Recherche

Ecrits de Vincent d'Indy. Volume 2 (1904-1918)

Extraits

ActuaLitté

Première guerre mondiale

Le Petit Théâtre des opérations 1914-1918

Héros oubliés, batailles inconnues, anecdotes... Quand l'histoire permet de s'instruire et de sourire ! Saviez-vous que l'armée allemande avait fait appel à des pigeons pour photographier les lignes ennemies en toute discrétion ? Que la Première Guerre mondiale avait vu naître la montre-bracelet ? Et avez-vous déjà entendu parler de la rocambolesque épopée du commando Tiling ? Ou de la résistance héroïque des fusiliers marins bretons à Dixmude ? Si la Grande Guerre fut un énorme gâchis en vies humaines, elle fut aussi le théâtre d'actes de bravoure individuels et collectifs et d'anecdotes aussi drôles qu'improbables. Sur un ton décalé, mais toujours documenté, Julien Hervieux ressuscite ces héros et histoires oubliés de la Première Guerre mondiale pour leur rendre hommage. Et au cas où vous vous poseriez la question, oui, tout est vrai. Edition augmentée et enrichie de chapitres inédits.

04/2022

ActuaLitté

Histoire de France

Journal de la guerre. 1914-1919

La guerre ? "Un paysage qui vous tire dessus." Guy de Pourtalès (1881-1941) rapporte ces propos, qui l'ont frappé, de son ami Valdo Barbey. L'écrivain genevois, devenu français, mobilisé en 1914, n'a pas connu la tranchée, mais il a passé quatre ans et demi sous les drapeaux comme interprète militaire, propagandiste au Quai d'Orsay, officier informateur. Il a vécu de près les événements de la Grande Guerre, particulièrement ceux qui ont affecté les relations entre sa patrie d'adoption et son pays d'origine. Tiraillé entre des appartenances et des loyautés qu'il entend faire tenir ensemble, Pourtalès donne l'impression d'être toujours en porte-à-faux avec le rôle qu'il se choisit, ou qu'on lui attribue. C'est précisément cette position d'intermédiaire - symbolisée par le statut d'interprète - qui crée l'intérêt du Journal de la Guerre, parce qu'elle décale le regard, l'enrichit, et donne lieu à un récit à la fois original, informé et communicatif.

09/2014

ActuaLitté

Histoire internationale

Extraits d'un journal, 1908-1928

Extraits d'un journal, 1908-1928 / Charles Du Bos Date de l'édition originale : 1928 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2021

ActuaLitté

Critique littéraire

Cahiers 1894-1914. Tome 13, mars 1914-janvier 1915

Avec ce volume qui va de mars 1914 à janvier 1915, treizième et dernier tome, s'achève l'édition scientifique des Cahiers 1894-1914 de Valéry. On retrouve là ce qui fait le mouvement profond des Cahiers : une mise à distance de soi qui permet à Valéry de critiquer toutes les croyances et toutes les illusions afin de mieux interroger le fonctionnement de l'esprit. Le texte, passionnant de bout en bout, questionne ainsi l'intelligence, le langage, la musique, le hasard, le rêve, la sensibilité, en des séquences thématiques qui vont de l'aphorisme au petit traité psychologique quasi autonome. De façon stupéfiante, ces derniers cahiers mettent en évidence le retentissement de la Première Guerre mondiale sur le psychisme de Valéry : on y voit le thème et les mots mêmes des premiers vers de La Jeune Parque y sortir tout entiers du choc de la déclaration de guerre. En annexe du volume, Nicole Celeyrette-Pietri propose une synthèse capitale de l'histoire des Cahiers et en montre l'importance pour Valéry : c'était pour lui son ouvre majeure, à la publication de laquelle il n'a cessé de songer (mais sous quelle forme ?), et dont il a tiré notamment le matériau de Tel Quel, de Moralités et du Cahier B 1910. Afin d'éclairer la matière et la poétique des Cahiers, la préface de Michel Deguy réfléchit sur la poésie, mais aussi sur le monde contemporain, en posant la question cruciale : s'il revenait dans ce monde, qu'en penserait Valéry ?

