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Le Groupe de Roubaix. Une aventure artistique, 1946-1975

Extraits

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XXe siècle

Dans l'intimité des Windsor. 1940-1945

Pour échapper aux bombardements qui menacent Londres en 1940, Alathea Fitzalan Howard, dix-sept ans, est envoyée chez son grand-père au domaine de Cumberland Lodge, à quelques pas du château de Windsor. Adolescente solitaire, elle trouve l'affection dont elle rêvait grâce à son amitié privilégiée avec ses nouveaux voisins : le roi George VI et son épouse, et leurs filles, les princesses Elizabeth et Margaret. Ensemble, elles aiment les fêtes, les soirées cinéma et les pique-niques. Mais la guerre n'est jamais loin. Leur quotidien est rythmé par les sirènes nocturnes, le souvenir des jeunes gens envoyés au front et l'hôpital de campagne où Alathea travaille comme bénévole. Inédit jusqu'à ce jour, le journal intime d'Alathea dévoile le portrait franc et plein de vie de la famille royale et de la princesse Elizabeth, jeune fille chaleureuse et discrète, déjà en route vers son destin.

04/2021

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Armes

Pugnali italiani (1915-1945). Les poignards italiens

Le poignard de combat italien commence sa longue carrière au coeur même des tranchées de la Première Guerre mondiale. Adopté par les "Compagnies de la mort" dès la fin de l'année 1915, il est l'instrument de mort des troupes Arditi qui sèment la terreur chez leurs ennemis autrichiens. A partir de cette période, le poignard de combat devient le symbole de "l'Arditisme" repris à son compte par le fascisme qui l'utilise pour ses Chemises noires et toutes ses unités d'élite jusqu'à sa chute en 1945. Ce livre vous fait découvrir, au travers d'une soixantaine de poignards, les différents modèles utilisés par les troupes d'assaut italiennes. Chaque poignard est présenté à travers une fiche technique afin d'aider le collectionneur à l'identifier et à l'authentifier. Un outil indispensable pour le passionné d'armes blanches mythiques.

03/2023

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XXe siècle

Dans l'intimité des Windsor - 1940-1945

Pour échapper aux bombardements qui menacent Londres en 1940, Alathea Fitzalan Howard, dix-sept ans, est envoyée chez son grand-père au domaine de Cumberland Lodge, à quelques pas du château de Windsor. Adolescente solitaire, elle trouve l'affection dont elle rêvait grâce à son amitié privilégiée avec ses nouveaux voisins : le roi George VI et son épouse, et leurs filles, les princesses Elizabeth et Margaret. Toutes les trois, elles aiment les fêtes, les soirées cinéma et les pique-niques. Mais la guerre n'est jamais loin. Leur quotidien est rythmé par les sirènes nocturnes, le souvenir des jeunes gens envoyés au front et l'hôpital de campagne où Alathea travaille comme bénévole. Le journal intime d'Alathea dévoile le portrait franc et plein de vie de la famille royale et de la princesse Elizabeth, jeune fille chaleureuse et discrète, déjà en route vers son destin.

10/2022

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libération, capitulations

Dunkerque, la dernière forteresse nazie (1944-1945)

Dunkerque est la ville française la plus longtemps occupée par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, et une des dernières du IIIe Reich à capituler, après Berlin. A partir de septembre 1944, et huit mois durant, la cité portuaire a été transformée en véritable forteresse, dont Hitler ordonna qu'elle soit défendue coûte que coûte, jusqu'à la mort si nécessaire. Nourri par des archives inédites, cet ouvrage dévoile les dessous d'un siège où des centaines de civils français ont éprouvé la faim et la soif, avant d'être internés dans des camps sur ordre de l'occupant. C'est aussi l'épopée tragique et suicidaire d'une armée allemande coupée du Reich, déterminée à ne se rendre sous aucun prétexte. Les soldats de Dunkerque sont placés sous l'autorité d'un impitoyable vice-amiral, Friedrich Frisius, qui fait preuve d'un entêtement suicidaire et va même jusqu'à ordonner, en 1945, une ultime offensive, la dernière sur le territoire français de toute la guerre. Et de fait, alors que la plupart de la France est libérée, Dunkerque continue de résister, au grand dam du commandement américain. Voici le récit tragique et sanglant de cette aventure aussi folle que désespérée, dernier acte de la Seconde Guerre mondiale tombé dans l'oubli et qui constitue pourtant une tragédie française.

05/2023

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Sciences historiques

Le rétablissement de la démocratie dans la Manche libérée (1944-1945)

Cette étude s'intéresse à l'évolution politique dans la Manche entre l'été 1944 et les élections générales de l'automne 1945. Reflétant une vision d'en-bas, elle permet de dresser un état des forces politiques dans le département et de démontrer l'absence d'un bouleversement. Alors que la presse locale entend se reconstruire en rompant avec le passé, les syndicalismes ouvrier et paysan optent pour la continuité. Des dirigeants de la Corporation paysanne se retrouvent à la tête de la FDSEA. Dans la Manche tout particulièrement, la Libération consacre un héros, le général de Gaulle, applaudi avant d'être plébiscité. Les partis politiques anciens et nouveaux rendent hommage au chef du GPRF et lui accordent leur confiance, à l'instar des conseils municipaux et du conseil général. Alors que le MRP se constitue en parti de la fidélité au Général et en tire un grand profit aux consultations électorales nationales, la sphère politique est marquée par une remarquable stabilité des rapports de force droite/ gauche. La domination de la droite n'est guère entamée tandis que le personnel politique est profondément renouvelé sans que son profil sociologique change pour autant.

