Recherche

Mon père Edmond, ce Lillois au tragique destin

Extraits

ActuaLitté

Sports

L'Alfasud de mon père

L'Alfasud, plus qu'une voiture, une Alfa Romeo ! Et plus qu'une Alfa Romeo, une ambition industrielle pour le sud de l'Italie, qui donna naissance à une berline familiale, compacte, sportive et abordable. Présentée en 1971 sur un marché européen en pleine expansion, traction avant, moteur 4 cylindres boxer : ce fut une révolution pour Alfa Romeo. Au cours des douze années de production, la gamme fut complétée par un break et un coach sportif, par des motorisations plus vives, puis une fonctionnalité accrue avec 3 et 5 portes. L'Alfasud fut engagée dans de nombreuse compétitions, sur circuit lors du Trofeo Alfasud, ainsi qu'en rallye dans les groupes 2 et N. Malgré les troubles économiques et sociaux, la fabrication de plus de 900 000 exemplaires, jusqu'en 1983, aura contribué au doublement de la production d'Alfa Romeo.

10/2019

ActuaLitté

Littérature française

La Cité de mon père

Dans le hall d'entrée, mon père s'arrête face aux boîtes aux lettres. Il y en a trente-deux. Il les fixe, cherche notre nom. Soudain ému, il avance d'un pas et tend un doigt vers l'étiquette blanche où est écrit " Charef ". Je ne dis rien. Il y a des hommes, beaucoup, qui rêvent de voir leur nom briller en rouge, en lettres larges, encadré de néons multicolores, scintillant, clignotant, en haut d'une affiche, sur un fronton. Mon père voit son nom à la hauteur de ses yeux et déjà, il n'en revient pas. L'exil qu'il nous a fait subir, les bidonvilles, la sordide cité de transit, il sait qu'on en a souffert. Mais il a réussi, mon papa. Maintenant il respire, et nous aussi. Années 1970. A l'usine où le fils travaille pour compléter la paie du père, au HLM où toute la famille est enfin installée, s'ajoutent les cheveux longs, les bottes à talons, les virées en boîte, Jimi Hendrix et Janis Joplin. Dans cette cité mille fois rêvée, enfin habitée, souffle un nouveau vent de liberté. Ce livre fait partie de la sélection littérature française du Grand Prix des Lecteurs Pocket 2023.

01/2023

ActuaLitté

Romans historiques

Le Bois de mon père

Au soir de sa vie, Hélène marche dans les pas de ses 20 ans et entraîne sa nièce dans les méandres de l'été 1944 et des années de guerre : la défaite, l'armistice, la collaboration, la Résistance, l'épuration... Soixante-dix ans plus tard, sa mémoire ne se satisfait pas de l' "Histoire" officielle qui classe les bons d'un côté et les méchants de l'autre : qui sont les héros ? Qui sont les salauds ? Restent les questions, les tabous et, enfoui au coeur des bois de Sousceyrac, le mystère d'une vie qu'elle tente de reconstituer parce que mémoire, vérité et paix ne font qu'un. Avec tact et précision, par petites touches mais sans concession, Régine Laprade nous donne à voir de cette période troublée une facette bien différente, fort éloignée de l'Histoire désormais officielle et de ses "devoirs de mémoire" souvent si sélectifs. Un roman politiquement incorrect, une parole longtemps retenue et enfin libérée.

10/2013

ActuaLitté

Littérature française

Mon grand-père de papier

Mais qui était vraiment Henri Delbrouck ? Claude Muguet retrace la vie de ce personnage haut en couleur, le grand-père de Raphaël, l'un des personnages de son premier roman "D'amour et de silences". De 1873 à 1957 et des Ardennes à Paris, de la Bretagne à la Bavière, plongez dans la vie des campagnes de cette époque charnière. Un cadre où les scènes bucoliques des moissons et des fenaisons ne suffisent pas à estomper l'âpreté et la rudesse des caractères...

08/2018

ActuaLitté

12 ans et +

Mon père est un parrain

Vince Luca rêve d'une vie normale. Difficile quand votre père est un des parrains de la mafia new-yorkaise. Cadavres dans le coffre et avocats véreux constituent son quotidien, et il est le seul membre de sa famille à réprouver les activités du clan. Pour ne rien arranger, voilà qu'il tombe amoureux de Kendra, la fille d'un agent du FBI... qui rêve d'épingler son père ! Un régal de finesse et d'humour.

