Recherche

livres Nazis

Extraits

ActuaLitté

Histoire de France

Vingt-trois mois dans les camps nazis. Buchenwald et Langenstein, 2e édition

Nombreux sont les ouvrages et témoignages relatant ce que tous les déportés ont subi : l'internement, les conditions inhumaines et meurtrières des transports en Allemagne, la vie de bagnards condamnés à mourir dans les camps. En 2010, pour le 65e anniversaire de la libération de Buchenwald, l'auteur est retourné dans ces lieux maudits accompagné de sa fille, Geneviève, qui ensuite a voulu qu'il écrive son parcours de déporté résistant. Ce livre raconte toute une vie de joies, de révoltes et de combats, mais aussi de solidarité, d'amitié et d'optimisme envers les valeurs humaines côtoyées dans les camps.

01/2020

ActuaLitté

Littérature étrangère

Allemand et Noir en plus ! Souvenirs d'un rescapé des camps nazis

Né à Berlin en 1925 d'un père camerounais et d'une mère allemande, Theodor Michael Wonja, cadet d'une fratrie de 4 enfants, vient au monde dans un pays qui n'offre que peu de perspectives professionnelles aux personnes de couleur, sinon les "spectacles d'exhibition d'indigènes". Renvoyé de l'école sur ordre du parti nazi, déchu de sa nationalité allemande en 1940, il est interné dans un camp de travail en 1943. Par miracle, il échappe à la stérilisation forcée pratiquée par les autorités du Reich sur plusieurs centaines d'enfants métis afro-allemands. Il doit par la suite affronter le racisme dans l'Allemagne d'après-guerre : "qu'ils retournent d'où ils viennent !", scandent alors certains de ses compatriotes. Confronté à la misère et aux discriminations, vivant de petits rôles au théâtre, Theodor Michael Wonja lutte pour changer le destin qu'on veut lui imposer : il suit une formation universitaire à Hambourg puis à Paris et fonde, à Cologne, au milieu des années 60, le " Bulletin de l'Afrique " dont il est le rédacteur en chef jusqu'en 1971. Devenu un spécialiste reconnu de l'Afrique en Allemagne, il est recruté par les services de renseignement allemands et finit sa carrière en 1987 comme conseiller d'Etat. Passionné de théâtre, il joue dans plusieurs pièces jusqu'à l'âge de 84 ans, notamment dans "I have a dream" en hommage à Martin Luther King.

10/2016

ActuaLitté

Histoire internationale

Le vol de la tapisserie de Bayeux. L'incroyable projet des Nazis

Juin 1944. Heinrich Himmler, chef de la SS, ordonne le transfert de la Tapisserie de Bayeux à Paris. L'insurrection de la capitale, en août 1944, sauve ce chef-d'oeuvre d'un départ pour l'Allemagne. Premier récit complet digne d'un roman d'aventure ! La Tapisserie de Bayeux est en réalité une broderie. Oeuvre majeure de l'art occidental, elle relate, par ses nombreux détails et sur une longueur d'environ 68 mètres, les préparatifs de l'invasion de l'Angleterre par le duc Guillaume de Normandie (v 1027-1087) et sa victoire à Hastings (1066), qui lui permettra de monter sur le trône d'Angleterre et d'entrer dans l'Histoire sous le nom de Guillaume le Conquérant. Très intéressé par cette oeuvre monumentale, Heinrich Himmler souhaite l'étudier afin d'y trouver des preuves supplémentaires de la supériorité de la "race nordique", les Nazis se considérant comme les descendants des Vikings. Le professeur Herbert Jankuhn, de l'institut scienti que de recherche allemand l'Ahnenerbe ("Héritage des ancêtres"), dépendant de la SS, est l'homme chargé de l'analyser. Le 8 juin 1941, il arrive à Bayeux accompagné d'un spécialiste des broderies médiévales, d'un peintre et d'un photographe. A travers de nombreuses péripéties, Jean-Charles Stasi nous conte à tambour battant l'histoire de cette miraculée de la guerre, à laquelle la ville de Bayeux doit sa notoriété internationale depuis plusieurs siècles.

10/2018

ActuaLitté

Histoire de France

Les crimes nazis lors de la libération de la France (1944-1945)

Ce livre captivant, richement documenté d'archives et de témoignages souvent inédits, dresse le tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale en France. Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale, déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 et visant à multiplier les massacres contre les civils afin de terroriser la population, de tarir tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis et de diminuer leur activité en générant la crainte de représailles contre les habitants. Les SS, la Gestapo et les unités régulières de l'armée allemande participent à ces exactions, en fonction des directives venant du haut commandement lui-même. Les massacres en Périgord, en Limousin, dans les Pyrénées, des Glières et du Vercors, dans l'Ain, d'Ascq, de Maillé, des Manises, de Penguerec, de Saint-Genis-Laval et de Bron, de la vallée de la Saulx, ainsi que bien d'autres, sont présentés en détail dans cet ouvrage de référence.

