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Le Tunnel. L'histoire vraie d'une évasion de prison

Extraits

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Policiers

Evasion

1968. Le soir du Réveillon, douze prisonniers s'évadent de la prison d'Old Lonesome, autour de laquelle vit toute une petite ville du Colorado encerclée par les montagnes Rocheuses. L'évènement secoue ses habitants, et une véritable machine de guerre se met en branle afin de ramener les prisonniers… morts ou vifs. À leurs trousses, se lancent les gardes de la prison et un traqueur hors pair, les journalistes locaux soucieux d'en tirer une bonne histoire, mais aussi une trafiquante d'herbe décidée à retrouver son cousin avant les flics… De leur côté, les évadés, séparés, suivent des pistes différentes en pleine nuit et sous un blizzard impitoyable. Très vite, une onde de violence incontrôlable se propage sur leur chemin. Avec ce troisième roman impressionnant, Benjamin Whitmer s'impose comme un nouveau maître du roman noir américain.

09/2018

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Coloriages adultes

Evasion

Libérez-vous l'esprit avec cette fantastique collection de plus de 60 images à colorier. Prenez votre temps et laissez vos idées vagabonder au gré des vues panoramiques, des animaux en liberté, des scènes dynamisantes, des motifs méditatifs, etc. Offrez-vous un moment et un espace d'évasion tout en vous laissant guider !

02/2021

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Poésie

Evasion

Essaieras-tu de dire Un jour, sans sirupeux, Le passé lumineux, L'Amour et son empire ? Essaieras-tu de bruire D'un vent d'éternité, Afin de nous instruire Sur notre surdité ?

09/2021

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Poésie

Evasion

"Je suis un caramel mou. Un coeur d'artichaut ; du miel en pot. J'entame, j'étonne et à la tonne j'écoeure (merci Ben Mazué). Je suis la vésicule biliaire de Jack (merci Chuck Pahlaniuk). Je suis aussi une tornade. Ravageant les briques rouges, les chalets de bois, les maisons de paille, je suis le grand méchant loup. Mais n'ayez crainte. Je suis simplement une fille lambda, contant des tourments, cassant les moeurs, déstructurant les codes du slam, même de la pensée. Je suis fort de café et brut de pomme. Voilà un bon petit-déjeuner pour entamer cette journée. Vous préférez un whisky on the rocks sans glaçons ? OK mais juste un doigt".

07/2021

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Poésie

Evasion

Liz Randja est une poétesse qui a un immense talent. Exceptionnelle est son encre quand elle dessine des vers de toutes les couleurs. Les mots se transforment en de magnifiques peintures littéraires et poétiques ! Lire ses poèmes, c'est enrichir notre amour pour la poésie. Elle a une acuité visuelle hors du commun lorsqu'elle compose ses métaphores effilées par sa plume tant magique et si ébouriffée d'espoir ! Son art poétique est généreux, fruité. La lumière de ses vers reflète la joie dans nos cours transpercés par nos lectures si passionnantes et pieuses. C'est une femme illustre pour qui les rimes sont mariées avec ses états d'âme. Chaque sentiment est décrit avec minuties. Liz nous laisse un précieux trésor artistique intarissable.

05/2014

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Littérature française

Evasion

Un étudiant veut faire évader un ami d'un hôpital psychiatrique. Partisan d'une évasion en douceur, il sollicite ou se voit proposer l'aide de son oncle, d'une infirmière, d'un ancien de la guerre d'Algérie et d'une lycéenne. Partagé par ailleurs entre le souvenir d'une fille partie en Amérique et sa liaison avec la lycéenne, il cherche avant tout à protéger sa tranquillité et son célibat.