10/2016

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Histoire de France

Guy Eclache, enquête sur un ultra de la Collaboration. 1940-1945

Le parcours de Guy Eclache, ennemi public n°1 de l'Isère à la Libération. De l'enfance de Guy Eclache passée dans la Creuse à son exécution à Grenoble le 20 octobre 1945, ce livre tente de comprendre comment cet homme est devenu l'un des meneurs du milieu collaborationniste grenoblois, membre de la Waffen SS, reconnu coupable de dizaines de pillages, meurtres, tortures et dénonciations de Juifs et Résistants. A travers l'examen des archives administratives et médiatiques de l'époque, Séverine Germain analyse la dérive progressive d'un Français sous l'Occupation. Elle dessine le portrait d'un homme qui, à la faveur de la guerre et des circonstances exceptionnelles mises en place par le régime de Vichy, devient un collaborateur acharné et sadique. Si c'est à Grenoble que sévit Guy Eclache, l'homme n'en reste pas moins emblématique des collaborateurs qui ont oeuvré en France à l'époque : son visage est celui d'une tenace rancoeur idéologique envers la démocratie qui trouve dans les circonstances de la Collaboration et de l'Occupation l'occasion de s'exprimer sans retenue. A l'heure de la résurgence de l'extrême-droite partout en Europe, il est utile de rappeler ce qu'a produit l'avènement du régime de Vichy. Retracer le parcours d'un ultra de la Collaboration, c'est aussi, d'une certaine manière, rendre encore et toujours hommage aux Résistants.

09/2018

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Histoire internationale

Tito de Alencar (1945-1974). Un dominicain brésilien martyr de la dictature

Raconter l'histoire de Tito, c'est revenir sur la dictature militaire mise en place au Brésil en 1964. Installée sous le nom de "révolution rédemptrice", la dictature supprima le Parlement, gouverna par des actes institutionnels et mit en prison les opposants politiques. A cette opposition, va alors s'associer la partie de l'Eglise catholique qui avait choisi le christianisme de la libération. Des laïcs, des prêtres et des religieux, notamment des dominicains, en font partie. Ce livre suit les traces de l'un d'entre eux, Tito de Alencar. En 1968, le dominicain Tito a 23 ans quand il s'engage, avec plusieurs de ses frères, dans des actions de soutien à la résistance et notamment à l'Action de libération nationale (ALN), dirigée par Carlos Marighella. Arrêté et emprisonné la nuit du 4 novembre 1969, Tito sera immédiatement interrogé sous la torture par l'équipe du commissaire Sérgio Fleury, puis transféré en d'autres centres où les actes de tortures reprendront. Echangé avec soixante-neuf autres prisonniers politiques contre l'ambassadeur suisse, capturé par un commando de résistants, il sera libéré mais banni du pays en janvier 1971. Réfugié en France, il se suicida quelques années plus tard. La torture avait réussi à le détruire de l'intérieur, transformant sa vie en un enfer de délires et d'hallucinations. Lors de l'édition brésilienne de cet ouvrage en 2014, des personnalités en ont souligné la portée. "Le livre a changé la vision que j'avais de l'engagement des dominicains à l'époque" (Bernardo Kucinski, écrivain). "Il n'y a pas dans cette oeuvre matière à spéculations doctrinaires. Tout est direct et vivant, comme se doit d'être le témoignage d'amis et compagnons qui ont partagé dans le danger les mêmes valeurs" (Alfredo Bosi, écrivain, professeur de littérature brésilienne et académicien). "Quel bel exemple de compréhension et de respect de sa tragique aventure chrétienne de liberté ! " (Magno Vilela, historien et ex-dominicain). Publié aujourd'hui en français, ce livre vaut en lui-même pour l'honneur de Tito. Il vaut aussi pour notre époque, où la liberté et la justice restent toujours à préserver, ou à conquérir et reconquérir.

10/2020

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Sciences historiques

Les ingénieurs des Ponts au service de l'Afrique. Témoignages, 1945-1975

Cet ouvrage présente l'histoire vécue par les ingénieurs des Ponts qui ont participé pendant une trentaine d'années (1945-1975) au développement économique et social de l'Afrique francophone pendant les années qui ont précédé et suivi le moment historique de leur indépendance. Présenté sous forme de témoignages, il traite d'aspects méconnus de l'action de ces aménageurs et bâtisseurs en Afrique qui, fidèles vis-à-vis de l'Etat qui les avait envoyés, révèlent également leur attachement à ces pays devenus indépendants et dans lesquels ils avaient débarqué. Ces témoignages permettent notamment de redécouvrir quels étaient, alors, les réalités économiques et sociales de ces pays, les difficultés de toutes sortes que rencontraient ces ingénieurs, les solutions qu'ils ont mises en oeuvre pour les surmonter et les souvenirs les plus marquants qu'ils ont gardés de cette grande aventure. Ainsi, et tandis que nombre de ces Etats célèbrent le cinquantième anniversaire de leur indépendance,.Les ingénieurs des Ponts au service de l'Afrique constitue une contribution originale à l'histoire du développement de ce continent.

