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Littérature française

Vivre pour mieux mourir

Pauline n'a plus que quelques mois à vivre. Loin de se laisser abattre, elle décide de profiter à fond de ce qui lui reste de vie ! S'envolant pour le Mexique, elle se passionne pour la civilisation maya et se voit interpellée par l'approche de la mort, si différente dans ce pays haut en couleurs. Ce roman sensible réfléchit sur notre condition de mortels et amorce une réflexion sur le respect de la mort dans la dignité sous nos contrées. Le sujet est abordé avec pudeur à travers le prisme de l'héroïne.

01/2022

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Accompagnement des malades

Apprendre à mourir. 0

Pourquoi s'intéresser à la mort ? Faudrait-il la justifier ? .. L'essentiel de notre vie, la mort est largement ignorée. Sa simple évocation est insupportable à la plupart des personnes. En chacun de nous sont inscrites l'idée de l'éternité et l'illusion de notre invulnérabilité, voir de notre toute-puissance. On veut l'ignorer si bien que l'on peut se passionner pour des activités supposées sérieuses : la profession, la politique, la musique, le jardinage, le sport... Que ne s'invente-t-on pas pour éviter de penser au trépas ? On l'ignore si bien qu'on peut se chamailler pour " 3 sous " entre amis, se disputer en couple pour un simple objet déplacé par mégarde ou entrer dans une vive rage pour quelques mots de trop à un carrefour... Il faut se trouver confronté à un cancer, à un accident brutal ou à une maladie dégénérative pour commencer à la regarder en face. On perd aussitôt son sentiment d'immortalité et sa toute-puissance pour ressentir terriblement sa finitude. Nous allons tous mourir un jour, c'est notre seule certitude ! Pourquoi ne pas prendre de la distance. Il est vain de craindre la mort, nous n'éprouvons aucune angoisse à l'idée de perdre conscience dans le sommeil ; nous acceptons l'assoupissement comme un état de liberté que nous anticipons avec plaisir. Telle ne peut-elle pas être la mort : un état de repos après une vie bien remplie, une retraite bien méritée après les tracas ou les souffrances de la vie. Il n'y a rien à craindre. Ne partirons-nous pas sans nous en apercevoir ? La mort n'est-ce pas plutôt notre dernière surprise ? Pas question de déprimer donc, la présence de la mort peut nous faire grandir... L'annonce d'un cancer ou de tout autre maladie dégénérative est un véritable choc : il y a clairement un avant et un après. Toutefois, pourquoi ne pas positiver dans l'adversité ? Ne pas consentir, c'est créer tellement de colère en soi, de raideur, d'amertume qu'on se pourrit la fin de sa vie. Pourquoi ne pas organiser ses derniers moments de vie en fonction des valeurs auxquelles on tient ? .. La mort est inéluctable : acceptons-la et une fois l'esprit plus clair sur elle, pourquoi ne pas apprécier chacun de ces derniers instants, chaque minute qu'il nous reste ? Pourquoi ne pas figer un peu le temps pour faire de chaque moment une fête de tous les possibles et nous conduire à la pleine conscience. Si nous vivons dans le déni, dans l'inquiétude avec un esprit encombré, tiraillé, il est probable que nos derniers instants se passeront dans la souffrance, sans lucidité, ni aucun sentiment de paix. Si nous avons pu mettre au clair ce que nous aurions voulu être, nous serons en capacité de vivre nos derniers instants de manière paisible, de mieux partager avec notre entourage, dans un état de conscience vigilante, jusqu'à notre ultime souffle.