03/2016

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Histoire de France

Dora. Le tunnel de la mort (1940-1945)

Christian Desseaux a 14 ans quand la guerre éclate. La débâcle de 1940 le conduit jusqu'à Dunkerque d'où il parvient à rentrer à bicyclette à son domicile de Compiègne. Malgré son jeune âge, il n'accepte pas la défaite ni la capitulation, encore moins la collaboration avec l'ennemi. Il entreprend, pour son compte personnel ou avec des copains, une série d'actions individuelles qui préludent à son entrée dans la Résistance au tout début 1943. Il est incorporé au réseau Jean-Marie Buckmaster où il se signale par son courage, son héroïsme parfois, son dynamisme, son abnégation... jusqu'au jour où, trahi par des espions qui ont infiltré le réseau, il est arrêté par la Gestapo à l'âge de 17 ans. Il reste trois mois dans une cellule de la prison de Saint-Quentin (Nord), puis à nouveau trois mois dans le camp de Royallieu, près de Compiègne. Déporté, il connaît les affres d'un voyage au-delà de l'imaginable qui le conduit à Buchenwald. Là, il est désigné pour aller travailler dans le tristement célèbre tunnel de Dora où les Allemands fabriquent le VI et le V2. S'il est possible d'établir une hiérarchie de l'horreur, Dora occupe probablement une des toutes premières places, si ce n'est la première, bien que des grandes nations (USA, URSS...) se soient entendues après la guerre pour taire à l'opinion ce lieu maudit où est née, sous l'égide des savants allemands, Von Braun en tête, la conquête spatiale. La fusée A4, alias le V2, est l'ancêtre direct de la fusée Saturne qui a emmené Armstrong et Aldrin sur la lune en juillet 1969. Personne ne devait sortir vivant de Dora. Christian Desseaux est un des rares à avoir survécu, mais lorsqu'il quitte le tunnel de la mort en avril 1945, il doit encore affronter l'évacuation et le retour.

01/2011

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Histoire internationale

Cahiers de prison

En 2011, l'arrestation du Président Gbagbo et l'emprisonnement de nos dirigeants me conduisirent à la plus grande audace, à la plus grande folie peut-être : c'est au plus haut qu'il me fallait hisser le Front Populaire Ivoirien. Ma témérité et ma combativité consistaient uniquement dans l'intransigeance en faveur de la libération du président Gbagbo. Il me fallait vite passer sur l'émotion pour me concentrer sur ce combat... Pendant la durée de mon mandat à la tête de la Jeunesse du Front Populaire Ivoirien comme après, j'ai employé toute la vigueur de mon caractère et j'ai apporté dans le Front Populaire Ivoirien tout le zèle et toute l'activité du citoyen embrassé de l'amour de son pays. Le but de mon engagement, au lendemain du 11 avril 2011, était davantage pour moi d'obtenir la libération du président Gbagbo et de protéger le Front Populaire Ivoirien des empiètements du régime du Rassemblement Des Républicains que de me couronner de fleurs. Dans cette période difficile de 2011, pour échapper aux armes des rebelles, je me suis condamné à une vie clandestine, relancé de temps à autre par des tournées, obligé de me cacher, errant dans les rues au milieu de la nuit, et ne sachant quelques fois où trouver un dortoir, plaidant au milieu des armes la cause du président Gbagbo, défendant les opprimés, la tête sur le billot, et n'en devenant que plus redoutable encore aux bourreaux et aux fripons publics. J'ai mené cette vie neuf ans durant, sans me plaindre un instant, sans regretter ni repos ni plaisirs, sans tenir compte de la perte de mon statut de fonctionnaire, de ma santé, et sans jamais pâlir à la vue du danger toujours dressé sur mon chemin. Que dis-je ? Je l'ai préféré et souhaité. Si j'avais simplement voulu garder le silence, si j'avais voulu déshonorer le combat de Gbagbo, que de propositions alléchantes ne m'ont-ils pas faites ?

