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Morgane Rugraff

Extraits

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Livres 3 ans et +

Marlène Jobert raconte Peter Pan, La Princesse au petit pois, Ali Baba et les 40 voleurs, La Petite sirène. Avec 1 CD audio

Un ouvrage qui réunit 4 des plus beaux contes du monde, interprétés avec tendresse et humour par Marlène Jobert. Alliant merveilleux, fantastique, magie ou encore aventure, ces contes offrent aux enfants et aux parents de multiples occasions de partager des moments inoubliables. Ali Baba et les 40 voleurs D'après les contes des Mille et Une Nuits Affreux, méchants, rusés et armés jusqu'aux dents, ces dangereux voleurs sont au nombre de quarante. Quelle terrible bande ! Et leur chef, le plus méchant de tous, est prêt à tout pour punir quiconque franchit le seuil de leur grotte au trésor ! Ali Baba, justement, a découvert leur secret. Lui et sa fidèle esclave Morgiane échapperont-ils à la vengeance des bandits ? Peter Pan D'après Matthew Barrie La petite Wendy et ses deux frères, Jean et Michel, ont bien de la chance ! Peter Pan, le garçon qui ne grandit pas, les emmène ce soir au fabuleux Pays imaginaire : là où les sirènes nagent, où les Garçons perdus jouent à la guerre avec les Indiens, mais... là aussi où vit le terrible capitaine Crochet, le chef des Pirates. Celui-ci attend Peter Pan de pied ferme. Gare à sa vengeance ! La Petite sirène D'après Hans Christian Andersen Tout au fond de l'océan, dans un merveilleux royaume, vit la Petite Sirène. Mais cette jolie princesse des mers ne désire qu'une chose : aller faire un tour sur terre pour rejoindre le prince qu'elle a sauvé de la tempête ! Pour réaliser son rêve, elle est prête à tout, même à donner sa voix à la sorcière... La Princesse au petit pois D'après Hans Christian Andersen La mère de ce prince est désespérée : comment trouverait-il jamais une épouse qui lui convienne ? Il est si difficile qu'il repousse toutes ses prétendantes ! Car ce dont il rêve, c'est de la plus belle, de la plus parfaite, de la princesse des princesses dans le monde ! Serait-ce cette belle jeune fille arrivée au château un soir de tempête ? Il n'y a qu'un seul moyen de savoir...

10/2017

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Critique littéraire

Eloge de la lecture et de la fiction. Conférence du Nobel

La conférence du prix Nobel de Mario Vargas Llosa, Éloge de la lecture et de la fiction, réunit les idées, les obsessions, les souvenirs, les peurs et les espoirs d’un homme qui, au sommet de sa carrière, nous offre ces quelques pages à la manière d’une confession. Le ton est en effet intime et émotif. Le lauréat évoque son enfance, sa famille et son pays, il parle des auteurs et des livres qui ont marqué ses années de formation et sa trajectoire professionnelle, et il consacre bon nombre de pages à commenter la scène politique internationale et les passions qui agitent le monde actuel. On peut ainsi distinguer dans son discours trois rubriques différentes. La première est celle du Mario Vargas Llosa qui aime collectionner des hippopotames et passer du temps avec ses amis, celle du mari de Patricia Llosa, celle du père de Morgana et du grand-père de six enfants, celle, enfin, d’un homme qui s’appelle Mario mais que d’autres appellent Vargas Llosa. La deuxième rubrique est justement celle de Vargas Llosa, l’auteur d’une quinzaine des romans qui ont marqué les quarante dernières années. Il évoque les joies et les affres de l’écriture, les moments de découragement, la jubilation face au mot juste, la peur d’échouer et l’excitation que lui procure chaque nouveau projet. Enfin, la troisième, est celle de l’homme politique Vargas Llosa, que ses compatriotes discréditent en l’appelant sèchement « Vargas », et qui défend ouvertement les idées libérales comme étant les plus efficaces et les plus justes pour résoudre les problèmes de nos sociétés. « Mario », « Vargas Llosa » et « Vargas » sont sans doute très différents les uns des autres mais ce qui les unit ici est essentiellement leur passion pour la lecture et pour l’écriture comme instruments qui nous ouvrent les portes d’une vie meilleure, plus riche et plus diverse, plus tolérante et moins prévisible. Cette conférence est une célébration de la littérature comme langage commun inventé par les humains pour échapper à leur pauvre condition et s’élever au-delà d’eux-mêmes. C’est une leçon magistrale mais également une confession personnelle, un regard sur le monde et un acte de foi.

10/2011

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Essais biographiques

Käthe Kollwitz - Regard(s) croisé(s)

Ce volume collectif est issu du premier colloque français consacré à Käthe Kollwitz alors que l'historiographie se développe surtout en Allemagne et aux Etats-Unis. Le principal enjeu en est de sortir du domaine des spécialistes de l'estampe et de faire d'une lacune, le peu de développement de la recherche sur Kollwitz en France, un potentiel heuristique. Le parti-pris était en effet d'ouvrir le propos du colloque à des chercheurs et chercheuses extérieur-e-s au champ de l'estampe allemande, de proposer une lecture croisée de l'oeuvre de Kollwitz, en invitant non seulement des chercheuses et chercheurs en histoire de l'estampe et en histoire de l'art mais aussi en histoire de la photographie, en histoire culturelle ou en études germaniques. Chacun considérant Kollwitz sous l'angle de ses connaissances mais aussi des objets et méthodes propres à sa discipline, leur confrontation permet ainsi de renouveler la recherche sur l'artiste. Trois lignes forces structurent l'ensemble des contributions de ce volume. La première interroge les fonctions de l'image dans l'oeuvre de Kollwitz, à travers l'expressivité des sujets qui, avec récurrence ou au contraire de manière plus marginale, sont chargés d'une signification symbolique, dans le champ artistique ou l'espace social, et jusque dans la pénombre discrète voire secrète de l'atelier, en explorant les potentialités de la gravure, de la photographie ou de la sculpture dont l'artiste a été la praticienne. La deuxième voie d'approche examine la situation de Kollwitz face à l'histoire, en éclairant la confrontation de l'artiste aux combats et violences de son temps, qu'elle vécut dans un enthousiasme parfois inquiet (la révolution allemande) ou qu'elle subit dans la douleur (la mort d'un fils tué à la guerre, dès l'automne 1914, la convertit au pacifisme), cependant qu'à partir de 1933 le nazisme lui retirerait ses droits d'artiste et d'enseignante en la plongeant dans la nuit de l'art décrété dégénéré. La troisième et dernière partie de l'ouvrage réunit des essais interrogeant la portée de l'oeuvre de Kollwitz, en s'intéressant à ses réceptions et ses lectures comme autant d'interprétations qui, parfois, croisent d'autres destins d'artistes, tels George Grosz ou Lea Grundig, et qui varient selon des contextes changeants ? : l'engagement de l'artiste dans l'Allemagne des années 1920, sa postérité dans la RDA d'après 1945 ou les significations de la monumentalité de son oeuvre dans les régimes d'idéologie communiste. Contributions de ? : Aurélie Arena, Claire Aslangul-Rallo, Jérôme Bazin, Annette Becker, Marine Branland, Jean-Numa Ducange, Thierry Dufrêne, Marie Gispert, Christian Joschke, Philippe Kaenel, Morgane Lafagne, Juliette Mermet, Denis Pernot, Emmanuel Pernoud, Chiara Ripamonti, Bertrand Tillier, Catherine Wermester.