05/2016

ActuaLitté

Critique littéraire

Lettres à sa mère. Tome 1, 1898-1918

De Jean Cocteau à sa mère, il nous reste quelque neuf cents lettres écrites entre 1898 et 1938, dont voici la première partie. Celles du début sont parfois tracées sur un papier de deuil qui rappelle le suicide du père (1898). Par la suite, cartes postales, papiers à en-tête, supports divers et inattendus y mettent beaucoup de fantaisie. Elles sont envoyées des Côtes-du-Nord (1906, 1907), de chez les Daudet à Chargé (1911), d’Algérie où Jean Cocteau voyage avec Lucien Daudet, de chez J -E Blanche à Offranville, de chez les Rostand à Cambo-les-Bains (1912, 1913), du service de la Croix-Rouge ou du Secours aux blessés (1915, 1916), de Rome où il séjourne avec Picasso, Diaghilev et Massine, puis du bassin d’Arcachon et de Grasse (1917, 1918). On n’y trouve pas seulement les preuves très ferventes de l’amour et de la fidélité, ou les premières évocations magiques - de la Bretagne, de Blida, de la nuit de Noël sur le front -, ou l’air d’une époque dont on aura plus tard l’évocation dans Portraits-souvenir. Ces lettres sont aussi des «notes pour un travail que je compte faire». A cette mère adorante, parfois plaintive, toujours fière de lui, Jean Cocteau confie ses projets, laisse entrevoir la genèse de ses ouvres : Le Cap de Bonne Espérance, Discours du grand sommeil, Vocabulaire, Le Potomak, et la métamorphose d’un David en Parade. Il l’entretient aussi des grandes amitiés naissantes : avec Picasso, avec Stravinski, avec Satie...

04/1989

ActuaLitté

Théâtre

Théâtre complet. Tome 3

Ce volume comporte les textes des cinq pièces créées entre 1904 et 1908, pièces dont certaines témoignent chez l'auteur d'un effort de renouvellement. Ainsi en 1904, La Main passe mêle au vaudeville des scènes de comédie inattendues de la part de Feydeau .L'âge d'or (1905), comédie musicale en trois actes et neuf tableaux, est une féerie qui nous fait voyager à travers le temps depuis l'époque de Charles IX jusqu'à l'an 2000. tandis qu'en 1907 et 1908, La Puce à l'oreille et Occupe-toi d'Amélie manifestent un retour au vaudeville.

06/2012

ActuaLitté

Histoire de France

Carnets de guerre 1914-1918. Un témoin lucide

Cet ouvrage n'est pas un témoignage de plus sur la Première Guerre mondiale. A l'heure où le dernier Poilu a disparu, voici une chronique de la guerre unique en son genre, vue des bureaux de l'arrière, où l'on s'occupe du matériel et de la logistique. Ce livre est un reportage quasi quotidien observant les faiblesses de l'organisation, les inepties de la bureaucratie, le brassage social, les inimitiés et la camaraderie, la couardise et le courage. Ecrites au fil de la plume, sans presque aucune rature, par un de ces fils de la IIIe République, un jeune paysan franc-comtois devenu grâce à l'école un intellectuel profondément patriote, ces pages frappent par la qualité de l'écriture et la finesse de l'analyse.

10/2011

ActuaLitté

Histoire de France

Souvenir de ma captivité en Allemagne. 1914-1918

Des couleurs pastel, un trait de crayon précis, caricatural et singulier, des portraits, des scènes de vie comme autant de révélateurs pour l'histoire de la Grande Guerre, le carnet de dessins du soldat français Maxime Bourrée nous offre une plongée au coeur des camps de prisonniers en Allemagne. L'iconographie des camps a, probablement, été abondante mais elle est rarement parvenue jusqu'à nous dans un tel état de conservation et sous cette forme très particulière du carnet qui rassemble et agence l'ensemble des dessins d'un artiste. Dans ce coffret, les dessins, reproduits in extenso, sont enrichis de contributions qui retracent le destin extraordinaire de Maxime Bourrée foulant le sol belge à la fin du mois d'août 1914 avant quatre années de captivité à Parchim. Au gré de leurs spécialités, les historiens ont sondé et décortiqué le travail de l'artiste normand et son écriture 'dessinée" de l'espace concentrationnaire en temps de guerre. Toute la richesse du carnet Souvenirs de ma captivité en Allemagne. 1914-1918 est loin d'être entièrement révélée par ces contributions mais elle attend, aujourd'hui, de nouvelles investigations rendues possibles par cette belle publication.

11/2017

ActuaLitté

Romans historiques

D'un jour à l'autre 1914-1918

"Ce livre alterne un journal de tranchées, rédigé par Gustave, lieutenant dans un régiment de cavalerie, et un récit fictionnel, celui de sa femme, Eléonore. Le ton de l'un est d'époque, teinté de formalisme, et se défend de l'émotion. Le ton de l'autre est intemporel, et il s'appuie sur le sensible. Mais les voix de Gustave et d'Eléonore sont loin d'être juxtaposées : elles s'appuient l'une sur l'autre, pour se déployer dans le croisement des perspectives et l'accentuation d'un éloignement. Marié depuis peu et bientôt père, l'engagement engagement idéalisé dans la guerre de Gustave se transforme : les tranchées, la boue, la peur vont constituer progressivement un espace immobile où se dilue jusqu'au souvenir des siens. Vivant à l'ombre de son époux, Eléonore s'éloigne pas à pas des frontières d'un monde étroit, au sens géographique-elle quitte la Belgique pour l'Angleterre, puis la Normandie- autant que symbolique -elle construit un regard et une voix que nourrit l'expérience de l'exil, l'amour, la maternité. La parole d'Eléonore, pourtant, est aussi celle de la folie, qui la menace tout autant qu'elle la sauve".

