officielles, témoignages, articles de presse, visites de terrain, la plume enlevée et experte de Marie-Hélène Baylac nous entraîne dans le récit de cette vie épique.

01/2024

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Littérature française

La comedie humaine les comediens sans le savoir. Les comediens sans le savoir

" Léon de Lora, notre célèbre peintre de paysage, appartient à l'une des plus nobles familles du Roussillon, espagnole d'origine, et qui, si elle se recommande par l'antiquité de la race, est depuis cent ans vouée à la pauvreté proverbiale des Hidalgos. Venu de son pied léger à Paris du département des Pyrénées-Orientales, avec une somme de onze francs pour tout viatique, il y avait en quelque sorte oublié les misères de son enfance et sa famille au milieu des misères qui ne manquent jamais aux rapins dont toute la for- tune est une intrépide vocation. Puis les soucis de la gloire et ceux du succès furent d'autres causes d'oubli. Si vous avez suivi le cours sinueux et capricieux de ces Etudes, peut-être vous souvenez-vous de Mistigris, élève de Schinner, un des héros de Un début dans la vie (SCENES DE LA VIE PRIVEE), et de ses apparitions dans quelques autres Scènes. En 1845, le paysagiste, émule des Hobbéma, des Ruysdaël, des Lorrain, ne ressemble plus au rapin dé- nué, frétillant, que vous avez vu. Homme illustre, il possède une charmante maison rue de Berlin, non loin de l'hôtel de Brambourg où demeure son ami Bridau, et près de la maison de Schinner son premier maître. Il est membre de l'Institut et officier de la Légion-d'Honneur, il a trente-neuf ans, il a vingt mille francs de rentes, ses toiles sont payées au poids de l'or, et, ce qui lui semble plus extraordinaire que d'être invité parfois aux bals de la cour, son nom jeté si souvent, depuis seize ans, par la Presse à l'Europe, a fini par pénétrer dans la vallée des Pyrénées-Orientales où végètent trois véritables Lora, son frère aîné, son père et une vieille tante paternelle, mademoiselle Urraca y Lora. Dans la ligne maternelle, il ne reste plus au peintre célèbre qu'un cousin, neveu de sa mère, âgé de cinquante ans, habitant d'une petite ville manufacturière du départe- ment. Ce cousin fut le premier à se souvenir de Léon. En 1840 seulement, Léon de Lora reçut une lettre de monsieur Sylvestre Palafox-Castel-Gazonal (appelé tout simplement Gazonal), auquel il répondit qu'il était bien lui-même, c'est- à-dire le fils de feue Léonie Gazonal, femme du comte Fer- nand Didas y Lora... ".

02/2023

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Histoire internationale

Israël et la question juive

" Une guerre idéologique totale est aujourd'hui menée contre Israël et le sionisme. Cette guerre non conventionnelle est d'autant plus efficace qu'elle n'est pas déclarée. " Si vous n'y croyez pas c'est le moment d'ouvrir les yeux. Les bouleversements dans les pays arabes accoucheront peut-être d'une nouvelle forme de liberté, mais déjà une forme nouvelle de lutte contre l'Etat juif a bien été imaginée : ce sera l'appel au boycott contre l'" apartheid " israélien et la stratégie de l'isolement diplomatique avec un déferlement d' " indignés " et de provocations sur chacune de ses " frontières ". Ce sera un 9/11 à l'envers : avec beaucoup de martyrs. " Antisionistes de tous les pays, unissez-vous ! " Le conflit israélo-palestinien paraît plus vaste et oppose à des " criminels professionnels " la multitude intrépide des innocents mobilisés. Car s'affirmer " pour la Palestine " c'est se placer dans le camp du Bien : " il n'y a pas de cause plus émouvante ", et la vraie religion communiste c'est la lutte finale contre ce denier racisme : au XXIe siècle le monde sera sans le sionisme. Car comment faire la paix avec cet Etat supposé raciste, dominateur, pervers, Israël, et comment faire entendre raison à ce peuple à la nuque raide, qui s'arroge le droit, " sûr de lui-même ", au retour seul ? Comment détruire le sionisme sans éliminer tous les sionistes et abolir leur rêve d'une souveraineté juive sur la sainte terre ? " Nous avons libéré la bande de Gaza, mais avons-nous reconnu Israël ? ", demande le Hamas, et on connaît la réponse " pour les Palestiniens la mort est devenue une industrie ". Déjà la Shoah n'est plus qu'un mince rempart idéologique, qui paraît avoir été un mythe odieusement fabriqué pour effacer la mémoire de la Naqba. " Tout redevient possible, tout recommence " et devant la seule nouveauté de l'histoire, les " indignés " déjà ne s'émeuvent plus. Dans ce livre magistral, Taguieff donne la leçon ultime : celle qui permet une dernière fois de reprendre ses esprits en contemplant le rêve brisé de l'Occident avant le grand soir. Parce qu'elle nous place devant l'abîme elle nous rend libres, et parce qu'elle ressemble à la vérité elle peut redonner le goût, et peut-être la force, de vivre. Jamais on n'aura été aussi bien renseigné. Le maximum que vous puissiez demander à l'histoire.

06/2011

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Histoire internationale

Histoire des vikings. Des invasions à la diaspora

Les vikings ont laissé dans les mémoires collectives un ensemble d'images fortes et contradictoires : pirates redoutables semant la terreur, navigateurs intrépides explorant des terres lointaines ou guerriers et commerçants en quête de richesses. Ces représentations ont une histoire et fascinent jusqu'à aujourd'hui, comme en témoigne la vogue actuelle de l' heroic fantasy. Au - delà de quelques " figures - souvenirs ", que sait - on réellement du mouvement viking et de ses dynamiques ? Quel monde naît de la rencontre des vikings avec les autres sociétés ? Les vikings sont parfois présentés comme les précurseurs d'un monde globalisé. Si l'expression est anachronique, il faut interpréter leur histoire en termes de routes et de diaspora et non plus seulement sous l'angle des " invasions ". Le temps des vikings fut une période de circulation des hommes, de migrations qui contribuèrent à façonner certaines régions de l'Europe (l'Angleterre et le monde franc), les zones celtiques des îles britanniques (Ecosse et Irlande) et les terres de l'Atlantique Nord, (l'Islande, en Russie et même jusqu'à Byzance). Les objets, les idées, les influences artistiques et religieuses, les objets culturels au sens large circulent, s'échangent, s'adaptent. Ces circulations, les transferts culturels qui y sont associés et leurs manifestations forment ainsi le fil conducteur de cet ouvrage. La guerre et la violence restent au coeur des représentations associées aux vikings. Cependant, la confrontation violente n'était pas une fin en soi et elle laissait ouverte les voies à des compromis politiques et culturels. Les vikings rencontrèrent en effet des sociétés différentes, s'établirent au contact d'autres populations ou sur des terres vides d'habitants. Suivre ces expériences revient à s'interroger sur des situations " d'entre - deux ", de cohabitation ou de rejet qui colorent le phénomène viking de manière singulière. La lecture de cet ouvrage aidera ainsi à penser l'unité et la diversité du monde des vikings.