09/2018

ActuaLitté

Littérature française

La tombe de mon père

Une écriture au scalpel pour un roman à la frontière du polar et de l'espionnage, sur fond d'épisodes historiques méconnus de la Deuxième Guerre Mondiale.

01/2015

ActuaLitté

Littérature française

Le Nom de mon père

Un roman historique puissant sur le déracinement et la reconstruction par l'amour après la guerre du Liban dans les années 1980. Bassam Al Jallil a 19 ans en juillet 2006, lorsqu'éclatent les bombardements au Liban. Pour le jeune homme et les siens, le temps se fige, la mort s'abat partout. Six ans plus tard, Camille voyage en Italie avec une amie. A Naples, elle rencontre Bassam et est aussi fascinée par lui qu'il l'est par elle. C'est là, loin de ses terres d'origine, que le jeune homme essaie tant bien que mal de survivre au traumatisme qui l'a frappé. Sa rencontre avec Camille bouleverse son fragile quotidien, organisé entre les services à la pizzeria Giulia et les appels vidéo avec sa tante, Rabab, et ses cousins, Assem et Hicham, tous trois restés au Liban. Dès que Camille rentre en France, ils continuent de se découvrir à distance, jusqu'à ce que Bassam change de comportement : en arrêt de travail à la suite d'une blessure et invité au Liban pour le mariage de son cousin, le jeune homme appréhende de renouer avec les traumatismes de son passé et a soudain bien trop de temps libre pour fuir ses pensées. Lorsque Camille revient à Naples pour le voir, les deux jeunes gens remuent le passé douloureux, pour tenter de se construire ensemble. Seize ans après le conflit isréalo-libanais de 2006, l'autrice rend un hommage puissant à ses origines, au courage et à la résilience du peuple libanais.

06/2022

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Mon père sur mes épaules

Un père a-t-il le droit d'être un homme comme les autres ? Vingt ans après la mort du sien, Metin Arditi tente de comprendre qui était ce père dont il cherche encore aujourd'hui l'estime. Au souvenir glorieux d'un homme admiré se mêle l'image d'un père fuyant et faible. Au fil d'un récit tantôt violent, tantôt tendre, un fils exprime sa colère et son amour immense.

08/2018

ActuaLitté

Littérature française

Je ferai payer mon père

Munich, 1974, une jeune orpheline de 17 ans nommée Lena, apprend qu'elle n'accédera peut-être jamais à la vérité sur ses origines, même lorsqu'elle atteindra sa majorité. Elle décide alors de dérober son dossier personnel et prend la fuite. Son unique objectif : découvrir enfin qui elle est pour combler ce vide affectif dont elle souffre cruellement depuis l'enfance. Mais cette quête s'avérera dangereuse et douloureuse, dès le moment où elle découvrira qu'un lien étroit existe entre elle et un criminel en cavale. Commettant l'irréparable, Lena va tout faire pour pousser celui qu'elle pense être son géniteur à purger sa peine, n'hésitant pas à se rendre à l'autre bout du monde pour le contraindre à payer pour ses crimes. En passant successivement de chemins tortueux en découvertes de nouvelles émotions, elle va, bien malgré elle, défrayer la chronique en réveillant une des affaires les plus effroyables de l'Allemagne d'après-guerre. Dans son nouveau roman, Pascal Riguelle présente un texte poignant et bouleversant, où les personnages vivent leurs sentiments avec intensité et passion. Le suspense nous tient en haleine jusqu'au bout. L'auteur livre un opus qui accompagne le lecteur aux limites de l'ignominie humaine, tout en ayant le subtil talent de faire régner un certain respect.

02/2020

ActuaLitté

Policiers

Le prix de mon père

Légionnaire, ouvrier en Andalousie, camionneur au Mexique, dealer au Maroc, à trente-huit ans, Ismael a déjà vécu plusieurs vies. Traqué par la police marocaine, il est contraint de revenir dans son pays basque natal. A bilbao, il se lance dans une nouvelle carrière. Celle de maître chanteur. Sa victime : son ami d'enfance Julen, qui a réussi en falsifiant ses diplômes. Ismael, lui, rate tout. C'est même sa spécialité. Sous la plume de Willy Uribe, le pays basque prend une allure surréelle et désenchantée, et les rues sombres de Bilbao ne sont pas loin de celles des romans de Goodis. Le prix de mon Père a été couronné "meilleur premier roman noir" à la semana negra de Gijon.