03/2018

ActuaLitté

Histoire de France

La guerre des enfants. 1914-1918, 2e édition

La guerre de 1914-1918 marque l'avènement d'une violence nouvelle : l'immensité, la démesure des enjeux pouvaient - croyait-on - tout justifier. Dans cette barbarie, l'enfance devint l'instrument d'une mobilisation générale et intellectuelle sans précédent dans l'histoire. Durant les années 1914-1918, la culture de guerre à l'usage des enfants fut partout appliquée : l'école dispense un code moral d'embrigadement systématique tandis que l'Église exalte et justifie la nécessité de l'engagement. Les loisirs, les jeux, les jouets gomment peu à peu l'espace du rêve inhérent à l'enfance pour éduquer et convaincre ; les lectures mêmes - des " Livres roses pour la jeunesse " aux périodiques illustrés - exhortent le petit enfant au sens du devoir et du sacrifice : l'" enfant-héros " est né. C'est l'effort dont l'enfant fut l'objet qui est au centre de ce livre non seulement en Angleterre et en France mais symétriquement en Allemagne ; et tout ce qui fut dessiné, écrit et composé pour lui. Dans la tourmente des conflits du XXe siècle et du début du siècle suivant, l'ouvrage de Stéphane Audoin-Rouzeau est précieux : il nous permet d'appréhender les mécanismes culturels contemporains des sociétés en guerre, mécanismes de propagande aujourd'hui banalisés, mais qui trouvèrent leur origine et leur impulsion dans le premier conflit mondial.

09/2004

ActuaLitté

Généralités médicales

Pionniers de la chirurgie maxillo-faciale (1914-1918)

Combien de protocoles opératoires ou d'instruments portent le nom du médecin qui les a mis au point ? Combien de fois par jour chaque praticien les emploie-t-il en ne sachant pas qui était son inventeur ? Ainsi, de grands chirurgiens comme Morestin, Pont, Villain, Kazanjian, Gillies, Axhausen et d'autres ont laissé leurs contributions à la postérité, souvent reconnues d'ailleurs comme fondatrices d'une thérapeutique qualifiée de novatrice au début du XXe siècle. Mais qui se rappelle d'eux, des raisons pour lesquelles ils se sont battus ou des conditions qui les ont contraints à l'unique perspective de briller, car échouer impliquait la mort de leurs patients ? Tour à tour dentistes, stomatologues ou chirurgiens maxillo-faciaux, ils ont soulagé, opéré et guéri des milliers de soldats blessés pendant la Première Guerre mondiale, qu'ils ont ainsi sauvés en reconstruisant leurs visages. Constatant qu'ils étaient oubliés de la médecine contemporaine, Xavier Riaud, à travers ces biographies vivantes et humanistes, a souhaité consacrer un ouvrage fondamental à l'histoire de ces grands praticiens, tous devenus des sommités médicales internationales après la Grande Guerre.

02/2010

ActuaLitté

Histoire de France

A l'école de la guerre, 1914-1918

Loin du front, les écoliers nantais n'échappent pas aux échos de la Grande Guerre, bien au contraire. Dans cette ville de l'arrière, ils sont quotidiennement confrontés à la souffrance - mutilés soignés dans les hôpitaux militaires et croisés dans la rue ; réfugiés affluant des régions envahies, traumatisés ; familles endeuillées. A l'unisson de l'état d'esprit qui anime la nation tout entière, l'école attise dans les jeunes esprits la flamme du patriotisme, enseignant aux enfants la géographie des combats, leur proposant dictées, rédactions, dessins sur le thème de la guerre, les associant au comptage des morts... Leurs petites mains confectionnent charpie et chaussettes destinés aux poilus. La cour de la récréation devient le terrain des jeux guerriers. Un fonds unique de rapports produits tout au long de la guerre par les instituteurs, illustrés de travaux d'écoliers, témoigne de l'ampleur du conditionnement des jeunes élèves, éduqués dans l'amour de la patrie et fiers de participer à l'oeuvre de solidarité nationale. Auteures : Réjane Burki, Delphine Gillardin et Véronique Guitton.

