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Aitor Berho

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Monographies

Shakespeare, Hogarth and Garrick. Plays, Painting and Performance

In London in 1770 Georg Christoph Lichtenberg (1742-1799) remarked, 'What a work could be written on Shakespeare, Hogarth and Garrick ! There is something similar in the genius of all three. ' Two-and-a-half centuries on, Robin Simon's highly original and illuminating book takes up the challenge. William Hogarth (1697-1764) and David Garrick (1717-1779) closely associated themselves with Shakespeare, embodying a relationship between plays, painting and performance that had been understood since Antiquity and which shaped the rules for history painting drawn up by the Académie royale in Paris in the seventeenth century. History painting was considered the highest form of art : a picture illustrating a moment drawn from just a few lines in a revered text. Hogarth's David Garrick as Richard III (1745) transformed those ideas because, although it looked like a history painting, it was also a portrait of an actor in performance. With it, Hogarth established the genre of theatrical portraiture, a new and distinctively British kind of history painting. This book offers a fresh examination of theatrical portraits through close analysis of the pictures and of the texts used in performance. It also examines the central role of the theatre in British culture, while highlighting the significance of Shakespeare, Hogarth and Garrick in the European Enlightenment and the rise of Romanticism. In this context another trio of genius features prominently : Lichtenberg, Gotthold Ephraim Lessing and Denis Diderot. Familiar paintings and performances are seen in an entirely new light, while unfamiliar pictures are also introduced, including major paintings and drawings that have never been published. The final chapter shows that the inter-relationship between plays, painting and performance survived into the age of cinema, revealing the pictorial sources of Laurence Olivier's legendary film Richard III.

06/2023

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Seinen/Homme

Seizon Life Tome 1 . Perfect Edition

Atteint d'un cancer, Takeda n'a plus que six mois à vivre. Désespéré, il décide de s'épargner une lente agonie. Mais au moment où il s'apprête à mettre fin à ses jours, le téléphone sonne. La police lui annonce avoir retrouvé le corps de sa fille, Sawako, disparue quatorze ans auparavant. Au Japon, la prescription pour un meurtre est fixée à quinze ans. Pour Takeda, tout se résume maintenant à six mois... six mois à vivre, six mois pour retrouver le tueur et le faire condamner... Après tant d'années d'incertitude, de silence et d'obscurité, le lien familial renaît. On trouve derrière Seizon Life un duo artistique de grand talent : Nobuyuki Fukimoto et Kaiji Kawaguchi. C'est en 1979 que le premier fait ses débuts dans le magazine Gekkan Shonen Champion avec Yoroshiku Junjô Taishô. Mais c'est avec Akagi et Tobaku Mokushiroku Kaiji, ses titres phares, que son nom traverse les frontières. A travers ses oeuvres, il aime exposer des gens ordinaires face à des drames et des situations difficiles pour mieux faire ressortir ce qui peut se cacher en chacun de nous. La carrière de Kaiji Kawaguchi est lancée en 1968 avec Yo ga aketara. Ses oeuvres les plus connues sont Actor, Spirit of the Sun, Eagle et Jipang. Des récits souvent historiques où le Japon est traité sous bien des angles différents. Les deux auteurs ont d'ailleurs eu l'occasion de travailler ensemble sur un autre projet intitulé Kokuhaku - Confession. Avec Seizon Life, ils nous livrent une histoire aussi déchirante que poignante au travers de la quête de justice d'un père de famille. Une série qui va souligner le besoin de rédemption de cet homme qui n'a jamais été réellement présent pour ses proches.

05/2023

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Entreprise

Rich Dad Poor Dad. Bogacenie się - umiejętność, której nie da się nauczyć

W Rich Dad Poor Dad amerykanski biznesmen Robert Kiyosaki podkresla, ze bogactwo opiera sie na kilku podstawowych zasadach, które sa czesto pomijane na rzecz dobrego wyksztalcenia i ciezkiej pracy, co oznacza, ze wiekszosc ludzi nigdy nie ucieknie od wyscigu szczurów. To jasne i szczególowe streszczenie i analiza jest cennym zródlem informacji dla kazdego, kto chce zrozumiec rewolucyjna ksiazke Kiyosakiego : zawiera dokladne wyjasnienie jego filozofii biznesowej, glównych koncepcji lezacych u podstaw jego pracy, takich jak jego poglad na przeplywy pieniezne i nacisk na podejmowanie dzialan, a takze kontekstowe tlo jego pracy, w tym nadejscie nowego tysiaclecia. Zawiera równiez wprowadzenie do kluczowych koncepcji, które proponuje, aby uwolnic sie od wyscigu szczurów, glówne krytyki jego pracy i potencjalne rozszerzenia jego podejscia, dajac ci wszystko, czego potrzebujesz, aby zrozumiec te bezcenna ksiazke w zaledwie 50 minut. O Rich Dad Poor Dad : Rich Dad Poor Dad wywodzi sie z pragnienia Kiyosakiego, aby zarabiac pieniadze i jego interakcji z dwoma glównymi postaciami ojców w jego zyciu : jego biologicznym, lub biednym, ojcem i jego ojcem-figura, lub bogatym, ojcem. Chociaz autor byl poczatkowo zmuszony do samodzielnej publikacji Rich Dad Poor Dad, ksiazka stala sie spektakularnym sukcesem, sprzedajac sie w ponad 26 milionach egzemplarzy i wspierana przez szereg gwiazd, w tym magnata medialnego Oprah Winfrey i prezydenta Donalda Trumpa. O Robercie Kiyosaki : Robert Kiyosaki urodzil sie na Hawajach w 1947 roku z japonsko-amerykanskich rodziców. Stal sie swiadomy nierównosci majatkowych od najmlodszych lat, patrzac z zazdroscia na wielu swoich kolegów z klasy, którzy wyraznie mieli standard zycia znacznie wyzszy od jego wlasnego. On i jego przyjaciel Mike postanowili, ze nie pozwola, aby ich skromne poczatki powstrzymaly ich w zyciu, postanawiajac odniesc jak najwiekszy sukces. Mike w koncu przejal firme ojca, a Robert stal sie multimilionerem i szanowanym biznesmenem.