06/2012

ActuaLitté

Littérature française

LA GLOIRE DE MON PERE

Un petit Marseillais d'il y a un siècle: l'école primaire ; le cocon familial ; les premières vacances dans les collines, à La Treille ; la première chasse avec son père... Lorsqu il commence à rédiger ses Souvenirs d'enfance, au milieu des années cinquante, Marcel Pagnol est en train de s'éloigner du cinéma., et le théâtre ne lui sourit plus.La Gloire de mon père, dès sa parution, en 1957, est salué comme marquant l'avènement d'un grand prosateur. Joseph, le père instituteur., Augustine, la timide maman., l'oncle Jules, la tante Rosé, le petit frère Paul, deviennent immédiatement aussi populaires que Marius, César ou Panisse. Et la scène de la chasse à la bartavelle se transforme immédiatement en dictée d école primaire... Les souvenirs de Pagnol sont un peu ceux de tous les enfants du monde. Plus tard, paraît-il, Pagnol aurait voulu qu'ils deviennent un film. C 'est Yves Robert qui, longtemps après la mort de l'écrivain, le réalisera. "Je suis né dans la ville d'Aubagne. sons le Garlaban couronné de chèvres au temps des derniers chevriers".

03/2000

ActuaLitté

Littérature française

La guerre de mon père

Récit intimiste d'une histoire dans l'Histoire, d'un père qui livre, avec pudeur, sa vie d'appelé au coeur d'un épisode de l'Histoire de France qui a tardé à être nommé comme Guerre : la Guerre d'Algérie. Ces deux années en quasi-autarcie dans une petite base sur la ligne barrage entre la Tunisie et l'Algérie ont bouleversé sa vie de jeune étudiant parisien. Comme pour tant d'autres, entre peur, conflits de loyauté, tension permanente, amitiés, excitation, ennui, s'est opérée une vraie fracture d'avec la réalité du quotidien d'une France en pleines Trente Glorieuses. Deux années si intenses qu'impartageables. A son retour, ce futur père s'est muré dans le silence pour n'accepter d'en sortir, prudemment, que plus de 50 ans après. Sa fille a recueilli ses mots, ses anecdotes pour en tisser ce court récit, et un lien plus intime qu'il ne l'avait été jusqu'alors.

02/2021

ActuaLitté

Ouvrages généraux

C'était Georges, mon père

L'ancien président de la République raconté comme jamais. En 1989, Pierre Messmer se demandait ce qu'un jeune Parisien répondrait à la question : " Pour vous, que signifie le nom de Georges Pompidou ? " Il imaginait qu'on évoquerait, la plupart du temps, Beaubourg et les voies sur berge. Le jeune Parisien d'aujourd'hui ne donnerait sans doute pas une réponse très différente. Ses parents se souviendraient peut-être de l'affaire Markovic ou de son travail à la banque Rothschild. Ses grands-parents se rappelleraient mai 1968 et les accords de Grenelle. Pourtant, l'existence des Français est encore imprégnée de son action : la mensualisation des salaires, c'est lui ; le SMIC, c'est encore lui ; l'élargissement du congé maternité à toutes les salariées, c'est toujours lui. Président sensible et mesuré, loin du froid banquier parisien dépeint par ses opposants, il fut aussi un khâgneux dilettante et engagé, un professeur de français dynamique, un amoureux de la nature, un passionné d'art et de poésie, un mari, un père. C'est le quotidien de cet homme méconnu qu'a partagé Alain Pompidou, son fils unique. Avec lui, il a joué aux cartes les week-ends à Orvilliers, écouté du Bach en vacances à Cajarc, chassé chez les Rothschild à Ferrières, pris des petits déjeuners à Matignon et à l'Elysée... Retraçant sa vie, de son enfance dans le Cantal à sa mort après des années de maladie, il nous fait pénétrer dans l'intimité de son père et nous révèle quelle était la personnalité de ce président qui a tant marqué la France.