05/2010

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Histoire de France

Journal d'une lycéenne sous l'Occupation. Toulouse 1943-1945

"En 1944, j'avais 17 ans, dit Aline, et le sentiment de vivre au coeur de l'Histoire, avec un grand H. Je comprenais que nous vivions une période exceptionnelle et qu'il fallait noter ces souvenirs". N'est-ce pas ce qu'on appelle l'histoire vivante ? En effet, comment ne pas écrire un journal sous l'Occupation quand on a 17 ans ? Comment ne pas raconter la vie comme elle vient, quand on est élève au lycée Saint-Sernin de Toulouse et future enseignante ? Aline décrit les aléas du ravitaillement, les collectes pour sinistrés, les vols de vêtements, elle parle d'une cousine de son père déportée à Ravensbrück, des bombardements, des sorties au théâtre, au cinéma... C'est aussi cela la guerre. Erudite, la pétillante lycéenne se nourrit de Montaigne et d'Hugo, remparts contre la morosité d'une époque où les pourfendeurs de l'esprit laïc tiennent le haut du pavé. Puis, comme les violettes annoncent le printemps, la liberté vivace reprend ses droits. Sa plume témoigne alors des combats du faubourg, de la libération de la ville et de l'arrivée du général de Gaulle au Capitole. Le regard qu'Aline porte sur son journal - 70 ans après sa rédaction - en éclaire la compréhension et nous invite à une lecture subtile de l'histoire de Toulouse. Thierry Crouzet et Frédéric Vivas "accompagnent" ce journal intime et mettent en évidence les problématiques d'hier qui questionnent celles d'aujourd'hui.

04/2013

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Histoire de France

La France sous les bombes américaines 1942-1945

En une seule journée, le 27 mai 1944, les bombardiers américains ont tué autant, sinon plus, de civils français innocents qu'il y a eu de victimes tout aussi innocentes dans les Twin Towers de New York, lors du double attentat du 11 septembre 2001. Les Français d'aujourd'hui se souviennent des bombardements atomiques sur le Japon en août 1945, mais ignorent que les bombardements anglo-américains dans leur propre pays ont fait presque autant de victimes (70 000) que la bombe atomique de Hiroshima (75 000) et beaucoup plus que celle de Nagasaki (40 000). Amnésiques de leur propre histoire, nos compatriotes ont tous appris que Coventry, bombardée par la Luftwaffe dans la nuit du 14 au 15 novembre 1940, est une ville martyre, mais ne savent pas que le nombre de morts qui a résulté de ce raid aérien (380) est presque de cinq fois inférieur à celui des victimes françaises du bombardement américain de Marseille (1.752 morts), le 27 mai 1944. Or, la cité phocéenne n'a jamais été qualifiée de ville martyre, pas plus que les autres agglomérations françaises écrasées sous les bombes américaines, que ce soit Saint-Etienne (1.084 morts), Nantes (1 500 morts), Lyon (717 morts), Avignon (525 morts), Le Portel (500 morts), Rennes (500 morts), Toulon (450 morts) ou Nice (384 morts), pour ne pas citer Rouen dont les 200 morts des bombardements américains du 30 mai au 4 juin 1944 sont venus s'ajouter aux 900 victimes du bombardement anglais de la nuit du 18 avril 1944. Dans le climat d'hystérie qui a suivi les trois attentats de New York et de Washington, Jean-Claude Valla a jugé utile de raconter ce qu'ont subi les malheureux Français pris sous les bombes américaines, car Oussama Ben Laden et ses "fous de Dieu" n'ont pas innové en matière de destructions d'immeubles d'habitation et d'assassinats collectifs d'innocents. Le moment était venu d'évoquer cette tragédie trop souvent occultée ou déformée par l'hypertrophie d'une Mémoire sélective.

08/2017

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Littérature française

Le dernier train pour l'apocalypse. 1942-1945

Ce fut un choc terrible qui me tombait sur la tête dès mon retour des camps, alors que je reprenais peu à peu du poil de la bête et que tout allait bien pour ma pomme. A la lecture de ce courrier fort mal venu, je fus totalement anéanti par cette tragique nouvelle, car je croyais vraiment revoir vivants mes vieux parents et pensais qu'ils avaient survécu à cette terrifiante guerre apocalyptique. Il fallait absolument que je me reprenne en main et que je reste réellement positif face à ce mauvais coup du sort. Finalement, c'était peut-être leur destin de finir ainsi... Les paroles du grand rabbin juif à la barbe fleurie, dans la file d'attente au camp de concentration d'Auschwitz II-Birkenau, me revinrent en mémoire : "Tu vois la haute cheminée qui crache de la fumée blanche, ce sont les corps de milliers de Juifs innocents qui brûlent, mais seules leurs âmes montent vers les cieux". Mes parents étaient peut-être au ciel avec mes amis ? Dès lors, j'en pris mon seul parti. A présent que tout est revenu presque à la normale, je reprends la marche de mon voyage avec courage. Seulement la route sera longue pour oublier définitivement les tourments impitoyables d'une terrifiante période, où la paix n'existait déjà plus dans ce monde bafoué par cette sauvagerie, où la bestialité l'emportait sur l'humanité, et surtout pour faire disparaître les cicatrices indélébiles gravées durablement dans la mémoire d'un homme terriblement égaré par ces effroyables années de guerre insensée.