01/2014

ActuaLitté

Histoire de France

Petits pioupious, soldats d'un sou (1914-1918)

On ne peut que les aimer, les enfants de la Grande Guerre ! Victimes de la bêtise des "hommes", instrumentalisés, comme nous le dirions aujourd'hui, ils furent aussi avec leur insouciance, leur fraîcheur, leur innocence, des "Combattants". Du fugueur de quinze ans, avide de prouesses guerrières, à la sage écolière, quêteuse et tricoteuse, ils oeuvraient tous pour un même idéal, respectueux des valeurs de liberté et de fraternité qu'on leur avait enseignées et auxquelles ils croyaient sans arrière-pensées. Les enfants de France étaient, dans le sens le plus noble du terme, des Patriotes.

05/2014

ActuaLitté

Sociologie

Mains-d'oeuvre ouvrières en guerre 1914-1918

L'originalité de cet ouvrage, fruit d'un colloque international sur les mains d'oeuvre en France, réside dans l'appréhension globale des différentes mains-d'oeuvre employées pendant la Grande Guerre. Jusqu'à présent, en effet, la recherche historique s'était penchée sur certaines catégories de main-d'oeuvre (main-d'oeuvre féminine, main-d'oeuvre italienne, main-d'oeuvre coloniale, etc.) sans s'intéresser à leur statut respectif (comportant des droits et des devoirs) ni à la manière dont elles avaient été gérées les unes par rapport aux autres. L'ouvrage comble cette lacune importante de l'historiographie, tout en pointant les mutations juridiques et institutionnelles à l'oeuvre, ainsi que les relations naissantes entre un droit encore informel de la main-d'oeuvre et un droit du travail dont la principale composante d'avant la guerre, la protection légale des travailleurs, fut mise en veilleuse pendant les hostilités.

12/2018

ActuaLitté

Histoire de France

Histoire mondiale de la Grande Guerre 1914-1918

Ce texte original dessine un panorama complet de l'une des plus grandes catastrophes du siècle dernier grâce aux confrontations des légendes et des faits historiques recensés et analysés par l'auteur.

02/2017

ActuaLitté

Littérature française

Les heures longues. 1914-1917

Du même auteur chez Fayard : Chéri, roman Julie de Carneilhan, roman Mitsou, roman Chambre d'hôtel, nouvelles Le képi, nouvelles La paix chez les bêtes Journal à rebours

06/1984

ActuaLitté

Histoire de France

Les anciens combattants (1914-1940)

Ce grand livre, consacré aux "gueules cassées" de la Grande Guerre, n'est pas seulement le mémorial des survivants des tranchées. Construit à partir de témoignages de tous ordres, il est aussi un livre d'analyse : il dresse la première évaluation du poids politique réel dans l'entre-deux-guerres d'une France décimée. Les Anciens Combattants, moins acteurs que témoins, pèsent par leurs réactions, leurs opinions, leur comportement collectif, et d'abord leur existence même, qui atteste de l'ampleur du traumatisme de la guerre. Ils révèlent ainsi des attitudes et des mentalités largement partagées par les Français des années trente. A travers eux s'expriment le souvenir durable d'un massacre sans précédent, des formes de sociabilité, des convictions morales et politiques, des manières d'être qui semblaient naturelles, charriées par un mouvement de masse - ils sont plus de trois millions d'adhérents. A l'image de la nation en armes, on rencontre chez eux des réactionnaires, des autoritaires, quelques révolutionnaires ; mais aux antipodes de l'image qu'on en donne habituellement, loin de l'esprit militaire, des ligues ou du fascisme, ils sont dans leur immense majorité, comme le pays, républicains, patriotes et pacifistes.

02/2014

ActuaLitté

Histoire de France

1914-1919 ceux qui protestaient

1914-1918 fut un intermède belliciste entre deux époques marquées par un fort rejet de la guerre. En 1914 il ne fallut que quelques jours pour que les très nombreuses voix pacifistes qui s'élevaient dans tous les milieux et parmi toutes les sensibilités politiques soient submergées par la vague de violence qui déferlait sur l'Europe. En 1918 l'évidence du désastre et le deuil immense qu'il avait provoqué redonnèrent à ces voix toute leur pertinence et leur poids. Bien des années après, l'influence de ces idées se fait encore sentir dans l'historiographie, au point d'affecter l'analyse de la contestation pendant la durée même du conflit. Galit Haddad reprend donc cette question à nouveaux frais. Elle s'affranchit de la politique et de l'idéologie en questionnant la protestation en tant que phénomène culturel, à travers une analyse du discours des contestataires, combattants et civils, homme ou femmes. Elle décrypte l'argumentaire qu'ils déploient dans un contexte qui leur est hostile, marqué par la répression et les arrestations, ainsi que les rythmes suivis par ce mouvement multiforme. Mais, surtout, elle y expose une découverte qui fera date : il est impossible de comprendre le phénomène de la protestation sans le relier aux idées que se formaient les acteurs sur la durée de la guerre et sur les perspectives de défaite ou de victoire. Ainsi, à partir du moment où la contre-offensive alliée de juillet 1918 ouvre le chemin du succès final, la contestation combattante disparaît de l'armée française. Débarrassée de ses préjugés, cette analyse de la protestation permet au lecteur de rejoindre combattants et civils dans leurs angoisses et leurs espérances d'êtres ordinaires confrontés à un drame qui les dépasse.

