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A bras-le-corps !. savants et instruments au college de france au xixe siecle. Savants et instruments au Collège de France au XIXe siècle

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Sciences historiques

Electriciens et gaziers en France. Une histoire sociale, XIXe-XXIe siècles

En 1946, après un demi-siècle de mobilisations, naissent EDF-GDF et le statut national des électriciens-gaziers. Ils conquièrent ainsi des conditions d'existence qui les placent à l'avant-garde du progrès social. Depuis, les "porteurs d'énergie" ne cessent de se mobiliser pour le service public et leur condition salariale, menacés par le procès en privilège intenté par une partie des médias et du champ politique, puis par la libéralisation du secteur énergétique. C'est donc plus de cent ans de luttes syndicales qui sont relatés ici, en commençant par les principales étapes du processus menant à la nationalisation et au statut unique. Un combat d'autant plus d'actualité que les directives européennes ont mis à mal les réalisations de l'après-guerre. Ce sont ensuite les conditions de travail et les conquêtes sociales des électriciens-gaziers qui sont auscultées. L'accent est mis sur leurs dimensions pionnières, à l'instar de l'organisation des vacances et des activités sociales. Comme le montre l'ultime partie du livre, tout cela n'aurait pas été possible sans des figures militantes, tels le syndicaliste révolutionnaire Emile Pataud et Marcel Paul, "père de la nationalisation". Ni sans des pratiques de grève efficaces, scandées par la participation à des mobilisations historiques comme le Front populaire ou le premier grand conflit des salariés de l'Etat, en 1953. En somme, cet ouvrage est aussi l'occasion de revisiter des grands enjeux de notre histoire contemporaine, depuis la place accordée à la puissance publique jusqu'aux effets de la construction européenne.

10/2018

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Sciences historiques

Histoire de la presse en France. XXe-XXIe siècles

Cet ouvrage présente une histoire de la presse écrite française de la fin des années 1890 (l'avènement de la presse de masse) à nos jours. A travers les thématiques telles que la politique, l'économique, etc. , les auteurs choisissent d'ancrer l'évolution de la presse à travers l'histoire culturelle, ce domaine ayant été le plus renouvelé en matière historiographique avec les représentations, les questions du genre, etc. et de l'histoire des médias, ce qui conduit à situer les mutations de la presse par rapport à l'ensemble des médias et non l'inverse, point de vue plus communément adopté. Ce manuel met à la disposition du lecteur un ouvrage aux problématiques renouvelées qui, tout à la fois, s'intéressera aux supports, aux entreprises, aux milieux de l'information, aux pratiques culturelles, aux publics, au rapport de la presse à son environnement politique, social, économique et culturel (la presse comme objet replacée dans les grands enjeux d'une société en constante évolution).

07/2016

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Sciences historiques

Moyen Age et Renaissance au Collège de France. Leçons inaugurales

De Michelet à Roland Recht, du XIXe au XXIe siècle, les leçons inaugurales du Collège de France - parfois perdues, inconnues, inédites ou autrement nommées - rassemblées ici à l'initiative de Pierre Toubert et de Michel Zink arpentent le Moyen Age et la Renaissance sous tous leurs aspects : histoire, histoire de l'art, langues et littératures, philosophie, etc. On assiste, en lisant ce passionnant recueil, à la naissance de la philologie et au développement moderne des sciences historiques sous la conduite des plus grands esprits de leur temps. Mais aussi on observe la naissance de l'histoire de l'art en France : celle-ci suppose qu'un pont soit jeté entre l'Antiquité et la Renaissance et que les siècles considérés jadis comme obscurs se trouvent intégrés dans un développement historique continu. On peut dire qu'une histoire de l'art - et non plus un enseignement de l'archéologie antique et de l'histoire de l'art antique - n'était concevable qu'à partir du moment où cette continuité se trouvait affirmée. Trente et une chaires sont représentées ici, certaines occupées par des noms restés illustres : Jules Michelet, Gaston Paris, Joseph Bédier, Etienne Gilson, Lucien Febvre, Henri Focillon, Marcel Bataillon, Fernand Braudel, André Chastel, Georges Duby... D'autres demeurent injustement oubliés et font l'objet de véritables redécouvertes. Le texte de toutes les leçons inaugurales est reproduit intégralement, avec l'éclairage historiographique et l'annotation nécessaires fournis par une cohorte d'éminents historiens d'aujourd'hui.