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Romans historiques

Saga tsigane Première époque : Pâni et le peuple sans frontières

Cet ouvrage est un événement sociologique autant que littéraire. Pour la première fois un Tsigane se penche sur le passé de son peuple, avec le regard d'un romancier attentif à son histoire. Avec une ampleur qui projette d'embrasser tout son exode depuis son départ de l'Inde, dix siècles d'une longue marche qui l'a dispersé sur les cinq continents. Il s'agit d'aventures épiques dans l'Inde des maharadjas, autour de l'an mille, date de la première grande migration tsigane. Parce que c'est aussi l'époque de l'invasion musulmane par les troupes de Ghaznî, contre qui les intrépides rajputs, lointains ancêtres des Tsiganes, défendront chèrement leur liberté. La petite Pâni qui a connu des jours paisibles parmi les siens, dans la Tribu des Rivières, va se trouver bien malgré elle au centre de conflits destructeurs. Son paradis devenu un enfer où survivre tient du miracle lui donnera pourtant la possibilité de connaître d'autres cieux plus cléments mais pour un temps seulement... Outre les recherches qu'il évoque, l'auteur a nourri son imagination de BD et de films très proches par leur magnificence des épopées traditionnelles indiennes. Son style innovant en est marqué. Il use de procédés graphiques sur lesquels la littérature hésite encore, procédés qui s'y prêtent d'autant que le personnage principal est une fillette aux aventures extraordinaires, dont le parcours initiatique permet de frôler le jeu de rôles interactif. Le lecteur est véritablement transporté en Inde dans un campement de nomades et vivra en direct, aux côtés des personnages, leurs aventures. Non seulement il partagera leur quotidien mais il y participera. Comment ? On le découvre au fil des pages... Suspense, amour, émotions, tapissent des scènes grandioses. Un roman au thème apparemment très ciblé mais qui reste donc grand public : " J'ai voulu simplement faire un roman qui, je le souhaite, sera distrayant. " Dans le climat actuel de rejet d'un peuple qui a tant souffert, il est bon de rappeler sa culture profonde, même à travers un divertissement.

03/2010

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XVIIIe siècle

Un ballet diplomatique au service de la paix. Les ministres de France à Bruxelles dans la seconde moitié du XVIIIe siècle

Comment deux pays voisins, qui n'ont connu que la guerre, parviennent-ils à créer des relations de paix durables ? C'est à cette question essentielle et toujours actuelle que ce livre répond en étudiant l'action de la diplomatie française à Bruxelles au siècle des Lumières. L'amitié qui unit aujourd'hui la France à la Belgique s'impose comme une évidence et elle semble enracinée dans un long passé. Pourtant, les relations entre les deux pays offrent une histoire pleine de contrastes. Sous l'Ancien Régime, la Belgique faisait partie de l'Empire des Habsbourg. Situé à côté de la France, ce territoire, qu'on appelait alors les Pays-Bas, subissait de plein fouet la rivalité entre les Bourbons et la Maison d'Autriche. La situation change en 1756 lorsque Louis XV et Marie-Thérèse d'Autriche décident de s'allier, un événement qualifié de "révolution diplomatique" tant il renverse l'équilibre européen. Ce sont deux générations de ces pays qui vivent alors une période de paix exceptionnelle. La réussite de cette transition dépend beaucoup des diplomates envoyés par la France à Bruxelles. Ce livre les sort de l'oubli et met en exergue leur action : la rationalisation de la frontière, le règlement de nombreux conflits de personnes, la création de partenariats financiers colossaux, une présence de premier plan à la cour de Bruxelles... A travers eux, on croise la route de personnages variés et hauts en couleur : des moines à la dérive, des aventuriers qui promettent monts et merveilles, des espionnes plus intrépides qu'un régiment, mais aussi la fine fleur de l'Europe des Lumières : le philosophe Helvétius et son épouse, la duchesse de Polignac, meilleure amie de Marie-Antoinette, la peintre Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun, le prince de Ligne, etc. Les années les plus passionnantes du XVIIIe siècle se donnent à voir sous un angle nouveau, dans une étude remarquable fondée sur des correspondances diplomatiques aussi inédites que fascinantes.

11/2023

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Illustration

Ours blanc. Une illustration imprimée sur un papier de création avec 1 livet autour de l'oeuvre

"Avant d'avoir des amis, les objets de la nature matérielle frappèrent mon attention et émurent mon coeur. Avant de comprendre les rapports de l'homme avec son semblable, je connus, je sentis les rapports de l'homme avec la nature". Entre 1846 et 1853, The Viviparous Quadrupeds of North America est publié en 3 volumes de 150 planches de 56 x 71 cm, imprimées et coloriées à la main par J. T. Bowen de Philadelphie, et 3 volumes de textes. Cette planche 91 a été "dessinée d'après nature par J. W. Audubon" , le fils qui prend souvent à cette époque le relais de son père dont la santé décline et reproduit son style à s'y méprendre, en particulier dans le traitement pictural des décors naturels. Ursus maritimus y est raconté sur douze pages par son cosignataire John Bachman (1790-1874), pasteur luthérien anti-esclavagiste et naturaliste spécialiste des animaux du sud des Etats-Unis, dont le Unity of the Human Race, publié en 1850, contribuera au développement de la théorie de l'évolution. On découvre ainsi que les auteurs, bien qu'ayant exploré les régions septentrionales, se basent honnêtement et quasi intégralement sur les témoignages et descriptions de leurs prédécesseurs : "Nous avons voyagé ensemble, cher lecteur, dans les vallons profonds et les forêts sauvages, par-delà les marais et par-dessus les montagnes, maîtrisé les courants du Mississippi, vogué sur nos vastes lacs et nos côtes interminables, du Labrador au Mexique ; nous avons poursuivi le bison dans les grandes prairies, chassé le daim timide, piégé le castor et pris le renard ; en sommes, nous avons capturé, représenté et décrit la plupart de nos animaux ; mais avec votre permission, nous allons vous envoyer en expédition avec les navigateurs les plus intrépides des mers polaires à la recherche de l'ours blanc, car nous n'avons pas vu ce remarquable habitant des régions glacées de nos côtes évoluer dans ses froids déserts natifs... "

05/2023

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Romans policiers

Une enquête de Veronica Speedwell Tome 2 : Une périlleuse affaire

Londres, 1887. Au Curiosity Club, établissement réservé aux femmes intrépides, l'aventurière Veronica Speedwell rencontre lady Sundridge, qui la supplie d'accepter une tâche impossible  : sauver de l'exécution le mécène Miles Ramsworth. Accusé d'avoir sauvagement assassiné sa maîtresse, Ramsworth sera pendu dans une semaine si le vrai coupable n'est pas identifié. Les secrets qui entourent cette affaire sont nombreux, y compris la véritable identité de l'énigmatique lady Sundridge. Avec Stoker, son collègue naturaliste, Veronica se lance donc dans une course contre la montre pour trouver le meurtrier. Cette enquête, qui les mènera d'une communauté d'artistes bohémiens à une grotte marquée par une histoire décadente, en passant par un palais royal, s'annonce bien périlleuse. . . " Une intrigue mystérieuse pleine de rebondissements et de personnages suspects, dont l'audacieuse protagoniste constitue le plus grand point fort. . . Une nouvelle aventure passionnante dans cette série prometteuse mettant en scène une héroïne qui défie les convenances et part à l'aventure sans hésitation.  " Booklist " Ce roman ne manquera pas de plaire aux fans de romans policiers et à ceux qui aiment l'Angleterre victorienne. . . L'intrigue ingénieuse, tout comme la relation entre Veronica et Stoker, son partenaire aussi mystérieux que passionné, sont un pur délice ! " The Historical Novels Review " On ne peut qu'admirer l'héroïne indépendante de Deanna Raybourn, qui jongle aisément entre ses activités de lépidoptériste et ses aventures amoureuses.  " Kirkus Reviews " Un roman pétillant combinant un suspense haletant et un portrait amusant des membres de la société victorienne, qui, sous leur bienséance, cachaient de nombreux secrets.  " Book Riot " Faite de sous-entendus et de joutes verbales amusantes, la plume espiègle de Deanna Raybourn plaira aux lecteurs de fiction historique et de romance. L'alchimie entre Veronica et Stoker est indéniable, leurs capacités de déduction sont mises à rude épreuve, et les facéties de notre héroïne sont toujours aussi cocasses, dans ce roman qui nous offre un moment de détente incomparable.  " Shelf-Awareness