01/2023

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Vocabulaire

Dictionnaire de la technique automobile. Allemand-Français, Français-Allemand, 2e édition

Plus de 30 100 entrées-vedettes allemandes et de 28 900 entrées-vedettes françaises rassemblant termes techniques, tournures idiomatiques et sigles. - Collection terminologique à la pointe de l'actualité - Informations grammaticales et sémantiques détaillées - Articles clairement structurés - Reflet de l'usage réel tant dans les domaines fondamentaux que dans les domaines connexes de la technique automobile : moteur, propulsion alternative (véhicules électriques, technologie hybride, pile à combustible), transmissions, liaisons au sol, carrosserie et peinture, équipement électrique et électronique, chauffage/ventilation/climatisation, technologie des commandes, systèmes d'aide à la conduite, véhicules utilitaires, classification des véhicules, compétition automobile, écologie et recyclage. Über 30. 100 deutsche und 28. 900 französische Stichwörter bestehend aus Fachwörtern, Redewendungen und Abkürzungen - Hochaktuelle terminologische Sammlung - Ausführliche grammatische und semantische Informationen - Übersichtliche Gliederung der Einträge - Darstellung des realen Sprachgebrauchs in den Kern- und Nebenbereichen der Kfz-Technik : Motor, alternative Antriebe (Elektrofahrzeuge, Hybridtechnik, Brennstoffzelle), Kraftübertragung, Fahrwerk, Karosserie und Lack, Fahrzeugelektrik und -elektronik, Heizung/Lüftung/Klimatisierung, Regelungs- und Steuerungstechnik, Fahrerassistenzsysteme, Nutzfahrzeuge, Systematik der Straßenfahrzeuge, Motorsport, Ökologie und Recycling. L'auteur : Jean-Marc Dalla-Zuanna a fait des études de langue, de littérature et de civilisation germaniques à la Sorbonne et suivi la formation de traducteur-terminologue de l'ISIT à Paris. Diplômé en français, allemand et anglais en 1986, il travaille depuis 1987 au service linguistique d'un grand constructeur automobile allemand. Il a collaboré à divers projets comme la mise au point de systèmes de TAO, la constitution de bases terminologiques et l'évaluation de la qualité selon la norme SAEJ2450. Der Autor : Jean-Marc Dalla-Zuanna studierte Germanistik an der Sorbonne und belegte den Studiengang Übersetzung-Terminologie am ISIT in Paris. 1986 erwarb er sein Diplom in den Sprachen Französisch-Deutsch-Englisch. Seit 1987 arbeitet er im Sprachendienst eines namhaften deutschen Automobilherstellers. Er wirkte bei diversen Projekten mit, u. a. der Entwicklung von CAT-Systemen, dem Aufbau von Termbanken und der Qualitätsevaluierung gemäß SAE-Norm J2450.

07/2021

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Poésie

La Troisième Main

En épigraphe de la note finale de son recueil, Michèle Finck a placé ce mot d'ordre de Rilke : "Faire des choses avec de l'angoisse." Comme Balbuciendo était placé sous le signe de la double épreuve d'une séparation et de la mort du père, La Troisième Main a été écrit dans des circonstances très particulières : "Ce livre, composé d'une suite de cent poèmes d'extase musicale, a été écrit dans le noir et la pénombre, après une opération de la cataracte. Comme si, en opérant les yeux, on avait ouvert quelque chose de plus profond : brèche dans l'écoute ; non pas poèmes sur la musique, mais poèmes à et avec la musique ; poésie et musique intensément mêlées, qui tournoient tout au bord du silence. Noir avec torche de musique." Sept parties jalonnent cet itinéraire nocturne à travers les grandes oeuvres musicales, des plus classiques aux plus contemporaines : Vers l'au-delà du son ; Musique, opus neige et feu ; Pianordalie ; Violoncelle psychopompe ; Musique devance l'adieu ; Golgotha d'une femme ; Musique heurte néant. Comment décrire la subtile alchimie qui transmute la musique entendue en poème, comme un précipité de quelques mots, nullement descriptifs ni impressionnistes, mais rendant la même chose autrement, par d'autres moyens qui ne sont plus les sons mais les mots, avec leur propre économie et leur rayonnement propre. Il s'agit de transcription comme telle ouverture d'opéra de Rossini ou tel symphonie de Beethoven a pu être transcrite pour piano solo par Lizst. Et l'étrange est que les noms des oeuvres et des interprètes deviennent eux-mêmes comme des éléments du texte. Citons le premier de ces poèmes-transcriptions, comme un coup d'archet : "Bach : Cantate lch habe genug. /Hans Hotter. Anthony Bernard. //Seigneur, c'est assez. Baryton descendu /Tout au fond des sons jusqu'à la douleur. /Tout au fond du silence jusqu'à l'amour. / La musique relie les vivants aux morts. / Elle est leur étreinte. Leur bouche-à-bouche." Ainsi chemine l'écriture en creusant sans cesse davantage, du Lamento d'Arianna de Monteverdi au Kat'a Kabanova de Janacek ; du Chevalier à la rose de Strauss à Sequenza Ill de Berio ; des Leçons de ténèbres de Couperin au Strange Fruit de Billie Holiday ; de la Lulu-Suite de Berg au Arsis et Thésis de Michaël Levinas.

