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Vente (Bac pro)

Prospecter et valoriser l'offre commerciale - Option B - 1re/Term Bac pro - Livre + licence élève 20

Cet ouvrage est conforme au référentiel, et traite les compétences du bloc 4 option B du Bac Pro Métiers du Commerce et de la Vente. Il est proposé au choix en livre papier + licence numérique i-Manuel ou en 100% numérique i-Manuel. En version imprimée, cet ouvrage propose en complément une licence numérique i-Manuel 2. 0, la solution pour mettre les élèves en activité sur ordinateur ou sur tablette. >> Les infos pratiques sur le i-Manuel 2. 0 à découvrir ci-dessous Structure d'un dossier - Une vidéo d'ouverture pour une première découverte du thème. - Des activités proposées sous forme de missions : - dans des entreprises réelles ou réalistes de secteurs variés (tourisme, commerce, services à la personne, transports, banque,...) ; - avec des consignes sous forme de dialogue, mail, message écrit ou oral pour mettre en oeuvre les compétences et les notions du dossier. - Une synthèse active adaptée à tous les types de mémorisation : schéma, audio, texte. - Des applications progressives pour retravailler les compétences dans de nouveaux contextes. Scénarios Ils permettent de croiser les compétences et de les travailler de manière active, par groupe, avec des supports informatiques et des travaux à réaliser oralement. Préparation à l'examen Deux études de cas sont proposées dans cet ouvrage pour préparer l'épreuve écrite E2. On retrouve pour chacune des conseils d'assimilation des consignes pour compenser l'absence d'annexe dans les sujets d'examen. Nouveau dans cette édition 2023 : - Une grille d'autoévaluation, à remplir au fur et à mesure, permet à l'élève de suivre sa progression. - Un dossier " Conseils et outils " pour la 1re/Tle est disponible en début d'ouvrage (créer son profil LinkedIn, rédiger son projet de formation motivé sur Parcoursup...). - Un carnet de bord du chef-d'oeuvre est proposé pour créer, suivre et présenter son projet à l'aide d'outils numériques. - Les missions ou applications qui font appel à des compétences Pix sont balisées. - En plus, accessibles par QR Codes : - Des activités bonus " A vous de jouer " pour favoriser l'animation de la classe (jeux de rôle, quiz, etc.) ; - Des séquences de co-intervention Français et Mathématiques ; - Des questions supplémentaires qui font le lien avec le programme d'Economie-Droit ; - Des synthèses audio et des quiz interactifs.

04/2023

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Vente (Bac pro)

Animer et gérer l'espace commercial - Option A - 1ère et Term Bac pro - Livre + licence élève - 2023

Cet ouvrage est conforme au référentiel, et traite les compétences du bloc 4 option A du Bac Pro Métiers du Commerce et de la Vente. Il est proposé au choix en livre papier + licence numérique i-Manuel ou en 100% numérique i-Manuel. En version imprimée, cet ouvrage propose en complément une licence numérique i-Manuel 2. 0, la solution pour mettre les élèves en activité sur ordinateur ou sur tablette. >> Les infos pratiques sur le i-Manuel 2. 0 à découvrir ci-dessous Structure d'un dossier - Une vidéo d'ouverture pour une première découverte du thème. - Des activités proposées sous forme de missions : - dans des entreprises réelles ou réalistes de secteurs variés (tourisme, commerce, services à la personne, transports, banque,...) ; - avec des consignes sous forme de dialogue, mail, message écrit ou oral pour mettre en oeuvre les compétences et les notions du dossier. - Une synthèse active adaptée à tous les types de mémorisation : schéma, audio, texte. - Des applications progressives pour retravailler les compétences dans de nouveaux contextes. Scénarios Ils permettent de croiser les compétences et de les travailler de manière active, par groupe, avec des supports informatiques et des travaux à réaliser oralement. Préparation à l'examen Deux études de cas sont proposées dans cet ouvrage pour préparer l'épreuve écrite E2. On retrouve pour chacune des conseils d'assimilation des consignes pour compenser l'absence d'annexe dans les sujets d'examen. Nouveau dans cette édition 2023 : - Une grille d'autoévaluation, à remplir au fur et à mesure, permet à l'élève de suivre sa progression. - Un dossier " Conseils et outils " pour la 1re/Tle est disponible en début d'ouvrage (créer son profil LinkedIn, rédiger son projet de formation motivé sur Parcoursup...). - Un carnet de bord du chef-d'oeuvre est proposé pour créer, suivre et présenter son projet à l'aide d'outils numériques. - Les missions ou applications qui font appel à des compétences Pix sont balisées. - En plus, accessibles par QR Codes : - Des activités bonus " A vous de jouer " pour favoriser l'animation de la classe (jeux de rôle, quiz, etc.) ; - Des séquences de co-intervention Français et Mathématiques ; - Des questions supplémentaires qui font le lien avec le programme d'Economie-Droit ; - Des synthèses audio et des quiz interactifs.

04/2023

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Poésie

Au jardin des légendes

Le projet et la réalisation de cet ouvrage sont nés grâce à la rencontre de deux habitant. e. s des Grottes, quartier populaire de Genève. Le premier, Claude Tabarini est écrivain, tandis que la seconde, Marfa Indoukaeva est illustratrice. Tous les deux sont des flâneurs urbains et, chacun à sa façon, ils prennent note de l'ordinaire, nourris par un sens de l'observation aigu, attentifs aux changements de saisons, aux bruissement des villes, aux éclats du quotidien. A la suite de Charles-Albert Cingria, Claude Tabarini perpétue avec art le vers déambulatoire si particulier à l'arc lémanique. Sorte de touriste curieux, dans sa propre ville ou ailleurs, il écrit au jour le jour des observations qui sont comme autant de petites vignettes à déguster. Des moments fugaces, des fragments de réel posés sur la page pour qu'ils continuent à exister. Que se soit par de brèves notations, des poèmes, des haïkus ou des textes plus long - sortes de chroniques -, Tabarini n'a de cesse de révéler les morceaux de poésie qui traversent l'ordinaire. Marfa Indoukaeva, elle aussi, travaille à partir de la magie et de l'enchantement du quotidien. Ses illustrations, souvent végétales ou animales, témoignent de promenades émerveillées dans la ville ou la campagne, où chaque petit détail mérite d'être constaté et rendu. La matière accumulée dans ce recueil forme une série d'éclats, de polaroïds. Ni un livre de poète, ni un livre de peintre, les textes et les gravures se démultiplient dans l'espace de la page pour mieux donner à sentir les miroitements de la vie de tous les jours, celle qu'on oublie parfois de regarder, et que les artistes nous permettent de réenchanter.

09/2020

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Littérature française

Toute la mer va vers la ville

Dans ce récit, dont le titre est emprunté à un poème de Verhaeren, l'auteur nous livre son Comment peut-on être Breton ?. Mais ce n'est pas l'air de la nostalgie qu'il entonne : il y préfère un plaidoyer pour aujourd'hui, et pour l'ailleurs. Quand on aime, il faut partir et l'on n'emporte jamais ce qu'on quitte. Du moins, né provincial, est-on débarrassé de l'illusion d'occuper le centre du monde. Hervé Hamon nous conte son enfance à Saint-Brieuc, dans l'après-guerre, ses démêlés avec l'école, avec la religion, sa formation politique dans une ville qui fut la première à basculer vers la gauche, ses allers-retours, très tôt, entre la Bretagne et Paris. Et puis le journalisme, l'écriture, l'édition qui " forcément " se passaient dans la capitale, et " forcément " à Saint-Germain-des-Prés. Comment il devient, à l'époque, un Breton saisonnier, un " touriste " chez les siens, heureux et malheureux à la fois. Puis, la Bretagne, il la retrouve. Sur l'Abeille Flandre, un remorqueur de sauvetage. Il devient Brestois d'adoption avec enthousiasme, avec le même enthousiasme qu'il éprouve au contact des marins. Il aime Brest, son parfum d'anarcho-syndicalisme, puis revient vers son Trégor natal. Mais rien à faire : la grande ville lui manque aussi, Tokyo, New York, Dehli... Alors il s'installe dans l'entre-deux. Il comprend qu'il n'a pas des racines, mais des attaches - fortes -, qu'on garde, mais dont on est libre. C'est un livre de passion, de passion ouverte. La suite, en quelque sorte, de Besoin de mer et de L'Abeille d'Ouessant.

09/2009

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Littérature française

Hôtel Miranda

Elle écrivit « Yamen » et « Rabih » sur la plage, effaça vite les deux noms en se souvenant qu’ils signaleraient sa présence. Puis elle courut se jeter à l’eau toute vêtue, comme elle le faisait dans son enfance, sans rien écouter de ceux qui lui couraient derrière les bras levés. C’était bon, entière, libre, perdue.   La révolution du Jasmin n’a pas encore eu lieu quand, après un séjour dans une geôle tunisienne, Selma, 20 ans, monte dans une embarcation incertaine pour Lampedusa. Depuis que Yamen, son amoureux épris de liberté, a mystérieusement disparu, rejoindre Paris avant le 14 Juillet est sa raison de vivre. Elle laisse derrière elle sa mère, Zineb, son adorable petit frère, Rabih, que le retard mental a transformé en collectionneur assidu de photos de Ben Ali, roi fabuleux dans son esprit, et leur généreuse voisine, la mère de Yamen. Mais sur les rives d’Italie, une douce grand-mère solitaire lui viendra en aide, et peut-être naîtra un nouvel amour. Louise, de son côté, cherche désespérément un hôtel à Paris. Elle a décidé qu’elle ne passerait pas un 14 Juillet de plus enfermée dans son couple et les diktats de la mère parfaite. Les hôtels sont tous pris d’assaut dans les beaux quartiers, il va donc lui falloir franchir le périphérique. Les deux fugitives vont partager un terminus provisoire : l’Hôtel Miranda. Un bouge sans étoiles où l’humanité va briller, à travers des personnages solaires au passé triste. Osmani, le vieux Turc attendrissant, Moncef, le propriétaire au rire bien sonore, Warda, la Libanaise spécialiste du bon pain, Ilan, le touriste israélien, Maman Fanta, la matrone malienne, Taoufik, le médecin urgentiste, et d’autres encore, ouvrent leurs bras à Selma et à Louise, dans un foyer neuf où elles pourront se reconstruire et écouter enfin leur propre chant révolutionnaire.