10/2018

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Ouvrages généraux

Compiègne. Des ruines à la renaissance 1940-1945

Fortement touchée par les bombardements allemands en mai 1940, encore atteinte en 1944 par les bombardements alliés, Compiègne sortit meurtrie de la Seconde Guerre mondiale. Son centre ancien dévasté, du pont sur l'Oise à la place de l'Hôtel-de-ville en passant par l'axe commercial majeur de la rue Solférino, imposait une importante reconstruction. Compiégnois d'origine, l'architecte en chef et urbaniste Jean Philippot (1901-1988), conçut le nouveau plan de la ville dans un esprit néo-classique inspiré de l'architecture du château de Compiègne, reconstruit par Ange-Jacques Gabriel au XVIIIe siècle. Il fut notamment secondé par André-Louis Guillaume (1906-1982), architecte et photographe, qui prit de nombreux clichés des destructions de la guerre, de la vie difficile des habitants au milieu des ruines puis des étapes de la renaissance de la cité jusqu'à l'achèvement de sa reconstruction en 1955. S'appuyant principalement sur son oeuvre photographique inédite, ce livre présente nt illustre avant tout les grands moments et les images fortes de notre ville, de ses désastres et de sa renaissance au milieu du XXe siècle.

02/2021

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ouvrages généraux

Miliciens et gestapistes dans le Jura 1940-1945

Bras armé de la révolution nationale impulsée par Vichy, la Milice devint en quelques mois une véritable force paramilitaire au service non seulement du régime de Pétain, mais aussi de l'occupant. Ses excès en firent le symbole le plus détesté de la collaboration franco-allemande. Près de trente mille Français se rallièrent au mouvement dirigé par Joseph Darnand, environ deux cents dans le Jura. Qui étaient-ils, quelles étaient leurs motivations ? L'auteur a suivi les itinéraires personnels de plusieurs d'entre eux. Les miliciens jurassiens furent mêlés à de nombreux drames de l'Occupation, comme le massacre du Pont de la Pyle, la grande rafle de Mont-sous-Vaudrey... Ils furent opposés à la Résistance dans de sanglants face-à-face, parfois tombés dans l'oubli, dont les instants sont ici fidèlement restitués. Des résistants jurassiens parvinrent à infiltrer la Milice et à en déjouer les plans... L'auteur s'est également intéressé à de mystérieux Français opérant aux côtés des nazis, et que l'on confondit souvent avec la Milice : c'était la SAC, un groupuscule qui se fit remarquer avec Müller-Kulenkampff, surnommé à Lons-le-Saunier " l'âme de la Gestapo ". Des miliciens jurassiens, comme Michaux, dit " la Patate ", firent partie du dernier carré combattant avec Darnand dans le nord de l'Italie. D'autres se retrouveront dans la division SS Charlemagne et feront le coup de feu, aux derniers jours de la guerre, dans les ruines de Berlin. Mais tous ne poussèrent pas aussi loin le fanatisme, et se contentèrent, dans leurs villages, de relayer la propagande de Vichy. Ces derniers sont aussi présents dans ce livre, première étude régionale de la Milice, dont le cadre géographique a été étendu aux régions de Dijon et Besançon. La présente édition est une version augmentée et enrichie de celle publiée en 2013, le lecteur y trouvera de nombreux documents photographiques, la plupart encore inédits.

11/2022

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Religion

Histoire d'une vocation. Karl Leisner (1915-1945) suivie d'un recueil de pensées

Karl Leisner. Un jeune bien dans sa peau, profondément chrétien, amoureux de vie au grand air. Un beau garçon, sensible à la grâce féminine, qui aura fort à lutter contre sa sensualité. Un chrétien appelé au plus haut service, et qui parvient au sacerdoce par une voie bien étrange... Que le Seigneur lui demande le sacrifice de son grand et pur amour pour Elisabeth, passe encore, mais pourquoi se voit-il ensuite condamné au sanatorium pour tuberculose, puis envoyé pourrir vivant au camp de la mort de Dachau? Dieu aurait-il changé d'avis ? Non, car au moment le plus inattendu, le Seigneur vient récompenser son bon et fidèle serviteur. Tout le camp de concentration de Dachau se mobilise, dans le plus grand secret, en vue de son ordination et de sa première messe. Au nez et à la barbe des gardiens se déroulent ces incroyables moments de grâce et d'amour, au milieu d'un univers de haine. Ses compagnons de détention ont fait connaître dans toute l'Europe cet événement exceptionnel. Avec clarté et précision, l'auteur nous montre le cheminement intérieur de cette vocation vraiment unique qui vit jusqu'au bout le " chèque en blanc " signé entre les mains de la Vierge Marie. C'est que Karl Leisner croit profondément en la devise du mouvement de Schönstatt auquel il appartient : Le serviteur de Marie ne périra jamais. La Mère y pourvoira.