07/2022

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BD tout public

June

Nous sommes en France, dans une ville austère de l'est. June est une petite fille comme les autres. Quand son père Otis ne tient plus ses promesses et laisse son addiction le submerger au détour d'une gorgée d'alcool de trop, les choses ne peuvent pas se passer au mieux. June regarde son père tomber. June voit la catastrophe et la prend de plein fouet. Mais June encaisse... Que se passe t-il quand les adultes perdent le contrôle de la situation ? Quand un verre de vin peut faire basculer le quotidien d'une famille ordinaire vers un cauchemar sans nom ? Nous sommes en France, aujourd'hui, dans une ville austère de l'est. June est une petite fille comme les autres. Quand son père Otis ne tient plus ses promesses, quand il laisse son addiction le submerger au détour d'une gorgée d'alcool de trop, les choses ne peuvent pas se passer au mieux. June regarde son père tomber. June voit la catastrophe et la prend de plein fouet. Mais June encaisse... Et qui sommes-nous pour juger qui que ce soit ? "J'ai fini par remarquer, au fil de mes lectures et de mes pérégri-nations, à quel point la mythologie du loser magnifique enhardissait encore les foules. Le type se sert de grandes rasades de Scotch, se fout de tout, et tire sur sa clope en restant irrémédiablement cool. On nous présente toujours les excès d'alcool sous la forme de la satire légère, on nous montre des bitures potaches, des gueules de bois bon-enfant, des ivrognes clownesques, de ce genre qui, saouls comme des cochons, iront au devant des pires ennuis mais s'en sortiront toujours comme des chefs, le litron encore vaillant à la main... Les revers de la médaille les plus triviaux sont rarement observés : les mensonges, les secrets honteux, les vies brisées, les odeurs de pisse et de vomi. Quand ces problématiques vous touchent de près, l'acuité avec laquelle on regarde alors la chose prend une tout autre tournure. et prend l'allure d'une plaie. C'est cette plaie que j'ai eu à coeur d'éclairer avec June. . ". Nicolas Moog Sélection officielle pour le Prix Ouest-France en 2013 au festival Quai des bulles (St-Malo).

11/2011

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Littérature étrangère

Songes et discours

" Voici, pour le lecteur français, la première occasion depuis le dix-septième siècle de se mesurer avec les Songes et discours de Quevedo. Le Siècle d'or touche à sa fin. Nature inquiète, turbulente, volontiers querelleuse, Quevedo est ce témoin à charge qui peint dans les Songes et discours le tableau d'une société malade. Défilent en une ronde infernale (au sens propre) des pantins gesticulants, grimaçants, vociférants, qui tous incarnent des types sociaux au travers desquels l'auteur dénonce les maux de son époque : l'hypocrisie, le mensonge, la rapacité, la luxure. A la suite du narrateur, lequel, successivement, assiste au jugement dernier, s'entretient avec un démon logé dans un alguazil, parcourt l'enfer, apprend à voir le monde au-dedans ou rend visite aux morts, nous découvrons une population d'hommes de loi, de greffiers, d'alguazils, de médecins, d'apothicaires, de tailleurs, de femmes de mauvaise vie, de duègnes, etc. Avec les femmes, la satire se fait particulièrement féroce. Jeunes, vieilles, laides, belles (mais leur beauté est artificieuse), aucune ne trouve grâce à ses yeux. L'enfer de Quevedo, comme celui de Dante, est par ailleurs peuplé de figures célèbres. L'auteur s'attarde auprès de quelques-unes d'entre elles - Judas l'Iscariote, Mahomet, Luther - pour les stigmatiser violemment ; l'entretien entre Judas et le narrateur vaut d'être souligné, car il illustre parfaitement ce mélange explosif de grotesque et de sacré, qui est une des constantes des Songes et discours. " La grandeur de Quevedo est verbale ", a justement dit Borges. Nul ne possède plus que lui la maîtrise de la langue espagnole. Il n'a pas son pareil pour manier l'ellipse, l'anastrophe, l'antithèse, le paradoxe, l'ambiguïté, l'amphibologie, et autres figures de style. Au cultisme de Gongora et de ses sectateurs, partisans d'une langue poétique où l'ornement est recherché pour lui-même, Quevedo oppose le conceptisme qui détourne les mots au service d'un raisonnement rigoureux et d'une pensée subtile, ingénieuse à l'extrême. Borges fait remarquer que la prose de Quevedo bannit l'épanchement sentimental et ne comporte aucun de ces symboles qui s'emparent de l'imaginaire des gens. Assurément Quevedo ne séduit pas en mignardant. Il est rude, ironique, vindicatif ; mais celui qui accepte de lui emboîter le pas cède tôt ou tard à ses sortilèges (nous en parlons en connaissance de cause). " Les traducteurs.

04/2003

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Contes et nouvelles

La potiche a peur en rouge. Et cent autres fables express

"La fable express est une parodie de fable, qui naquit à la fin du XIXe siècle, époque de fantaisie, d'invention, et de jeu avec la langue. Alphonse Allais fut un virtuose du genre. La recette en est simple : une poignée de vers de mirliton, aromatisés à l'absurde, à l'insolence ou à l'obscénité, et une "morale" en général très peu morale, qui parodie parfois dictons et lieux communs, mais ça n'a rien d'obligatoire. La "morale" est à double sens : elle cache une autre formule, qui se prononce de la même manière mais dit tout autre chose. Bref, c'est un calembour. Le but ? Le jeu, le rire". (Pierre Jourde). Après une érudite et savoureuse présentation, Pierre Jourde revisite en cent et une fables (agrémentées de commentaires) ce drôle de genre littéraire, pratiqué entre autres par Alphonse Allais, Boris Vian et Marcel Gotlib. Réactualisant cette forme d'écriture pour rire, à la portée de tous, l'impertinent et caustique Pierre Jourde signe ici un véritable manifeste pour une littérature humoristique et amusante. "La fable express, Pierre Jourde le rappelle dans sa présentation riche et complète, "n'est pas sérieuse" . Cela tombe bien, trop de gens déjà le sont, et le quorum de sérieux dans le monde est largement dépassé. A juste titre, l'auteur cite aussi bien Allais, Roussel, le fou littéraire Brisset, que l'Oulipo, Vian et Gotlib". (Extrait de la préface d'Hervé Le Tellier). Ecrivain et critique littéraire, Pierre Jourde a longtemps été professeur de littérature française à l'université. Il a publié une quarantaine de livres, dans tous les genres (poésie, essais, romans, satire littéraire, théorie de la littérature...), ainsi que des ouvrages avec divers artistes, et dirigé l'édition de Huysmans en Pléiade. Il tient une chronique sur le site culturel de L'Obs, Bibliobs. Parmi ses publications : Empailler le toréador (Corti, 1999), La Littérature sans estomac (L'Esprit des péninsules, 2002, prix de la critique de l'Académie française), Précis de littérature française du XXIe siècle (avec Eric Naulleau, Mango, 2004), Festins secrets (L'Esprit des péninsules, 2005, prix Larbaud, prix Renaudot des lycéens, prix Thyde Monnier de la SGDL), Le Maréchal absolu (Gallimard, 2012, prix Virilo), La Première Pierre (Gallimard, 2013, prix Jean Giono), La Culture bouge encore (Hugo, 2016), Le Voyage du canapé-lit (Gallimard, 2010).

