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Thrillers

The Corpse Queen

Un thriller historique sombre et résolument féministe Alors que sa meilleure amie Kitty vient de mourir dans des circonstances mystérieuses, Molly Green, orpheline de dix-sept ans, découvre l'existence d'une mystérieuse tante. Richissime, Ava est disposée à prendre la jeune fille sous son aile... à condition que celle-ci soit prête à en payer le prix. Car Ava a bâti sa fortune en pillant des tombes pour revendre les dépouilles à des étudiants en médecine avides d'apprendre la chirurgie. Et elle veut que Molly l'aide à se procurer les corps. Or à Philadelphie dans les années 1850, une jeune fille non mariée n'a que peu de perspectives. De plus, Molly est bien décidée à remonter la trace de l'étudiant qu'elle pense être l'assassin de Kitty. Elle accepte donc et découvre son nouveau métier... mais surtout, les leçons d'anatomie du docteur LaSalle, qui vont la fasciner. Mais à cette époque, aucune femme n'est censée étudier pour devenir chirurgienne. Et alors qu'un meurtrier sévit en ville et que la mort de Kitty reste impunie, la poursuite du savoir devient pour Molly une danse... mortelle. " Bien écrit, intelligent et résolument sombre... ce roman immersif, aux accents de Frankenstein, évoque la misogynie, les disparités socioéconomiques et les normes sociales à l'époque des débuts de la chirurgie moderne. " Publishers Weekly " Sombre. Etincelant. Dangereux. The Corpse Queen est délicieusement macabre et incroyablement décadent. Vous allez tomber sous le charme de Molly, dont l'esprit vif et la détermination sans faille l'aident à se frayer une place dans un monde dominé par les hommes. Un roman cinématographique, intelligent et captivant ; je l'ai dévoré d'une traite. " Kerri Maniscalco, autrice de Stalking Jack the Ripper, bestseller #1 du New York Times " L'intrigue est menée tambour battant, parmi les effluves de pourriture des morts, jusqu'à sa conclusion aussi satisfaisante que surprenante. Si la fille de Poe avait écrit une histoire, ce serait celle-ci. " Kirkus Reviews

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Policiers

Le Testament syriaque

Paul Mesure, journaliste free lance à Paris, est rentré d’Afrique avec, dans ses bagages, un document ancien qu’il a déniché à Tombouctou et compte revendre à bon prix. Ce codex est indéchiffrable, de sorte qu’il lui faut recourir aux services des meilleurs spécialistes pour s’en faire une idée plus précise. Mais les riches amateurs de ce genre de relique forment un tout petit monde, et qui dit expert dit fatalement fuite, surtout si la nature même du document permet de penser qu’il y a beaucoup d’argent en jeu. De fait, les cadavres commencent à se multiplier autour de Paul. Et si ce texte, en dehors de sa valeur archéologique et commerciale, avait surtout un profond sens religieux ? Et si l’argent n’était pas, finalement, le plus important ?Partagé entre l’inquiétude, la curiosité et le désir de vengeance, Paul louvoie entre plusieurs équipes de tueurs aux motivations antagonistes et une police française obligée de s’en remettre au commissaire Sarfaty, le « commissaire–philosophe », étrange personnage passionné de culture arabe et spécialiste de l’histoire des religions. Afin de comprendre le codex, et de démêler l’écheveau des crimes qu’il laisse dans son sillage, Sarfaty se plonge dans l’univers fascinant de la naissance de l’islam, de son langage codé et de ses énigmes.Barouk Salamé, érudit franco-algérien, propose un voyage saisissant dans l’univers de l’islam, de son génie, de sa violence, de sa poésie, des conflits qui le traversent et des enjeux de son avenir. Thriller polyphonique avant tout consacré à la culture arabe, Le Testament syriaque s’attaque, sans manichéisme ni angélisme, à « ce qui nous tuera tous : l’inculture ». Plaidoyer contre l’incompréhension et l’ignorance, mise en garde contre les préjugés de tous bords, réflexion sur l’évolution de la religion musulmane, ce thriller, qui invite à une réflexion nuancée sur l’histoire des civilisations, a reçu un excellent accueil critique et été un vrai succès de librairie.