07/2010

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Histoire internationale

Une mère en prison ou l'apprentissage de la résistance. Uruguay 1972-1976

Un jour, Viviana Burgos, jeune femme de 22 ans, voit le monde autour d'elle s'effondrer. Idéaliste, pleine d'espoir et un peu naïve, elle se trouve soudain transportée dans le monde des ténèbres des casernes militaires où le régime totalitaire uruguayen des années 1970 enfermait ses prisonniers politiques. Alors son voyage initiatique commence. Seule, enceinte, puis avec son nouveau-né, en compagnie d'autres femmes, mères avec leurs enfants elles aussi, séparée de sa fille plus tard et seule à nouveau, elle réapprend que la force de la source intérieure de chacun reste le seul rempart face à l'éternelle oppression. C'est un "voyage" réel et imaginaire, habité par la souffrance, les illusions et les souvenirs qui se tissent et se mêlent, s'attirent et se repoussent comme les pôles d'un aimant tout au long du récit. En 1978, elle part en exil et commence, avec sa famille, une nouvelle vie à Paris.

05/2017

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Histoire de France

Comment sont-ils devenus résistants ? Une nouvelle histoire de la résistance (1940-1945)

Depuis plus de 30 ans, le grand historien britannique Robert Gildea étudie l'histoire de la Résistance en France. Ce livre présente sous un jour nouveau toutes les formes de lutte contre l'occupant des plus célèbres jusqu'aux oubliées par la mémoire officielle. Le livre est le fruit de plusieurs dizaines d'années de recherches et d'enquêtes conduites en France. Chaque chapitre présente un groupe typique de résistants, illustré par des témoignages, à un moment de l'Occupation. C'est la force de l'histoire orale pratiquée par un grand expert : les anecdotes enrichissent l'analyse et illustrent la synthèse. On voit sous un autre oeil l'Occupation, qui a souffert de non-dits et d'une réécriture politique : le général de Gaulle, les communistes, les lobbys de victimes.

04/2017

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Histoire de France

une histoire de la deuxième Guerre mondiale. Tome 5, 1944-1945, le triomphe de la liberté

Bientôt le Débarquement, bientôt la Libération, c'est ce qu'espèrent les Français en janvier 1944. Mais le chemin est encore long jusqu'au tombeau du IIIe Reich, la capitulation allemande. C'est cette marche vers le triomphe de la liberté que Max Gallo raconte, achevant ainsi sa grande Histoire de la 2e guerre mondiale. 1944 : Roosevelt et Churchill mettent en place le débarquement des troupes anglo-américaines sur les côtes normandes prévu le 6 juin 1944. De Gaulle, maintenu à l'écart, rêve de fouler le sol français libéré par son peuple et de rendre à la France sa souveraineté. Prises en étau par les forces alliées, les puissances de l'Axe capitulent les unes après les autres. En France, la violence monte, barbare, sanglante. La Résistance s'unit et s'organise, les maquisards des Glières et du Vercors se sacrifient, alors que miliciens, collaborateurs et soldats allemands, en représailles, massacrent des innocents. Hitler, qui échappe à un attentat fomenté par son propre camp en juillet 1944, et malgré la débandade de ses troupes, croit encore à la victoire ; mais, devant l'entrée des Russes à Berlin, il se suicide d'une balle dans la tête, laissant une semaine plus tard ses généraux signer la reddition sans condition de l'Allemagne le 8 mai 1945. Dans le Pacifique, les combats sont acharnés. Pour faire plier les Japonais, l'état-major américain utilise l'arme atomique : sur Hiroshima, le 6 août 1945, et sur Nagasaki, le 9 août. Le 2 septembre, les Japonais ont capitulé, l'armistice est signée. 1945 : au prix de dizaines de millions de morts, la paix est revenue, la liberté a triomphé. Un nouveau monde est à construire.

01/2012

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Littérature française

Jours de tropique. 1946-1955

Après la fin de la seconde guerre mondiale, François ne se sent pas à sa place dans le train-train de sa vie parisienne. Ambitieux, et souhaitant échapper à la présence permanente de ses beaux-parents qui ont ruiné son mariage, il décide d'expatrier sa famille en Afrique. Il rêve d'une carrière brillante et d'un amour inconditionnel sous les tropiques. Il raconte dans un journal les 8 années passées là-bas, ses missions, ses espoirs et l'ambiance qui régnait dans le monde particulier des colonies.