03/2023

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Littérature française

Le travail de mourir

"Tu n'as qu'à prendre un livre": ainsi rassure-t-on la petite-fille avant de l'emmener faire la tournée des oncles et tantes dans des maisons où seule la cuisine vit. Le travail de mourir est aussi l'histoire de cette autre tante, tricoteuse à domicile, dont le corps rapetisse depuis qu'elle est mariée à un mort – qui, lui, passa sa vie à les enterrer. En retraçant ces souvenirs, Emmanuelle Pagano revient aussi sur les mouvements d'écriture, qui s'apparentent à ceux que la narratrice apprit sur le Tricotin de son enfance. Les photographies de Claude Rouyer immortalisent cet univers où la mort rôde et où l'espace rétrécit, mais où percent encore quelques taches de couleur, comme autant de précieuses réminiscences à la pureté inaltérée.

11/2013

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Policiers

Mourir après la guerre

Qui était vraiment cet étonnant serial-killer surnommé " le tueur au rouge à lèvres " parce qu'il signait chacun de ses crimes d'une inscription au rouge à lèvres en forme d'appel : " Arrêtez-moi avant que j'en tue d'autres " ? C'est la question à laquelle devra répondre Nathan Heller, ex-Marine et directeur de l'agence A1. Cinq affaires, cinq récits. Des histoires vraies pour un privé de fiction. C'est un portrait du Chicago de l'après-guerre par Max Allan Collins.

05/1994

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Thrillers

S'adapter ou mourir

Elle a 17 ans et s'est enfuie de chez sa mère pour se sentir enfin libre. Accompagnée de son petit ami, elle fait escale chez un homme qu'elle n'a jamais rencontré mais avec lequel elle discute depuis des mois sur Internet. Elle en a fait son confident. Alors qu'il pourrait bien s'agir du plus abject des monstres... Il a 40 ans, est réalisateur de cinéma, en couple avec la même femme depuis leurs années de lycée. De soudains déboires conjugaux et professionnels le contraignent à trouver un job alimentaire : modérateur pour Lifebook, le plus important des réseaux sociaux. Sa mission : supprimer des vidéos interdites du fait de leur caractère choquant, sexuel ou ultraviolent. Dans une société en constante évolution, où le précepte " S'adapter ou mourir " connaît des résonnances tant dans la folie meurtrière des hommes que dans le monde du travail, les destins de ces deux êtres, si éloignés au départ, finiront par s'entrechoquer. A propos de ses précédents romans : " Un thriller extraordinaire ! Un vrai page-turner. " Télématin (L'Empathie) " La psychologie de chaque personnage se révèle d'une justesse saisissante. " Le Figaro Magazine (Fermer les yeux)

10/2021

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Humour

Où mourir à Paris ?

Un guide inclassable // Avec les illustrations de Charb, Rust et Cie - Une préface de Stéphane Guillon - Un guide touristique d'un autre genre - Un bijou d'humour noir Un guide ludique sur les meilleurs endroits pour mourir dans la capitale. Il y en a pour tout le monde, pour tous les goûts : mourir en famille, seul ou à deux, où sauter, où se pendre, spécial phase terminale, spécial nains, les plus jolis toits de Paris... Il y a de quoi faire et c'est une belle occasion de se promener dans Paris et de (re)découvrir la capitale une dernière fois.

10/2021

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Littérature française

Éphémère : né pour mourir

"Thiziri" est une jeune femme de tout juste vingt ans, qui mène une existence à laquelle elle ne trouve aucun sens et aucun attrait. Tourmentée par un sentiment qu'elle ne peut décrire et poussée par cette voix dans sa tête qui la somme de partir, elle s'exécute et part à l'aventure. Est-ce que ce voyage en solitaire qu'elle entreprend saura l'apaiser et faire cette voix qui la hante ?

10/2023

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Autres philosophes

Le droit de mourir

La lecture de ce texte, d'une parfaite agilité dialectique sur fond de tragédie, laisse une impression de vertige. Que devant l'abîm e se creusant sous ses yeux le lecteur ne perde pas pied, mais sorte de l'épreuve, au contraire, le coeur plus vif et la pensée plus forte, tel est le mérite de l'auteur, qui à chaque instant parvient à intégrer le droit de mourir au droit de vivre.