05/2012

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Dessin

Ostende carnets

Ostende - le carnet est l'origine du livre paru quelques semaines plus tôt, la coulisse où le ballet se prépare, la planque reculée d'où l'on peut mieux observer le paysage, la palette où se mélangent les formes, les couleurs, les gestes des personnages et de leur créatrice. Il témoigne d'une oeuvre en gestation, là où Ostende est l'aboutissement de ce travail. Des objets y mutent comme des êtres vivants, des humains évoluent, expérimentent en secret, se découvrent. Des idées naissent, changent, se fixent mais le plus souvent s'y refusent, avant de trouver leur place dans l'oeuvre finale, la série picturale narrative Ostende, que le carnet de Dominique éclaire d'un jour nouveau. Pour nous, lecteurs et lectrices, le carnet en sera aussi l'aboutissement, la clé de lecture et le révélateur. En voyant ce qui, de la vie des personnages et du travail de l'autrice, n'était pas visible dans les peintures, on percevra ce que les personnages projettent entre les murs d'une grange ou derrière les rideaux. On en apprendra plus sur la majorette et ceux qui l'accompagnent, on y verra des corps ou des parties de corps – bustes, fesses, visages, mains – et l'on comprendra peut-être pourquoi Irène exhibe le sien sur les plages Ostende. Ou peut-être ne le comprendra-t-on pas. On verra, mais on sera libre de donner la suite que l'on veut à ces textes et à ces scènes ouvertes à l'interprétation. On retournera le point de vue, pour voir enfin derrière. On verra les formes abstraites d'Ostende naître, fondre, se transformer jusqu'à devenir cristaux, roches molles, matière aux contours flous ou abrupts. On percevra des mouvements, des bruits sourdre paisiblement de l'espace vierge des pages d'un carnet, espace de liberté formelle absolue pour sa détentrice. Plusieurs niveaux de lecture apparaîtront alors. On pourra observer ces changements comme des mouvements primaires que l'oeil reconstitue, récits sans objet quelque part entre l'animation et la séquence, ou chaînon manquant entre le figuratif et l'abstraction. On pourra voir des personnages en train d'être créés et de se créer eux-même une nouvelle identité, cachée, imperceptible mais pourtant bien présente sur les plages d'Ostende. On verra une artiste se chercher, chercher son propos et les techniques appropriées à celui-ci, et une oeuvre se construire par touches successives, du fourmillement de tentatives chaotiques et audacieuses à la sérénité qui fait la force d'Ostende. Et l'on fera, comme elle, des va-et-vient d'un livre à l'autre, d'un format à l'autre, repérant quelles techniques, quelles présences, quelles formes ont retenu son attention, tentant de comprendre ce qui se joue en chacun des êtres et des lieux représentés.

01/2022

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Critique littéraire

Demeures de l'esprit. France Tome 5, Ile-de-France

Le dixième volume des Demeures de l'esprit est aussi le cinquième de la série française et, après le Sud-Ouest, le Nord-Ouest, le Nord-Est et le Sud-Est, il est consacré aux maisons d'écrivains, d'artistes, de compositeurs, d'inventeurs ou de grands intellectuels de la région parisienne, plus exactement de l'Ile-de-France, moins Paris. De ces maisons, la plus fidèle à son grand homme, et sans doute la plus séduisante, est celle de Ravel à Montfort-l'Amaury. Parmi les demeures de musiciens, elle n'a pas de mal à l'emporter sur la maison natale de Debussy à Saint-Germain-en-Laye, qui n'est hélas qu'un musée, flanquée d'un office du tourisme. Le Prieuré de Maurice Denis, dans la même ville, est lui aussi un musée plus qu'une habitation mais dans son cas c'est plus légitime, les oeuvres d'art y abondent, de même qu'à Meudon chez Rodin, non loin de là. Et si la muséification a frappé un peu trop fort, sans les dépouiller tout à fait de leur charme et de leur intérêt, la maison de Mallarmé à Valvins ou celle de Cocteau à Milly-la-Forêt, elle a laissé intacte celle de Foujita à Villiers-le-Bâcle ou celle de Pierre Mac Orlan à Saint-Cyr-sur-Morin. La plus modeste est probablement celle où naquit Louis Braille à Coupvray, près de Meaux ; la plus fastueuse est sans doute la Vallée-aux-Loups, à Châtenay-Malabry, où Chateaubriand mena grand train dix années durant. Celle d'Aragon et d'Elsa Triolet à Saint-Arnoult-en-Yvelines est un vaste moulin ; celle de François Mauriac à Vémars est devenue la mairie du village. Rosa Bonheur habitait un château nommé By, à Thomery ; Jean-Jacques Rousseau une maison de poupée à Montmorency. Daubigny vivait en bourgeois à Auvers-sur-Oise, Jean-François Millet en rapin à Barbizon. A Bossuet un palais épiscopal, dans Meaux ; à Tourgueniev une datcha à Bougival, avec vue sur Pauline Viardot, dont le manoir est en contrebas. Quant au pauvre Alexandre Dumas, non loin de là, à Port-Marly, il ne profita que quelques mois de son opulente folie, Monte-Cristo. En fin de volume, vous trouverez une table détaillée des sites avec appréciations et renseignements pratiques.

06/2014

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Science-fiction

Territoire gris

Ce roman présente un entrelacs de différentes époques du futur. Le lecteur y rencontrera trois destinées situées à des époques éloignées les unes des autres, mais reliées entre elle par l'archéo-tourisme du futur, les conférences historico-sensorielles proches du voyage dans le temps et par le fil rouge que constitue la fameuse clef de Yodel ! Le couple de Yodel et Maelia : la société du XXIIe siècle, celle de l'après ère nucléaire, civilisation des complexes où les hommes se sont réfugiés. A l'image du complexe 13 B, où le principe de précaution a été poussé au paroxysme, et où l'on n'a plus le droit de se toucher. Pire, les programmes de manipulation scientifiques sur les humains sont à l'oeuvre. Certains ont réussi à fuir les complexes et forment des communautés organisées dans les décombres de Paris et de ses proches banlieues. Yodel et Maelia les ont rejoint et avec leur aide réussiront à contrer les projets aliénants de ceux des complexes. Le couple de Stefan et Maude : la société du XXIVe siècle sur terre où les gens vivent dans des cités aériennes suspendues pour laisser la place à l'agriculture au sol. Passé 50 ans, vous étiez invité à l'Interruption Volontaire de Vieillesse. Mais les " too old " s'organisent... et résistent. Le couple d'Alexis et Ginger : la société du XXVe siècle exilée dans l'espace - pour fuir la terre devenue insalubre - émiettée dans des stations orbitales type New Earth 22. Société avec ses refoulés - les TF " Too Fat ", les trop gros renvoyés de force sur terre pour des cures d'amaigrissement - ses sous-hommes, les " kapas " entretenus pour offrir des organes de rechange aux plus vieux, aux plus sages, ses " hors la loi " envoyés au bagne, c'est-à-dire condamnés à coloniser de nouvelles planètes dans des galaxies lointaines après des années lumières de voyage en état de léthargie, sans espoir de retour...Alexis et Ginger seront exilés avec quelques autres et retrouveront une planète qui ressemble étonnamment à la terre. Un débat de fonds imprègne tout le roman ; celui de la tolérance - et de l'intolérance - de l'homme pour l'homme. Quelles que soient les sociétés imaginées dans ce récit, il y a des sous-hommes exploités par des " hommes supérieurs " ou " normaux ". Et une question qui restera ouverte : sera-t-on capable un jour de ne plus reproduire les erreurs du passé ?