03/2012

ActuaLitté

Romans historiques

Elie. Al-Kahira, 1914-1948

AL-Kahira, 1913-1942 est le second volume de la trilogie "Bien-aimés les souffrants. ". . , la "grande saga de la dhimmitude" explorée à partir du cas égyptien. Il couvre la période 1913-1942 avec cette vie des familles dont les péripéties ont occupé le premier volume. Cest lépoque de la Première guerre mondiale, des nationalismes et du génocide des Arméniens dans lempire ottoman agonisant, du sionisme. Un peu plus tard apparaissent le fascisme italien et le nazisme dans lAllemagne vaincue. Elie est un journaliste du Caire, très au fait des idées nouvelles, sioniste, et bien informé par ses amis chrétiens arméniens et assyriens des massacres et des persécutions quils subissent pendant la guerre. Lombre des génocides dans lempire ottoman assombrit les perspectives davenir des communautés raïas , dans les nouveaux Etats issus du dépècement de la Turquie triomphent le panarabisme et le panislamisme. Au Caire (Al-Kahira), Kemal, fils de l'officier turc Ramadan et ami d'enfance dElie, opte pour une Egypte indépendante, et rejoint, après son mariage avec une Allemande, les milieux nazis et les Frères Musulmans. Les descendants de la famille Lourtiel militent quant à eux pour le communisme. Kemal ne découvrira quà la veille de sa mort que sa mère, la belle et passionnée Nourmahal, était une esclave juive yéménite. Le livre se termine en 1942 quand son fils, devenu à son tour officier dans larmée égyptienne, s'éprend d'une arrière-petite-fille de Moïse... Le livre d'ELIE traverse ainsi la période la plus déterminante de notre histoire, de la veille de la première guerre mondiale à "l'apogée" du IIIe Reich au début des années quarante. Ce sont ces événements qui ont profondément ébranlé la puissance et le prestige des Européens dans le monde jusqu'à aujourd'hui, mais ils ont été si considérables pour notre continent que nous connaissons peu la manière dont ils ont affecté les puissances et les populations d'Orient. Or c'est à ce moment-là, dans cette partie du monde que furent jetés les germes de ce qui se joue à présent en plein cÅur du continent européen : l'explosion des revendications religieuses et communautaires. C'est là que s'est noué en détail ce qui aujourd'hui s'affirme de toutes parts et à quoi la défaite des Empires centraux puis du nazisme, la décolonisation des anciennes conquêtes européennes, l'épuisement de l'Union soviétique n'ont pas pu mettre un frein. Ainsi la fin du joug ottoman n'aura pas été la libération des Arméniens mais le prélude d'un génocide qui servira de modèle à celui des nazis, alliés des Turcs à ce moment, et ceux-ci ne semblent pas avoir épuisé aujourd'hui toutes les conséquences de cet héritage. Les romans de Bat Ye'or nous rappellent que l'histoire n'est pas laffaire dune seule génération et qu'elle ne se laisse saisir quà laffut de la vie secrète des peuples. L'AUTEURVoici la légende de Bat Ye'or, racontée par Valérie Toranian dans la Revue des deux mondes (décembre 2020) : "Lorsqu'elle fuit fuit avec sa famille les persécutions antisémites du régime de Nasser en 1956, Bat Ye'or (Fille du Nil) a 23 ans. Elle menait une vie aisée au sein de la bourgeoisie juive du Caire et rêvait de devenir romancière. En Egypte jécrivais beaucoup mais jai tout brûlé avant de partir par peur dêtre fouillée à la frontière. Réfugiée à Londres, elle reprend la plume. Elle veut raconter l'histoire de ce monde englouti, la fin de la communauté juive dEgypte. Elle se plonge dans l'étude de la condition des juifs et des chrétiens en terre d'islam pour mieux documenter son roman. Et cette quête va dominer sa vie pour les cinquante années qui suivent. Bat Ye'or se fera connaître par son travail sur la dhimmitude, qui décrit le statut des non-musulmans et bouscule le consensus historique irénique de l'époque. Non, juifs, chrétiens et musulmans ne vivaient pas en paix et en harmonie en Orient. Cétait même tout le contraire. Et hormis quelques heureuses parenthèses, le sort de ces peuples fut plutôt une longue succession de persécutions. Aspirée par l'étendue de sa tâche, s'obstinant à faire connaître cette réalité historique dautant plus quelle était vivement contestée par certains universitaires institutionnels, Bat Ye'or retarde lécriture du roman qui pourtant continue de lobséder. Elle produira de nombreux et importants essais. Il aura fallu toute une vie et quelle vie ! pour que puisse se déployer dans toute sa richesse cette saga familiale que Bat Ye'or publie enfin à lâge de 87 ans. MOÏSE. AL-KAHIRA, 1818-1882 a été le premier tome d'une trilogie épique et bouleversante, Bien-aimés les souffrants... Ce grand roman de la dhimmitude du XIXe et du XXe siècle (...). Bat Ye'or est une conteuse. Ses personnages lhabitent depuis si longtemps quils sont façonnés, pétris de vérité, comme seul le roman peut rendre la vérité. (...)Ce livre vous hante longtemps après sa lecture. Comment ne pas le mettre en résonance avec notre actualité ? (...) La Guerre aux raïs, aux infidèles nest pas finie. Ceux dEgypte ont été chassés à jamais. Bat Yeor leur redonne vie dans ce roman somptueux". (Valérie Toranian, Revue des deux mondes, décembre 2020.)Bat Yeor a publié notamment (chez Les provinciales) : Le Dhimmi. Profil de lopprimé en Orient et en Afrique du nord depuis la conquête arabe (2017) , LEurope et le spectre du califat (2010) , De la découverte du dhimmi à Eurabia. Autobiographie politique (2017) , Le dernier khamsin des Juifs dEgypte, roman (2019) , Moïse. Al-Kahira, 1818-1882, roman (2020). PRESSE (à propos des précédents récits de Bat Yeor) "Moïse, de Bat Yeor, juive originaire dEgypte, est le premier tome dune somptueuse saga familiale qui commence au Caire (Al-Kahira) au XIXe siècle. Un livre qui, en cet automne, brille comme une lumière dans un tunnel". Franz-Olivier Giesbert, Le Point. "Un roman mélodieux, puissant et beau comme un psaume de David". Sébastien Lapaque, Le Figaro. "Ce récit est une respiration incroyable en même temps quune plongée dans lhistoire glaçante de notre monde moderne. Sy dévoilent des épreuves de vie, corrélées à la grande Histoire de façon magistrale. Cela agit exactement comme si une pièce maîtresse avait manqué jusquà présent et se trouvait exposée sous la narration. ". . Jérôme Ellul, Commentaire. "Ce livre vous hante longtemps après sa lecture. Comment ne pas le mettre en résonance avec notre actualité ? La Guerre aux raïs, aux infidèles nest pas finie. Ceux dEgypte ont été chassés à jamais. Bat Yeor leur redonne vie dans ce roman somptueux". Valérie Toranian, Revue des deux mondes.