08/2021

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Littérature sud-américaine

Veronika décide de mourir

Veronika a les mêmes rêves, les mêmes désirs que tous les jeunes gens du monde. Elle a un métier raisonnable et vit dans un petit appartement, s'offrant ainsi le plaisir d'avoir un coin à elle. Elle fréquente les bars, rencontre des hommes. Pourtant, elle n'est pas heureuse. Quelque chose lui manque. Alors, le matin du 11 novembre 1997, Veronika décide de mourir. Imagination et rêves, amour et folie. Désir et mort. Alors qu'elle s'en approche, Veronika se rend compte que chaque moment de l'existence constitue un choix, celui de vivre, ou d'abandonner. La jeune femme expérimente de nouveaux plaisirs et découvre qu'il y a toujours un sens à la vie. Mais celle-ci est courte. Veronika a décidé de mourir, et maintenant, elle ne peut renoncer.

10/2021

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Thrillers

Mourir ne suffit pas

Julia Domazan, psychologue réputée, anime chaque week-end Au coeur de la nuit, une émission radiophonique de grande écoute, basée sur un dialogue intime avec les auditeurs. Un soir d'automne, elle est interrompue par l'annonce d'une prise d'otages dans un restaurant huppé, place de la Madeleine. L'agitation règne à la rédaction, et Julia ne peut se défendre de l'impression étrange que cette soirée ne sera pas comme les autres. Elle reprend pourtant l'antenne et accepte un nouvel appel. Il s'agit d'une auditrice terrifiée, cachée dans une des pièces du restaurant où elle a trouvé refuge à l'arrivée des terroristes. Est-ce un hasard si Sylvie Pollet souhaite parler à Julia plutôt qu'à la police ? S'engage alors un tête-à-tête troublant entre les deux femmes, tandis que la prise d'otages se poursuit de façon dramatique et que la tension monte au sein de la police et des autorités politiques. Danielle Thiéry a effectué une longue carrière au sein de la police française et a été nommée première femme commissaire divisionnaire, en 1991. Elle a commencé en parallèle une activité de scénariste pour la télévision et d'auteure de polars. De nombreux ouvrages, du document au roman en passant par des témoignages, lui ont valu des prix littéraires, dont le Prix du quai des Orfèvres en 2013. Elle est également auteure de polars pour la jeunesse. Marc Welinski a effectué l'essentiel de sa carrière dans les médias. Il a été notamment chargé de mission à la direction du développement de France Télévision, puis directeur général de Pathé live. En 1997, il fonde avec Jacques Chancel la chaîne musicale Mezzo. Il mène parallèlement une carrière de romancier et a publié six thrillers, dont Le Syndrome de Croyde, qui a été adapté à la télévision pour France 2 en 2018 sous le titre Les Ombres du passé.

06/2021

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Littérature française

Un député va mourir

La plume de Sayouba Traoré associe la force et la beauté du récit simple au tranchant de la froide dénonciation. Sur le ton du badinage, ses réquisitoires portent des masques transparents qui laissent entrevoir la violence mal camouflée de ses propos. Sayouba Traoré n'écrit pas. Il parle. Il écrit comme il nous parle souvent. Il nous raconte sans rire, la misère, les mesquineries et l'indignité des hommes. Aujourd'hui, le "griot" a choisi le papier à la saveur du récit oral.

02/2012

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Romans policiers

L'art de mourir

De retour à son atelier, la sculptrice Kamille chwerin retrouve au milieu de ses oeuvres saccagées le corps de sa mère. Rapidement, la police parvient à la conclusion que la cible du tueur n'était pas la vieille dame, mais bien la célèbre artiste. Pourtant le coupable échappe aux investigations. Un an après, Dan Sommerdahl, le Détective chauve, participe au même reality show que la sculptrice. Un filon inespéré pour l'inspecteur de police Flemming Torp qui voit là le moyen d'obtenir de nouvelles informations pour son enquête. A condition bien entendu de prendre sur soi pour demander de l'aide à son vieil ami. Pas si facile que ça... A chacun sa croix.

