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Mohamed Keïta

Extraits

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Policiers

La machine Ernetti

L'incroyable histoire vraie d'une machine à explorer le temps, cachée dans les archives secrètes du Vatican ! Mars 1938. Le physicien italien Ettore Majorana disparaît au large de la Sicile. Avec lui, le projet secret sur lequel il travaillait depuis des années. Automne 1955. On retrouve par miracle les notes du physicien disparu. Elles inspirent au père Ernetti une idée folle : construire une machine à voir dans le temps. Un chronoviseur. Sur ordre de Pie XII, le prêtre plonge deux mille ans en arrière. L'objectif est simple : prouver l'existence du Christ. Commence alors une course folle entre le Vatican, la CIA, le KGB et le Mossad. Car ce que le père Ernetti va découvrir, en pleine Guerre froide, pourrait changer l'ordre du monde. Ce roman est fondé sur une histoire vraie. "La Machine Ernetti est de la trempe du Da Vinci Code. Le roman est bâti comme une série télé, avec les ingrédients qui ont fait le succès de Dan Brown : chapitres courts, rebondissements en cascade, rythme échevelé". Mohammed Aïssaoui, Le Figaro "Quelque part entre Da Vinci Code et James Bond, Roland Portiche nous divertit avec un thriller diablement rythmé, où foisonnent dangereux espions et enlèvements crapuleux, et interroge avec malice les origines du christianisme. Parole d'évangile : on prie déjà pour qu'il y ait une suite ! " Paris Match "Ce thriller quantique dépoussière l'un des plus fascinants mystères du Vatican et réveille la fibre dan-brownienne qui sommeille en nous" Julie Malaure, Le Point "Les fils de l'intrigue noués avec suspense et brio font de ce premier roman un thriller impossible à lâcher". Point de Vue "Un thriller catholique... Maître du suspense, Roland Portiche nous entraîne, nous envoûte, nous donne le vertige. " RCF "Magistralement conduite, cette Machine Ernetti se lit, se monte et se démonte avec jubilation". Le Figaro Magazine

06/2020

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Droit

L'AFFAIRE SALMAN RUSHDIE. Dossier d'un différend international

Le 14 février 1989 l'imam Khomeiny prononçait la fatwa condamnant à mort l'écrivain britannique Salman Rushdie, les éditeurs et les traducteurs de son roman Les Versets sataniques. Symbole de l'obscurantisme pour les uns, loi divine pour les autres, l'arrêt de mort lancé par le guide de la Révolution iranienne a cristallisé le choc de deux cultures. Depuis, gouvernements et diplomates ont multiplié démarches, déclarations, protestations, " dialogue critique ", tentant au moyen de cet arsenal diplomatique la levée de la fatwa. Cet arrêt de mort est apparu comme une partie d'autant plus essentielle du contentieux entre l'Iran et la communauté occidentale qu'elle est symbolique d'un différend inédit en droit international. Ignorante des frontières et des compétences étatiques, la fatwa entend " punir " au nom d'un droit auquel le droit international, " laïque " et universel ne saurait faire place. En septembre 1998 l'affaire Salman Rushdie connaît un dernier rebondissement : le Président de la République islamique d'Iran, Mohamad Khatami, décide de " clore " le dossier Rushdie. C'est ce dossier qui est présenté dans cet ouvrage. Dossier et non réquisitoire, au sens où les auteurs ont voulu dresser un état aussi complet que possible des positions respectives des parties à ce différend autour des règles du droit international en cause. Mais dossier également par la somme de documents de diverses sources qui témoignent des étapes de cette affaire et de sa complexité. Dix ans après le début de l'affaire Rushdie, et au moment où le régime de Téhéran amorce une évolution interne et manifeste une volonté de " normalisation " de ses relations internationales, ce dossier a pour seule ambition de rappeler que les raisons d'Etat ne sauraient s'accommoder de l'oubli des droits de l'homme et que le respect du droit international ne se divise pas.

02/1999

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Littérature française

Léon l'Africain

Cette autobiographie imaginaire part d'une histoire vraie. En 1518, un ambassadeur maghrébin, revenant d'un pèlerinage à la Mecque, est capturé par des pirates siciliens, qui l'offrent en cadeau à Léon X, le grand pape de la Renaissance. Ce voyageur s'appelait Hassan al-Wazzan. Il devient le géographe Jean-Léon de Médicis, dit Léon l'Africain. Ainsi, après avoir vécu à Grenade, sa ville natale, à Fès, à Tombouctou, au Caire, à Constantinople, Léon passe plusieurs années à Rome, où il enseigne l'arabe, écrit la partie hébraïque d'un dictionnaire polyglotte, et rédige, en italien, sa célèbre " Description de l'Afrique ", qui va rester pendant quatre siècles une référence essentielle pour la connaissance du continent noir. Mais plus fascinante encore que l'œuvre de Léon, c'est sa vie, son aventure personnelle, que ponctuent les grands événements de son temps : il se trouvait à Grenade pendant la Reconquista, d'où, avec sa famille, il a dû fuir l'Inquisition ; il se trouvait en Egypte lors de sa prise par les Ottomans ; il se trouvait en Afrique noire à l'apogée de l'empire de l'Askia Mahamed Touré ; il se trouvait enfin à Rome aux plus belles heures de la Renaissance, ainsi qu'au moment du sac de la ville par les soldats de Charles Quint. Homme d'Orient et d'Occident, homme d'Afrique et d'Europe, Léon l'Africain est, d'une certaine manière, l'ancêtre de l'humanité cosmopolite d'aujourd'hui. Son aventure méritait d'être reconstituée, d'une année à l'autre, d'une ville à l'autre, d'un destin à l'autre. On pouvait difficilement trouver dans l'histoire personnages dont la vie corresponde davantage à ce siècle étonnant que fut le XVI'. A cela s'ajoute le style d'Amin Maalouf, celui d'un grand écrivain.

04/1986

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Maroc

Temps du maroc (Le)

500 jours vont mettre l'Humanité aux prises avec un ennemi invisible, révélant de profondes lignes de fracture économiques, sociales et environnementales ; préfigurant peut-être le crépuscule d'un système de gouvernance mondial à bout de souffle. Partout, les gouvernements vont être sous tension, l'ordre établi remis en question alors qu'une colère populaire gronde. Le Maroc ne fait pas exception. Il doit relever son plus grand défi collectif depuis la Seconde Guerre mondiale. Comment cet Etat d'Afrique du Nord de 36 millions d'habitants se rêvant comme la nouvelle passerelle entre l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient va-t-il traverser ce séisme mondial ? Comment va-t-il affronter la crise sanitaire, trouver les ressources nécessaires pour réinventer son modèle de développement tout en déroulant une nouvelle partition diplomatique qui bouleversera les alliances régionales ainsi que l'épineuse question du Sahara ? C'est l'histoire de ces 500 jours que raconte Abdelmalek Alaoui. Il en révèle les secrets, les moments de doute et de dépassement mais aussi les échecs. Le Maroc est-il passé au bord de la catastrophe ? Dans ce document exceptionnel, écrit au jour le jour pendant que le Royaume chérifien et son souverain, Mohammed VI, mettaient en oeuvre un ensemble de mesures décisives pour le pays, l'auteur plonge dans les abysses du Maroc politique contemporain tout en menant le récit de la riposte contre le virus. Il en profite pour donner les clés de lecture de cet Etat-nation millénaire, la plus ancienne monarchie régnante au monde dont l'on disait la technostructure administrative inefficace, l'économie pas suffisamment dynamique, et les forces politiques désuètes. Ce récit révèle un portrait méconnu et inédit de ce Royaume et de son Roi, capitaine dans la tempête, dont les décisions se révéleront déterminantes.