09/2023

ActuaLitté

Littérature française

Le château de mon père

" Vous ne la vendrez pas ! C'est compris ? Tant que je serais vivant, vous n'y toucherais pas ". Ces paroles qui nous tétanisèrent, mon père les prononça autour du grand-couscous, rituel familiale dominicale que nous célébrons chez nos parents. Cet être sublime, affaibli par l'âge, ces souvenirs confisqués par cette maladie qui fait perde la mémoire, était devenu l'ombre de lui-même. La simple évocation de la possibilité d'évincer sa maison construite au Maroc, il y a longtemps, lui redonna la force de rugir ! Pourquoi autant attachement à une vieille bâtisse située à trois mille kilomètres ? Ce jour-là je compris que cette maison tenait dans le coeur de mon père une place aussi importante qu'un de ces enfants ! Pour découvrir le lien entre mon père et ce nouveau membre de la famille, j'ai dû me replonger dans les méandres de l'histoire. Celle de mon enfance, de mon père mais aussi de la France et du Maroc...Recherches pleines de surprises et d'émotions.

09/2023

ActuaLitté

Littérature française

Le garçon de mon père

Le récit s'ouvre un dimanche de septembre 2019, un dimanche où le père "concret et nébuleux à la fois" d'Emmanuelle Lambert, se prépare à mourir d'un cancer de l'ampoule, un organe situé à la tête du pancréas. Et pourtant, ce livre est un livre de vie. C'est que, par une douce ironie des mots, il est à l'image de ce personnage de père à la "chaleur explosive" : "rétif à toute forme de rêverie fatiguée, car dans la fatigue se glisse un effritement possible, une voie pour la douleur et le doute". Le duo du livre-tombeau et du père illumine tout sur son passage. Il n'y a pas de gris ici, mais les couleurs éclatantes du souvenir, du mange-disques seventies aux yeux de Dalida. Poignant et solaire, émouvant et lumineux, mélancolique sans le poids du pathos, familial et universel, le récit d'une fille raconte le père : mais le père aurait peut-être voulu un garçon. A l'hyperactif soixante-huitard, au Dieu imprévisible de l'enfance, à l'ex-enfant triste qui joue jusqu'au bout de sa vie y compris en abordant aux rivages de la fin, répond une fille, qui se construit comme une femme.

08/2021

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Mon père couleur de nuit

Le père d'Hannah est un survivant des camps de concentration. Il fait partager chaque jour à sa famille sa souffrance et les atrocités qu'il a vécues : les baraquements, la faim, les tortures, les maladies, le travail forcé... Peu à peu, cet univers de mort et de douleur s'empare de la vie de la jeune Hannah qui tente de dire l'indicible avec ses mots d'enfant, légers comme des bulles. Hannah parviendra-t-elle à arracher son père à la nuit de ses souvenirs ? La tendresse et l'innocence pourront-elles le sauver de la barbarie et le ramener à la vie ? Un roman d'une force étonnante.

01/2003

ActuaLitté

Littérature française

La valise de mon père

Après l'indépendance de leur pays, beaucoup de jeunes Algériens qui ont cru aux promesses de vie meilleure du FLN, sont finalement déçus par les méthodes de ce gouvernement qui veut instaurer l'arabisation forcée et une culture qui n'est pas forcément la leur. Alors, ils préfèrent prendre le chemin de l'exil et émigrent vers l'ancien pays colonisateur, car leurs pères leur avaient fait miroiter depuis leur plus jeune âge une installation dans ce pays de cocagne...

09/2015

ActuaLitté

Faits de société

Mon père Francis le Belge

C'est au travers d'une vitre, dans un parloir de prison, que Sylvie a appris à connaître et à aimer son père, Francis Vanverberghe dit " Le Belge ", une légende du milieu marseillais. C'est au travers d'une vitre encore qu'elle l'a retrouvé à la morgue le 27 septembre 2000, tombé à cinquante-quatre ans sous les balles de ses assassins. Née dans un monde où mourir de mort naturelle est un luxe, bouclier humain à quatre ans, privée d'innocence, la fille unique du dernier parrain a vu disparaître les uns après les autres les hommes de sa famille, victimes de la guerre des gangs. Démolie par cette filiation peu commune, elle a sombré, adolescente, dans la spirale du couple infernal boulimie-anorexie et vécu entre terreur et séduction un étrange pas de deux avec ce hors-la-loi tout à la fois charmeur et violent, pingre et flambeur, qui se voulait patriarche à ses heures. C'est pour trouver la juste mesure entre dégoût et admiration, pour faire le tri des exigences de son cœur et de sa raison, et tenter d'exorciser les gènes qui l'ont marquée d'une angoisse indélébile, qu'elle a voulu jeter sur le papier le roman noir auquel elle voudrait être sûre d'avoir échappé.