10/2021

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Littérature étrangère

S

S, treizième roman de John Updike - du nom de l'héroïne Sara, ou Sare, mais aussi S comme Serpent, sexe, sensualité, comme sagesse (orientale) et science (occulte), et enfin comme sanscrit -, se déroule sur fond de yoga dans un ashram transplanté d'Inde en Arizona et régenté par un pseudo-gourou, l'Arhat. Loin de l'habituel microcosme d'une petite ville de Nouvelle-Angleterre et malgré leurs masques, les personnages sont dénués d'exotisme et marqués par les valeurs et travers d'une époque et d'une société qui, comme toujours, suscitent l'ironie et la causticité de l'auteur. «A quoi bon vivre, demande un des personnages, si l'on ne peut faire peau neuve ?» Changer de rôle, de vie, de milieu, telle est l'aspiration de Sara P Worth, moderne Hester Prynne dont la généalogie est un discret hommage à Nathaniel Hawthorne. En rupture de ban conjugal et social, fascinée par l'aura médiatique de l'Arhat, Sara se fait «sannyasin» pour, rebaptisée Kundalini et sous la férule spirituelle et charnelle du Maître, dompter son ego et parvenir à «moksha», le salut par le rejet de toutes illusions. Accablée d'humiliations, Sara/Kundalini secoue son joug et quitte l'ashram pour vivre son nirvana au soleil des Caraïbes, en marge de ses amours mortes et de ses illusions évanouies. Ce roman, composé de lettres et de bandes pour la plupart dues à Sara, se double d'une comédie d'illusions et de désillusions, acide et doucement amère, contée par la bouche d'une femme à la fois trahie et traîtresse, dans la lignée des héroïnes de Couples, Epouse-moi et Les sorcières d'Eastwick. Une fois encore, Updike se montre tiraillé entre l'ange et la bête, la religiosité et la chair. En quête de sa vérité, Sara/Kundalini, comme ses aînées, cherche à tâtons sa voie au «crépuscule de la vieille morale», parmi les méandres de la philosophie orientale et de l'érotisme. Pétillant d'esprit, fertile en inventions, conçu comme une farce mais emporté par un crescendo poétique, S marque une nouvelle étape dans l'entreprise de «dépoussiérage» du roman moderne que poursuit l'auteur. Une oeuvre à lire d'une traite, non comme un nouveau pamphlet féministe ou sexiste, ni comme une satire des sectes, mais comme une variation baroque et désopilante sur le thème favori de John Updike : le droit de l'individu à l'épanouissement de son moi.

04/1991

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Persan, Pashto

La Corneille têtue. Recueil de contes populaires d'Iran

Contes d'Iran humoristiques et satiriques Cet ouvrage bilingue s'adresse au public francophone amoureux des contes et désireux de connaître l'un des volets littéraires et culturels de l'Iran, et aussi à ceux qui souhaitent élargir leur savoir en langue, littérature et culture persanes. Le propos a été de mettre en relief les différents aspects de la littérature populaire, puis de choisir des histoires où étaient finement dépeints, à travers les personnages animaliers, les traits de caractère des humains. Vingt contes ont été choisis, dont la plupart sont des contes animaliers mais où les êtres humains ne sont pas absents. Il s'agit de contes courts, écrits dans un langage simple, direct et même familier, avec parfois une nuance de satire qui les rapproche de la fable. Certains contes décrivent des aventures ou des faits étranges, chimériques et surnaturels, présentés comme tout à fait naturels. D'autres donnent des images de la vie quotidienne, évoquent les rapports familiaux ou les conflits d'intérêt entre différentes couches de la société. On distingue en général : le héros, personnage principal du conte, pas forcément sympathique ; l'agresseur, méchant ou gentil, qui joue le rôle opposé à celui du héros ; les auxiliaires, soit des animaux, soit des êtres humains ou même des objets possédant des pouvoirs magiques, qui entrent en scène au moment propice pour soutenir le héros et l'aider à relever les défis ; le narrateur, qui joue un rôle de premier plan tout au long de l'histoire et guide le lecteur. Ces contes, issus d'une longue tradition légendaire et historique, outre leur caractère pittoresque et divertissant, ont l'intérêt de présenter des particularités propres au monde persan : intrusion de mini-récits dans l'histoire principale, en général pour aider le héros à atteindre son objectif ; évocation des principes zoroastriens (duel entre le Bien et le Mal) ; moquerie à l'égard de l'hypocrisie de certains religieux chiites ; rôles des chiffres symboliques (3, 7, 40). Ils dégagent tous une morale ou des principes de sagesse, pas toujours conventionnels puisque parfois l'habileté et la ruse sont magnifiées aux dépens de l'honnêteté. Ces contes, de tradition orale, ont été recueillis dans une série d'ouvrages iraniens, dont les titres figurent en annexe à l'ouvrage. Ils sont présentés par les traductrices en introduction.

10/2022

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Poésie

Les centaures & autres poèmes

Pour la première fois en français, ici dans la traduction du polonais d'Isabelle Macor, il nous est donné de lire enfin l'oeuvre poétique de Zuzanna Ginczanka (1917-1944), reconnue par les plus grands de son temps (Gombrowicz, Tuwim, et bien d'autres) comme une poète au génie précoce. Ce livre important en nombre de poèmes (110) se veut aussi un hommage à Zuzanna Ginczanka, et rend compte de l'évolution et de la diversité de son oeuvre, composée sur seulement dix années, tragiquement interrompue : elle meurt assassinée à l'âge de 27 ans en 1944 dans la banlieue de Cracovie après avoir été arrêtée par la gestapo une seconde fois. Ainsi ce livre démarre-t-il avec son premier poème connu ("Banquet estival" , écrit alors qu'elle était encore lycéenne en 1931) pour se poursuivre chronologiquement jusqu'à son dernier, "Non omnis moriar" , où elle nommait expressément ces dénonciateurs à Lvov (actuellement Lviv, en Ukraine) où elle fut arrêtée une première fois, avant de l'être à nouveau à Cracovie et ne plus revenir. Ce, en passant par une variété de poèmes relevant de la parabole, de la satire, de l'observation du monde et de la vie humaine saisie dans son regard... , selon un gai savoir grammatical où s'affirme librement sa féminité (fait remarquable), et où la nature abonde, cependant que, avec le pressentiment d'une catastrophe imminente, l'inquiétude s'installe. (Ainsi, dès 1934, un poème comme "Agonie" ne laisse aucun doute sur sa lucidité politique dans une Europe "secouée d'une toux / aux rythmes soldatesques" .) Les Centaures fut précisément le seul recueil de Zuzanna Ginczanka publié de son vivant, les autres poèmes étant quant à eux parus en revue ou dans la presse. Et elle n'aura eu guère le temps d'en composer un autre. Ce livre en édition bilingue comprend également, pour une plus grande appréciation, des documents (photographies, reproductions de manuscrits, etc.), des notes, et (au moins) une postface de la traductrice. Nous sommes plusieurs à vouloir que ressurgisse une telle voix des décombres de l'extermination. En Pologne, elle revit déjà plus particulièrement depuis 20 ans. Des ouvrages importants sur sa vie et son oeuvre y sont encore tout récemment parus. Et plus proche de nous, en France, un film documentaire lui a été consacré : "Tout de moi ne disparaîtra pas" (2022) de Joanna Grudzinska.

03/2024

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Sciences politiques

Les initiatives de sécurité au Maghreb et au Sahel. Le G5 Sahel mis à l'épreuve

Cet ouvrage propose une perspective analytique et critique des dynamiques de sécurité dans l'espace sahélo-maghrébin, en se focalisant sur la multiplication des initiatives régionales de sécurité notamment la dernière en date, le G5 Sahel. Si leur prolifération dénote une (re)considération de la région, dans un contexte d'appropriation par les Etats africains de leur sécurité, leurs motivations et la manière dont elles sont appréhendées soulèvent des problématiques (rivalité, exclusion et neutralisation mutuelles, duplication, appropriation pervertie, primauté de la thématique terroriste...). Au lieu de générer de la stabilité, en ayant des incidences sur l'insécurité régionale, ces processus, plus concurrents que complémentaires, génèrent plutôt des tensions et alimentant des rivalités dont ils découlent. Leur coordination est désormais un enjeu stratégique pour la région. Les instabilités/insécurités dans la région sont, pour l'essentiel, la conséquence des faiblesses des Etats. Il convient donc d'agir en amont sur les problèmes socio-économiques et politiques. Se contenter d'une action en aval, fondée sur la militarisation de la lutte antiterroriste, revient à en gérer les conséquences et non à en traiter les causes. Dernier-né des processus régionaux, le G5 Sahel, fortement soutenu par la France, prend forme avec l'opérationnalisation de sa Force conjointe. Cependant, il se heurte à des écueils majeurs (capacités financières et opérationnelles limitées, dépendance vis-à-vis de l'extérieur, primauté du volet militaro-sécuritaire sur le volet développement...) rendant son avenir incertain. Souffrant d'un déficit de légitimité régionale, le G5 Sahel fait face à une problématique de taille : son insertion dans un paysage régional saturé. Son devenir dépend plus des engagements extérieurs et du soutien régional que de l'implication de ses propres Etats membres.