09/2021

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Littérature française

Les djihadistes aussi ont des peines de coeur

Septembre 2012. Une grenade est jetée dans une épicerie casher du nord de Paris : un blessé léger. Les coupables sont une bande de jeunes âgés de la vingtaine. Tous convertis ou revenus à l'Islam. Leur idole est Mohammed Merah. Ils veulent déclencher en France (et en Syrie, contre " l'hérétique Bachar ") la lutte armée. Au demeurant ils n'ont ni les moyens intellectuels ni matériels de leur combat. Ce sont des pieds-nickelés du djihad dont tous les coups foirent... Cette épopée à la fois tragique et burlesque (qui ne précède que de trois ans les attentats du Bataclan) permet à Morgan Sportès de mettre en scène dans une fiction "au ras du réel" une série de personnages dont il restitue, à travers les dialogues à la langue souvent savoureuse, les fantasmes politico-religieux. Il nous convie à leur table, au Kebab du coin, nous faisant partager leurs problèmes économiques ou amoureux : entre l'" héroïsme de la kalachnikov " et les couches-culottes du bébé qu'on n'a pas les moyens de se payer. Il nous fait entrer aussi dans leurs familles, déchirées par l'engagement du fils, où les pères, redoutés jadis, perdent pied. Il croque ainsi, dans un style hyperréaliste - et sombrement ironique toujours - une galerie de portraits inquiétants : le visage d'un pays mal connu qui est le nôtre pourtant, la France du xxie siècle mondialisé. Morgan Sportès est l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages traduits dans de nombreux pays. Parmi eux, L'Appât (Le Seuil 1990) a fait l'objet d'une adaptation cinématographique par Bertrand Tavernier en 1995 (Ours d'or à Berlin) et Tout, tout de suite (Fayard 2011) a reçu le prix Interallié.

08/2021

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Sports

Ma soeur Touria, première aviatrice du monde arabe

Dans les anne?es cinquante, le Maroc e?tait encore sous protectorat franc?ais. Touria Chaoui, jeune fille issue de la bourgeoisie de Fe?s, s'est distingue?e par sa passion pour l'aviation. Malgre? les obstacles et la re?ticence des autorite?s a? admettre qu'une jeune fille marocaine puisse acce?der a? une formation de pilote, Touria, appuye?e par son pe?re journaliste et e?crivain, fut inscrite a? l'e?cole d'aviation de Tit-Mellil. Elle de?crocha brillamment, le 17 octobre 1951, son brevet de pilotage de?livre? par l'arme?e de l'air franc?aise. Elle avait tout juste seize ans. L'e?ve?nement a une porte?e historique qui fut relate?e par la presse internationale. Touria e?tait la plus jeune pilote mondiale et la premie?re aviatrice du monde arabe. A? cette e?poque, le Maroc revendiquait son inde?pendance. Les autorite?s franc?aises avaient exile? le roi Mohammed V. La re?sistance marocaine s'e?tait organise?e. Touria devenait un symbole de militantisme et d'e?mancipation de la femme marocaine. Elle fut assassine?e au volant de sa voiture le jeudi 1er mars 1956, veille de l'inde?pendance du Maroc. La pre?sence franc?aise n'avait plus aucune raison de l'e?liminer, le Maroc ayant acquis sa souverainete?. La question reste pose?e : "Qui fut le commanditaire de cette la?che exe?cution ? " Touria venait d'avoir vingt ans. Ce crime est toujours non e?lucide?. Son jeune fre?re unique, qui avait onze ans, ayant assiste? a? sa mort, a de?cide? de lui rendre hommage a? travers ce livre.

07/2018

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Divers

Kiss the Sky Tome 1

Jimi avant Hendrix : plus qu'un guitariste, une icône du rock. Considéré comme l'un des plus grands guitaristes de l'histoire du rock, Jimi Hendrix a marqué les années 60 par son jeu révolutionnaire et ses performances endiablées. Mais sa vie, à l'image de ses concerts, fut mouvementée. Afro-américain, il grandit à Seattle et connaît une enfance chaotique, entre un père amateur de musique qui le brutalise et une mère volage et alcoolique. Seuls refuges : sa grand-mère amérindienne qui l'initie au folklore cherokee, les comics, le cinéma de quartier, puis la guitare ! Cette révélation, qui devient vite une obsession, transcende l'adolescent. Autodidacte, jouant de la main gauche, dite " celle du Diable ", il passera de longues années à se produire dans des salles d'arrière-bar et à courir les cachets. Ecumant les clubs, multipliant les passades amoureuses, il va pourtant peu à peu réussir à se faire une place dans un milieu en pleine effervescence, en croisant la route de Curtis Mayfield, Little Richard, B. B. King, Ike et Tina Turner, jusqu'à un certain Keith Richards... Et quand il s'apprête à s'envoler pour Londres après avoir enregistré Hey Joe, il ne sait pas encore qu'il a rendez-vous avec le destin. Après avoir évoqué le fameux bluesman Robert Johnson dans Love in vain, le duo Mezzo et Jean-Michel Dupont revient avec un portrait poignant d'une autre légende de la guitare. Fruit d'un important travail de recherches, Kiss the sky parvient autant à saisir l'esprit d'une époque qu'à nous émouvoir en nous faisant partager les désillusions d'une enfance à la Dickens et l'appétit de reconnaissance d'un gamin appelé à devenir une rock star adulée. Un destin magnifié par le style précis et puissamment incarné de Mezzo, qui se déclinera en deux volumes : d'abord en noir et blanc pour raconter le jeune Jimi avant son accès à la célébrité, puis dans le second tome en couleurs pour évoquer la superstar Hendrix en plein psychédélisme.

10/2022

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Philosophie

Violences des dieux

Troisième volet d'une série sur la philosophie de la violence, l'ouvrage se consacre à la violence engendrée par les croyances religieuses. Il s'avère que les disputes religieuses, souvent appuyées sur des dissensions ethniques, constituent d'excellents prétextes pour justifier une violence qui, de manière plus générale, est tapie dans le coeur même de l'homme, voire dans le coeur même de la matière. Cette violence repose en particulier sur la certitude de posséder la vérité qui est peut-être la plus grande idole de toutes les idoles. Après une revue des violences polythéistes, puis des violences monothéistes (du judaïsme à l'islamisme, en passant par le christianisme), l'ouvrage tente in fine une réconciliation par un argument épistémologique, à savoir la reconnaissance de la multiplicité de la vérité comme la source inéluctable de l'esprit des colombes opposé à celui des faucons. C'est dire que l'ouvrage, malgré sa critique approfondie de l'intolérance religieuse, est un ouvrage de paix qui s'inscrit dans l'annonce d'une quatrième révélation, en cours de construction, par laquelle tous les hommes de bonne volonté deviendraient des prophètes. Les violences religieuses ont participé à la mort de Dieu dont Nietzsche n'a été que l'un des annonciateurs. La conclusion de l'ouvrage annonce alors le volume suivant de la série, dédié aux violences engendrées par les idéologies athées qui posent la transcendance "en-avant", dans le futur, sans résoudre le problème fondamental de l'homme, celui de Dieu. Ainsi que l'énonce la préface de Keith Moser, "ce livre ambitieux, provocateur, et courageux" expose "les racines historiques, théologiques, philosophiques et socio-politiques des formes d'agression mortelle liées à la religion organisée", tandis que la postface de Thierry Murcia ajoute : "Source de connaissance, de réflexion autant que de plaisir (celui d'être lu), ce livre est donc édifiant à plus d'un titre".