06/2009

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Philosophie

Subjectivité et vérité. Cours au Collège de France (1980-1981)

Foucault prononce en 1981 un cours qui marque une inflexion décisive dans son chemin de pensée et le projet ébauché dès 1976 d'une Histoire de la sexualité. C'est le moment où les arts de vivre deviennent le foyer de sens à partir duquel pourra se déployer une pensée neuve de la subjectivité. C'est le moment aussi où Foucault problématise une conception de l'éthique comprise comme l'élaboration patiente d'un rapport de soi à soi. L'étude de l'expérience sexuelle des Anciens permet ces nouveaux déploiements conceptuels. Dans ce cadre, Foucault analyse des écrits médicaux, des traités sur le mariage, la philosophie de l'amour ou la valeur pronostique des rêves érotiques, afin d'y retrouver le témoignage d'une structuration du sujet dans son rapport aux plaisirs (aphrodisia) antérieure à la construction moderne d'une science de la sexualité, antérieure à la hantise chrétienne de la chair. L'enjeu est en effet d'établir que l'imposition d'une scrupuleuse et interminable herméneutique du désir constitue l'invention du christianisme. Mais pour cela, il importait de ressaisir la spécificité irréductible des techniques de soi antiques. Dans cette série de leçons, qui annoncent clairement L'Usage des plaisirs et Le Souci de soi, Foucault interroge particulièrement le primat grec de l'opposition actif/passif sur les distinctions de genre, ainsi que l'élaboration par le stoïcisme impérial d'un modèle de lien conjugal prônant une fidélité sans faille, un partage des sentiments, et conduisant à la disqualification de l'homosexualité.

05/2014

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Sciences politiques

Islam et politique au XXe siècle

De Java au Maroc, l'art de faire politique a longtemps été en tension avec le religieux, et non en fusion. L'irruption de l'Europe dans les mondes musulmans, au XIXe siècle, a déclenché des modernisations défensives qui, mettant le religieux entre parenthèses, se sont aliéné les peuples. Après la suppression du califat ottoman par Mustapha Kemal en 1924, des expériences de démocratisation se sont déroulées de l'Egypte à l'Indonésie. Hormis dans la Turquie postk émaliste, elles ont été étouffées par l'installation de républiques césariennes et populistes. Et la recherche d'un équilibre entre croyants et citoyens a été suspendue. L'islam politique est monté en puissance au cours des années 1970-1980, mais il a échoué à prendre le pouvoir, sauf en Iran et au Soudan. Lui a succédé la vague du salafisme, qui oscillait entre l'imposition à la société d'un ordre moral islamique et un régime de terreur, dont Daech a été le paroxysme. Mais, si la fin du XXe siècle a été marquée par le retour de Dieu, notre époque pourrait bien être celle de la résurgence des peuples, depuis les Printemps arabes de 2011.

02/2022

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Sciences politiques

Crises et conflits au XXe siècle

Qu'est-ce qu'une crise ? Qu'est-ce qu'un conflit ? Qu'est-ce qu'une guerre ? Cet ouvrage a pour vocation de répondre à ces questions, en se focalisant sur les grands événements qui ont marqué le XXe siècle. Si celui-ci est confronté à la pérennité d'anciennes formes de conflit, il se caractérise surtout par une rupture stratégique majeure : la "guerre totale". Le phénomène de la guerre devient à ce point exacerbé qu'il ne distingue plus clairement les combattants des populations civiles. Cela concerne aussi bien l'apparition d'armes nouvelles (chimiques, nucléaires, cyber...) que les nouveaux modes d'affrontements : "guerre éclair", "guerre froide", "guerres asymétriques", terrorisme, etc. Parallèlement, le rôle des opinions publiques et des médias devient déterminant dans la manière de gérer les crises et les conflits, et d'en rendre compte. C'est donc une véritable typologie des crises et des conflits du XXe siècle qui est proposée ici, avec, à l'appui, des documents commentés (cartes, images, discours...) et des exemples de dissertations corrigées.

05/2014

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Histoire internationale

Les Etats-Unis et le monde au XIXe siècle

Cet ouvrage couvre une période souvent délaissée par les ouvrages portant sur l'histoire des Etats-Unis. Il s'appuie sur l'historiographie américaine et européenne actuelle pour présenter la nature, les modalités et les contraintes de l'insertion des Etats-Unis dans les relations internationales de l'indépendance à la fin du 19e siècle, lorsque la guerre contre l'Espagne de 1898 les place définitivement dans le premier cercle des puissances occidentales. Il replace dans leur contexte d'émergence les fondements idéologiques de la politique étrangère américaine ainsi que les notions d'isolement et d'isolationnisme, d'interventionnisme et de panaméricanisme, d'impérialisme et de messianisme. La période, riche en événements, crises et contradictions, est analysée comme un tout ayant ses propres logiques. Les notions-clés sont la construction et la consolidation, dans tous les domaines (politique, géographique, économique, démographique, culturel), y compris celui de la politique étrangère. Parmi les diverses lectures que l'on peut faire de ce siècle, l'une met en lumière la prédominance des relations avec la Grande-Bretagne, l'ancienne puissance colonisatrice, qui domine toujours économiquement et culturellement : deux guerres, de nombreuses quasi-guerres, suivies de périodes de rapprochement fragile qui posent les jalons de la lente construction de rapports de confiance et de respect mutuel. Une autre lecture montre que ce 19e siècle est aussi celui d'une tentative d'éloignement de la zone atlantique et de l'Europe par le fait de l'expansion vers l'Ouest, de l'enracinement dans l'Hémisphère occidental et de l'ouverture sur l'Extrême-Orient. S'il est vrai que le 19e siècle est "préparatoire" à l'explosion diplomatique de la superpuissance du 20e, il révèle aussi des conflits idéologiques entre deux grands courants de pensée, l'internationalisme et l'isolationnisme, qui traversent le 20e siècle et commandent encore aujourd'hui, en partie, les activités internationales des Etats-Unis.