ActuaLitté

Généralités

Le Vol de Piatakov. La collaboration tactique entre Trotsky et les nazis

Lors du procès de Moscou de janvier 1937, Guéorgui Piatakov, vice-ministre de l'Industrie lourde soviétique de 1932 à août 1936, a reconnu avoir pris en secret un avion à Berlin en décembre 1935, avec l'aide des hitlériens au pouvoir, pour atterrir quelques heures plus tard en Norvège et rencontrer tout aussi secrètement Trotsky dont il prétendait être, depuis la seconde moitié de 1931, un partisan caché et une "taupe" habile, solidement établie au plus haut niveau de l'appareil économique de l'Union soviétique stalinienne. Piatakov a-t-il dit la vérité sur les événements de décembre 1935, ou était-ce là le fruit d'une horrible machination du pouvoir soviétique à propos d'un prétendu voyage et d'un entretien avec Trotsky n'ayant jamais eu lieu ? Sommes-nous en présence d'un sinistre complot contre non seulement l'innocent Piatakov mais aussi Karl Radek, un autre accusé au procès de janvier 1937, et surtout Trotsky, faussement accusé, par contumace, d'être devenu un "laquais de Hitler"? En réalité, c'est à partir de sources et de documents anti-staliniens incontestables, à commencer par les archives de Trotsky à Harvard, qu'est apparue récemment une série de révélations retentissantes qui prouvent de manière concluante la collaboration directe entre les nazis au pouvoir et Trotsky. En particulier, et à l'encontre des théories encore en vigueur sur l'impossibilité pratique du vol, il est maintenant certain qu'en décembre 1935, Piatakov s'est bien envolé avec l'aide des fascistes allemands pour une rencontre clandestine avec Trotsky, avec qui il eut une confrontation dramatique, précisément sur la question d'une alliance tactique avec les nazis. Les livres d'histoire sur les années 1930 et 1940 devraient donc être largement réécrits, ce qui ne peut avoir que des répercussions évidentes sur la gauche contemporaine.

09/2021

ActuaLitté

Ouvrages généraux

Un pacte avec le diable. Quand la France recrutait des scientifiques nazis

Et si les principales réussites des Trente Glorieuses ne tenaient qu'à l'embauche par la France de centaines d'ingénieurs nazis ?

03/2023

ActuaLitté

Ouvrages généraux

Les crimes nazis lors de la libération de la France (1944-1945)

Cet ouvrage richement documenté d'archives et de témoignages pour la plupart inédits, dresse un tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale. Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale – déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 – visant à massacrer une commune entière afin de terroriser la population de la région, de tarir en elle tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis, et diminuer l'activité de ceux-ci par crainte de la répression contre les civils.

ActuaLitté

Suisse

Les victimes oubliées du IIIe Reich. Les déportés suisses des camps nazis

Entre 1933 et 1945, au moins 391 Suisses ont été emprisonnés dans des camps de concentration par le régime nazi et plus de 200 d'entre eux sont morts durant leur captivité ou peu après leur libération. Ce livre retrace leur parcours et leur destin. En plus du sort de ces citoyens suisses, les auteurs suivent le parcours de plus 330 hommes, femmes et enfants nés ou ayant grandi en Suisse, mais qui n'ont jamais eu la nationalité suisse et qui furent emprisonnés dans les camps nazis. Parmi ces derniers, plus de 250 n'ont pas survécu aux mauvais traitements et à la torture. Les victimes suisses des persécutions nazies sont principalement des résistants, des juifs, des socialistes, des personnes considérées comme " asociales ", des témoins de Jéhovah, des Sinti et des Roms. Pour la première fois, les auteurs répertorient les noms des 391 victimes identifiées. La plupart d'entre elles vivaient en France et ont été emprisonnées, puis expulsées vers un camp de concentration. D'autres, des Suisses de l'étranger, vivaient dans des pays occupés par l'Allemagne comme la Pologne, l'Autriche, l'Italie, la Belgique ou la Grèce. Dans ce livre, les auteurs examinent comment les citoyens suisses furent pris dans l'appareil de terreur nazi et ce que la Suisse officielle a fait pour les aider. Après quatre années de recherche dans les archives en Suisse et à l'étranger, ils arrivent à la conclusion que "La Suisse aurait pu sauver des dizaines de vies, si elle s'était engagée avec courage et vigueur pour les prisonniers suisses des camps de concentration". D'une part, il apparaît clairement que le Conseil fédéral et les diplomates concernés sont intervenus avec peu de détermination face au régime nazi ; par peur de mettre Hitler en colère et de provoquer une invasion de la Suisse. D'autre part, les auteurs soulignent le peu d'intérêts des instances officielles suisses pour les victimes.