01/2015

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Grec ancien - Littérature

La parole et le marbre. Aux origines de la poétique grecque

Un professeur de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes, ayant accès aux rayons de la Bibliothèque de la Sorbonne, garde ce souvenir datant des années 1980 : "L'un des murs de l'étage des thèses était couvert d'un rayonnage rempli de livres reliés en bleu azur. C'étaient les thèses de l'Université de Lund. Cette surface d'un bleu azur parfait était troublée, toutefois, par un volume devenu noir et littéralement hirsute à force d'avoir été manipulé : c'était un volume que je connaissais bien, La parole et le marbre". Rédigée en français, la thèse de doctorat que Jesper Svenbro a soutenue en avril 1976 à l'Université de Lund (Suède) a connu une diffusion certaine grâce aux pratiques d'échange entre universités. Epuisée depuis longtemps, elle renaît maintenant de ses cendres. De quoi s'agit-il ? Svenbro se propose d'y dresser la généalogie du poète ou, plus précisément, de répondre à la question de savoir pourquoi les Grecs ont choisi le terme poietes pour désigner l'auteur de chants ou de "poèmes" , étant donné que ce terme signifie normalement "producteur, artisan" . Comme si les poètes grecs anticipaient la formule de Walter Benjamin, "der Autor als Produzent" . Pour mener son entreprise à bien, Svenbro procède à une enquête sur la façon dont les Grecs se sont représentés l'origine du chant ou du poème, d'abord chez Homère, où l'aède ne se considère pas comme l'auteur de son chant, qui lui vient d'une divinité. Pour le poète choral - qu'il s'appelle Simonide ou Pindare -, composant ses odes sur commande et exigeant une rémunération en récompense, il devient en revanche urgent de se poser comme leur auteur au sens juridique du terme afin de pouvoir figurer comme partie du contrat établi entre commanditaire et poète. C'est dans cette perspective que Svenbro nous invite à comprendre les métaphores artisanales de la poésie chorale comme les traces d'une situation où le poète devient l'artisan de ses compositions et, en tant que tel, digne d'une rémunération. La poésie, langage désormais savamment travaillé, n'est pas une effusion spontanée mais un objet fabriqué, une architecture, un monument - à l'instar du Trésor des Athéniens à Delphes.

06/2021

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Littérature française

Lo nas e Lo manteu : doas novelas de Sent-Petersborg

Deux nouvelles fantastiques de Gogol traduites en occitan par Jean-Pierre Reydy : Le Nez (1836) et Le Manteau (1843). [oc] Gògol, que moriguet en 1852 a 43 ans, arrendut de junes, d'una vita facha de dobtes literaris mai religios, entre neurastenia e exaltacion sempre, escriguet Lo Nas en 1834, Lo Manteu, entre dos tres còps, quauquas annadas tardier. Si Lo Nas, juec literari, dins lo biais fantastic de long de texte, a de que nos far rire e nos balha gran enveja de planher lo que tot d'un còp li manca çò que li servia per sentir mai sinar, Lo Manteu, òm l-i ritz en chena, a de que nos esmòure tant es retrach d'un esser a qu'un tot mai tots manquen, un paubre diable de vita essuercha que lo fantastic - sa tòrna - sus la fin vai venir venjar, far reparacion tan pauc sia a tant de miseria umana. Essenciau 'queu texte per la literatura russa. "Som tots sortits dau Manteu de Gògol" , çò-ditz Torgueniev, mots que tòrna prener lo grand Dostoievsqui. Veiqui çò que Gogòl disia de se-mesma : "An beucòp parlat sus ieu, mas degun a pas jamai definit mon esser vertadier, manca Poshquin. Me disia totjorn que degun escriveire sabia tan be far sentir la platituda de la vita, far ressortir tan fòrt la desconvenencia de l'òme vulgar, far espetar plen uelh totas las besilhs, los petits res que de costum nos eschapen". Jan-Peire Reidi nos balha 'qui d'aquilhs dos textes - ente la vita sociala se juega en mala comedia - 'na crana version lemosina, après aver revirat La Filha dau capitani de Poshquin que meritaria plan maitot l'edicion. Que 'na lenga, literariament, viu de creacions soas e de reviradas. Es de bon remarcar que lo Lemosin Danis Ròcha - que avia maitot publijat daus contes tradicionaus de chas nos dins 'na plan bona lenga - reviret prumier en frances tota l'òbra de Tchecòv (emb la benediccion de l'autor) e Josep Migòt, autre Lemosin, de las novelas dau mesma Tchecòv en lenga nòstra. D'ente tant d'interes lemosin per la literatura russa ?