06/2017

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Généralités

Enfants trouvés et abandonnés en Vendée au XIXe siècle

Au 19eme siecle, l'Etat decide de prendre en charge les enfants trouves ou abandonnes. Pour cela il cree, dans l'hospice de chaque arrondissement des departements, un tour d'abandon pour recueillir les enfants. en Vendee, les tours d'abandon ont eu peu de succes. Les enfants sont trouves en majorite dans des paniers pres des batiments publics ou suspendus aux barrieres de l'octroi. Ils seront a la charge du departement jusqu'a leurs douze ans. De nombreux abus vont etre constates par les prefets poussant l'etat a organiser des echanges entre departements.

09/2023

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Sciences historiques

Ecole, alphabétisation et société rurale dans la France du Nord au XIXe siècle

En revisitant la méthodologie de détermination des taux d'alphabétisation du XIXe siècle essentiellement établie sur le comptage des signatures au mariage, cette recherche - fondée sur l'analyse graphique de quelque 18000 signatures - permet de restaurer le lien allant de la scolarisation à l'alphabétisation mis en doute par certains historiens. Elle montre par ailleurs clairement que l'alphabétisation, à la veille du XXe siècle, était loin d'être achevée dans un arrondissement du département du Pas-de-Calais - celui d'Arras retenu pour son exemplarité -, comme le prétendaient les statistiques officielles. En mettant en évidence une alphabétisation géographiquement et socialement très différenciée dans un arrondissement qui n'est pas le haut lieu de la révolution industrielle, cet ouvrage met à mal une historiographie républicaine triomphante qui a eu tendance à présenter une France globalement scolarisée et alphabétisée au moment des lois Ferry. Le thème ici abordé, - savoir l'école, l'alphabétisation et la société rurale au XIXe siècle -, mis en perspective avec les problèmes actuels d'accès à la culture écrite que rencontre une partie de la population française, est susceptible d'intéresser les personnels de l'Éducation Nationale mais aussi un public plus large.

06/2003

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Critique

Le Neutre. Cours au Collège de France (1977-1978)

Le Neutre est le fil rouge de l'oeuvre de Roland Barthes, qu'on trouve dès Le Degré zéro de l'écriture et jusqu'à La chambre claire, aussi bien dans les livres, les articles et les entretiens, comme une préoccupation ou une aspiration éthique. Il apparaît pour la première fois au grand jour, explicité comme tel, dans ce cours du Collège de France donné en 1978. Autrefois publiées sous la forme des notes préparatoires, les treize séances paraissent ici sur la base d'une transcription des enregistrements. On retrouve ainsi l'une des dimensions décisives de la parole de Barthes telle qu'elle se déployait dans son enseignement : la germination du discours, ses dérives, ses boucles, ses excroissances, et le charme incomparable de la phrase. C'est dire l'importance de ce cours, où le Neutre trouve une formulation ample, détaillée, ouvertement placée sous le signe du fantasme, du projet, ou de la projection. "On a défini comme relevant du Neutre toute inflexion qui esquive ou déjoue la structure paradigmatique, oppositionnelle, du sens, et vise par conséquent à la suspension des données conflictuelles du discours. [... ] On a essayé de faire entendre que le Neutre ne correspondait pas forcément à l'image plate, foncièrement dépréciée qu'en a la Doxa, mais pouvait constituer une valeur forte, active". Eric Marty a établi l'édition définitive de ce cours et a assuré un système de notes à la fois sobre et efficace. Sa préface rappelle le contexte de la fin des années 1970 et situe les enjeux les plus actuels du Neutre.

04/2023

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Histoire internationale

Histoire de la pensée au Pays de Liège. Tome IV, XIXe-XXIe siècles

Après la perte de son indépendance, la Principauté de Liège ménagea un nouvel essor de la pensée en se fixant d'abord sur la question du langage — en lien avec l'apprentissage chez les sourds et muets, la naissance du comparatisme en philologie, et la formation d'un pays neuf : la Wallonie. La création de l'Université donna l'occasion d'inviter des penseurs comme Schmerling qui, le premier, découvrit l'homme de Néandertal élargissant ainsi considérablement l'histoire humaine, ou comme Schwann qui venait d'établir la nature cellulaire de tout le vivant. Quant aux travaux de Delboeuf, ils furent remarqués par William James, Freud et Bergson, tandis que Louis Verlaine initiait à la psychologie animale et Bobon à la psychopathologie de l'expression. En outre, le développement considérable des sciences appliquées favorisa l'ouverture particulière à la Russie (dont témoignera encore Georges Simenon) et à la Chine. La vie sociale fut repensée avec l'émergence du concept de justice sociale et de droit international du travail, illustrée par le cinéma des frères Dardenne. La vie religieuse manifesta sa vitalité avec la formation d'une nouvelle religion (l'antoinisme), ainsi que la rénovation radicale de l'esprit oecuménique. L'ouverture à l'univers allait trouver un développement soutenu grâce à l'Institut d'Astrophysique et au Centre Spatial de Liège.