10/2014

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Policiers

Le faucon va mourir

George Gattling, un homme fruste, est à la tête d'un petit atelier de sellerie automobile à Gainsville en Floride. Il est passionné par les rapaces, il ne pense qu'à eux, toute sa vie tourne autour de l'art noble de la fauconnerie. Lorsque son faucon meurt, pour le remplacer, il capture une magnifique femelle rouge-queue. Obsédé par ce nouvel oiseau, il en néglige tout le reste et va jusqu'à oublier l'enterrement de son neveu Fred, un jeune homme attardé mental pour lequel il avait pourtant beaucoup d'affection. Replié sur lui-même, George ignore les reproches de sa famille pour ne se consacrer au dressage de son rouge-queue.

06/2017

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Littérature française (poches)

Gagner à en mourir

Le 9 août 1942, l'équipe ukrainienne du FC Start rencontre une sélection des meilleurs joueurs de l'Allemagne nazie. S'ils remportent ce match de football, les Ukrainiens savent que leur existence est menacée. Faut-il risquer sa peau plutôt que souffrir une vie de déshonneur ? Que devient le sport quand il n'est plus un jeu ? Pierre-Louis Basse s'est impliqué pleinement dans ce récit. Le "match invisible" qu'il commente avec ferveur rend hommage à ceux qui, quelles que soient les circonstances, choisissent de combattre.

04/2014

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Policiers

Mourir, la belle affaire !

Equateur, Quito, 2 850 mètres d'altitude. Arturo Fernandez, médecin légiste, subtil et mélancolique observateur, raconte l'histoire de Maria del Carmen. Seule rescapée d'un accident de voiture, elle a promis à l'inspecteur Heriberto Gonzaga de l'épouser s'il retrouvait les chauffards. Mais peu de temps après, la jeune fille se suicide. Arturo parle aussi de Paulina et de tous ces anonymes d'une cité ceinturée de montagnes et de volcans, fragilement bâtie sur des collines sillonnées de ravins. L'enquête de l'inspecteur avance pourtant et tous ces récits peu à peu s'entrecroisent, tissant le tableau d'une ville violente, indifférente, passive devant l'injustice sociale, le destin et l'acharnement de la nature. Un lieu où la mort est quotidienne et sans autres conséquences qu'intimes et tragiques pour ceux qu'elle frappe.

10/2013

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Littérature française

Un pays pour mourir

Zahira est une prostituée marocaine. Le pays où elle achève sa triste carrière et où elle mourra, c'est la France. Ses clients sont les pauvres hères musulmans qui ont échoué à Paris, comme elle, en quête d'espoirs qu'ils n'ont pas trouvés. Ce sont des personnages qui vivent comme des fantômes. Zahira est l'amie d'un Algérien qui se prostitue lui-aussi. Déchiré entre sa double nature, masculine et féminine, il changera de sexe sans trouver d'apaisement. Zahira connaît la dureté de la vie mais elle n'a jamais cessé de rêver de la rencontre miraculeuse qui métamorphosera son destin. Ce sont les films égyptiens vus dans son enfance qui nourrissent son imagination. Il y a là une autre réalité. Elle la porte en elle. Elle y croit. Tout le roman fonctionne sur cette confrontation entre un monde impitoyable et les aspirations de Zahira à un idéal d'amour qui la sauvera de la solitude, elle et ses compagnons de malheur. Zahira et son ami Aziz se racontent l'un à l'autre des histoires comme Shéhérazade dans Les Mille et une nuits. On suit ainsi des fragments d'existences de femmes et d'hommes poussés vers l'occident par la misère de leur sort et qui se heurtent à un univers postcolonial qui ne les reconnaît pas et qui ne les comprend pas. C'est le sens profond de ce roman "oriental", volontairement construit par l'auteur hors des normes habituelles du roman français : des scènes impudiques, une extrême violence du ton et des passages d'une sensibilité exacerbée - celle de Taïa - dont les racines sont situées dans des enfances vécues hors d'Europe dans des civilisations longtemps écrasées par les Européens.

