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Soldats guyanais. Prisonniers de l'armée allemande, Grande Guerre 1914-1918

Extraits

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Histoire de France

Strasbourg en guerre (1914-1918). Une ville allemande à l'arrière du front

Ville de l'arrière, mais côté allemand, en 1914, Strasbourg s'est transformée profondément pour jouer son rôle dans le dispositif de guerre de l'empire. Par ce livre, rédigé par de nombreux spécialistes, cette ville stratégique fortifiée, qui abritait réserves et hôpitaux, reprend vie. D'une part une vie officielle, menée par l'administration municipale et la presse, au rythme des manifestations publiques de soutien à l'armée, mais aussi des affiches de propagande. Mais aussi, d'autre part, une vie intime, celle de la population civile, des réfugiés et de leurs inquiétudes. L'ouvrage fait une belle place au commerce et à l'économie en temps de guerre, nous rend des paroles de Strasbourgeois et présente des objets du quotidien parvenus jusqu'à nous.

10/2014

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Histoire de France

Focus Langres pendant la Grande Guerre

Presque 45 ans après la guerre de 1870, qui avait opposé la France à la Prusse, le jeu des alliances plonge l'Europe dans un nouveau conflit en 1914. Située à l'écart du front, Langres conserve pourtant son statut de place forte militaire : mise en défense, casernement de troupes, réglementations spécifiques liées à la présence de soldats... Si la ville n'a jamais connu le feu entre 1914 et 1918, elle assiste toutefois aux événements en spectatrice privilégiée. Depuis la mobilisation du 2 au 18 août 1914, jusqu'au retour du 21e Régiment d'Infanterie en mars 1919, la cité vit au rythme des mouvements de troupes, des convoiements de blessés, des pénuries, accueille temporairement les réfugiés et devient un important centre de formation pour l'armée américaine à partir de l'automne 1917.

09/2019

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BD tout public

C'était la guerre des tranchées. 1914-1918

Les obus éventraient le sol torturé, à l'intérieur duquel se terraient des milliers d'hommes qui avaient creusé la terre et y avaient aménagé des abris. C'était la guerre des tranchées.

08/2014

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Histoire de France

1914-1918, une guerre des images. France-Allemagne

Qu'ont vu de la Grande Guerre les Français et les Allemands? Si la mémoire collective insiste sur les notions de censure et de propagande, il ne faut pas oublier une autre réalité : le besoin de voir la guerre a été très fort, aussi bien en France qu'en Allemagne. Jamais autant de cartes postales n'ont circulé, jamais autant de journaux illustrés n'ont été achetés et les salles de cinéma ont connu une fréquentation jusqu'alors inédite. Entre 1914 et 1918, des deux côtés des tranchées, des photographes, des cinéastes et des dessinateurs ont tenté de saisir le combat, de montrer la victoire en train de se dessiner et de représenter l'ennemi. s'il s'agissait pour ces hommes de témoigner de leur expérience du front, ils ont aussi participé à la construction visuelle de l'histoire et de la mémoire du conflit. Les documents présentés et analysés dans cet ouvrage, réalisé grâce au fonds de l'AFP (Agence France-Presse) et de la DPA (Deutsche Presse-Argentur), proposent une plongée inédite dans l'univers visuel des Français et des Allemands de cette époque.

05/2014

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Sciences historiques

Les prisonniers de guerre français. Enjeux militaires et stratégiques (1914-1918 et 1940-1945)

Les deux guerres mondiales présentent deux caractères nouveaux qui rejaillissent sur le sort des prisonniers de guerre et fournissent des renseignements précieux sur les sociétés en guerre au XXe siècle. D'abord, ces deux guerres sont des guerres totales et les prisonniers de guerre restent un enjeu dans le domaine militaire, mais le deviennent aussi dans celui de l'économie et de la propagande. Ensuite, un droit humanitaire se met peu à peu en place. Symbolisant la puissance de la civilisation au moment où elle est le plus menacée, c'est-à-dire pendant les conflits, les textes conventionnels sont appliqués pour la première fois durant la Première Guerre mondiale, par l'intermédiaire de quelques articles de la Convention de La Haye de 1907 concernant les prisonniers de guerre et se perfectionnent avec la Convention de Genève de 1929, entièrement consacrée aux captifs. Cette étude suit plus particulièrement le sort des 600 000 prisonniers de guerre français de la Première Guerre mondiale et des 1 800 000 captifs de la Seconde Guerre mondiale, les plaçant en perspective avec les prisonniers des autres nations pour comprendre leur originalité. Elle montre également que les deux guerres mondiales apparaissent comme une période exceptionnelle où les belligérants sont clairement identifiés et où l'on tente, et globalement où l'on réussit, à protéger les prisonniers de guerre par un droit humanitaire international alors même que leurs rôles stratégiques augmentent.