11/2021

ActuaLitté

Policiers

Nazis dans le métro. Une enquête de Gabriel Lecouvreur dit le Poulpe

Le Poulpe n'est ni un vengeur, ni un justicier, ni le représentant d'une loi ou d'une morale. C'est un personnage libre, curieux, un témoin en mouvement qui, pour comprendre le monde contemporain, se rendre compte par lui-même des désordres du quotidien. Que la presse relate un fait divers qui semble masquer une autre réalité que celle annoncée et il va sur place pour tenter de comprendre... Lorsqu'un romancier de soixante-dix-huit ans, parfaitement connu pour ses engagements, se fait tabasser alors qu'il préparait un livre sur une affaire d'empoisonnements et de meurtre de femme, le Poulpe voit rouge. Ecrire, si vous regardez le monde tel qu'il est, relève du combat. Du danger. De la mise à mort parfois. Ce que le Poulpe sait de cet écrivain et de son œuvre le mène de nouveau sur la route, par respect, par besoin viscéral de ne pas laisser en plan ce qu'il sent bien être une affaire des plus troubles...

01/2007

ActuaLitté

ouvrages généraux

La résistance en Ariège. Résistants français, guérilleros espagnols et Allemands anti nazis

Six ans après la mort de l'historien Claude Delpla (1934-2017), et quatre ans après la publication de "La Libération de l'Ariège", paraît aujourd'hui "La Résistance en Ariège". Ces deux livres rassemblent les textes de Claude Delpla et s'appuient sur la considérable masse de documents déposée par sa famille aux Archives de l'Ariège après son décès. La Résistance en Ariège met en lumière l'originalité de cette résistance plurielle car internationale. On y découvre les organisations et actions à l'échelle d'une école, d'un lycée, d'un réseau ou d'une municipalité, mais aussi cette résistance, menée à la fois par des guérilleros espagnols que, ce qui est moins connu, par des Allemands antinazis, à partir notamment du camp du Vernet où ils étaient internés. En historien et enseignant qu'il fut, Claude Delpla exhume des sources inédites, interroge les témoins, confronte les sources, critique les mythes. A travers une série de portraits, il redonne un visage aux grands noms de la Résistance comme aux oubliés de l'histoire.

04/2023

ActuaLitté

Généralités

Le roman des damnés. Ces nazis au service des vainqueurs après 1945

Tout a été dit sur les complices d'Hitler jugés à Nuremberg (Göring...), rattrapés dans leur fuite (Eichmann, Barbie...) ou morts dans la clandestinité (Mengele). Mais on ne s'est guère intéressé à ceux qui, non content d'avoir échappé à la corde, ont entamé, à l'ombre des vainqueurs, une seconde carrière d'envergure. La plus spectaculaire est celle de Kurt-Georg Kiesinger, devenu chancelier de la République fédérale d'Allemagne de 1966 à 1969 après avoir été surnommé, entre 1940 et 1945, le " Goebbels de l'étranger ". Et les plus honteuses celles de Reinhard Gehlen, Adolf Heusinger et Ernst Achenbach. Le premier prit la tête, en 1956, des services secrets ouest-allemands et le second, de 1960 à 1964, du comité militaire de l'Otan. Sous les ordres d'Hitler, ils avaient pourtant planifié l'invasion de la Russie et son cortège de massacres. Quant au troisième, il fut le principal collecteur de fonds du NSDAP avant d'organiser le pillage de l'économie française, ce qui ne l'empêcha nullement de devenir président de la Commission des Affaires étrangères du Bundestag... puis candidat de l'Allemagne à la Commission de Bruxelles en 1970 ! A leurs côtés, voici le SS Walter Schellenberg, principal collaborateur d'Heydrich puis d'Himmler, cité à Nuremberg comme simple ''témoin'', alors qu'il jeta les bases de la Shoah par balles en Union soviétique ; Friedrich Paulus, le vaincu de Stalingrad, devenu un ardent propagandiste soviétique... ; Rudolf Diels, le premier chef de la Gestapo (1933-34), qui se transforma en chasseur de communistes pour le compte de l'armée américaine. Voici encore Albert Speer et Wernher von Braun, deux assassins aux mains propres qui ne réussirent respectivement comme ministre de l'armement d'Hitler et concepteur des premiers missiles balistiques de l'histoire, que grâce aux dizaines de milliers d'esclaves sacrifiés dans les usines du Reich ; et aussi " le sorcier " Hjalmar Schacht, qui mobilisa l'industrie et la finance en faveur du IIIe Reich avant de se reconvertir en conférencier international... Sans oublier Otto Skorzeny, le ''James Bond du Führer'', qu'on retrouve dans tous les coups tordus de l'Après-guerre, au service de la CIA comme du Mossad ! Et voici l'exception qui confirme la règle : Hanna Reitsch, héroïne de l'aviation, dont l'erreur fatale fut de croire en Hitler et de mettre son prestige de pilote d'essai au service d'un régime criminel. Continuant, jusqu'en 1977, à battre records sur records, elle osa regarder en face les horreurs qu'elle avait provoquée. Une galerie passionnante de portraits portée par un rare sens du récit.