02/2020

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Critique littéraire

Lettres de prison

Arrêté en 1962 par le gouvernement de l'apartheid d'Afrique du Sud, Nelson Mandela a passé vingt-sept ans en prison. Au cours de ces 10 052 jours de détention, il fut un épistolier prolifique, écrivant à ses compagnons de lutte, aux gouvernements officiels, mais aussi à sa femme Winnie, à ses cinq enfants et, plus tard, à ses petits-enfants. Les lettres choisies dans ce livre offrent le portrait le plus intime qu'on ait lu de Nelson Mandela, et un aperçu exceptionnel sur la façon dont il a vécu son isolement. Elles révèlent l'héroïsme d'un homme qui a refusé tout compromis sur ses valeurs, l'humanité de l'une des plus grandes figures du XXe siècle.

09/2019

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Faits de société

LETTRES DE PRISON

Il est délicat de publier les lettres d'une morte. Si je le fais ici, conscient des légitimes hésitations de la famille de Gabrielle Russier et ses amis les plus proches, mais avec leur accord, c'est pour deux raisons. La première : après tout ce qu'on s'est permis d'écrire ici et là sur Gabrielle, sans la connaître ou en l'ayant connue (et je ne réserve pas un traitement de faveur à mon propre texte), il m'a semblé indispensable de la laisser s'exprimer elle-même, de lui donner " la parole ". La deuxième : il m'a paru difficile de ne pas faire sortir de l'ombre des lettres qui constituent, à mon sens, un document humain d'une qualité exceptionnelle. Elles sont de nature à permettre, aux yeux de n'importe qui, ce qu'on pourrait appeler la "réhabilitation" de Gabrielle. Ses épreuves s'y reflètent avec une vérité bouleversante. On y suit pas à pas le progrès de son désespoir, et quelquefois de son espoir. Elles expriment ce qu'elle a vécu mieux que tous les commentaires et rendent un son qui ne trompe pas. Comme je l'ai dit, elles sont authentiquement "le journal d'une angoisse". A l'heure où l'on privilégie volontiers la "littérature de témoignage", elles apparaissent en outre, souvent, comme l'oeuvre d'un véritable écrivain. La plupart d'entre elles ont été écrites de prison - lors du deuxième séjour aux Baumettes, en avril, mai et juin 1969. Un certain nombre, pourtant, sont antérieures et sont données à titre de repères. D'autres enfin, plus rares mais particulièrement importantes, ont été envoyées de "La Recouvrance", la maison de repos des Pyrénées, quelques semaines et parfois quelques jours avant le suicide de Gabrielle. Raymond Jean

03/1970

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Littérature étrangère

De ma prison

C'est en effet d'une prison que Taslima Nasreen lance ces émouvants textes-messages à ses amis. D'une prison rebaptisée safe house, où le gouvernement indien l'a tenue enfermée depuis novembre 2007 sous prétexte d'assurer sa protection. D'abord assignée à résidence début septembre dans sa maison de Calcutta, l'écrivain découvre l'inquiétude du gouvernement local, soumis à la pression des partis politiques soucieux de s'assurer le vote islamiste. À partir du 23 novembre, ce sera l' " éloignement " dans un endroit inconnu près de Delhi. Mesure qui se transforme vite en un internement pur et simple, destiné à obliger la prisonnière à quitter l'Inde de son propre gré. Ce qu'elle refuse absolument. Cloîtrée dans sa cellule, avec pour seuls compagnons un ordinateur et un téléphone capricieux, elle résiste jusqu'au moment où, privée des soins appropriés, sa santé chancelle. Fin mars 2008, Taslima Nasreen a repris le chemin de l'exil. Ces pages, tissées d'angoisse et de solitude, sont aussi un long cri d'étonnement : pourquoi cette grande démocratie laïque qu'est l'Inde, où elle avait cru trouver enfin refuge et justice, lui a-t-elle infligé cette ultime punition ? De quel péché Taslima s'est-elle rendue coupable ? Celui d'avoir dit la vérité ?