01/2015

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Littérature étrangère

Se coucher pour mourir

Au début des années 1970, à Ankara, la capitale de la Turquie, une femme, Aysel, entre dans une chambre d'hôtel, s'y déshabille et se couche, bien décidée à boire le calice de la vie. Acte radical, c'est aussi le prétexte pour elle, dans ce crépuscule d'une mort ­orchestrée, de mesurer le chemin parcouru, de faire le bilan de son ­existence. Que de chemin en effet ! Fille de petit commerçant d'Anatolie, Aysel devient professeure d'université ! Mais à l'afflux des réminiscences que reste-t-il ? Une liberté durement acquise, une vie construite surtout en réponse aux exhortations modernisatrices de la République ; en butte aux valeurs et références de sa famille. Alors cette existence, l'a-t-elle vraiment voulue ? Dans le sillage d'Aysel, l'auteure nous plonge aussi dans les vies des jeunes de son âge, tout juste immergés dans la Turquie moderne. C'est le journal intime du fils du sous-préfet appartenant à l'élite et a priori promis à un bel avenir qui nous est alors montré, ou, a contrario, les souvenirs du jeune paysan que son instituteur envoie à Ankara afin qu'il essaie, justement, d'en avoir un d'avenir, ou la correspondance épistolaire de jeunes filles promises au mariage... Ce roman choral brosse un portrait vivant, complexe et subtil des trois premières décennies de la république en Turquie après la mort de Mustafa Kemal Atatürk, de 1938 à 1968, et nous confronte également aux conflagrations de la seconde guerre mondiale. Sont alors dévoilés avec brio les espoirs, les illusions et les contradictions de cette époque et de cette modernité imposée d'en haut.

02/2014

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Policiers

Ainsi puis-je mourir

En faisant des amours interdites de Marguerite de Ravalet le sujet de son nouveau roman, Gabrielle Dancel ne peut se douter à quel point son destin va se mêler à celui de son héroïne. Quatre cents ans après ce drame qui défraya la chronique sous Henri IV, la malédiction semble se répéter et faire de la jeune romancière sa dernière victime.

11/2013

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Policiers

Blanche-Neige doit mourir

Un soir pluvieux de novembre, une femme est poussée du haut d'un pont. Très vite, l'enquête ramène Pia Kirchhoff et Oliver von Bodenstein vers le passé : des années auparavant, deux jeunes filles avaient disparu dans ce même petit village allemand. Sur la foi de maigres indices, un garçon de vingt ans, Tobias Sartorius, avait été condamné à dix ans de réclusion, mais il vient de sortir de prison. Alors que les enquêteurs se heurtent à un mur de silence, une autre jeune fille disparaît et on accuse à nouveau Tobias. Les preuves manquent, la police piétine et certains habitants semblent bien décidés à prendre les choses en main. Dans ce deuxième roman du duo Kirchhoff-von Bodenstein, Nele Neuhaus construit une intrigue millimétrée autour des non-dits et de l'atmosphère étouffante d'un village où tous croient se connaître et s'épient. Elle démonte magistralement les mécanismes d'une erreur judiciaire et analyse le fonctionnement des machines à broyer les individus que sont parfois la justice et les préjugés.

11/2013

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Littérature française

Bien parti pour mourir

Bien parti pour mourir est un roman qui met en exergue les dérives d'une société déboussolée et presque abandonnée à elle-même, société au sein de laquelle tout le monde est roi. Tant pis pour l'autre et son droit à la vie, c'est ma justice propre qui compte et qui l'emporte. D'où les exactions en série qui n'émeuvent presque plus personne. Madiba, le personnage principal de l'oeuvre en est le symbole, lui qui se retrouve dans cette société, comparable à la jungle, où la loi du plus fort a fait son lit, à cause de son refus de rentrer au village avec ses parents, son père ayant été appelé à faire valoir ses droits à la retraite. Contraint à ''se chercher'' comme on dit au Comaran, il devient la cible privilégiée de tous les dangers, risquant de passer à la trappe d'une mort barbare. La vindicte populaire est l'arme fatale de cette société sans conscience dont les manières d'agir n'ont d'explication que celle que peuvent lui donner ses justiciers qui agissent à découvert, mettent à mort comme bon leur semble. Qui peut arrêter la déferlante ? Les occurrences ''bien parti pour mourir'' qui constituent par ailleurs le titre du roman en disent long.