05/2021

ActuaLitté

Critique littéraire

D'un salaud l'autre. Nazis et collaborateurs dans le roman français

Intriguée par l'incroyable succès du roman de Jonathan Littell Les Bienveillantes (2006) — qui s'est vendu à plus de 700 000 exemplaires dès sa première année de parution en France et qui a été récompensé par le Prix Goncourt et par le Grand Prix de l'Académie - Marion Duval s'est penchée sur les oeuvres de sept romanciers qui relatent les atrocités de la seconde guerre mondiale du point de vue des tortionnaires : Louis-Ferdinand) Céline, Robert Merle, Patrick Modiano (prix Nobel de littérature 2014), Michel Tournier, Eric-Emmanuel Schmitt, Didier Daeninckx et, donc, Jonathan Littell. Ce livre met en évidence l'existence d'un archétype littéraire de la figure du «salaud» : un personnage banal à la sexualité paradoxalement marginale. Cet ouvrage est aussi une réflexion sur le choix de ces auteurs d'écrire à propos et à la place des bourreaux, et non pas des victimes, et de bousculer ainsi à l'extrême la représentation de cette période de l'Histoire. Ce livre, rédigé dans un style alerte et très limpide, aborde des personnages singulièrement complexes, héros de romans désormais populaires, qui nous renvoient aux atrocités du présent.

05/2015

ActuaLitté

Ouvrages généraux

Les crimes nazis lors de la libération de la France 1944-1945

Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale – déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 – visant à massacrer une commune entière afin de terroriser la population de la région, de tarir en elle tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis, et diminuer l'activité de ceux-ci par crainte de la répression contre les civils. Cet ouvrage richement documenté d'archives et de témoignages, pour la plupart inédits, dresse un tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale.

03/2024

ActuaLitté

BD tout public

Infinity 8 Tome 2 : Retour vers le Führer

Reboot à bord de l'Infinity 8 ! La première mission ayant tourné court suite à l'attaque d'une espèce nécrophage, le Capitaine, capable d'explorer plusieurs futurs alternatifs, lance une nouvelle trame temporelle et active un nouvel agent. L'incontrôlable Stella Moonkicker ne disposera à son tour que de 8 heures pour explorer la nécropole et en découvrir l'origine... Au programme de ce deuxième épisode : des mugs nazis, des ballons nazis, un gâteau nazi, un robot à sarcasmes, un peu de cuir et beaucoup de selfies !

01/2017

ActuaLitté

Allemagne

Les chevaux d'Hitler. L'incroyable traque du dernier trésor du Troisième Reich

Berlin, 1945. Dans les jardins bombardés de la Chancellerie d'Hitler, les deux chevaux de bronze réalisés par Josef Thorak, l'un des sculpteurs officiels du Reich, ont disparu. On les pense détruits. Aucune trace nulle part. Amsterdam, 2013. Mandaté pour retrouver ces sculptures qui, selon un courtier d'art, existeraient encore, Arthur Brand commence une longue enquête à travers l'Italie, l'Allemagne et la Belgique. Au cours de ses recherches, il rencontre dirigeants d'organisations louches, anciens nazis, anciens membres du KGB et de la Stasi, néo-nazis, etc. Tous semblent impliqués dans le trafic d'art nazi. Ce livre raconte quel stratagème il a imaginé pour faire interpeller des collectionneurs et marchands plus ou moins véreux et pour retrouver, quasiment intactes, plusieurs sculptures majeures du Reich censées détruites à jamais...