05/2008

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Littérature étrangère

Mémoires de prison

En 1936, Graciliano Ramos est directeur de l'Instruction publique de l'Etat d'Alagoas, dans le Nordeste brésilien. C'est aussi un écrivain connu. Il vient de publier São Bernardo, il achève Angústia (Angoisse). Ce qu'il écrit, ce qu'il pense composent de lui la figure d'un homme libre. Il n'en faut pas davantage alors pour devenir suspect : le climat politique est tendu, Getúlio Vargas prépare le coup d'Etat qui installera la dictature de l'Estado Novo. Les prisons se remplissent. Les communistes sont visés, mais aussi tout ce qui peut faire obstacle aux desseins de l'homme fort du Brésil : la gauche, les libéraux, les intellectuels, les étrangers. Un jour de mars de cette année agitée, Graciliano Ramos est arrêté, sans motif, sans explication. Pendant onze mois ce seront la même opacité, la même angoissante absurdité. Le fond de l'horreur est atteint au bagne d'Ilha Grande, colonie pénitentiaire sous les tropiques. Là sont parqués "politiques" et prisonniers de droit commun. Lorsqu'il quitte la colonie, Graciliano Ramos, à quarante-quatre ans, est un vieillard épuisé. Dix ans plus tard, il entreprend la rédaction de ses Mémoires de prison. Un projet longuement médité, longtemps ajourné. Il y consacrera les dernières années de sa vie. Livre de la mémoire, cet ouvrage ne sera pas un pamphlet politique. Graciliano Ramos se garde aussi de tout exhibitionnisme. Ce qu'il veut, c'est communiquer le plus aigu des sensations, des situations, des sentiments. Cette recherche au fond de soi et des autres était indissociable d'une réflexion sur la véracité du récit : une entreprise de rigueur. "Les prisons sont notre miroir", écrivait à Cannes, il y a quelques années, J. M. G. Le Clézio à propos du beau film de Nelson Pereira dos Santos adapté de ces Mémoires. Ces mots valent pour ce chef-d'oeuvre de la littérature brésilienne.

10/1988

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Littérature française

Carnet de prison

L'auteur, ayant retrouvé par hasard un carnet sur lequel il avait pris des notes pendant un séjour en prison, revoit l'intérieur de la maison d'arrêt avec son rythme, son atmosphère et surtout ses habitants : détenus, surveillants, directeur. Les quatre années de détention dans cet établissement lui reviennent en mémoire. Il fait suivre ces souvenirs des notes prises sur le carnet pendant quelques mois, au temps de sa condamnation en cour d'assises pour une supposée tentative d'assassinat.

04/2017

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Histoire internationale

Carnets de prison

Ces notes furent rédigées en 1992 par Erich Honecker, principal dirigeant de la RDA de 1971 à 1989, dans la prison de Moabit, à Berlin - celle-là même où les nazis l'avaient enfermé dans sa jeunesse - après que les autorités revanchistes de l'Allemagne fédérale eurent lancé toute une série de procès politiques afin de délégitimer par la calomnie le premier Etat socialiste édifié dans la patrie de Marx et Engels. Malgré le caractère sordide de cet emprisonnement et le poids de la maladie qui allait l'emporter, ces notes sont tout sauf pessimistes. Honecker voyait bien que le capitalisme s'était "empêtré dans un noeud de contradictions qui exigent une solution". Se moquant de la croyance selon laquelle "le marché va tout régler", Honecker partait du principe que de nouvelles forces sociales apparaitront inévitablement et construiront de nouveaux rapports sociaux. Et il parvenait à la conclusion dont les marxistes sont convaincus depuis toujours "Soit l'humanité sera précipitée dans l'abime par le capitalisme, soit elle vaincra le capitalisme. Cette dernière solution est la plus vraisemblable et la plus réaliste, car les peuples veulent vivre. Malgré toutes les difficultés et les dangers, malgré la sinistre situation actuelle, je suis et demeure confiant. L'avenir appartient au socialisme".