09/2021

ActuaLitté

Poches Littérature internation

L'homme qui voulait changer le monde

Les sept nouvelles réunies dans ce volume illustrent, avec une grande diversité de tons et de styles, la durable modernité de Hermann Hesse. Du court texte " Le loup ", écrit en 1903 et si emblématique du futur auteur du Loup des steppes, jusqu'au " Mendiant " de 1948, Hesse approfondit constamment son art et sa pensée. Kafkaïen dans " Si la guerre durait encore deux ans " (1917), précurseur de l'ironie postmoderniste dans " Une ville touristique au midi " (1925), il est surtout, dans " Les Frères du soleil " (1904), " L'homme qui voulait changer le monde " (1910) et " Robert Aghion " (1912), le chroniqueur de l'être marginal, de l'inadapté, du perpétuel étranger qui ne peut se couler dans le moule trop étriqué que lui propose la société et qui est porteur d'une vision généreuse, sinon spirituelle.

09/2007

ActuaLitté

Résistance

Itinéraire d'un instituteur devenu Compagnon de la Libération. Gustave André (1908-1914)

Alors que la guerre fait rage à nouveau à nos portes, en Europe, j'ai pensé que rendre hommage à Gustave André mais aussi à d'autres résistants dont sa femme, Suzanne Brachet, qui se sont engagés dans le même combat, était nécessaire. Et quoi de plus émouvant pour souligner la nécessité, la beauté mais aussi la dangerosité de leur engagement que des citations et des références à des oeuvres littéraires et artistiques qui nous éclairent sur la folie et la cruauté des uns ou le courage et la solidarité des autres ! Car on peut aussi "Résister par l'art et la culture" (thème du Concours national de la Résistance et de la Déportation en 2015-2016). Mieux comprendre pourquoi et comment cet instituteur, comme des milliers d'autres, s'est battu et a sacrifié sa vie pour les générations suivantes est l'un des buts premiers de ce livre, le second est de le faire surgir de l'ombre dans laquelle il aurait pu être définitivement noyé et éviter que des hommes tels que lui, au courage admirable, tombent dans l'oubli. Car si nous ne sommes pas responsables de notre histoire passée, nous sommes responsables de sauvegarder et d'honorer la mémoire de nos héros.

