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A partir d'expériences sur des membranes cellulaires artificielles, le scientifique canadien A Petkau a mis en évidence, en 1972, qu'une exposition durable à de faibles doses de radioactivité peut rendre la cellule plus fragile qu'une exposition brève à des doses plus élevées (rayons X, par exemple). Le livre de Ralph Graeub explique la portée de cette découverte révolutionnaire et efrayante.
Car nous baignons dans une radioactivité croissante : retombées des explosions atomiques en atmosphère, émissions habituelles des centrales et dépôts nucléaires (auxquelles s'ajoutent des émissions accidentelles comme l'a montré Tchernobyl), usages industriels et médicaux accrus de la radioactivité artificielle... Et nous en payons d'ores et déjà le prix : les cancers et les maladies héréditaires d'origine radioactive déjà répertoriés ne semblent être que la pointe de l'iceberg. Il est probable que l'inhibition des mécanismes immunitaires consécutive aux dégâts sur les membranes cellulaires (effet Petkau) a été jusqu'ici complètement sous-estimée. Ainsi, des indices tendent à montrer que la radioactivité a joué un rôle important dans la naissance et la diffusion du sida. Mais le corps humain n'est pas seul en danger.
D'éminents spécialistes ont mis récemment en évidence la probabilité d'une corrélation entre les émissions des centrales nucléaires et la mort des forêts. Au terme d'une enquête de plusieurs années, le livre de Ralph Graeub montre que malgré les propos lénifiants des instances prétendument responsables de notre protection contre les radiations (trop souvent dépendantes d'industries et de gouvernements pronucléaires), la radioactivité artificielle n'est plus seulement une menace : son oeuvre de destruction de la Vie est déjà en route. Il appartient aux vivants qui souhaitent le rester de s'y opposer.
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