06/2010

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Sciences historiques

L'armée française dans les combats de Meuse 1914-1915

Ce livret de 32 pages s'attache à décrire les combats livrés dans la Meuse en 1914 et 1915, avant la bataille de Verdun, en portant l'attention du lecteur sur l'évolution des tenues des soldats à une époque charnière. En effet, les combattants de l'été 1914, avec leur uniforme à pantalon rouge garance, n'ont reçu aucune nouvelle tenue pendant plusieurs mois et durant le premier hiver, on voit apparaître des pantalons en velours côtelé, des chemises à carreaux et toutes sortes d'effets envoyés par les familles, avant que l'uniforme bleu horizon commence à faire son apparition au printemps 1915, pour s'imposer complètement durant l'été 1915. Au moment des grandes offensives de septembre 1915, la silhouette du poilu est quasi définitive, avec les bandes molletières, l'uniforme bleu horizon et le casque Adrian.

10/2019

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Histoire de France

Dico atlas de la Grande Guerre. Chronologie de la Première Guerre mondiale, 1914-1918

Ce dico atlas de la Grande Guerre a 3 ambitions. Une synthèse de l'historiographie : qu'ont découvert les historiens ces dernières décennies sur un conflit si proche et en même temps si loin de nous par les attitudes des populations, par leur perception du monde ? Retrouver du sens aux événements et à la trame historique, pour sortir d'une histoire-mémoire, moralisatrice et compassionnelle pour mieux comprendre également les enchaînements, les blocages, les impossibilités. Pour cela, un plan chronologique en 4 parties : 1914 et avant ; 1915-1916 : l'impasse qui pousse à la logique de la "guerre totale" ; 1917 : l'année des échecs ; 1918 : qui a gagné la guerre ? Non seulement à travers la réalité froide des bilans et des clauses des traités, mais aussi dans les perceptions de l'époque et compte tenu de toutes les interrogations que la guerre et les traités laissent en suspens. Prendre en compte toutes les dimensions du conflit : européenne, mondiale, économique, idéologique, technologique ; la guerre vécue au niveau des acteurs principaux (les soldats) mais aussi la guerre moins connue des civils, des enfants, des femmes...

10/2013

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Histoire de France

Souvenirs d'un artilleur et pilote de la Grande Guerre 1914-1918

Avocat de formation, plongé à 28 ans dans les affres de la Grande Guerre, c'est ainsi que ce lieutenant de réserve passera cinquante-quatre mois aux Armées. En véritable "historien du moment", son témoignage retrace les marches et contre- marches épuisantes, voire meurtrières, de la Meuse à la Marne, de la Marne à l'Argonne, les combats des Eparges, de la Woëvre, l'offensive de Champagne. Ensuite, du haut de son avion, ce seront les échecs des offensives de la Somme, du Chemin des Dames, puis l'offensive allemande de 1918 et enfin la contre-offensive victorieuse. Dans ce récit, empreint d'une sincérité totale et qui a conservé toute sa spontanéité, alternent tour à tour la bravoure du jeune lieutenant, l'exaltation dans l'action et parfois la déception lucide face au décompte tragique des pertes et à la prolongation d'un conflit "sans fin". Artilleur, cavalier dans l'âme, il demande l'Aviation pour y donner sa pleine mesure en tant qu'observateur, puis comme pilote à l'époque glorieuse des "machines plus ou moins merveilleuses" maniées par des "fous volants". Est-ce la raison pour laquelle l'emblème que l'auteur choisira pour l'escadrille dont il assumera le commandement était une "tête de fou" ? Ce récit sur le vif de ces combats, de ces atterrissages en catastrophes, ne cesse un instant d'investir son lecteur...

11/2011

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Histoire internationale

Une infirmière allemande au Cameroun 1913-1916

1913 - La colonie allemande du Cameroun, créée en 1884, est à son apogée. Les Allemands commencent la mise en valeur des territoires cédés par la France en 1911. 1916 - Les derniers Allemands quittent le Cameroun, chassés par les Anglais et les Français, c'est la fin de la colonisation allemande. Entre ces deux dates, une infirmière allemande de la Croix-Rouge pour les colonies, Grete Kühnhold, traverse le Cameroun pour aller lutter contre la maladie du sommeil, soigne les blessés de guerre, accompagne la retraite de femmes malades ou enceintes, pratique des contrôles vétérinaires, avant de rentrer elle-même en Allemagne. Son témoignage nous remémore une époque décisive dans la genèse du Cameroun. Mais nul besoin d'être historien pour prendre plaisir à la lecture d'une expérience vécue, à laquelle l'histoire a offert un formidable scénario !