04/2019

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Notions

Violences des idoles

Quatrième et dernier volet d'une tétralogie dédiée à la philosophie de la violence, l'ouvrage fait suite à une étude des violences de l'homme avec Dieu, fanatisé par ses croyances, et se consacre aux fanatismes de l'homme sans Dieu. A défaut de Dieu ou de dieux, ce sont des idoles qui s'invitent pour engendrer de nouvelles violences. La première de celle-ci est le "moi-je" intempestif qui sépare l'individu de la communauté humaine. Suivent alors le Veau d'or et ses manifestations exacerbées dans un capitalisme effréné, les morales dégénérées en moralines, les certitudes et les convictions, le progrès qui régresse et la raison qui déraisonne. Sur des bases chancelantes embourbées dans une hubris qui ne sait plus que se contempler dans un humanisme antireligieux délirant, l'humanité a construit un monde devenu menaçant, où la némésis prend la figure de catastrophes climatiques et de dérèglements des équilibres biologiques patiemment construits au fil des âges. Mais il arrive aussi que les idoles coagulent en idéologies qui s'en prennent aux races ou aux classes, pour se débarrasser des hommes anciens et construire le monde nouveau qui mettra fin à l'Histoire. Alors, les paradis, descendus des cieux des dieux sur la terre des hommes, se transforment en cauchemars où les civilisations périssent. L'ouvrage s'achève sur la question du suicide, proprement métaphysique dans un univers dont on ne sait s'il est absurde ou étrange, déjà soulevée dès le début de la tétralogie qui se referme ainsi sur son début, comme un anneau, tout en invoquant l'espérance de découvrir l'ordre sous le chaos. Ainsi que l'énonce la préface d'Issa Asgarally, "Violences des Idoles est un livre à (re)lire toutes affaires cessantes", tandis que la postface de Keith Moser salue le "dernier volume révolutionnaire" d'une "tétralogie transdisciplinaire examinant les origines de la violence".

04/2021

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Beaux arts

Le street art

Le street art est un style artistique qui attire souvent les enfants, grâce à son univers graphique et souvent coloré. De plus, il est visible dans leur quotidien et dans la rue, de quoi susciter leur attention et leur envie d'en savoir plus ! Une découverte dans un premier temps chronologique... Dans la première partie du livre, on apprend que l'humain s'est toujours exprimé sur les murs, comme l'illustre par exemple l'art que l'on retrouve dans les grottes préhistoriques. Mais le street art à proprement parler est né dans les années 1960, aux Etats-Unis. A l'époque, de nombreux jeunes sans travail protestent en écrivant sur les murs, ce sont les graffitis. Ces graffitis deviennent au cours du temps de véritables oeuvres d'art, sont colorés, pensés. Le street art se déploie sur tous les continents, et les techniques évoluent : pochoirs, collages, peinture en spray, photographie, récupération d'objets... Les possibilités sont infinies ! On explore le XXe et le XXIe siècle, du street art comme pratique vandaliste à la reconnaissance du mouvement par les institutions... . puis une mise en valeur des grands noms du street art On présente aux enfants 11 street artistes, les plus connus, mais aussi quelques-uns plus confidentiels : Keith Haring, Blek le Rat, Thierry Noir, JR, Miss Tic, JonOne, Banksy, Invader, Bordalo II, Alëxone, Clet, Os Gêmeos, El Seed et Vinie. Les oeuvres sont choisies parce qu'elles parlent de leur époque ou montrent différentes techniques, mais aussi et surtout parce qu'elles parlent aux enfants. Une collection de livres sur l'art qui se met à la portée des enfants Des explications simples et courtes, richement illustrées de dessins et de 13 photographies d'oeuvres colorées et attractives. Une mascotte, de l'âge du lecteur, l'accompagne dans ses découvertes, et lui pointe du doigt ce qu'il faut voir dans les oeuvres. Une façon pour l'enfant de s'identifier et d'apprendre en douceur.

05/2023

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Football

Je suis le président masqué

"Je dois vous dire que je me suis bien amusé et que cela m'a rapporté un bon petit paquet. Je ne suis pas milliar- daire mais j'ai de quoi assurer l'avenir de mes enfants. Certains diront que je n'ai pas toujours été réglo. Mais qui est réglo dans le football ? Jeune homme, j'avais apprécié la méthode Tapie lors de son retour à l'OM dans les années 2000 et vu les agents agglutinés comme des mouches autour du pot. Là, il y avait, croyez-moi, de l'oseille à la clé. Je me voyais bien agent, des commissions bien grasses, la Rolex Daytona en or au poignet et l'appartement avec terrasse sur le Larvotto à Monaco. Le sort en a décidé autrement. Je suis devenu manager sportif , à l'anglaise comme ils disaient autrefois, d'un club de milieu de tableau du centre de la France. Avec quelles compétences ? Aucune, j'avoue, mais j'avais pu faire deux ou trois bons coups comme coordinateur sportif, de quoi faire rêver avec le trading joueur. Il n'en faut pas plus, je vous jure, pour être dirigeant, d'autant que la veuve du propriétaire a fini par me laisser le club, lassée d'éponger les dettes et les larmes de crocodile des joueurs. Il m'a fallu un peu d'imagination, certes... J'ai regardé mes aînés à l'oeuvre, avec un faible pour le petit père Aulas et du respect pour la maestria de Labrune. A la table de la Ligue, je me suis délicatement fondu dans la masse, pas très difficile tant les Caillot, Caïazzo ou Kita sont gonflés d'importance. J'avais en plus deux ou trois agents dans la poche et les fonds américains ont créé la demande. J'ai vendu. Mais tout ne s'est pas passé comme prévu. ". .