02/2021

ActuaLitté

Théologie

Leçons morales tirées du livre de Job. Livres XI à XIII

Deux thèmes dominent toute cette section des Leçons morales : celui des mystérieuses voies de la Providence divine et celui de notre sort éternel. Dans cette troisième partie de son commentaire, saint Grégoire présente au lecteur une synthèse de sa méditation. S'agissant de l'histoire de Job, "le Souffrant", on ne s'étonnera pas que le pape cherche ici à préciser comment la Providence conduit nos vies d'une façon souvent mystérieuse et incompréhensible à nos yeux. Pourtant, chacun de nos pas, chacun des événements, grands ou petits qui parcourent nos existences, entre dans le dessein éternel de Dieu qui n'est autre que notre participation à sa béatitude éternelle et toujours dans le respect de notre liberté individuelle. C'est justement autour de notre avenir éternel que se poursuit la méditation de saint Grégoire, car les vicissitudes que nous traversons sont le moyen et l'occasion de mettre en lumière la seule question qui finalement oriente notre conduite et donc notre avenir éternel : où est ma joie ? Le célèbre commentaire est ici présenté pour la première fois dans son texte intégral en français contemporain, doté d'une introduction et de notes qui en facilitent la lecture.

03/2024

ActuaLitté

Théologie

Leçons morales tirées du livre de Job. Livres VII à IX

Ce troisième tome des Leçons morales tirées du livre de Job ouvre une nouvelle phase de la méditation biblique de saint Grégoire. Il y prend de la hauteur, puisqu'il médite ici davantage sur le sort éternel des sauvés ou de ceux qu'il appelle les "réprouvés", jusqu'à nous décrire la "logique" qui prévaut en Enfer, où la fin est sans fin, où l'on expérimente continuellement une "mort sans mort, une disparition sans disparition". Mais l'intérêt des Livres VII à IX est aussi de traduire en termes d'intériorité tout l'enjeu de notre salut, où l'intérieur représente l'être même de Dieu auquel il a donné part à l'homme, dès sa création. Passé de l'intérieur à l'extérieur, par son consentement au péché, l'homme a perdu la lumière intérieure dont il jouissait. Il a surtout cessé de s'habiter lui-même, de connaître son authentique identité de fils de Dieu. Et c'est le deuxième volet de ce volume qui décrit en termes saisissants la condition humaine dans ses multiples contradictions, ses limites, sa finitude qui explique aussi toute la difficulté d'une conversion authentique de notre coeur, toujours entaché d'amour-propre. Si bien que le juste met sa force non dans la réussite en ce monde, mais préfère se réjouir des épreuves qui lui sont imposées et même des tentations qui contribuent à le purifier ; en un mot, mieux vaut l'"adversitas", qu'une vie où tout semble vous sourire. On le voit, il ne s'agit jamais de "comprendre" le mystère du mal, comme si l'on pouvait le saisir intellectuellement et en rendre compte par des mots. Il s'agit beaucoup plus, avec Job, d'y consentir, d'y entrer dans une attitude de foi, mais librement, activement, oserait-on dire "amoureusement", comme on rejoint le Christ en son mystère pascal.

10/2023

ActuaLitté

Romans historiques

Opération d'encre et d'azur

A travers ce roman historique, Laurence Dionigi nous fait revivre les années de reconstruction de l'après deuxième guerre mondiale dans une France en pleine guerre froide. Partie à la recherche de son tortionnaire, l'ex-résistante Victoire Montegridolfo découvrira l'existence de la banque monégasque nazie " Charles & Co " tout comme de lourds secrets bien gardés où les intérêts politico-financiers se mêlent étroitement. Fuite des capitaux, réseaux d'exfiltration d'anciens nazis, enlèvement de scientifiques et d'enfants notre héroïne devra éviter bien des dangers tout en affrontant ses propres démons. Cette traque des nazis sous le soleil de la Côte d'Azur nous révèle des pans de l'histoire rarement abordés dans les romans : Monaco sous l'Occupation, la nouvelle vie des nazis en Argentine, le recrutement par les services secrets de savants nucléaires allemands...

05/2018

ActuaLitté

Science-fiction

L'effondrement des Mondes. Tome 1 : La guerre des lumières

Un mystérieux accident de bus. Trente-deux adolescents volatilisés dans la nature sans laisser de traces. Armé d'une détermination à toute épreuve, Rayan, le frère de l'un des disparus, va tout tenter pour retrouver son frère, ami et confident. Dans sa quête de la vérité, Rayan vivra toutes sortes de péripéties rocambolesques au cours desquelles il sera confronté au doute, au chagrin et à la peur. Sa quête sera interrompue quand le monde tel que nous le connaissons sera au bord de l'effondrement...