07/2020

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Histoire internationale

Europe de papier. Projets européens au XIXe siècle

Résultat d’une recherche internationale ponctuée par deux journées d’étude et un colloque, tenus entre 2012 et 2014, les contributions ici regroupées ont l’ambition d’exhumer les nombreux projets européens qui ont vu le jour entre 1815 et 1870. OEuvre de réformateurs sociaux, de démocrates, de pacifistes, de libéraux, mais aussi de conservateurs ou de catholiques cette «Europe de papier» est le reflet d'un XIXe qui n’est pas seulement celui de l’industrialisation ou de l’Etat-Nation. Comment maintenir la paix ? Comment unir les Européens ? Comment l'élargir vers la méditerranée ou l'Amérique ? Quelle capitale choisir ? Ces questions alors posées restent débattues. Qualifiés hâtivement d'utopiques, oubliés aujourd'hui, même si les penseurs de l'entre-deux guerres s'y réfèrent souvent, ces projets n’en furent pas moins, derrière un certain nombre de figures tutélaires comme Victor Hugo ou Giuseppe Mazzini, autant de réflexions et de plans, ancrés dans l'ombre porté de l'Empire napoléonien, des expériences nationales, qui participèrent au débat politique de ce siècle. Ils sont toujours d’actualité.

12/2015

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Sciences historiques

Excessives ! Destins de femmes incroyables au XIXe siècle

Elles se prénommaient Geneviève, Henriette, Berthe, Madeleine, Minna, Gisèle, et on les disaient excessives. Elles ont posé des bombes, tailladé des fourrures, organisé des messes noires, hanté parfois les asiles. Des salons cossus aux assommoirs de la Butte, ces six femmes ont jeté leur exubérance à la face du monde. Avec la violence de leur plume, elles ont déchiré le papier, avec leur excentricité, elles ont envoyé valser le qu'en-dira-t-on, avec leurs caprices, qui tenaient presque de l'art, elles ont fait trembler les murs. Tantôt misérables, tantôt incroyables, ces femmes ont tutoyé les sommets. Elles y ont oscillé avec panache - et un peu de nihilisme - entre grandeur et décadence, en partageant une même soif de devenir, une même volupté du trop, un même mépris pour l'ordre établi. En s'élevant contre une époque corsetée qui les maintenait dans une incapacité, ces amazones ont été bien plus que des divas, elles ont été de véritables pionnières de la libération des femmes. Hélas, pour leurs excès, toutes ont été jugées, et ainsi l'histoire en a fait des anecdotes de bas de page, des figurantes dans les biographies de leurs illustres amants. Il est grand temps de remettre en lumière les destins flamboyants de ces insoumises qui, seules mais armées de courage, ont ouvert la voie aux héroïnes de notre époque.

10/2019

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Sciences historiques

Abécédaire de la prostitution au XIXe siècle. Splendeurs et misères

Un bas, une cigarette, un chat, une bottine autant d'indices qui, dans les uvres d'art comme dans la presse illustrée du XIXe siècle, permettent de déceler filles publiques ou courtisanes. Cet abécédaire richement illustré dévoile, à travers une trentaine de thèmes, l'envers des images.

10/2015

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Sports

Le Taureau et la fête. Au XIXe siècle en Languedoc

Cet ouvrage est construit autour d'un texte rare et essentiel à l'appréciation de la tradition bouvine dans la Camargue du XIXe siècle : Una coursa de biôous, poème de l'érudit marsillarguois Germain Encontre paru en 1839 et depuis longtemps devenu introuvable. A. Laborieux présente ici le texte original en languedocien et sa traduction en français, en le replaçant dans son contexte historique et culturel, et en l'intégrant à une analyse documentée de la période charnière où la course camarguaise commence à se codifier et à subir des mesures répressives. Après avoir situé le poème dans un contexte politique où la réglementation naissante vise à endiguer les troubles de l'ordre public que peuvent parfois générer les fêtes taurines informelles, Alain Laborieux propose une traduction du texte d'Encontre (avec en regard la version originale), puis entraîne le lecteur plus avant dans le monde qu'il nous a dévoilé : celui de la bouvine, de sa pratique et de ses traditions ; spectacle, musique, petits drames, bouffoneries, guerres de clocher, tout y passe et contribue à rendre cette promenade au temps du Taureau-Roi vivante et instructive. Un apport essentiel à la connaissance des origines de la course camarguaise.