02/2005

ActuaLitté

Littérature française

Le départ de mon père

Un pays sur la rive de la Méditerranée. La justice est boiteuse. Le népotisme et le mépris gangrènent jusqu'aux plus hautes sphères de l'Etat. De toutes parts, les institutions craquent, et telles des peaux lépreuses, elles tombent au sol, noires et desséchées. L'effet ravageur des religions prospère sur ces terreaux. A bout de souffle, l'Etat vacille puis se déchire. Partout dans le pays, la mort frappe. Anya, enseignante dans une école primaire, part à la recherche de son père disparu de leur village depuis le jour où un massacre a été commis par les islamistes armés. A-t-il été assassiné à cause de ses écrits d'homme de lettres engagé ou s'adonne-t-il réellement à l'ivresse et à la débauche dans la taverne du Temple Rouge ? Déterminée à élucider ce mystère, la jeune femme s'engage alors sur les chemins de la lutte armée, de l'amour puis de la détention dans un camp d'extrémistes religieux. Sillonnant villes et villages, elle découvrira les ravages de l'islamisme sur les gens et les biens, ainsi que la faim, la soif, la traite et l'exploitation sexuelle des femmes.

09/2020

ActuaLitté

Seinen/Homme

Le journal de mon père

Le décès de son père contraint Yoichi Yamashita à retourner dans sa ville natale après de longues années. Lors d'une veillée funèbre arrosée, son enfance refait surface : cet après-midi de printemps passé à jouer sur le plancher du salon de coiffure de son père, l'incendie qui a ravagé la ville et sa maison familiale, le divorce de ses parents... Au fil des confidences et des souvenirs partagés par ses proches, Yoichi redécouvre celui qu'il a toujours vu comme un père absent et froid.

11/2021

ActuaLitté

Faits de société

Mon père m'a vendue

Un récit choc qui révèle des pratiques barbares qui existaient encore en Europe, il y a peu... Notamment les mariages forcés , comme dans ce récit situé dans les années 70 où l'auteure, une Irlandaise âgée de 16 ans avait été "mariée" par son père à un agriculteur de 65 ans en échange de 2500 livres et d'une voiture... En format poche.

01/2015

ActuaLitté

Littérature française

Le pays de mon père

En crise d'identité après une série de drames personnels, un jeune banlieusard décide de revenir dans son pays d'origine afin de prendre un nouveau départ. Ignorant absolument tout de ce qu'il qualifiait lui-même de "pays de son père", il se retrouve confronté à la dure réalité algéroise de la fin des années 90. Dans une société encore marquée par les violences islamistes, il essaie tant bien que mal de trouver sa place et de donner un nouveau sens à sa vie.

08/2020

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Mon père et autres textes

"J'aimais qu'il m'emmène au cinéma, j'aimais l'entendre parler à un tiers du film que nous avions vu ; j'aimais sa façon de se moquer des imbéciles, des gens creux et teigneux, comme j'aimais l'entendre parler d'une nouvelle variété de fruit, d'une ville qu'il avait visitée, d'un livre ou des dernières nouvelles, mais je voulais surtout qu'il me cajole et m'aime encore plus." Le grand écrivain turc Orhan Pamuk, Prix Nobel de littérature 2006, évoque dans une langue vibrante d'émotion la place de son père dans sa destinée d'homme et d'écrivain.

05/2012

ActuaLitté

Littérature française

Le cinéma de mon père

1940-1950 : un jeune garçon traverse en la vivant une période où le cinéma n'était pas numérique, où les vedettes toujours bien coiffées, couvertes de strass, de paillettes, évoluaient dans un monde qui faisait rêver un moment en cette période noire. Vedettes rencontrées lors de tournages, figurants en mal de devenir... L'auteur assiste son père dans ses tournées de projection de films dans les salles communales et paroissiales de campagne, cinéma plein de surprises, de joies, d'émotion... Cinéma disparu aujourd'hui de nos campagnes, cinéma drôle, émouvant avec une pointe de nostalgie !