03/2019

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Mer

100 ans de paquebots. Histoires, récits et témoignages

Ancrage Historique Un paquebot est un navire spécialisé dans le transport de passagers. Ce nom vient de l'anglais "?packet-boat ", désignant les navires transportant du courrier. Les premiers grands paquebots sont apparus au début du 19e, lorsque les migrations internationales étaient fortes. De nombreuses innovations techniques telles, que la machine à vapeur et les coques en acier, ont permis aux paquebots de gagner en taille et en vitesse et ont donné lieu à de véritables compétitions entre puissances, notamment entre le Royaume-Uni et l'Allemagne. Après deux âges d'or, au tournant des deux siècles, puis dans l'entre-deux-guerres, le règne du paquebot s'est estompé pour laisser place à l'avion. On distingue deux types de paquebots. Les paquebots de lignes (dont les plus célèbres sont les transatlantiques) sont affectés à des lignes régulières pour le transport de passagers et de courrier. Ce type de paquebot a majoritairement disparu dans les années 1960/1970. Les paquebots de croisière assurent pour leur part des voyages touristiques en diverses parties du globe et représentent, au début du 21e siècle, l'écrasante majorité des paquebots. Les paquebots ont laissé une forte empreinte dans la mémoire collective. Certains comme le Queen Mary ou le France sont ainsi devenus de véritables symboles nationaux, tandis que d'autres comme le Titanic ont frappé les esprits par leurs malheurs. Ils ont également inspiré le cinéma et la littérature, contribuant à créer un véritable " mythe du paquebot ". Ce livre vous ouvre les portes du mythe. Le livre La traversée des océans au temps de la voile était une aventure incertaine et parfois dangereuse. A travers des témoignages de voyageurs, Philippe Rouyer fait revivre les plus belles heures du tourisme maritime : de l'invention des machines à vapeur à leur modernisation, c'est l'ère industrielle qui se déploie devant nous. L'accent est également mis sur la clientèle des paquebots : de la classe privilégiée aux voyageurs d'affaires ou encore aux voyageurs de troisième classe, nombreux témoignages et articles d'époque font état de ce qu'étaient le luxe des croisières et leurs dangers. Une analyse des différents incidents de navigation, ainsi que des célèbres naufrages, vient étayer le propos et illustrer les besoins d'améliorations ou de recours à la technologie effectués tout au long du XXe siècle pour rendre les croisières les plus calmes possibles.

03/2018

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Photographie

Architectures de terre dans l'Ouest africain. Bleu à l'ombre, ocre au soleil

Mallarmé disait que le monde était fait pour aboutir à un beau livre. La formule était ironique, mais, s'ils réduisent incontestablement le monde, les livres ont aussi le mérite de mettre leurs lecteurs en mouvement : ils invitent à voyager, à comparer, à penser, à imaginer. Celui-ci résulte de l'association de deux photographes, Cécile Tréal et Jean-Michel Ruiz, pour les images, et d'un anthropologue, Jean-Paul Colleyn, pour le texte. Ensemble, ils donnent un aperçu des architectures de terre dans des sites particulièrement intéressants du Mali, de Mauritanie, du Maroc, d'Algérie et de Tunisie. Le lecteur voyageur s'invite dans un monde de déserts, de dunes, de montagnes, de gorges, de savanes, de forêts de gommiers, de buissons d'acacias et de tamaris ; un monde de vent, de pierre, de sable et de terre ; un monde de modestes masures et de palais, de ksour et de casbahs, de mosquées frustres ou sublimes, où vivent ou vécurent bergers, guerriers, commerçants, jardiniers, marabouts, savants et poètes. Cet ouvrage se concentre sur les architectures de terre crue, en évitant le ciment, la tôle et les pelotes de câbles électriques. Il ne s'agit pas de "couvrir" toit les aspects de la réalité contemporaine, mais d'évoque ne tradition enracinée dans le passé, qui a encore un bel avenir devant elle. Les architectures du Maghreb et du Sahel ont fait rêver les cinéastes en quête de sites bibliques ou de royaumes moyenâgeux, mais un pays ou une région ne vit pas que d'images. Des questions de sauvegarde du patrimoine, d'émigration, d'impact du tourisme, de sécurité publique, d'avenir des oasis, d'agriculture irriguée, de commerce transsaharien, d'élevage extensif se osent de manière lancinante, qui font peser sur ce type 'd'architecture une menace certaine. La prise de conscience de l'irrémédiable perte que constituerait sa disparition souligne toutefois les savoirs et les enseignements dont elle est porteuse. Le déplacement dans l'espace fait voyager dans le temps. La terre d'Afrique fut depuis toujours parcourue par des groupes de migrants qui laissèrent leurs empreintes. Mais, pour les bâtisseurs, la terre crue appartient-elle définitivement au passé ? Non, sans doute, car elle demeure au sens littéral la première matière première : elle est disponible sur place, porte la couleur locale et est "durable" en raison même d'une fragilité qui n'abîme quasiment pas l'environnement.

04/2016

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Revues

Reporters d'Espoirs N° 2, printemps-été 2023 : Nature : Vous n'avez encore rien vu !

" Nature : vous n'avez encore rien vu " : Reporters d'Espoirs, la revue des reportages qui donnent envie d'agir, publie son numéro 2 ! Elle nous prodigue les ressources nécessaires à notre vie quotidienne. Elle nous fait évoluer dans un environnement propice au repos, à l'épanouissement, à la rêverie. Et son génie nous promet bien plus encore... A nous d'agir pour permettre à la nature de continuer de nous émerveiller. La nature est une aventure qui n'a pas fini de nous étonner ! La revue Reporters d'Espoirs lui rend hommage, en vous offrant sur elle un regard à 360 degrés. Dans ce numéro : le "meilleur' des reportages sélectionnés pour vous dans la presse française et internationale, une myriade d'initiatives concrètes, des interviews, débats et portraits, des rencontres avec des personnalités et des acteurs de solutions. [REPORTAGE PHOTO] Plongée en eaux profondes avec Laurent Ballesta [AFRIQUE] Quand le plus grand troupeau d'éléphants réinvestit ses terres d'origines [COLOMBIE] Les anciens guérilleros des Farc se lancent dans le tourisme vert [ETATS-UNIS] L'entreprise Patagonia redonne à la Terre [OCCITANIE] Des jeunes à l'école de la transition écologique [LANGUEDOC] Des vignerons testent des cépages plus résistants à la sécheresse et moins gourmands en eau [HAUTES-ALPES] Puy-Saint-André, village modèle de la transition [COTE D'AZUR] Ces petites mains qui font les grands parfums [PORTRAIT] Patrick Roger, lanceur d'alertes chocolatées [CHRONIQUE] "De la Bretagne au Panama : mes destinations et initiatives coup de coeur', par Sophie Jovillard [DEBAT] Ecologie : jusqu'où les médias doivent-ils s'engager ? Valérie Masson-Delmotte / Jean-Francis Pécresse [GRAND REPORTER D'ESPOIRS] Denis Cheissoux, Co2 mon amour : 30 ans d'écologie sur les ondes [RENCONTRE] Evelyne Dhéliat, miss météo préférée des Français En achetant cette revue vous soutenez Reporters d'Espoirs, l'association pionnière du "journalisme de solutions' depuis 2004. Reporters d'Espoirs parcourt la France et le monde pour dénicher des initiatives qui améliorent la vie et l'économie, le lien social et notre rapport à l'environnement. Elle mobilise les journalistes et leurs médias pour qu'ils en diffusent la connaissance auprès du plus grand nombre. Pour nous donner à voir le monde qui avance et se construit, pour relayer les raisons de croire en l'avenir, et pour démultiplier les réponses aux problèmes d'aujourd'hui. La revue qui inspire et donne envie d'agir www. reportersdespoirs. org

05/2023

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Littérature française

Stark ; Le promontoir du songe

Le promontoire du songe est un court texte écrit par Victor Hugo entre 1860 et 1865. C'est un texte en deux parties dont nous avons choisi de n'éditer que la première. Lorsqu'en 1834, Victor Hugo rend visite à son ami Arago à l'Observatoire, ce dernier lui fait regarder la lune au télescope. D'un coup il déborde, s'emballe ; il rêve. Cette image de la lune grossie quatre cents fois emmène son esprit plus loin qu'il n'a jamais été : au-delà des limites de son imaginaire qu'il avait pourtant déjà repoussées. Alors, il trouve satisfaction dans les tout petits silences dispersés cà et là, qui ne sont rien d'autre que l'aveu d'être face à quelque chose de si beau que tous les mots du monde ne sauraient s'en saisir. Stark est une nouvelle écrite par Nina Leger en 2018, en réponse au Promontoire du songe. Il s'inscrit entre le témoignage et la biographie, et raconte comment fut perçu le premier pas sur la lune de Neil Armstrong en 1969. Prenant le contrepied du lyrisme hugolien, elle décrit avec une précision chirurgicale chaque étape de ce voyage hors normes. Quel effet eut sur l'imaginaire ce premier pas historique ? Stark est un texte résolument contemporain, au jour où le premier touriste est sur le point d'effectuer un voyage sur la lune avec des invités. Il rappelle que l'Histoire rend possible l'impensable et que l'Homme ne cessera d'avancer pour déconstruire les mythes. En croisant ces deux textes, l'un et l'autre résonnent différemment, et interrogent la notion de progrès. Leur mise en tension révèle un troisième texte cohérent, rythmé et profondément dialectique : la lune est-elle toujours le reflet de l'insaisissable ou l'Histoire l'a-t-elle transformée ? C'est au lecteur d'y répondre.