08/2022

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Beaux arts

Le vent se lève

Consacrée aux relations que l'humanité entretient avec la Terre, cette nouvelle exposition de la collection du MAC VAL rassemble des oeuvres qui traduisent la richesse et les paradoxes de ces liens, composés d'émerveillement, d'amour, de critique scientifique et sociétale, d'espoir et d'aveuglement, d'inspiration et de rêverie... Une histoire de l'art récente et jeune, en réaction aux états du monde par des artistes qui ne peuvent regarder ailleurs, un choix que nous sommes heureuses de défendre. Si ce recueil d'oeuvres illustre plusieurs facettes d'une histoire façonnée par les hommes et dont ils portent la responsabilité, il a pour fil rouge le sujet de la marche et replace l'humain au centre du paysage terrestre, arpenteur de sa vie et acteur de son devenir. Les oeuvres "parlent" ici de la terre et de la complexité de l'action humaine, étrange et ambivalente, autoritaire et désinvolte, nourricière et destructrice, poétique et économique. Alors que chacun sait qu'une autre façon de pratiquer la Terre est nécessaire, la jeune génération reste presque seule à se soulever en faveur d'un ordre nouveau ! Partout apparaissent ces mouvements de contestation et de progrès, pacifiques ou plus violents, insubordonnés à la réalité économique, aux objectifs de croissance, à tout ce que nous savons avec certitude participer à la destruction du vivant, dont nous sommes partie prenante, consciente et meurtrière. Et le musée, quel est son rôle, quel peut être son avenir dans la société ? Il doit se réinventer, remettre en perspective ses missions de conservation, de production, d'accumulation, se penser moins comme un conservatoire que comme un laboratoire, un lieu à parcourir et, surtout, à vivre pour y échanger et questionner avec le public un présent vers lequel les artistes nous conduisent. Pour nous accompagner, nous avons sollicité des auteur. e. s et des artistes pour leur engagement, leur partage d'expériences positives, singulières et combatives, afin d'élargir cet ouvrage à des regards extérieurs, à d'autres voix. Exposition au MAC VAL à partir du 7 mars 2020. Avec les oeuvres de Boris Achour, Dove Allouche, Pierre Ardouvin, Bianca Argimon, Hicham Berrada, Michel Blazy, Christian Boltanski, Véronique Boudier, Charlotte Charbonnel, Ali Cherri, Clément Cogitore, Emile Compard, Franck David, Julien Discrit, David Douard, Jean Dubuffet, Anne-Charlotte Finel, Nicolas Floc'h, Charles Fréger, José Gamarra, Lola Gonzàlez, Dominique Gonzalez-Foerster, Joana Hadjithomas & Khalil Joreige, Ange Leccia, Benoît Maire, Pierre Malphettes, Didier Marcel, Angelika Markul, Jean-Charles Masséra, Philippe Mayaux, Bernard Moninot, Roman Moriceau, Jean-Luc Moulène, Tania Mouraud, Jean-Christophe Norman, Gina Pane, Laurent Pernot, Laure Prouvost, Enrique Ramirez, Paul Rebeyrolle, Evariste Richer, Loup Sarion, Bruno Serralongue, Tal-Coat, Stéphane Thidet, Thu Van Tran, Jean Tinguely, Gérard Traquandi, Tatiana Trouvé, Morgane Tschiember, Agnès Varda, Marion Verboom, Virginie Yassef...

06/2020

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Angleterre - Londres

Londres en quelques jours. 7e édition

Lonely Planet : un guide tout en couleurs, concis et ultrapratique pour découvrir Londres Buckingham Palace, abbaye de Westminster, British Museum, cathédrale Saint-Paul, Tate Modern... le meilleur de Londres en un clin d'oeil : tous les sites majeurs décryptés et des conseils d'expert pour tirer le meilleur parti de ses visites Un guide tout en couleurs et organisé par quartier, pour que la visite de chaque grand monument ou musée soit l'occasion de découvrir les environs à son rythme. Des itinéraires thématiques pour découvrir les meilleurs spots et se fondre dans la vie londonienne : promenade bohème à Soho, samedi shopping à Notting Hill ou flânerie littéraire à Bloomsbury. Des pages thématiques pour découvrir Londres selon ses envies : avec des enfants, activités gratuites, shopping, spectacles, meilleures adresses de pubs ou de restaurants ethniques... Des cartes en couleur et une carte détachable pour faciliter les déplacements dans la mégalopole anglaise.

02/2022

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Littérature française

Les longs silences

En février 2014, à la suite d'un burn out, Cécile Portier entre pour trois semaines en clinique psychiatrique. Pendant ce temps de soins, elle éprouve le besoin de noter les sensations qui la traversent, d'écrire ce lieu et ceux qu'elle y rencontre. Elle enregistre par l'écriture le flux des conversations, des sons, de ses propres pensées (« La pensée est-elle un organe ? Avoir mal en pensant, est-ce mal penser, est-ce une maladie ? »). Elle note le déroulement des heures et des gestes, le « temps qui passe en spirale, en entrelacs, en rond, en n'importe quelle forme qui ne soit ni droite ni orientée », les journées qui se répètent inexorablement, « des horaires pour tout : l'heure des repas, l'heure des médicaments, l'heure des activités, l'heure de fermeture du salon commun. Il y a des horaires pour tout qui font qu'on sait facilement sur quoi bute notre attente ». Les activités, les ateliers dessin, presse, et l'heure du goûter. « De nos vies nous ne voyons que les mécanismes ». Le sentiment d'étrangeté du lieu, le sentiment, même, d'en être étrangère, font place au constat que cette intimité non choisie est un partage. La description de l'endroit (sa terrasse, son jardin, le salon, les chambres), nous montre l'envers de ces « lieux de fatigue ». Elle n'a, à première vue, rien en commun avec ceux-là qui sont ici en même temps qu'elle, mais le seul fait d'avoir été défaillants les rapproche. Elle comprend que cette défaillance n'est pas que personnelle, qu'elle est l'écho, le symptôme peut-être, d'un fait social. « Dans ma chambre du pavillon, le lino est troué par endroits. Tout le monde a le droit d'avoir des failles ». Elle déjoue tous les poncifs du témoignage ou du récit d'expérience, et d'un trait vif, direct, précis, dénonce les mécanismes de notre quotidien. « Ecrire ici c'est repasser toujours par les mêmes points, oublier l'exigence d'avancer vers quelque part ». Cécile Portier enregistre au plus ras de ce qui se passe, du temps qui ne passe pas. Et toujours, ce refus de se laisser enfermer, jusque dans ce qu'on attend d'elle.

11/2015

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Opéra

Émile Cossira. Ténor de l'Opéra de Paris

Cet ouvrage est l'agenda reconstitué d'un ténor de l'Opéra de Paris qui connut une carrière exceptionnellement longue et brillante durant la Belle Epoque. Par son contenu, ce livre se veut également un morceau d'anthologie de l'art lyrique de ce temps considéré comme celui d'une vie agréable et légère. Emile Cossira (Jean-Emile Coussirat, dit...) est né à Orthez (Basses-Pyrénées) le 2 octobre 1854 et mort subitement au cours d'une tournée de représentation d'opérette française à Québec (Canada) le 1er février 1923. Doué d'un organe remarquable dès son plus jeune âge, sa vie d'artiste lyrique débute comme un véritable conte de fée. D'abord pensionnaire de la salle Favart puis de l'Opéra Garnier, il fut l'un des premiers ténors français qui abordèrent les grands rôles wagnériens : Lohengrin, les Maîtres chanteurs de Nuremberg, Tristan et Yseult, Tannhäuser... Ce ne fut pas son seul titre de gloire. Ténor au très large répertoire, il créa, entre autres : L'Ascanio de Saint-Saëns à l'Opéra Garnier (1890), Tristan et Yseult de Richard Wagner au Théâtre de la Monnaie de Bruxelles (1894), le Duc de Ferrare de Georges Marty et l'Iphigénie en Tauride de Christophe Gluck au Théâtre-Lyrique de la Renaissance (1899). Ce colosse du bel canto aura pour partenaires les plus grandes cantatrices de l'époque et triomphera sur toutes les grandes scènes lyriques internationales : Londres, New York, Milan, Barcelone, Bruxelles, Monte-Carlo, Saint-Pétersbourg, Kiev, le Caire, etc. L'artiste possédait une voix au timbre harmonieux, étendue, qu'il conduisait avec maîtrise. Physionomie franche, nature exubérante, esprit vif, d'humeur un peu batailleuse, mais bon enfant, Cossira possédait un coeur d'or. Il ne refusait jamais à prêter sa merveilleuse voix dans nombre de galas de bienfaisance. En dépit d'une présence permanente à l'affiche des premières scènes françaises et internationales, la réputation du ténor s'éteignit brutalement à la lecture de son épitaphe. Si l'histoire semble ne pas avoir retenu son nom, l'art lyrique français qu'il a dignement servi, peut le compter parmi ses gloires.

11/2022

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Education nationale

Bouses de Mammouth. Témoignages inédits sur bévues de l'Education nationale

Les auteurs : Thomas Andrieu - Franck Antunes - Erell Buhez - Laetitia Cavagni - Inola Dedieu - El Herrero - Laure Enza - Yoann Laurent-Rouault - Angélique Rolland - Nathalie Sambat. L'Education nationale est surnommée "le mammouth" . Une expression qui résonne dans l'inconscient collectif et donne une image immédiate de cet organe d'Etat. Car la longue promenade à dos de mammouth est une obligation pour qui naît en son pays. Contre vents et marées et sur les grèves. C'est encore plus vrai aujourd'hui qu'hier avec le gouvernement actuel, qui au nom de la pensée unique, tente d'interdire les éducations alternatives. Comme l'école à la maison. Au prétexte du séparatisme qui gangrène notre vieille République fanée, l'herbage de prédilection de l'animal laineux. Pourtant à brouter dans ces verts pâturages, le mammouth semble souffrir d'embarras gastriques et intestinaux. Et l'animal, peu éduqué, s'en cache à peine. Il est nature. Les générations de têtes blondes se succèdent, et il reste là, les pattes coincées dans la glace. Parfaitement immobile. Affreusement constipé. Pourtant, la violence, l'incompétence, la drogue, la peur, le harcèlement, la démission, l'ignorance, le racisme et leurs joyeux camarades dansent autour de lui en brandissant leurs lances. Ils le menacent. Mais le placide animal se contente de les regarder s'agiter, la trompe basse et l'oeil humide, sans réagir. Rares sont ceux qui ont aimé les années qu'ils ont passées à dos de mammouth. Qu'ils soient devenus chasseurs, cueilleurs ou chômeurs. Qu'ils aient réussi à faire des étincelles avec leurs silex ou non. Ce collectif vous fera partager plusieurs points de vue. Celui de deux élèves de lycée, celui de parents d'élèves et celui de personnels en poste au musée d'Histoire naturelle. Puissent ces textes vous inspirer des réflexions et vous faire passer le cap de la nostalgie quand vous pensez "école" , puissent les billes, les copains et la jupe courte d'Isabelle en terminale rester en dehors du sujet. Car le problème, quand on réfléchit sur le mammouth, c'est que notre nostalgie nous empêche, bien souvent, d'être objectifs.