05/2019

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Littérature française

A cause de l'éternité

A cause de l'éternité constitue le seconde volet de L'Autre rive, qui remporta en 2007 le Grand Prix de l'Imaginaire. L'action se déroule de nos jours au château d'Eparvay, dans l'arrière-pays d'Ecorcheville, ville bâtie au bord du Styx. Cette région présente nombre de particularités. L'esclavage n'y a jamais été aboli. La proximité relative des Enfers, par-delà l'infranchissable fleuve des morts, entraîne des précipitations insolites (pluies d'animaux et d'insectes divers) ainsi que l'échouage occasionnel de créatures venues de l'autre rive (centaure, sirène, satyre, minotaure...). Un Musée de Tératologie les rassemble ; les étudie et les expose. Enfin, l'économie comme la politique locales sont sous le contrôle de trois grandes familles, les Propinquor, les Esteral et les Bussettin, qui se disputent et se partagent de longue date le pouvoir. Dans ce nouvel opus, Alphan Bogue, jeune diplômé du Courtauld Institute de Londres, docteur PhD en histoire de l'Art, rentre à Ecorcheville pour s'y marier. Sa fiancée, Delia Spencer-Churchill, doit le rejoindre pour la cérémonie. Le père d'Alphan, brocanteur à la retraite, pensionnaire de l'EHPAD d'Ecorcheville, le presse de dérober pour lui un autoportrait supposé de Rembrandt adolescent, inconnu de tous, qui se trouve au château d'Eparvay. Spécialiste de la peinture baroque et de Rembrandt, Alphan se laisse convaincre de s'introduire dans le château pour examiner le tableautin et se faire une idée de son authenticité. Quand il franchit une porte basse donnant sur les soubassements de l'énorme édifice métamorphique, l'aventure commence... L'imaginaire qui se déploie dans ce roman-monde n'a pas d'équivalent dans la littérature française contemporaine.

01/2021

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Science-fiction

Bifrost N° 105 : Leigh Brackett. La dame sur mars

Il pleuvait sur la vallée depuis trente-six heures, une pluie drue, ininterrompue. Le sol était saturé. Le moindre repli aux flancs hérissés crachait un torrent boueux qui courait s'agréger aux autres torrents en contrebas avant de se déverser par des chenaux naturels dans la rivière. Une rivière qui, tirée de sa torpeur coutumière, roulait en rugissant tel un nouveau Mississippi, déchirant ses berges, s'étalant en une vaste tache jaune sur les champs et dans les rues de Grand Falls fuies par ses habitants en quête de hautes terres. Arbres déracinés et poutres emportées heurtaient les murs des vieilles bâtisses en brique de la grand-rue. Dans le hall de l'hôtel, les crachoirs de bronze flottaient de plus en plus haut, entrechoquant en un glas pitoyable leurs flancs sonores. Au sommet des crêtes fermant la vallée au nord-est et au sud-ouest, cachés par une main méticuleuse, deux petits mécanismes bourdonnaient sans interruption - des minisemeurs qui ne devaient rien à la technologie terrienne. Leur énergie s'épuiserait en quelques jours, mais pour l'heure, ils fonctionnaient avec une efficacité remarquable, propulsant un courant régulier de particules chargées d'électricité vers le ciel, ensemençant les nuages qui s'amassaient sur les crêtes. Dans la vallée, la pluie tombait toujours... Leigh Brackett Toutes les couleurs de l'arc-en-ciel DOSSIER LEIGH BRACKETT : Dame de Mars, Vénus et autres mondes Interview de Leigh Brackett & Edmond Hamilton Colt & Chivalry : le cinéma selon Leigh Brackett Guide de lecture Bibliographie PAROLES DE REPRESENTANT : Olivier Legendre, diffuseur d'harmonie SCIENTIFICTION : la Cane aux OEufs d'Or : un entretien PRIX DES LECTEURS 2021 : les lauréats ET TOUTE L'ACTU DU LIVRE à travers 40 pages d'études et critiques

01/2022

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Ordres et vie monastique

Contre les moines. L'antimonachisme, des Réformes à la Révolution

L'antimonachisme est aussi ancien que le monachisme. On ne l'a pas étudié. Cet ouvrage corrige cette carence en 43 textes. Une anthologie, entre XVIe et XVIIIe siècle, qui va du traité de théologie à la farce, de l'interrogation sérieuse aux satires bouffonnes. Si le monachisme moderne a fait l'objet de très nombreuses études, l'antimonachisme est longtemps resté dans l'ombre, associé à quelques noms fameux, Calvin et Voltaire en particulier, et à quelques reproches caricaturaux : sexualité débridée et gloutonnerie. En réalité, le monachisme fait l'objet de débats depuis les origines. Peut-on être chrétien en dehors du monde ? Peut-on répondre à l'appel de la mission et de la justice sociale énoncé dans l'Evangile entre les murs d'un couvent ? Une critique tenace s'est installée qui s'attache, souvent, aux fondements même du monachisme : la sincérité de la vocation monastique, le modèle économique de la rente ou de la quête, l'utilité sociale, les conséquences démographiques du célibat par exemple. 43 textes sont ici présentés, entre 1523 et 1799, comme autant de jalons d'une dépréciation qui puise dans une tradition médiévale mais qui se renouvelle aussi fortement avec la Réforme. Jusqu'à la Révolution, les religieux cloîtrés sont la cible de moqueries, quolibets, farces théâtrales, poèmes satiriques, traités virulents qui posent moins la question des modalités de la vie religieuse que de sa légitimité pure et simple. Pour la première fois, des spécialistes du monachisme moderne ont réuni des textes tirés de la littérature, des archives et des traités théologiques et canoniques, qui permettent de comprendre comment convergent ces critiques contre un modèle de vie qui séduit souvent, ou qui dérange.

11/2023

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Musique, danse

Ravel

Par l'entremise d'Erik Satie, Roland-Manuel fit la connaissance de Ravel dès 1911 et demeura son élève, puis son ami, jusqu'à la mort du compositeur de Daphnis et Chloé en 1937. Le livre que nous rééditons aujourd'hui présente donc la particularité d'avoir été écrit par un familier qui était, en même temps, le disciple du maître. Cet ouvrage offre, par conséquent, un témoignage de première main en même temps qu'il apporte, en ce qui concerne l'analyse des œuvres - de la Pavane pour une Infante défunte à La Valse, du Quatuor au Boléro, de Shéhérazade à L'Heure espagnole, de Gaspard de la nuit au Tombeau de Couperin, des Chansons madécasses aux deux Concertos pour piano -, la vision d'un " initié " qui sait dépasser l'approche technique pour nous faire accéder à l'essence même des partitions étudiées. Comme le rappelle Jean Roy dans son introduction, Roland-Manuel n'a cessé d'appréhender l'œuvre de Ravel sous un angle de vue non conformiste qui en dégage la véritable clef esthétique : " On imagine difficilement Ravel se frappant le cœur pour en faire jaillir le génie... L'art ne s'impose pas à lui de la façon dont il s'impose aux romantiques. Ce n'est pas à ses yeux la suprême vérité, mais un mensonge, le plus brillant ; une merveilleuse imposture. " Ce livre se termine par un hommage au biographe lui-même, Roland-Manuel, dont l'œuvre musicale (Isabelle et Pantalon, Le Diable amoureux) a toujours retenu l'attention des mélomanes Jean Roy lui consacre une chaleureuse postface et dresse un catalogue de ses compositions.