03/2011

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Suspense

The Corpse Queen

Un thriller historique sombre et résolument féministe Alors que sa meilleure amie Kitty vient de mourir dans des circonstances mystérieuses, Molly Green, orpheline de dix-sept ans, découvre l'existence d'une tante dont elle ne savait rien. Richissime, Ava est disposée à prendre la jeune fille sous son aile... à condition que celle-ci soit prête à en payer le prix. Car Ava a bâti sa fortune en pillant des tombes pour revendre les dépouilles à des étudiants en médecine avides d'apprendre la chirurgie. Et elle veut que Molly l'aide à se procurer les corps. Or à Philadelphie dans les années 1850, une jeune fille non mariée n'a que peu de perspectives. De plus, Molly est bien décidée à remonter la trace de l'étudiant qu'elle pense être l'assassin de Kitty. Elle accepte donc et découvre son nouveau métier... mais surtout, les leçons d'anatomie du docteur LaSalle, qui vont la fasciner. Mais à cette époque, aucune femme n'est censée étudier pour devenir chirurgienne. Et alors qu'un meurtrier sévit en ville et que la mort de Kitty reste impunie, la poursuite du savoir devient pour Molly une danse... mortelle. " Bien écrit, intelligent et résolument sombre... ce roman immersif, aux accents de Frankenstein, évoque la misogynie, les disparités socioéconomiques et les normes sociales à l'époque des débuts de la chirurgie moderne. " Publishers Weekly " Sombre. Etincelant. Dangereux. The Corpse Queen est délicieusement macabre et incroyablement décadent. Vous allez tomber sous le charme de Molly, dont l'esprit vif et la détermination sans faille l'aident à se frayer une place dans un monde dominé par les hommes. Un roman cinématographique, intelligent et captivant ; je l'ai dévoré d'une traite. " Kerri Maniscalco, autrice de Stalking Jack the Ripper, bestseller #1 du New York Times " L'intrigue est menée tambour battant, parmi les effluves de pourriture des morts, jusqu'à sa conclusion aussi satisfaisante que surprenante. Si la fille de Poe avait écrit une histoire, ce serait celle-ci. " Kirkus Reviews

04/2023

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Littérature française

Florbelle

Florbelle est un autoportrait que Cauda a écrit dans les blancs du roman de Sade dont nous n'avons que les notes puisque le fils irrévérencieux, à la mort de son père, a brûlé l'ouvrage. Cauda, le peintre, a son atelier bâti sur une ancienne propriété de la famille Sade, revendue quand Donatien était enfant ! Pour le dire autrement : Florbelle lui était destiné. Restait à en noircir les pages. Ce que Cauda a fait à double titre en dessinant une quinzaine d'encres qui illustrent son autoportrait en miroir du marquis ! Comme un fait exprès, il a écrit et dessiné Florbelle lors du confinement, ajoutant ainsi de l'enfermement à l'enfermement, faisant de son atelier un château (de Shilling) coupé du monde, protégé des regards autres, centré au milieu d'autour sur lui-même face à Sade. La quête dure 19 journées auxquelles s'adjoint un épilogue. En 2011 une exposition prit comme titre Florbelle (after Sade)â ; on y précisait : "L'oeuvre manquante devient prescriptionâ! " Pour parler comme Godard, dans prescrire il y a écrire. Et pour écrire Sade il y fallait Cauda. "Entré au château de Silling à l'âge de 17 ans, je n'en suis jamais sorti". C'est ainsi qu'il ouvre ses journées, par un enfermement, un lieu coupé du monde propice à toutes les transgressions. Une invitation au voyage intérieur où le corps tient lieu de donjon. Un corps qui figure, dans ce face à face Sade/Cauda, trait après trait, un habit de lumière envisagé comme un abîme de lumière. Autrement dit un autoportrait.