11/2018

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Poésie

Le bonjour de Christopher Graham

Qui est Christopher Graham ? Pour le savoir, il faudra, entre autres, participer au barbecue organisé par un directeur de prison haute sécurité, dans le voisinage d'un vétéran du Vietnam surveillant sa boîte aux lettres avec un fusil d'assaut ; flâner à Harvard et contempler longuement "La Comtesse noire" ; plonger dans le milieu LGBT, après avoir évoqué Simone de Beauvoir et Nelson Algren dans un obscur bar de Santa Barbara. D'Ouest en Est ; du Chinatown de San Francisco à la Mulholland Drive de Los Angeles, de Boston et des collines algonquiennes du Massachusetts jusqu'à Provincetown, des histoires se répondent et des aventures se succèdent. Le narratif et le prosaïque se mêlent au lyrique, à la satire aussi bien qu'à la tragédie... "Le Bonjour de Christopher Graham", ce sont 37 poèmes de formes fixes, "traditionnelles", en voie de disparition, pour évoquer paradoxalement les USA dans toute leur contemporanéité. Passé-présent-futur comme liés par un point de fuite au travers de ballades, terza rima, triolets, pantoum, contrerimes, rondeaux, sonnets, augmentés de dizains de formes entièrement inédites. Loin des clichés romantiques tendant à présenter le voyage comme une quête d'authenticité, ce séjour sur le continent nord-américain est celui d'un poète observant le pays avec acuité, humour, ironie mais aussi bienveillance. Le "voyage" y est mis en doute en ce qu'il peut relever de l'illusion à l'ère de la mondialisation. Les notions de "voyageur" et de "touriste", en apparence irréconciliables, y sont convoquées et redéfinies. Si tout est "vrai" dans ce livre de poèmes, tout nous rappelle, dans le même temps, que rien n'est plus fictif que la vie d'un homme. Une ode picaresque à la liberté du geste et du mouvement. Guillaume Decourt est un poète et pianiste classique né en 1985. Son travail, traduit dans une dizaine de langue, s'inscrit dans une poésie narrative de forme fixe. Il a déjà publié dix livres de poésie.

03/2023

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Littérature française

Vertige de l'hélice

Un soir de décembre 1889, sur les quais de Cadix, la silhouette d'un petit homme entre deux âges, coiffé d'un feutre fatigué, attire les regards. Charles Sanois se prétend négociant en vin, il a fui Paris, le deuil de sa mère et l'épidémie de grippe asiatique se propageant dans le monde entier. Il s'apprête à embarquer, rêvant d'azur et de paix. Pendant ce temps, la panique gagne à l'Opéra de Paris : le compositeur d'Ascanio, le célébrissime Camille Saint-Saëns, a disparu. On est à quelques semaines de la première et les répétitions virent au cauchemar. Sur la Grande Canarie, Sanois — alias Saint-Saëns — panse ses blessures : la mort de sa mère adorée a ravivé le chagrin d'autres pertes, notamment le suicide de son mentor et très cher ami Albert Libon. Ici, le musicien au faîte de sa gloire, dont l'absence suscite dans son pays les rumeurs les plus folles, savoure les joies simples d'une vie anonyme. Quand, dans une rue de Las Palmas, il entend jouer sa Danse macabre, il n'y résiste pas et fait irruption dans la riche demeure d'où s'élève la mélodie au piano. Sa brève rencontre avec le jeune portier va changer le rythme de ses jours. Jonay dès lors lui sert de guide, lui dévoilant la puissance tellurique de son île. Le quotidien solitaire de l'artiste en mal de consolation se transforme en un exaltant pas de deux entre ces êtres que tout semble séparer... Et si, trois mois après son arrivée, Saint-Saëns, reconnu par une touriste, est forcé de mettre un terme à son échappée, il aura vécu au grand jour une parenthèse solaire et sensuelle, inimaginable sous sa véritable identité. Il en résulte, sous la plume allègre et inspirée de Vincent Borel, un somptueux portrait de l'artiste renaissant à lui-même sous l'intense lumière de l'Atlantique.

10/2021

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Architecture

Abbaye d'Orval

Ce livre est essentiellement constitué de photos. Elles parlent pour elles-mêmes et n'ont pas besoin de beaucoup de commentaires. La première partie vous familiarise avec la vie monastique en ce qu'elle a de principal, d'essentiel. La deuxième montre précisément ce qui déborde et se partage comme un trop-plein de sens qu'on ne peut garder pour soi. L'accueil et l'hospitalité monastiques n'ont pas d'autre but. Rien que des photos ? Mais vous voulez aussi comprendre. Jean-Marie Lecomte a trouvé en la personne de Patrice Halleux un précieux collaborateur. Celui-ci, dans la troisième partie, s'adresse surtout au touriste, au visiteur des ruines. Orval est autre chose que des vieilles pierres. Il y a des énigmes. Pourquoi une abbaye et trois monastères ? Pourquoi des ruines à côté d'un lieu aujourd'hui habité par une communauté et fréquenté par beaucoup de visiteurs et de personnes à la recherche de sens ? En parlant, en racontant, l'écrivain dépasse le moment instantané. Il donne du relief à ce qui se voit. Il parle même de ce qui ne se voit pas. Il explique la cohérence là où le visiteur non averti ne verrait qu'éclatement et morceaux épars. Prenant Orval comme exemple, il montre – et démontre – que la vie est une recherche continuelle. Pour les moines qui ont vécu ici ou y vivent maintenant la recherche de Dieu, il est interdit de stagner dans la vie. Toujours la vie avance et intègre des nouveautés. Certaines choses disparaissent, parfois violemment. Mais sur les ruines on peut construire aussi du neuf. Orval, c'est tout cela. Voilà pourquoi Orval est un signe d'espérance. Depuis neuf siècles et demi on y a cru pour vivre. Et recommencer en cas de besoin. Sans répéter à l'identique. C'est notre foi. Et notre expérience. Bienvenue, cher lecteur. Si ce livre vous fait partager un peu cette conviction, alors il rejoint notre plus profond désir. Le désir du moine, du photographe et de l'écrivain.

05/2021

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Décoration

Pourvu qu'on ait l'ivresse. De l'alcool à l'extase : un voyage mondial à travers les arts et les lettres

Au sens propre, l’ivresse vient d’un joyau végétal, soit la vigne, soit des céréales transformées en boisson, source de vie. Mais les symboliques se sont emparées dès l’Antiquité de cette transformation mentale, de cette métamorphose de la conscience, au-delà de la raison, de la logique, de la prison du réel. Parente de la folie, de la transgression, du rêve, l’ivresse première, celle du vin et de tous les alcools, boissons et «eaux-de-vie», suscite dès l’Antiquité de superbes symboliques. En Grèce, c’est le dieu contesté Dionysos, repris par les Romains sous le nom de Bacchus, entraînant des cortèges de ménades, de satyres, de bacchantes, mêlant exaltation et sexualité, violence «comique» (le komos grec est un cortège priapique) et plaisir. C’est aussi la vigne, don divin, qui provoque chez l’innocent patriarche Noé un scandale associant l’impudeur à l’inconscience. Célébration de la vie, l’ivresse est sacrée. Ses effets sont excessifs et contradictoires. L’ego ebrius est seul dans la communion affective du Banquet selon Platon. L’ivresse est associée aux artifices dangereux des paradis imaginaires. De même que le dieu-monstre Dionysos, inspirateur de toute création, est rejeté au nom d’Apollon, mais actif en nous, l’ivresse est condamnée et célébrée. Les éducateurs spartiates enseignent à leurs enfants le mépris de l’ilote ivre ; Rabelais exalte les «bien ivres», adorateurs de la Dive Bouteille. Car l’ivresse, pouvoir physique de boissons divines, s’évade vers d’autres vertiges. Amoureux, mystiques, transcendants, fervents, témoignent tous d’ivresses sans nul alcool. Ils ou elles sont ivres de passion, de bonheur, de Dieu, d’humanité, mais aussi ivres de pouvoir, d’argent, de colère, de haine… Le domaine privilégié des ivresses immatérielles est certainement celui de la création artistique et poétique, jusqu’à l’exigence du «dérèglement de tous les sens» (Rimbaud). Et existent aussi l’ivresse du savoir, de la raison, celle du mathématicien, celle de l’ingénieur. Selon les époques et les civilisations, on perçoit des territoires majeurs de l’ivresse : Antiquité gréco-latine, Moyen Age occidental, islam arabo-persan, Chine et Japon, avec leurs poètes, leurs artistes, leurs musiciens, leurs penseurs, leurs mystiques. Dans l’ivresse de la découverte ou celle de la reconnaissance, on en évoquera, on en citera les plus inspirés. Enfin, un parcours de mots, parmi les métaphores de l’ivresse, scellera l’accord avec les créations calligraphiques et plastiques de Lassaâd Metoui. En effet, le texte proposé dans cet ouvrage ne prendra sens que par ces créations visuelles et colorées, qui, outre l’évocation des grands thèmes interculturels évoqués, fera allusion aux grandes ivresses poétiques et artistiques d’Occident et d’Orient, à Matisse comme à Hiroshige, à Baudelaire comme à Hâfiz ou à ce poète du Ve siècle chinois, Tao Qian, qui intitulait «Ivresse» ou «En buvant» ces vers : «Qu’est-ce, dans ce monde/De permanent ? Les montagnes de vain hasard/Je les surmonte maintenant/Sans rêves illusoires/Sans l’ivresse». Montrant ainsi que l’on ne rejoint la paix heureuse qu’en buvant pour mieux aller au-delà de l’ivresse du réel, vers le tao, sans doute.