12/2018

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Histoire de France

La Première Guerre de Charles de Gaulle. 1914-1918

En 1914, le lieutenant Charles de Gaulle, vingt-trois ans, part en guerre avec enthousiasme à la tête d'une section du 33e régiment d'infanterie. Dans la boue de Champagne, dans le fracas de Verdun, de Gaulle se bat. Le 2 mars 1916, laissé pour mort à Douaumont, Charles de Gaulle est conduit en captivité en Allemagne. Emprisonné, il s'évade à cinq reprises. Du fond des forteresses allemandes, il lit, se documente et réfléchit : l'enfer des tranchées, le courage des soldats, les forces et les faiblesses du commandement français, la stratégie de l'armée ennemie. Désormais, il a un credo : ne jamais cesser le combat. L'homme du 18 juin 1940 est né. Grâce à des archives familiales inédites - lettres, notes, rapports, journaux, carnets - Frédérique Neau-Dufour éclaire cette partie méconnue de la vie de Charles de Gaulle et dessine l'étonnante figure d'un combattant de la Grande Guerre pas tout à fait comme les autres.

04/2015

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Histoire de France

Lettres à Joséphine. Histoires intimes de la Grande Guerre, 1914-1916

"Je me porte bien... Mon tempérament sec me permettra de m'en tirer, et ma petite mignonne qui me gatte aussi. Je tiendrai bien jusqu'à la fin. Il faudra demander quelqu'un pour vous aider. Je ne sais pas la fin de la guerre, peut-être plus tôt que l'on ne pense... C'est la grande guerre qui fait ses invasions. Mais ne dis rien, ton Joseph reviendra à toi te faire mimi et le désarmement sera bien beau pour tous... Moi aussi je t'écris las de coucher seul... Je m'arrête, l'on m'appelle à la soupe. Ton petit aimé mari qui t'embrasse bien". Joseph. "Mon chéri, tu me dis que tu viendrais bien dormir avec moi, tu n'es pas seul à y penser. Que tu reposes tranquille pour te remettre de ta journée et rêver aussi à ta petite maman chérie qui rêve à toi souvent et qui t'envoie des milliers de baisers de tendresse et amour. Si tu pouvais venir à la fin du mois"... Joséphine. Entre décembre 1914 (date de son incorporation à Bollène) et le 1er novembre 1916 (date de sa mort à Verdun), Joseph Janériat a entretenu une correspondance assidue avec sa femme Joséphine et leurs trois filles, restées au pays, à Sainte-Colombe (Rhône, près de Vienne). Cet échange épistolaire ne fait guère mention des combats, il est surtout question d'amour, celui de la famille, celui de ce couple aux prénoms joliment liés : Joseph et Joséphine. Tour à tour pleines d'espoir, d'angoisses, d'humour et d'un amour constant qui a soudé cette famille paysanne face aux drames, ces lettres, retrouvées tout juste cent ans plus tard, sont pleines du franc-parler et des expressions pittoresques de l'époque. Ainsi, leur propos, à la fois teinté de cette époque et pourtant tellement familiers (au double sens du mot), sont si porteurs d'émotions que leur portée en devient universelle.

01/2018

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Première guerre mondiale

René Bazin, témoin de la Grande Guerre. Tome II, 1916-1918

Pendant toute la Grande Guerre, René Bazin écrit l'éditorial du quotidien l'Echo de Paris dans lequel il communique à des centaines de milliers de lecteurs, une ou deux fois par semaine, son vaillant optimisme pour la régénération de la France ; il met la fine lame de son épée d'académicien au service de la France et de l'Eglise, soutenant les âmes chrétiennes qui veulent s'attacher à quelque chose de plus solide qu'un vain patriotisme républicain. Par l'abondant courrier qu'il reçoit et qui nourrit ses réflexions — dont de nombreux exemples sont reproduits — il nous apprend beaucoup sur l'état d'esprit des combattants et la vie à l'arrière. Il insiste sur les ressources morales à préserver, sur les réformes juridiques, économiques et sociales nécessaires pour obtenir la paix civile après la victoire militaire. En rappelant les erreurs passées, il cherche à unir toutes les forces françaises et prépare une nouvelle organisation pour la France de l'après-guerre. Ses méditations sont plus que jamais d'actualité : le refus du christianisme et ses conséquences sur l'état de la civilisation ; les fautes des gouvernements sectaires qui mettent la France en péril.