10/2017

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Philosophie

CAHIERS DE MEDIOLOGIE N°2 : QU'EST-CE QU'UNE ROUTE

Ouverture : Régis Debray, Rhapsodie pour la route François Dagognet, Route, anti-route et méta-route La route : permanence & paradoxe : Odon Vallet, Le routard et la routine Numa Broc, Géographie : les grandes lignes François-Bernard Huyghe, Cheminement animal, route humaine Daniel Bougnoux, L'état des routes François-Bernard Huyghe, Le médium ambigu Régis Debray, Le risque routier Nanine Charbonnel, Homo Viator ou Les dix métaphores de la marche Odon Vallet, Trois marcheurs : Bouddha, Jésus, Mahomet Pierre Sansot, Chantons les bas-côtés Jacques Lanzmann, L'ampoule, la crampe et le plaisir - Moi, j'aime l'autoroute Les routes : art & métier : François Dagognet - Alain Dupont - Michel Chappat, La chimie de la route. Dialogue du philosophe et de l'entrepreneur (entretien) Andre Guillerme, Chemins, routes, autoroutes - Théorie des routes Catherine Bertho-Lavenir, Lutte de classes et d'influence Alain Gras, Paris-Bangkok-Saigon : carnet de vol Arnaud Sompairac, La route, la nuit Serge Tisseron, Choses vues Thierry Dufrêne, On the road again. Notes sur un thème de l'art américain Les inforoutes : fin de la route ? : Daniel Parrochia, Les routes invisibles Karine Douplitzky, Voyage au bout de la route Pierre Lévy - Alain Finkielkraut, L'impasse ou l'échappée ? (entretien) Isabelle Rieusset, Un milieu conducteur Monique Sicard, Brouillards sur la route Robert Damien - Salvatore Maugeri, Normaliser pour dominerCoda : Régis Debray - Michel Serres, Sortir des réseaux... (entretien) Kiosque : En relisant en revoyant... : Karine Douplitzky, Le multimédiaticien François-Bernard Huyghe, La main (invisible) du futur Daniel Bougnoux, Philosophes, à vos marches ! Serge Tisseron, Le Cri de la soie : la trahison des images Daniel Bougnoux, Neuropolar Karine Douplitzky, Shakkei ou Les routes du virtuel Pierre-Marc de Biasi, Edward Hopper : l'émergence de la route moderne - Un héritage esthétique du IIIe Reich : l'autoroute nazie Frédéric Tachot, Les mots de la typographie. Initiation ouvrière Régis Debray, L'impératif retour aux sources (Image, Icône, Economie de Marie-José Mondzain) Jean Clair, Eloge du visible (Fondements imaginaires de la science, de Jean Clair) Daniel Bougnoux, Ridicule !, une technologie de l'esprit Serge Tisseron, L'«effet Copycat» Pascal Lardellier - Paul Rasse, Au carrefour des inforoutes, le cybercafé...J Lichnérowicz - Arnaud Sompairac, Bonne expo cherche partenaires...Patrice Claude, Une route réservée aux Israéliens...Louise Merzeau, Single Track Road Luiz Martino, Métaphores Jean-Michel Frodon, JLG Airline François Cusset, Déterritorialiser le livre français Louise Merzeau, Mois Off Laurent Roth, De l'assassinat du spectateur par la fée électricité Janique Laudouar, Une autre façon de monter l'escalier Philippe de Bruyn, Réponse à l'hyperscène Luiz Martino, L'objet évité Vincent Tiffon, Instantané médiologique Michel Wolf, Les garagistes de l'informatique Jean-Michel Frodon, Legendre au miroir Régis Debray, Vidéo-sadisme Anthologie.

11/1996

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Esotérisme

Les lignées Illuminati

Pour singer et imiter les 12 tribus de Dieu, Satan a établi 12 lignées. L'une de ces lignées est celle d'Ismaël, au sein de laquelle une élite a développé l'alchimie, des méthodes d'entraide, et d'autres pratiques occultes. Le druidisme a été développé à partir d'une autre lignée, égyptienne, celtique et druidique. En Orient, une autre lignée encore a développé la magie orientale. Un lignage trouve ses racines à Canaan et chez les Cananéens. Il prit le nom d'Astarté, puis d'Ashdor et d'Astor. La tribu de Dan a développé des germes du type Judas Iscariote. La royauté de la tribu de Dan s'est perpétuée à travers l'histoire comme celle d'une lignée satanique très puissante. La 13e lignée a été calquée sur l'ascendance royale et divine de Jésus. C'est la maison satanique de David, dont les membres croient que leur sang ne vient pas que de la maison de David, mais également de la descendance de Jésus, auquel il attribue femme et enfants... Le 13e lignage satanique a été directement engendré par Satan, afin que ses descendants ne partagent par seulement le sang du Christ, mais aussi celui de son " frère " Lucifer... Il y a fort longtemps, dans l'obscurité d'épisodes peu connus de l'histoire de l'humanité, de puissants rois ont découvert qu'ils pouvaient contrôler d'autres hommes par la magie, la guerre, la politique, la religion et l'intérêt. Des familles ont conçu des stratégies et des tactiques afin de perpétuer leurs pratiques occultes. Différentes couches de secrets ont caché ces familles aux masses profanes, mais quelques auteurs ont heureusement fait de nombreuses révélations quant à leur existence. Jésus a parlé de faits historiques. Saint Paul a rappelé à ses auditeurs des choses historiques. Flavius Josèphe a écrit une histoire du peuple d'Israël. Le présent ouvrage vous donnera un aperçu de ce qu'est la sphère des Illuminés (courant satanique racial, ayant acquis au fil des générations toujours plus de pouvoir) et vous dévoilera les oligarchies secrètes qui dirigent la planète. Une fois réunis, les faits parlent d'eux-mêmes. " Ce livre donnera les détails de ce qui se cache derrière la phrase " le monde entier est sous la puissance du malin " (1 Jean 5 : 19), et montrera que le prince de ce monde est Satan, dans toute sa réalité. "