11/2015

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Littérature érotique et sentim

U.S. Marines - Tome 1. Le temps d'une permission

Alors qu'elle a quitté Londres pour s'installer en Caroline du Sud, Livia fait la rencontre d'un militaire américain en permission. Livia décide de quitter Londres et ses mondanités pour vivre l'aventure en Caroline du Sud, à Beaufort. Pour la blonde sophistiquée et citadine, c'est le dépaysement total et la quête frénétique de la nouveauté. Le séjour américain devient une passionnante odyssée le soir où elle fait la rencontre fortuite de Hudson Rowe, un impétueux capitaine au regard de jade, en permission d'un mois avant le retour au front... Découvrez le premier tome de la saga à succès U. S. Marines et plongez dans une histoire d'amour unique et sensuelle ! EXTRAIT - Mesure tes paroles, Lawrence. Ce n'est pas parce que tu as cinquante-cinq ans que je te permets d'employer ce ton caustique lorsque tu parles de moi. Je reste ta mère, celle qui t'a porté dans mon ventre. Sans moi, tu ne serais rien. Et je te rappelle que ce trou perdu, comme tu aimes à le surnommer, est le pays d'où je viens. Je ne l'aurais jamais quitté si ton père n'était pas venu pour y faire du tourisme, avant de me rencontrer et de me demander de l'épouser. Tu devrais être fier de Beaufort. Et si ta fille décide d'y vivre un temps, tu n'as aucun droit de l'en empêcher. Livia habitera dans la magnifique demeure que j'occupais autrefois avec mes parents à Old Point, dans le quartier historique. Aujourd'hui, c'est Scarlett, la petite-fille de ma défunte soeur qui l'occupe toute seule. Ce sera l'occasion pour ces deux jeunes cousines de faire connaissance... Depuis le temps ! CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE Arria Romano, une auteure à suivre pour les amatrices de sexy militaires et de jeunes femmes qui souhaitent prendre leur vie en main - missnefer13500, Babelio L'intrigue est prenante et j'ai très envie de connaître la suite. Je file lire le tome 2 ! - merlin63, BookNode Une belle histoire, rapide tout en restant crédible. Les personnages sont très attachants, surtout Hudson le capitaine à couper le souffle... On espère une fin heureuse ! - raphMK, BookNode A PROPOS DE L'AUTEURE Arria Romano étudie l'histoire militaire à la Sorbonne et est passionnée de littérature et d'art. Elle écrit depuis quelques années des romans historiques et des romances, qu'elles se vivent au passé, au présent ou même nimbées d'un voile de magie... Tant que l'amour et la passion restent le fil rouge de l'intrigue.

08/2019

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Histoire de France

La Troisième République au Village. Une vie du docteur Belletrud (1856-1934)

Michel Belletrud, médecin et homme politique, fut un administrateur avisé et entreprenant, toujours à la recherche de solutions nouvelles, de projets d'ensemble audacieux. Comme médecin et directeur des asiles d'aliénés de Rennes, du Mans et de Pierrefeu dans le Var, il cherche inlassablement à soulager les malades et à apporter des conditions de vie décente aux infirmiers. Comme maire de Cabris (à partir de 1911), puis comme conseiller général (à partir de 1922), il mène une politique hardie à partir d'un constat : les villages du canton de Saint-Vallier se dépeuplent inexorablement et se meurent. Il faut donc sortir le pays de son isolement. Le programme que poursuit avec acharnement le docteur Belletrud se résume en trois points : développement de l'agriculture, création d'un système d'irrigation, construction de routes. L'agriculture doit s'enrichir par l'introduction de nouvelles techniques et de nouvelles cultures. Ces transformations ne seront possibles que si les villages possèdent un système d'irrigation efficace. Ce sera sa préoccupation principale, laquelle aboutira, en 1931, à la construction du canal qui porte son nom. Produire plus procurera des revenus supplémentaires, mais encore faut-il pouvoir aller vendre le surplus des récoltes. C'est pourquoi le docteur Belletrud cherche aussi à désenclaver le pays par de nouvelles routes qui permettront d'atteindre plus facilement les villes voisines et qui développeront le tourisme. Pour réaliser ce programme, il s'oppose à l'appétit sans partage des élus des villes de la côte et particulièrement de Nice. C'est dans ce but qu'il oeuvre au conseil général et qu'il se présente aussi aux élections de la chambre d'agriculture, élections dans lesquelles il se heurte non seulement au solide lobby des horticulteurs d'Antibes, mais aussi au préfet. A l'issue de ce dernier scrutin où il a emporté les suffrages, il ne peut s'empêcher d'écrire à "son cher préfet" une lettre qu'il ne postera pas, mais qui, dans son apostrophe finale, résume bien ses engagements successifs : "Quant à moi, j'ai choisi le côté des pauvres, des travailleurs, de ceux qui en définitive "hériteront la terre". Le parcours du docteur Belletrud comme médecin et comme homme public, n'a été possible que grâce à son caractère résolu et pugnace, grâce aussi à une vision d'ensemble des problèmes de sa région. Il n'a "lâché" prise devant aucun obstacle. Guidé par ses convictions politiques tout au long de sa vie, le docteur Belletrud est assurément une figure de la Troisième République.

06/2011

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Littérature anglo-saxonne

Rends-moi fière

"Lorsque apparaît la nouvelle lune, les vagues se font plus bruyantes. Elles s'écrasent sur le rivage, poussées par une force invisible. Thandi s'allonge sur le dos au fond de la coque et les écoute. Elles parlent à son coeur, à la colère qui bout en elle". Jamaïque, petit village de pêcheurs. Une famille ? : la mère, Delores, qui vend des pacotilles aux touristes américains. La fille aînée, Margot, qui ne recule devant rien pour avoir le droit à une autre vie. Et Thandi, encore adolescente, aussi brillante lycéenne que jeune fille en plein désarroi. Trois femmes "? empêchées ? " , à la fois d'être ce qu'elles veulent, mais aussi de faire preuve de tendresse ou de sincérité, au risque de paraître faibles. Or ce qu'elles ont de commun, c'est leur force. Avec ce premier roman, Nicole Dennis-Benn évoque tout à la fois la dynamique explosive des relations familiales et amoureuses, la sexualité, l'homophobie, la prostitution, le racisme, mais aussi la vie de la classe ouvrière jamaïcaine et l'aspect destructeur du tourisme. Un roman magistral. "? Courageux, habile et ambitieux. Les lecteurs de cet important premier roman découvriront sans nul doute la Jamaïque sous un jour nouveau. ? " The New York Times "? Eblouissant. ? " The Guardian "? Un premier roman qui vous étourdit à tout bout de champ. ? " Marlon James "? Dennis-Benn décrit en termes émouvants la façon dont les distinctions et la stigmatisation sociales limitent la liberté individuelle, ainsi que ces compromis qui donnent un frêle espoir de s'en sortir. ? " BBC "? Troublant et superbement élaboré, ce roman magique est l'oeuvre d'une auteure au talent et à l'intelligence remarquables. ? " Kirkus Review "Impossible à oublier... Le style de Dennis-Benn est aussi exubérant que la végétation de l'île... [Elle] sait rendre ses personnages féminins assez complexes pour que chacune des péripéties de son histoire soit crédible". The Boston Globe "[Un] portrait frappant d'une communauté pleine de vie dont tous les membres sont liés et dont chaque acte entraîne des répercussions, et [une] description fournie du processus par lequel la honte transforme le désir en soumission". Publishers Weekly "Un des romans les plus éblouissants de ces dernières années... Une pure merveille". NPR Lauréat du prix Lambda Literary Nicole Dennis-Benn est née et a grandi à Kingston, en Jamaïque. Elle vit aujourd'hui à New York et enseigne à Princeton. Rends-moi fière est son premier roman, déjà disponible aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, au Brésil et en Corée.

08/2021

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Vente (Bac pro)

Accompagner et satisfaire le public 1re et Term Bac pro - Livre + licence élève - 2023

Cet ouvrage consommable est conforme au référentiel du Bac Pro Métiers de l'Accueil, et rassemble les dossiers qui traitent de l'accueil du public en face à face et à distance. Toujours dans la même collection plébiscitée par les enseignants, il est proposé au choix en livre papier + licence numérique i-Manuel ou en 100% numérique i-Manuel. En version imprimée, cet ouvrage propose en complément une licence numérique i-Manuel 2. 0, la solution pour mettre les élèves en activité sur ordinateur ou sur tablette. >> Les infos pratiques sur le i-Manuel 2. 0 à découvrir ci-dessous Structure d'un dossier - Une vidéo pour introduire chaque dossier. - Des activités proposées sous forme de missions : - les élèves sont en situation dans des entreprises réelles ou réalistes de secteurs variés (tourisme, commerce, services à la personne, transports, banque, services publics...) ; - des consignes sous forme de dialogue, mail, message écrit ou oral sont données par le tuteur pour mettre en oeuvre les compétences et les notions du dossier. - Une synthèse active adaptée à tous les types de mémorisation : schéma, audio, texte. - Des applications progressives pour retravailler les compétences dans de nouveaux contextes. Jeux de rôle multilingues Ils permettent d'entraîner les élèves à l'oral de manière ludique, avec la possibilité de piocher une carte " billet d'humeur ". Ils sont disponibles en français et en anglais dans l'ouvrage, et téléchargeables par QR Codes en espagnol et en allemand. Scénarios Ils permettent de croiser les compétences et de les travailler de manière active, par groupe, avec des supports informatiques et des travaux à réaliser oralement. Préparation à l'examen Une étude de cas sur les compétences du bloc 3 est proposée pour préparer l'épreuve écrite E2. Nouveau dans cette édition 2023 : - Une grille d'autoévaluation, à remplir au fur et à mesure, permet à l'élève de suivre sa progression. - Un dossier " Conseils et outils " pour la 1re/Tle est disponible en début d'ouvrage (créer son profil LinkedIn, rédiger son projet de formation motivé sur Parcoursup...). - Un carnet de bord du chef-d'oeuvre est proposé pour créer, suivre et présenter son projet à l'aide d'outils numériques. - Les missions ou applications qui font appel à des compétences Pix sont balisées. - En plus, accessibles par QR Codes : - Des activités bonus " A vous de jouer " pour favoriser l'animation de la classe (jeux de rôle, quiz, etc.) ; - Des séquences de co-intervention Français et Mathématiques ; - Des questions supplémentaires qui font le lien avec le programme d'Economie-Droit ; - Des synthèses audio et des quiz interactifs.