11/2010

ActuaLitté

Littérature française

Le fusil de mon père

Je m'appelle Azad Shero Selim. Je suis le petit-fils de Selim Malay. Mon grand-père avait beaucoup d'humour. Il disait qu'il était né kurde, sur une terre libre. Puis les Ottomans sont arrivés et ils ont dit à mon grand-père: Tu es ottoman, et il est devenu ottoman. À la chute de l'Empire ottoman, il est devenu turc. Les Turcs sont partis, il est redevenu kurde dans le royaume de Cheikh Mahmoud, le roi des Kurdes. Puis les Anglais sont arrivés, alors mon grand-père est devenu sujet de Sa Gracieuse Majesté, il a même appris quelques mots d'anglais. Les Anglais ont inventé l'Irak, mon grand-père est devenu irakien, mais il n'a jamais compris l'énigme de ce nouveau mot: Irak, et jusqu'à son dernier souffle, il n'a jamais été fier d'être irakien; son fils, mon père, Shero Selim Malay, non plus. Mais moi, Azad, j'étais encore un gamin. "

02/2004

ActuaLitté

Littérature étrangère

Un mensonge sur mon père

Mon père a passé sa vie a dire des mensonges et, parce que je ne savais pas faire autrement, je les ai répétés. Mon monde était un tissu de mensonges, grands et petits, sur tout. L'infarctus qui l'a emporté l'a surpris au pub à Corby entre le bar et le distributeur de cigarettes. C'était un enfant trouvé, un fabulateur, un buveur morose et menaçant à la main leste, il n'avait pas revu son fils depuis des années. L'extraordinaire histoire de cette relation manquée est aussi l'évocation d'une enfance perdue et saccagée. C'est aussi l'histoire du monde du père, un monde où les hommes se définissaient par les quantités d'alcool qu'ils pouvaient boire et le degré de souffrance auquel ils pouvaient résister. Des hommes construits sur la culpabilité et le machisme. Symbole de tout ce qui n'allait pas, John était devenu le destinataire de la haine de soi paternelle sous la forme d'une violence furieuse et, pire, d'une humiliation mesquine et cruelle. Il a appris à mentir à son père, puis plus tard sur son père. Poussant le langage à ses limites, voici un texte inoubliable sur deux hommes perdus: le père et le fils. Sur la façon de pardonner sans rien oublier.

01/2009

ActuaLitté

Histoire internationale

Les rêves de mon père

- C'est vrai, Bar, disait-il, ton papa pouvait faire face à n'importe quelle situation, et c'est pour ça que tout le monde l'aimait. Tu te souviens de la fois où il a chanté au Festival international de musique ? Il avait accepté de chanter des chants africains, mais quand il est arrivé, il s'est aperçu que c'était pas n'importe quoi. La fille qui passait juste avant lui était une chanteuse semi-professionnelle, une Hawaiienne qui avait tout un orchestre derrière elle. Un autre se serait dégonflé, aurait expliqué qu'il y avait erreur. Mais pas Barack. Il y est allé et il a chanté devant tous ces gens qui le regardaient, et ça, je te jure, il faut le faire. Il n'a pas été formidable, mais il était si sûr de lui qu'il a récolté autant d'applaudissements que les autres. Mon grand-père secouait la tête et se levait pour aller tripoter les boutons de la télé. - Tu vois, il y a une chose que tu peux prendre chez ton père, me disait-il. La confiance en soi. Le secret du succès.