09/2020

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Littérature française

Contes à mourir debout

"Un billet simple pour la terre s'il vous plaît, pour demain dix-sept heures. - Vous savez bien que les billets simples n'existent pas. - Moi, je veux un billet simple. - N'insistez pas. Nous n'en délivrons pas. Le retour est obligatoire ; vous le savez bien ! . ". . Pour nous, simples mortels, croyants ou non croyants, la vie après la mort demeure un mystère insaisissable ! Geneviève Fleury-Anne, avec une délicatesse liée à un humour parfois très croustillant, aborde ce sujet avec un réalisme quelquefois saisissant, et nous entraîne avec une légèreté pertinente dans cet univers diaphane situé "au-delà" ... Anecdotes, récits, retours sur soi-même, trouvailles... et retrouvailles, les formes sont variées mais tous les sujets sont abordés ou presque ! Le lecteur, c'est certain, ne s'ennuiera pas, et au terme de ce voyage à ciel ouvert, il se fera sans aucun doute une idée qui lui sera propre de cet Au-delà qui nous donne tant à penser.

10/2012

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Littérature française

Voyager jusqu'à mourir

Jacqueline Merville est vagabonde sur la Terre et aussi vagabonde entre l'écriture et la peinture. Ces deux formes d'expression en elle se complètent comme l'ombre et la lumière ; autant sa peinture est lumineuse, autant ses livres traitent de la violence du monde. Partie vers l'Inde à la recherche d'une harmonie refondatrice, elle y rencontrera aussi l'extrême violence d'un pays où l'on tue parfois à la naissance les filles inutiles... Ce cadavre d'enfant qu'elle découvrira, abandonné au pied d'un arbre, la renverra à son expérience personnelle en ravivant le souvenir de l'avortement clandestin subi par sa mère, tel que pratiqué encore dans les années soixante... Ce texte vient à maturité lors du passage d'un monde à l'autre, de l'occident à l'orient, terme d'un voyage provoqué par la lecture du livre d'un philosophe indien.

10/2009

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Policiers

Voir Angouleme et mourir

Dix ans après avoir résolu l'affaire Michoulaud (La mort en charentaises), le détective Pierre Marie URLEVENT, dit PMU, par ailleurs auteur de polars, est amené à enquêter de nouveau en Charente. Son client, un jeune informaticien d'Angoulême, Robert Pranzac, est soupçonné du meurtre d'une infirmière qu'il avait prise en stop près de Marthon, un dimanche soir, et dont on a retrouvé le corps à la périphérie de la ville. PMU va donc quitter son bureau, près du centre Pompidou, à Paris. Il s'appuiera sur un vieil ami, Marc-Antoine Fougerolles, avocat au barreau d'Angoulême, qui lui offrira l'hospitalité dans son appartement de la place du Champ-de-Mars.

06/2010

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Histoire internationale

Mourir pour le Liban

La France n'a jamais cessé de s'engager au chevet du Liban. Elle l'a payé très cher, face aux réseaux islamistes, soutenus par la Syrie et l'Iran. Les mêmes ennemis menacent aujourd'hui nos soldats au Sud-Liban. Ils ne feront aucun cadeau. A Beyrouth, la terrible campagne terroriste menée contre l'Occident culmina le 23 octobre 1983 : 241 marines américains et 58 paras français furent tués, à la même heure, dans un double attentat kamikaze. Leur mission de paix tourna au cauchemar. Cette tragédie (l' " affaire du Drakkar ") obsède encore l'armée française et les responsables politiques. Nourri de documents inédits et de témoignages saisissants, ce document révèle les dessous de cette guerre terroriste : les attentats du Hezbollah et les missions secrètes de la DGSE, les pièges tendus par Damas et Téhéran, une incroyable trahison au plus haut niveau de l'Etat français.