04/2023

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Littérature française

Un long voyage ou l'empreinte d'une vie Tome 26 : Le rêve en miettes

Au terme de sa saison 1955, Louis a rejoint Nadine, non plus dans leur sordide logement du village, mais dans une petite maison flambant neuve, la Quinta, construite sur la terrasse supérieure de leur terrain si bien placé ; en bas, la vallée, à l'horizon, l'Estérel, et au-dessus, l'azur immense. Pour elle, Louis a payé de sa personne, ô combien ! Mais du papier bleu l'y attendait : le jugement de son divorce d'avec Henriette, qui lui impute tous les torts. Le recours : Jenny, une de ses voyageuses, infirmière de nuit chez une avocate parisienne de renom (tome 25). A la Quinta, l'électricité vient d'être installée. Avec l'eau sur l'évier - auparavant il fallait monter les seaux -, c'est presque le grand luxe. Pour le reste : l'immatériel, le curé de la paroisse l'apporte à Louis sous la forme d'une chronique de son sacerdoce auprès des mécréants d'Esclarmont. A charge pour lui d'en faire un véritable roman. Par prudence, le prêtre ne signera pas, la moitié des droits d'auteur lui suffira. Louis se prend au jeu, et après des mois d'un labeur qui exalte sa spiritualité, l'oeuvre est soumise à un éditeur parisien. Mais celui-ci hésite, et finit par renoncer, effrayé par les conséquences d'un tel brûlot sur l'Eglise. Si Louis s'en désole un moment, Nadine en est secrètement satisfaite : un succès, et son Louis trop courtisé, auraient constitué pour elle une menace. Nouvelle saison 1956. Cette fois, Louis écope du voyage ininterrompu, sans repos intermédiaires. Conditions si dures qu'il se décide à proposer ses services au Tourisme Français, une agence établie de longue date, qui s'empresse d'accepter son offre pour la prochaine saison. Auparavant, le pavillon au fond de la terrasse est sorti de terre, ouvrage d'un nouveau maçon à la réputation d'un coureur de jupons, et aux yeux bleus qui feraient la beauté d'une femme. Autre bonne nouvelle : l'appel du jugement de divorce a renversé les torts, et Louis conserve la garde d'Armel, leur fils de quatorze ans. Cette félicité va cependant être troublée par l'influence délétère sur Nadine d'une postière retraitée, qui lui apporte les livres d'un gourou allemand dont elle s'entiche. Avec pour effet le déclin de l'emprise intellectuelle et morale que Louis a toujours eue sur sa maîtresse. La saison 1957, particulièrement longue, va encore élargir la fêlure...

01/2022

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Poésie

Le Galaté au Bois. Edition bilingue français-italien

- Andrea Zanzotto : " Le Galaté au bois " (Il Galateo in bosco) Le titre, pour partie néologistique en français, emprunte au célèbre traité des règles de savoir-vivre de Monsignor Della casa, intitulé en italien Galateo, oppose culture (les règles sociales) et nature (bois touffu). Il s'agit du premier volet (1978) de la trilogie de la maturité du poète que le plus grand critique italien du siècle dernier, Gianfranco Contini a tenu à présenter. C'est aussi le seul recueil de cet ambitieux projet poétique à ne pas être aujourd'hui disponible en français. Les deux autres pans dudit triptyque, " Idiome " (1983) et " Phosphène "s (1986), sont tous deux présents en librairie. L'ouvrage prend pour thème un lieu défini, celui de la forêt du Montello situé au sud du bourg où le poète est né. Cette région s'avère particulièrement riche en sédiments historiques, échos, réseaux et figures. Là se dressent, par exemple, les ruines d'une grande abbaye où vécu Monsignor Della Casa, dans ces mêmes parages évolua la poétesse de la Renaissance Gaspara Stampa. Ce fut aussi un champ de bataille durant la première guerre mondiale et, de tout temps, un refuge pour les marginaux. Ces éléments, ici rapidement évoqués à titre indicatif, campent un sud et son histoire érodée reconduite à ses bribes surnageant dans l'histoire locale sous forme de fourmillantes historiettes, citations mémorables, épiphanies diverses. Cet enchevêtrement de temporalités dissemblables détermine un mélange stylistique familier aux lecteurs italiens : celui d'un plurilinguisme dont le Dante de la " Divine Comédie " est l'épigone. Autrement dit, la rencontre de styles diversifiés appartenant à des âges différents, tous dûment déhiérarchises dans une promiscuité généralisée mêlant mémoire littéraire, onomatopées, oralité : du sublime au trivial. Cet encyclopédisme langagier se révèle comme le juste rendu stylistique d'une histoire s'offrant tout à tour comme enfouissement et surrection, survivance et oubli, dont la faille périadriatique traversant de part en part la géographie concernée est aussi une métaphore seyante. Une syntaxe inattendue en résulte dans laquelle l'articulation est dévolue non au mot mais, le plus souvent, à des séquences verbales hétérogènes : accidenté, seul leurs heurts, chevauchements, juxtapositions, télescopages assoit le sens. L'histoire littéraire s'en trouve remaniée d'autant : paradoxalement, des styles distincts appartenant à des ères différentes finissent par y tenir un seul et même discours. Les styles mis en oeuvre sont ainsi arrachés à leur historicité pour vérifier la circulation du symbolique qu'ils viennent vérifier par-delà toute prétendue clôture : de langues en langages irréductibles. D'un italien d'une littérarité soutenue à un dialecte simplement parlé, par exemple. La critique italienne y a vu non seulement l'oeuvre maîtresse du poète de Vénétie mais également le chef-d'oeuvre le plus original de la poésie cisalpine du XXe siècle, qui en compte pourtant beaucoup d'autres. Au-delà, on peut tenir pareil recueil pour " généalogique " (dans une acception non nietzschéenne du terme) dans la mesure où prenant conscience du caractère suranné d'une tradition, l'européenne à travers l'italienne, ce recueil opère, idéalement et réellement, une synthèse de toutes les traditions précédentes, un peu comme Rabelais en son temps vis-à-vis de la tradition médiévale, et, cela, rien que pour donner un futur au genre poétique. Au reste, sa temporalité n'est-elle celle d'un futur antérieur (titre d'un célèbre poème de " Phosphènes " : " Futurs simples - ou antérieurs ") ? (Philippe Di Meo)

03/2023

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Bordeaux

Bordeaux Grands crus. La reconquête

Propriétaire de Château Lynch-Bages, grand cru classé de Pauillac, Jean-Michel Cazes est une figure internationale du vin. Il a contribué à faire entrer le vignoble bordelais dans la modernité et témoigne des bouleversements du monde viticole depuis 50 ans. "Le vin est pour moi, comme le pain, la base de toute nourriture. C'est le breuvage essentiel, synonyme de culture, de bonheur, d'art de vivre. Chaque bouteille qui dort dans ma cave contient un univers : la géographie et l'histoire du lieu qui l'a vue naître, le sol, la plante, le climat, un savoir-faire... Un univers prêt à s'échapper et à renaître, comme le génie de la lampe d'Aladin, à la première et unique occasion". Après un âge d'or couronné par le classement de 1855 qui a fait des crus de Bordeaux les vins les plus célèbres du monde, le vignoble bordelais a mis du temps à intégrer les mutations des XXe et XXIe siècles. Jean-Michel Cazes a été le témoin de la crise des années 1970 qui a vu l'aura de Bordeaux ternir et le prix de ses vins s'effondrer. Il a été un acteur majeur de leur renouveau et leur ambassadeur infatigable. L'histoire familiale et le parcours personnel de cet entrepreneur enthousiaste, viti-viniculteur dans l'âme, font de son livre une véritable saga. Son expérience et ses réflexions avisées sont autant de clés pour déchiffrer le patrimoine et le fonctionnement complexes des grands crus de Bordeaux. - 1985 : L'astronaute Patrick Baudry emporte à bord de la navette Discovery un Château Lynch-Bages. - 1988-1992 : Lynch-Bages, puis Pichon-Longueville sont classés n° 1 des 100 most exciting wines établie par le magazine américain Wine Spectator. - 2003 : Jean-Michel Cazes est élu Man of the Year par le magazine anglais Decanter. - 2007 : Wine Spectator lui décerne le Distinguished Service Award. - 2011 : Jean-Michel Cazes reçoit de l'institut des Masters of Wine le Lifetime Achievement Award. - 2016 : Lynch-Bages & Cie est sacré Global Best of Wine Tourism par le réseau des vignobles de renommée internationale (Espagne, France, Afrique du Sud, Allemagne, Argentine, Portugal, USA, Chili).