06/2023

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STMG (Sciences et technologies

Bac Économie Term STMG. Livre de l'élève. Edition 2023

- Un ouvrage détachable. - Le choix de la simplicité : - Une maquette attractive et lisible ; - 12 chapitres courts et visuels ; - Une approche qui va à l'essentiel. - Des situations fil rouge pour une bonne immersion. - De la méthodologie et des révisions pour faire progresser l'élève et le rassurer. - Plus de 105 ressources numériques nombreuses et accessibles à tous. - Un livre du professeur enrichi et imprimé en couleur (offert sur prescription). - Un dossier "Bienvenue en Terminale" comportant : une explication des matières de STMG, un récapitulatif des objectifs de Terminale, 2 pages concernant l'orientation après le Bac, une évaluation des acquis de 1re. Pour l'élève : des outils innovants - + de 40 exercices interactifs autocorrigés - Des pages de révision. - Des mini-cas d'entrainement. - Un livret de révisions détachable de 16 pages. - Des fiches méthodologiquesPour l'enseignant : des outils concrets - Un livre du professeur enrichi, imprimé et en couleurs (offert en cas de prescription). - Une banque de ressources l'Actubox. - Des webinaires de partage d'expérience. Pour tous : des ressources numériques attractives à flasher sur le manuel papier. - 12 quiz interactifs Kyushi - Websérie Charlie & Gus : 4 épisodes en BD animée - 12 podcasts de cours - + de 35 liens vidéo - Des liens web

04/2023

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Histoire internationale

Algérie . Les années de tous les dangers

Où va l'Algérie ? La question posée il y a plus de trente ans par Mohamed Boudiaf a survécu à son auteur et concentre à elle seule toutes les interrogations suscitées par la situation dramatique que connaît le pays. En effet, comment est-on passé de la stabilité politique et de l'essor économique des années 1960-1970 à l'anomie actuelle ? Quels acteurs et quels facteurs ont catalysé l'engrenage de la violence et de la répression ? Quels facteurs socio-économiques et politiques ont favorisé ce processus de désintégration ou de désagrégation de l'État algérien ? Comment le principe fondamental de la " légitimité politique ", déjà bien discutable depuis la prise du pouvoir par Boumediène en 1965, atteint-il un degré d'érosion quasi absolu le long de la décennie Chadli ? Comment expliquer le non-engagement de la société civile dans la lutte sans merci que se livrent les actuels détenteurs du pouvoir et les prétendants islamistes à ce même pouvoir par la force, alors que cette même société civile a investi massivement, durant la période 1988-1990, le champ politique par le débat démocratique que d'aucuns espéraient irréversible ? On peut s'interroger sur l'attitude des soutiens extérieurs du régime dont les nombreuses hésitations et tergiversations laissent penser qu'ils n'ont pas toujours apprécié à leur juste valeur les enjeux et les diverses causes de la crise multiforme qui secoue l'Algérie. Est-ce en raison de la perte de crédibilité du pouvoir sur la scène internationale ; crédibilité largement entamée sur le plan intérieur ? Quels limons fertilisèrent le terrain sur lequel le Front Islamique de Salut put s'épanouir jusqu'à devenir la pièce centrale de l'échiquier politique algérien Autant de questions qu'il nous paraît utile de poser. Tenter d'y répondre en oubliant les catégorisations dans l'air du temps, nous semble infiniment plus enrichissant dans 1a compréhension de l'histoire récente de l'Algérie que n'importe quelle polémique où les figures de style d'une langue longtemps bâillonnée sont présentées pour de la Pensée, et où l'oubli de soi, c'est-à-dire d'où l'on vient et d'où l'on parle, amène souvent à prendre pour de l'analyse, de simples vues de l'esprit.

04/1994

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Critique littéraire

L'homme qui voulait être aimé

Georges Kiejman est un homme de combat et un survivant, dont l'ascension singulière épouse l'histoire d'un siècle tumultueux. Né à Paris le 12 août 1932 de parents juifs polonais illettrés qui ont fui la misère, il échappe miraculeusement aux rafles et à la déportation. Réfugié avec sa mère dans le Berry, il ne reverra jamais son père, assassiné à Auschwitz en 1943. S'ensuit un incroyable parcours, de la pièce unique dénuée de tout confort qu'il partage avec sa mère dans le quartier de Belleville de l'après-guerre aux ors de la République. Rapide, intelligent, cultivé, séducteur, mais aussi implacable et déterminé, il devient un avocat réputé dans les années 1960. Il est à la fois le défenseur du monde de l'édition et de celui du cinéma, l'ami de Simone Signoret et François Truffaut, le conseil de Carlo Ponti et de Claude Gallimard. A cette époque, il fait également une rencontre fondamentale en la personne de Pierre Mendès France que lui présente Françoise Giroud dont il est proche. Il se met au service de PMF dans ses campagnes victorieuses comme dans ses échecs et restera son ami jusqu'à sa mort. Epoux de l'actrice Marie-France Pisier, puis de la journaliste Laure de Broglie, il accède à la notoriété en sauvant de la réclusion criminelle à perpétuité le révolutionnaire et braqueur Pierre Goldman. Il sera ensuite de tous les grands procès -avocat de Malik Oussekine, le jeune étudiant frappé à mort par des policiers en 1986, du gouvernement américain contre le terroriste Georges Ibrahim Abdallah, de Mohamed El Fayed dans le cadre de la mort de Lady Diana, puis de Jacques Chirac et de Liliane Bettencourt. A la fin des années 1980, il lie une relation de confiance avec François Mitterrand sous la présidence duquel il sera trois fois ministre et avec lequel il partagera vacances, week-end et conversations sur la littérature. Pour la première fois, Georges Kiejman accepte de raconter. Portraits, choses vues, secrets, dialogues... Au carrefour des arts, de la justice et de la politique, grand amoureux des femmes à qui il rend un hommage pudique, il lève le voile sur ce que cachent sa robe noire et son intelligence ironique : un homme qui voulait être aimé. Ce texte, étincelant, joyeux, traversé d'ombres et de mélancolie, a été écrit par Vanessa Schneider, romancière, grand reporter au Monde, en complicité intellectuelle et littéraire avec Georges Kiejman.

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Histoire internationale

Les invités. Vingt ans dans les prisons du Roi

" Je suis né, j'ai grandi et j'ai été éduqué au cœur du pouvoir marocain. Et nous avons été, les miens et moi, les intimes d'Hassan II et de sa famille. Le 16 août 1972, mon père, le général Mohamed Oufkir, tenta par un coup d'État de déposer le monarque. Il échoua et fut assassiné au palais de Skhirat en présence du souverain. Hassan II, qui naguère se comportait avec nous comme un père, devint alors notre impitoyable bourreau et nous fit disparaître, sans procès ni jugement, dans ses prisons les plus secrètes. Notre calvaire dura près de vingt ans dans des conditions moyenâgeuses. Le plus jeune d'entre nous, au moment de notre déportation, n'a que trois ans et la plus âgée dix-neuf. Durant deux décennies, nous avons été persécutés de toutes les façons possibles parce que nous étions les enfants d'Oufkir. De quinze à trente-quatre ans, j'ai connu l'enfermement, dont dix années dans l'isolement absolu. Pour échapper à la démence, dans la solitude la plus complète, je me suis accroché à mon identité que l'on voulait tuer. Et j'ai entretenu vivante ma mémoire en revisitant minutieusement la moindre étape de ma vie passée, notamment tes révolutions de palais, les deux tentatives de putsch ainsi que les méandres de l'autocratie corrompue qui a entraîné la chute des miens. Dans ce livre, je raconte ce qu'enfant puis adolescent j'ai vu et entendu dans l'antre du pouvoir absolu. Mais je refais aussi le singulier chemin qui mène des marches d'un trône aux affres de ses oubliettes, de la frivolité à la découverte de soi. Car si ces dix-neuf années de souffrance furent terribles, elles se révélèrent pleines d'enseignement. Leurs étapes effrayantes, exceptionnelles de dureté comme d'émotion, ont forgé davantage que les dorures de mon enfance l'homme qu'aujourd'hui je suis. Cette mise à mort a été une leçon de vie dont j'ai tiré la conviction que l'espérance est la dernière chose que l'on doit perdre. Si ce témoignage peut apporter à ceux qui traversent une situation difficile un peu de réconfort ou l'envie de lutter, alors le sens et le but de cet ouvrage ne seront pas trahis. "