04/2019

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Esotérisme

Livre jaune nº9. Les familles satanistes

Il n'est pas à craindre que les Illuminati dominent le monde et mettent à bas les lois et les Constitutions, puisqu'ils le dominent depuis bien longtemps déjà, et que les lois et les Constitutions ne sont techniquement plus respectées depuis la Seconde Guerre mondiale. L'Histoire est primordiale. Pour savoir où nous allons, nous devons savoir d'où nous venons. Il y a fort longtemps, dans l'obscurité d'épisodes peu connus de l'histoire de l'humanité, de puissants rois ont découvert qu'ils pouvaient contrôler d'autres hommes par la magie, la guerre, la politique, la religion et l'intérêt. Des familles ont conçu des stratégies et des tactiques afin de perpétuer leurs pratiques occultes. Différentes couches de secrets ont caché ces familles aux masses profanes, mais quelques auteurs ont heureusement fait de nombreuses révélations quant à leur existence. Jésus a parlé de faits historiques. Saint Paul a rappelé à ses auditeurs des choses historiques. Flavius Josèphe a écrit une histoire du peuple d'Israël. " Ma recherche sur les hiérarchies de Satan a été rapide en raison de mes compétences de chercheur et parce que j'ai dès le début connu grâce à des informateurs la réalité de ce que j'étudiais. Mon enquête m'a amené à lire et à méditer des milliers d'ouvrages. Les livres, les journaux, les revues et les manuscrits que j'ai parcourus jusqu'à ce jour sont au nombre de plusieurs milliers. Pour singer et imiter les 12 tribus de Dieu, Satan a établi 12 lignées. L'une de ces lignées est celle d'Ismaël, au sein de laquelle une élite a développé l'alchimie, des méthodes d'entraide, et d'autres pratiques occultes. Le druidisme a été développé à partir d'une autre lignée, égyptienne, celtique et druidique. En Orient, une autre lignée encore a développé la magie orientale. Un lignage trouve ses racines à Canaan et chez les Cananéens. Il prit le nom d'Astarté, puis d'Ashdor et d'Astor. La tribu de Dan a développé des germes du type Judas Iscariote. La royauté de la tribu de Dan s'est perpétuée à travers l'histoire comme celle d'une lignée satanique très puissante. La 13e lignée a été calquée sur l'ascendance royale et divine de Jésus. C'est la maison satanique de David, dont les membres croient que leur sang ne vient pas que de la maison de David, mais également de la descendance de Jésus, auquel il attribue femme et enfants... Le 13e lignage satanique a été directement engendré par Satan, afin que ses descendants ne partagent par seulement le sang du Christ, mais aussi celui de son frère Lucifer. " Fritz Springmeier

04/2019

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Contes et nouvelles

Le Novelliste #07. Après la fin

Imaginer, anticiper, se représenter ce qu'il peut bien y avoir après est un des ressorts fondamentaux de l'être humain, dont l'appétit de découverte se nourrit autant de curiosité que d'imagination. Mais comment envisager l'après de ce qui, a priori, est une fin ? Les réponses n'ont jamais manqué en littérature, qu'il s'agisse d'explorer l'au-delà de la vie, des sociétés, ou des relations humaines. C'est autour de quelques-unes de ces représentations, sans prétendre épuiser le sujet, que s'est élaboré ce septième numéro du Novelliste. Au sommaire : Après la fin, blabla liminaire de Leo Dhayer Horizon, nouvelle de Didier Lesaffre, illustrée par Jacek Malczewski J'étais là avant le soleil, nouvelle de Philippe Cousin, illustrée par l'auteur L'Oil, nouvelle d'Yves Letort, illustrée par Céline Brun-Picard L'Ile, nouvelle de Nina Allan, traduite par Bernard Sigaud, illustrée par TheHardLab Inventaire après déménagement, Portfolio, texte de Fay Ballard traduit par Bernard Sigaud, illustré par une série de dessins de l'autrice Historiettes de Philippe Cousin, Claude Ecken, Thomas Geha, Frédéric Holic, Yves Letort Les salauds ont toujours tort, nouvelle de C. M. Deiana, illustrée par Charles Frederick William Mielatz Portrait d'un inconnu, nouvelle d'Anne Richter, illustrée par Albrecht Dürer Jeremiah, nouvelle de Jessica Amanda Salmonson, traduite par Leo Dhayer, illustrée par une toile d'un artiste anonyme La Madone aux sept glaives, nouvelle de Vernon Lee, traduite par Eugene Lee-Hamilton, illustrée par Alejandro Carnicero Un ex-voto dans le goût espagnol, article de Sophie Geoffroy Mes exuvies, Parenthèse, nouvelle de Louise Pleth Funérailles secondaires, nouvelle de Didier Pemerle, illustrée par Andrea Mantegna A corps et à cris, nouvelle de Joel Lane, traduite par Jean-Daniel Brèque, illustrée par Léo Kennel Le mausolée de tous les arts, nouvelle de Pascal Malosse, illustrée par Fritz von Uhde L'au-delà, nouvelle d'E. F. Benson, traduite par H. Frichet, illustrée par Howard Giles L'au-delà, y croire... ou pas, article d'H. G. Wells, traduit par Pierre-Paul Durastanti, illustré par Georges Roux Faut-il réveiller les endormis ? nouvelle de Jean-Baptiste Cabaud, illustrée par Jacques Gautier d'Agoty Stairway 2, nouvelle d'Alex Nikolavitch, illustrée par Léo Kennel Les passagers, nouvelle de Laurent Pheulpin, illustrée par une photo d'époque Morituri, nouvelle de Philippe Caza, illustrée par l'auteur Coloniser le cosmos, article d'Iwan Rhys Morus, traduit par Clément Martin, illustré par des documents d'époque Voyage en d'autres mondes (4/4), roman à suivre de John Jacob Astor, traduit par Marie Dronsart, illustré par Dan Beard Comme une image : Légende fugace du roi des rats, trois nouvelles courtes de Léo Kennel, Noé Gaillard te Sandrine Scardigli, sur un dessin ancien Clap de fin : Interiors (Skull) (1944), dessin de Pavel Tchelitchew