05/2021

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Sciences historiques

La Bretagne de l'Occupation à la Libération (1940-1945)

Soixante dix ans après la libération de la France, il est possible de faire une synthèse historique des «Années noires» et du processus de la Libération de la Bretagne, une région qui a été au coeur de la guerre depuis la débâcle et l’occupation allemande de juin 1940 jusqu’à la libération à l’été 1944 et l’achèvement de guerre à l’Ouest en mai 1945. Avec ses ports de guerre, la construction des bases sous-marines puis du Mur de l’Atlantique, la Bretagne a occupé une position stratégique tant pour les Allemands que pour les Britanniques. Dans un contexte de plus en plus difficile (pénuries, bombardements, répression), le livre évalue le poids et les réalités quotidiennes de l’Occupation ainsi que les réactions de l’opinion publique vis-à-vis de l’occupant mais aussi du régime de Vichy qui veut profiter de la défaite pour imposer la Révolution nationale. Il précise ce qu’a été l’engagement des collaborationnistes notamment du mouvement breton. Il analyse les formes et les rythmes de la naissance et du développement de la Résistance de 1940 à 1944, aussi bien le combat des Français libres que celui des résistants de l’intérieur. L’accent est mis sur la préparation de la libération et les phases de son déroulement de juin à août-septembre 1944 et sur le rôle des FFI bretons en appui aux armées américaines. La transition des pouvoirs, l’épuration, le renouveau de la démocratie républicaine, le lourd bilan d’une guerre qui se prolonge dans la région avec les poches de l’Atlantique et les débuts de la reconstruction sont présentés dans cette période de la Libération qui marque durablement la mémoire souvent douloureuse de la Seconde Guerre mondiale. En outre, cette synthèse s’appuie sur une riche iconographie de plus de 200 documents (photographies, affiches, cartes, tableaux) qui illustre tous les aspects de la vie en Bretagne de l’Occupation à la Libération.

10/2014

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ouvrages généraux

La police secrète de la Wehrmacht en Belgique (1940-1945)

Le Geheime Feldpolizei (GFP), police secrète de la Wehrmacht, est aujourd'hui largement méconnue des historiens comme du grand public. En effet, nous assimilons généralement la répression allemande au cours de la Seconde Guerre mondiale avec la sinistre image de la " Gestapo ". Pourtant, cette police est loin d'être la seule à agir sur le sol belge. Car la GFP, police secrète de la Wehrmacht, ravagea elle aussi les rangs de la Résistance. En quatre années d'activités sur le sol belge, la Geheime Feldpolizei s'est en effet rendue coupable de l'arrestation de plusieurs milliers de résistants, du démantèlement de nombreux réseaux, mais également d'actes de torture et d'autres formes de violence demeurées largement impunies. Pour la première fois, ce livre propose une étude fouillée des agissements de cette police durant la Seconde Guerre mondiale en Belgique occupée. Basée sur les sources allemandes, les archives judiciaires belges et l'historiographie, le récit suit la radicalisation progressive de cet acteur de la répression tout au long de l'Occupation, depuis les premiers mois de 1940 jusqu'à la descente aux enfers de l'été 1944. La genèse de la Geheime Feldpolizei, ses actions durant la Première Guerre mondiale, le quotidien de ces policiers et leurs relations avec leurs collègues de la Gestapo et de l'Abwehr sont autant d'aspects éclairés par l'ouvrage. Il propose également l'analyse des activités et méthodes de cette police, illustrées à l'aide d'exemples remarquables tels que le démantèlement du réseau Martiny-Daumerie ou les agissements du terrible Prosper Dezitter. En ce sens, l'étude proposée ici par Louis Fortemps et Vincent Gabriel entend poser la première pierre sur le sentier qui nous permettra, en éclairant des agissements restés jusqu'ici méconnus de notre histoire, de combler un jour ce qui reste un vide béant de notre mémoire de la Seconde Guerre mondiale.

04/2023

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Critique littéraire

Le Poëte et la Bible. Tome 2, 1945-1955

" Avec ce deuxième volume s'achève la publication des commentaires bibliques de Claudel, cette longue méditation commencée dans les années trente, qui ne prend fin qu'avec sa vie, lorsqu'il s'interrompt au milieu d'une phrase de son nouveau commentaire d'Isaïe, peut-être le jour même de sa mort, le 23 février 1955. On retrouve dans ces études, toutes parues après la guerre, les même thèmes que dans les précédentes : le roman ou le drame ou l'épopée de la Création, celui du combat de la Femme, Vierge, Marie, Sagesse, contre Satan, le Fils rebelle, combat qui doit se terminer par le triomphe de Dieu, génial metteur en scène, dans l'Apocalypse. Une grande nouveauté cependant : ce combat extraterrestre est repris par l'aventure humaine, qui n'est autre que l'Histoire sainte, et, plus profondément, dans le cœur de chaque homme qui a le devoir de faire naître en lui un nouveau Christ. Les textes du premier volume, parus avant la guerre, ont été lus par un vaste public et demeurent relativement connus. Ceux que nous republions aujourd'hui ont pâti des difficultés de la vie quotidienne dans un pays occupé à panser ses plaies, et, plus encore peut-être, de l'évolution des mentalités. Claudel en a souffert, qui disait : " L'Evangile d'Isaïe. Pourquoi est-ce que j'ai écrit tout cela, que Dieu m'a commandé, tout cela que personne ne lit, à quoi personne ne s'intéresse, encore moins les chrétiens et les prêtres que les autres ? Tu autem, Domine ! " Ce sont donc des œuvres pratiquement inconnues, même des claudéliens, que nous avons voulu tirer de l'oubli pour y faire découvrir un nouveau " paquet de mer poétique ", comme disait Thibaudet parlant de Tête d'or. Plus peut-être que les thèmes que nous venons d'énumérer, plus que l'émouvante introduction des souvenirs personnels, on admirera dans nombre de ces pages l'écriture éblouissante d'un écrivain libéré de toute convention, qui joint à une facture parfois toute mallarméenne (la description de la grande rosace de Notre-Dame) l'enthousiasme lyrique du croyant en possession, désormais définitive, du sens. " Michel Malicet.