02/2003

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Poésie

Errances d'encre - A la dérive du marais

Une feuille blanche, innocente, magnifique. Pure... un écrin de neige éternelle. (...) Qu'est-ce qu'une fleur, une herbe, un oiseau ? Une forêt, une rivière, une saison ? Qu'est-ce que l'on rêve d'admirer ces regards éphémères où l'âme se plaît à ranger ce qui lui est beau : plantes, oiseaux, couleurs, femmes, ... instants volés dans la grande besace du temps ? Qu'est-ce que je cherche et que cherchons-nous ? Rien. (...) Longues marches parmi les arbres de la forêt, au fond des vallons, par les sous-bois troués de lumières farceuses. Longues fatigues propices à la survenue de toutes les surprises. Longues rêveries où la vie "sérieuse" dépose ses oripeaux menteurs, où la mémoire déballe des trésors imprévus. L'expression poétique - l'espace, la lumière et les couleurs - est toujours accompagnée de la pensée : elle devient signe et prend forme, et la pensée elle-même se cache derrière : poésie subtile et beauté mystique. Dans cet espace, les couleurs brillent de leur propre éclat, sans emprunter leur luminosité à une source extérieure. Je ne vise pas à représenter le monde tel que je le vois directement autour de moi, dans l'isolement. Dans les pays islamiques, l'art s'est toujours privé d'un naturalisme absolu. Selon la conception religieuse, l'art n'est qu'une méthode pour ennoblir la matière et rendre évidente la Beauté Divine. "Dieu est beau et Il aime la beauté", dit le Prophète Mohamed de l'Islam. Simple et vigoureuse, cette expression d'errances et d'espace s'offre à l'esprit comme un paradis plein de lumière et, surtout, dénuée d'ombres. Dans ces paysages, chaque être est un archétype d'essence subtile, qui ne prend vie que dans l'imaginaire, ce doux sentiment, après trente années d'éloignement. Ainsi, la perception du monde, malgré sa brutalité, s'effectue d'une manière correspondant à une expérience intérieure en rapport avec la lumière extérieure. La lumière et la couleur sont décrites comme la manifestation du monde d'en-haut dans le monde d'en bas. Ce désir d'être libre, de répondre aux exigences profondes de ma personnalité, découlant d'une confiance illimitée dans la variabilité et l'universalité de la vie, me semble tout à fait suffisante. Je me livrais, pur de tout préconçu ou préjugé, à la contemplation de la divinité. Je ne veux pas ligoter l

10/2016

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Petits classiques parascolaire

Nouvelles policières. Tome 1, Le crime n'est jamais parfait

Le crime n'est jamais parfait, puisque le détective finit toujours par démasquer le coupable. Sherlock Holmes, Arsène Lupin, l'inspecteur Wens et le père Brown, quatre redresseurs de torts parmi les plus célèbres, rivalisent en effet d'intelligence et de flair. Au fil de ces quatre nouvelles, rédigées avec un art consommé du suspense, nous leur emboîtons le pas, à la recherche de la vérité.

09/2015

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Comics Super-héros

Super-Villain Team-Up L'intégrale 2 : 1976-1987

Les vilains aussi peuvent parfois faire équipe ! Le Docteur Fatalis s'associe à Crâne Rouge, à Magnéto ou encore à Namor (lorsqu'il était du mauvais côté). Face aux Avengers et aux Champions, un peu d'aide est en effet la bienvenue ! Surtout, le souverain de Latvérie parvient enfin à prendre le contrôle du monde. La seule à pouvoir le contrecarrer : Wonder Man ! Place aux méchants ! Ce deuxième et dernier volume recueille les derniers épisodes de la série Super-Villain Team-Up, le pendant de Marvel Team-Up chez les méchants, ainsi que quelques surprises tirées d'autres séries.

12/2023

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Religion

Le Saint Coran

Traduction intégrale et originale en langue française du Saint Coran, accompagnée de commentaires par le professeur Muhammad HAMIDULLAH. La première édition de sa traduction date de 1956, publiée par CFL (Club français du Livre) ; plusieurs autres versions révisées, corrigées et augmentées ont suivi. Ce travail colossal et inédit (la première traduction du Coran en français par un musulman) était attendu par la communauté musulmane francophone. Il se caractérise par une traduction littérale, donnant l'impression d'un texte illisible. Ce choix délibéré du traducteur a été compensé par des centaines de commentaires permettant un accès judicieux et approprié aux sens des versets, De nombreux musulmans francophones ont lu des traductions du Coran attribuées à tort au professeur Hamidullah, alors qu'il s'agit en fait de l'oeuvre de personnes travaillant dans le complexe du roi Fahd de Médine (Arabie saoudite), qui se sont contentées de modifier la traduction du professeur M. Hamidullah sans son accord, ce qui constitue une atteinte à sa propriété intellectuelle. La plupart des modifications sont minimes, mais certaines sont graves du fait qu'elles touchent au sens de certains versets, comme dans la sourate Mohammed 47, verset 35 : Traduction du professeur M. Hamidullah : "Ne faiblissez pas, donc, mais appelez à la paix alors que vous avez le dessus. Dieu est avec vous. Il ne portera pas préjudice à vos oeuvres". Traduction du complexe du roi Fahd : "Ne faiblissez donc pas et n'appelez pas à la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu'Allah est avec vous, et qu'Il ne vous frustrera jamais (du mérite) de vos oeuvres". Pour notre part, nous pensons que le plus préjudiciable dans ces Corans modifiés et distribués à grande échelle depuis plusieurs années en France et dans les pays francophones est la suppression des milliers de notes et commentaires du professeur M. Hamidullah, qui sont d'une richesse inestimable sur les plans théologique, linguistique et historique. Que Dieu récompense le professeur M. Hamidullah pour tous les ouvrages qu'il nous a légués, et tous ceux qui l'ont aidé.

01/2021

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Histoire des religions

Les montagnes et le sacré. Calendrier interreligieux 2021-2022

La plupart des religions entretiennent une relation très étroite avec les montagnes, souvent perçues comme des lieux privilégiés de rencontre entre la terre et le ciel, le monde humain et celui du divin. Nombre d'entre elles sont ainsi dites "sacrées" , ou considérées comme telles par les populations locales, parce qu'elles sont associées à des mythes fondateurs, des symboles et des rites. La montagne, dans bien des traditions, est le lieu où siègent les divinités, tel le dieu Enkai sur le mont Oldoinyo Lengaï pour les Maasaï de Tanzanie ; ou les esprits des grands ancêtres, à l'image du Mont Uluru pour les aborigènes australiens. Ces hauts lieux spirituels sont souvent liés à la création du monde, comme les montagnes sacrées qui veillent sur la terre des Navajos. Il en va de même du mythique mont Meru, pivot du monde, auquel sont symboliquement reliés les montagnes et leurs sanctuaires dans les traditions hindoue, jaïne et bouddhiste. Parfois, c'est aux origines d'une religion que se rattachent ces lieux de manifestations du divin : telle la révélation faite à Moïse sur le mont Sinaï, ou à Mohammed au seuil d'une grotte du mont Hirâ. A l'écart de l'agitation mondaine et difficiles d'accès, les massifs montagneux servent aussi de refuge aux ascètes, ermites ou moines. C'est ainsi le cas en Asie et dans la sphère chrétienne, notamment orientale à l'image du mont Athos en Grèce, la "montagne monastique" par excellence. Souvent, le pèlerinage vers ces lieux saints, sanctuaires ou monastères, comme les temples taoïstes des cinq pics sacrés de la Chine, relève d'une ascèse en forme d'ascension spirituelle. En textes et en images, ce calendrier montre la diversité de la relation des religions avec les montagnes ainsi que l'universalité de ce lien par certains de ses symboles, de ses rites ou de ses pratiques.