11/2023

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Littérature étrangère

Le nègre violet. Souvenirs

Les Mémoires d'Alexandre Vertinski retracent la vie mouvementée d'un artiste unique et complet. Figure majeure et inimitable de l'art russe, poète, compositeur, chanteur, acteur, il a connu un succès retentissant en Russie comme à l'étranger et est devenu, après sa disparition, une référence pour les bardes et chansonniers russes et soviétiques. Né à Kiev en 1889, Vertinski débute sa carrière en 1916 dans le costume de " Pierrot noir ", une version expressionniste du personnage de la Comedia del Arte exprimant la mélancolie de l'âme russe. Il est devenu célèbre pendant la période de la Russie tsariste en chantant des chansons d'amour qui transportaient le public dans un monde de rêve exotique à l'eau de rose. Lorsque la Première Guerre mondiale a éclaté, suivie de peu par la révolution d'Octobre, la clientèle de Vertinski, essentiellement les élites tsaristes, a émigré dans d'autres pays européen, suivie par le chanteur en 1918. Commence alors une vie d'errance, bohème, un exil de vingt ans dans des " villes étrangères " : Constantinople, Bucarest, Varsovie, Berlin, Paris, New York, San Francisco, Beyrouth, Jérusalem, Harbin, Shanghai. Il s'installe finalement à Paris en 1923, où il chante dans les nombreux cabarets de Montmartre, pour le plus grand bonheur des émigrés russes nombreux dans le Paris des années 1920. La scène artistique française subit alors l'influence des peintres tels que Soutine, Kandinsky ou Chagall et des compositeurs tels que Chaliapine. Rien de surprenant donc, à ce que Vertinski reste neuf ans dans la capitale française, assuré d'une audience dans le groupe des Russes nostalgiques de leur pays. En 1926, il réalise l'un des premiers enregistrements. En 1932, il décide de partir à New York, où il fréquente Marlène Dietrich et Rachmaninoff. Cependant, la grande dépression des années 1930 coupe court à son rêve et à sa carrière américaine. Il part en 1935 pour Shanghai où il rejoint l'importante communauté russe venue de Vladivostok après la victoire des bolcheviks. Pendant le Seconde Guerre mondiale, Vertinski a le mal du pays (peut-être sous l'influence de ses propres chansons) et il finit par écrire une lettre à Staline lui-même pour lui demander la permission de rentrer, en échange de sa contribution à la Russie soviétique. De manière surprenante, sa demande est acceptée et Vertinski est pris au mot. Quand il revient en Russie en 1943, il devra se produire dans tout le pays sans relâche, chantant dans les kolkhozes et les usines de Kaliningrad jusqu'à Sakhaline. Vertinski donnera un total de deux mille représentations dans ces années-là, n'épargnant aucun effort pour racheter son ancien comportement " bourgeois ". Le personnage de Vertinski sera même utilisé dans les films de propagande soviétique pour incarner les méchants, pour lequels il recevra le prix Staline en 1951. Il meurt six ans plus tard à l'hotel Astor de Leningrad.

10/2017

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Critique littéraire

Revue de littérature comparée N° 354, 2/2015 : Les Littératures du Nord de l'Europe