05/2004

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Généralités

L'armee de l'air en indochine 1945-1956

LA guerre d'Indochine débuta véritablement à la fin de l'année 1946, lorsque Hô Chi Minh, le chef du Viêt Minh, un front révolutionnaire d'obédience communiste qui avait proclamé l'indépendance de la république démocratique du Vietnam un an plus tôt, lors de la capitulation nippone, déclencha une insurrection générale contre la présence française dans le pays. Dès les premiers jours de ce conflit, l'Armée de l'Air, en l'absence de toute menace aérienne adverse, fut engagée dans l'appui au sol et le soutien des troupes françaises, un nombre non négligeable d'unités, aussi bien de chasse, de bombardement, de reconnaissance ou de transport étant progressivement engagées. Les difficiles conditions météo régnant en Indochine, liées au renforcement des moyens antiaériens adverses, firent payer un lourd tribut aux aviateurs français jusqu'à` la chute dramatique de Diên Biên Phu, le 7 mai 1954, date qui marqua le début du désengagement de la France en Indochine. Cet ouvrage relate cette période assez mal connue de l'histoire de l'Armée de l'Air, au moyen de plusieurs centaines de photographies, souvent inédites car issues de collections particulières, toutes les unités impliquées dans cette guerre étant décrites en détail, y compris celles composées d'hélicoptères, un type d'aéronef qui n'en était alors qu'à ses débuts, mais qui allait jouer un rôle prépondérant quelques années plus tard au même endroit, lors de la guerre du Vietnam.

06/2022

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Histoire de France

De Gaulle, Roosevelt et l'Indochine de 1940 a 1945

Par quels exercices d'équilibristes l'Indochine française est-elle parvenue, de 1940 à 1945, à préserver ses populations des atrocités que subirent les Indes néerlandaises, la Malaisie ou la Birmanie ? Comment est-elle arrivée à survivre en autarcie presque complète ? Sait-on qu'un conflit avec la Thaïlande fut marqué par la seule victoire navale française des deux guerres ? Pendant toute cette période, non seulement l'Indochine ne reçut aucun soutien des Américains, mais le président Roosevelt, animé par un farouche esprit anticolonialiste, aida Thaïlandais et Japonais jusqu'à Pearl Harbor, puis le Viêt-minh. Les bombardements américains sur l'Indochine firent de très nombreuses victimes et entraînèrent, durant l'hiver 1944, une famine qui provoqua la mort d'un million de Tonkinois. Les illusions gaulliennes provoquèrent le coup de force japonais du 9 mars 1945 et ses crimes de guerre. Le sectarisme de certains gaullistes explique qu'administrateurs et militaires français qui avaient résisté aux Japonais pendant cinq années fussent restés internés par les Nippons vaincus, permettant au Viêt-minh de s'emparer du vide. Cinq longues années trop méconnues de l'histoire de pays et de populations que tous les Français, qui y ont vécu, ont aimé.

05/2010

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Histoire de France

Le Vercors oublié. La résistance des habitants de Saint-Martin (1942-1945)

Tout commence par une chemise bleue à glissière qu'une grand-mère confie à son petit-fils : "Mes enfants ne sauront pas quoi en faire, ton père et ton oncle n'en ont jamais reparlé." Dans la chemise : les minutes de l'instruction d'un procès intenté pour des faits de vol et de délation commis à Saint-Martin-en-Vercors en juillet 1944. Quelle histoire se cache sous ce document d'archive ? Francis Ginsbourger suit la trace de sa famille, laquelle, pour échapper aux lois antisémites de Vichy, a trouvé refuge en 1943 dans le village qui allait, quelques mois plus tard, abriter l'état-major du premier maquis de France. Ce livre est le récit haletant d'une enquête au long cours où se mêlent la saga d'une famille, l'histoire de l'implantation et de la répression des maquis du Vercors drômois, et celle de la résistance au quotidien d'un village français. Témoignages et archives patiemment recueillis révèlent comment la plupart de ses habitants, à commencer par le maire et le curé, opposèrent à l'occupant, d'abord italien, puis allemand, le rempart de leurs silences, de leur courage et de la ruse. A travers des portraits saisissants, l'auteur fait sortir de l'ombre "ces montagnards qui connaissaient la montagne, qui se connaissaient entre eux et qui savaient se taire". Des femmes et des hommes ordinaires, oubliés de la légende résistante, qui sauvèrent des vies en posant des gestes extraordinaires.

02/2019

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Thérapies diverses

Le groupe : une médiation ?