09/2021

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Ethnologie

Du point de vue de l'ethnicité. Pratiques françaises

Depuis une vingtaine d’années, les discussions tantôt politiques, tantôt scientifiques autour du « modèle républicain français d’intégration » témoignent implicitement d’un malaise face à cette question, tout en l’occultant dans la pratique. Finalement, ce qui pose problème aujourd’hui n’est pas tant le principe d’égalité des droits que la difficulté contemporaine à l’assurer dans la réalité. Crise économique, chômage, ségrégation urbaine associée à une répartition territoriale des inégalités sociales, ou encore la manière dont la xénophobie se banalise dans le discours politique sont quelques-uns des facteurs qui ont fait apparaître des pratiques et discours discriminatoires où « la culture d’origine » est souvent surinvestie et appréhendée de manière négative. Aussi la question de l’« ethnicité » réduite à sa dimension politique étatico-nationale a-t-elle pour effet de limiter la compréhension des réalités quotidiennes associées aux situations hiérarchisées dans lesquelles se jouent des relations interethniques. Plutôt que de s’intéresser aux prétendus « problèmes » que pose l’immigration, anthropologues, géographes, sociologues, mais aussi un juriste, une psychosociologue, un documentariste et un économiste ont choisi dans cet ouvrage d’interroger les enjeux auxquels ceux-ci renvoient. Au fond, il s’agit de considérer que la « différence » des populations nommées « immigrées », « deuxième génération », « gens du voyage », existe peu en tant que telle, qu’elle est le résultat de rapports sociaux sociologiquement et historiquement construits entre différents acteurs, et inscrits à un moment donné. Chantal Crenn est maître de conférences en anthropologie à l’université Michel-de- Montaigne Bordeaux III, IUT Département « Carrières sociales » et chercheure à l’UMI 3189 ESS-CNRS-Bamako / Dakar / Ouagadougou / Marseille. Laurence Kotobi est maître de conférences en anthropologie au Département d’Ethnologie et d’Anthropologie sociale de l’université Bordeaux-Segalen et chercheure à l’UMR 5185-ADES-CNRS / université Bordeaux-Segalen. Avec les contributions d’Hélène Bertheleu, Bernard Chérubini, Henri Courau, Dominique Crozat, Denys Cuche, Angélina Etiemble, Mohamad Fazani, Zahia Kessar, Gaëlla Loiseau, Abdourahmane Ndiaye, Dragoss Ouedraogo, Yves Raibaud, Claire Schiff et Maryse Tripier.

02/2012

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Criminalité

L'éducation d'un voyou

Dans Dealer du tout-Paris, Gérard Fauré évoquait très peu sa jeunesse marocaine. Il revient ici sur cette période cruciale qui l'a initié à la drogue, aux complots politiques et aux vices cachés des élites. Ce récit étonnant permet de mieux comprendre comment il est devenu le " dealer du Tout-Paris " et jette une lumière crue sur le rapport des dirigeants français avec le Maroc depuis 50 ans. Fils du médecin de la famille royale marocaine, Gérard Fauré découvre à travers son père les circonstances troubles de la mort de Mohammed V, qui a permis à son fils Hassan de lui succéder ; les manoeuvres des services secrets français pour s'assurer l'obéissance du nouveau roi ; et enfin le complot ourdi par le général Oufkir, chef des services secrets marocains accusé d'avoir fait assassiner l'opposant Ben Barka, pour s'emparer du trône. A peine sorti de l'adolescence, Gérard devient l'amant d'une femme de pouvoir charismatique qui reçoit chez elle toute la haute société marocaine : Hadja, épouse du général Oufkir. Malgré lui, il est alors mêlé à des affaires d'Etat qui le dépassent. Amoureux comme on peut l'être à 25 ans, Gérard devient un simple pion du " Grand Jeu " des puissances occidentales au Maghreb. Manipulé par sa maîtresse, menacé de mort, il va vivre un véritable thriller, bientôt pourchassé par les polices de plusieurs pays. Récit d'une éducation sexuelle, politique et criminelle, cet épisode inédit livre quelques clés de l'histoire contemporaine, et dévoile les blessures secrètes d'un jeune homme appelé à devenir l'un des grands voyous de son époque. Gérard Fauré a été trafiquant de drogue, membre du SAC, bras droit du parrain Gaëtan Zampa, braqueur de banques... jusqu'à son arrestation en 1986. Ses Mémoires, Dealer du Tout-Paris et Le Prince de la coke, ont connu un très grand succès.

05/2021

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Littérature arabe

Les carnets d'El-Razi

Le quotidien loufoque et sombre d'un clinicien dans un hôpital psychiatrique en Tunisie, sous la plume irrévérencieuse d'un écrivain tunisien. " "J'ai assez travaillé à El Razi comme ça. Cette fois je me casse, définitivement. ' Combien de fois je l'ai dit ? Je suis toujours revenu sur ma décision. Mon intuition me dit, chaque fois, que les choses sont peut-être pires dehors. " Le quotidien du narrateur des Carnets d'El Razi est fait d'une suite de notes, des " rognures " consignées, sans but apparent, au fil des consultations qu'il donne à ses patients. Car il est psychologue clinicien, et passe ses journées à l'hôpital psychiatrique El Razi, dans la banlieue de Tunis. Ses patients portent tous des noms de personnalités célèbres - de Dostoïevski à Mademoiselle Cioran, en passant par Mohammed Ali... Des hommes et des femmes en apparence drolatiques, que le narrateur dépeint d'une plume alerte en de courts chapitres. Mais ce quotidien bien rodé cède bientôt la place à une farce dramatique : la réalité tangue. Et c'est au tour du narrateur-psychologue de dévier et dériver dans des obsessions et dimensions hallucinatoires. De soignant à soigné, il se voit assigner un certain Lazer, un " psychanalyste lacanien ", qui se perd en considérations oiseuses. Il va même côtoyer le fantôme de son illustre prédécesseur, Frantz Fanon, qui oeuvra durant cinq ans à l'hôpital El Razi et qui propose à son étonnant patient une nouvelle thérapie... D'une mécanique bien huilée à simple zizanie en un final apocalyptique délirant, Aymen Daboussi signe un récit original et détonnant. Les dépressifs ou les schizophrènes que le narrateur soigne et accompagne, ainsi que ses propres égarements et récits chimériques sont ici autant de symptômes d'une société gangrenée par l'hypocrisie sociale, les superstitions, une religiosité maladive, ou la bureaucratie aveugle. Par son écriture libre et subversive, s'inscrivant résolument dans les pas d'Al Maâri et de Charles Bukowski, Aymen Daboussi fait de l'hôpital El Razi le miroir déformé et criard d'un pays à la dérive.