06/2022

ActuaLitté

Première guerre mondiale

Journal politique de la Grande Guerre 1914-1918. La IIIe République sur le vif, 2 volumes

L'ouvrage est le journal de guerre tenu au jour le jour par Henri Galli. C'est un ancien des combats politiques de la 3e République, journaliste, homme de gauche, patriote, populaire, élu de Paris depuis 15 ans. Son journal offre de nombreuses descriptions et analyses concernant la vie à Paris pendant la guerre (approvisionnement, bombardements, permissionnaires, etc...). Par ses fonctions, Henri Galli fait de nombreuses visites aux armées qui lui permettent de commenter le moral des troupes, de déplorer les destructions dues aux combats, de dépeindre - au-delà de Paris - la vie quotidienne des Français pendant la guerre. Galli commente - et critique - la vie parlementaire : les débats dans l'hémicycle, le travail en commissions (commission des armées, commission des étrangers). Au-delà du Palais Bourbon, Galli fréquente assidument les gouvernants ; il rapporte - fidèlement ? - leurs propos, approuve leurs décisions ou dénonce leur impéritie et leur ambition. Cette familiarité avec l'exécutif, ses échanges nombreux avec des chefs militaires, sa lecture minutieuse de la presse, son attention distanciée aux rumeurs le conduisent à relater l'avancée des combats, à commenter les choix tactiques et la manière de mener les troupes. Ses mandats, son rôle à la Ligue des patriotes favorisent des commentaires - parfois féroces - sur la vie politique nationale, et sur les attitudes des personnalités de différentes tendance - il peut aussi reconnaître des qualités à des adversaires politiques.

05/2022

ActuaLitté

Histoire de France

La Légion étrangère au combat 1914-1918

Particulièrement présente dans la mémoire collective de notre pays,la guerre 14-18 a donné lieu à une intense profusion de témoignages de toutes formes, dont des dessins ponctuant souvent leurs carnets de notes personnelles. Ainsi, les poilus ont croqué sur le vif ou a posteriori les souvenirs de leur engagement au combat et de leur souffrance sur le front. Parmi ceux-ci, le légionnaire Marcel Durieux nous livre une rare série de dessins d'une réelle qualité graphique et d'une précision émouvante qui rend hommage à ses camarades.

03/2017

ActuaLitté

Histoire de France

Vivre dans le Nord envahi. 1914-1918

« On n'a pas encore pris toute la mesure du malheur, de la violence et de la souffrance qui se sont abattus sur les populations qui ont vécu la Grande Guerre. » Annette Becker. Si les notions de front et d'arrière conviennent parfaitement à la France en guerre de 1914 à 1918, il existe des territoires envahis où la distinction entre les deux espaces s'avère impossible. Pendant cinquante mois, entre l'été 1914 et l'automne 1918, dix départements français sont sous le joug de l'ennemi, qui s'y comporte en conquérant. Le civil du Nord subit, pendant ces années de guerre, la loi du vainqueur. Les conséquences de l'invasion sont très dures : le quotidien est fait de privations, de souffrances, d'humiliations, il apporte son lot d'inquiétudes et ses morts. Loin des grandes villes industrielles du département, le sud du Hainaut français et l'Avesnois sont mis en coupe réglée par l'ennemi qui puise sans compter à la fois dans les ressources agricoles et dans les moyens humains. L'expérience vécue pendant cette période a été soigneusement consignée par les notables de la région : médecins de campagne, prêtres, maires, instituteurs… Leurs témoignages, complétés par un méticuleux travail de recherche, ont permis à l'auteur de dresser un tableau très révélateur de ces années noires.

01/2015

ActuaLitté

Romans historiques

Anabase (Retour vers l'intérieur). 1914-1918

Eté 1914, dans un petit village de Champagne, Victor rencontre Lucie quelques jours avant de partir au front pour la Grande Guerre. C'est le coup de foudre mais la guerre va bouleverser leurs projets. Séparés par les événements, emportés par les aléas de l'Histoire, ils vont vivre cette période tourmentée chacun de son côté en espérant se retrouver à la fin du conflit. Basé sur les notes prises au combat d'un poilu, ce roman fait revivre, sous forme de chronique rurale, l'irruption d'une société mondiale dans les petits villages du début du XXe siècle.

03/2017

ActuaLitté

Histoire internationale

Au service du Katanga (1904-1908). Mémoires

Apprécié pour l'excellence de ses rapports avec les Africains, René Grauwet, au début de XXe siècle, prend en charge un avant-poste du Katanga occidental où des esclavagistes angolais et des soldats révoltés font régner la terreur. Il y vivra, au cours de la dernière campagne militaire de l'Etat Indépendant du Congo, l'aventure d'une guerre volontairement oubliée.