Sylvain BRIENS, La mondialisation du théâtre nordique à la fin du XIXe siècle. Le fonds Prozor de la Bibliothèque nordique de Paris lu au prisme de la sociologie de l'acteur-réseau, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 137-150. Le fonds Prozor de la bibliothèque nordique de Paris témoigne de la percée du théâtre scandinave en France et en Europe à la fin du XIXe siècle. Par l'analyse du travail du traducteur Prozor, des porte-paroles et intermédiaires agissant comme médiateurs, des points de passage, cet article examine les mécanismes de diffusion internationale du théâtre nordique, il s'articule autour de trois acteursréseaux : Prozor dans sa fonction complexe d'agent littéraire ; Paris et ses chaines de traduction ; le réseau de théâtres libres dans sa fonction de diffusion mondiale du théâtre nordique. Thomas MOHNIKE, "Le Dieu Thor, la plus barbare d'entre les barbares divinités de la Vieille Germanie" . Quelques observations pour une théorie des formes narratives du savoir social en circulation culturelle, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 151-164. En 1915, l'imprimerie d'Epinal, connue pour ses estampes amusantes, publia un résumé symbolique des événements de la première année de la Première Guerre mondiale. Sur cette gravure, le dieu norrois Thor est présenté comme le dieu du Kaiser allemand, détruisant des cathédrales gothiques et ainsi la civilisation. Thor symbolisait ainsi la nature prétendument barbare des Allemands. Cet article se propose de cartographier les chemins et opérations historiques qui conduisirent le dieu nordique Thor de l'Islande du XIIIe siècle en France du XXe siècle en le transformant en symbole de l'hostilité allemande. Des contextes importants sont l'Anneau de Nibelung de Richard Wagner et tout particulièrement la philologie comparée. Ces observations peuvent servir de point de départ pour une théorie des formes narratives du savoir social en circulation culturelle. Régis BOYER, Méditation sur Rosmersholm, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 165-173. De l'avis de tous les connaisseurs, Rosmersholm (1886) est le chef-d'oeuvre d'Ibsen, même si ce n'est ni la plus connue ni la plus fréquemment jouée de ses pièces. On peut se demander pourquoi. Cette pièce, extrêmement difficile à jouer, est favorable à toutes les confusions ou erreurs d'interprétation possibles, pièce dont il est permis d'avancer qu'Ibsen n'est jamais allé aussi loin dans sa quête du tragique. Cet article cherche à élucider les modalités et les raisons d'un tel chef-d'oeuvre dans une perspective moderniste. Sans entrer dans la discussion sur le post-tragique, il s'agit de cerner ce qui fait en soi l'originalité moderne de cette étrange pièce. Corinne FRANCOIS-DENEVE, Anne Charlotte Leffler, dans l'ombre portée de Strindberg, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 175-186. "Auteure" prolifique du "genombrott" suédois, "féministe" affichée, dont les pièces étaient davantage populaires que celles d'August Strindberg, Anne Charlotte Leffler a peu à peu disparu des anthologies de la littérature scandinave. En a-t-elle été chassée par des critiques phallocrates, comme ont pu le clamer les partisans des gender studies dans les années 1970 ? Son oeuvre était-elle trop datée ? La redécouverte récente de son théâtre, en Suède, puis en France, permet de recontextualiser cette "oubliée" qui a sans doute toujours des choses à dire. Harri VEIVO, Cosmopolite en crise. Décentrements de modernité et fractures de subjectivité dans les récits de voyage d'Olavi Paavolainen, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 187-203. Dans les années 20 et 30, l'écrivain finlandais Olavi Paavolainen (1903-1964) s'est donné la tâche d'interroger et analyser la modernité dans toutes ses manifestations et dans tous les lieux où elle se fait ressentir. Ce projet l'amène à s'intéresser d'abord à la modernité jouissive et émancipatrice des années folles, ensuite à la montée du totalitarisme en Europe et, après ce tournant dysphorique, aux pays de l'Amérique latine, jugés capables de transcender les conflits européens. Les récits de voyage de Paavolainen produisent ainsi un décentrement de la modernité ; en même temps, ils expriment la crise de la subjectivité de l'auteur, fondée sur l'idéal européen du cosmopolitisme. Philippe CHARDIN, Un beau roman d'éducation estonien : Vérité et Justice d'Anton Tammsaare, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 205-217. Le long chef-d'oeuvre de Tammsaare, écrit durant l'après-guerre et retraçant 50 ans d'histoire de l'Estonie, apparaît comme une synthèse extraordinairement originale de plusieurs genres européens différents parmi lesquels un roman rural dans sa première partie et un roman du Crime et du Châtiment, sorte de tragédie familiale du péché originel ; mais on remarque aussi de fortes analogies avec trois formes de romans d'éducation : un roman pédagogique tragi-comique à l'Ecole de M. Maurus, le roman d'une éducation sentimentale douloureuse et par-dessus tout un roman de la transformation d'un jeune homme qui vient de son village en intellectuel avec son ironie dévastatrice contre toutes les valeurs sociales et religieuses, sa "conscience malheureuse" et ses engagements à demi forcés dans la vie politique ou dans sa vie privée qui rappellent d'autres grands romans contemporains, de Musil, de Proust, de Thomas Mann et de Svevo. Frédérique TOUDOIRE-SURLAPIERRE, Phèdre et la Suède : un "décentrement de modèles" ?, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 219-230. Cet article examine, à partir de la pièce de l'écrivain suédois, Per Olov Enquist, Till Fedra, les modalités et les enjeux de ce transfert culturel que constitue cette réécriture de la célèbre tragédie de Racine. Utilisant les ressources scientifiques de l'imagologie et de l'ethnocritique, cet article met en évidence les différentes opérations de ce que nous avons appelé un "décentrement de modèles" , par le biais de la déconstruction de la langue française, de l'oedipianisation du mythe, un transfert d'images et un déplacement de concepts. Mickaëlle CEDERGREN et Ylva LINDBERG, Vers un renouvellement du canon de la littérature francophone. Les enjeux de l'enseignement universitaire en Suède, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 231-243. Même si la circulation de la littérature francophone est aujourd'hui en pleine expansion à travers le monde, sa diffusion et, par conséquent, sa place dans les circuits de canonisation, reste encore inégale. Cet article analyse la place octroyée aux lettres francophones dans l'enseignement universitaire du français langue étrangère en Suède. Proposant une réflexion sur le canon littéraire traditionnel et montrant la