10/2023

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Cinéastes, réalisateurs

En marge. récit

En 2009, acclamé par la foule, Jean-Michel Correia gravit aux côtés de Jacques Audiard les marches du Festival de Cannes pour la première d'Un prophète qui remporta cette année-là le Grand prix du jury. Pourtant, rien ne le destinait à une carrière dans le cinéma, si ce n'est une vie rocambolesque digne d'un scénario de fiction. Enfant adopté, Jean-Michel Correia grandit au coeur de la cité populaire des Vaux-Germains, dans les Hauts-de-Seine. Loin du regard parental, il explore les environs avec ses potes, ne manque pas un match de foot et admire les grands frères qui tiennent les escaliers du quartier. Bref, il a ce que son père appelle "le sirop de la rue" . Il commence par quelques vols, désosse des motos pour les revendre en pièces détachées, avant de voir plus gros, trop gros : le braquage d'une bijouterie et d'une banque à l'aide d'un pistolet d'alarme le conduit devant la justice. S'ensuivent des allers-retours en prison où il passera près de 10 ans, à l'ombre, comme on dit. Dans une langue musicale et dynamique, Jean-Michel nous raconte sa vie de bandit et de prisonnier : les go-fast à travers l'Espagne, les pénitenciers, la promiscuité des cellules, l'ennui meublé par la lecture, mais aussi la solidarité, les radio pirates, les codes et la culture carcérale. Des années plus tard, désormais père d'un enfant et fatigué de l'illégalité, il se lie d'amitié avec le cinéaste Jean-François Richet qui l'embauche comme chauffeur sur le tournage de Mesrine. Sa curiosité et sa détermination lui feront vite gravir les échelons : il devient "conseiller prison" , puis assistant réalisateur et acteur pour Audiard, avant d'écrire et de réaliser son propre film. Plus que le récit d'une trajectoire hors du commun, Jean-Michel Correia dresse ici un portrait en kaléidoscope de la France des années 1980-2000, celle de l'ambiance Black-Blanc-Beur du Mondial 98 et des sorties en boîte de nuit à la Scala ou au Pacific. Le témoignage singulier et haletant d'un homme qui a été sauvé par l'écriture.

10/2023

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Création d'entreprise

J’entreprends sans m’épuiser. Réussir en préservant son bien-être et sa santé

L'entrepreneuriat a le vent en poupe. Les aspirants à la création d'entreprise sont de plus en plus nombreux : en septembre 2020, 83.825 entreprises voyaient le jour (INSEE). Le Covid n'a pas fait renoncer les porteurs de projets, au contraire ! Aussi, beaucoup d'actifs n'ont eu d'autres choix que de se reconvertir pour sortir de secteurs sinistrés et ont rebondi en entreprenant dans un secteur de coeur et à l'avenir prometteur, quand d'autres ont pris conscience qu'ils n'étaient plus à la bonne place et font à présent le grand saut. Soif d'autonomie, de créativité, de flexibilité et liberté organisationnelle, ces né-entrepreneurs redoublent d'imagination pour se lancer et innover. Ils savent comment entreprendre (faire un business model, être coaché dans la création...) et sont aujourd'hui mieux accompagnés que jamais tant les dispositifs abondent. Et pourtant, il est un absent dans l'équation entrepreneuriale telle que présentée aujourd'hui : le développement personnel. Comment tenir sur la longueur et réussir sans s'épuiser ? Comment ne pas s'oublier et s'éviter l'écueil des "3 D" (dépression, divorce, dépôt de bilan) en conciliant l'aventure et sa vie personnelle ? Comment faire du respect de son écologie personnelle LA clé de réussite de son entreprise ? Marathon au démarrage, course de fond sur le long terme, l'entrepreneur semble disposer de capacités hors du commun, reflétant une image de héros sans faille, jusqu'aux premières difficultés. Il est partout, multitâche et rêve souvent d'avoir le don d'ubiquité! Mais pour durer, il doit s'économiser et éviter à tout prix la surchauffe. Ce livre s'adresse à tous les actuels ou futurs entrepreneurs qui souhaitent réussir et mettre leur développement personnel au service de leur projet d'entreprise, sans négliger leur vie de famille, leur santé, leur passion... Il s'adresse aussi à ceux qui doivent revendre, déposer un bilan, sans craquer. Enfin un guide de développement personnel pour tous les entrepreneurs, mêlant auto-coaching, outils de développement personnel spécifiques, conseils, clés et témoignages d'entrepreneurs confirmés et de serial entrepreneurs, qui leur permettra d'inscrire leur projet professionnel dans leur projet de vie et non l'inverse !