01/2001

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Beaux arts

Antonio de La Gandara. Gentilhomme-peintre de la Belle Epoque (1861-1917)

Né d'un père mexicain et d'une mère anglaise, Antonio de La Gandara suit les cours de l'Ecole des beaux-arts et rejoint les classes de Gérôme et de Cabanel en 1878 à l'âge de 16 ans. En 1882, il expose au Salon des Artistes Français où il reçoit sa première médaille. C'est en 1885 qu'il fait la connaissance du comte Robert de Montesquiou et de son ami Gabriel Yturri. Séduit par les oeuvres de l'artiste, inspirées de celles de Goya, Ribot et Vélasquez, Robert de Montesquiou s'active à faire connaître le jeune peintre auprès de l'aristocratie dont il devient un des artistes favoris. Peintre mondain couvert d'honneurs, La Gandara est un familier de la comtesse de Noailles, d'Anatole France, d'Henri de Régnier, de Gabriele D'Annunzio, de Maurice Barrès, mais aussi de Debussy, Saint-Saëns et Satie. Grâce à son frère Edouard, membre de la troupe de Sarah Bernhardt, il pénètre l'intimité du monde du théâtre et de l'Opéra, dont il fréquente les "étoiles". Ce sont ces différentes figures qui peuplent son oeuvre, au point d'en faire un témoignage exceptionnel de la vie artistique et mondaine de la toute fin du XIXe siècle, le monde de Marcel Proust, qu'il a également croisé. S'il est un témoin privilégié de la Belle Epoque, le talent de La Gandara s'exprime aussi dans les nombreuses représentations de jardins, notamment du parc de Versailles, dont il aime représenter les statues et les allées, se délassant ainsi de longues séances de pose avec une clientèle parfois capricieuse.

11/2018

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Livres 3 ans et +

Fanette et filipin n°26 automne 2019

SOMMAIRE : Raconte-moi une histoire Fanette et la salamandre Le poisson-lune Lao-Li, son fils et son cheval L'épée bien forgée Je fais avec mes mains Pluie de feuilles d'automne L'écriture chinoise Fabrique ton cerf-volant Cuisine : Pâte à tartiner maison Le dragon qui crache du feu La danse des formes Je m'amuse Jeu : Deng yi Deng Devinettes : Les animaux de la forêt Mots reliés Chanson : L'écureuil des bois Une ronde pour l'écureuil Je découvre la nature La salamandre Un herbier de feuilles d'automne Le noisetier Coin parents Le journal de Fanette et Filipin est un magazine alternatif drôle et plein de vie pour les enfants de 3 à 10 ans. Au rythme des saisons, il propose des histoires et des activités en lien avec la nature pour partager en famille beaucoup de joie et de créativité. Un magazine pour rêver et s'émerveiller A chaque saison, le journal de Fanette et Filipin propose de belles histoires basées sur des valeurs d'amitié, d'entraide, de confiance et de gratitude qui viennent nourrir l'imaginaire des enfants et ouvrent toutes grandes les portes du rêve. Les illustrations d'une qualité exceptionnelle, entièrement réalisées à la main par des illustratrices de talent, sont pleines de douceur, de couleurs et de poésie, pour rêver et s'émerveiller. Le monde est beau : vivons pleinement les quatre saisons Tous les trois mois, Fanette et Filipin emmènent vos enfants en balade dans la nature et leur proposent en plus des histoires : -Des bricolages amusants et faciles à réaliser dans des matériaux nobles et naturels pour développer le goût de faire et de créer avec ses mains. -Des recettes de cuisine végétarienne pour apprendre à se nourrir sainement. -Une rubrique vie des animaux et secrets des plantes. -Du dessin de forme, pour développer le centrage, la concentration, la motricité fine et la créativité. -Des fables, des poésies, des chansons de saison et des jeux rigolos. Le magazine jeunesse qui plaît autant aux enfants qu'à leurs parents ! Mais au fait, qui sont Fanette et Filipin ? Fanette est une petite fille intrépide qui vit au rythme des saisons et partage avec son ami Filipin, un drôle de lutin des bois, une amitié extraordinaire et émouvante. Leurs aventures rocambolesques les emmènent à la découverte des merveilles de la nature. Les récits sont drôles, émaillés de difficultés à surmonter. C'est avec bonheur que les enfants s'identifient à ces petits héros qu'ils retrouvent à chaque numéro.

09/2019

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Livres 3 ans et +

Fanette et Filipin N°20 Printemps

SOMMAIRE : Raconte-moi une histoire Fanette et l'écrevisse Le printemps de lumière Poème : Mes fées Une courageuse éterle Je fais avec mes mains Papillons de printemps en papier calque Gentillette Pâquerette Enfant-fleur pâquerette La cuisine de Mamie Jeanne : les crêpes au chocolat Danse des formes : De la ligne à la vague Je m'amuse Jeu des différences Mots reliés Chant et ronde : Les petits nains de la montagne Je découvre la nature Le monde des oiseaux : La création du nid L'ail des ours Le coin des parents Vos histoires de lutins... Le journal de Fanette et Filipin est un magazine alternatif drôle et plein de vie pour les enfants de 3 à 10 ans. Au rythme des saisons, il propose des histoires et des activités en lien avec la nature pour partager en famille beaucoup de joie et de créativité. Un magazine pour rêver et s'émerveiller A chaque saison, le journal de Fanette et Filipin propose de belles histoires basées sur des valeurs d'amitié, d'entraide, de confiance et de gratitude qui viennent nourrir l'imaginaire des enfants et ouvrent toutes grandes les portes du rêve. Les illustrations d'une qualité exceptionnelle, entièrement réalisées à la main par des illustratrices de talent, sont pleines de douceur, de couleurs et de poésie, pour rêver et s'émerveiller. Le monde est beau : vivons pleinement les quatre saisons Tous les trois mois, Fanette et Filipin emmènent vos enfants en balade dans la nature et leur proposent en plus des histoires : -Des bricolages amusants et faciles à réaliser dans des matériaux nobles et naturels pour développer le goût de faire et de créer avec ses mains. -Des recettes de cuisine végétarienne pour apprendre à se nourrir sainement. -Une rubrique vie des animaux et secrets des plantes. -Du dessin de forme, pour développer le centrage, la concentration, la motricité fine et la créativité. -Des fables, des poésies, des chansons de saison et des jeux rigolos. Le magazine jeunesse qui plaît autant aux enfants qu'à leurs parents ! Mais au fait, qui sont Fanette et Filipin ? Fanette est une petite fille intrépide qui vit au rythme des saisons et partage avec son ami Filipin, un drôle de lutin des bois, une amitié extraordinaire et émouvante. Leurs aventures rocambolesques les emmènent à la découverte des merveilles de la nature. Les récits sont drôles, émaillés de difficultés à surmonter. C'est avec bonheur que les enfants s'identifient à ces petits héros qu'ils retrouvent à chaque numéro.