03/2011

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Histoire de France

La France au XVIe siècle

Le legs fait à la postérité par le XVIe siècle est capital : confession protestante, réalisations artistiques et corpus d'idées et de théories politiques à l'étonnante vigueur. Le royaume connaît jusqu'aux années 1560 un climat de paix intérieure et de prospérité dans lequel s'épanouit la Renaissance. Cette période où fleurissent les arts et les lettres est pourtant aussi un temps d'angoisse, de doutes, d'interrogations sur le jugement dernier, le salut de l'âme. Elle voit l'éclatement des troubles religieux, après l'échec du roi pour éviter la guerre civile et le triomphe de l'intransigeance religieuse des hommes de dieu, bientôt mués en "fous de dieu". Le royaume traverse alors quarante années de tensions et de troubles civils, huit guerres, et affronte des massacres, le plus terrible, la Saint-Barthélemy, étant perpétré à Paris en août 1572. Le conflit atteint son apogée de 1584 à 1594 avant qu'Henri de Navarre ne devienne un "roi de raison" accepté par l'écrasante majorité des Français. La soumission du dernier grand noble ligueur, le duc de Mercoeur, la publication de l'édit de Nantes et la signature de la paix de Vervins ferment au printemps 1598 un siècle de fer.

08/2015

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Psychologie, psychanalyse

Lire Lacan au XXIe siècle

L'ouvrage collectif "Lire Lacan au XXIe siècle" fait état d'un moment de l'équipe de recherche EA 4007 "La section clinique" de l'Université Paris 8, Vincennes-Saint Denis. La thématique générale s'oriente autour de son programme de recherche. Comment lire Lacan aujourd'hui ? Comment se référer à son oeuvre au XXIe siècle, pour interpréter la clinique contemporaine et l'émergence de nouveaux symptômes ? Quels liens peuvent-ils se tisser entre politique et psychanalyse à partir du corpus freudien revisité par Lacan pour penser le malaise de la civilisation ? Ce questionnement ouvre au déploiement de ce programme dont la diversité fait montre de la cohérence théorique de l'orientation lacanienne de la psychanalyse. Comme l'affirme J.-A. Miller "S'il y a une orientation lacanienne, c'est qu'il n'y a aucun dogme lacanien, pas même l'inconscient structuré comme un langage, aucune thèse ne varietur qui donnerait lieu à un abécédaire, bréviaire, compendium, dogmatique. Il y a seulement une Conversation continuée avec les textes fondateurs de l'événement Freud, un Midrash perpétuel qui confronte incessamment l'expérience à la trame signifiante qui la structure". Les travaux de recherche de l'équipe EA 4007 "La section clinique" soutiennent cet échange avec les fondements de la psychanalyse. Notamment la formulation du sexuel au principe de la théorie freudienne et la fonction littérale support de cette formulation. Ils ambitionnent des apports théoriques témoignant d'une pensée en mouvement.

06/2019

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Ouvrages généraux

Superfaible. Penser au XXIe siècle

"Nous sommes devenus superforts. Rien ne peut nous résister : la plus grande oeuvre d'art, l'action la plus héroïque, l'entreprise la plus noble, la figure la plus impeccable - elles ne le sont que pour autant que nous le voulions bien. Chacun d'entre nous, partout dans le monde, et quoi qu'il en soit de sa richesse ou de sa pauvreté, de sa culture ou de son ignorance, nous sommes plus forts que tout. La superforce est la condition contemporaine de l'être humain. Pour nous, humains du XXI ? siècle, plus de réalité qui ne soit bornée par un "Oui, mais". Qui, aujourd'hui, sauf un abruti ou un niais, oserait dire qu'il n'est pas critique ? Qu'il ou elle n'a pas d'esprit critique ? La raison moderne, la raison critique, parce qu'elle est d'abord une interrogation sur elle-même, comme l'avait dit Emmanuel Kant, ne peut connaître d'autre limite ni d'autre alternative qu'elle-même. De sorte qu'elle a fini par dévorer la totalité du champ du pensable. Il est temps de faire le point sur le programme critique et de se poser la question de ce qu'il a laissé de côté. Et la réponse que je propose est : il a laissé de côté le futur. Il n'y a pas d'après de la critique, parce que l'idéal de la critique est le champ de ruine où survivrait une luciole, où pousserait une pâquerette". Dans ce livre-étendard d'une génération nouvelle, scintillant d'idées, d'arguments et d'exemples, Laurent de Sutter appelle à renouer avec le sens du futur, à quitter le mode du "oui, mais" pour épouser celui du "et si" , à redevenir superfaibles et... libres à nouveau.