05/2022

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Littérature française

Un long voyage ou l'empreinte d'une vie Tome 20 : Le guide-courrier

UN LONG VOYAGE ou L'empreinte d'une vie est le parcours d'un homme, Louis Bienvenu, qui naît avec le siècle (le 20e) et meurt avec lui. Cet homme n'a jamais attiré l'attention sur lui, ni réalisé aucun exploit susceptible de lui valoir la manchette des journaux. Et pourtant ce voyage, tant vers les autres qu'au bout de lui-même, est plus long et plus riche que celui accompli par la plupart de ses contemporains. La soif de ressentir et de comprendre, l'élan vers la poésie et la beauté sous toutes ses formes, et la quête de l'Amour avec un grand A, le filial d'abord, puis celui de l'autre sexe, en sont les fils conducteurs. Les six femmes qu'il a aimées, à commencer par Germaine, sa mère, ponctuent justement les six Epoques chronologiques de cette vaste fresque. De sa retraite bourguignonne (tome 19), Louis est revenu en catastrophe à Paris après le télégramme d'Henriette. Dès le lendemain, il doit accompagner une caravane sur un tour d'Espagne pour le compte de la Compagnie Internationale de Tourisme. Quinze personnes : trois couples, une majorité de femmes, tous ont voulu visiter ce pays qui, en 1949, sorti d'un conflit meurtrier, ostracisé pour son régime, commence seulement à s'ouvrir au monde. Le circuit est boudé par les chauffeurs pour son médiocre réseau routier, qui porte encore les stigmates de la guerre. Aussi l'agence lui a-t-elle affecté un P45, véhicule bruyant, sans micro ni climatisation, et pour le conduire, une nouvelle recrue qui n'avait pas d'autre choix. Sans compter Louis, qui n'a pour tout bagage que sa connaissance de la langue. Après quelques erreurs de débutant, il s'adapte, et même surmonte deux imprévus majeurs sur lesquels le plus chevronné des guides-courriers aurait pu se casser les dents : l'absence de visa sur le passeport du chauffeur, qui leur ferme la frontière et, à Burgos, de réservation à l'hôtel, qui va le contraindre à chercher des chambres chez l'habitant. Manques qu'il soupçonne être le calcul d'un certain Valdériès, chef des guides et seul hispanophone, qui avait déclaré forfait au motif du refus d'une augmentation. Loin du fiasco annoncé, selon le chauffeur, par cet oiseau de malheur, le voyage se déroulera sans autres incidents. Et au retour à Paris, dominant la fatigue, la satisfaction se lira sur les visages. En particulier chez Louis, fasciné par ce pays si différent, auquel le rattache, il le ressent intimement, la longue lignée de ses ancêtres paternels. Mais la saison se poursuit, bientôt il doit repartir.

12/2019

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Mer

Grèce Mer Ionienne. Iles ioniennes, Péloponnèse, golfe de Corinthe, Crète, Athènes

Ce guide traite de tome la partie Est de la Grèce, la mer Ionienne, les golfes de Patras et de Corinthe, le golfe Saronique et le Péloponnèse ainsi que la Crète. Un second volume trabe de l'autre grand bassin de navigation grec en mer Egée. Mer Ionienne. De Corfou jusqu'à Zákinthos, si vous imaginez la Grèce comme un rocher écrasé de soleil et parsemé d'éblouissantes maisons blanches, le nord de la mer Ionienne sera une délicieuse surprise Ce n'est pas la Grèce des brochures de voyages, mais une région verte et ombragée aux maisons couvertes de tuiles romaines muges. Le vert luxuriant des fies forme un vif contraste avec les hautes montagnes érodées des mites qui la bordent à l'est. Entre les deux, se trouvent der eaux protégées où le vent souffle rarement fort, et une multitude de petites criques accessibles uniquement en bateau. Par contraste, le sud de la mer Ionienne est rode et accidenté : les cales sont pour la plupart bordées de hautes montagnes au pied des quelles al trouve d'étroites plaines balayées par les tareras d'hiver Comme leurs montagne les habitants sont rudes et tenaces. Peu de yachts explorent cette cèle spectaculaire, il y pourtant assez de pals et de mouillages pour se réfugier en cas de mauvais temps, vous y serez totalement en dehors de la route des touristes. Golfes de Patras et de Corinthe. Après le golfe de Patins, dès l'entrée ouest du golfe de Corinthe, la cite s'élève brusquement, et, entouré de hautes montagnes, le golfe ressemble plutôt à un grand lac alpin. Sur la cale sud, l'étroite plaine alluviale est très cultivée, plantée de vignes et d'agrumes, et est bordée de belles plages. Depuis la cote nord, on posma visiter des sites aussi célèbres que Delphes ou Lépante. Quant au spectaculaire canal de Corinthe, il permet de réduire de 150 M le trajet entre la mer Ionienne et Athènes. Golfe Saronique et Est du Péloponnèse. Egine, Poros et Hydra sont des destinations "classiques" mais non dénuées de charme depuis Athènes. Plus au sud, la cote Est du Péloponnèse vous assurera un dépaysement certain, même si les ports ou abris se font plus rares, ils ne sont qu'à 10-15 M les uns des autres. La vieille cité de Monemvasia, maintenant bien restaurée, constitue l'un des joyaux de cette côte. Crète. Dominée par une haute arête montagneuse qui la parcourt sur toute sa longueur, Pite est dans son ensemble rocailleuse et aride excepté les plaines de la cite Nord et le haut plateau de Lasihi, cuvette fertile au creux des montagnes. La Crète est une fie au tourisme florissant et le plaisancier a la chance de pouvoir en explorer des parties inaccessibles à la plupart des visiteurs.

05/2019

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Décoration

René Crevel. Peintre, architecte, décorateur

Artiste prolifique, architecte décorateur, mais aussi peintre, René Crevel apporte une contribution décisive à la naissance et au développement du style Art Déco. Esprit novateur, il s'illustre dans de nombreuses disciplines, abordant avec une égale réussite des domaines aussi différents et exigeants que l'architecture et l'architecture d'intérieur, le mobilier, le papier peint et le tison, le tapis et la tapisserie, la céramique, l'émail, le vitrail ou la fresque. Entre les deux guerres, il signe de remarquables créations pour les prestigieuses manufactures françaises, Sèvres ou Limoges pour la porcelaine, J. Sarlandie pour la dinanderie et l'émail, Isidore Leroy, Essef, Geffroy ou Nobilis pour le papier peint, Aubusson pour les tapis et les tapisseries murales ou encore Krieger pour les meubles. Sa carrière est jalonnée d'importantes réalisations. Architecte d'intérieur et ensemblier, il conçoit l'entière décoration du Théâtre de l'Avenue (1924), aménage l'hôtel de Paris et la bijouterie Gustave Sandoz (1928), le restaurant les Tuileries et l'hôtel Continental, le magasin Frigéco, l'office du tourisme du Portugal (1931), agence l'hôtel Astoria (1933). On lui doit la création du bar de la société Técalémit (1932). Il dessine de nombreuses devantures de magasins, boutiques de luxe, bars et brasseries... Architecte, il construit en 1926 à Saint-Cloud sa villa dans le plus pur style moderniste. En 1930 son projet avant-gardiste d'autos-relais fait la couverture de la revue Je sais tout. En 1937 il trace les plans du Palais de l'Artisanat à l'Exposition Internationale des Arts et des Techniques, puis ceux de la Cité Ouvrière des Laboratoires pharmaceutiques Debat à Garches. Peintre, il poursuit une carrière commencée en 1915 dans le sillage des Nabis et du japonisme, laissant plus de 1000 oeuvres, huiles, gouaches, aquarelles et dessins. Il crée décors et costumes de théâtre, peint panneaux décoratifs et fresques... René Crevel est maintes fois primé par les jurys des grandes manifestations de l'époque. En 1925 cinq diplômes et médailles couronnent sa participation à l'Exposition Internationale des Arts Décoratifs. En 1929 il obtient un diplôme de Grand Prix l'Exposition française au Caire, en 1931 un diplôme d'Honneur à l'Exposition Coloniale. En 1937, lors de l'exposition Internationale des Arts et des Techniques, deux nouveaux diplômes d'Honneur et deux médailles d'or lui sont décernés. Cette première monographie consacre le talent de René Crevel, figure emblématique du mouvement art déco. Elle retrace sa vie et son parcours et aborde chacun de ses modes d'expression, de la peinture aux arts décoratifs et à l'architecture. Illustrée de plus de 1100 photographies, elle offre une contribution essentielle à la redécouverte d'une oeuvre qui occupe une place éminente dans l'histoire de l'art.

11/2019

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Littérature étrangère

Fille de l'air

Née en 1909, Jean Batten était une aviatrice néozélandaise mondialement célèbre dans les années 1930 : en quatre ans à peine, elle battit plusieurs records, notamment entre l'Angleterre et l'Australie, qu'elle rejoignit en quatorze jours et vingtdeux heures dans son petit avion de tourisme, un Gipsy Moth. Fiona Kidman, dans ce nouveau roman, se penche sur le destin de celle qui fut surnommée la "Garbo des airs". Derrière la légende d'une femme séductrice et prête à tout pour la gloire, la romancière traque une vérité plus complexe : celle d'une enfant jolie, douée et gracieuse, dont la mère, passionnée d'aviation, détermina certainement les choix – au-dessus de son berceau, elle avait accroché une photo de Louis Blériot –, et qui acheva sa vie solitaire en 1982, après avoir volé pour la dernière fois en 1939. Malgré les incessantes bagarres entre son père, un dentiste volage, et sa mère, ancienne comédienne, l'enfance de Jean, à Rotorua, puis à Auckland, est idyllique : tout sourit à cette gamine dégourdie que les cartes fascinent, qui apprend à communiquer en morse en observant son frère et qui, sur sa balançoire, veut encore s'envoler plus haut. Envoyée en Angleterre sous le prétexte d'étudier la musique, elle y suivra en réalité, et toujours avec la complicité de sa mère, des leçons de pilotage. Son talent, sa détermination, feront le reste : plusieurs pilotes de renom, fascinés, financeront ses premiers vols. La gloire, pourtant, sera de courte durée : quatre années haletantes, que Fiona Kidman met en scène sans rien cacher des péripéties – une succession de records, mais également deux crashs, dont un dans le désert irakien –, des déboires sentimentaux et des doutes de son héroïne. Le sort bascule pour elle en 1937, quand l'homme qu'elle aime disparaît corps et biens dans l'avion qu'il pilotait. Elle poursuit vaillamment sa carrière, étrangement indifférente à la guerre qui vient. Le 27 août 1939, malgré l'interdiction formulée par le Foreign Office, elle obtient – de la part d'un ami de la femme de Göring – un passe-droit pour survoler le territoire allemand. Sa naïveté – ou son inconscience – lui coûtera cher : aucune de ses propositions de servir dans les airs ne sera entendue, et son avion sera réquisitionné. Après la guerre, Jean sombre dans un profond détachement. Elle ne cherche plus à voler, part s'installer à la Jamaïque, voyage en Europe et, quand sa mère meurt à la fin des années 1950, reste définitivement seule. Avec ce portrait passionnant et perspicace d'une pionnière assoiffée de liberté qui, au fond, n'est elle-même que dans les airs, Fiona Kidman donne une nouvelle preuve de son talent à raviver la mémoire de ces héroïnes féminines dont l'audace fut déterminante pour le destin de son pays.