10/2023

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STMG (Sciences et technologies

Economie Tle STMG. Edition 2023

INEDIT : Pour l'enseignant : un livre du professeur qui vont plus loin qu'un simple regroupement de corrigés ! Offert en cas de prescription ! Le livre du professeur enrichi, imprimé et en couleur Economie Tle STMG "Objectif Bac " a été entièrement travaillé pour les enseignants afin de les accompagner. Fruit d'un travail collaboratif entre Hachette Technique et des professeurs de terrain, les enseignants d'Economie pourront trouver dans ce livre du professeur : - Des évaluations corrigées avec barème - Des focus sur les alternatives didactiques et pédagogiques - Des conseils pour la mise en oeuvre d'approches ludiques Les différentes parties du livre du professeur : - La première partie du livre, Enseigner l'Economie "clés en main" en Tle STMG, est dédiée aux corrigés enrichis, aux cours rédigés avec les exemples et aux évaluations avec corrigés et barèmes. - La deuxième partie fait office de boîte à outils où les enseignants peuvent trouver des aides à l'utilisation du large panel d'outils proposés dans la collection : la banque de ressources Actubox, l'utilisation du dossier "Bienvenue en STMG" , la BD Charlie & Gus et les quiz interactifs Kyushi. - La troisième partie est consacrée à la présentation de la matière dans le cycle terminal, à l'initiation à la monographie et à l'épreuve commune de droit-économie. - La dernière partie fait office de bonus : les objectifs pédagogiques de la matière, les approches didactiques et pédagogiques possibles en STMG, la progression "clés en main" sur l'année

07/2023

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Du XVIe au XIXe siècle

Les images de dévotion en Europe (XVIe-XXIe siècle). Une précieuse histoire

Les objets de dévotion (images, chapelets, statuettes, chemins de croix portatifs...) font partie de la vie quotidienne des chrétiens depuis des siècles. La bibliothèque dominicaine du Saulchoir (Paris) est reconnue comme un point de passage obligé pour leur étude. Sa collection d'images de dévotion, qui compte plus de 200 000 pièces classées, constitue un corpus majeur dans ce domaine encore peu étudié. Depuis la recherche pionnière d'Adolf Spamer en 1930 et, beaucoup plus tard, l'exposition sur Un siècle d'images de piété, 1814-1914 organisée au Musée-galerie de la SEITA en 1984, ce corpus et d'autres collections ont commencé à être défrichés. Mais il manquait une confrontation des diverses approches de ces images et un bilan ouvrant des pistes de recherches, à l'exemple des catalogues d'exposition réalisés à Piombino. Pour combler cette lacune, un colloque international, "Précieux souvenirs : histoire de l'imagerie de dévotion en Europe", organisé par la bibliothèque du Saulchoir en collaboration avec l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, s'est tenu à Paris les 21 et 22 novembre 2019. Ce volume rassemble les contributions des intervenants à ce colloque, qui a accordé une large place aux collectionneurs et tracé de riches perspectives. Après un rappel de l'intérêt manifesté par l'ordre des Prêcheurs pour les images de dévotion, il offre un aperçu des recherches portant sur la création, l'édition et la diffusion en France de ces images, mais aussi sur leur iconographie et les courants artistiques qui les ont illustrées, sur la place qu'y tient l'histoire et sur leurs usages, y compris dans le monde protestant. Si la France occupe une place privilégiée dans ces études, plusieurs spécialistes élargissent notre regard en se penchant sur la production des images de dévotion en d'autres pays européens : l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie, les Pays-Bas, la Pologne. Un volume essentiel pour mieux mesurer la diversité inattendue de ces images et leur fonction dans la société, et ainsi mieux cerner certains aspects du christianisme vécu en Europe du XVIe siècle à nos jours.

09/2021

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Critique littéraire

L'atelier du roman N° 45, Mars 2006 : L'Europe du rire

L'homme qui porte un regard trop lucide sur toutes les perspectives d'une situation limite n'a sans doute d'autre issue que le désespoir. Seul celui qui, avec un oeil émoussé, prend cette situation uniquement comme l'un des aspects de la vie quotidienne, est en mesure de lutter contre elle. Kenzaburô Ôé. La pensée scientifique n'est ni tragique ni comique. D'où son arrogance à faire croire qu'elle peut faire basculer toute limite, même celle de la mort. A l'opposé, jamais on ne pourrait concevoir l'aventure romanesque sans la morale tragi-comique. Takis Théodoropoulos. Gustave Flaubert et Ion Luca Caragiale, qu'une génération sépare, ont eu, face à la révolution, une attitude plutôt ironique qu'enthousiaste. Montés, malgré eux, dans la locomotive du progrès qui roulait sur les rails du XIXe siècle, ils ne se sont pas laissés enivrer par la vitesse. Au contraire, ils ont alerté les esprits quant à la direction adoptée. Adrian Mihalache. J'arrive à distinguer dans l'abstrait l'humour de l'ironie, du comique, de l'esprit, et du burlesque. Mais au bout du sixième jour Dieu créa le portable et se reposa. Fernando Arrabal. Plus encore qu'une cause ou qu'une stratégie, l'humour est un sens - une réalité diffuse, aptitude et intuition, connaissance et existence mêlées, façon tout à la fois de comprendre le monde et de l'exprimer. Dominique Noguez. Juan Carlos Onetti, lui, superbement indifférent aux diktats théoriques, n'a jamais proclamé son obsession de " modernité ". [¿] Il nous parle au plus près, à hauteur de ce que nous sommes, bien malgré nous, devenus : des êtres post-Hiroshima, post-Auschwitz et post-lendemains qui chantent. Jean-Pierre Cescosse. Pour les grands marchands de la planète qui contrôlent nos existences, le clivage n'existe pas : la racaille et la non-racaille se retrouveront toujours dans les grandes surfaces à pousser des caddies. Christian Cogné. L'homme dépourvu d'humour, et nous en connaissons tous quelques-uns, surtout ceux d'entre nous qui travaillent pour l'université, représente la mort. Keith Botsford.