10/2021

ActuaLitté

Témoignages

Ma fille, ma bataille

Garance mène un combat sans merci contre sa tumeur cérébrale. A ses côtés, sa mère, qui fait front sans faillir tout en vivant les difficultés de l'après séparation avec le père de Garance... Dans ce livre Nazik Josse-Tichout livre sans fards le quotidien d'une mère qui doit soutenir son enfant dans sa maladie et le handicap qui la frappe. Et tout cela en faisant face à un ex-compagnon peu responsable et au comportement préjudiciable à l'enfant. Un ouvrage bouleversant de sincérité et de force, qui place l'amour d'une mère au centre d'une existence de femme contemporaine.

06/2021

ActuaLitté

Histoire internationale

Adolf Eichmann

Adolf Eichmann est l'un des dignitaires nazis les plus tristement célèbres. Cette renommée, il la doit en partie à la médiatisation de son procès et au portrait brossé par Hannah Arendt. Incarnation de la " banalité du mal ", il organisa, de 1941 à 1945, la déportation de masse et l'extermination des Juifs d'Europe. Méticuleux, assis à son bureau, il fut au coeur du génocide nazi. Méconnu des chasseurs de nazis au sortir de la guerre, il parvint à fuir en Argentine en 1950. II y mena une vie paisible, jusqu'au mois de mai 1960 lorsqu'il fut enlevé par des agents du Mossad et amené en Israël. Evènement majeur de l'après-guerre, le " procès Eichmann ", qui s'ouvrit à Jérusalem le 11 avril 1961, fut retransmis par de nombreuses chaînes de télévision à travers le monde. Eichmann fut pendu le 31 mai 1962. Dans cette biographie magistrale, la première depuis quarante ans, David Cesarani se penche sur la carrière d'Eichmann et s'interroge sur ce qui a pu conduire cet homme ordinaire à devenir un meurtrier de masse. En s'appuyant sur des documents découverts récemment, l'auteur bouscule certaines idées reçues et dépasse le préjugé selon lequel il aurait été " maléfique ", " fou " ou bien un simple rouage de la machine de mort nazie. Avec brio et clarté, Cesarani explique comment Eichmann est progressivement devenu l'" expert " en questions juives et a été le complice de l'assassinat de millions de personnes.

06/2010

ActuaLitté

Histoire de France

Intelligence avec l'ennemi. Le procès Brasillach

Robert Brasillach est le seul écrivain notoire qui, pour avoir collaboré avec les nazis, a été fusillé. Brasillach fait partie de l'élite intellectuelle formée par l'Ecole normale supérieure. Il est bientôt fasciné par l'Allemagne nazie, sa violence, sa théâtralité. Il va diriger Je suis partout, hebdomadaire férocement antisémite, pro-nazi, dénonciateur de juifs et de résistants. Mais on ne le jugera pas pour ses opinions. On le condamnera pour trahison. En janvier 1945, si Paris est libéré, la guerre n'est pas finie. C'est dans ce climat tendu que s'ouvre son procès. Trois vedettes s'affrontent : Brasillach, le procureur Reboul et l'avocat Jacques Isorni, le propos s'éclairant de l'histoire personnelle et parfois du roman familial des protagonistes. La mort de Brasillach va peser sur le destin de tous les personnages qui ont été mêlés à son procès. Elle a continué à alimenter les débats intellectuels sur la responsabilité de l'écrivain. Une enquête qui se lit comme un roman, riche en personnages hauts en couleur.

08/2003

ActuaLitté

Histoire de France

Dans les griffes nazies. Angers-Fresnes-Ravensbrück-Mauthausen

Ce livre raconte la tragique destinée d'une Résistante arrêtée au début de l'année 1944 et déportée à Ravensbrück et Mauthausen. Cette Résistante prénommée Félicie Charles est une enfant d'Isigny-sur-Mer où elle repose aujourd'hui. Dès 1946, cette institutrice prend la plume pour raconter l'horreur. Avec un réalisme inhabituel pour l'époque, elle raconte ce que beaucoup voulaient taire : le traitement infligé par les Allemands, la dureté de la vie dans les camps, l'inhumanité des geôliers, les rivalités entre communautés de prisonniers... Son livre est l'un des tout premiers témoignages sur la Déportation signé par une femme déportée. Il est un témoignage exceptionnel et brutal sur cette page de la seconde guerre mondiale. Il est le plaidoyer d'une militante socialiste, éprise de liberté et opposée à toute forme d'oppression et de soumission. Il est aussi un cri d'amour à sa patrie, à son mari et à son fils. Ses communes de coeur n'ont pas oublié cette femme de combat. A Isigny-sur-Mer, une rue porte le nom de Félicie Charles tandis que des écoliers du Mans fréquentent l'école Suzanne-Busson. En revanche, ses écrits étaient devenus introuvables depuis un demi-siècle.