03/2019

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Poésie

Poèmes de prison

C'est sur du papier hygiénique, des serviettes en papier qu'elle écrit ses poèmes, incarcérée dans les plus dures prisons d'Iran. Son seul crime est d'avoir une foi qui prône l'égalité des droits des femmes et des hommes, le droit à l'éducation, à l'accord entre la science et la religion, à la recherche indépendante de la vérité. Mahvash Sabet fut arrêtée en 2008, et finalement accusée et condamnée en 2010, avec six compagnons, à vingt ans d'emprisonnement pour seul motif d'être baha'ie. Ces poèmes témoignent du courage et du désespoir, de la misère et des espoirs de milliers d'Iraniens luttant pour survivre aux conditions d'extrême oppression.

10/2016

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Allemagne

Lettres de prison

Pour ses positions radicalement pacifistes, Rosa Luxemburg fut arrêtée et emprisonnée à plusieurs reprises entre 1915 et 1919, pour être bientôt assassinée, à coups de crosse de fusils et d'une balle dans la tête, avant que son corps soit jeté dans un canal. Le même jour, Karl Liebknecht, avec lequel elle a fondé la Ligue spartakiste, connaîtra le même sort. C'est à la femme de ce dernier, Sonia, que sont adressées ces Lettres de prison. A son plus grand étonnement, certainement, le lecteur y découvrira un véritable hymne, sans nul autre pareil, à la vie comme à la nature. D'un stoïcisme incomparable, en effet, Rosa Luxemburg s'attache, au fil des jours, aux mouvements du ciel et de ses couleurs, aux animaux, aux plantes qui peuvent l'entourer et qu'elle observe avec tendresse et félicité. Rien ne lui est indifférent, un moindre bourdonnement, la forme d'une pierre, les signes infimes du passage des saisons... Ce sont là des pages violemment émouvantes, d'une douceur sans équivalence. On pourrait presque dire : d'un grand bonheur. En ce sens, Marcel Conche a-t-il sans doute pleinement raison de noter que la sympathie de Rosa pour toutes les formes de la vie est si forte qu'elle trouve un réconfort dans la pensée que, quoi qu'il en soit de l'avenir de l'homme, des échecs humains, y compris de l'échec possible de la révolution, il y aura toujours la vie.

10/2022

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Asie du sud-est

Journal de prison

Il mérite d'être appelé le "Nelson Mandela bengali". Sheikh Mujibur Rahman fut emprisonné pendant dix ans de sa vie pour avoir rêvé d'un Bengale libre où l'identité culturelle bengalie serait plus importante que l'identité religieuse musulmane majoritaire. Il était entré en politique dans les dernières années de la lutte des Indiens pour s'affranchir du joug britannique. Issu d'une famille musulmane de la classe moyenne rurale du Bengale, il fut d'abord enthousiasmé par la création du Pakistan, un Etat séparé qui serait le refuge des musulmans de l'Inde libérée des Anglais. Mais il devait déchanter dés le lendemain de la création du nouvel Etat, le 14 aoùt 1947. L'imposition de l'ourdou comme langue officielle unique du Pakistan, alors que le Pakistan-Oriental d'expression bengalie représentait les deux tiers de la population totale du pays, constitua le premier acte d'une longue série d'agressions contre le peuple bengali. Dès lors, Sheikh Mujibur Rahman, avec son parti, la Ligue Awami, allait vouer sa vie k la cause d'un nationalisme bengali, d'abord linguistique et culturel, puis politique, administratif et économique. Ce long combat fut aussi un combat pour la démocratie, contre la dictature du général Ayub Khan, qui abattit sa répression sur le pays k partir de 1958. Son rôle de dirigeant de ce mouvement légaliste et non-violent devait valoir k Sheikh Mujibur Rahman le titre populaire de "Bangabandhu", l'"Ami du Bengale". Mais l'intransigeance des militaires et de la classe politique de la partie occidentale du pays, face à la victoire des partisans de Sheikh Mujibur Rahman dans les urnes, devait conduire à la sécession de la partie orientale du pays, en 1971, suivie d'une guerre pour la libération du Bengale. La victoire, favorisée par l'intervention militaire indienne en décembre 1971, aboutit à la naissance d'un nouveau pays sur la carte du monde : le Bangladesh. Sheikh Mujibur Rahman en fut le premier dirigeant, avant d'être assassiné lors d'un coup d'Etat, le 15 août 1975.