09/2023

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Poésie

L'amour au XXIe siècle

Recueil poétique moderne en vers, d'une demoiselle qui s'attache à des tragédies plus ou moins réalistes. Mais véritables échappatoires sentimentaux, aussi fantasmant qu'il puisse paraître. Il y avait cette alchimie, Que la science nous avait fourni. Ce fil qui nous unissait. C'est grâce à lui qu'on se reconnaissait. Nous ne formions plus qu'un. Nous étions quelqu'un. Ce fil élastique Qui exalte ma plastique. Dans ce recueil de poèmes, Léa Barea nous présente les différentes phases d'une relation amoureuse tumultueuse qui s'achève dans les remords et les regrets. Elle y dépeint l'amour comme un sentiment passionné. Un sentiment profond, que seuls deux coeurs peuvent distinguer, au gré de leurs disputes, ou des réseaux sociaux. Une alchimie passionnée naissant entre deux êtres, qui vivaient dans l'individualisme. Dans le simple but de former une cohésion.

10/2021

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Critique littéraire

Lire Zola au XXIe siècle

Dans cet ouvrage collectif, chercheurs, écrivains et descendants se penchent sur la mémoire de Zola puis sur sa présence dans différents champs contemporains. Le livre s'attache surtout à la modernité du romancier et donne la parole aux nouvelles approches critiques en mesure d'en rendre compte.

01/2019

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Ethique

Vouloir mourir au XXIe siècle

Une actualité forte (projet de révision de la Loi sur la fin de vie pour 2021) L'approche pluridisciplinaire (médicale, juridique, philosophique, éthique, sociologique) et internationale Le non consensus autour du " bien vieillir et du " bien mourir " Grâce aux progrès scientifiques et technologiques, la médecine du XXIe siècle est en capacité de maîtriser les ressorts de la vie depuis ses origines et d'assurer un statut de " bien-être " à tout un chacun jusqu'au terme de son existence. Dans les sociétés occidentales, le vieillissement des populations se conjugue avec le recul de l'âge de la mort dans un mouvement paradoxal : vivre plus longtemps certes, mais à quel prix ? Si le handicap, les maladies grèvent les dernières années de vie, si la douleur et la perte d'autonomie conduisent certains à ne plus vouloir " de cette vie-là ", quelles réponses propose notre société ? Le législateur a encadré ces situations d'impasse, pour proposer des issues, pour soulager le calvaire individuel ou familial, et accompagner dignement une (fin de) vie médicalement assistée. Entre sédation profonde et continue, arrêt de traitement, euthanasie et suicide assisté, les conjugaisons de la mort aux temps du soin se déclinent à l'envie, de la consultation d'obstétrique à la psychiatrie de la personne âgée. Cet ouvrage polyphonique et pluridisciplinaire interroge les évolutions médicales, juridiques, philosophiques, éthiques, sociologiques, en France et à l'étranger, dans ses rapports avec la mort provoquée... ainsi que les risques de continuer d'ignorer ce phénomène, ou d'envisager la fin de vie comme panacée de nos inquiétudes. C'est à ce carrefour éthique complexe et fragile que nous nous arrêterons pour éclairer les soubassements de la volonté de mourir et de ses accompagnements possibles, afin de poser les bases d'un dialogue résolument tourné vers l'humain dans ce qu'il a de plus universel.

12/2021

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Sciences historiques

Générations historiennes. XIXe-XXIe siècle

C'est à une nouvelle histoire des historiens que nous convie cet ouvrage, à la lumière d'une notion dynamique et féconde, celle de génération. Les 58 auteurs réunis dans ce volume explorent pour la première fois l'évolution de leur discipline à l'aune des "générations historiennes" qui l'ont façonnée. De Jules Michelet à nos jours... Trois grandes parties forment la trame de cet ouvrage choral. La première fait revivre deux siècles d'historiographie française en dressant le portrait de 14 générations qui se sont succédé depuis le début du XIXe siècle. La deuxième partie donne la parole à une trentaine d'historiennes et historiens nés entre 1942 et 1983, invités à retracer leur propre itinéraire. Ont-ils eu le sentiment d'appartenir ou non à une génération et de s'inscrire en rupture par rapport aux précédentes ? Enfin, à partir d'une quinzaine d'études de cas (la Révolution française, l'histoire coloniale, l'histoire des femmes...), la troisième partie revisite, sous l'angle générationnel, les grands débats qui agitent le champ foisonnant du travail historique. Avec les contributions de : Solal Abélès, Eric Alary, Christian Amalvi, Etienne Anheim, Philippe Artières, Laurent Avezou, Lucien Bély, Stéphane Benoist, Jean-François Bonhoure, Patrick Boucheron, Raphaëlle Branche, Guillaume Calafat, Jacques Cantier, Roger Chartier, Elisabeth Crouzet-Pavan, Laurence De Cock, Christian Delacroix, Anne-Emmanuelle Demartini, Aude Déruelle, Olivier Dumoulin, Patrick Garcia, Claude Gauvard, Jean-Charles Geslot, Pascale Goetschel, Anita Guerreau-Jalabert, François Hartog, Vincent Heimendinger, Thomas Hirsch, Paulin Ismard, Sabine Jansen, Laurent Joly, Philippe Joutard, Jean-Marie Le Gall, Nicolas Le Roux, Antoine Lilti, Jean-Clément Martin, Virginie Martin, Florian Mazel, Charles Mercier, Vincent Milliot, Claudia Moatti, Bertrand Müller, Christel Müller, Bibia Pavard, Manon Pignot, Olivier Poncet, Yann Potin, Christophe Prochasson, Jacques Revel, Nathalie Richard, David Schreiber, Anne Simonin, Pierre Singaravélou, Jean-François Sirinelli, Françoise Thébaud, Marie-Pierre Ulloa, Sylvain Venayre, Michelle Zancarini-Fournel.