05/2014

ActuaLitté

Histoire de France

La France et la menace nazie. 1933-1939

Comment la France a-t-elle perçu la montée du péril nazi dans les années 1933-1939 ? Cette question a longtemps été négligée par l'historiographie. Les responsables français avaient-ils une perception claire des intentions d'Hitler et de ses capacités militaires ? Ont-ils fait bon usage des rapports de leurs services secrets ? L'historien canadien Peter Jackson a entrepris, le premier, de répondre à cette question-clé dans cet ouvrage qui a fait date dès sa première parution en anglais. Il raconte les missions d'espionnage français en territoire allemand et reconstitue la façon dont les services français ont évalué les forces et les menaces allemandes. Il démontre que le travail de ces services était très efficace, avec une évaluation exacte des plans allemands dès avant l'Anschluss ; mais leurs rapports furent le plus souvent négligés par les politiques et les diplomates qui jugeaient Hitler dans la continuité de ses prédécesseurs. Ce n'est qu'après Munich que la menace nazie les préoccupa réellement. Peter Jackson est professeur d'Histoire à l'université de Glasgow, chercheur associé au centre d'Histoire de Sciences po Paris et dirige la revue Intelligence and National Security.

09/2020

ActuaLitté

Histoire internationale

L'ennemi juif. La propagande nazie, 1939-1945

Élève de George Mosse et proche de Walter Laqueur, nourri des analyses de François Furet et de Thomas Nipperdey, Jeffrey Herf, historien de l’Allemagne, signe ici un ouvrage à la croisée de l’histoire des idées et du politique. Essayant de comprendre, dans la lignée de Browning et de Friedländer, comment la mise en œuvre de la Shoah s’est agencée avec le déroulement de la guerre, il étudie la « logique paranoïaque du délire nazi » pour montrer de quelle façon la construction d’une image du Juif diabolisé a nourri la course en avant vers le meurtre de masse. Alors que de nombreux ouvrages ont été consacrés à des films comme Le Juif Süss, à Mein Kampf et au déroulement des persécutions, on s’est moins intéressé à la propagande au jour le jour. La propagande antisémite distillée par la presse, découvre-t-on ici, était moins l’œuvre de Goebbels que celle de Dietrich, responsable de la presse du Reich qui, à la différence du ministre de la Propagande, était en contact quasi quotidien avec Hitler. Ce qui, dans le déchaînement des violences antijuives, oblige à réévaluer le rôle de Hitler qui est loin de se réduire aux sept discours où il parle d’extermination. Jeffrey Herf étudie donc ce que le régime nazi assénait au peuple allemand et non ce que ce dernier en pensait. Quand des historiens ont étudié « l’opinion populaire », Jeffrey Herf s’intéresse, lui, à ce qui nourrissait les sentiments des Allemands à l’égard des Juifs. S’il puise largement dans des archives et des études, l’originalité de cet ouvrage est d’explorer le corpus sous-exploité des « Mots du jour » et des « Mots de la semaine », diffusés par conférences de presse, ainsi que celui des innombrables journaux placardés dans les lieux publics de 1939 à la fin de 1943. Alors que l’extermination était largement engagée, cette propagande martelait que jamais les Allemands n’avaient été autant menacés d’extermination par les Juifs. C’est toute la logique paranoïaque de la légitimation du génocide qui se trouve ainsi éclairée.