06/2021

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Poésie

Poèmes de prison

Iouli Daniel, né à Moscou en 1925, est le fils d'un auteur connu de pièces de théâtre et de nouvelles en yiddish. Envoyé au front en 1943, grièvement blessé, il devient professeur de littérature en province en 1951. En 1954, il rentre à Moscou et se consacre entièrement à la poésie. Ses nouvelles publiées en Occident sous le pseudonyme de Nicolas Arjak lui valent d'être arrêté, avec Siniavsky, en 1965. Les Poèmes de prison, son premier recueil de vers publiés, sont ceux qu'il écrivit entre le moment de son arrestation jusqu'à son départ dans un camp de travaux forcés. Iouli Daniel y parle de sa condition et de son malheur. Libéré en 1970, interdit de séjour à Moscou, Iouli Daniel est mort en 1988.

03/1973

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Littérature française

Sortie de Prison

Je suis née dans une prison particulière. La prison que mon père avait bâtie pour l'ensemble de notre famille. Dans cet vous partage, je vous partage les écrits de ma vie. Ce livre est une idée du courage, de la liberté et un soutien à chaque femme qui subi, qui encaisse, qui a peur, se tait et qui ne sait pas comment s'en sortir. La liberté ne porte pas le même sens pour chacun d'entre nous. Nous naissons tous libres et égaux, ce sont les circonstances de la vie qui nous différencient.

03/2021

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Divers

Carnet de prison

Chronique de deux années et demie d'intervention en maison d'arrêt On m' avait prévenu, " soit tu ne tiens pas plus de deux heures, soit tu es fasciné. " Entré en prison pour donner des cours de dessin à des détenus, j' y suis resté deux ans ! " Mais qu' est-ce que tu fous ici ? " me demandent d' abord mes élèves. Etablir ma place puis la préserver va me demander une énergie considérable et une vigilance de chaque instant jusqu' au moment où, enfin, la confiance s' installe. Et là, les langues se délient... parfois même jusqu' à parler d' évasion ! Je m' étais préparé à découvrir un univers brutal et désolé, j' étais loin du compte. Cette expérience et ces rencontres sont au coeur de mon Carnet de prison .

03/2023

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Romans historiques (poches)

Le Moghol blanc. L'histoire vraie d'une passion tragique dans l'Inde du XVIIIe siècle

James Achilles Kirkpatrick débarque en Inde habité par une seule ambition : devenir officier dans l'armée de la Compagnie anglaise des Indes orientales. En 1798, il est nommé Lord Resident à la cour du nizam où il aperçoit Khair un-Nissa, la petite-nièce du Premier ministre d'Hyderabad. Dès lors, il n'aura de cesse de conquérir le coeur de cette jeune beauté, déjà promise à un autre. Kirkpatrick finira par se convertir à l'islam pour l'épouser, dépassant ainsi toutes les limites culturelles, religieuses et politiques de son temps... William Dalrymple livre une captivante fresque de l'Inde du XVIIIe siècle, admirablement documentée, sur fond de guerre coloniale, d'intrigues de harem et d'espionnage.

03/2014

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Littérature française

Une vraie sainte nitouche

Cette fiction se situe à l'aube du vingt et unième siècle, 20 ans avant "Me too" . Maryse Honoré y raconte les tribulations d'une femme qui cherche désespérément à se libérer de l'emprise patriarcale. Echappant à la maltraitance conjugale, Julie, son héroïne, se retrouve confrontée à celle d'un système judiciaire peu enclin à la soutenir. Certes, le phénomène "Me too" a enfin libéré la parole des femmes, mais au-delà de la reconnaissance des maltraitances sexuelles et sexistes dont elles ont été victimes, il faudra continuer à lever le voile sur l'hypocrisie des institutions intrinsèquement porteuses de eprésentations patriarcales de la domination masculine.