04/2017

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Littérature française

Un long voyage ou l'empreinte d'une vie Tome 22 : Itinéraires espagnols

UN LONG VOYAGE ou L'empreinte d'une vie est le parcours d'un homme, Louis Bienvenu, qui naît avec le siècle (le 20e) et meurt avec lui. Cet homme n'a jamais attiré l'attention publique sur lui, ni réalisé aucun exploit susceptible de lui valoir la manchette des journaux. Et pourtant ce voyage, tant vers les autres qu'au bout de lui-même, est plus long et plus riche que celui accompli par la plupart de ses contemporains. La soif de ressentir et de comprendre, l'élan vers la poésie et la beauté sous toutes ses formes, et la quête de l'Amour avec un grand A, le filial d'abord, puis celui de l'autre sexe, en sont les fils conducteurs. Les six femmes qu'il a aimées, à commencer par Germaine, sa mère, ponctuent justement les six Epoques chronologiques de cette vaste fresque. En rupture avec la Compagnie Internationale de Tourisme (tome 21), Louis a entamé son second tour d'Espagne de l'année 1950, et premier avec l'agence Dubart. Ses rapports, cordiaux avec Mme Dubart-mère lors d'un premier contact, ont été tendus avec Dubart-fils, un homme brutal et autoritaire. Parmi les vingt-sept visages qui le scrutent, une richissime Australienne - il a eu son passeport en main -, genre gravure de mode, retient son attention. Déjà isolée car anglophone stricte, elle se rend vite odieuse pas ses retards répétés au moment de remonter dans le car. Rien n'y fait, pas même une intervention initiale de Louis qu'elle traite par le mépris quand il tente de lui rappeler les bons usages. Sa technique gagnante : deux fois par jour, il soulève l'hilarité générale avec trois bonnes blagues de son répertoire ; il se taille un vif succès, surtout auprès des dames, avec ses chants : La valse des regrets, un air de Carmen... ; enfin, il captive l'attention de tous avec ses exposés d'Histoire : Jeanne la Folle, sa jalousie maladive envers Philippe, son trop beau mari, la prise de Grenade par les rois catholiques, la guerre civile... Le nuage australien excepté, le temps serait donc au beau fixe. Mais celui-ci grossit : à Tolède, la belle ouvre ses bras, et son lit, à Emilio, le guide local, qui parle anglais. Et il crève : le lendemain, elle interrompt son voyage, son chauffeur personnel va venir de Paris la chercher. Exit l'Australienne, place aux promesses : Louis bientôt parrain de la fille du chef d'une des quatre tribus de gitans de Grenade... Un roumi ! Du jamais vu ! Sur la route de Murcie, dans l'obscurité complice, une voyageuse s'invite et prend le siège libre à côté de lui...

08/2020

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Récits de voyage

Un livre des Pyrénées

La plume acerbe et féroce de Kurt Tucholsky dénonce les différences de classes, la soif de profit des hommes d'affaires, la vermine nationaliste et l'institution militaire. Journaliste, critique littéraire et écrivain satirique, né en 1890 à Berlin, fils d'un fabricant juif, Kurt Tucholsky fut l'un des auteurs les plus demandés et les mieux payés de la République de Weimar. Il publia plus de trois mille articles dans presque cent journaux. Parmi les romans et les recueils de textes et de poèmes parus de son vivant, certains atteignirent une douzaine d'éditions. Jean Bréjoux, introducteur et premier traducteur de l'oeuvre de Tucholsky en France, présente l'auteur comme " l'écrivain et le journaliste le plus brillant, le plus attentif de l'Allemagne de l'entre deux guerres ". Cette attention ne porte pas ici sur le territoire et les moeurs allemands, mais sur la région franco-espagnole des Pyrénées. Le livre s'ouvre sur un souvenir de classe : les cours de géographie et d'histoire du professeur Gierke, au cours desquels Tucholsky rencontre une première fois les Pyrénées : "Les Pyrénées c'était quelque chose comme une bande rousse sur la carte, verte et noire par ailleurs, sur laquelle apparaissaient quelques taches : les montagnes. A droite et à gauche la carte virait au bleu, c'était la mer. Oui, les Pyrénées séparaient l'Espagne de la France. Avec ça, il fallait chaque fois réfléchir un brin avant d'écrire leur nom." Parti explorer la région après s'être muni d'un passeport, l'écrivain relate son séjour. Ce récit s'organise moins comme un journal classique que comme une série de tableaux ou de portraits, dans lesquels sont décrits les événements auxquels assiste ou participe Tucholsky, les rencontres qu'il a pu faire au cours de son voyage. Le livre se présente comme une traversée géographique, sociale et humaine de la région des Pyrénées, et fait entendre ses traditions et ses voix multiples, mais aussi son histoire : du Cirque de Gavarnie, aujourd'hui encore un haut-lieu du tourisme pyrénéen, à la ville de Lourdes, en passant par les villes de Cauterets, la station thermale d'Eaux-bonnes, la Corrida à Bayonne, les Basques de Saint-Jean-Pied-de-Port... Tout est observé et décrit avec une minutie et une justesse rares, qui se ponctuent par ce ce que Jean Bréjoux nomme une "déclaration d'amour à la France". L'écrivain s'adresse littéralement au pays et à cette région des Pyrénées dans lesquels il a été accueilli par des habitants dépassant l'hostilité du bric-à-brac nationaliste. Un accueil et un abri essentiels alors que son pays natal, l'Allemagne, devenait, pour lui et sa pensée, invivable.

06/2020

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Essais

Empavillonner

Qu'il s'agisse, entre autres exemples, du Pavillon France réalisé par l'architecte Jean-Paul Viguier à l'occasion de l'Exposition Universelle de Séville (1992), de celui des Pays-Bas signé de l'agence MVRDV dans le cadre l'Exposition Universelle d'Hanovre (2000) ou encore, avant eux, des pavillons présentés comme "manifestes de la modernité" , tels que ceux de Richard Buckminster Fuller (Pavillon Etats-Unis, île Sainte-Hélène, Montréal, 1967), de Le Corbusier (Pavillon Philips, Bruxelles, 1958) de Robert Mallet-Stevens et des frères Martel (Pavillon du tourisme, Paris, 1925), tous sembleraient procéder d'une même intention (ou prétention)? : celle de définir les voies et préceptes d'une architecture résolument nouvelle laquelle, contestant ou refusant parfois ce qui a cours, préfigure et marque de quoi serait faite l'époque à-venir. Profitant aujourd'hui d'un certain recul, il est permis de constater quel aura été le devenir de ces tentatives architecturales ? : pour bon nombre d'entre elles, des "reliques" d'un temps révolu, des ruines (à l'image d'éléphants blancs), également des friches ou encore des déserts... Les stigmates d'édifications avancées comme "prototypiques" alors tombées dans l'oubli. C'est comme si ce qui s'était naguère pensé, tenté n'avait été, en réalité, que la consécration et "apothéose" d'une Culture de l'éphémère ? : un brusque et bruyant "déballage" de savoir-faire souvent techniques-technologiques, l'empreinte autrefois rutilante d'une audace créative ou encore une authentique démonstration de force, de puissance (un geste à l'énergie concentrée et dispersée) consacrant l'emprise et assise économiques, culturelles des états commanditaires pris au coeur d'une inexorable compétition mondiale. Aussi, bien plus que de conclure à l'échec du nouveau ? -? celui de ne pouvoir triompher qu'en de trop rares occasions ? -, reviendrait-il plutôt de s'interroger sur la fonction et les visées véritables de ces constructions, sur ce qui s'édifie et se programme vraiment au travers de la forme même du Pavillon, soit sur ce qui s'empavillonne. C'est-à-dire tout à la fois s'incorpore, se cristallise et se disperse en de multiples cellules pavillonnaires d'exposition entremêlant idées, visions, concepts et conceptions, également systèmes, stratégies, postures et positions tactiques... Conviendrait-il, en outre, de se demander quels places et rôles tiennent la maîtrise d'ouvrage ainsi que le commanditaire dans la pérennisation (et non seulement la conservation) de l'oeuvre architecturale. C'est très exactement là le cadre d'étude de cet ouvrage à paraître ? : s'appuyant sur des exemples précis, il s'agit de comprendre et de donner à lire de quoi le Pavillon est effectivement le projet.

03/2021