03/2006

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Histoire internationale

Lady died

Si des fantômes hantent toujours la place de l'Alma, c'est peut-être parce que des secrets enfouis dans la mémoire des vivants peinent encore à trouver le chemin de la lumière. Neuf ans après le très médiatique crash de l'Alma, n'est-il pas temps d'en finir avec l'affrontement stérile : " théorie de l'accident " contre " théorie du complot " ? Et de traiter sérieusement une affaire réduite dès la première heure à la rubrique people et au fait divers ? Si le rôle de l'institution judiciaire est de rétablir l'ordre public, cette mission semble avoir été parfaitement remplie par la France après la mort spectaculaire de la princesse Diana à Paris dans la nuit du 30 au 31 août 1997 : un " banal " accident de la route. Mais la vérité sur cette mort embarrassante demeure fuyante, et les événements qui l'ont précédée, occultés par le glamour, sont restés ignorés du public tenu trop souvent à l'écart des affaires du monde et du monde des affaires. Les sujets de Sa Très Gracieuse Majesté Élisabeth II, toujours perplexes depuis la clôture de l'instruction française, ont obtenu de haute lutte que soit ouverte une enquête criminelle inédite. C'était le 6 janvier 2004, soit six ans et demi après les faits. Devant la complexité tentaculaire du dossier, la police britannique n'a toujours pas rendu ses conclusions. En effet, ni la course-poursuite avec des paparazzi pas plus qu'un excès de vitesse n'ont été retenus. De plus, l'ombre épaisse du doute plane sur les expertises médico-légales. Alors seulement on a commencé à se souvenir que Diana, bête noire de l'establishment anglais, n'était pas seule à avoir trouvé la mort dans cet étrange accident... Outre le décès instantané du chauffeur occasionnel, Henri Paul, la disparition d'Emad Fayed, dit Dodi, le compagnon de la princesse, a endeuillé la famille Fayed. Son père, Mohamed, richissime homme d'affaires égyptien, s'était lui aussi mis à dos une bonne partie de ce que la bonne société londonienne compte de nantis et de businessmen depuis sa réussite spectaculaire et sa mainmise sur les magasins Harrods, fournisseurs de la Couronne. C'est vers les sphères opaques des groupes d'influence du luxe et du pouvoir que s'oriente la présente enquête. Elle propose un éclairage inédit sur la mort de Diana, princesse de Galles, et de Dodi al-Fayed en orientant les recherches vers cet " autre monde " dans lequel évoluaient les amants tragiques.

08/2006

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Ouvrages généraux et thématiqu

Ce que l'occident et l'orient doivent à la civilisation arabo-musulmane médiévale

Une histoire de succession et de transmission Durant des siècles, l'Occident et l'Orient ont peu à peu absorbé l'héritage majeur de la civilisation arabo-musulmane du Moyen Age. Cette influence s'est effectuée suivant une double transmission : d'une part, celle de la science et de la philosophie antiques (grecques en particulier) et, d'autre part, celle du savoir imaginé, transformé ou complété par les savants arabes. Cette énergie novatrice médiévale s'est imposée aux mondes occidental et oriental avant tout grâce à la soif de culture et de savoir des musulmans de l'époque, conformément aux préceptes de l'islam, qui reconnaissent que l'étude est une occupation agréable à Dieu (à même de faire valoir la magnificence de son oeuvre) et qu'il n'y a pas de contradiction entre la foi et la recherche scientifique. Le prophète Mohamed lui-même avait d'ailleurs affirmé : " L'encre de l'élève est plus sacrée que le sang du martyr. " En second lieu, l'apport arabo-musulman ne s'est pas limité à la traduction ou à la passation des textes anciens (mésopotamiens, persans, indiens et grecs), mais a donné lieu à une véritable réappropriation de ces connaissances par une recherche scientifique poussée, ainsi que par un raisonnement mathématique abstrait, engendrant quantité d'innovations et d'améliorations techniques... Mais le plus étonnant sans doute dans cette histoire, c'est que l'âge d'or arabo-musulman est venu d'une civilisation inconnue, et qui plus est issue du désert. La volonté d'accéder au savoir par tous les moyens possibles a ainsi conduit des tribus arabes à se mesurer aux civilisations existantes et, le plus important, à corriger les erreurs de ces dernières, dans les domaines de la médecine, des mathématiques, de l'astronomie... Au xxe siècle, l'éminent historien français Fernand Braudel reconnaissait : " Quatre ou cinq siècles durant, l'islam fut la civilisation la plus brillante de tout l'Ancien Monde. [...] A ces étages supérieurs, la civilisation musulmane, en ces siècles d'or, est à la fois une immense réussite scientifique et une relance exceptionnelle de la philosophie antique. Ces réussites ne sont pas les seules (si l'on songe aussi à la littérature), mais elles éclipsent les autres. " Et il précisait : " L'élan de cette reconquête cependant ne se limite pas à reprendre et retransmettre – ce qui à soi seul ne serait pas un mince mérite ; cette reprise est aussi prolongation, élucidation, création. "

01/2022

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Littérature française

Portrait de l'Amérique en boxeur amoureux

A lire l'histoire de Jack Dempsey (1895-1983) on a l'impression d'être face à une légende et cette légende, c'est l'Amérique. Comment peut-on être aussi violent et aussi timide à la foi, aussi pauvre et brasser autant d'argent, aussi monolithique et aussi complexe, faire rêver tout en distribuant des coups de poing ? La vie de Jack Dempsey est une épopée dans laquelle se succèdent toutes les images qui nous renvoient à l'Amérique. Ethniquement, Jack est toutes les Amériques additionnées : un quart irlandais, un quart écossais, un quart juif et un quart iroquois. Convertis aux enseignements de l'église mormone, ses parents traversent les Etats (à peine) Unis dans un chariot tiré par des boeufs. Jack naît et grandit dans un western. Devenu mineur, sa vie vire à l'épopée prolétarienne. Il devient un héros de Jack London et de Woody Guthrie. Un hobo qui tombe amoureux d'une prostituée de vingt ans plus âgée que lui et menant une vie dissolue dans les bordels. Plus sentimental que raisonnable, Jack devient une idole sportive avec son soutien, le champion du monde des poids lourds, le titre le plus glorieux qu'un boxeur peut espérer conquérir en ce bas monde. On ne comprend pas l'Amérique si on ne comprend pas la place que tient ce sport dans son imaginaire. Puis Jack part à Hollywood, forcément. Lui qui a été au centre de tant d'épopées et de cauchemars se retrouve dans l'ultime fabrique de fantasmes du monde moderne. Rudolph Valentino et Douglas Fairbanks veulent être de ses amis. La fascination de ceux qui font semblant pour ceux qui sont la réalité ? Quand Jack est éjecté du ring par Firpo, George Bellows peint la scène et Jack entre au musée. Mondialement célèbre. Quand Jack anéantit Carpentier, les matchmakers le couvrent de dollars et Jack entre à la banque. On a sans doute plus écrit sur Dempsey que sur n'importe quel boxeur, à l'exception peut-être de Mohamed Ali, mais on ne sait toujours pas à qui on a affaire. Portrait de l'Amérique en boxeur amoureux n'est ni une fiction ni une biographie de Jack Dempsey. C'est un récit haut en couleur qui égrène les épisodes emblématiques de la vie extrêmement romanesque d'un homme qui a construit la légende plus vraie que vraie d'un pays lui-même sujet aux passions et aux outrances les plus excessives que l'on peut imaginer.

03/2023

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Angleterre - Londres

Londres en quelques jours. 7e édition

Lonely Planet : un guide tout en couleurs, concis et ultrapratique pour découvrir Londres Buckingham Palace, abbaye de Westminster, British Museum, cathédrale Saint-Paul, Tate Modern... le meilleur de Londres en un clin d'oeil : tous les sites majeurs décryptés et des conseils d'expert pour tirer le meilleur parti de ses visites Un guide tout en couleurs et organisé par quartier, pour que la visite de chaque grand monument ou musée soit l'occasion de découvrir les environs à son rythme. Des itinéraires thématiques pour découvrir les meilleurs spots et se fondre dans la vie londonienne : promenade bohème à Soho, samedi shopping à Notting Hill ou flânerie littéraire à Bloomsbury. Des pages thématiques pour découvrir Londres selon ses envies : avec des enfants, activités gratuites, shopping, spectacles, meilleures adresses de pubs ou de restaurants ethniques... Des cartes en couleur et une carte détachable pour faciliter les déplacements dans la mégalopole anglaise.

02/2022