01/2018

ActuaLitté

Littérature étrangère

Mon père et autres imposteurs

Coup dur pour Charlotte : sa mère a disparu dans la nature, la laissant seule avec un père volage, Yves Mueller, manager d'artistes. Pendant les vacances, il trimballe sa fille d'hôtel en hôtel " quatre étoiles ", s'il vous plaît ! , la traîne sur des plages de luxe au sable fin où des femmes d'affaires dynamiques se prélassent. Jusqu'au jour où, sa bourse étant à sec, il s'en débarrasse en la confiant à " une amie très chère " qui vit avec sa fille, Jane. Les deux gamines se détestent cordialement, avant de découvrir leur secret commun : leur père est bigame ; elles sont soeurs ! Il ne reste aux deux adolescentes sagaces qu'à se liguer et à partir en croisade pour découvrir l'étendue des dégâts. On en apprend de belles sur l'hypocrisie des bourgeois, la double vie des artistes, l'imposture des hommes en général et des pères polygames en particulier. Milena Moser, " la mauvaise fille " de la littérature féminine, se révèle une fois de plus une conteuse tragicomique, naviguant avec grâce sur les montagnes, russes de notre époque et cultivant l'art de la provocation. Née en 1963, Milena Moser vit à Zurich, sa ville natale. Libraire de formation, elle est l'auteur de L'Ile des femmes de ménage (Calmann-Lévy, 1994) et de A quoi rêvent les blondes (Calmann-Lévy, 1995). Traduit de l'allemand par Françoise Toraille.

06/1996

ActuaLitté

Littérature étrangère

L'Ecriture de mon père

Roma Ligocka est la petite fille au manteau rouge de La Liste de Schindler de Spielberg, l'unique tache de couleur dans un paysage dévasté rendu en noir et blanc. C'est au lendemain de la projection de ce film dans lequel elle s'est reconnue qu'elle s'attelle à la rédaction de La Petite Fille au manteau rouge, ébranlée par cette évocation brutale de son passé. Son récit de survivante du ghetto de Cracovie est publié dans douze pays et rencontre un succès public et critique considérable. Une fois que l'on a raconté, est-on libéré ? Oui, mais le sentiment d'être peu faite pour le bonheur demeure, malgré les rencontres décisives - celle de David notamment, autre rescapé de la Shoah dont Roma tombe amoureuse. C'est un frère de destin, un infirme de la vie comme elle. Ne peut-elle finalement aimer que ses semblables, ceux qui portent en eux une douleur d'enfance jamais vraiment guérie ? La sienne va être ravivée par un coup de poignard inattendu. Alors que Roma Ligocka mène à travers le monde une tournée de lectures pour la promotion de son best-seller, elle reçoit un appel téléphonique mystérieux qui fait basculer sa vie. Un journaliste prétend que, en déportation, son père était un traître au service des nazis, un kapo. Comment vivre avec l'image de ce père, un héros dans sa mémoire, peut-être un traître dans la réalité ? Comment vivre avec le passé et vivre tout court, puisqu'une histoire d'amour se noue avec David, qu'elle ne peut mettre dans la confidence ? Plus d'une année s'écoulera avant que Roma Ligocka ne réponde à ces questions, sache si David tient toujours à elle et qui son père était vraiment. Un récit de vie très personnel qui met à jour ce qui restait tu dans La Petite Fille au manteau rouge et qui révèle combien le succès rend vulnérable, fait s'exposer aux coups et aiguise la tentation d'un repli sur soi finalement mortifère. Roma Ligocka se défend, cherche et trouve, et sa rage de vivre l'emporte sur tout le reste.

10/2007

ActuaLitté

Littérature française

Le figuier de mon père

Portrait haut en couleur d'une communauté discrète, dure au mal, travailleuse et solidaire, ces mémoires sont un hommage de l'auteur aux siens, à ses parents surtout, réfugiés en France au début des années 1920, après avoir perdu dans le génocide arménien de 1915 presque toute leur parentèle. Sa mère, Mayrig, femme au grand cœur, petite silhouette tout de noir vêtue, animée d'une douceur et d'une énergie hors pair, qui lui a inculqué le sens de l'effort et la valeur du travail. Son père, aussi, Hayrig, qui, ayant connu l'horreur des geôles turques, n'en a pas moins gardé sa joie de vivre et sa capacité d'émerveillement. Personnage biblique tout droit sorti d'un conte oriental, débordant de sagesse, ce père traverse le livre en posant sur sa famille un regard lucide et tendre, commentant les us et coutumes de cette terre d'asile, la France. Véritable hymne à l'amour filial, mais aussi roman d'apprentissage qui retrace la réussite du jeune Vartan devenu officier de Marine puis inventeur, cet ouvrage truculent nous donne une belle leçon d'optimisme.

01/2006