12/2022

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Récits de voyage

La femme du cartographe. Une histoire vraie d'amour, de meurtre et de survie en Amazonie

Un dimanche d'octobre 1769, la fille du gouverneur de Riobamba, en Equateur, prit la tête d'une expédition de quarante et une personnes pour retrouver son mari qu'elle n'avait pas revu depuis vingt ans. Son nom était Isabel Gramesón. Son époux, Jean Godin des Odonais, un des savants de la première exploration scientifique française en Amérique latine, l'attendait en Guyane française. Entre les deux, 4 800 kilomètres, que la jeune femme allait parcourir au péril de sa vie, d'un bout à l'autre du continent, à travers les chemins escarpés de la cordillère des Andes et les flots tumultueux de l'Amazone. Jusqu'aux retrouvailles du couple, après huit jours passés à errer seule dans la jungle, en proie à la faim et aux bêtes sauvages, unique survivante de cette folle équipée. Une histoire palpitante, servie par un sens aigu du récit et du suspense, qui réunit habilement histoire d'amour, intrigue et érudition. Consacré à sa parution comme l'une des meilleures biographies par l'American Library Association et déjà traduit en neuf langues, le livre a rencontré aux Etats-Unis un succès immédiat.

02/2018

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Poches Littérature internation

De la prison à l'éveil

Condamné à sept ans et demi de prison aux Etats-Unis, Satyam Nadeen passe les deux premières années de sa réclusion dans un quartier de haute sécurité. C'est là, dans les pires conditions de vie, au milieu de la violence quotidienne, qu'il a soudain la conscience, vaste et lumineuse, de ce qu'est la vraie réalité. Dans un style drôle et incisif, l'auteur nous raconte comment il est passé de la vision étriquée de Monsieur Tout-le-monde, avec ses préjugés, à la vision transcendante qui permet de voir les choses telles qu'elles sont dans leur clarté essentielle. Il explore au passage les thèmes communs à toute recherche spirituelle, quelle que soit la tradition où elle s'inscrit : le libre arbitre, la prière, l'amour, la compassion, le rôle de l'instructeur... Il sait se montrer tendre, mais aussi impitoyable, avec les idées reçues qui ont fait l'âge d'or du New Age.

06/2012

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Histoire littéraire

Vrain-Lucas. Histoire d'un incroyable faussaire

Voici le récit de la plus incroyable arnaque perpétrée par le "plus grand faussaire en écritures jamais épinglé", le sieur Denis Vrain Lucas qui fut condamné pour avoir vendu au mathématicien Michel Chasles – celui de la relation du même nom – plus de 27 ? 000 fausses lettres de célébrités allant de l'Antiquité jusqu'à la fin du XVIIe siècle. Cette stupéfiante affaire qui se déroule sous le Second Empire, n'aurait pu se développer sans l'extraordinaire engouement suscité au XIXe siècle par les autographes de personnages illustres.

03/2022

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Lecture 9-12 ans

Les histoires (presque) vraies de Mathilda

Dans son carnet, Mathilda écrit tout ce qui lui passe par la tête et transforme son quotidien en histoires, toutes plus farfelues les unes que les autres. Son modèle absolu est anglaise et romancière, et évidemment, elle est prête à tout pour la rencontrer ! Un roman pétillant et richement illustré à la fantaisie débordante.

06/2019

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Résilience

Résilience. Comment renaître de ses cendres, histoire vraie

Après 25 ans de mariage avec un pervers narcissique (sans le savoir) Estelle comprend enfin que cette révélation va changer sa vie. Après les violences physiques, verbales, et psychologiques qu'elle a su encaisser pendant de trop nombreuses années, elle décide de divorcer car elle réalise que c'est la seule issue pour rester en vie. Elle nous explique ici son cheminement de développement personnel, et comment elle a réussi à se libérer de l'emprise de son bourreau, à reprendre confiance en elle et en la vie, à surmonter ses peurs... Plus qu'une autobiographie, ce livre veut délivrer un message d'espoir et des outils pour pouvoir renaître après avoir vécu l'enfer. Ecrit avec philosophie, optimisme et humour, ce premier essai très intime fait mal autant qu'il fait du bien.