02/2021

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Freud

Les actes manqués. Introduction à la psychanalyse

" Nous désignons par actes manqués les phénomènes qui se produisent lorsqu'une personne prononce ou écrit, en s'en apercevant ou non, un mot autre que celui qu'elle veut dire ou tracer (lapsus) ; lorsqu'on lit, dans un texte imprimé ou manuscrit, un mot autre que celui qui est réellement imprimé ou écrit (fausse lecture), ou lorsqu'on entend autre chose que ce qu'on vous dit, sans que cette fausse audition tienne à un trouble organique de l'organe auditif. Une autre série de phénomènes du même genre a pour base l'oubli, étant entendu toutefois qu'il s'agit d'un oubli non durable, mais momentané, comme dans le cas, par exemple, où l'on ne peut pas retrouver un nom qu'on sait cependant et qu'on finit régulièrement par retrouver plus tard, ou dans le cas où l'on oublie de mettre à exécution un projet dont on se souvient cependant plus tard et qui, par conséquent, n'est oublié que momentanément. Dans une troisième série, c'est la condition de momentanéité qui manque, comme, par exemple, lorsqu'on ne réussit pas à mettre la main sur un objet qu'on avait cependant rangé quelque part ; à la même catégorie se rattachent les cas de perte tout à fait analogues. Il s'agit là d'oublis qu'on traite différemment des autres, d'oublis dont on s'étonne et au sujet desquels on est contrarié, au lieu de les trouver compréhensibles. A ces cas se rattachent encore certaines erreurs dans lesquelles la momentanéité apparaît de nouveau, comme lorsqu'on croit pendant quelque temps à des choses dont on savait auparavant et dont on saura de nouveau plus tard qu'elles ne sont pas telles qu'on se les représente. A tous ces cas on pourrait encore ajouter une foule de phénomènes analogues, connus sous des noms divers. De tous ces exemples se dégage une seule et même conclusion : les actes manqués ont un sens et indiquent les moyens de dégager ce sens d'après les circonstances qui accompagnent l'acte".

01/2023

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Histoire internationale

Histoire de La Ruche, Kabylie, 1937-1975. Le bulletin, curseur d'un mouvement, d'une histoire et d'une société

Les cent vingt-neuf numéros du bulletin de La Ruche, consultés pour les besoins de cette étude, ont permis une meilleure connaissance de cette association féminine érigée en terre kabyle par des Soeurs missionnaires. A la fin des années trente, quatre villages pionniers ouvrent la marche de La Ruche. Ils seront rejoints progressivement par les autres postes, où se sont implantées les Soeurs, pour que le mouvement arbore le nom de La Ruche de Kabylie. l'indépendance de l'Algérie induira, entre autres changements, une nouvelle appellation : La Ruche d'Algérie. Le volet éditorial de La Ruche est particulièrement dense. Le journal de l'association, dit bulletin et paru pour la première fois en 1940, portera aussi les trois noms. organe permanent au contenu évolutif ; le bulletin avait des r8les prédéfinis : support pédagogique qui consolide la formation et lien qui permet des échanges entre adhérentes de différents villages. Par son contenu et sa longévité de trois décennies, il se trouve remplir aujourd'hui d'autres r8les que ceux qui lui étaient assignés : il est le miroir qui reflète l'intérieur d'un rucher où des fillettes et des jeunes filles, majoritairement musulmanes et chrétiennes pour d'autres, reçoivent une formation à la fois respectueuse des traditions et ouverte sur le monde extérieur il dévoile le milieu environnant et particulièrement les changements qui affectent le monde féminin de 1940 jusqu'à 1975, année où le mouvement ferme définitivement ses portes. il est aussi ce curseur qui permet de tracer une Histoire, bien qu'incomplète, d'un mouvement unique dans les espaces algérien et africain, concernés par la mission d'évangélisation menée par les missionnaires d'Afrique. Enfin, ce fascicule de 17 à 20 pages, a figé l'image du milieu kabyle (écologique, culturel, sociétal, linguistique...) par des textes et dessins, décrivant le travail artisanal local, les activités en rapport avec la terre, la transcription du parler kabyle telle qu'adoptée par les missionnaires et le parler local entre autres aspects. il constitue aujourd'hui un substrat riche en informations que des chercheurs pourraient analyser pour élucider des questions d'ordre culturelles, sociologiques ou linguistiques.

03/2019

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Histoire internationale

Mugabe, Robert Gabriel, "souillure" or not "souillure" ?

Pas question, ici, de repeindre un Zimbabwe idyllique aux couleurs flamboyantes. Foin de naïveté, ce n'est pas du Douanier Rousseau, bien plus " Le Jugement dernier " de Jérôme Bosch, où chaque scène est une horreur accomplie. Pas de vilenies estompées dans les bleus du lointain. Rien n'est caché. Tout est sur la table. La lumière éclaire d'une même intensité, la très sombre période coloniale britannique, la monstrueuse Rhodésie " blanche " de Ian Smith que d'aucuns ont tant aimée, et le Zimbabwe indépendant dirigé par Robert Mugabe depuis 1980. On a tué beaucoup dans ce pays. De tout temps et de mille manières : à la dynamite, à la baïonnette, par pendaisons, au couteau, à la kalachnikov, à la bombe. A chacun sa méthode. On a aussi beaucoup menti. La toute première fois, en bernant le pauvre chef Ndébélé qui offrit son pays sans le savoir aux rapaces de la bande à Cecil Rhodes. Puis après, au nom de la " civilisation ", puis aujourd'hui encore, very shocked, au motif que " Nous ne sommes responsables de rien ". Mugabe, qui a massacré le " joyau " qu'on lui a remis en main propre en 1980 ? Parlons-en du " joyau " rhodésien, si cher aux journalistes, ce formidable tas de boue immonde ! Médias aveugles ou engagés, Ong, bras armés des politiques, diplomates délirants, qui alimentent la chaudière pour la maintenir à température constante en attendant le grand feu d'artifice, tous ont sans doute une part de responsabilité dans le " drame " du Zimbabwe, et pas le seul Mugabe. C'est aussi une ligne directrice de cet ouvrage. Mugabe, " Une honte pour le continent africain tout entier ", comme l'a clamé Condoleezza Rice ? Alors offrons-nous quelques escapades pour aller voir ailleurs, et dormons tranquilles : Sierra Leone, Cameroun, Mozambique, quand la communauté internationale s'empresse de mettre fin aux carnages... Le monde occidental, plein de compassion pour le peuple zimbabwéen ? Là, ça fait monter la tension quand on sait qui a fait rouiller la tuyauterie du système économique et social. L'opposant Morgan Tsvangirai et la brochette de Blancs qui l'entourent, une petite équipe de gens bien sympathiques ? Peut-être ne parle-t-on pas des mêmes personnes.