01/2007

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Psychologie, psychanalyse

Mourir dans l'amour

Euthanasie, soins palliatifs, lutte contre la douleur, autant de sujets qui déchaînent les passions. Monique Brossard Le Grand prend parti, avec urgence ! Parce qu'une propagande qui prétend vanter les vertus de la " bonne mort " comme un geste de pitié à accomplir est insupportable. Elle le dit haut et fort. Elle estime que le médecin, conscient des limites de toute thérapeutique, se doit d'assister son patient en soulageant ses douleurs physiques et morales et non de supprimer une vie qu'il a pour mission de protéger. Ancien chirurgien cancérologue au CHU de Rouen, elle sait ce dont elle parle. A son avis, de la morphine prescrite à la demande et beaucoup d'amour permettent d'éviter les écueils extrêmes de l'acharnement thérapeutique ou du suicide assisté. Conduites qui ne font cependant pas l'économie du deuil, de l'affrontement ultime. Promulguer une loi favorisant l'euthanasie est impensable. Parce que la mort est l'instant le plus intime de la vie et n'est pas l'affaire d'un tribunal. Parce que l'amour doit être plus fort que la loi. En parallèle à la médecine, Monique Brossard Le Grand est aussi l'auteur de plusieurs grands succès dont Chienne de vie, je t'aime.

04/1999

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Littérature étrangère

Et mourir de plaisir

Ils sont dix. Pendant vingt et un ans, ils se sont retrouvés chaque mois autour d'une table pour déguster des mets de plus en plus raffinés, respectant la promesse faite dans l'adolescence de ne jamais faillir à ce rituel quoi qu'il arrive. Jusqu'à ce qu'apparaisse un mystérieux cuisinier pour qui la table, plus qu'un art et un plaisir culturel, est un défi philosophique : tout désir étant un désir de mort, la perspective d'une fin prochaine ne peut que décupler le plaisir de manger. Dès lors, les dîners s'apparentent à une variante gastronomique de la roulette russe et, mois après mois, le nombre des convives s'amenuise. A moins qu'une main criminelle n'ait organisé ces morts en série. Avec un humour corrosif, un sens aigu du suspense, Luis Fernando Verissimo nous offre une variante gourmande et jubilatoire des Dix Petits Nègres.

10/2001

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Théâtre

Conte à mourir debout

La soirée suit son cours. Roberval, le vieux et célèbre "tanbouyé", prend soin de son instrument. Il en ajuste soigneusement la peau en essayant d'en sortir le son parfait. Bertilia, son épouse, s'affaire en cuisine et sert la soupe à son homme. Le silence est lourd. Normal : entre deux cuillerées, Roberval réfléchit à la manière dont il va annoncer sa mort prochaine... Comment va-t-il se préparer à rendre compte, aux anciens déjà partis, de ce qui se fait dans le monde des vivants ? Comment va-t-il s'imposer à tous comme un mort respecté ? Quelle trace va-t-il laisser dans ce bas monde... ? Non loin de là, "Le Chroniqueur" s'apprête à digérer l'événement à sa façon. Poussé par des médias qui en veulent toujours plus, il se présente en conteur moderne, envahissant le quotidien des familles et n'hésitant pas à soutirer les confidences, à les interpréter à son gré, voire carrément à réinventer la vie de ceux qu'il croise. Mais trompera bien qui trompera le dernier...