05/2021

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Histoire de France

Histoire de l'ambulance 1/14 durant la Grande Guerre (1914-1916)

Août 1914. Joseph Brenac, médecin dans le civil, rejoint l'ambulance 1/14. Il s'agit ici d'une formation sanitaire, située à proximité du front, en charge de prodiguer les premiers soins, puis d'assurer le suivi des blessés et des malades qui ne requièrent pas un retrait à l'arrière. Cette ambulance est successivement dans les Vosges, la Somme, la Champagne, l'Alsace et enfin Verdun en 1916. Joseph Brenac prend sur la période 240 photos, rassemblées dans un album, mais avec peu de légendes. Bertrand de Lamberterie, son petit-fils, a entrepris de reconstituer l'histoire de l'ambulance 1/14, à partir de ces photos ainsi que des journaux des marches et opérations (JMO) des différentes unités du 14e corps d'armée et la 28e division à laquelle est rattachée l'ambulance. Ce livre couvre toute la période 1914-1916, en mettant l'accent sur deux épisodes : la Somme entre septembre 1914 et août 1915, et Verdun durant toute la bataille de 1916. Dans la Somme, l'ambulance réside à Morcourt, un village-refuge bien abrité du front où l'on découvre qu'un de ses habitants, Auguste Lematte, a tenu un journal de guerre dont les écrits sont étonnamment illustrés par les photos de Joseph Brenac. A Verdun, on peut suivre au jour le jour la vie de l'ambulance, non seulement avec les photos de Joseph Brenac, mais aussi par les carnets de guerre de son ami Louis Duvernay, un autre médecin de l'ambulance. On apprend ainsi que l'abbé Thellier de PoncheviIle, aumônier-brancardier à la 28e division et auteur de l'ouvrage Dix mois à Verdun, partageait lui aussi la vie de ces médecins. Ces deux épisodes de l'ambulance dans la Somme et la Meuse ont déjà fait chacun l'objet, d'une exposition à l'occasion des cérémonies du centenaire, avec le soutien des maires de Morcourt (Somme) et de Belrupt-en-Verdunois (Meuse). C'est sous l'impulsion de ces deux maires que le projet d'écrire ce livre est né.

11/2018

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Sciences historiques

Guerre 1914-1918. Tome 1, Infanterie, blindés, aviation

Ces deux auteurs sont passés "maîtres" dans le domaine de l'Uniformologie ! A découvrir et redécouvrir en ce centenaire du début du premier conflit mondial ... Dans ce 1er tome sont présentés les uniformes et armes de l'Infanterie, des Blindés et de l'Aviation.

06/2014

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Sociologie

Mains-d'oeuvre ouvrières en guerre 1914-1918

L'originalité de cet ouvrage, fruit d'un colloque international sur les mains d'oeuvre en France, réside dans l'appréhension globale des différentes mains-d'oeuvre employées pendant la Grande Guerre. Jusqu'à présent, en effet, la recherche historique s'était penchée sur certaines catégories de main-d'oeuvre (main-d'oeuvre féminine, main-d'oeuvre italienne, main-d'oeuvre coloniale, etc.) sans s'intéresser à leur statut respectif (comportant des droits et des devoirs) ni à la manière dont elles avaient été gérées les unes par rapport aux autres. L'ouvrage comble cette lacune importante de l'historiographie, tout en pointant les mutations juridiques et institutionnelles à l'oeuvre, ainsi que les relations naissantes entre un droit encore informel de la main-d'oeuvre et un droit du travail dont la principale composante d'avant la guerre, la protection légale des travailleurs, fut mise en veilleuse pendant les hostilités.

12/2018

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Histoire de France

Dans la guerre 1914-1918. Accepter, endurer, refuser

La dichotomie entre "consentement" et "contrainte" a pris une certaine importance dans les débats récents portant sur l'expérience des sociétés pendant la Première Guerre mondiale. Cet ouvrage a pour ambition de reformuler la problématique de l'engagement des populations dans le conflit à travers une approche renouvelée. Il dépasse les oppositions trop rigides entre consensus sur la guerre et rejet de celle-ci, considérant que les populations, tant civiles que militaires, ne se réduisent pas à des éléments passifs mais gardent leur capacité de réaction autonome. Aussi propose-t-il une terminologie ternaire pour aborder les expériences des peuples en guerre - accepter, endurer, refuser. Le terme moyen, "endurer", permet d'explorer toute la complexité d'un conflit qui défie les prévisions et dont le prix en vies et souffrances remet en cause la question du rapport entre les fins et les moyens. Il ne s'agit pas, toutefois, de présenter une évolution successive d'un terme à l'autre - de l'acceptation à l'endurance, avant d'en arriver au refus. Car tout dépend des multiples sens assignés à chaque comportement, et du chevauchement possible des différentes réactions que suscite la confrontation à la guerre. Ces trois termes offrent plusieurs avantages sur une échelle qui va de l'individuel au collectif. Ils se prêtent à la prise en compte de l'imaginaire de la guerre et des multiples discours qui l'accompagnent. Ils permettent également d'examiner où, quand et comment le refus prend le dessus sur l'endurance par rapport aux sociétés où l'endurance s'appuie jusqu'à la fin sur une acceptation du conflit - et ce malgré son caractère inexorable. Cet ouvrage, fondé sur des travaux originaux suscités par le Centre international de recherche de l'Historial de la Grande Guerre, à Péronne, réunit des historiens européens et américains, parmi les meilleurs spécialistes internationaux de la Première Guerre mondiale. Par sa focale authentiquement internationale, son attention portée au front oriental autant qu'occidental, il transcende les débats étroitement nationaux.