05/2023

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Terrorisme

La putain du Califat. Marie, chrétienne, vendue treize fois par l'Etat islamique

"Comment est-on accueillie par les siens quand on revient de l'enfer ? Quand on a été souillée, torturée, violentée par des monstres ? Pendant deux ans, Marie, une irakienne de 38 ans, a été l'esclave sexuelle et la domestique de soldats de l'Etat islamique. Vendue et revendue, d'Irak en Syrie, elle change plus de douze fois de maître. Chrétienne, donc une perle rare, elle était l'objet de tous les fantasmes, de toutes les convoitises, de tous les ressentiments ; sur le marché, elle valait deux fois plus qu'une Yézidie. Dans le djihad de l'humiliation, le viol est une arme de destruction massive. Marie nous a confié son histoire, d'une manière aussi crue que décousue ; il a fallu se forcer à en retisser la trame. Elle a exigé que l'on raconte tout, que l'on n'omette rien, pas un seul nom de ces bourreaux. Son récit est celui d'une descente aux enfers, d'exactions de plus en plus insupportables, commises au nom de textes religieux et d'un code de lois à la précision sadique. Ce livre est aussi l'épopée des Chrétiens d'Orient, de leurs mythes, de leurs rêves. Un pays de légendes, de poésie et de mystères. Un pays brûlé par le soleil et les guerres. Jusqu'à l'apparition du fondamentalisme islamique qui, d'Al Qaïda à Daesh, renaît toujours de ses cendres". La putain du Califat est l'histoire bouleversante d'une femme qui veut vivre. Qui tente de s'échapper, qui se bat, qui résiste et refuse de se laisser briser. Marie est morte deux fois : quand elle a été arrachée aux siens et quand elle est revenue parmi eux. Aujourd'hui, elle veut oublier, reconstruire ce corps meurtri. Après l'horreur, l'espoir.

02/2022

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Policiers

Heureux veinard

À San Francisco, Nick Monday est détective privé. Mais, surtout, Nick Monday est un « braconneur de chance ». Comme de rares personnes sur terre, il a la capacité d’« aspirer » la chance que les gens possèdent – et certains en possèdent plus que d’autres – simplement en leur serrant la main. Grâce à un complexe système de filtration, il récupère cette chance avant de la stocker en vue de la revendre à qui en a besoin et, surtout, les moyens. Car plus la chance est de bonne qualité, plus elle coûte cher. Un matin, il reçoit à son bureau la visite d’une séduisante jeune femme, dénommée Tuesday Knight, laquelle lui demande de retrouver la personne qui a « dérobé » la chance de son père, Gordon Knight, qui n’est autre que le maire de San Francisco, depuis empêtré dans diverses affaires politicojudiciaires. Nick Monday accepte le marché, se gardant bien d’avouer que la personne qu’il doit retrouver, c’est lui-même. Peu après, il reçoit la visite d’une autre Tuesday Knight, au physique aussi attrayant que semblable à la première, qui lui apprend qu’une femme se fait passer pour elle pour une raison qu’elle ignore. Aussi lui demande-t-elle d’enquêter et de découvrir son identité. Dans la même matinée, Tommy Wong, le parrain de la mafia chinoise de San Francisco, lui demande de lui trouver de la « Pure », soit le niveau le plus élevé de chance que l’on puisse trouver dans la nature. Nick Monday refuse, avant de se faire intercepter par un mystérieux personnage, travaillant visiblement pour un organisme gouvernemental secret, lui intimant de livrer de la « mauvaise chance » à Tommy Wong afin de faire s’effondrer son empire du crime. Nick Monday n’a d’autre choix que d’accepter mais la journée s’annonce longue, très longue… Si les premières pages semblent reprendre la trame classique des polars américains des années 1950 (un détective privé à la petite semaine qui se fait embaucher par une femme fatale manipulatrice et qui cache son jeu…), très vite, le récit part en vrille, l’auteur nous projette dans un univers violent et loufoque, créant un monde parfaitement irréel mais totalement crédible. Ici, le fantastique n’est pas un fantastique de science-fiction, plutôt un nouveau regard sur la réalité qui nous entoure. Nous nous laissons d’autant plus facilement prendre que l’intrigue est parfaitement menée : tout le monde semble manipuler tout le monde, et le lecteur est placé dans la tête du narrateur, antihéros hors du commun, looser aux pouvoirs exceptionnels, grande gueule toujours prêt à faire un bon mot. À l’arrivée, un roman tendre et poétique, à travers cette vision d’un monde gouverné de manière invisible par la chance et la malchance – comme autant de substances illicites que l’on vend sous le manteau –, un polar hard boiled sec et nerveux, et un livre drôle et divertissant.

10/2012