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« La tragédie individuelle souvent s’efface devant la marche de l’histoire. Pourtant, combien le ballet ininterrompu des peuples paraît dérisoire face aux drames d’une vie, unique et irréversible. Suivant le point de vue que l’on adopte, le lien entre l’intime et le monde bascule ainsi sans cesse entre engagement et renoncement. Rejeter la multitude tout autant que l’isolement. Chercher la compagnie tout autant que la contemplation. Fragile équilibre si déterminant pour notre santé mentale et par ricochet pour celles des sociétés. »
Montreuil, janvier 2011, la vie d’Alejandro bascule. Jeune paléogénéticien, il vient d’apprendre que sa sœur est gravement malade.
De l’autre côté de la méditerranée, tandis que la place Tahrir bat au son de « dégage Moubarak », son ami archéologue Sacha sauve un mystérieux journal intime datant du VIe siècle. Pour Alejandro, ces deux évènements concomitants a priori sans lien, marquent le début d’un long parcours initiatique et introspectif de six mois, aux confluences des siècles et de la méditerranée.
04/2024
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09/2020
Littérature arabe
« Trente ans plus tard, je reviens m’installer dans l’arrière-pays de Ramallah, je m’en reviens vers cette beauté qui a été trahie... » Ainsi débute le récit du retour vers le pays natal, à ce verger d’amandiers planté autour de la maison par le père de l’auteur lors de son mariage en 1948, année emblématique de la grande « catastrophe » palestinienne.
C’est là que Hussein Al-Barghouti repose, en harmonie avec ses dernières volontés.
Atteint d’un cancer aux poumons, il puise d’abord sa force dans le riche limon du patrimoine populaire palestinien, gravé dans sa propre lignée à travers des figures hautes en couleur, animées d’un esprit à la fois frondeur et sage. Cette rivière n’est toutefois qu’un affluent du vaste fleuve de la pensée proche-orientale, qui se déverse lui-même dans l’immensité de l’océan de l’expérience humaine globale.
Tout comme dans son premier ouvrage autobiographique, Lumière bleue (Actes Sud, 2004, traduction de Marianne Weiss), où il partageait ses années d’exil aux États-Unis, l’auteur tisse dans Je serai parmi les amandiers toutes les fibres de sa quête personnelle. À la fois philosophique, politique et spirituel, c’est cette alchimie qui confère à son œuvre une tonalité à nulle autre pareille dans la littérature arabe contemporaine.
06/2024