09/2015

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Histoire littéraire

La guerre, le livre et l'enfant (1914-1918)

Enfants du front ou de l'arrière, les jeunes ont été témoins et acteurs de la Grande Guerre. L'abondante littérature qui leur était destinée (cahiers d'écoliers, correspondance, cartes postales, livres d'or des morts, carnets de guerre, affiches, manuels scolaires, romans, albums, périodiques) permet de faire revivre, cent ans plus tard, cette période troublée. La Première Guerre mondiale intervient à l'issue d'un long XIXe siècle qui a modifié la place de l'enfant dans la société française. Plus rare, l'enfant devient le centre et le capital affectif et social d'une famille de plus en plus nucléaire. Sa scolarisation tend à devenir primordiale. La République y pourvoit et l'école permet à la fois d'inventer la petite enfance et de repousser la limite de l'entrée dans le monde du travail. Cependant, loin d'être préservés du conflit par les adultes, les enfants deviennent "un enjeu caché de la guerre, " pour reprendre Stéphane Audoin-Rouzeau. Cette époque est également marquée par l'avènement, à partir de la décennie 1860, d'une première culture de masse, fondée sur une culture de l'imprimé. Conjuguée à l'intérêt nouveau porté à l'enfant, la diffusion massive du support imprimé encourage l'éclosion d'une littérature de jeunesse qui sera mobilisée dans une guerre qu'un certain nombre d'historiens décrivent comme "totale" . 14-18 est donc le moment par excellence où le livre peut servir de passeur entre un événement factuel dans sa brutalité, "la guerre" , et une catégorie culturelle en pleine mutation, "l'enfance" .

09/2021

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Histoire de France

Touché ! Souvenirs d'un blessé de guerre

CÉLESTIN FREINET est né le 15 octobre 1896, à Gars (Alpes-Maritimes). Il est le fondateur du plus important mouvement pédagogique du XXe siècle, connu à l'origine, sous le nom d'Imprimerie à l'école. Entré à l'École normale d'instituteurs de Nice en octobre 1912, il en sort prématurément à la fin de l'année scolaire 1914, pour exercer les fonctions d'intérimaire à Saint-Cézaire, au-dessus de Grasse, la guerre ayant envoyé au front les maîtres d'école. Le 10 avril 1915, il est mobilisé. Le 15 août, il entre à Saint-Cyr comme aspirant. Le 26 février 1916, il arrive dans les tranchées de Champagne. Un an et demi après, le 23 octobre 1917, il est blessé au poumon droit dans le bois des Gobineaux, sur le Chemin des Dames. Il vient d'avoir vingt et un ans. " Touché ! " raconte les circonstances de sa blessure et ses premiers mois d'hospitalisation. Ce texte a été rédigé dans le courant de l'année 1919, à partir des notes d'un carnet de campagne qu'il a tenu depuis son incorporation jusqu'au 11 novembre 1918. Il a été publié une première fois en 1920, par la Maison française d'art et d'édition. Il n'avait jamais été réimprimé.

07/1996

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Histoire internationale

Souvenirs et mémoires (1917-1925)

Le nom du général Alexeï Broussilov (1853-1926) reste attaché à la grande offensive russe de l'été 1916, ultime victoire de l'Armée impériale avant les secousses révolutionnaires qui ont emporté le régime. Rallié à la révolution de février 1917, il soutient le gouvernement provisoire puis l'abdication de Nicolas II. Généralissime des Armées russes, il est l'un des témoins privilégiés de la construction de l'Armée rouge, qu'il intègre en 1919. En 1929 paraissent en français, dans la traduction du général Albert Niessel, des Mémoires couvrant la période 1914-1917. Consacrés à la guerre et aux débuts de la révolution, ils apportent un éclairage radicalement nouveau sur son parcours personnel au milieu du tumulte révolutionnaire. Cependant cette publication est fragmentaire, la veuve de Broussilov ayant exigé que la partie du manuscrit évoquant les années 1917 à 1925 reste secrète, au moins jusqu'en 1950. La traduction de Niessel fut léguée au Service historique de la Défense à Paris en 1955 et retrouvée en 2007 par Alexandre Jevakhoff, historien et préfacier du présent volume. C'est la version complète, enrichie par un important appareil critique établi par Loïc Damilaville, qui est proposée au lecteur. ? A travers le témoignage exceptionnel de l'un des principaux acteurs russes de la Première Guerre mondiale, c'est toute une époque qui revit, des dernières décennies du régime tsariste jusqu'aux débuts douloureux de l'ère soviétique. Le général Alexeï Alexeïevitch Broussilov (1853-1926) est né à Tiflis. Il connaît une ascension fulgurante et en 1916 il devient commandant en chef des armées du front sud-ouest. Nommé généralissime des Armées russes, il est ensuite conseiller militaire du gouvernement. Malgré son ralliement aux bolcheviks, Broussilov est arrêté en août 1918, puis libéré deux mois plus tard. Après la guerre, il est chargé de diverses missions et meurt en 1926.