03/2018

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Littérature française

Le prix de la liberté. Les mémoires d'un naïf optimiste

Même si l'homonymie pourrait le laisser croire, ne vous attendez pas à trouver ici les aventures d'un général du Second Empire, mais bien plutôt celles d'un auteur contemporain qui prend plaisir à raconter le roman de sa vie, en l'illustrant d'anecdotes originales. En jouant avec un style alerte où l'humour est souvent au rendez-vous, Edward Pierron nous confronte aux défis de sa jeunesse mouvementée. Il y ajoute parfois une touche d'ingénuité qui donne une originalité supplémentaire à son récit. L'histoire commence à la fin des années 30, puis se poursuit pendant la seconde guerre mondiale. L'auteur est le témoin et l'acteur d'une époque charnière. Il fait l'apprentissage d'une vie où il doit assurer sa subsistance au jour le jour, mettant à contribution son imagination débordante. Dans cette période troublée, son existence est faite de rebondissements et d'instants où "tout peut basculer". Il est réfractaire aux réquisitions de l'occupant allemand, jusqu'au jour où il est arrêté. Son itinéraire nous conduit alors de l'île Tudy en Bretagne, à l'Autriche en guerre. Après avoir connu la rudesse des camps de travail, il pratique l'art de la "grande évasion". Puis, c'est le début d'une ère nouvelle, avec ses promesses matérielles, ses rencontres, ses découvertes et l'amour en prime. En toile de fond, il y a la mer et l'appel du grand large. Les moments forts sont baignés par la chaleur réconfortante des Bretons d'Armorique. Edouard Pierron nous projette ainsi dans un univers qui l'a profondément marqué. Avec lui, nous faisons la connaissance d'un "personnage". Une muse le suit comme son ombre : l'aspiration à la Liberté. Par-delà les difficultés rencontrées, puis surmontées non sans avoir invoqué la chance qui a marqué son existence. Un récit témoignage d'une exigence qui donne un sens à la vie et force le respect. La quête d'un homme intrépide, solidaire dans l'épreuve et fidèle en amitié. C'est le roman d'une vie et mieux encore, car il nous délivre aussi quelques bonnes pages où le bon sens et la sagesse font merveille, sous forme de philosophie pratique appliquée à l'action, en quelque sorte ! A propos de l'auteur, Madame Michèle Morgan nous a confié : "Je suis heureuse de l'avoir rencontré et fière qu'il ait appartenu à ma famille". Le lecteur retrouvera l'intégralité de son témoignage dans le livre.

06/2014

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Romans historiques

La poudrière d'Orient Tome 2 : Le vent mauvais de Salonique

31 décembre 1915 : l'expédition navale franco-britannique des Dardanelles vient de s'achever dans le sang. Du pont de l'ancien paquebot Algérie, les " dardas " rescapés de l'enfer découvrent Salonique l'enchanteresse où résonne l'appel du muezzin. Ils croient enfin toucher des rives amies, mais sitôt débarqués, ils sont affamés, humiliés, captifs d'un camp insalubre, cernés de barbelés et d'espions. Le roi des Grecs, Constantin, affiche son amitié pour les Allemands et sa neutralité n'est qu'une façade. Dans l'ombre, le baron prussien Schenk tient la presse, manipule et soudoie la population. Le général Sarrail a beau se battre sur tous les fronts, diplomatique et militaire, il est impuissant, pris en tenailles entre les Grecs et les Bulgares. Quant aux Anglais ils se drapent dans la politique du wait and see. Qui paie le cynisme des hauts stratèges si ce n'est les braves poilus ? Paul Raynal, l'esprit plein des atrocités auxquelles il vient d'échapper, survit au nom d'un seul espoir : retrouver son unique amour, l'infirmière Carla, rencontrée sur le port de Marseille aux premiers jours de son enrôlement. Le niçois Emile Duguet exécute les ordres de Sarrail ; il infiltre au péril de sa vie les services de renseignements ennemis. Chargé de nettoyer la région de ses comitadji, terroristes à la solde des Bulgares, le zouave Vigouroux parcourt les montagnes, accompagné d'Alexandra, la jeune institutrice grecque dont il est follement épris, une idéaliste engagée dans le combat démocratique. Vigouroux ignore que cette combattante intrépide n'est autre que la fille de Metaxas - général des armées grecques -, en rébellion contre son germanophile de père. Dans la plaine, on se bat au corps à corps ; insolations, typhus, moustiques vénéneux ravagent les troupes plus rapidement que les combats eux-mêmes. Et des ruelles de Salonique aux lambris des salons de Sofia, des femmes de plein vent aux bras délicats de Lucia, la belle espionne, les soldats sillonnent cette poudrière où le nationalisme finit par aveugler chacun. Guerre absurde et mirages, ainsi va l'Histoire dans ces Balkans pas près d'être unifiés. Ainsi va l'amour dans cet Orient tragique où chaque jour est le jour le plus long. Après le succès des Enfants de la Patrie, suite romanesque parue chez Fayard en 2002, Pierre Miquel retrace pour la première fois, avec sa passion coutumière et sa culture infaillible, l'histoire des poilus d'Orient, poursuivant une œuvre jamais égalée sur la guerre de 14-18.

04/2004

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Livres 3 ans et +

Fanette et Filipin N°21 Eté

SOMMAIRE : Raconte-moi une histoire L'anniversaire de Fanette L'anniversaire de Souricette Poème : Graine de lumière Le garçon doué de la force des chevaux bleus Je fais avec mes mains Couronne d'anniversaire L'histoire du prénom La danse des formes Le gâteau d'anniversaire Décorations en éventail Je m'amuse Le joyeux anniversaire La page de l'été Les mots reliés de l'été Je découvre la nature Les petites souris des champs Camomille, une douce mère Le coin des parents Deviens qui tu es ! Le journal de Fanette et Filipin est un magazine alternatif drôle et plein de vie pour les enfants de 3 à 10 ans. Au rythme des saisons, il propose des histoires et des activités en lien avec la nature pour partager en famille beaucoup de joie et de créativité. Un magazine pour rêver et s'émerveiller A chaque saison, le journal de Fanette et Filipin propose de belles histoires basées sur des valeurs d'amitié, d'entraide, de confiance et de gratitude qui viennent nourrir l'imaginaire des enfants et ouvrent toutes grandes les portes du rêve. Les illustrations d'une qualité exceptionnelle, entièrement réalisées à la main par des illustratrices de talent, sont pleines de douceur, de couleurs et de poésie, pour rêver et s'émerveiller. Le monde est beau : vivons pleinement les quatre saisons Tous les trois mois, Fanette et Filipin emmènent vos enfants en balade dans la nature et leur proposent en plus des histoires : -Des bricolages amusants et faciles à réaliser dans des matériaux nobles et naturels pour développer le goût de faire et de créer avec ses mains. -Des recettes de cuisine végétarienne pour apprendre à se nourrir sainement. -Une rubrique vie des animaux et secrets des plantes. -Du dessin de forme, pour développer le centrage, la concentration, la motricité fine et la créativité. -Des fables, des poésies, des chansons de saison et des jeux rigolos. Le magazine jeunesse qui plaît autant aux enfants qu'à leurs parents ! Mais au fait, qui sont Fanette et Filipin ? Fanette est une petite fille intrépide qui vit au rythme des saisons et partage avec son ami Filipin, un drôle de lutin des bois, une amitié extraordinaire et émouvante. Leurs aventures rocambolesques les emmènent à la découverte des merveilles de la nature. Les récits sont drôles, émaillés de difficultés à surmonter. C'est avec bonheur que les enfants s'identifient à ces petits héros qu'ils retrouvent à chaque numéro.