04/2010

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Musique, danse

Au coeur du punk US. Les archives du Iggy Pop Fan Club

Gilles Scheps est un de ces gamins parisiens dont l'existence va être changée à jamais par le rock. II devient assidu des concerts dès 1970 avec les Rolling Stones. Deux électrochocs majeurs alimentent la suite de sa vie : Brain Capers de Mott The Hoople et Fun House des Stooges. Juste avant l'ère punk, Gilles décide qu'il faut absolument soutenir le leader des Stooges, Iggy Pop, alors au creux de la vague. Il fonde le fan-club français du chanteur, puis son organe de promotion auquel participera activement son ami Olivier Lalo : le fanzine I Wanna Be Your Dog Afin de l'alimenter en matière fraiche, Gilles Scheps parcourt les Etats-Unis ã la rencontre du punk américain naissant et de ses pionniers Ramones, New York Dolls, Flamin'Groovies, Ron Asheton... Dès la fin de l'année 1976, Gilles Scheps est au coeur du mouvement punk avec son fanzine, que ce soit en France ou en Grande-Bretagne. C'est l'époque de l'Open Market, de Starshooter, Little Bob Story, des débuts de Police, des concerts en Europe de Johnny Thunders et de ses Heartbreakers... Mais c'est aussi celle du grand retour d'Igge Pop sur disque et sur scène, grâce à raide de David Bowie. Très impliqué, Gilles Scheps réussit à publier, grâce à ses contacts, l'unique album du groupe post-Stooges de Ron Asheton : The New Order. I Wanna Be Your Dog ale plaisir d'accueillir de nombreuses collaborations issues de la presse spécialisée française de l'époque : Francis Dordor de Best, Philippe Manoeuvre et Daniel Vermeille de Rock & Folk, Alain Pacadis de Libération... Le punk secoue la scène rock mondiale, et le siège du Iggy Pop Fan-Club est l'un des lieux où se croisent les meilleurs artistes du mouvement à Paris. Les auteurs vous invitent au coeur du réacteur punk. Cet ouvrage retrace l'aventure de Gilles Scheps, de sa découverte du rock à nos jours. L'aventure du Iggy Pop. Fan-Club et de I Wanna Be Your Dogy est généreusement retracée. Vous y retrouverez les rencontres aux Etats-Unis et en Europe, des interviews, chroniques et articles, ainsi que de nombreuses photographies, toutes rares et inédites.

12/2019

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Histoire de l'art

Journal d'un collectionneur. Marchand de tableaux

L'auteur de ce journal est né en 1881. " Il était marchand de tableaux, fils de marchand de tableaux, témoin des changements révolutionnaires qui, dès la découverte de Cézanne, virent s'imposer de par le monde une conception de l'art tout à fait nouvelle. " René Gimpel avait hérité d'une approche traditionnelle de la peinture et il manifesta toujours une préférence pour les grands maîtres français du xviiie siècle, notamment Chardin. Mais cela ne l'empêcha pas de reconnaître le génie, même sous le masque d'un style nouveau : Braque, à ses yeux, avait atteint la même perfection. Issu d'une famille qui avait fui l'Alsace, scandalisée par les termes du traité de 1871, il était lui aussi animé par cet esprit de révolte qui le conduisit à s'enrôler, comme ses trois fils, dans la Résistance. Interné par Vichy, puis arrêté par les Allemands, il fut déporté à Neuengamme où il mourut en janvier 1945, ayant préparé ses codétenus à la Libération en leur enseignant l'anglais à travers des promenades virtuelles dans les grands musées du monde. René Gimpel commence à écrire en 1918. " L'intérêt de l'ouvrage est bien souvent au-delà de la petite histoire ou de l'anecdote. René Gimpel lui-même savait voir et regarder. Il a le sens du trait ; son oeil est d'un caricaturiste et son Journal se remplit ainsi d'esquisses très personnelles. Il a tout su, tout vu de la peinture pendant quarante ans " , naviguant entre l'Amérique et l'Europe, contribuant à bâtir outre-Atlantique les plus grandes collections : celles de Frick, des Rockefeller, des Rothschild, de Ford, de J. -P. Morgan... Il côtoie les artistes Braque, Mary Cassatt, Forain dont il rapporte les bons mots, Marie Laurencin, Matisse, Monet, Picasso, le vieux Renoir qu'il décrit peignant avec des pinceaux attachés au bout de ses bras, Soutine, Utrillo ; mais aussi les marchands : Joe Duveen, son beau-frère, Durand-Ruel, Paul Rosenberg, Nathan Wildenstein dont il fut l'associé, Ambroise Vollard... Il croise critiques et écrivains, Apollinaire, Berenson, et surtout Marcel Proust qu'il rencontra, dès 1907, à Cabourg, où ils séjournaient dans le même hôtel. Leur passion commune pour Vermeer les lia d'une profonde amitié.

02/2023

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Droit

Transparence et déontologie parlementaires. Bilan et perspectives

La culture française repose sur une tradition du secret encore bien ancrée dans les esprits et dans les pratiques. Toutefois, ces dernières années an été marquées par une évolution notable en la madère, essentiellement sur la base des lois fondatrices du 11 octobre 2013 relatives à la transparence de la vie publique et des autres textes adoptés dans leur sillage (ainsi de la loi du 9 décembre 2016 dite Sapin 2 et des lois du 15 septembre 2017 pour la confiance dans la vie politique). Or, ce "moment déontologique" a principalement touché le Parlement, qui tut l'institution la plus mobilisée avec la création d'un organe déontologique au sen de chaque chambre, l'adoption code de déontologie, l'encadrement de l'ex-IRFM comme de la réserve parlementaire (désormais supprimée), le dépôt de déclarations d'intérêts et de situation patrimoniale et les règles relatives au lobbying ou au déport des parlementaires. C'est donc tout naturellement que l'institution parlementaire a été retenue pour apprécier la portée de ces objets juridiques que sait la transparence et la déontologie. Si ces dispositifs instituent désormais un cadre contraignant de l'activité parlementaire, leur efficacité dépend de leur adaptation aux pratiques du pouvoir. Or, ces règles d'information et de contrôle ainsi que ces nouveaux droits et devers ont été progressivement appliqués à d'autres acteurs liés à l'activité parlementaire qui. longtemps restés dans l'ombre, constituent l'entourage immédiat des Pus. Récemment mis sous le feu des projecteurs, les collaborateurs parlementaires sont désormais soumis à une ébauche de statut juridique qui comporte quelques règles déontologiques (interdiction des emplois familiaux, déclaration à l'employeur des activités annexes). De la même manière doit être plus servent mis en lumière le rôle des administrateurs parlementaires, dont l'influence sur la prise de décision est paies très prégnante. Transparence et déontologie ouvrent donc un accès à une vision nouvelle des modes de l'action pratique et des processus de fabrication du droit, et cette évolution nous invite à revoir nos manières de concevoir le pouvoir politique. Cette mutation constitue aussi le signe d'une démocratie qui accepte de se questionner elle-même, et de repenser ses méthodes et ses fondements.

07/2019

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Football

50 stars du foot féminin

Toutes les stars du foot déminin avant la Coupe du monde 2023 et les JO 2024. Depuis qu'April Heinrichs, capitaine des Etats-Unis, a soulevé le premier trophée mondial du foot déminin en 1991, le chemin parcouru est considérable. De 12 équipes, la Coupe du monde est passée à 32 pour l'édition 2023. Des stars ont émergé comme l'Américaine Carli Lloyd, héroïne d'une finale mémorable en 2015 (Etats-Unis - Japon, 5-2). Les Américaines Abby Wambach ou Mia Hamm, la Japonaise Homare Sawa, la Norvégienne Hege Riise, l'Allemande Brigitte Printz, la Brésilienne Marta ou la Chinoise Sun Wen ont écrit l'histoire du football féminin devenu discipline olympique depuis 1996. Qualifiée pour la première fois pour la Coupe du monde en 2003, la France a découvert ses nouveaux porte-drapeaux avec Marinette Pichon ou Corinne Diacre. Mais c'est vraiment en 2019 que tout a basculé. Suivi par plus d'un milliard de téléspectateurs en audience cumulée, avec plus d'un million de billets vendus et des records d'audiences télé, en France notamment, (12 millions de téléspectateurs pour le match France - Brésil), la Coupe du monde en France a projeté le football féminin dans une autre dimension. L'Américaine Alex Morgan, championne du monde suivie par plusieurs millions de supporters sur les réseaux sociaux, est une star de la pub et des médias, Megan Rapinoe, sa compatriote, est devenue une égérie politique dont la voix porte, alors qu'en France Amandine Henry, capitaine des Bleues en 2019, s'est taillée une belle popularité. En quelques années, le football est devenu le sport collectif numéro 1 chez les femmes, en progression constante. Les records d'affluences sont battus régulièrement dans les championnats nationaux et la finale de l'Euro 2022 entre l'Angleterre et l'Allemagne suivie par 87. 192 spectateurs à Wembley est devenue le match de l'Euro le plus suivi dans un stade, hommes et femmes confondus. L'enchaînement de la Coupe du monde 2023 en Australie-Nouvelle-Zélande et des Jeux Olympiques ne devrait qu'accentuer un phénomène irréversible. Elles le méritent.