11/2020

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Economie

La France en guerre économique (1914-1919)

Afin de répondre aux demandes de plus en plus importantes et répétées des armées, l'industrie s'érige en vaste front de l'arrière. Des usines se reconvertissent ou sont créées ; les grandes entreprises deviennent des "firmes-pivots" structurant, au sein de chaque branche d'activité, de grands établissements, des PME et des sous-traitants. Des flux d'innovations se répandent dans l'artillerie, l'aéronautique, les chars, les méthodes de fabrication. La pénurie de produits de base, de charbon, de moyens de transport et de main-d'oeuvre enraye ces processus ; une économie administrée se cristallise pour les surmonter. Il faut aussi financer les investissements et les besoins courants des entreprises et de la commande publique, d'où le rôle croissant des banques. Un enjeu clé est d'affûter la compétitivité des systèmes productifs nationaux et locaux afin de contrecarrer la puissance industrielle allemande au coeur de la guerre, puis de préparer la nouvelle Europe économique de la paix.

01/2018

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Critique littéraire

Un humaniste en guerre. Lettres 1914-1917

Longtemps administrateur général de la Bibliothèque nationale, membre de l'Académie des Beaux-Arts, Julien Cain (1887-1974) fut aussi président de la commission française de l'UNESCO. Mobilisé en 1914, gravement blessé en 1916, il a laissé de ces années de guerre une correspondance qui apporte un éclairage sur l'itinéraire d'une génération intellectuelle confrontée à la première des deux grandes catastrophes du XXe siècle.

11/2011

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Sociologie

Face à la guerre. Ecrits 1914-1916

La position de l'Allemagne impériale soucie Georg Simmel : où doit-elle se situer vis-à-vis de la catastrophe survenant dans la vieille Europe disloquée, et à l'heure de son «américanisation» ? Il s'exprime ici moins en universitaire qu'en penseur du lien social, à qui les formes et l'intensité de la guerre en cours imposent une difficile épreuve de vérité. Epreuve personnelle aussi, car la Grande Guerre oppose les philosophes de la même école de pensée - comme on le voit en lisant les pages de Simmel en regard des adresses de Bergson à ses collègues académiciens, puis à l'opinion américaine.

04/2015

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Histoire de France

Carnet de route d'un soldat musicien (1914-1919)

"2 août 1914. Branle-bas de combat. Les cloches sonnent à toute volée Comme une traînée de poudre, les mots : mobilisation générale, la guerre est déclarée, sont prononcés indistinctement par les occupants de la caserne St-Charles, sise sur un mamelon, tout près de la gare du même nom, à Marseille. Dans la chambre n° 100 au 1er étage, à l'aile gauche du bâtiment, les musiciens s'habillent à la hâte , dès le réveil, ils ont reçu l'ordre de se tenir à la disposition du magasin d'habillement. Chacun d'eux est atterré par les événements, car je dois bien l'avouer, dans l'anxiété de la veille, personne de nous n'avait pu croire à un conflit que les journaux, pourtant, laissaient pressentir depuis plusieurs jours." Ainsi commence le carnet de route d'un soldat musicien de 23 ans, qui allait tout juste finir son service militaire, embarqué avec des millions d'autres dans une guerre dont nul ne pouvait imaginer qu'elle prendrait les proportions d'un cataclysme. Les musiciens du régiment n'iront pas au combat, ils seront brancardiers. Arrivés en Lorraine, ils marchent sous la pluie, dans la boue, de village en village pour installer leur cantonnement, c'est le plus souvent un peu de paille qui tient lieu de lit pour trouver le repos quelques heures dans le meilleur des cas. Le canon tonne, les blessés commencent à affluer, il faut faire face avec tout le courage du coeur. Et puis débutent les répétitions et les concerts pour égayer les troupes et garder le moral quand tout s'écroule autour de soi. Ce journal de bord est un témoignage écrit au jour le jour durant toute la durée du conflit. S'y révèle une humanité teintée d'amour du prochain, d'incompréhension face à l'absurdité de la guerre, de tendresse pour les proches, de solidarité... C'est toute la fraternité humaine qui se découvre au fil de pages émouvantes, simples mais aussi empreintes d'humour d'un Jeune soldat niçois embarqué vers l'inconnu.