Si le cadre général des groupes thérapeutiques dits à médiation s'appréhende souvent par l'usage d'activités, jeux ou créations, on ne peut en exclure le champ plus spécifique des psychothérapies de groupe privilégiant la parole, dans la mesure où le groupe en lui-même vient ici se constituer comme espace de médiation entre patients et thérapeute. Comment définir la fonction médiatrice suivant ces différentes modalités de groupe ? Peut-on envisager une articulation entre processus de médiation et processus groupal ? A quel niveau situer le ressort thérapeutique ? Autant de questions qui méritent d'être abordées comme un problème engageant des choix théoriques et par conséquent un choix de pratique clinique. En présentant un large panorama d'approches thérapeutiques, les auteurs confrontent leur cadre de référence sur ces différents points, supposant une nécessaire formation pour sortir de positions simplement empiriques.

06/2023

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Milieux naturels

Chiens et gendarmes. Une histore partagee

Fidèle ami de l'homme depuis le paléolithique, le chien est l'un des premiers animaux domestiqué pour la chasse. Depuis, il n'a cessé d'être aux côtés de son maître, l'accompagnant au travail, à la guerre ou défendant son foyer. Longtemps banni des casernes de la gendarmerie, contrairement au chat, le chien va devenir un auxiliaire précieux de l'Arme à partir des années 1940. S'inspirant des techniques acquises depuis plusieurs siècles dans l'armée (attaque, défense, guet) et la fin du XIXe siècle dans la Police (pistage), notre Gendarmerie va développer son propre savoir faire reconnu au niveau international : chiens de recherches en avalanches (1970), chiens de recherche de stupéfiants (1973), chiens d'assaut pour le GIGN (1976), chiens de recherche d'explosifs (1988) ... Dans le cadre de la formation de ses équipes cynophiles, la Gendarmerie nationale s'est dotée depuis le 19 décembre 1945 d'un centre de formation hautement spécialisé à Gramat (Lot) : le Centre national d'instruction cynophile de la gendarmerie (CNICG). Actuellement, la Gendarmerie nationale compte un groupe national d'investigation cynophile (GNIC), 33 groupes d'investigation cynophiles (GIC). 471 équipes cynophiles (EC) et 554 chiens. Il y a au moins un conseiller technique par région et un officier cynophile par région ou entité assimilée. Cet ouvrage réalisé après plusieurs années de recherches par un maître de chien passionné d'histoire et un historien universitaire, permet de retracer cette palpitante aventure à partir d'archives inédites, de témoignages et d'iconographies méconnues.

06/2021

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Histoire et Philosophiesophie

L'aventure spatiale française. De 1945 à la naissance d'Ariane

Ce livre raconte comment la France, depuis la Seconde Guerre mondiale, est parvenue à se doter d'un programme spatial. Tout commence avec l'aventure des fusées qui ne concerne d'abord que les militaires : quelques électrons libres décident de se lancer dans l'aventure des fusées-sondes. C'est alors la course entre l'est et l'ouest pour mettre la main sur le matériel et les scientifiques allemands. Puis débute la coopération européenne, et la guerre d'Algérie. La mobilisation ne cesse de croître et elle atteint son summum avec le retour au pouvoir du général de Gaulle (1958) dont l'impulsion a un effet considérable : après l'Union soviétique et les Etats- Unis, la France parvient à son tour à devenir une puissance spatiale, dont l'importance continue de s'affirmer avec le lancement du programme Ariane. Cette histoire se déroule dans le secret des laboratoires, sur les champs de tir des fusées, dans le désert algérien puis la jungle guyanaise, mais aussi à l'Elysée, à Washington, à Moscou, à Bruxelles, avec de nombreuses luttes de pouvoir (notamment entre militaires et scientifiques). Des archives inédites, enrichies par de nombreux entretiens permettent de brosser la première histoire de cette fabuleuse aventure...

02/2015

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Histoire de France

Les crimes nazis lors de la libération de la France (1944-1945)

Ce livre captivant, richement documenté d'archives et de témoignages souvent inédits, dresse le tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale en France. Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale, déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 et visant à multiplier les massacres contre les civils afin de terroriser la population, de tarir tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis et de diminuer leur activité en générant la crainte de représailles contre les habitants. Les SS, la Gestapo et les unités régulières de l'armée allemande participent à ces exactions, en fonction des directives venant du haut commandement lui-même. Les massacres en Périgord, en Limousin, dans les Pyrénées, des Glières et du Vercors, dans l'Ain, d'Ascq, de Maillé, des Manises, de Penguerec, de Saint-Genis-Laval et de Bron, de la vallée de la Saulx, ainsi que bien d'autres, sont présentés en détail dans cet ouvrage de référence.

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Ouvrages généraux

Les crimes nazis lors de la libération de la France (1944-1945)

Cet ouvrage richement documenté d'archives et de témoignages pour la plupart inédits, dresse un tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale. Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale – déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 – visant à massacrer une commune entière afin de terroriser la population de la région, de tarir en elle tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis, et diminuer l'activité de ceux-ci par crainte de la répression contre les civils.

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Ouvrages généraux

Les crimes nazis lors de la libération de la France 1944-1945

Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale – déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 – visant à massacrer une commune entière afin de terroriser la population de la région, de tarir en elle tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis, et diminuer l'activité de ceux-ci par crainte de la répression contre les civils. Cet ouvrage richement documenté d'archives et de témoignages, pour la plupart inédits, dresse un tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale.

03/2024