06/2023

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Droit administratif général

Aux confins du droit administratif

L'année 2022 a été l'occasion de fêter les 150 ans de la loi du 24 mai 1872 portant réorganisation du Conseil d'Etat. Le relatif silence qui a entoure cet anniversaire a certainement quelques (bonnes ? ) raisons : le texte est moins symbolique que ceux adoptés durant la Révolution française ou que la Constitution de l'An VIII ; tout comme il l'est sans doute moins que les décisions juridictionnelles qui lui sont contemporaines, polarisées autour de l'arrêt Blanco en 1873 puis de la décision Cadot de 1889. Reste qu'en pensant la nouvelle organisation et les nouvelles fonctions de l'organe qui allait devenir la cour suprême de l'ordre juridictionnel administratif, la loi du 24 mai 1872 demeure un acte fondateur des frontières du droit administratif français, dont les liens avec sa juridiction sont filiaux. Avatar peut-être de ces crises ("...sans catastrophe ") que la matière a toujours suscitées, cet anniversaire-prétexte est ainsi l'occasion de questionner précisément ces frontières, d'interroger ce qui, en 2022, en fait (encore) l'épaisseur, d'en tester les limites actuelles, à mesure que les facteurs de déstabilisation s'amoncèlent. De fait l'essor du marché et de la (dé)régulation, l'enrichissement des sources du droit et du bloc de légalité administrative, l'apparition de nouveaux enjeux pour la puissance publique (environnementaux, sécuritaires, sanitaires...) ou, encore, la subjectivisation croissante des rapports de droit ne peuvent laisser le périmètre du droit administratif inchangé, offrant l'occasion de revenir, inlassablement, sur ce qui en fait ses caractéristiques essentielles. L'interrogation est d'autant plus intense que les totems du droit administratif (ce "droit de l'Administration", "prétorien" et "exorbitant du droit commun") vacillent dans leur vertu explicative, à mesure que de nouveaux "objets" et "sujets" semblent envahir ou, à l'inverse, s'évader des représentations et catégories établies, le renouvellement des logiciels et des marqueurs pédagogiques étant régulièrement plébiscité au travers d'approches transversales, décloisonnées. Entre hybridation des droits et dilatation des objets, pertes de repères et mirages de dépassement, tenter de percevoir les causes et les conséquences de la tectonique qui affecte le droit administratif français est l'ambition de cet ouvrage.

12/2023

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Guides étrangers

New York en quelques jours. 7e édition. Avec 1 Plan détachable

Lonely Planet : un guide tout en couleurs, concis et ultrapratique pour découvrir New York. Central Park, Empire State Building, Brooklyn Bridge, Metropolitan Museum of Art, Guggenheim Museum, statue de la Liberté, Times Square, Museum of Modern Art... tous les sites majeurs décryptés et des clés pour découvrir des lieux insolites ou méconnus. Un découpage de la ville par quartiers avec, pour chacun, un focus sur les sites incontournables, une proposition d'itinéraire et les meilleures adresses pour se restaurer, prendre un verre, sortir, visiter ou faire du shopping. Des suggestions de balades et des itinéraires thématiques : l'East Village nostalgique, les artisans de Soho, les galeries de Chelsea, la culture afro-américaine à Harlem, la vie nocturne à Williamsburg... Des pages thématiques pour découvrir New York selon ses envies : avec des enfants, activités gratuites, shopping, spectacles, cuisine gastronomique... De nombreuses cartes et un plan détachable avec les principaux sites, un index des rues et un plan du métro pour faciliter les déplacements.

03/2019

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Matières enseignées

Pour enseigner le français en cinquième et sixième. Variations autour des UAA et des savoirs dans l'enseignement secondaire de transition

Destiné aux enseignant. es en exercice ou en formation initiale, cet ouvrage est centré sur les référentiels en vigueur pour les cinquième et sixième années de l'enseignement secondaire de transition. Il propose des pistes didactiques transposables, en fonction de l'environnement scolaire, des objectifs et de la personnalité de chaque professeur. e. L'originalité de l'ouvrage tient en grande partie à l'équipe qui l'a conçu : des professeur. es de français du secondaire, issu. es de trois réseaux différents et travaillant dans des établissements socioculturellement contrastés, regroupé. es autour de deux didacticiennes du français, chercheuses et formatrices d'enseignant. es. Pour enseigner le français en cinquième et en sixième articule ainsi étroitement savoirs empiriques et scientifiques. En effet, quelques exemples de dispositifs sont dépliés d'un bout à l'autre, et appliquent les recommandations des prescrits officiels tout en proposant des productions originales. De plus, sont articulés systématiquement, dans les se ? quences de ? crites et UAA exploite ? es, des compe ? tences et des savoirs a` construire avec les e ? le`ves et de natures diverses : litte ? raires, linguistiques, culturels, re ? flexifs. Plusieurs choix didactiques forts sous-tendent cet ouvrage. L'un d'eux est l'attention portée aux savoirs, replacés au centre des dispositifs et au coeur d'actes (méta)cognitifs divers et complexes. Forte est donc aussi la volonté d'apporter des éclairages théoriques à certaines composantes des dispositifs, témoignant ainsi d'une conception de la didactique du français fondée sur et explicitant les liens entre théorie(s) et pratique(s). Marie-Christine Pollet (professeure à l'Université libre de Bruxelles) et Caroline Scheepers (professeure à l'UCLouvain Saint-Louis Bruxelles) sont didacticiennes du français, chercheuses et formatrices d'enseignants.

11/2023

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Romans historiques

Sapiens Au matin du Monde Tome 2 : Par-delà les montagnes de la lune

Fuyant la haine de certains chefs et chamans de leur ancienne tribu, un petit groupe de jeunes humains s'avance en terre inconnue. Ils ont échappé à leurs poursuivants. Ils ont affronté les dangers de la nature, les bêtes sauvages, les torrents furieux. Ils ont bravé la neige et le froid, franchi des sommets noyés de brouillard et balayés par le vent. Devant eux, des collines, des vallées, des forêts s'étalent à perte de vue. Que vont-ils y découvrir ? Des animaux qu'ils n'ont jamais côtoyés ? D'autres clans ? hostiles ou amicaux. Un territoire où s'installer ? Parviendront-ils jusqu'au paradis mythique de leurs ancêtres ? Le clan semble bien faible face à la terrifiante puissance des éléments et ses membres se sentent tout petits en contemplant l'immensité de Ga'Hé. Ils n'ont que quelques armes de pierre à opposer aux multiples prédateurs qui hantent ces contrées inexplorées. Ils n'ont pas de fourrure pour leur tenir chaud, pas de crocs ni de griffes pour mordre et lacérer, ils ne courent pas assez vite pour attraper une proie ou échapper à un fauve mais ils possèdent un atout unique et formidable : leur cerveau. Grâce à cet organe mystérieusement alambiqué, ils ont développé les facultés essentielles à leur survie. Ils sont solidaires, ils prévoient l'avenir, ils coopèrent dans les tâches quotidiennes, ils créent, ils communiquent, ils inventent. Dans ce deuxième volet de la saga Sapiens, nous accompagnons ce petit clan dans sa quête de la terre promise. Lancés dans cette folle aventure semée d'embûches ils peuvent compter sur le courage et la pugnacité d'Aakin, le dévouement et les dons de Chahin, les médecines et l'oreille attentive d'Hozimi et Uhiri, les conseils avisés de Jocal, l'imagination débordante de Dahik. Ils profitent des talents de chasseurs de Sa'lou, iazin, Misukaï ou Odhran, de ceux des femmes qui ont en charge la vie du clan, de l'aptitude de Brago a apprivoiser les animaux. Thanyr et Meiko taillent des armes et des outils dans le silex salutaire. Ka ja, Dahik, Brago apprivoisent l'Art. Ils agrémentent les objets usuels de sculptures et de motifs qui les rendent agréables à regarder. Ils découvrent la notion du beau et le plaisir qu'elle engendre.

03/2012

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Sports

L'année du rugby 2017

Les plus beaux matches de la saison 2016-2017, le portrait des plus grands joueurs, les photos les plus étonnantes et tous les résultats de l'année du rugby racontés par L'Equipe. DES BLEUS DE TOUTES LES COULEURS Après avoir frôlé l'exploit à l'automne contre les Australiens (23-25) puis les All Blacks (19-24), l'équipe de Guy Novès décroche la troisième place du Tournoi des Six Nations, sa meilleure performance dans la compétition depuis 2011. Le match contre le pays de Galles entre même dans l'histoire : vingt minutes de temps additionnel, des mêlées et des pénalités qui s'enchaînent, avant l'essai victorieux (20-18) de Damien Chouly. Hélas, la tournée de juin en Afrique du Sud marque un nouveau recul pour le capitaine Guilhem Guirado et ses hommes, malgré l'arrivée ou la confirmation de nouveaux talents (Baptiste Serin, Jefferson Poirot, Damian Penaud...). EUROPE : CLERMONT EN FINALE Clermont va-t-il enfin connaître le triomphe en Coupe d'Europe ? Après avoir battu son vieil ennemi toulonnais en quarts de finale (29-9), l'ASM sort les Irlandais du Leinster (27-22) en demies grâce à deux drops inoubliables de Camille Lopez. Mais la finale continentale, la troisième des Auvergnats en quatre ans après celles de 2013 et 2015, les voit tomber à Edimbourg (17-28) contre les Saracens, tenants du titre. Un essai superbe de Rémi Lamerat fait perdurer l'espoir, mais les Anglais d'Owen Farrell, l'ouvreur international dont le talent rappelle tant Jonny Wilkinson, développent un niveau de jeu rarement croisé en club dans l'hémisphère Nord. TOP 14 : CLERMONT ENFIN SACRE La Rochelle domine la phase régulière grâce à un pack magnifique où règnent Uini Atonio et Kevin Gourdon. Mais Toulon, au terme d'une saison compliquée durant laquelle les entraîneurs se succèdent, fait parler son expérience en demi-finales (18-15). Le dernier match de la saison réunit au Stade de France le RCT et Clermont, qui s'est défait du Racing 92 (35-31). Les Auvergnats surmontent leur malédiction des finales et l'emportent après avoir tremblé jusqu'à la dernière seconde. La joie n'en est que plus intense pour Aurélien Rougerie, Morgan Parra et les leurs, fiers de pouvoir brandir le deuxième bouclier de Brennus du club après celui de 2010