10/2019

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Religion

Le rituel du mariage en France du XIIe au XVIe siècle

Une étape capitale dans l'histoire du rituel du mariage a été celle qui, au XIè-XIIè siècle a transformé en action liturgique la conclusion profane du mariage et l'a placée immédiatement avant la messe. On ne connaissait que de façon très imparfaite l'évolution de ce rituel entre le XIIè et le XVIè siècle. Voici que les PP. Molin et Mutembe nous offrent, pour la France, une documentation d'une richesse exceptionnelle sur ces cinq siècles ; elle mérite de retenir l'attention non seulement des liturgistes, mais des historiens de la famille, de ceux du droit matrimonial, voire du folklore, précise le P. Gy dans sa Préface. L'attention des pasteurs aussi. Avant tout historiens, les auteurs se sont voulus également attentifs aux problèmes actuels de la pastorale et de la théologie du mariage : il suffit de renvoyer à leurs pages 9, 72, 194, 276 ou surtout 278-288, pour y saisir leurs préoccupations de pasteurs d'aujourd'hui : un nouveau rituel français, sacrements par étape, déclaration d'intention, mariage civil, adaptation des rites à la mentalité de chaque population.

04/1974

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Histoire de France

Le Capitalisme et l'État en France. Modernisation et dirigisme au XXe siècle

Quel ressort peut-on trouver à l'expansion économique spectaculaire de la France après la guerre, en contraste étonnant avec beaucoup de léthargies avant 1939 ? Premièrement, répond Richard Kuisel - un de ces spécialistes américains du XX ? siècle français dans l'oeuvre desquels nous aimons à nous reconnaître -, la mutation progressive des buts que la société s'assigne à elle-même ou que des dirigeants lui assignent. Deuxièmement, les modalités de cette emprise croissante de l'Etat sur l'économie qui dominie notre siècle, et dont ce livre retrace les péripéties, les motifs, l'idéologie et les moyens. De l'ordre libéral de 1900 à l'ordre néo-libéral des années cinquante, Richard Kuisel suit les grandes étapes de cette évolution, en partant de l'époque des Albert Thomas et des Loucheur pour arriver à celle des Jean Monnet et des Bloch-Lainé ; de la première guerre où l'on se met à penser la production en termes de flux plutôt que de stocks, aux lendemains de la seconde, où sur l'économie commence le règne des dirigistes et des planificateurs. "Au départ, une question forte et simple, dit Jean-Noël Jeanneney dans la présentation de cet ouvrage sans équivalent ; à l'arrivée, des réponses claires et subtiles : c'est assez pour faire un livre important".

05/1984

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Histoire de l'Eglise

Catholiques malgré Rome. Des croyants infidèles en France XIXe-XXIe siècle

En 1870, Rome proclame le concile de Vatican I. Des catholiques refusent le dogme de l'infaillibilité pontificale et la juridiction universelle du pape. Ils créent leur Eglise qui existe encore aujourd'hui. C'est le destin de ces réfractaires et d'autres encore qu'éclaire et raconte ce document historique sans précédent. Il ne paraît pas concevable qu'il puisse exister des catholiques sans Rome. Le but de cette étude est de partir à la recherche de ces insatisfaits dans l'histoire religieuse de la France depuis la Révolution. Qui ont été, et qui sont encore, ces croyants qui se disent catholiques mais rechignent à suivre les consignes de la papauté dans une période où celle-ci renforce son pouvoir central ? Leurs parcours peuvent se résumer à trois options : les plus conservateurs regrettent que l'Eglise romaine s'engage dans des concessions faites à la modernité, les plus réformateurs lui font le reproche inverse de ne pas assez répondre aux nouvelles attentes des croyants, enfin, d'autres vont trouver des réponses à leurs inquiétudes dans le recours direct à Dieu. Est-ce qu'une minorité peut revendiquer une orthodoxie et reprocher au pape d'être dans l'erreur ? Voilà l'une des questions qu'avec bien d'autres ce livre affronte. Cette histoire des marges révèle non seulement la distance prise par quelques groupes finalement peu importants, mais encore celle prise par un plus grand nombre de croyants moins visibles qui, forts des mêmes griefs, s'éloignent tout autant, mais sans bruit.