06/2018

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Fantasy

La Saga des sans-destin Tome 1 : Un destin encré dans le sang

La nouvelle saga de Danielle L. Jensen (Le Pont des Tempêtes), inspirée de la mythologie nordique et alliant Fantasy épique et bouleversante histoire d'amour ! Née au coeur des fjords glacés du Skaland et mariée à un homme rustre qu'elle n'aime pas, Freya ne rêve que de devenir une guerrière. Tout change le jour où son mari la trahit et la livre à un jarl, qui la contraint à disputer un combat à mort avec son fils, Bjorn. Pour survivre, Freya n'a d'autre choix que de révéler son plus grand secret : en lui offrant une goutte de son sang, une déesse l'a dotée de pouvoirs qui font d'elle une skjaldmö, guerrière capable de repousser n'importe quelle attaque. Or une prophétie ancienne avait annoncé qu'une skjaldmö unirait les peuples du Skaland sous le règne de celui qui contrôlerait sa destinée. Afin de devenir roi, le jarl force Freya à lui prêter serment et ordonne à Bjorn de la protéger contre leurs ennemis. Pour faire ses preuves, Freya doit apprendre à se battre et à maîtriser ses pouvoirs tout en surmontant les terribles épreuves auxquelles la soumettent les dieux. Cependant, de tous les défis qu'elle affronte, le plus difficile est peut-être l'attirance irrésistible qu'elle éprouve pour Bjorn. Si elle succombe à son désir interdit pour le beau et valeureux guerrier, elle risque non seulement sa destinée, mais aussi celle de tous ceux qu'elle s'est juré de protéger... " Envoûtant et sexy... Avec son héroïne intrépide et son sulfureux héros, ce roman incarne la Fantasy romantique parfaite. " Elise Kova, Un pacte avec le roi elfe " Un amour interdit aussi brûlant que le feu magique de Tyr et une histoire totalement addictive. Ce récit épique est si riche en action et en suspense que je n'arrivais pas à tourner les pages assez vite à mon goût. " Kerri Maniscalco, Le Royaume des damnés " Ce livre vous transporte littéralement et vous happe dès la première page ! Danielle Jensen dépeint un univers sombre, d'une grande richesse historique et mythologique. La tension qui règne entre les deux héros m'a maintenue sur des charbons ardents. " Raven Kennedy, Gild " Un monde brutal et sensuel alliant magie, prophéties et mythologie nordique qui va vous pousser à lire jusqu'au bout de la nuit. " Olivia Wildenstein, La Maison aux ailes déployées " Tout le talent de Danielle Jensen dans un roman : une Fantasy exquise qui se lit d'une traite ! " Katee Robert, Dark Olympus

06/2024

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Beaux arts

Louis Suire ou la passion de peindre

Biographie romancée du peintre Louis Suire, qui sut si bien traduire la lumière de l'île de Ré et fut l'un des témoins privilégiés de la révolution artistique de l'avant-garde de Montparnasse. Cet ouvrage paraît à l'occasion du 120e anniversaire de la naissance du peintre et accompagne une rétrospective au Musée Ernest Cognac de Saint Martin en Ré, à partir du 15 juillet 2019. Commissaire d'exposition : Olivier Suire Verley. Un cahier hors texte en quadrichromie présente une sélection des oeuvres du peintre. A l'âge de treize ans, Louis Suire est happé par la lumière. A 17, il entre chez Julian, l'Académie de peinture de Paris. A 18, il est l'intime de Matisse, Marquet, Signac et Satie. Il découvre Montparnasse, Modigliani, Picasso, Foujita, Soutine, Cocteau. C'est la guerre, le jeune homme gagne sa vie dans les salles des Grands Boulevards en accompagnant au piano les films de Charlot, sans avoir appris à en jouer. Mobilisé en mars 1918, Louis Suire entre au camouflage sous les ordres du peintre D. de Segonzac. Il peint de faux peupliers face aux tranchées pour abriter des observateurs et de fausses meules de foin pour cacher des mitrailleurs. A la section de camouflage, il peint un faux Paris destiné à la plaine de Roissy afin de tromper les aviateurs allemands. Louis fut le témoin de la plus belle des révolutions artistiques que le monde ait connue. Avec les artistes de Montparnasse, il était comme sur un strapontin au théâtre de l'art, et à la guerre, il avait la sensation d'être au premier rang d'un terrible concert. Le jeune rochelais fut surtout bouleversé par ce qu'il avait vécu.

06/2019

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Littérature française

Oeuvres complètes

Bien loin de la légende forgée après sa mort, Raymond Radiguet (1903-1923) n'est pas seulement l'auteur d'un des plus célèbres romans du XXe siècle, Le Diable au corps, d'un second roman non moins fascinant, Le Bal du comte d'Orgel, et d'un recueil poétique Les Joues en feu - tous publiés par Bernard Grasset. Son inventivité et sa personnalité lui ont valu l'amitié des plus grands, parmi lesquels, et le premier, Jean Cocteau, qui l'a " lancé " chez Grasset et est beaucoup intervenu dans l'écriture du Bal du comte d'Orgel, mais aussi Max Jacob, Kessel, Francis Poulenc, Satie, Stravinsky et Picasso - pour n'en citer que quelques-uns. Fréquentant les ateliers d'artistes et les bars de nuit autant que les salons parisiens, il mène une vie réglée autour de l'écriture lors de ses séjours en province. Léger autant que profond, il a su concilier ces principes apparemment contradictoires de sa personnalité. Exhaustive, cette " édition définitive " de ses Ouvres complètes montre combien prolixe a été cet écrivain mort à vingt ans, et qu'il a abordé tous les genres littéraires - poésie, théâtre, essai, conte, roman - avec la même insolence et le même talent. Edition définitive établie par Chloé Radiguet et Julien Cendres Chloé Radiguet est la nièce de Raymond Radiguet. Elle est l'autrice de Raymond Radiguet - Jean Cocteau, Fragments - Traits, Portrait (Deo Editions, 2015), et de Brassens... à la lettre (Denoël, 2006). Julien Cendres est notamment l'auteur de Femme selon Chantal Thomass (Flammarion, 2001), d'A la splendeur abandonné suivi de La Censure, conversation avec Marguerite Duras (Joëlle Losfeld, 2002), du Pays de Perche (Concept Image, 2012), et de nombreux textes parus dans divers magazines et revues littéraires. En collaboration, ils publient Raymond Radiguet, Un jeune homme sérieux dans les années folles (Robert Laffont, 2023).

10/2023

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Beaux arts

Kisling, prince de Montparnasse

Polonais de naissance, juif d'origine, mais naturalisé Français, Moïse Kisling (1891-1953) a été, entre les deux guerres, le prince incontesté de Montparnasse, puis, après la Seconde Guerre mondiale, l'hôte le plus célèbre de Sanary-sur-Mer (Var). A Paris où il avait son appartement et son atelier au 3 de la rue Joseph Bara, comme dans sa propriété du Midi, il a reçu à sa table des personnalités illustres : Picasso, Modigliani, Max Jacob, Pascin, Soutine, André Salmon, Jean Cocteau, Colette, Erik Satie, Antoine de Saint-Exupéry, Aldous Huxley, Arthur Rubinstein, etc. Et il a peint les plus séduisants modèles, dont Alice Prin (la fameuse Kiki de Montparnasse), Marcelle Chantal, Édith Méra, Suzy Solidor, Arletty, Madeleine Sologne, Michèle Morgan, Madeleine Lebeau... Le livre de Jacques Lambert retrace fidèlement le long parcours de cet artiste exceptionnel, né à Cracovie en 1891, venu à Paris en 1910, qui a mordu la vie à pleines dents du côté du carrefour Vavin. Au fil des pages, on y rencontre, sous un jour parfois inattendu, tous les personnages qui ont approché Kisling ou qui ont partagé avec lui les bons et les mauvais moments de l'existence : Juan Gris, Guillaume Apollinaire, Marie Laurencin, Maurice Utrillo, Henri Matisse, Blaise Cendrars, André Warnod, Léopold Zborowski, Marie Vassilieff, la baronne d'Oetingen, André Derain, Maurice de Vlaminck, Foujita, Joseph Kessel, Florent Fels, Georges Charensol,... Deux hors texte en noir et blanc nous restituent le Paris et la faune de cette époque foisonnante, mais aussi la Côte d'Azur. Trois hors texte en couleur donnent à voir la richesse et la variété de l'art de Kisling où les nus d'une exquise suavité, ceux de Kiki, d'Arletty et autres, voisinent avec les bouquets somptueux et les paysages aux coloris éclatants.

03/2011