09/2017

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Santé, diététique, beauté

MEDITATIONS FONDAMENTALES ET AVANCEES POUR TRANSFORMER LES EMOTIONS NEGATIVES. Fusion des cinq éléments, 2ème édition 1991

La Fusion des Cinq Eléments constitue le premier niveau de méditation de la méthode taoïste, connue sous le nom de " Fusion des Cinq Energies de l'Univers ". Elle est le début de l'Alchimie Interne, un processus scientifique par lequel vous pouvez obtenir le contrôle de vos énergies intérieures, pour qu'ainsi une liaison puisse s'établir avec l'énorme Energie Universelle au-dessus du corps. Cette énergie est utile pour vous auto-guérir, pour poursuivre votre vie quotidienne, pour atteindre des buts spirituels. La méditation de la Fusion est le premier pas pour apprendre à contrôler la génération et l'écoulement des énergies émotionnelle, spirituelle et physique à l'intérieur de votre corps. La pratique vous apprend comment localiser et dissoudre les énergies négatives cachées dans votre corps. En utilisant la théorie taoïste des cinq éléments, vous réalisez une liaison entre les cinq organes sensoriels - yeux, langue, bouche, nez, oreilles - et les cinq émotions principales - colère, haine, inquiétude, tristesse et peur. L'émotion négative peut être contrôlée une fois qu'elle est identifiée avec l'organe qui l'emmagasine. Pas à pas, la méditation de la Fusion vous montre comment les émotions négatives sont éloignées des organes. Les émotions négatives ne sont ni supprimées, ni exprimées. Leur énergie négative est amenée à des endroits précis du corps, où elle est facilement neutralisée, purifiée et transformée en l'énergie positive originelle. Le grand secret de la cristallisation et du stockage de votre énergie positive originelle dans une perle est révélé pour la première fois dans la Formule alchimique de la Fusion. Cette perle est l'essence de votre énergie vitale, ou Chi. Elle est importante pour nourrir le corps physique, et plus tard le corps énergétique, l'âme. Dans la pratique plus avancée de la Fusion, votre corps énergétique devient très contrôlable et sa force peut être équilibrée, renforcée et développée pour se relier à l'essence de l'Energie Terrestre et de l'Energie des Etoiles. La pratique de la Fusion des Cinq Eléments est le premier pas essentiel vers un développement émotionnel et spirituel complet. A travers ce travail utile, étape par étape, le Maître Mantak Chia vous fait devenir une personne équilibrée émotionnellement, contrôlée et forte, tout en vous offrant la clé d'une existence immortelle.

01/1991

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Histoire des idées politiques

"Heureux qui communiste a fait un beau voyage...". Pérégrinations et digressions

C'est une petite collection de ces curieux gravats idéologiques, glanés au hasard de mes pérégrinations que je propose ici, en faisant mienne la célèbre phrase d'un autre cancre que moi, auquel je suis très reconnaissant d'avoir su formuler mieux que je n'aurais su le faire ce que je ressens aujourd'hui : " Heureux qui, communiste, a fait un beau voyage ". " Il y a eu d'abord l'arrivée de Gorbatchev à la tête du Comité Central du Parti Communiste de l'Union Soviétique, en 1985, puis sa fameuse perestroïka (restructuration), la glasnost (transparence), la chute du Mur de Berlin (novembre 1989) puis, en juin 1990, la proclamation de la souveraineté de la Russie par Boris Eltsine, qui a entraîné l'éclatement de l'URSS et l'effondrement de son organe de direction, le PCUS. J'ai suivi toute cette succession d'épisodes de près. Et même de très près puisqu'en août 1991, au moment du putsch pitoyable tenté par un quarteron d'apparatchiks alcooliques pour renverser Gorbatchev et sauver ce qui restait à sauver de l'Union Soviétique, j'étais à Moscou ! L'onde de choc est considérable et s'étend sur toute l'Europe, où les partis frères sont, pour le moins, ébranlés. Premier parti communiste du monde occidental et deuxième formation d'Italie (derrière la Démocratie Chrétienne), le PC italien est dissous en 1991. La même année, le Parti Communiste de Grande-Bretagne cesse d'exister. En Belgique, le Parti se scinde en deux (francophones d'un côté, flamands de l'autre). Ailleurs, certains préfèrent continuer leur activité sous un nouveau nom. Il n'y a qu'en France où, apparemment, rien ne change. Le Parti Communiste Français reste le Parti Communiste Français. Ainsi, après avoir volé en éclats dans les conditions décrites un peu plus haut, le communisme soviétique a-t-il eu, ici ou là dans le monde, on le voit, des retombées parfois aberrantes. J'en ai trouvé des traces un peu partout où je me suis rendu : en Russie même naturellement, et dans ses anciennes possessions d'Asie centrale, mais aussi en Chine, en Mongolie, en Corée et même beaucoup plus loin, très loin de l'épicentre de la déflagration : au Congo, au Burkina, en Algérie, en Libye, au Moyen-Orient ainsi que, bien sûr, en Europe. Chez, comme dirait l'autre, les prolétaires de tous les pays.

04/2023

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Sciences de la vie

Les cellules buissonnières. L'enfant dont la mère n'était pas née et autres folles histoires du microchimérisme

Une enquête au long cours sur une découverte scientifique révolutionnaire, qui bouleverse notre conception de l'identité Microchimérisme : voilà un mot que vous n'avez probablement jamais lu ni entendu. Vous ignorez certainement tout, également, de la réalité qu'il recouvre, tant cette découverte bouleverse la conception que nous nous faisons de nous-mêmes. Nous croyions en effet savoir que nos cellules étaient composées de notre ADN, sceau unique de notre identité. Nous sommes en train de comprendre que ce " je " est lui aussi trompeur : dans nos corps se développent les cellules d'autrui. C'est dans l'obscurité de l'utérus que le phénomène commence : un ballet de cellules qui ne se joue seulement entre la mère et son foetus mais s'étend sur plusieurs générations, concerne toute la fratrie, convoque les jumeaux évanescents, ces embryons fécondés en même temps que nous mais qui disparaissent si rapidement que souvent personne ne s'en rend compte. Parfois, cette étrange chorégraphie introduit d'autres " soi ", via les greffes par exemple. Durant ce spectacle invisible, les autres deviennent nôtres, le passé s'insinue dans le futur, le futur remonte dans le passé. Il y a une vingtaine d'années, nous apprenions avec le microbiote que nous étions formés à 60 % de bactéries. Nous réalisons aujourd'hui que nos cellules elles-mêmes ne nous appartiennent pas toutes. C'est un bouleversement scientifique majeur, tant du point de vue de la compréhension de l'identité que de la médecine. N'arrive-t-il pas que ces cellules étrangères viennent réparer en nous un tissu abîmé, jusqu'à créer un ilot sur un organe ? Le microchimérisme est un nouveau continent scientifique qui délie radicalement l'imagination et que s'empressent d'ailleurs de coloniser les idéologues de toute nature, faisant des laboratoires des arènes politiques. Les autres en nous propose une exploration patiente et pédagogique de ce phénomène fascinant, qui ouvre des portes sur des avenirs vertigineux et qu'on discerne encore mal. C'est ainsi dans les coulisses de la science en train de se faire que nous convie Lise Barnéoud, qui a consacré plus d'un an à enquêter, un peu partout dans le monde, aux côtés de celles et ceux qui dessinent aujourd'hui l'avenir de la science.