09/2011

ActuaLitté

Histoire internationale

Les musulmans et la machine de guerre nazie

Au plus fort de la Seconde Guerre mondiale, après les premiers revers militaires subis en Union soviétique et l'enlisement dans des territoires abritant de nombreux musulmans - l'Afrique du Nord, le Caucase, les Balkans et la Crimée -, les dirigeants nazis ont cédé à une sorte d'urgence stratégique. Ainsi ont-ils mis de côté certains de leurs préjugés racistes et tenté d'instrumentaliser "l'islam" - religion que Hitler et Himmler, notamment, admiraient car ils la jugeaient "autoritaire", "fanatique" et "conquérante" - pour en faire une force politique ralliée à leur cause. Les musulmans sont donc devenus la cible d'une propagande acharnée et sophistiquée, quoique totalement ignorante des cultures et contextes régionaux. Mais en postulant l'unité du monde musulman, en manipulant les textes sacrés ou en tentant de faire passer Hitler pour une figure centrale de l'eschatologie islamique, la machine de guerre nazie a fabriqué de toutes pièces un islam imaginaire... Fondé sur des sources inédites issues de quatorze pays, ce livre démonte avec précision la thèse d'une proximité idéologique entre nazis et musulmans à l'égard des juifs. Si des dizaines de milliers de soldats musulmans se sont effectivement enrôlés dans la Wehrmacht et la SS, ils l'ont presque toujours fait pour échapper à une misère plus grande encore, aux menaces de la violence nazie, ou pour se venger de leurs anciens oppresseurs.

02/2019

ActuaLitté

Beaux arts

Les Nabis & le décor. Bonnard, Vuillard, Maurice Denis...

"La peinture doit être surtout décorative". Pierre Bonnard, 1891.

03/2019

ActuaLitté

Thrillers

La nuit de Berlin

Berlin, décembre 1939. Alors que l'Allemagne entre en guerre, les nazis resserrent leur emprise terrifiante. La paranoïa dans la capitale est intensifiée par une panne d'électricité qui plonge la ville dans une obscurité oppressante chaque nuit dès que le sombre soleil d'hiver se couche. Lorsque deux jeunes femmes sont retrouvées brutalement assassinées, l'inspecteur de la police criminelle du Reich, Horst Schenke, subit une immense pression pour résoudre l'affaire rapidement. Traité avec suspicion par ses supérieurs car il n'a pas sa carte du Parti Nazi, Schenke marche sur une ligne extrêmement dangereuse : la déloyauté équivaut à une condamnation à mort. Il doit découvrir la vérité avant que le mal ne frappe à nouveau. Mais rapidement son enquête le rapproche un peu trop du coeur du régime nazi. Le danger est partout et les notables nazis peuvent être tout aussi dangereux qu'un tueur dans les rues de Berlin...

11/2022

ActuaLitté

Histoire de France

Neuengamme, camp de concentration nazi (1938-1945)

Depuis leur retour des camps, les déportés n'ont cessé de se poser cette question sans réponse : " pourquoi suis-je revenu et pourquoi pas les autres ?" Dès lors, ils se sentent porteurs d'une dette à l'égard de tant de camarades qui ne sont pas rentrés. Au monde qu'ils ont trouvé à leur retour, ils n'appartenaient plus tout à fait ils dérangeaient, " on " voulait vivre et oublier la guerre et ses horreurs. Leur parole n'a pas toujours été entendue. Pourtant, depuis plus de soixante ans, inlassablement, ils nous redisent ce qui s'est passé derrière les barbelés des camps. Dès 1945, les déportés de Neuengamme, réunis en Amicale, se sont donné une mission qu'ils ont inscrite dans leurs statuts, créer une commission d'histoire pour faire connaître l'histoire du Camp. Ce livre est l'aboutissement du travail de mémoire de l'Amicale tout entière, par l'intermédiaire de sa commission d'histoire, sous la direction de ses présidents successifs. La gestation fut longue, il a été enfanté dans la douleur. Soixante ans après, il nous livre la parole des témoins, " nos semblables, nos frères ", de tous âges, de toutes conditions. C'est à un voyage initiatique que nous vous convions aujourd'hui, à travers ces magnifiques documents.

10/2010

ActuaLitté

Ethnologie

Sachso. Au coeur du système concentrationnaire nazi

Orianienburg-Sachsenhausen, où furent détenus 8000 Français, est l'un des camps de concentration les moins connus de France. Il fut pourtant le quartier général de l'inspection centrale SS et le cœur même du système concentrationnaire nazi : on y expérimentait les méthodes d'extermination massive appliquées ensuite dans les autres camps; les détenus y servaient de cobayes pour des " études" pseudo-médicales. Mais Sachso, qui vit passer 200 000 prisonniers de vingt nationalités, fut un grand centre de la solidarité et de la résistance internationale contre les SS, un défi des hommes en "zebra" contre leurs bourreaux. Sachso est la mémoire de ces 8000 résistants français dont seulement un sur deux a pu réchapper à cette terrible épreuve. Livre collectif, qu'ils s'étaient juré d'écrire. Rassemblés et présentés par l'amicale française d'Orianienburg-Sachsenhausen, les récits de cet ouvrage collectif - trois cents témoins y ont apporté leur contribution - sont de première importance pour une meilleure connaissance de l'univers concentrationnaire nazi.

03/2003