03/2012

ActuaLitté

Première guerre mondiale

Les U-Boote en guerre. 1914-1918

Une histoire illustrée des U-Boote pendant la Grande Guerre, avec plus de 500 photographies, des cartes, des profils en couleur. Une somme encore jamais vue sur un sujet primordial : les sous-marins allemands de 1914-1918 ont coulé plus de navires que les célèbres U-Boote de la Seconde Guerre mondiale. Ce livre présente non seulement les U-Boote et leur développement, mais aussi les contre-mesures des flottes alliées, notamment de la Royal Navy, avec ses Q-Ships, puis la mise en place de convois. Les grands as de l'arme sous-marine allemande font l'objet d'un chapitre spécial. Le livre couvre les combats dans l'Atlantique, mais aussi dans la Manche, en mer du Nord, en mer Baltique et en Méditerranée.

02/2024

ActuaLitté

Première guerre mondiale

Cartes postales illustrées en guerre (1914-1918)

Inventée à la Belle Epoque, la carte postale illustrée - qu'elle soit satirique ou non, graphique ou photographique - a fait partie de ces nombreux supports mobilisés entre ? 1914 et ? 1918 par les différents belligérants, au même titre que le périodique, le journal de tranchée, le tract, le livre ou l'affiche. Ce sont, en Europe et aux Etats-Unis, des milliers d'images originales qui ont ainsi été créées et largement diffusées. 1reLes usages de ces cartes postales, dans les circonstances particulières du conflit, 1reont été variés : du support épistolaire entre combattants et civils, entre le front et l'arrière, à l'image que l'on conserve dans ses effets personnels ou que l'on épingle 1reau mur et jusqu'au collectionnisme des amateurs. Cet ouvrage examine les modalités de production, de consommation et de circulation de ces objets. Il s'intéresse aussi à leur matérialité, à leur langage singulier, associant l'image et le verbe, et à leur imaginaire, où se combinent la violence et l'exagération, le sens des stéréotypes graphiques, la dévaluation comique de l'adversaire entretenue jusqu'à la haine de l'ennemi, l'autodérision 1repar la farce joyeuse, le goût du scabreux... Alors même que la guerre constitue une expérience personnelle et collective, où les relations interpersonnelles et les mobilités sont profondément modifiées, 1rela carte postale se trouve ici entendue comme un objet de consommation courante inscrit dans une culture visuelle transnationale. Préface d'Annette Becker

10/2021

ActuaLitté

Histoire de France

La censure militaire et policière (1914-1918)

Dès les premiers jours de la Grande Guerre, la censure est instaurée et cette mesure va bien au-delà du contrôle pointilliste de la presse. L'état-major de l'armée, chargé des opérations de censure, délègue une grande partie de son pouvoir à la préfecture de police. Sont traqués prioritairement les propos défaitistes, les slogans et écrits divers appelant à la paix. Plus généralement, l'attention est portée à tout ce qui pourrait nuire au moral des troupes et à celui de l'arrière. Des pères-la-pudeur s'acharnent sur des chansons datant de la Belle Epoque et il en va de même pour le théâtre, le cinéma et la littérature. Une armée de censeurs veille également dans le domaine du contrôle postal aux armées, tandis que nombre de civils voient leur correspondance interceptée par la police. L'intérêt supérieur de l'Etat commande de régenter aussi la vie privée des Français. En fait, tous les moyens d'expression sont devenus suspects et les Français sont encadrés dans un système qui ne laisse plus d'espace à l'expression libre.

03/2014

ActuaLitté

Histoire de France

Quand retentit le tocsin ardèche 1914 1918

Dans cet ouvrage, Albert Roche aborde un aspect inconnu, mais cependant ô combien important : l'implication de la population ardéchoise dans la Guerre de 1914-1918. Les femmes, les parents, les enfants, trouvent dans la solidarité une raison de vivre, qui n'efface pas toutefois l'angoisse de la mauvaise nouvelle, le vide de l'absence, la lassitude, et le découragement. Au fil des jours, des mois et des années de guerre, les communes ardéchoises qui comptent leurs morts, évoluent dans leurs manières de vivre et dans leurs mentalités. Ce monde rural, sans le savoir, assiste aux derniers soubresauts de valeurs traditionnelles balayées par ce premier conflit mondial. La montagne ardéchoise dans la guerre, ce sont les cantons de Lamastre, Saint-Martin-de-Valamas, Le Cheylard et Saint-Agrève. Cet ouvrage s'appuie sur une analyse minutieuse des documents conservés aux Archives départementales de l'Ardèche. Albert Roche a aussi eu recours aux témoignages oraux, à la collecte de documents iconographiques et a eu accès à plusieurs fonds privés

03/2014