09/2023

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Beaux arts

Au sud d'Eden. Des Américaines dans le Sud de la France (Années 1910-1940)

1910-1940 : Quel grand écrivain ou artiste américain n'a pas un jour poussé son voyage transatlantique du côté de la Provence et de la Côte d'Azur ? Toute la bande de la « génération perdue » est passée par là Dos Passos, Hemingway et Fitzgerald qui ont fait d'Antibes leur terre de plaisirs. Chaque été, ils se retrouvaient dans la « villa America » du peintre et dandy Gerald Murphy, enfant chéri de Picasso et de Fernand Léger, et dont Fitzgerald fit le héros de Tendre est la nuit. Le Sud polarisa les grands marginaux et rebelles de l'Amérique du XXe siècle. Voir l'écrivain afro-américain Claude McKay qui, promu par les Cahiers du Sud de Jean Ballard, a écrit à Marseille l'un de ses romans phares : Banjo ; ou John Reed qui découvrit en Marseille une ville « romantique », « splendide » et « virile ». La région entière est fréquentée par des artistes pour qui la nature reste une fabuleuse machine créatrice. On y voit William Glackens, le « Renoir américain »; le synchromiste Stanton Macdonald-Wright, mais aussi Man Ray qui descend sur Marseille pour sa Canebière populaire et bruyante aux couleurs orientales et son pont Transbordeur, symbole de modernité. Pour ces créateurs, le Sud rime avec Eden. Ils y trouvent une sensation de liberté que leur refuse l'Amérique puritaine, du soleil à profusion, des contrastes de couleurs assourdissants, une nature quasi intacte, et un mode de vie méditerranéen « à l'antique ». Lorsque, brutalement, le paysage s'assombrit. En 14-18, le sud devient refuge : Au Cannet, Morgan Russell, l'ami de Cendrars délaisse pour un temps ses recherches synchromistes pour interroger les maîtres de la Renaissance italienne ; à Nice, Alexander Archipenko sculpte de jeunes femmes au bain dans un langage moderniste sans précédent. Année 1940 : le Sud - devenu zone libre - se transforme en une terre de transit où espoir et désespoir se côtoient. Entrent alors en scène des personnages à l'étoffe de héros qui mettront leur vie en péril pour sauver des artistes et intellectuels pourchassés par les nazis. Ces héros sont : Varian Fry et son extraordinaire équipe du CAS ; ou bien encore Hiram Bingham. Leur champ d'action sera Marseille. Et tout se finit ou recommence avec Jim Harrison qui semble rouvrir la route du Sud. Depuis la tragédie du 11 septembre, il a encore plus de raisons d'y venir. « Quelle meilleure idée », écrit-il, « que de faire un voyage en France et de lutter contre le terrorisme avec de l'ail et du vin rouge ? » Doit-on dès lors s'attendre à une nouvelle migration artistique ?

02/2006

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Fantasy

Les contes de Verania Tome 5 : La pierre maudite

Le Prince Justin n'a aucune envie d'épouser le Roi de Yennbridge, et il compte bien lui faire vivre un enfer pour le décourager. Mais il n'avait pas prévu que le Roi soit déterminé à lui prouver qu'il est digne de lui... Une année s'est écoulée depuis que Myrin, le sorcier Obscur, a tenté de s'emparer du Royaume de Verania. Bien que les cicatrices de cette ultime bataille demeurent vives, les Veraniens s'unissent afin de tout reconstruire. Le Bon Roi Anthony est de nouveau assis sur son trône, secondé de Morgan des Ombres. Néanmoins, un roi n'est pas immortel. Un jour, Anthony se retirera et laissera la place à son fils, le Grand Prince Justin, qui prendra alors le pouvoir. Et c'est la dernière chose que Justin souhaite. Malheureusement pour lui, devoir diriger un pays est le cadet de ses soucis. Lors de la célébration de la puissance de Verania et de son peuple, une délégation menée par un homme qui se prétend magicien fait son entrée. Cet homme représente le Roi de Yennbridge et est venu réclamer ce qui lui a été promis des années auparavant : la main du premier fils du Roi et de la Reine de Verania. Aidé de ses amis, Justin entreprend de faire de la vie de ce roi un enfer. Ce qui, bien sûr, se retourne remarquablement contre lui. Et, quand la situation s'apaise, Justin découvre que ses amis ont changé d'une manière qu'il n'aurait pu prévoir. Il se retrouve donc seul. Enfin, pas aussi seul qu'il le croit, puisque le Roi de Yennbridge fera tout son possible pour prouver qu'il mérite le coeur gelé du Prince de Glace. Le Prince Justin a enfin rencontré son égal. Que la partie commence. #MM #Magie #Dragons #Humour #MariageArrangé #Royauté #SlowBurn --- "J'ai ri, j'ai pleuré, j'ai encore ri. C'était vraiment tout ce que je voulais qu'une nouvelle histoire de Verania soit. Inutile de dire que c'est un coup de coeur immédiat". - Meags (Goodreads) "Il y a de l'humour, de l'action, des moments sexy, et beaucoup de moments d'émotion. [... ] J'ai tellement aimé ce livre ! " - BWT (Goodreads) "Honnêtement, je ne peux pas penser à une autre série de livres ou à un autre auteur qui peut me faire rire, le visage dans les mains, en marmonnant Doux Jésus... et qui peut aussi me faire pleurer parce que mon coeur est si plein que j'ai besoin d'embrasser ces gens, OHMYGOD". - Nora (Goodreads)

12/2022

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Littérature française

Le prix de la liberté. Les mémoires d'un naïf optimiste

Même si l'homonymie pourrait le laisser croire, ne vous attendez pas à trouver ici les aventures d'un général du Second Empire, mais bien plutôt celles d'un auteur contemporain qui prend plaisir à raconter le roman de sa vie, en l'illustrant d'anecdotes originales. En jouant avec un style alerte où l'humour est souvent au rendez-vous, Edward Pierron nous confronte aux défis de sa jeunesse mouvementée. Il y ajoute parfois une touche d'ingénuité qui donne une originalité supplémentaire à son récit. L'histoire commence à la fin des années 30, puis se poursuit pendant la seconde guerre mondiale. L'auteur est le témoin et l'acteur d'une époque charnière. Il fait l'apprentissage d'une vie où il doit assurer sa subsistance au jour le jour, mettant à contribution son imagination débordante. Dans cette période troublée, son existence est faite de rebondissements et d'instants où "tout peut basculer". Il est réfractaire aux réquisitions de l'occupant allemand, jusqu'au jour où il est arrêté. Son itinéraire nous conduit alors de l'île Tudy en Bretagne, à l'Autriche en guerre. Après avoir connu la rudesse des camps de travail, il pratique l'art de la "grande évasion". Puis, c'est le début d'une ère nouvelle, avec ses promesses matérielles, ses rencontres, ses découvertes et l'amour en prime. En toile de fond, il y a la mer et l'appel du grand large. Les moments forts sont baignés par la chaleur réconfortante des Bretons d'Armorique. Edouard Pierron nous projette ainsi dans un univers qui l'a profondément marqué. Avec lui, nous faisons la connaissance d'un "personnage". Une muse le suit comme son ombre : l'aspiration à la Liberté. Par-delà les difficultés rencontrées, puis surmontées non sans avoir invoqué la chance qui a marqué son existence. Un récit témoignage d'une exigence qui donne un sens à la vie et force le respect. La quête d'un homme intrépide, solidaire dans l'épreuve et fidèle en amitié. C'est le roman d'une vie et mieux encore, car il nous délivre aussi quelques bonnes pages où le bon sens et la sagesse font merveille, sous forme de philosophie pratique appliquée à l'action, en quelque sorte ! A propos de l'auteur, Madame Michèle Morgan nous a confié : "Je suis heureuse de l'avoir rencontré et fière qu'il ait appartenu à ma famille". Le lecteur retrouvera l'intégralité de son témoignage dans le livre.

06/2014

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Histoire internationale

Le Secrétaire général de la présidence de la République du Cameroun. Entre mythes, textes et réalités

Cet ouvrage commis par Jean-Marie Atangana Mebara n'est pas le premier de son cru. Cette nouvelle production embarque le lecteur dans une dynamique où l'auteur se libère assez clairement des émotions personnelles qui émaillent son dernier ouvrage, Lettres d'ailleurs, publié en 2012. Le lecteur se retrouve plongé dans des préoccupations et des réflexions aussi sérieuses que les institutions de la République. Pour autant, l'auteur ne se départit ni de sa bonhomie, ni de son sens inné de l'humour, tant le livre est émaillé de détails savoureux, du sourire en coin de l'auteur. L'ouvrage revêt par ailleurs une dimension historique indéniable. Tirant parti des témoignages écrits de ses prédécesseurs ainsi que de nombreux documents d'archives, l'auteur promène le lecteur dans les dédales des arcanes du Secrétariat général de la présidence depuis les indépendances jusqu'à nos jours. Le parcours révèle une évolution continue, des ajustements incessants, et même des allers-retours dans l'organisation de cette importante structure de l'Etat. Sous l'effet du regard inquisiteur de son entourage, l'ancien SG/PR a pris sur lui, dans le cadre d'un dialogue à la Socrate, de démythifier voire démystifier la fonction qu'il a occupée quatre années durant aux côtés du Chef de l'Etat. Ce faisant il s'est, par une forme d'introspection, libéré la conscience, mis son coeur à nu. Au-delà de cette portée qualifiable de curative voire autobiographique, l'oeuvre se révèle riche en informations ignorées du commun des mortels, du fait du halo de mystères qui les a toujours entourées. De son observatoire, l'auteur finit par se projeter dans l'avenir et suggère des pistes de réflexion pour assurer un fonctionnement plus efficace de l'important organe d'Etat qu'il a dirigé. Autre particularité, cette mine de renseignements est présentée sous une forme plaisante, pas du tout rébarbative au point qu'à force d'y mordre à belles dents, on court le risque, si on n'y prend garde, de perdre de vue le caractère ô combien pédagogique de cette leçon de choses. Leçon de choses certes, mais également leçon sur les hommes au premier rang desquels l'auteur, son chef tel qu'il l'a connu, enfin l'homme sui generis. Sur le plan sociétal, cet ouvrage, dénué de toute haine, rancoeur ou de toute désespérance, milite en faveur de plus d'harmonie entre les hommes et les femmes qui composent la Nation ; il s'achève sur des questionnements dans la perspective d'institutions plus efficaces pour le Cameroun.