09/2014

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Cinéma

1914-1918 Grande guerre ou contre-révolution ? Ce que disent les imaginaires

Les représentations a posteriori - romans, nouvelles, films, oeuvres théâtrales, peintures, oeuvres plastiques, bandes dessinées - de la Première Guerre mondiale sont nourries d'imaginaires singuliers et intimes, que l'histoire n'a pas nécessairement voulu ou su interpréter pour ne pas faillir aux orientations d'une thèse, sinon dominante, du moins majoritairement partagée au moins jusqu'aux années soixante, celle du consentement patriotique des combattants. Cette querelle, confrontée à celle de la "brutalisation" avère, de surcroît, la nécessaire opposition de classe au sein même de la nation française qui a présidé à l'initiation de ce conflit avec ce nouvel ennemi héréditaire venu remplacer l'Angleterre : l'Allemagne de Bismarck. En effet, sur la scène nationale, tandis que se jouait une guerre des paradoxes, entre le colonialiste pacifique Jaurès et l'anticolonialiste guerrier Clemenceau, le peuple des ouvriers, employés, paysans se préparait, au parterre, à faire front pour protéger la bourgeoisie et l'aristocratie des villes, non pas tant des Allemands, que de la tentation révolutionnaire perpétuelle de tous ces anciens communards qui les avaient tourmentés durant tout le XIXe siècle. Les célébrations du Centenaire terminées, il est grand temps d'examiner ce que disent aujourd'hui de la guerre ces propositions, comme autant de métamorphoses poétiques de la mémoire souvent délaissées au lendemain des grands événements de l'Histoire, au profit des archives officielles et de la parole autorisée, puis des contenus explicites des témoignages individuels. Non pas seulement à travers les sujets qu'elles abordent, aux contenus qu'elles dévoilent, mais à l'anatomie, à l'histologie, pour ainsi dire, de la parole qui les énonce, ses bruissements, ses frémissements et tout ce qu'elle nous murmure au creux de l'oreille, et qu'il nous faut comprendre à l'aune de nos convictions, des résonances de nos histoires individuelles, familiales, collectives, de notre culture, de nos convictions et croyances, de nos engagements idéologiques, sans craindre aucunement d'aller au rebours d'un certain mode officiel de fabriquer l'Histoire.

01/2019

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Histoire de France

1914-1918. Une histoire de la Première Guerre mondiale

1914 et 1918 : deux années cruciales pendant lesquelles s'est joué le destin du monde. En 14 comme en 18, les allemands sont à moins de soixante kilomètres de Paris. Chaque fois, le patriotisme et la solidarité des soldats français et alliés ont permis de résister aux offensives. 1914 : tous ces hommes qui partent, innocents, inconscients, n'imaginent pas que des centaines de milliers d'entre eux vont mourir ou être blessés avant que l'année se termine, et que cette guerre, qui devait être brève et locale, deviendra la Première Guerre mondiale. 1918 : Paris est en liesse. Après l'armistice du 11 novembre 1918, cinq terribles années de guerre se clôturent enfin. Cinq années qui ont vu l'apparition des armes chimiques, la généralisation des bombardements, l'enlisement des armées. Et qui ont fait dix millions de morts. 1914-1918, une guerre totale. Avec son immense talent d'historien, Max Gallo la raconte dans deux ouvrages aujourd'hui réunis : 1914, le destin du monde, et 1918, la terrible victoire. Une oeuvre exceptionnelle pour comprendre… et se souvenir.

09/2018

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Histoire de France

Mémoires de guerre. La vie malgré tout (1914-1918)

Le 6 août 1914, le 6e Hussards, régiment de cavalerie dans lequel Fernand Thomas effectue son service militaire lors de la déclaration de guerre, quitte Marseille. C'est le début d'un long chemin de souffrances, combats, nuits sans sommeil, épuisement. L'auteur affronte l'ennemi sur les différents fronts, Lorraine, Champagne, Belgique, et surtout Verdun, où il revient encore et toujours, comme si cette ville en ruines et les tranchées qui l'entourent étaient désormais, avec leurs promesses de mort, le lieu obligé de toute vie. A côté des mouvements d'un front à l'autre qui donnent à voir les mêmes horreurs, les mêmes paysages dévastés, l'auteur raconte le voyage libérateur, celui qui se fait d'âme à âme, à travers l'amitié, la bienveillance, la camaraderie, la musique. Le chemin entrepris se termine en Allemagne où l'auteur est interprète jusqu'à sa démobilisation en août 1919.

01/2015

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Histoire de France

1914-1918 Picardie, l'impossible oubli. Edition français-anglais-allemand

Parmi la multitude des cimetières de la première guerre mondiale, le photographe Sylvain Bouture a choisi 36 lieux sur les plaines picardes. Autant de triptyques pour symboliser la mort, le souvenir et l'oubli. L'ouvrage est en français, en anglais et en allemand.