02/2009

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Policiers

Douze heures pour mourir

Cauchemar à New York : dans le Queens, un groupe armé se réclamant de l'armée de libération Al Qods menace d'exécuter le soir de Noël vingt-six enfants et leurs professeurs de l'école juive du Mont des Oliviers si on ne libère pas les terroristes du 11 septembre. Il reste douze heures pour... mourir ou éviter le pire. En une nuit va se déployer tout ce que le pays compte de forces armées, policiers et militaires, avec à leur tête le Président et le maire de New York, pour tenter de négocier. Et pourtant, malgré le cauchemar et la haine, le lieutenant Charlie Rozen, le flic qui n'y croyait plus, va connaître sa plus belle histoire d'amour. Cette nuit de Noël, il va éprouver ce qui de tout temps a habité le coeur des hommes : le besoin d'aimer et l'envie de tuer. Sur fond de terrorisme international, un thriller qui mêle puissants et anonymes, victimes et terroristes, témoins et héros du quotidien, signé Maud Tabachnik, l'auteur du Cinquième Jour et de Mauvais Frère.

02/2004

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Romans de terroir

Vivre ensemble ou mourir

« Nous sommes pacifiques. Mais notre quête de liberté, d'égalité et de fraternité remet en cause la structure même de la société. Aux yeux des nantis, cela équivaut à une déclaration de guerre. » En 1525, l'Alsace est sous la domination autrichienne de l'archiduc Ferdinand et gérée par le grand-bailli de Ribeaupierre. Là, le petit peuple, écrasé de taxes sans cesse croissantes, réclame davantage de justice sociale. Le jeune Wolf Bisel travaille comme greffier à la Régence. Alors qu'il est à la recherche de ses origines, sa route croise celle de Rosa-Blanka. Wolf devine que la jeune femme joue un rôle important dans la rébellion. Une diète (assemblée) doit se tenir à Ensisheim pour voter des impôts qui financeront les moyens de combattre toute velléité de révolte. Les trois états sont représentés : les riches prélats qui ne payent rien, la noblesse désargentée, les villes et baillages qui supportent l'essentiel des contributions. Dans la maison d'un prévôt près de Mulhouse, Wolf reconnaît Rosa-Blanka. Ils ne partagent pas les mêmes valeurs mais s'aiment assez pour respecter les convictions de l'autre, conscients que, tôt ou tard, la réalité les rattrapera dans toute sa cruauté. Un bonheur volé, trop bref. Ils font le serment de « vivre ensemble ou mourir », qui est aussi la devise des insurgés. La révolte éclate à Pâques, partout en Alsace. La Régence est prise de court par l'ampleur du mouvement. Incapables de maîtriser les soulèvements, les Habsbourg font appel au duc Antoine de Lorraine. C'est un bain de sang qui se prépare…

11/2014

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Littérature française

Le métier de mourir

Qui est ce soldat énigmatique qui se fait appeler Belleface ? Et quel est le lourd et douloureux secret qu'il dissimule avec tant de précautions à ses hommes ? Rescapé du camp de Treblinka, ancien légionnaire en Indochine, officier légendaire de l'armée israélienne, il commande un avant-poste dans le sud du Liban en 1985. Sa mission : protéger la frontière nord d'Israël contre les attaques du Hezbollah avec l'aide de quelques miliciens libanais à la solde de l'Etat hébreu. L'arrivée d'un jeune Français ardent et idéaliste au sein de cette communauté d'hommes confinés en territoire hostile, assiégés par un ennemi insaisissable, perdus dans une sorte de désert des Tartares oriental, va être un révélateur. Et faire apparaître le mystère si invraisemblable de la vie de Belleface, héros inconnu dont l'Histoire n'a pas retenu le nom. Inspiré de la vie d'un personnage ayant réellement existé, Le Métier de mourir est un beau et grand roman métaphysique, marqué par un romantisme échevelé, où s'entremêlent, autour d'un individu hors du commun, des histoires d'hommes et d'amour, dans des paysages de commencement du monde, au rythme des balles qui sifflent et des Saintes Ecritures.

08/2020