02/2016

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Monographies

Claude Gillot. Satire in the Age of Reason

This scholarly publication presents the work of the designer, painter and illustrator Claude Gillot (1673-1722). The first volume on the artist in English, it accompanies a major exhibition at the Morgan Library & Museum that explores Gillot's inventive and highly original draftsmanship and places his work in the context of artistic and intellectual activity in Paris ca. 1700. The history of eighteenth-century French art under the ancien régime is dominated by great names. But the artistic scene in Paris at the dawn of the century was diverse and included artists who forged careers largely outside of the Royal Academy. Among them was Claude Gillot. Known primarily as a draftsman, Gillot specialized in witty scenes taken from the Italian commedia dell'arte plays performed at fairground theaters and vignettes of satyrs enacting rituals that expose human folly. The book will address Gillot's work as a designer, painter, and book illustrator, and advance a chronology for his career. Crafting a timeline for Gillot's life and work will clarify his relationship with his younger collaborators Antoine Watteau and Nicolas Lancret. Through an artistic biography and six chapters, each devoted to an aspect of his oeuvre, Gillot's role in developing quintessential rococo subjects is established. We follow Gillot from his start as the son of a decorative painter in the bishopric of Langres to his arrival in Paris in the 1690s, as the city and its secular entertainments flourished apart from the royal court at Versailles. Myriad opportunities awaited artists outside official channels, and Gillot built his career working in the theater and as a painter and designer long before seeking official academic status. His involvement with writers, playwrights, and printmakers helped define his sphere. Gillot's preference for theatrical subjects brought him critical attention, and also attracted talented assistants such as Watteau and Lancret. Gillot came to prominence around 1712 working at the Paris Opéra and as a printmaker and illustrator of books, lending his droll humor to satires. By 1720, Gillot was enlisted to design costumes for the last royal ballet, one of the final projects of his career. He died nine months after his most celebrated pupil, Watteau. The sale of his estate, which including his designs and many etched copper plates, provided material for printmakers and publishers and ensured Gillot's lasting fame among print connoisseurs. His oeuvre as a draftsman and painter, however, was largely forgotten until drawings and canvases began to emerge in the first half of the twentieth century.

03/2023

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Littérature française

Russe

A partir de textes appartenant aux mémoires historiques ou à la littérature (ceux de Napoléon Ier, de Cavalié-Mercer, de Custine, Saint-Simon, Montesquieu, Pouchkine) ; à partir de l'oeuvre de Marx qui, nous rappelle-t-il, a séjourné en France ; à la suite de Boris Souvarine établissant des parallèles entre le régime policier russe du tsar Nicolas Ier et le régime communiste de l'URSS de Staline, Pierre Bergounioux définit ce que, considérant ce qu'en ont écrit parmi d'autres Gogol, Tolstoï, Dostoïevski, l'on a appelé l' "âme russe" - quand Custine regarde précisément les Russes comme "des machines incommodées d'une âme". S'interrogeant sur les raisons de la disparition du "socialisme réel" , dont l'hypothèse la plus courante incrimine, avec Karl Wittfogel, le despotisme oriental, Bergounioux convoque les analyses d'Eric Hobsbawm : les Bolchéviks "ont cru possible de passer du féodalisme au socialisme en escamotant le stade capitaliste", et de John Kenneth Galbraith : "L'égalité du partage a guidé le législateur soviétique mais la faiblesse de l'appareil productif est telle qu'il n'y a rien ou presque à partager". Cependant, selon Bergounioux, "rien n'éclaire l'histoire d'un peuple comme sa littérature". Si bien que c'est vers elle qu'il faut se tourner pour comprendre la Russie, la terreur qui la gouverne. Et quand il s'agit de distinguer les écrivains français et les écrivains russes, un trait revient, implacable : "C'est le péril que [ces derniers] encourent à simplement dire ce qui est". Aussi "c'est le stalinisme qui a tué Essenine, Maïakovski, Marina Tsvetaïeva, envoyé Soljenitsyne et Chalamov au goulag, étouffé, au nom du "réalisme socialiste", l'expression approchée, authentique de l'expérience à quoi tend, d'âge en âge, la littérature si elle est bien révélation, délivrance". Pierre Bergounioux relie ainsi les interventions de l'artiste Piotr Pavlenski à l'héritage de ses compatriotes : "Un artiste russe, parce que russe et non pas français, doit payer d'exemple, de sa personne. La chose qu'il dévoile est redoutable. C'est l'Etat, cet organe qui, selon Max Weber, "monopolise l'usage de la violence physique légitime". Et c'est bien contre Poutine et les oligarques qui ruinent à leur tour le peuple russe que Pavlenski s'élève car, envers et contre tout, "l'aspiration millénaire à la justice, à l'égalité, à la liberté, si elle a disparu de la surface du sol, n'en continue pas moins de cheminer sous terre". Creusons.

05/2021

ActuaLitté

Architecture

L'Architecture d'aujourd'hui AA n°453 : Construire local - Fev 2023

Que signifie "construire local" à l'heure d'une pénurie généralisée des ressources et matériaux de construction ? C'est sans doute l'un des termes les plus galvaudés aujourd'hui : local et, plus encore, l'expression "construire local" est de toutes les lèvres et de tous les projets. Car c'est entendu : pour diminuer un bilan carbone, réduire les émissions de gaz à effet de serre, bref lutter contre le réchauffement climatique, il convient de construire au plus près de ressources choisies, dans le cadre de circuits courts. Cela étant dit, est-ce que "construire local" est toujours le meilleur calcul en matière de bilan écologique ? Comment distinguer les entreprises réellement vertueuses des chantiers d'apparence ? AA propose une enquête aux quatre coins du monde sur l'architecture dite "locale". Au sommaire : hommage à l'architecte Balkrishna Vithaldas Doshi, Pritzker Prize 2018 ; les conseils lecture du Centre Canadien d'Architecture ; plongée dans les archives d'AA avec Jean-Philippe Hugron ; retour sur l'histoire du mythique Grand Rex avec Jean-Claude Raspiengeas ; le 13e opus des carnets du réemploi, par Vincent Laureau et Victor Meesters ; les récentes réalisations de HEMAA, Christophe Hutin et Civic Architects ; entretien avec l'écologue et botaniste Audrey Muratet à propos de ses recherches sur la biodiversité des villes, par Christelle Granja ; appropriation culturelle et localisme dans le secteur de la mode, une notion interrogée par Anastasia de Villepin ; pérégrinations photographiques en Haute-Saône avec Luc Boegly ; entretien avec l'auteure japonaise Ryoko Sekiguchi à propos du "local" en gastronomie, par Emmanuelle Borne ; portrait de l'architecte thaïlandais Boonserm Premthada dressé par Marie-Hélène Contal, directrice de l'Ecole spéciale d'architecture ; essai d'Eric de Thoisy, directeur de la recherche de l'agence SCAU, à propos de localisme à l'échelle globale de la Terre ; l'architecture loin des grands centres urbains racontée par Valérie de Saint-Do ; l'origine des matériaux de construction étudiée par le collectif (in)visible ; entretien avec l'architecte Morgan Moinet, à propos du réemploi des matériaux de construction, par Amélie Pouzaint ; AA sur les ondes, une nouvelle rubrique en partenariat avec France Culture et l'Esprit des lieux ; les constructions locales de Joly Loiret, Anatomies d'Architecture, Wallmakers, AAU Anastas et Atelier png ; l'expertise de l'architecte Sophie Brioul pour la transformation des matières naturelles en matériaux de construction présentée par Christine Desmoulins ; une matériauthèque sur le thème du recyclage et du réemploi présenté par Lisa Agostini.

02/2023