06/2015

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Histoire de France

Guerre à Mende. Journal de l'arrière-front (1914-1918)

Lorsque éclate la Première Guerre mondiale, Albert Jurquet est chef de division à la préfecture de Mende, en Lozère. Dès le 26 juillet 1914, il tient un journal, auquel il mettra un point final quatre ans et demi plus tard, le 31 décembre 1918. Ce journal de l'arrière, tenu secret, ne sera redécouvert que dans les années 2080. Il s'agit d'une sorte de défouloir, un témoignage inédit sur la guerre et une vraie réflexion, dans lequel, à l'abri de la censure militaire très stricte à l'époque, Albert Jurquet nous fait partager ses opinions politiques, religieuses et morales en fonction des événements locaux, nationaux et internationaux.

02/2014

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Histoire de France

Nuit d'évasion. Souvenir d'un allemand prisonnier en France (1916-1919)

" Cette nuit-là, je pus à peine dormir, si grande était mon espérance. Je rêvai de la beauté du monde extérieur et de ma fuite que j'avais déjà préparée en pensée depuis si longtemps. " Alexander Langsdorff écrit ces lignes alors qu'il prépare une nouvelle évasion. Soldat allemand de 17 ans, il a été fait prisonnier, le 17 octobre 1916, près de Reims. Dès lors, le jeune homme ne pensera plus qu'à s'évader pour rejoindre les lignes allemandes. Malgré de nombreuses tentatives, il sera toujours repris, passera trois années en captivité dans la région d'Avignon et de Marseille, et échappera de peu à la peine de mort pour avoir volé et porté un uniforme français... Mais la chance finira par lui sourire : en 1919, il réussira à fausser compagnie à ses geôliers et, après une cavale d'une semaine, rejoindra enfin l'Allemagne : " je passai par le dernier contrôle américain via Westerwald. Le train roula dans la nuit vers Limburg. Je me tenais à la fenêtre et regardais en haut les étoiles, plein de reconnaissance. Sauvé, enfin, enfin ! "

04/2014

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Histoire de France

Dictionnaire de la Der des Der. Les mots de la Grande Guerre (1914-1918)

Ce dictionnaire recense et analyse l'ensemble du lexique quotidien de la Première Guerre mondiale tout en présentant les principales figures et les lieux symboliques de ce conflit resté dans les mémoires. Avec 50 illustrations noir et blanc. Le Dictionnaire de "la Der des der" : Les Mots de la Grande Guerre (1914-1918) recense et analyse l'ensemble du lexique quotidien de la Première Guerre mondiale tout en présentant les principales figures et les lieux symboliques de ce conflit resté dans les mémoires. Il représente non seulement un outil historique, mais aussi un vaste vivier lexical pour les amoureux des mots. En effet, Il y a tout juste un siècle, au début du mois d'août 1914, le continent européen se préparait à vivre cinq ans d'une guerre meurtrière. Cet ouvrage illustré de photographies d'époque propose de faire revivre ces moments historiques à travers les mots, véritables reflets d'une société entièrement mobilisée pour la guerre. A L'heure du déclin des parlers et dialectes régionaux, le français et son funèbre cortège de mots nés de la guerre envahissent la société française. Dans ce dictionnaire, les mots pour dire la guerre, la souffrance, les armées au combat, les peines de l'arrière, les médecins aux abois, côtoient des concepts d'historiens et des expressions d'époque que l'on trouvera accompagnés d'un index et d'une chronologie précise. Dans un premier temps, l'auteur présente à travers plus de mille entrées l'ensemble des mots de la Grande Guerre. Près de mille noms communs sont ainsi recensés : sont abordés, entre autres, le vocabulaire de l'armée (tank, shrapnell, généralissime, jerrycan), les mots de la médecine (amputation, mutilés, gueules cassées...), l'argot des tranchées (ribouldingue, Boche, saucisse...) ou encore les expressions utilisées à l'arrière (Fleur au fusil, Union Sacrée). Ce vaste arsenal lexical d'un monde en guerre est replacé dans son contexte et de nombreuses définitions sont accompagnées de citations littéraires puisées dans la très riche littérature portant sur le premier conflit mondial. De ce fait, l'ouvrage rend hommage à tous les écrivains combattants, mais aussi à ceux qui ont choisi la guerre de 1914-1918 comme thème principal de leurs oeuvres littéraires. Dans la seconde partie, encyclopédique, l'auteur dresse le portrait des principaux protagonistes (pays engagés dans le conflit, têtes couronnées, chefs politiques et militaires de la Grande Guerre...) et évoque les lieux chargés d'histoire, les lieux de mémoire (Verdun, Caporetto, le Chemin des Dames...), afin de mieux cerner les enjeux de cette guerre qui devait être la "Der des der".

04/2014