06/2022

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Sciences politiques

La force de gouverner. Le pouvoir exécutif en France, XIXe-XXIe siècles

Au commencement, les régimes politiques modernes visèrent à affaiblir les pouvoirs du gouvernement. En France, les républicains n'eurent de cesse de réduire la puissance du pouvoir exécutif, afin de conjurer l'arbitraire de la monarchie et de l'empire. Aujourd'hui, notre démocratie présidentielle est concentrée autour d'un chef suprême, tenu non plus pour un obstacle à l'expression du peuple mais pour son principal vecteur. Que s'est-il passé ? Des années 1870 aux années 1930, les assemblées ont contrôlé l'essentiel de la confection des lois et ont dominé l'action du gouvernement, dans une continuité stable, grâce notamment à l'initiative des commissions, alors que se succédaient les cabinets. On doit à cette République du Parlement, donc du débat et du compromis, le substrat qui nous régit encore : laïcité, libertés publiques (presse, réunion, syndicats, associations), système moderne de l'enseignement public, protection sociale. La conduite de la guerre devenue mondiale et le combat contre la crise économique majeure de 1929 instillent à droite comme à gauche l'idée d'un exécutif fort, clé de voûte constitutionnel. Depuis la V e république, l'exécutif décide des lois et de leur instabilité car il en change selon sa couleur politique, et limite la discussion parlementaire qui n'inspire plus l'esprit du régime. D'où le paradoxe qu'analyse Nicolas Rousselier dans ce grand livre : les juristes se gargarisent d'une "tradition républicaine", une vue de l'esprit puisque la logique du régime actuel est l'exact opposé de l'ancien esprit républicain. Historiquement parlant, il n'y a pas eu une République mais deux et contrairement à d'autres pays, la France n'a pas su mener à bien la modernisation du pouvoir gouvernemental tout en préservant une tradition parlementaire : elle est passée d'un déséquilibre institutionnel à un autre. Chaque jour, elle en paie politiquement le prix fort.

10/2015

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Sociologie urbaine

Regards savants sur la banlieue parisienne (XIXe-XXe siècles). Enseignements d'une bibliographie

Quel objet et quels territoires désigne-t-on lorsque l'on écrit sur la banlieue parisienne ? Quel sens donne-t-on à cette "simple" expression ? Face à la surmédiatisation tendant à unifier les représentations qui lui sont associées sous des aspects le plus souvent négatifs, force est de s'interroger sur la fabrique des savoirs concernant cet espace à l'identité mouvante. Tout au long des XIXe et XXe siècles, cette banlieue n'a cessé d'être observée et étudiée de près. En témoigne l'imposante bibliographie (consultable sur le site du collectif de recherche "Inventer le Grand Paris", IGP) de près de 6000 titres dressée par Gilles Montigny et Annick Tanter-Toubon. Ces deux chercheurs tirent ici les enseignements de cette longue entreprise scientifique à laquelle ont participé des représentants de toutes les sciences sociales. Deux clés de lecture sont privilégiées à titre de synthèse : la première interroge la dimension territoriale. Comment différencie-t-on la banlieue de la ville-centre d'une part, des zones dites péri-urbaines de l'autre ? La seconde examine les questionnements que ce territoire a suscités depuis les années 1950. Comment se croisent-ils dans une réflexion interdisciplinaire ? Une chronologie détaillée portant sur ces divers aspects (économiques, sociaux, urbanistiques, politiques, culturels, religieux...) et couvrant l'ensemble de la période étudiée (1784-2000) introduit ce double cadrage.

06/2021

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Traduction

Traduction et transmédialité (XIXe-XXIe siècles)

Le volume Traduction et transmédialité (XIXe-XXIe siècles) interroge la frontière entre l'acte de traduire et la transmédialité, au sens d'un processus de transfert d'un medium à un autre. Il explore les rapports entre traduction et transmédialité, en confrontant discours critiques et création.

08/2021

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Archéologie

La grande histoire de Lascaux. De la préhistoire au XXIe siècle. De la préhistoire au XXIe siècle

En 2016, lorsque Lascaux IV a ouvert, nous avons édité cet ouvrage pour raconter toutes les étapes de Lascaux, faisant un point sur ce que nous savons de l'art pariétal jusqu'aux prouesses technologiques et artistiques qui ont signé la réalisation du Centre international Lascaux-Montignac. Le succès de cet ouvrage ne s'est jamais démenti, puisque nous en présentons aujourd'hui la 3e édiotion.

04/2024

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Critique littéraire

Le légendaire au XIXe siècle. Poésie, mythe et vérité

Le légendaire est un dispositif poétique de mise en relation, ou plutôt de soudure, du mythe et de l'histoire, de la religion et de la politique, avec pour horizon la fondation de la communauté dans son unité. Il permet d'identifier la littérature à la poésie et la poésie au mythe. Une histoire du légendaire au XIXe siècle.

04/1997