nécessité de reconsidérer sa valeur dans un contexte universitaire étranger, la Suède apparaît tantôt comme le pays promoteur de la haute-culture française tantôt comme le bastion des littératures francophones souvent contemporaines et/ou de la littérature couronnée de prix littéraires. Sylvain BRIENS, The globalization of Nordic Theatre. The Prozor collection at the Nordic library in Paris read through the Actor-network Theory, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 137-150. The Prozor collection at the Nordic library in Paris demonstrates the breakthrough of Scandinavian theatre in France and Europe at the end of the 19th Century. Through an analysis of Prozor's translations, the work of spokespeople and intermediaries acting as mediators, and points of passage this article will attempt to understand the mechanisms promoting Nordic theatre's international distribution. The study is centred on three actor-networks : Prozor in his complex function as literary agent ; Paris and its translation supply chains ; the network of free theatres in its role in the worldwide distribution of Nordic theatre. Thomas MOHNIKE, "The god Thor, the most barbarous of all barbarous gods of the Old Germany". Some observations for a theory of narrating forms of social knowledge in cultural circulation, RLC LXXXIX (in French), no. 2, apriljune 2015, p. 151-164. In 1915, the Epinal printing company, known for its often amusing illustrated one page prints, published a summary of the first year of the First World War, depicting the Old Norse God Thor as the god of the German Kaiser, destroying gothic cathedrals and thus civilization. Thor thus served as symbol for the supposedly barbarous nature of the Germans. In my article, I try to map some of the ways and historical operations that took the Old Norse god Thor from 13th century Iceland to 20th century France and transformed him to a symbol for German warfare. Major contexts appear to be Richard Wagner's Ring of the Nibelung and particularly comparative philology. These observations, I propose, could serve as a starting point for a theory of narrating forms of social knowledge in cultural circulation. Régis BOYER, Meditation on Rosmerholm, RLC LXXXIX (in French), no. 2, apriljune 2015, p. 165-173. In the opinion of all the experts, Rosmersholm (1886) is the masterpiece of Ibsen, even though it is neither the most famous nor the most frequently performed of his plays. One may wonder why. This piece, extremely difficult to play, supports all the confusions and errors of interpretation possible, and it is permitted to put forward that Ibsen never went as far in his tragedy quest. This article seeks to clarify how and why such a masterpiece in a modernist perspective. Without going into the discussion of the post-tragic, we try to identify what is in itself modern originality of this strange room. Corinne FRANCOIS-DENEVE, Anne Charlotte Leffler, the forgotten one, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 175-186. A prolific female writer belonging to the Swedish "genombrott" movement and a staunch feminist, Anne Charlotte Leffler, whose plays were even more successful than Strindberg's, slowly disappeared from Scandinavian literature anthologies. Did male critics expel her from them, as researchers in "gender studies" began to claim in the 1970s ? Or was it that her works were thought to be too old-fashioned ? Her theatre has been recently re-discovered, in Sweden as well as in France : it is high time to put again into perspective this "forgotten one" , who has still many things to say. Harri VEIVO, Cosmopolite in Crisis. Decentring Modernity and Fracturing Subjectivity in Olavi Paavolainen's Travelogues, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 187-203. In the 1920s and 30s, the Finnish writer Olavi Paavolainen (1903-1964) took up the task of exploring and analysing modernity in all its manifestations and in all the places where it was felt. This project focalised first on the emancipatory and joyful modernity of the années folles, then on the rising of totalitarism in Europe and, after this dysphoric turn, on Latin America, considered capable of transcending the European conflicts. Paavolainen's travelogues produce thus a decentring of modernity, while leading at the same to the crisis of the author's subjectivity, based on the European ideal of cosmopolitism. Philippe CHARDIN, Truth and Justice, a beautiful Estonian novel of education, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 205-217. Tammsaare's long masterpiece, written after the first world war and retracing 50 years of Estonian history, is an extraordinary and original synthesis of several different literary European genres among which in its first part a "Rural Novel" and also a novel of "Crime and Punishment", a kind of Tragedy of Original Sin in a family but there is also a strong analogy between Taamsaare's Justice and Truth and three kinds of Educational Novels : a tragi-comical pedagogical novel in Mr Maurus's College, a painful sentimental apprenticeship and above all the novel of a young man coming from his village who becomes an "Intellectual" with his devastating irony against all social and religious values, his "Unhappy Consciousness" and his half forced bad commitments in political or private life which recall other great contemporary novels by Musil, Proust, Thomas Mann, Svevo. Frédérique TOUDOIRE-SURLAPIERRE, Phaedra and Sweden : a "shift model" ?, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 219-230. This paper examines, from the part of the Swedish writer Per Olov Enquist, Till Fedra, terms and issues of this cultural transfer : the rewriting of the famous tragedy of Racine. Using scientific resources of imagology and ethnocritic, this paper shows the various operations of what we called a "shift model" through the deconstruction of the French language, the oedipalization of the myth, the image transfer and the movement concepts. Mickaëlle CEDERGREN - Ylva LINDBERG, Towards a renewal of the Francophone literary canon. The role of higher education in Sweden, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 231-243. Even though francophone literature is expanding its territory throughout the world, its status remains ambiguous on the global field and in canonization processes. The analysis is focusing on a re-evaluation of the literary canon in the academic context abroad. Various didactic demands are revealed as essential criteria for a selection divergent from the traditional canon. It is also found that Swedish universities promote both French high-status literature, extra-occidental francophone literature and prize-winning literature, which is often commercial.

09/2015