03/2023

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Littérature étrangère

Ici, les femmes ne rêvent pas. Récit d'une évasion

Rana, dix ans, fonce sur son vélo flambant neuf. Heureuse, insouciante, choyée par son père, un vent de liberté lui caresse le visage. Quinze jours plus tard, c'est terminé. Son vélo est donné à l'un de ses oncles. Encore quelques mois et elle devra, pour être une bonne musulmane aimée d'Allah, porter l'abaya noire sur son corps, le niqab sur son visage et le tarha sur sa tête et ses épaules. Ensuite, ses parents lui trouveront un mari et elle sera condamnée à ne plus rien faire que la cuisine, le ménage et ses cinq prières par jour. C'est la loi. Il ne reste à Rana que ses yeux pour pleurer et contempler son monde : l'Arabie saoudite des années 2000. Mais sur ce monde, elle porte un regard impitoyable. La frustration sexuelle fabrique des obsédés et des hypocrites. L'obsession et l'hypocrisie transforment les hommes en ennemis de leurs propres soeurs, filles ou épouses. Les agressions et les violences quotidiennes donnent aux femmes l'envie de fuir. Très peu réalisent ce rêve fou. Rana sera l'une d'elles. Elle n'a jamais oublié le vent de liberté de ses dix ans, elle est prête à tout pour le retrouver et en jouir, et, cette fois, en adulte.

10/2018

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Littérature française

L histoire vraie d un enfant sauvage en france. Memoire sur victor de l aveyro

Victor de l'Aveyron est un enfant sauvage français, peut-être né dans le Tarn vers 1785, trouvé dans l'Aveyron en 1797, alors qu'il a environ douze ans. Il meurt de pneumonie à Paris en 1828. Une approche clinique montre que ses nombreuses cicatrices atypiques ne relèvent pas de la vie en forêt, mais de maltraitances graves et de tentative d'homicide (longue cicatrice linéaire en regard du larynx, causée par un objet tranchant). Sa désocialisation apparaît mineure (il vient se chauffer près du feu dans les maisons, accepte de manger des aliments cuits et de dormir dans un lit), voire insignifiante si on la compare avec celle de l'autre enfant sauvage Marie-Angélique le Blanc. Victor de l'Aveyron est rétrospectivement décrit comme un enfant autiste, probablement abandonné par sa famille et comme un enfant martyr.

02/2023

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Développement durable-Ecologie

Splendeurs & misères d'un permaculteur. 15 ans d'histoire vraie

Dire que la permaculture a le vent en poupe est un euphémisme ! Ce mot "magique" est devenu le Graal de toute une population en quête de sens et d'autonomie, d'un mode de vie plus sain, respectueux de l'homme et de l'environnement, en adéquation avec les ressources de notre planète. Stuart Anderson et son épouse Gabrielle ont eux aussi décidé un jour de s'engager dans cette voie, forts d'un savoir théorique solide et de leur certitude de pouvoir faire face aux difficultés susceptibles de se présenter. Bien leur en a pris car ils y sont effectivement parvenus, mais non sans tâtonnements, erreurs, remises en question... C'est ce parcours que Stuart relate aujourd'hui avec modestie, enthousiasme, recul et... un humour très british, en souhaitant avant tout partager sa réflexion sur la mise en pratique de la permaculture et sa conviction qu'il n'existe pas de modèle permacole. Pour lui en effet, la permaculture prend autant de formes qu'il y a d'êtres humains qui la pratiquent, et il convient à chacun de s'en approprier les principes, selon sa personnalité, ses moyens, son environnement, son objectif... Un retour d'expérience très incarné qui, sans éluder aucune des difficultés rencontrées, réaffirme la justesse et la pertinence de l'approche permaculturelle, à condition qu'elle soit bien comprise.

10/2019